Le confessionnal
Récit érotique écrit par Alain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le confessionnal
Le confessionnal
Je suis, depuis peu, curé de la paroisse de
Sainte-Madeleine. Parmi toutes les tâches que m’impose
mon saint ministère, je ne suis pas loin de considérer la
confession comme une des plus importantes. Soulager
mes frères et mes sœurs du poids de leurs péchés,
pouvoir leur pardonner au nom du Seigneur et, de cette
façon, leur redonner la vie, est pour moi non seulement un
devoir, mais une source de joie.
Cette tâche n’est pas toujours commode. Elle demande
une grande disponibilité d’esprit, de l’humilité et beaucoup
de doigté. Certains péchés ne sont pas faciles à avouer et
mon rôle consiste alors à aider mes pénitents à formuler ce
qu’ils ont parfois honte de me confier. C’est bien ce qui est
arrivé récemment avec une de mes pénitentes, une jeune
femme d’un abord assez agréable, mariée à un homme
que ses activités professionnelles obligent à de fréquentes
et longues absences. Cette dame est venue se confesser,
un matin. Voici exactement comment les choses se sont
passées, dans la pénombre de mon confessionnal.
Après avoir débité les formules habituelles, elle commença
l’aveu de ses péchés. Une liste de petits péchés d’une
grande banalité, comme j’en entends à chaque fois. Mais
soudain je la sentis hésiter. Puis elle se tut. Je
l’encourageai à poursuivre sa confession : " Avez-vous
encore quelque chose à m’avouer ? Parlez sans crainte,
mon enfant. Le Seigneur est toute bonté et il n’est de péché
qu’il ne soit disposé à vous pardonner si votre contrition est
sincère. "
Elle réussit enfin à me dire, dans un souffle : " Il m’arrive
souvent, mon Père, d’avoir de mauvaises pensées. "
— Quelle sorte de mauvaises pensées ?
— Ce sont des pensées… très sales.
— En quoi sont-elles sales ? A quelles sortes de choses
pensez-vous précisément ?
— Je pense à des choses… sexuelles. A des cochonneries
qu’on me ferait.
— Est-ce que ce sont des pensées qui vous traversent
l’esprit sans que vous y preniez garde, ou bien des
pensées sur lesquelles vous vous attardez volontairement
?
— Elles me viennent d’abord toutes seules et ensuite je m’y
attarde. Par exemple, quand je suis dans mon lit et que la
lumière est fermée, je m’imagine que des gens entrent
dans ma chambre…
— Dans votre chambre !… Quelle sorte de gens ?
— Des gens que je ne connais pas. Parfois, c’est une
seule personne, en général un homme. Parfois plusieurs
personnes, des hommes et des femmes. Ils s’approchent
silencieusement de mon lit… Ils enfoncent leurs mains
sous mon drap. Ou bien ils l’enlèvent brutalement, et je
suis toute nue devant eux, à leur merci.
— Vous dormez donc toute nue dans votre lit ?
— Non, mon Père, sauf quand il fait très chaud. En général
je mets un pyjama. Ou bien une chemise et une petite
culotte. Mais ils retroussent brutalement la chemise et ils
arrachent ma petite culotte. Parfois ils ne l’enlèvent pas
toute de suite. Mais ils écartement violemment mes
cuisses et ils les tripotent. Ils tripotent aussi ma petite
culotte, juste entre mes jambes. Ils me tripotent aussi le
corps. Surtout le ventre et les seins. Ils aiment bien prendre
mes seins à pleines mains. Ou bien ils saisissent les
bouts de mes tétons entre leurs doigts et ils les pincent.
— Cela ne vous fait pas mal ?
— Si, mais cela me fait aussi du bien, j’ai comme de
grands frissons dans tout le corps. Et puis de toute façon je
ne peux rien faire. Ils font de moi ce qu’ils veulent. Ils me
tripotent partout en me disant des mots sales. Et quand ils
ont arraché ma petite culotte, ils disent que j’ai une jolie
touffe et ils tripotent mes poils, ils enfoncent leurs doigts
partout.
— Comment cela : partout ?
— Ils passent leurs doigts le long de la fente de mon sexe
et ils m’ordonnent d’écarter mes cuisses davantage. Ils
disent : " Écarte tes cuisses comme une salope " et cela
m’excite terriblement. J’ai envie de prendre des postures
obscènes et honteuses devant eux. J’aime bien qu’ils me
regardent et qu’ils me tripotent. Et puis ils écartent mes
lèvres avec leurs doigts et ils ouvrent mon sexe. Ils
enfoncent leurs doigts dedans en disant que je suis très
mouillée.
— Et vous n’avez pas honte pendant qu’ils vous font cela ?
Vous ne vous sentez pas humiliée ?
