Le concert de U2
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le concert de U2
Nous étions souvent à cette époque sur des visiochat libertins, certains de ces sites organisaient parfois des soirées ou week-ends, tous les users qui le désiraient étaient invités et, à force de discuter sur ces visiochat et de se rencontrer, nous avions sympathisé avec pas mal de personnes.
Même si nous n’avions pas tous les mêmes délires sexuels, la tolérance faisait que nous passions de très agréables moments lors de ces rencontres.
Certains venaient de tous les coins du pays.
J’avais eu une place pour un concert de U2 au Stade de France et une des personnes que nous avions rencontrées lors de ces soirées avait acheté des places pour ce même concert.
Il montait pour cette occasion à Paris avec un de ses potes, qui lui, ne faisait pas partie des gens du site.
Apprenant cela, nous lui avions proposé de l’héberger avec son ami, plutôt que d’aller à l’hôtel, ainsi Nathalie pourrait nous déposer au stade et venir nous rechercher après le concert.
Ils sont arrivés le vendredi soir vers 19h.
Partis du sud de la France dans la matinée, Jean Louis et son pote Michel, avaient roulé toute la journée.
Jean Louis était un homme de notre âge, grand, châtain, athlétique et Nathalie le trouvait à son goût.
Même si nous l’avions rencontré quelques fois lors des soirées du site, rien de sexuel ne s’était passé car il venait avec sa femme, qui découvrait le libertinage mais, qui n’avait pas encore franchi le pas.
Pascal, son pote était de taille et corpulence moyenne, dégarni, un physique quelconque, ni laid ni beau, environ 35 ans aussi et apparemment très sympathique.
Nous avons pris quelques apéros, mangé, puis la fatigue du voyage prenant le dessus, nos hôtes ont préféré aller se coucher pas trop tard.
Le lendemain, nous les avons emmenés visiter la capitale et en fin d’après-midi, ma femme nous a déposés devant le stade.
Jean louis et Michel avaient préparé des « munitions » pour la soirée, une grande bouteille de jus de fruit remplie de punch, chacun.
La sécurité n’étant pas ce qu’elle est aujourd’hui, ils sont rentrés sans problème avec leur breuvage.
A la fin du concert, j’ai appelé Nathalie pour qu’elle vienne nous récupérer, nous nous étions donné rendez-vous à un endroit où il serait facile pour elle de nous prendre sans trop être dans les embouteillages.
Nous étions tous les trois bien guais et chantions pendant que ma femme nous ramenait à la maison.
J’avais moi aussi bu quelques bières, qui m’avaient rendu euphorique, pendant le concert.
Arrivés à bon port, j’ai proposé de boire un digestif avant d’aller se coucher.
Un puis deux puis trois, Jean Louis était bien chaud, il n’arrêtait pas de parler de sexe, du site et des rencontres qu’il avait ou aurait aimé faire.
Il commençait à se faire tard, alors fatigué par la journée et l’excès d’alcool, j’ai proposé que l’on aille tous se coucher.
Tout le monde logeait à l’étage.
En haut, en face de l’escalier, il y avait la salle de bain, à côté se trouvait notre chambre, à droite au milieu du couloir celle de Jean Louis et encore à droite au fond celle de Michel.
Je suis rentré directement pour aller me coucher en laissant la porte légèrement entre-ouverte, ma femme est allée dans la salle de bain se faire une petite toilette.
Quand elle est sortie, elle avait juste un string, Jean Louis l’attendait devant sa porte, il est allé vers elle, l’a attrapé par le bras et l’a attirée dans sa chambre sans qu’elle n’ait le temps de se débattre.
Il a fermé la porte derrière elle et l’a collée contre pour l’embrasser et la peloter sans vergogne.
Elle s’est à peine débattue, mais s’est très vite aperçue qu’il manquait de douceur.
Se disant que c’était certainement le trop plein d’excitation qui le rendait comme ça, elle a continué à se laisser faire et à répondre à ses caresses.
Il a baissé son caleçon et lui a dit :
« Suce-moi salope »
Il n’était pas complètement en érection, mais elle s’est quand même agenouillée devant lui pour le prendre en bouche.
