Le congrès 12 Apothéose 

- Par l'auteur HDS Soumiav -
Récit érotique écrit par Soumiav [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le congrès 12      Apothéose  Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Le congrès 12 Apothéose 
……… Je ne cesse de penser à Asasi.
Quel homme respectueux, gentil doux et magnifiquement beau.
Je profite du peu de temps que j’ai avant d’aller me coucher pour aller sur le net trouver la définition de son prénom.
Il n’existe pas le prénom d’Asasi, mais ce mot signifie étalon en arabe.
Je comprend pourquoi ce prénom vu son magnifique membre.
C’est il baptisé de ce prénom par fierté ou est-ce vraiment son identité ?
Je m’en moque un peu à vrai dire, il est merveilleux.
J’ai préparé mes affaires pour demain.
Je ne me suis toujours pas changé ni lavé d’ailleurs.
Je termine ce que j’ai commencé et je m’occupe de moi après.
Mon téléphone me signale un s.m.s.
Je le lis :« -Coucou tu me manques déjà et j’ai très envie de dormir avec toi. J’ai une surprise, tu veux ? »Oh mon dieu ! Oui bien sûr j’ai très envie qu’il me prenne dans ses bras, mais…« - Tu es magique Asasi mais je travaille tôt demain je préférerai que l’on se voit dimanche prochain »« - pas avant ? »« - Non je reste la semaine chez mon patron je reviens pour Dimanche »« - je ne tiendrai jamais une semaine sans te voir ma belle ..Allez s’il te plaît te ferai pleins de bisous dans le cou et où tu voudras..Allez s’il te plaît. »« -Tu es formidable Asasi, bon d’accord tu me laisse trente minutes avant d’arriver stp. »« -Super ma belle sauf que je suis déjà en bas tu m’ouvres ? »« -Asasi !!!! suis pas lavé »« Pas grave tu ne sens pas le bouc »« - Ok monte bel homme. »A peine je lui ouvre la porte, je suis face à un grand sourire, il me tend les bras en avançant à l’intérieur.
Il m’embrasse sur la bouche en m’offrant sa langue que je prends avec la mienne.
Notre baiser dura facilement deux minutes et en même temps ses mains me caresse les seins tout doucement.
Il déboutonne mon chemisier en dentelle et continu à me caresser les seins en m’embrassant dans le cou.
Je le laisse faire c’est bon, je lui caresse d’une main son tors poilu par dessous sa chemise et de l’autre je m’occupe de son énorme sexe en érection que je caresse par dessus son pantalon. On s’embrasse langoureusement avec nos langues.
J’ai très envie de bon chocolat, je m’agenouille.
Je dégrafe sa boutonnière fait glisser son pantalon à ses pied.
Il me caresse la tête.
« -tu es belle » me dit ilje ne réponds pas je sors son sexe énorme tendu devant moi que je mets en bouche.
Je le tiens bien, je tire sur ses grosses couilles pour bien tout prendre en bouche mais il est vraiment gros.
Il essaye d’enlever son pantalon par des petits mouvements de pieds.
Je l’aide pour y arriver en continuant de me délecter de son liquide séminal bien sucré.
Il m’approche de la table du salon, m’assoit dessus.
Je continu à le sucer, il prend plaisir.
Il me dégrafe mon soutien gorge en une seconde.
Retire sa chemise.
Pour quelqu’un qui n’a pas eu de rapport depuis deux ans il est efficace.
J’ai très envie de lui faire une branlette espagnole et je m’y engage.
Je monte, je descends je le suce en point mort haut et je lui fracasse les couilles en point mort bas...
Il prend plaisir il gémit, moi aussi d’ailleurs.
J’ai très envie de son piston dans mon cylindre.
« Je vais jouir ! » me dit il Il retire sa queue de mon sillon intermammaire et me fait basculer doucement sur le dos.
Il s’accroupit, positionne ses mains sous mes cuisses qu’il écarte pour accéder à mon sillon interfessier et voir plus, mon anus.