— Oh ! si ! je me sens très humiliée. Mais cela m’excite
encore davantage. Parfois ils font encore pire.
— Pire ?
— Ils me retournent, ils me couchent sur le ventre. Ils disent
qu’il veulent regarder mon cul. Et cela me choque beaucoup
qu’ils disent : mon cul. Ils prennent mes fesses à pleines
mains. Ils les pétrissent. Très fort. Et aussi ils les écartent.
Ils les écartent très fort et je sens que plus rien ne leur
cache le trou de mon derrière. Et ils me font des tas
d’autres choses.
— Quelles choses vous font-ils ?
— Ils touchent mon anus. Ils le mouillent avec leur salive.
Parfois ils y passent leur langue. Je sens qu’ils essaient
d’enfoncer leur langue dans mon derrière. Ils m’ordonnent
de pousser.
— De pousser ?
— Oui, ils me disent : " Pousse comme si tu voulais faire
caca, petite salope. " Ils veulent que mon anus s’ouvre,
parce qu’ils veulent y enfoncer leurs doigts. Je sens qu’ils
forcent violemment l’entrée de mon derrière, puis, d’un seul
coup, je sens leurs doigts à l’intérieur de mon derrière, et
cela me donne un plaisir horrible. Ils me disent que les
doigts, c’est seulement pour commencer, et qu’ensuite ils
vont m’enfoncer leur bite dans le cul. Ils disent : " leur bite ".
Et ils me demandent si je veux la voir. Sans attendre ma
réponse, ils me retournent brutalement et je vois un homme
tout près de moi qui tient dans sa main son énorme verge,
toute raide. Je vois très bien le gland bien rouge et tout
poisseux devant mon visage. Ensuite ils me remettent sur
le ventre et de nouveau je ne vois plus rien. Je sens
seulement une main qui se glisse contre mes seins et qui
les excite sans s’arrêter. Puis je sens quelque chose de
gros et de dur qui appuie sur le trou de mon derrière. Je
sais que c’est la grosse bite qu’on m’a fait voir tout à
l’heure. Le gland pèse de plus en plus fort sur mon anus.
Puis, soudain, je sens comme une grande douleur très
excitante et la verge de l’homme s’est enfoncée tout entière
dans mon ventre, pendant qu’une main tripote ma vulve en
produisant une sorte de bruit liquide, parce que ma vulve
est toute mouillée d’excitation. Et pendant que j’imagine
toutes ces cochonneries, je fais des tas de choses sur moi.
— Quelles sortes de choses faites-vous ?
— Je prends mes seins dans mes mains. Je les caresse,
je les pince, en imaginant que des gens me tripotent. Et je
me caresse le corps.
— Quelles parties de votre corps caressez-vous ?
- — Je me caresse le ventre. Et aussi les cuisses. Et entre
les cuisses. Je tripote mon sexe. Avec un doigt je cherche le
point qui est le plus sensible et je l’excite, et avec l’autre
main, je caresse les lèvres, j’entre en moi, comme si ma
main était un sexe d’homme qui me pénétrait. Et je touche
aussi mon derrière. Je mouille mon doigt et je l’enfonce
dans mon derrière, le plus profondément possible. Et
parfois aussi… Mais là, ce n’est pas dans mon lit. C’est
quand je prends ma douche. J’aime bien me sentir toute
nue sous l’eau tiède, et j’imagine qu’on se presse pour me
regarder pendant que je me lave entre les jambes. Alors
quelqu’un m’ordonne de faire pipi. Je n’ose pas le faire
parce que j’ai honte et que je trouve que c’est sale. Mais on
insiste. On me menace. On me dit qu’on veut me regarder
pisser comme une salope et que si je ne le fais pas on me
battra. Alors je fais pipi. Je sens mon pipi tout chaud
dégouliner sur mes cuisses.
Vous imaginez facilement l’état dans lequel m’avait mis
cette terrible confession. J’aurais dû depuis longtemps
interrompre le récit de ma pénitente, avant qu’elle n’entre
dans les détails les plus troublants. Mais maintenant c’était
trop tard. Je n’étais plus maître de moi. J’étais d’autant plus
excité que j’entendais, à quelques centimètres de mon
visage, sa respiration qui s’accélérait. Il était hors de doute
que ma pénitente était en train de se masturber, et
moi-même, malgré moi, j’avais libéré de mon slip ma verge
depuis longtemps en érection, et je faisais aller et venir de
plus en plus vite la peau qui recouvre mon gland.
Nous avons crié en même temps.
Après un long silence, je lui dis :
— Mon enfant, remercions le Seigneur du plaisir immense
qu’il nous a donné aujourd’hui, et demandons-lui pardon
d’avoir commis le péché de la chair. Pour moi, je vous
absous de toutes vos fautes, au nom du Père, du Fils et du
Saint Esprit, amen !
