Le contact est-il possible entre une jeune femme et un sénior ? (Partie 4)
Récit érotique écrit par CCCandice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le contact est-il possible entre une jeune femme et un sénior ? (Partie 4)
Ce soir-là, j’ai beaucoup de mal à réaliser ce qui vient de se dérouler, plus tôt cet après midi, mais chaque fois que j’y repense, je sens une douce chaleur m’emplir tout le bas du ventre et ma chatte s’humidifier. J’ai effectué le trajet retour sans culotte et le siège de ma voiture pouvait témoigner à quel point j’ai mouillé longuement encore sur le retour. Je suis assise à mon bureau dans mon minuscule studio d’étudiante et impossible de me concentrer sur mes cours…il faut pourtant que je bosse, ayant une grosse intéro le lendemain mais impossible de penser à autre chose qu’a cet instant : l’odeur du renfermé, la lumière tamisée, ma position sur la table basse et Bruno, me dévorant chacun de mes trous. Je lis sans lire mon manuel d’histoire et ça m’excite de repenser au souffle chaud de Bruno ainsi qu’à la moiteur de sa langue en moi. J’en veux encore. Je…oui, je crois même que j’en veux plus. Maintenant.
Sur mon PC, je quitte le site de dates historiques dont j’ai besoin pour demain et file sur Laposte.net espace mails. Je consulte tout ça, constate encore le grand nombre de nouveaux mails des mâles en rut qui me harcèlent et dans tout ce fatras, je tombe sur un mail de Bruno. Je l’ouvre. C’est un simple « merci » ainsi qu’un numéro de téléphone suivi d’un « ce sera plus simple pour nos futurs échanges, belle Candice. Bonne nuit, repose-toi bien. » je sens mon cœur se soulever et je souris. Oui, un sourire sincère. Je décide immédiatement d’envoyer un SMS à Bruno pour lui transmettre mon numéro. Je repose mon téléphone dans la foulée et fait semblant de me remettre au travail mais une seule chose m’obsède : une réponse de Bruno. Je ne me concentre que sur mon téléphone et attend. Je regarde l’heure : 22H30. Je me dit qu’il est peut être couché à cette heure-là et une idée me traverse la tête : si je l’appelais ? J’hésite, n’est ce pas un peu trop intrusif de ma part ? Je me dis que je vais attendre demain et essaye de me remettre sur mon intéro d’histoire…5h30 du matin, je me réveille avec une envie pressante. Je fonce aux toilettes. En retournant me coucher, je décide cependant de consulter mon téléphone et quelle joie de constater que Bruno m’a répondu, quelques dizaines de minutes avant mon réveil ! Je me dis que je dois dormir, être en forme pour l’intero mais c’est plus fort que moi…aucun mec jusqu’ici ne m’avait fait faire ce genre de chose mais je me dis que je vais lui répondre et si jamais il est debout, je passe le voir avant le contrôle d’histoire. Il me dit : « Merci Candice, j’espère qu’on se reparle bientôt. » j’écris : « Bonjour Monsieur…je me permets de vous contacter parce que je viens de voir que vous m’avez écrit à 5H. Je commence les cours à 8H. Est-ce que vous voudriez que je passe vous voir ? » Je repose mon téléphone, j’attends. Impossible de me rendormir. Le temps passe : 6H. 6h30. 7h…je me dis qu’il a dû se recoucher…tant pis. Au moment ou je me lève pour aller me préparer, SMS. C’est lui : « Désolé, je m’étais rendormi. Viens quand tu veux Candice, je suis réveillé. » Je regarde dans le vide et…je me dépêche de sortie du lit.
Je me gare sur le parking de la copropriété de Bruno à 7h25, je dois être au bahut pour 8H afin de passer mon intéro. Je sors de la voiture, vêtu d’une jupe noire en coton et de bas. En dessous, je devais porter un string rouge mais…je l’ai laissé dans la boîte à gants. Je porte les mêmes bottines que la veille et j’ai sous mon manteau un pull en laine rouge décolleté sur ma plantureuse poitrine, tenue par un soutien-gorge à dentelles noire. Je fonce vers l’interphone, sonne, la porte s’ouvre rapidement. Je fonce dans l’allée et monte les marches 4 à 4 pour arriver au dernier étage. Là encore, la porte est entrouverte et la lumière tamisée. J’entre. Bruno est dans l’entrée cette fois, vêtu d’un peignoir. Il me regarde. Ses grands yeux me troublent une fois de plus. Nous échangeons un long regard tous les deux et il me dit « Candice » je lui retourne un « Monsieur… » et je m’avance doucement vers lui. Il me contemple de bas en haut, ça me fait beaucoup d’effet. Il détourne le regard, gêné. Je sens toute sa vulnérabilité soudain. Je m’avance encore et prend une de ses mains que je place sur mon pull, au niveau de mon sein droit dont je sens le mamelon durcir d’un coup…Bruno rougit, je le vois malgré la pénombre et je sens que sa main se détend peu à peu…Je décide de retirer mon sein de sa baleine de soutif et l’exposer par-dessus mon décolleté. « Allez’y monsieur… ». Il respire de plus en plus vite, je sens son haleine me parvenir. Je recule afin de m’adosser au mur de l’entrée. Il suit le mouvement toujours en regardant ailleurs sauf qu’au dernier moment, lorsque mes fesses et mon dos s’appuient sur le mur, il pose ses