Sa langue me fait du bien, ses doigts s’y associent, et à court terme je jouis.
Mon dieu ! il est en train de savourer le sperme du gendarme qui se réjouirai de la situation.
Sainte marie soyez avec moi, je jouis il me lèche comme jamais j’ai connu, il me donne les frissons.
Marie oh mon dieu je voyage, je ne sais pas si je hurle ou si je chante mais je suis bien, oh !mon seigneur , avec cet homme, moi ne plus avoir peur.
Il n’est pas seigneur, il est dieu et j’en pleure de bien être, j’en pleure d’amour j’en peux plus je hurle en chantant.
Et là j’entends :« ça va mon amour ? »« Oh Asasi ! Tu es merveilleux.
Je me suis envolée à mille lieux mais toujours tu as été à coté de moi »« -Asasi ! Recommence »Asasi se redresse, me propose sa grosse queue à l’entrée de ma bouche.
Bien sûr entre mon amour..
je n’ai je crois jamais autant pris mon pied à sucer que maintenant.
Comme quoi l’amour c’est important.
Je suce, j’apprécie, je savoure je me régale.
« -Asasi ! Il est minuit »« -on va se coucher et je te fais l’amour toute la nuit »« -Asasi on faisait quoi là ? »« -on faisait les préliminaires ma déesse »« Asasi ! Je n’ai pas de problème de migraine et encore moins de règles mais il faut que j’aille dormir. »Il me prend par la main, son sexe au repos prenant fin à dix centimètres de son genou.
Il cherche ma chambre qu’il trouve très rapidement vu qu'il y en a qu’une.
«  je vais me laver Asas »je trouve que Asas, c’est plus joli que Asasi.
« -Non ne vas pas te laver, tu sens bon l’amour, viens te blottir contre moi. »j’ai un passage à vide quand j’entends sa gentillesse.
Mon merveilleux Asas si tu savais…..
...si tu savais que tu as léché le sperme d’un autre, si tu savais que je suis la putain d’un autre encore.
Si tu savais qu’il n’y a que le train qui ne m’est pas passé dessus et que temps de fois je me suis jeté sur les rails.
Si tu savais qu’à l’instant présent j’ai envie de tout arrêter pour être à tes cotés.
Nous sommes couchés j ai ma tête posée dans le creux de son épaule, il m’embrasse le front, me caresse tendrement de partout.
Sa main s’arrête sur mon petit sexe, il me le caresse tendrement, il dégage délicatement ma tête de son épaule pour descendre tout doucement sous la couverture, sa bouche embrasse mon sexe qui grandit peu à peu.
Rien à voir avec le siens bien sûr.
Si le mien arrive à douze centimètres c’est le maximum, pourtant jamais une femme ne s’en ai plein à l’époque ou je refuser mon homosexualité je pense.
Hum c’est bon c’est doux, je sens qu’il m’introduit un doigt dans l’anus en me suçant.
C’est bon.
Il me positionne sur le ventre me lèche la raie interfessier en gardant une main sur mon sexe qu’il masturbe tant bien que mal avec les difficultés de la position, puis il lèche mon anus, il introduit un doigt. Habilement, hum deux doigts c’est bon. Avec délicatesse, trois doigts, ma prostate s’enflamme, je commence à sérieusement jouir.
Il me fais jouir avec ses doigts et sa langue, je jouis bruyamment.
Il ne s’aperçoit pas qu’en me léchant il avale aussi le sperme du gendarme, oh mon dieu j’ai honte.
Il continue en relevant mon fessier vers lui, sa langue explore mon anus et ses doigts s’agrippent à ma paroi prostatique, mon dieu que c’est bon « Asas ».
Il remonte tranquillement toujours de plus en plus haut mon Anus.
Je suis presque en bonne position pour une levrette et de ce faitJ’arrive à me saisir de ses énormes couilles en passant ma main entre mes jambes.