Je suis, depuis peu, curé de la paroisse de
Sainte-Madeleine. Parmi toutes les tâches que m’impose
mon saint ministère, je ne suis pas loin de considérer la
confession comme une des plus importantes. Soulager
mes frères et mes sœurs du poids de leurs péchés,
pouvoir leur pardonner au nom du Seigneur et, de cette
façon, leur redonner la vie, est pour moi non seulement un
devoir, mais une source de joie.
Cette tâche n’est pas toujours commode. Elle demande
une grande disponibilité d’esprit, de l’humilité et beaucoup
de doigté. Certains péchés ne sont pas faciles à avouer et
mon rôle consiste alors à aider mes pénitents à formuler ce
qu’ils ont parfois honte de me confier. C’est bien ce qui est
arrivé récemment avec une de mes pénitentes, une jeune
femme d’un abord assez agréable, mariée à un homme
que ses activités professionnelles obligent à de fréquentes
et longues absences. Cette dame est venue se confesser,
un matin. Voici exactement comment les choses se sont
passées, dans la pénombre de mon confessionnal.
Après avoir débité les formules habituelles, elle commença
l’aveu de ses péchés. Une liste de petits péchés d’une
grande banalité, comme j’en entends à chaque fois. Mais
soudain je la sentis hésiter. Puis elle se tut. Je
l’encourageai à poursuivre sa confession : " Avez-vous
encore quelque chose à m’avouer ? Parlez sans crainte,
mon enfant. Le Seigneur est toute bonté et il n’est de péché
qu’il ne soit disposé à vous pardonner si votre contrition est
sincère. "
Elle réussit enfin à me dire, dans un souffle : " Il m’arrive
souvent, mon Père, d’avoir de mauvaises pensées. "
— Quelle sorte de mauvaises pensées ?
— Ce sont des pensées… très sales.
— En quoi sont-elles sales ? A quelles sortes de choses
pensez-vous précisément ?
— Je pense à des choses… sexuelles. A des cochonneries
qu’on me ferait.
— Est-ce que ce sont des pensées qui vous traversent
l’esprit sans que vous y preniez garde, ou bien des
pensées sur lesquelles vous vous attardez volontairement
?
— Elles me viennent d’abord toutes seules et ensuite je m’y
attarde. Par exemple, quand je suis dans mon lit et que la
lumière est fermée, je m’imagine que des gens entrent
dans ma chambre…
— Dans votre chambre !… Quelle sorte de gens ?
— Des gens que je ne connais pas. Parfois, c’est une
seule personne, en général un homme. Parfois plusieurs
personnes, des hommes et des femmes. Ils s’approchent
silencieusement de mon lit… Ils enfoncent leurs mains
sous mon drap. Ou bien ils l’enlèvent brutalement, et je
suis toute nue devant eux, à leur merci.
— Vous dormez donc toute nue dans votre lit ?
— Non, mon Père, sauf quand il fait très chaud. En général
je mets un pyjama. Ou bien une chemise et une petite
culotte. Mais ils retroussent brutalement la chemise et ils
arrachent ma petite culotte. Parfois ils ne l’enlèvent pas
toute de suite. Mais ils écartement violemment mes
cuisses et ils les tripotent. Ils tripotent aussi ma petite
culotte, juste entre mes jambes. Ils me tripotent aussi le
corps. Surtout le ventre et les seins. Ils aiment bien prendre
mes seins à pleines mains. Ou bien ils saisissent les
bouts de mes tétons entre leurs doigts et ils les pincent.
— Cela ne vous fait pas mal ?
— Si, mais cela me fait aussi du bien, j’ai comme de
grands frissons dans tout le corps. Et puis de toute façon je
ne peux rien faire. Ils font de moi ce qu’ils veulent. Ils me
tripotent partout en me disant des mots sales. Et quand ils
ont arraché ma petite culotte, ils disent que j’ai une jolie
touffe et ils tripotent mes poils, ils enfoncent leurs doigts
partout.
— Comment cela : partout ?
— Ils passent leurs doigts le long de la fente de mon sexe
et ils m’ordonnent d’écarter mes cuisses davantage. Ils
disent : " Écarte tes cuisses comme une salope " et cela
m’excite terriblement. J’ai envie de prendre des postures
obscènes et honteuses devant eux. J’aime bien qu’ils me
regardent et qu’ils me tripotent. Et puis ils écartent mes
lèvres avec leurs doigts et ils ouvrent mon sexe. Ils
enfoncent leurs doigts dedans en disant que je suis très
mouillée.
— Et vous n’avez pas honte pendant qu’ils vous font cela ?
Vous ne vous sentez pas humiliée ?
