Le contact est-il possible entre une jeune femme et un sénior ? (Partie 3)
Récit érotique écrit par CCCandice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le contact est-il possible entre une jeune femme et un sénior ? (Partie 3)
Jour J.
Je sors des cours ce soir-là (je suis en BTS en alternance à cette époque) et me dépêche de rentrer chez moi, histoire de me préparer avant d’aller chez Bruno. Toute la journée, j’en ai mouillé ma culotte, rien que de penser a ce que nous allions faire ce soir. Dans mes pensées, tout était super et je n’imaginais pas un seul instant être déçue alors qu’en vrai…si Bruno ne me plaisait pas ? Si en fait, il se révélait être quelqu’un de mauvais ? Si quelque chose dans sa proximité physique avec lui me dérangeait? Genre sur l’hygiène ou quelque chose d’autre ? Mais ça, je n’y pense pas plus que ça ; je range tout dans un coin de ma tête en me disant qu’enfin, j’allais réaliser ce fantasme bientôt…
J’arrive chez moi, relis le mail de Bruno qui me donne son adresse, je lui répond que je suis chez lui dans une heure…je file à la douche ; la tentation de me masturber est bien trop grande mais je préfère me préserver pour plus tard. Le but de l’annonce de Bruno était de trouver « une jeune femme qui s’occuperait de lui » mais j’espère qu’il a envie aussi de s’occuper de moi. Je sors de la douche, passe une coup de rasoir sur mon pubis histoire de retirer les poils microscopiques qui s’évertuent a repousser, afin d’avoir une chatte rasée intégralement et toute douce. Je regarde mes doigts de pieds ainsi que mes mains : la veille, j’ai opté pour un vernis couleur cerise qui me va à ravir. Je ne me maquille pas plus que ça, sauf pour mes lèvres que je macule d’un rouge similaire à celui de mes ongles. Je mets un string noire à dentelle et vu le froid qui fait, je mets d’épaisses chaussettes en laine grises qui montent jusqu’en haut de mes cuisses et je choisis de mettre une robe d’hiver de couleur noire qui s’arrête a mi-cuisse. Aux pieds, j’enfile une paire de bottines en cuir noires. Dernier regard sur moi-même dans la glace avant de partir : je soulève un peu ma robe pour voir un bout de cuisse blafarde au-dessus d’une des chaussettes qui dépasse…puis je jette un œil au string quelques centimètres plus en haut. Je devrais faire mon effet à Bruno ce soir. Vérifiant dans mon sac à main que j’ai des capotes (même si je ne sais pas vraiment comment les choses vont tourner) je m’en vais.
Bruno n’habite pas très loin dans l’agglo. J’arrive dans son lotissement en moins d’un quart d’heure malgré les intempéries. Il vit dans un petit immeuble de trois étages, au dernier. Je vais vers le panneau devant l’allée avec les noms dessus et sonne au sien. J’attends. Pas de réponses. J’attends encore un peu et commence à m’inquiéter…au moment où je rapproche mon doigt du bouton, un bruit sourd retentit et m’indique que la porte s’ouvre. Je rentre dans l’allée et commence à monter les marches, stressée, je dois l’avouer. J’arrive enfin au dernier étage et sur ma gauche, une porte est entrouverte. C’est celle de son appartement. À l’intérieur, je vois une faible lumière et alors que je me rapproche doucement, j’entends une voix calme et apaisante me dire « Entre Candice, je t’en prie. » Je m’exécute donc et arrive dans l’entrée. Une odeur de renfermé me prend au nez. « Ferme derrière toi, s’il te plaît… » pareil, je referme la porte sans broncher, doucement, mon cœur tambourinant dans ma cage thoracique…