Malgré son savoir-faire, elle a eu du mal à obtenir une bite aussi raide qu’elle aurait aimé.
Sa langue s’entourait bien autour de son gland en l’aspirant, elle lui massait les couilles en le branlant.
Au bout de cinq minutes, il lui a dit :
« Mets-toi à quatre pattes sur le lit, je vais te baiser »
Espérant toujours que ça allait s’améliorer, elle a obéi.
C’était malheureusement chose vaine, sa queue ne durcissait pas complètement, il avait quand même réussi à mettre une capote et à la pénétrer.
Les grands coups de rein qu’il lui assénait faisaient cogner le lit contre le mur, mais sans la faire prendre du plaisir.
Alors qu’elle allait stopper tout, il s’est déchaîné encore plus :
« Putain de chienne, tu vas me faire jouir, ahhh oui prends ça grosse pute, tiens ahhhh ahhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhh c’est bon »
Pas très discret, un peu goujat et égoïste, il s’est aussitôt affalé sur le côté après s’être vidé les couilles.
Déçue et frustrée, elle est sortie de la chambre avec la ferme intention de me faire rattraper le coup.
Michel était accoudé à la balustrade de l’escalier, dos à la porte de Jean Louis, en slip, il fumait tranquillement une cigarette.
Nathalie a été un peu surprise de le voir lorsqu’elle est sortie de la chambre de son pote.
Nul doute qu’il avait entendu ce qu’il s’était passé.
Comme si de rien n’était, sans se tourner, il lui a tendu le paquet de clopes :
« T’en veux une ? »
« Oui volontiers merci »
Malgré qu’elle soit nue, elle ne se sentait pas gênée et est venue à côté de lui s’accouder elle aussi sur la rambarde.
Ils sont restés à fumer tranquillement plusieurs minutes sans dire un mot, puis se tournant vers elle, il lui a dit :
« Je crois qu’il a trop bu. Mais en tout cas ça n’a pas réveillé ton mari car je l’ai entendu ronfler. »
Alors qu’elle allait lui répondre, ses yeux se sont posés sur le slip d’où débordait un gros chibre en érection lui touchant presque le nombril.
« Eh bien, je vois que toi ça t’a stimulé. »
Du tac au tac, il lui a répondu :
« C’est surtout que j’aurais préféré être à sa place. »
Tirant une dernière bouffée sur sa cigarette, il a continué :
« Et crois-moi, si ça avait été le cas, tu ne serais pas là en train de fumer une clope avec lui. »
Un peu vantard, vantard mais avec une sacrée belle queue, si je le prends au mot, il va croire que je suis une sacrée salope, mais en fait je suis une sacrée grosse salope qui aime la bite et qui, à ce moment précis, meurt d’envie de prendre cette belle grosse queue bien profond en moi.
Alors, après réflexion, elle lui a dit :
« Je ne demande qu’à voir. »
Elle a pris dans sa main la queue bien raide de Michel en venant se coller à lui pour l’embrasser.
Leurs langues se sont mélangées dans un baiser interminable, langoureux, sensuel et bien baveux.
Ses mains caressaient avec douceur tout le corps de ma femme, elle, le branlait et lui massait les couilles.
Sa main faisait à peine le tour de son braquemart qui était aussi dur que de l’acier.
Il lui dit alors :
« On va dans ma chambre ? »
« Oui, je te rejoins, je récupère quelque chose avant. »
Elle est entrée dans la chambre de Jean Louis, qui dormait, le chibre tout mou et toujours coiffé du préservatif rempli de son sperme, a attrapé plusieurs capotes qu’il avait jetées sur un meuble avant de la prendre.
Michel était allongé sur le lit, la queue toujours aussi raide.
Nathalie est venue s’installer à genoux entre ses cuisses pour aller dévorer cette énorme bite, elle n’avait pas trop de ses deux mains pour le branler pendant qu’elle le suçait.
« Elle est énorme ta queue, j’adore. »
Elle la frottait contre son visage, la suçait, la léchait, l’aspirait, lui gobait et lui malaxait les couilles, passait sa langue sur toute la longueur de son chibre, l’astiquait de ses deux mains, essayant de le prendre le plus loin possible en le regardant d’un air très salope.