— Oh ! si ! je me sens très humiliée. Mais cela m’excite
encore davantage. Parfois ils font encore pire.
— Pire ?
— Ils me retournent, ils me couchent sur le ventre. Ils disent
qu’il veulent regarder mon cul. Et cela me choque beaucoup
qu’ils disent : mon cul. Ils prennent mes fesses à pleines
mains. Ils les pétrissent. Très fort. Et aussi ils les écartent.
Ils les écartent très fort et je sens que plus rien ne leur
cache le trou de mon derrière. Et ils me font des tas
d’autres choses.
— Quelles choses vous font-ils ?
— Ils touchent mon anus. Ils le mouillent avec leur salive.
Parfois ils y passent leur langue. Je sens qu’ils essaient
d’enfoncer leur langue dans mon derrière. Ils m’ordonnent
de pousser.
— De pousser ?
— Oui, ils me disent : " Pousse comme si tu voulais faire
caca, petite salope. " Ils veulent que mon anus s’ouvre,
parce qu’ils veulent y enfoncer leurs doigts. Je sens qu’ils
forcent violemment l’entrée de mon derrière, puis, d’un seul
coup, je sens leurs doigts à l’intérieur de mon derrière, et
cela me donne un plaisir horrible. Ils me disent que les
doigts, c’est seulement pour commencer, et qu’ensuite ils
vont m’enfoncer leur bite dans le cul. Ils disent : " leur bite ".
Et ils me demandent si je veux la voir. Sans attendre ma
réponse, ils me retournent brutalement et je vois un homme
tout près de moi qui tient dans sa main son énorme verge,
toute raide. Je vois très bien le gland bien rouge et tout
poisseux devant mon visage. Ensuite ils me remettent sur
le ventre et de nouveau je ne vois plus rien. Je sens
seulement une main qui se glisse contre mes seins et qui
les excite sans s’arrêter. Puis je sens quelque chose de
gros et de dur qui appuie sur le trou de mon derrière. Je
sais que c’est la grosse bite qu’on m’a fait voir tout à
l’heure. Le gland pèse de plus en plus fort sur mon anus.
Puis, soudain, je sens comme une grande douleur très
excitante et la verge de l’homme s’est enfoncée tout entière
dans mon ventre, pendant qu’une main tripote ma vulve en
produisant une sorte de bruit liquide, parce que ma vulve
est toute mouillée d’excitation. Et pendant que j’imagine
toutes ces cochonneries, je fais des tas de choses sur moi.
— Quelles sortes de choses faites-vous ?
— Je prends mes seins dans mes mains. Je les caresse,
je les pince, en imaginant que des gens me tripotent. Et je
me caresse le corps.
— Quelles parties de votre corps caressez-vous ?
- — Je me caresse le ventre. Et aussi les cuisses. Et entre
les cuisses. Je tripote mon sexe. Avec un doigt je cherche le
point qui est le plus sensible et je l’excite, et avec l’autre
main, je caresse les lèvres, j’entre en moi, comme si ma
main était un sexe d’homme qui me pénétrait. Et je touche
aussi mon derrière. Je mouille mon doigt et je l’enfonce
dans mon derrière, le plus profondément possible. Et
parfois aussi… Mais là, ce n’est pas dans mon lit. C’est
quand je prends ma douche. J’aime bien me sentir toute
nue sous l’eau tiède, et j’imagine qu’on se presse pour me
regarder pendant que je me lave entre les jambes. Alors
quelqu’un m’ordonne de faire pipi. Je n’ose pas le faire
parce que j’ai honte et que je trouve que c’est sale. Mais on
insiste. On me menace. On me dit qu’on veut me regarder
pisser comme une salope et que si je ne le fais pas on me
battra. Alors je fais pipi. Je sens mon pipi tout chaud
dégouliner sur mes cuisses.
Vous imaginez facilement l’état dans lequel m’avait mis
cette terrible confession. J’aurais dû depuis longtemps
interrompre le récit de ma pénitente, avant qu’elle n’entre
dans les détails les plus troublants. Mais maintenant c’était
trop tard. Je n’étais plus maître de moi. J’étais d’autant plus
excité que j’entendais, à quelques centimètres de mon
visage, sa respiration qui s’accélérait. Il était hors de doute
que ma pénitente était en train de se masturber, et
moi-même, malgré moi, j’avais libéré de mon slip ma verge
depuis longtemps en érection, et je faisais aller et venir de
plus en plus vite la peau qui recouvre mon gland.
Nous avons crié en même temps.
Après un long silence, je lui dis :
— Mon enfant, remercions le Seigneur du plaisir immense
qu’il nous a donné aujourd’hui, et demandons-lui pardon
d’avoir commis le péché de la chair. Pour moi, je vous
absous de toutes vos fautes, au nom du Père, du Fils et du
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