Le papier peint a bien vécu, tout comme le sol qui est un simple lino très passe de mode. Je rejoins le séjour par la droite : du même acabit que l’entrée ; très mal éclairé, tout est vieillot, les murs, le sol, les meubles. Je remarque que Bruno collectionne les bibelots tant il en a sur des étagères. Sa télé semble être le seul objet « récent » et elle diffuse actuellement des publicités. Bruno est là, debout – qu’est ce qu’il est grand – la Télécommande en main. Il coupe la télévision et se retourne vers moi : ces yeux bleus intenses me regardent avec le même air un peu désolé qu’il arbore sur sa photographie. Il n’a pas fait d’effort particulier sur un plan vestimentaire, portant une chemise à carreaux en laine, noire et blanche, entrouverte au niveau du torse et je remarque qu’il est déjà en pantalon de pyjama un peu ample. Il a des pantoufles aux pieds…je cache pas que je m’attendais à un poil mieux mais de toute façon ça n’est pas très grave, ce n’est pas ça qui compte. « enfin nous nous rencontrons, Belle Candice » dit il en me tendant une main fripée et vieille. Je lui tend la mienne, jeune et lisse et il se penche en avant pour me donner un baisemain, signe de galanterie d’une autre époque. Je rougis, il s’en rend compte et me décoche un sourire, le premier, beau mais triste à la fois et il me fait signe de m’asseoir dans son canapé troué d’usure mais je dit : « vous voulez que j’aille nous chercher quelque chose à boire avant, Monsieur ? » J’ai dit ça subitement, me rappelant qu’il voulait qu’on « s’occupe de lui » malgré sa grande taille, je trouve qu’il fait un peu plus fragile en vrai, dans son pyjama, pas comme sur sa photo. rayonne tout à coup et me dit : « oui je veux bien un grand verre d’eau. Prends-toi ce que tu veux, je ne bois pas d’alcool personnellement… » Je me dirige de l’autre côté de l’appartement et vois vite fait dans un miroir avant de sortir du salon qu’il mate mon cul avec insistance…Je reviens et m’assois à ses côtés. Il a retiré ses pantoufles. On boit un coup : j’ai pris un verre de vin. Il me fixe du regard mais pas avec un air dégoûtant comme certains pervers dans le bus par exemple ; il m’analyse respectueusement. Comme s’il cherchait a me sonder…je brise le silence : « vous..habitez ici depuis longtemps ? » Il répond : « depuis mon enfance. Maman est décédée il y a bientôt six ans et je suis tout seul maintenant. » Il avait dit ça d’une drôle de façon, d’une voix très incertaine et nous continuons la discussion. C’est moi qui parle, lui cherche à me connaître un peu mieux en posant quelques questions; je lui explique que je suis au lycée, que je travaille dans un fast food à côté pour me payer mon loyer et mes factures. Il ne parle pas beaucoup mais fait quelques commentaires parfois. Quand il me parle néanmoins, je décèle quelque chose, comme une profonde fêlure, une fragilité, j’en arrive même à me demander si il n’est pas « handicapé ». J’hésite d’un coup à aller un peu plus loin mais en même temps, son regard posé sur moi me fait un puissant effet et me donne envie de lui faire plaisir.