« Whaaaaa t’es trop bonne, tu suces terriblement bien, vas-y doucement sinon je vais jouir. »
« Tu seras capable de rebander très vite après ? »
« Vu comment tu m’excites, je ne vais même pas débander. Oh putain, elle est bonne ta bouche. »
« Alors laisse-toi faire, j’ai envie de te sentir éjaculer dans ma bouche. »
A peine avait-elle fini sa phrase, qu’il lui a pris la tête entre ses mains pour la maintenir sur sa bite et déverser plusieurs copieuses rasades de sperme au fond de sa gorge.
Elle a dû s’y prendre à plusieurs reprises pour tout avaler.
J’avais commencé à m’assoupir quand des bruits m’ont réveillé, c’était comme si quelqu’un tapait dans un mur.
Ne voyant pas Nathalie à côté de moi, je me suis levé sans bruit pour me diriger vers la porte de notre chambre restée entre-ouverte.
Celle de Michel était grande ouverte, mais je ne distinguais pas de mouvements, celle de Jean Louis semblait fermée et c’est de là que venaient les coups dans le mur.
Je me doutais de ce qu’il se passait, mais il me semblait bizarre de ne pas entendre ma femme gémir, en général quand elle se fait baiser elle n’est pas si discrète.
J’étais à quatre pattes sur la moquette, pour éviter de me faire repérer, et, alors que j’allais entre-ouvrir un peu plus la porte pour avancer, j’ai vu Michel allumer sa lampe de chevet, se lever et marcher jusqu’au couloir.
Je me suis aussitôt reculé pour qu’il ne me voit pas, mais je pouvais quand même continuer à épier.
Il était en slip et avait collé son oreille contre le mur de la chambre de Jean Louis, que j’entendais traiter ma femme.
Il a allumé une clope et peu de temps après, Nathalie est sortie de la chambre.
Quand j’ai vu qu’elle était complètement nue et qu’ils ont fumé ensemble, je n’avais que peu de doute quant à la suite du programme, surtout que j’avais remarqué que le sexe de Michel grandissait à vue d’œil, jusqu’à devenir énorme et à sortir presque complètement de son slip.
Je bandais déjà, rien qu’à imaginer ce qui allait se passer, alors plus tard, quand je l’ai vu avaler toute sa semence, j’ai failli jouir dans mon slip.
Depuis mon poste d’observation, je les voyais bien sur le lit, j’ai donc pu mater tout le reste de leurs ébats.
Nathalie continuait à le sucer goulûment, les giclées de sperme qu’il lui avait envoyées n’avaient pas eu raison de son érection, il bandait toujours aussi dur.
Elle a sorti une capote qu’elle lui a enfilée sur la queue avant de se mettre à califourchon sur lui et de s’empaler tout doucement.
Il ne bougeait pas et la laissait faire.
Elle sentait bien cet énorme braquemart s’enfoncer en elle.
Une fois bien au fond, elle est restée sans bouger quelques secondes, puis a commencé à monter et descendre sur le pieux de son partenaire.
Il lui caressait les seins pendant qu’elle allait et venait sur sa bite.
Sa jouissance n’a pas tardé à venir, mais elle s’est retenue pour ne pas faire trop de bruit.
Elle s’était affalée sur lui pour étouffer ses gémissements de plaisir dans son cou.
Il a pris le relais en lui assénant de grands coups de reins.
Les mains plaquées sur les fesses de Nathalie, il la maintenait bien contre lui pour la posséder encore plus profondément.
A peine le temps de reprendre son souffle qu’elle avait déjà la langue de son amant d’un soir dans la bouche, ils s’embrassaient goulûment avec passion pendant qu’il continuait à la baiser.
Ils ont varié les positions et ma femme a joui plusieurs fois de suite, leurs ébats ont duré une bonne heure jusqu’à ce qu’après une bonne séance de levrette, il s’est enfin vidé au fond d’elle pendant qu’elle prenait une nouvelle fois son pied.
Ils sont repartis le lendemain comme si de rien n’était, Jean Louis m’avait semblé moins euphorique que d’habitude (probablement à cause de sa piètre prestation) et Michel est resté discret sur la sienne.