Il aime, moi aussi, je jouis fort.
Ses doigts ont cessés leur exploration, sa langue sa dégustation.
Je sens que mes cuisses s’écartent peu à peu.
Je viens de lâcher ses testicules, je sens tout doucement que mon Anus est en train de s’écarter, ses mains me caressent les mamelons, mon anus s’écarte, j’ai des frissons.
Son prépuce frappe à la porte,ma rondelle s’ouvre toute seule il à juste a rentrer.
Il n’en fini pas de rentrer, il rentre, il rentre,il rentre tout doucement puis il se retire, se retire se retire tout doucement et reviens, repars.
La cadence s’accélère un peu je suis bien je me laisse aller….
Je jouis tellement il a doublé la vitesse de ses allers retours, je l’entend haleté, gémir transpirer.
Son odeur de mâle viril en rut me fais jouir d’avantage je n’en peu plus je hurle :ça y’ est je suis tout la haut entre la douleur et le plaisir, le bonheur d’être prise un vrai homme et la douleur qui est l’irritation de mon anus qui me donne pourtant tant de plaisir.
Je lui demande en suffoquant :« - Arêtes Asas j’en peu plus »Mon étalon est lancé à vive allure il va et vient à grands coups de reins.
Le même coup de reins que le cavalier sur sa jument, il me saisie par la crinière sans me faire mal ……..
« -Ho!humhumh ho raaa ho ! c’est bon ma chérie ! »Ses soubresauts très forts laisse échapper sa semence chocolatée en moi, son orgasme dure.
Son corps à épousé le mien.
Il est bien , il est heureux, nos corps se détendent et je me retrouve sur le ventre, mon amour sur moi et son énorme queue mi molle encore dans mon anus au plus profond de moi.
Il m’embrasse tendrement, on s’endort….
C’est à quatre heure du matin que je me suis réveillé surpris d’avoir sa queue en érection d’en ma main.
« -ça va mon amour ? » me demande t’il« - Oui et toi ? »« j’ai encore envie de toi »« -Moi aussi Asas »aussitôt dit, il s’installe entre mes jambes qui positionne sur ses épaules et comme le bon militaire qu’il a été il me prend comme en missionnaire.
Il m’a donné du plaisir, mais cette fois il à jouis plus vite.
Je me réveille une seconde fois, heureuse, je m’étire, il dors encore et son sexe est déjà debout avec ses grosses testicules comme fatiguées.
J’approche ma bouche pour le sucer, j’en ai trop envie.
Je m’amuse aussi avec ses couilles.
Ça le réveille.
«- hum quel merveilleux réveil ma chérie »Je m’applique à le sucer, je suis à quatre pattes face à lui sur le lit.
Il me regarde faire je prends beaucoup de plaisir a naviguer de haut en bas de sa magnifique queue.
Il m’enlève de la bouche ma barre chocolatée,passe derrière moi, s’installe entre mes jambes.
Je comprends, laisse faire.
Mon Anus toujours ouvert à mon amour.
Mon corps cambré positionné à genou bien stable, je sens une nouvelle fois son sexe pénétrer mes entrailles.
Il me fait du bien et comme la veille: Il commence mollo et termine crescendo avec un orgasme simultané.
Ce fut merveilleux.
« Ho mon dieu ! il est six heures du matin j’ai oublié de mettre mon réveil hier au soir je suis en retard »« - ho mince ! » relique t’il « Asas fait toi un café moi je n’ai pas le temps il faut que je sois à sept heures chez mon patron mon dieu ! »Asas s’habille rapidement, il m’attend.
Moi j’enfile mes habits de la veille,ça craint suis encore une fois pas lavé.
Il est six heure trente, On se fait un bisous je ferme la porte.
« On s’appelle ce soir d’accord ? »« - Oui d’accord bisous »Je monte dans ma voiture, lui dans la sienne un magnifique 4x4 et nous prenons nos chemins à l’opposé………...

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