A un moment, un petit blanc s’installe entre nous et je décide de me lancer : « Bruno…euh Monsieur. Qu’est ce que je peux faire pour vous ? » Je lui demande ça, le visage en feu, un peu gêné. Je le vois qui cligne rapidement des yeux et semble s’affoler. Je prends les devants : je me lève et ramasse son verre d’eau sur la table basse en prenant soin de bien me pencher en avant tout en le matant de mon plus beau regard… Il jette un œil sur mon cul, très légèrement dévoilé alors que ma robe remonte un peu. Il se mord doucement la lèvre inférieure, je sens qu’il commence à être chaud…je pivote vers lui en lui tournant le dos et j'insiste en me penchant, les mains posées sur le verre dd la table basse. Je l’entend respirer de plus en plus vite. Il me murmure : « Candice…puis’je ? » J’approuve en me penchant un peu plus et en relevant de quelques centimètres ma robe, lui laissant voir mes fesses et le string, au dessus de mes longues chaussettes en laine. « merveilleux… » lâche-t-il dans un souffle et je sens très délicatement ses mains, glacées, se poser sur mes hanches bien charpentées. Le cœur battant, je suis maintenant totalement courbée vers l' avant, mon cul en offrande à Bruno. je ne sais pas ce qu’il compte faire et j’attends, le regard posé au hasard dans son salon. Je suis à sa merci…Je pourrais tenter un regard en arrière, pour voir ce qu’il fait mais je suis toute excitée à l’idée de ne pas voir. J’attends de sentir. C’est tellement bon ! Je sens que je mouille abondamment dans mon string, bien plus avec ce vieux bonhomme de 70 ans passés qui n’a fait qu'effleurer mes hanches qu’avec Nico quelques jours auparavant, qui m’a prise comme sa chienne. J’entends un froissement derrière moi, je devine ce qu’il fait : il a baissé son pantalon, je le vois d’ailleurs sur le lino en jetant un rapide coup d’œil entre mes mollets. Et là, ses mains toujours sur mes hanches, à présent réchauffées, commencent à s’activer : il me caresse tout doucement, de haut en bas, et prend soin de rester sur mes grosses hanches. Je l’entend respirer fortement tandis qu’il me caresse doucement, comme s’il profitait de chaque mouvement. J’adore ça, cette lenteur dans ses gestes me fait monter une de ces envies…je sens maintenant un souffle chaud au niveau de mes fesses et je comprends qu’il a rapproché sa bouche. Sa main droite s’empare de la ficelle de mon string et la fait pivoter. Il rapproche encore ses lèvres sur ma raie, mon cœur s’accélère. Je sens ses lèvres se poser entre mes deux fesses, je lâche un court gémissement dans un léger souffle. C'est maintenant sa langue, humide et chaude, que je sens m’effleurer la raie. C’est tellement bon, je l’entends distinctement se branler, son autre main baisse légèrement mon string pour lui libérer le chemin et il caresse mes fesses avec. Il embrasse délicatement ma peau blanche, y dépose plusieurs baisers et approche le bout de son nez sur ma raie, au niveau de mon petit trou. Il me dit simplement : « Candice, puis’je ? » sans savoir ce qu’il veut exactement faire, je lui réponds : « Tout ce que vous voudrez. Monsieur ». Il me prend les fesses de ses deux grandes mains et les écarte. Il rapproche son nez qu’il met clairement contre mon anus et je l’entends lâcher dans un chuchotement : « Oh oui… ». Je me cambre encore un peu en avant en fléchissant mes genoux. De sa main gauche il agrippe ma fesses qu’il décale au max pour avoir le champs libre sur mon anus. Sa main droite, elle, retourne sur son membre j’imagine. Intérieurement, je commence à brûler.