Même si nous n’avions pas tous les mêmes délires sexuels, la tolérance faisait que nous passions de très agréables moments lors de ces rencontres.
Certains venaient de tous les coins du pays.
J’avais eu une place pour un concert de U2 au Stade de France et une des personnes que nous avions rencontrées lors de ces soirées avait acheté des places pour ce même concert.
Il montait pour cette occasion à Paris avec un de ses potes, qui lui, ne faisait pas partie des gens du site.
Apprenant cela, nous lui avions proposé de l’héberger avec son ami, plutôt que d’aller à l’hôtel, ainsi Nathalie pourrait nous déposer au stade et venir nous rechercher après le concert.
Ils sont arrivés le vendredi soir vers 19h.
Partis du sud de la France dans la matinée, Jean Louis et son pote Michel, avaient roulé toute la journée.
Jean Louis était un homme de notre âge, grand, châtain, athlétique et Nathalie le trouvait à son goût.
Même si nous l’avions rencontré quelques fois lors des soirées du site, rien de sexuel ne s’était passé car il venait avec sa femme, qui découvrait le libertinage mais, qui n’avait pas encore franchi le pas.
Pascal, son pote était de taille et corpulence moyenne, dégarni, un physique quelconque, ni laid ni beau, environ 35 ans aussi et apparemment très sympathique.
Nous avons pris quelques apéros, mangé, puis la fatigue du voyage prenant le dessus, nos hôtes ont préféré aller se coucher pas trop tard.
Le lendemain, nous les avons emmenés visiter la capitale et en fin d’après-midi, ma femme nous a déposés devant le stade.
Jean louis et Michel avaient préparé des « munitions » pour la soirée, une grande bouteille de jus de fruit remplie de punch, chacun.
La sécurité n’étant pas ce qu’elle est aujourd’hui, ils sont rentrés sans problème avec leur breuvage.
A la fin du concert, j’ai appelé Nathalie pour qu’elle vienne nous récupérer, nous nous étions donné rendez-vous à un endroit où il serait facile pour elle de nous prendre sans trop être dans les embouteillages.
Nous étions tous les trois bien guais et chantions pendant que ma femme nous ramenait à la maison.
J’avais moi aussi bu quelques bières, qui m’avaient rendu euphorique, pendant le concert.
Arrivés à bon port, j’ai proposé de boire un digestif avant d’aller se coucher.
Un puis deux puis trois, Jean Louis était bien chaud, il n’arrêtait pas de parler de sexe, du site et des rencontres qu’il avait ou aurait aimé faire.
Il commençait à se faire tard, alors fatigué par la journée et l’excès d’alcool, j’ai proposé que l’on aille tous se coucher.
Tout le monde logeait à l’étage.
En haut, en face de l’escalier, il y avait la salle de bain, à côté se trouvait notre chambre, à droite au milieu du couloir celle de Jean Louis et encore à droite au fond celle de Michel.
Je suis rentré directement pour aller me coucher en laissant la porte légèrement entre-ouverte, ma femme est allée dans la salle de bain se faire une petite toilette.
Quand elle est sortie, elle avait juste un string, Jean Louis l’attendait devant sa porte, il est allé vers elle, l’a attrapé par le bras et l’a attirée dans sa chambre sans qu’elle n’ait le temps de se débattre.
Il a fermé la porte derrière elle et l’a collée contre pour l’embrasser et la peloter sans vergogne.
Elle s’est à peine débattue, mais s’est très vite aperçue qu’il manquait de douceur.
Se disant que c’était certainement le trop plein d’excitation qui le rendait comme ça, elle a continué à se laisser faire et à répondre à ses caresses.
Il a baissé son caleçon et lui a dit :
« Suce-moi salope »
Il n’était pas complètement en érection, mais elle s’est quand même agenouillée devant lui pour le prendre en bouche.
Malgré son savoir-faire, elle a eu du mal à obtenir une bite aussi raide qu’elle aurait aimé.
Sa langue s’entourait bien autour de son gland en l’aspirant, elle lui massait les couilles en le branlant.