Je sens sa langue se poser sur mon trou et remonter dans ma raie. Je gémis de nouveau, un poil plus fort ce coup-ci. Je mords ma langue inférieure, j’ai envie d’être sa chienne, j’ai envie d’être tout à lui mais une autre partie de moi se délecte de ce rythme lent qu’il met en place. Je positionne ma main droite sur mon clito et commence à m’effleurer doucement en soupirant de plaisir, de plus en plus vite et de plus en plus fort au fur et à mesure que Bruno utilise sa langue de haut en bas. Lorsqu’il reste concentré sur mon trou qu’il lèche frénétiquement, je gémis pour de bon cette fois et lâche un « Oui » haut perché et rapide tout en accélérant la masturbation de mon clitoris. Bruno pousse sa langue tout en me léchant mon petit trou et j’en sent juste le bout me pénétrer. Mon cœur battant la chamade, essayant de ne pas exulter, je respire de plus en plus vite dans un plaisir dingue et relève la tête comme si j’allais aboyer. Il me fais un bien fou, je suis trempé sur le bout de mes doigts, je vais de plus en plus vite, lui aussi car j’entends de légers râles au rythme calqué sur mes soupirs. Il déguste mon cul à pleine bouche maintenant, sors sa langue et la rentre à nouveau, me lèche toute la raie et descend finalement Jusqu’à ma chatte juteuse, qu’il lape goulûment . Comme pour mon anus, il rentre sa langue dedans et cette fois-ci, c’est sans difficultés et pas juste le bout ! Le summum est atteint à ce moment-là : je pousse un léger, tout petit cri de plaisir aiguë et je tombe sur la table basse à genoux, je me recroqueville et jouis intensément. En train de reprendre mon souffle, j'entends un bruit comme si Bruno s’etouffait ; il était en train de jouir lui aussi. Tout essoufflée, je me redresse sans pour autant me tourner vers lui. Je constate que j’ai énormément mouillé sur le verre de sa table basse. Je sens que mes joues sont en feu et je remonte remet mon string, redescend ma robe et je lui dit, dos tourné toujours : « Désolé Monsieur, je vais nettoyer… ». Il me répond, tandis que j’entends qu’il remonte son pyjama, d’un ton essoufflé : « Non Candice, je m’en occuperai. Pourrais-tu m’apporter un verre d’eau, s’il te plaît ? » « Tout de suite Monsieur ». Je traverse son séjour et je vais dans la cuisine. Arrivée devant l’évier, je sens quelque chose a l’arrière de ma cuisse droite. Je pose ma main et constate que ma chaussette en laine est trempée, je regarde : elle est couverte du sperme de Bruno. Je porte mon doigt jusqu’à mon nez et hume l’arôme significatif de son jus. Je me sens épuisée mais j’ai adoré ce « contact ». . Mais, je me vois mal aller plus loin, c’était très intense et quelque part au fond de moi, je crains que le plaisir soit gâché si je tente quelque chose de plus.
Je retourne au salon, Bruno a une bosse dans son pantalon de pyjama, il bande encore comme un âne et je me demande à quoi ressemble son membre. En tous cas, il a l’air plutôt bien monté. Je regarde son visage : il y a une lueur un peu plus joyeuse dans son regard et il me sourit de nouveau. Ses joues, encore rouge, témoignent que pour lui, ça avait dû être encore plus intense avec son âge. Je m’assois à ses côtés, on ne se regarde pas, je sens qu’il est encore essoufflé mais il brise le silence : « Candice, merci ! C’était…divin. Oui. C’est le mot. Divin. » En regardant dans le vide également, je lui dit : « Ça faisait longtemps que je n’avais pas autant pris de plaisir. Monsieur. » Il me regarde cette fois-ci, je croise également son regard mais rapidement, je le détourne, un peu mal a l’aise. « Je vais devoir y aller, Monsieur… » lui dis-je. Il me répond, de son air posé : « Bien sûr, je comprends… » Je me lève et décide quand même de ramener les verres à la cuisine. Lorsque je retourne dans le séjour, je n’ai que mon manteau a enfiler et à mon sac à prendre. Je fais tout ça sans lui accorder de regard et je sens que lui me contemple. Je relève la tête : « Monsieur. Bonne nuit à vous… » il me dit : « Candice, est-ce que tu…reviendra ? » je baisse les yeux sur le lino et réfléchis, tout en connaissant déjà la réponse. Mais surtout, je me baisse : je descend mon string le long de mes jambes et le ramasse. Je retraverse le salon tamisé et en regardant Bruno, je le pose sur la table basse. « je le récupère la prochaine fois…Monsieur ? » Son regard s’éclaire d’un coup, comme s’il n’en croyait pas un mot : « Merci ! Tu es…Candice, merci ! J’ai hâte qu’on puisse se revoir. « Moi aussi. Monsieur. » je le regarde une dernière fois et file pour sortir de son appartement et rejoindre la nuit froide et ma voiture.