Au bout de cinq minutes, il lui a dit :
« Mets-toi à quatre pattes sur le lit, je vais te baiser »
Espérant toujours que ça allait s’améliorer, elle a obéi.
C’était malheureusement chose vaine, sa queue ne durcissait pas complètement, il avait quand même réussi à mettre une capote et à la pénétrer.
Les grands coups de rein qu’il lui assénait faisaient cogner le lit contre le mur, mais sans la faire prendre du plaisir.
Alors qu’elle allait stopper tout, il s’est déchaîné encore plus :
« Putain de chienne, tu vas me faire jouir, ahhh oui prends ça grosse pute, tiens ahhhh ahhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhh c’est bon »
Pas très discret, un peu goujat et égoïste, il s’est aussitôt affalé sur le côté après s’être vidé les couilles.
Déçue et frustrée, elle est sortie de la chambre avec la ferme intention de me faire rattraper le coup.
Michel était accoudé à la balustrade de l’escalier, dos à la porte de Jean Louis, en slip, il fumait tranquillement une cigarette.
Nathalie a été un peu surprise de le voir lorsqu’elle est sortie de la chambre de son pote.
Nul doute qu’il avait entendu ce qu’il s’était passé.
Comme si de rien n’était, sans se tourner, il lui a tendu le paquet de clopes :
« T’en veux une ? »
« Oui volontiers merci »
Malgré qu’elle soit nue, elle ne se sentait pas gênée et est venue à côté de lui s’accouder elle aussi sur la rambarde.
Ils sont restés à fumer tranquillement plusieurs minutes sans dire un mot, puis se tournant vers elle, il lui a dit :
« Je crois qu’il a trop bu. Mais en tout cas ça n’a pas réveillé ton mari car je l’ai entendu ronfler. »
Alors qu’elle allait lui répondre, ses yeux se sont posés sur le slip d’où débordait un gros chibre en érection lui touchant presque le nombril.
« Eh bien, je vois que toi ça t’a stimulé. »
Du tac au tac, il lui a répondu :
« C’est surtout que j’aurais préféré être à sa place. »
Tirant une dernière bouffée sur sa cigarette, il a continué :
« Et crois-moi, si ça avait été le cas, tu ne serais pas là en train de fumer une clope avec lui. »
Un peu vantard, vantard mais avec une sacrée belle queue, si je le prends au mot, il va croire que je suis une sacrée salope, mais en fait je suis une sacrée grosse salope qui aime la bite et qui, à ce moment précis, meurt d’envie de prendre cette belle grosse queue bien profond en moi.
Alors, après réflexion, elle lui a dit :
« Je ne demande qu’à voir. »
Elle a pris dans sa main la queue bien raide de Michel en venant se coller à lui pour l’embrasser.
Leurs langues se sont mélangées dans un baiser interminable, langoureux, sensuel et bien baveux.
Ses mains caressaient avec douceur tout le corps de ma femme, elle, le branlait et lui massait les couilles.
Sa main faisait à peine le tour de son braquemart qui était aussi dur que de l’acier.
Il lui dit alors :
« On va dans ma chambre ? »
« Oui, je te rejoins, je récupère quelque chose avant. »
Elle est entrée dans la chambre de Jean Louis, qui dormait, le chibre tout mou et toujours coiffé du préservatif rempli de son sperme, a attrapé plusieurs capotes qu’il avait jetées sur un meuble avant de la prendre.
Michel était allongé sur le lit, la queue toujours aussi raide.
Nathalie est venue s’installer à genoux entre ses cuisses pour aller dévorer cette énorme bite, elle n’avait pas trop de ses deux mains pour le branler pendant qu’elle le suçait.
« Elle est énorme ta queue, j’adore. »
Elle la frottait contre son visage, la suçait, la léchait, l’aspirait, lui gobait et lui malaxait les couilles, passait sa langue sur toute la longueur de son chibre, l’astiquait de ses deux mains, essayant de le prendre le plus loin possible en le regardant d’un air très salope.