Je sors des cours ce soir-là (je suis en BTS en alternance à cette époque) et me dépêche de rentrer chez moi, histoire de me préparer avant d’aller chez Bruno. Toute la journée, j’en ai mouillé ma culotte, rien que de penser a ce que nous allions faire ce soir. Dans mes pensées, tout était super et je n’imaginais pas un seul instant être déçue alors qu’en vrai…si Bruno ne me plaisait pas ? Si en fait, il se révélait être quelqu’un de mauvais ? Si quelque chose dans sa proximité physique avec lui me dérangeait? Genre sur l’hygiène ou quelque chose d’autre ? Mais ça, je n’y pense pas plus que ça ; je range tout dans un coin de ma tête en me disant qu’enfin, j’allais réaliser ce fantasme bientôt…
J’arrive chez moi, relis le mail de Bruno qui me donne son adresse, je lui répond que je suis chez lui dans une heure…je file à la douche ; la tentation de me masturber est bien trop grande mais je préfère me préserver pour plus tard. Le but de l’annonce de Bruno était de trouver « une jeune femme qui s’occuperait de lui » mais j’espère qu’il a envie aussi de s’occuper de moi. Je sors de la douche, passe une coup de rasoir sur mon pubis histoire de retirer les poils microscopiques qui s’évertuent a repousser, afin d’avoir une chatte rasée intégralement et toute douce. Je regarde mes doigts de pieds ainsi que mes mains : la veille, j’ai opté pour un vernis couleur cerise qui me va à ravir. Je ne me maquille pas plus que ça, sauf pour mes lèvres que je macule d’un rouge similaire à celui de mes ongles. Je mets un string noire à dentelle et vu le froid qui fait, je mets d’épaisses chaussettes en laine grises qui montent jusqu’en haut de mes cuisses et je choisis de mettre une robe d’hiver de couleur noire qui s’arrête a mi-cuisse. Aux pieds, j’enfile une paire de bottines en cuir noires. Dernier regard sur moi-même dans la glace avant de partir : je soulève un peu ma robe pour voir un bout de cuisse blafarde au-dessus d’une des chaussettes qui dépasse…puis je jette un œil au string quelques centimètres plus en haut. Je devrais faire mon effet à Bruno ce soir. Vérifiant dans mon sac à main que j’ai des capotes (même si je ne sais pas vraiment comment les choses vont tourner) je m’en vais.
Bruno n’habite pas très loin dans l’agglo. J’arrive dans son lotissement en moins d’un quart d’heure malgré les intempéries. Il vit dans un petit immeuble de trois étages, au dernier. Je vais vers le panneau devant l’allée avec les noms dessus et sonne au sien. J’attends. Pas de réponses. J’attends encore un peu et commence à m’inquiéter…au moment où je rapproche mon doigt du bouton, un bruit sourd retentit et m’indique que la porte s’ouvre. Je rentre dans l’allée et commence à monter les marches, stressée, je dois l’avouer. J’arrive enfin au dernier étage et sur ma gauche, une porte est entrouverte. C’est celle de son appartement. À l’intérieur, je vois une faible lumière et alors que je me rapproche doucement, j’entends une voix calme et apaisante me dire « Entre Candice, je t’en prie. » Je m’exécute donc et arrive dans l’entrée. Une odeur de renfermé me prend au nez. « Ferme derrière toi, s’il te plaît… » pareil, je referme la porte sans broncher, doucement, mon cœur tambourinant dans ma cage thoracique…