« Whaaaaa t’es trop bonne, tu suces terriblement bien, vas-y doucement sinon je vais jouir. »
« Tu seras capable de rebander très vite après ? »
« Vu comment tu m’excites, je ne vais même pas débander. Oh putain, elle est bonne ta bouche. »
« Alors laisse-toi faire, j’ai envie de te sentir éjaculer dans ma bouche. »
A peine avait-elle fini sa phrase, qu’il lui a pris la tête entre ses mains pour la maintenir sur sa bite et déverser plusieurs copieuses rasades de sperme au fond de sa gorge.
Elle a dû s’y prendre à plusieurs reprises pour tout avaler.
J’avais commencé à m’assoupir quand des bruits m’ont réveillé, c’était comme si quelqu’un tapait dans un mur.
Ne voyant pas Nathalie à côté de moi, je me suis levé sans bruit pour me diriger vers la porte de notre chambre restée entre-ouverte.
Celle de Michel était grande ouverte, mais je ne distinguais pas de mouvements, celle de Jean Louis semblait fermée et c’est de là que venaient les coups dans le mur.
Je me doutais de ce qu’il se passait, mais il me semblait bizarre de ne pas entendre ma femme gémir, en général quand elle se fait baiser elle n’est pas si discrète.
J’étais à quatre pattes sur la moquette, pour éviter de me faire repérer, et, alors que j’allais entre-ouvrir un peu plus la porte pour avancer, j’ai vu Michel allumer sa lampe de chevet, se lever et marcher jusqu’au couloir.
Je me suis aussitôt reculé pour qu’il ne me voit pas, mais je pouvais quand même continuer à épier.
Il était en slip et avait collé son oreille contre le mur de la chambre de Jean Louis, que j’entendais traiter ma femme.
Il a allumé une clope et peu de temps après, Nathalie est sortie de la chambre.
Quand j’ai vu qu’elle était complètement nue et qu’ils ont fumé ensemble, je n’avais que peu de doute quant à la suite du programme, surtout que j’avais remarqué que le sexe de Michel grandissait à vue d’œil, jusqu’à devenir énorme et à sortir presque complètement de son slip.
Je bandais déjà, rien qu’à imaginer ce qui allait se passer, alors plus tard, quand je l’ai vu avaler toute sa semence, j’ai failli jouir dans mon slip.
Depuis mon poste d’observation, je les voyais bien sur le lit, j’ai donc pu mater tout le reste de leurs ébats.
Nathalie continuait à le sucer goulûment, les giclées de sperme qu’il lui avait envoyées n’avaient pas eu raison de son érection, il bandait toujours aussi dur.
Elle a sorti une capote qu’elle lui a enfilée sur la queue avant de se mettre à califourchon sur lui et de s’empaler tout doucement.
Il ne bougeait pas et la laissait faire.
Elle sentait bien cet énorme braquemart s’enfoncer en elle.
Une fois bien au fond, elle est restée sans bouger quelques secondes, puis a commencé à monter et descendre sur le pieux de son partenaire.
Il lui caressait les seins pendant qu’elle allait et venait sur sa bite.
Sa jouissance n’a pas tardé à venir, mais elle s’est retenue pour ne pas faire trop de bruit.
Elle s’était affalée sur lui pour étouffer ses gémissements de plaisir dans son cou.
Il a pris le relais en lui assénant de grands coups de reins.
Les mains plaquées sur les fesses de Nathalie, il la maintenait bien contre lui pour la posséder encore plus profondément.
A peine le temps de reprendre son souffle qu’elle avait déjà la langue de son amant d’un soir dans la bouche, ils s’embrassaient goulûment avec passion pendant qu’il continuait à la baiser.
Ils ont varié les positions et ma femme a joui plusieurs fois de suite, leurs ébats ont duré une bonne heure jusqu’à ce qu’après une bonne séance de levrette, il s’est enfin vidé au fond d’elle pendant qu’elle prenait une nouvelle fois son pied.
Ils sont repartis le lendemain comme si de rien n’était, Jean Louis m’avait semblé moins euphorique que d’habitude (probablement à cause de sa piètre prestation) et Michel est resté discret sur la sienne.
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Moi je ne suis pas le genre de fille à me balader en petite culotte et seins à l'air quand mon homme invite ses potes à la maison