Le papier peint a bien vécu, tout comme le sol qui est un simple lino très passe de mode. Je rejoins le séjour par la droite : du même acabit que l’entrée ; très mal éclairé, tout est vieillot, les murs, le sol, les meubles. Je remarque que Bruno collectionne les bibelots tant il en a sur des étagères. Sa télé semble être le seul objet « récent » et elle diffuse actuellement des publicités. Bruno est là, debout – qu’est ce qu’il est grand – la Télécommande en main. Il coupe la télévision et se retourne vers moi : ces yeux bleus intenses me regardent avec le même air un peu désolé qu’il arbore sur sa photographie. Il n’a pas fait d’effort particulier sur un plan vestimentaire, portant une chemise à carreaux en laine, noire et blanche, entrouverte au niveau du torse et je remarque qu’il est déjà en pantalon de pyjama un peu ample. Il a des pantoufles aux pieds…je cache pas que je m’attendais à un poil mieux mais de toute façon ça n’est pas très grave, ce n’est pas ça qui compte. « enfin nous nous rencontrons, Belle Candice » dit il en me tendant une main fripée et vieille. Je lui tend la mienne, jeune et lisse et il se penche en avant pour me donner un baisemain, signe de galanterie d’une autre époque. Je rougis, il s’en rend compte et me décoche un sourire, le premier, beau mais triste à la fois et il me fait signe de m’asseoir dans son canapé troué d’usure mais je dit : « vous voulez que j’aille nous chercher quelque chose à boire avant, Monsieur ? » J’ai dit ça subitement, me rappelant qu’il voulait qu’on « s’occupe de lui » malgré sa grande taille, je trouve qu’il fait un peu plus fragile en vrai, dans son pyjama, pas comme sur sa photo. rayonne tout à coup et me dit : « oui je veux bien un grand verre d’eau. Prends-toi ce que tu veux, je ne bois pas d’alcool personnellement… » Je me dirige de l’autre côté de l’appartement et vois vite fait dans un miroir avant de sortir du salon qu’il mate mon cul avec insistance…Je reviens et m’assois à ses côtés. Il a retiré ses pantoufles. On boit un coup : j’ai pris un verre de vin. Il me fixe du regard mais pas avec un air dégoûtant comme certains pervers dans le bus par exemple ; il m’analyse respectueusement. Comme s’il cherchait a me sonder…je brise le silence : « vous..habitez ici depuis longtemps ? » Il répond : « depuis mon enfance. Maman est décédée il y a bientôt six ans et je suis tout seul maintenant. » Il avait dit ça d’une drôle de façon, d’une voix très incertaine et nous continuons la discussion. C’est moi qui parle, lui cherche à me connaître un peu mieux en posant quelques questions; je lui explique que je suis au lycée, que je travaille dans un fast food à côté pour me payer mon loyer et mes factures. Il ne parle pas beaucoup mais fait quelques commentaires parfois. Quand il me parle néanmoins, je décèle quelque chose, comme une profonde fêlure, une fragilité, j’en arrive même à me demander si il n’est pas « handicapé ». J’hésite d’un coup à aller un peu plus loin mais en même temps, son regard posé sur moi me fait un puissant effet et me donne envie de lui faire plaisir.
A un moment, un petit blanc s’installe entre nous et je décide de me lancer : « Bruno…euh Monsieur. Qu’est ce que je peux faire pour vous ? » Je lui demande ça, le visage en feu, un peu gêné. Je le vois qui cligne rapidement des yeux et semble s’affoler. Je prends les devants : je me lève et ramasse son verre d’eau sur la table basse en prenant soin de bien me pencher en avant tout en le matant de mon plus beau regard… Il jette un œil sur mon cul, très légèrement dévoilé alors que ma robe remonte un peu. Il se mord doucement la lèvre inférieure, je sens qu’il commence à être chaud…je pivote vers lui en lui tournant le dos et j'insiste en me penchant, les mains posées sur le verre dd la table basse. Je l’entend respirer de plus en plus vite. Il me murmure : « Candice…puis’je ? » J’approuve en me penchant un peu plus et en relevant de quelques centimètres ma robe, lui laissant voir mes fesses et le string, au dessus de mes longues chaussettes en laine. « merveilleux… » lâche-t-il dans un souffle et je sens très délicatement ses mains, glacées, se poser sur mes hanches bien charpentées. Le cœur battant, je suis maintenant totalement courbée vers l' avant, mon cul en offrande à Bruno. je ne sais pas ce qu’il compte faire et j’attends, le regard posé au hasard dans son salon. Je suis à sa merci…Je pourrais tenter un regard en arrière, pour voir ce qu’il fait mais je suis toute excitée à l’idée de ne pas voir. J’attends de sentir. C’est tellement bon ! Je sens que je mouille abondamment dans mon string, bien plus avec ce vieux bonhomme de 70 ans passés qui n’a fait qu'effleurer mes hanches qu’avec Nico quelques jours auparavant, qui m’a prise comme sa chienne. J’entends un froissement derrière moi, je devine ce qu’il fait : il a baissé son pantalon, je le vois d’ailleurs sur le lino en jetant un rapide coup d’œil entre mes mollets. Et là, ses mains toujours sur mes hanches, à présent réchauffées, commencent à s’activer : il me caresse tout doucement, de haut en bas, et prend soin de rester sur mes grosses hanches. Je l’entend respirer fortement tandis qu’il me caresse doucement, comme s’il profitait de chaque mouvement. J’adore ça, cette lenteur dans ses gestes me fait monter une de ces envies…je sens maintenant un souffle chaud au niveau de mes fesses et je comprends qu’il a rapproché sa bouche. Sa main droite s’empare de la ficelle de mon string et la fait pivoter. Il rapproche encore ses lèvres sur ma raie, mon cœur s’accélère. Je sens ses lèvres se poser entre mes deux fesses, je lâche un court gémissement dans un léger souffle. C'est maintenant sa langue, humide et chaude, que je sens m’effleurer la raie. C’est tellement bon, je l’entends distinctement se branler, son autre main baisse légèrement mon string pour lui libérer le chemin et il caresse mes fesses avec. Il embrasse délicatement ma peau blanche, y dépose plusieurs baisers et approche le bout de son nez sur ma raie, au niveau de mon petit trou. Il me dit simplement : « Candice, puis’je ? » sans savoir ce qu’il veut exactement faire, je lui réponds : « Tout ce que vous voudrez. Monsieur ». Il me prend les fesses de ses deux grandes mains et les écarte. Il rapproche son nez qu’il met clairement contre mon anus et je l’entends lâcher dans un chuchotement : « Oh oui… ». Je me cambre encore un peu en avant en fléchissant mes genoux. De sa main gauche il agrippe ma fesses qu’il décale au max pour avoir le champs libre sur mon anus. Sa main droite, elle, retourne sur son membre j’imagine. Intérieurement, je commence à brûler.
Je sens sa langue se poser sur mon trou et remonter dans ma raie. Je gémis de nouveau, un poil plus fort ce coup-ci. Je mords ma langue inférieure, j’ai envie d’être sa chienne, j’ai envie d’être tout à lui mais une autre partie de moi se délecte de ce rythme lent qu’il met en place. Je positionne ma main droite sur mon clito et commence à m’effleurer doucement en soupirant de plaisir, de plus en plus vite et de plus en plus fort au fur et à mesure que Bruno utilise sa langue de haut en bas. Lorsqu’il reste concentré sur mon trou qu’il lèche frénétiquement, je gémis pour de bon cette fois et lâche un « Oui » haut perché et rapide tout en accélérant la masturbation de mon clitoris. Bruno pousse sa langue tout en me léchant mon petit trou et j’en sent juste le bout me pénétrer. Mon cœur battant la chamade, essayant de ne pas exulter, je respire de plus en plus vite dans un plaisir dingue et relève la tête comme si j’allais aboyer. Il me fais un bien fou, je suis trempé sur le bout de mes doigts, je vais de plus en plus vite, lui aussi car j’entends de légers râles au rythme calqué sur mes soupirs. Il déguste mon cul à pleine bouche maintenant, sors sa langue et la rentre à nouveau, me lèche toute la raie et descend finalement Jusqu’à ma chatte juteuse, qu’il lape goulûment . Comme pour mon anus, il rentre sa langue dedans et cette fois-ci, c’est sans difficultés et pas juste le bout ! Le summum est atteint à ce moment-là : je pousse un léger, tout petit cri de plaisir aiguë et je tombe sur la table basse à genoux, je me recroqueville et jouis intensément. En train de reprendre mon souffle, j'entends un bruit comme si Bruno s’etouffait ; il était en train de jouir lui aussi. Tout essoufflée, je me redresse sans pour autant me tourner vers lui. Je constate que j’ai énormément mouillé sur le verre de sa table basse. Je sens que mes joues sont en feu et je remonte remet mon string, redescend ma robe et je lui dit, dos tourné toujours : « Désolé Monsieur, je vais nettoyer… ». Il me répond, tandis que j’entends qu’il remonte son pyjama, d’un ton essoufflé : « Non Candice, je m’en occuperai. Pourrais-tu m’apporter un verre d’eau, s’il te plaît ? » « Tout de suite Monsieur ». Je traverse son séjour et je vais dans la cuisine. Arrivée devant l’évier, je sens quelque chose a l’arrière de ma cuisse droite. Je pose ma main et constate que ma chaussette en laine est trempée, je regarde : elle est couverte du sperme de Bruno. Je porte mon doigt jusqu’à mon nez et hume l’arôme significatif de son jus. Je me sens épuisée mais j’ai adoré ce « contact ». . Mais, je me vois mal aller plus loin, c’était très intense et quelque part au fond de moi, je crains que le plaisir soit gâché si je tente quelque chose de plus.
Je retourne au salon, Bruno a une bosse dans son pantalon de pyjama, il bande encore comme un âne et je me demande à quoi ressemble son membre. En tous cas, il a l’air plutôt bien monté. Je regarde son visage : il y a une lueur un peu plus joyeuse dans son regard et il me sourit de nouveau. Ses joues, encore rouge, témoignent que pour lui, ça avait dû être encore plus intense avec son âge. Je m’assois à ses côtés, on ne se regarde pas, je sens qu’il est encore essoufflé mais il brise le silence : « Candice, merci ! C’était…divin. Oui. C’est le mot. Divin. » En regardant dans le vide également, je lui dit : « Ça faisait longtemps que je n’avais pas autant pris de plaisir. Monsieur. » Il me regarde cette fois-ci, je croise également son regard mais rapidement, je le détourne, un peu mal a l’aise. « Je vais devoir y aller, Monsieur… » lui dis-je. Il me répond, de son air posé : « Bien sûr, je comprends… » Je me lève et décide quand même de ramener les verres à la cuisine. Lorsque je retourne dans le séjour, je n’ai que mon manteau a enfiler et à mon sac à prendre. Je fais tout ça sans lui accorder de regard et je sens que lui me contemple. Je relève la tête : « Monsieur. Bonne nuit à vous… » il me dit : « Candice, est-ce que tu…reviendra ? » je baisse les yeux sur le lino et réfléchis, tout en connaissant déjà la réponse. Mais surtout, je me baisse : je descend mon string le long de mes jambes et le ramasse. Je retraverse le salon tamisé et en regardant Bruno, je le pose sur la table basse. « je le récupère la prochaine fois…Monsieur ? » Son regard s’éclaire d’un coup, comme s’il n’en croyait pas un mot : « Merci ! Tu es…Candice, merci ! J’ai hâte qu’on puisse se revoir. « Moi aussi. Monsieur. » je le regarde une dernière fois et file pour sortir de son appartement et rejoindre la nuit froide et ma voiture.
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