yeux dans les miens puis sur mon sein. Je le sens tout affolé et là, il s’anime soudain : il se jette presque dessus, me suçant ‘le téton comme un bébé affamé. De son autre main, il descend sur ma jupe et cherche ma zone humide : il la trouve directement et la caresse. Je sens que je ruisselle sur ses doigts et mon souffle s’accélère d’un coup alors qu’il alterne entre sucer mon téton et le mordiller sans que cela ne me fasse mal, bien au contraire : je me sens partir. Un de ses doigts me pénètre sans sommation et je pousse un petit cri de plaisir. Il fouille à l’intérieur de ma chatte et je lève la tête en respirant fort. Il m’embrasse dans le cou à présent, tendrement, me passe sa langue, je crois que je suis en train de devenir folle, d’autant que ses doigts vont de plus en plus profond en moi, je les sens aller et venir dans tous les sens. Sans réfléchir, je décide de tâter son entrejambe d’une main délicate sous son peignoir : il est nu en dessous. Intégralement. Je touche son sexe en érection, je le découvre en ouvrant son peignoir : il est pâle, quelque peu fripé mais pourvu d’un gland violacé, vigoureux, qui pointe en avant. Enfin je touche son sexe ! Fin mais long, ma petite main seule n’arrive qu’à l’empoigner de moitié et je le caresse de bas en haut, sans pour autant le branler pour le moment. Je vois Bruno soupirer de plaisir en me mordant dans le cou, j’agrippe ses cheveux blancs de ma main libre quand tout à coups…Un cliquetis se fait entendre dans la porte d’entrée, juste à côté de nous. Surprise, je m’écarte de Bruno et remet comme je peux mon sein dans mon soutien-gorge. La porte s’ouvre et une jeune femme noire, grande et élégante, fait son apparition. Elle ne me voit pas dans un premier temps car je me suis écartée. Elle s’exclame : « Bah alors monsieur, on n’y voit rien chez vous encore ! » Elle éclaire le couloir ; le sexe de Bruno, en érection, fait une bosse sous le peignoir. Je vois ses cheveux blanc en bataille et il est essoufflé. La femme remarque ma présence, je suis certaine que je ne suis pas plus présentable que lui. Elle me regarde sans aucune expression, longtemps, me dévisage même et je comprends qu’elle a compris ce que je faisais là. Elle me dit alors : « bonjour, je peux savoir qui vous êtes ? » Bruno se racle la gorge, la femme le regarde mais je décide de tenter quelque chose : « C’est mon grand oncle…euh l’oncle de mon père. Je passais dans le coin puis je me suis dit que j’allais rendre visite à mon tonton préféré. » Bruno hocha frénétiquement la tête et confirma : « Oui, tout à fait. » La femme, dont j’ignorais encore l’identité, nous regarde â tour de rôle et je vois bien qu’elle n’est pas convaincue. Très gênée, je décide de ramasser mon manteau jeté à même le sol et me tourner vers la porte : « Tonton, à bientôt ! Madame ! Au plaisir ! » La femme me regarde avec un air suspicieux et ne dit rien.
Je ressors en claquant la porte et descend les escaliers quatre à quatre, je regarde l’heure en même temps : 7h56. Je suis en retard pour mon intéro mais le plus important, c’est la honte que j’éprouve de m’être faite surprendre avec Bruno ! Et qui est cette femme ? J’ai l’impression qu’elle venait pour une prestation ou quelque chose dans ce goût là…quoi qu’il en soit, morte de honte et gênée comme jamais, je mets le contact de ma voiture et me met en route vers le lycée. Tout le long du trajet, je regarde mon visage : mes cheveux sont en bataille et j’ai des rougeurs dans le cou mais le pire, c’est mon décolleté : je remarque à peine qu’il était tout en travers et qu’on voyait une grande partie de mon soutien gorge. Je rougis encore de honte. J’arrive sur le parking du bahut, je sors à la hâte, encore éprouvée à la fois par l’intensité de ce contact avec Bruno et par la gêne que je ressens encore. J’arrive dans la salle d’exam avec 17 minutes de retard et alors que je sors un stylo de ma trousse je me rends compte de quelque chose : j’ai oublié de remettre mon string.
Sur mon PC, je quitte le site de dates historiques dont j’ai besoin pour demain et file sur Laposte.net espace mails. Je consulte tout ça, constate encore le grand nombre de nouveaux mails des mâles en rut qui me harcèlent et dans tout ce fatras, je tombe sur un mail de Bruno. Je l’ouvre. C’est un simple « merci » ainsi qu’un numéro de téléphone suivi d’un « ce sera plus simple pour nos futurs échanges, belle Candice. Bonne nuit, repose-toi bien. » je sens mon cœur se soulever et je souris. Oui, un sourire sincère. Je décide immédiatement d’envoyer un SMS à Bruno pour lui transmettre mon numéro. Je repose mon téléphone dans la foulée et fait semblant de me remettre au travail mais une seule chose m’obsède : une réponse de Bruno. Je ne me concentre que sur mon téléphone et attend. Je regarde l’heure : 22H30. Je me dit qu’il est peut être couché à cette heure-là et une idée me traverse la tête : si je l’appelais ? J’hésite, n’est ce pas un peu trop intrusif de ma part ? Je me dis que je vais attendre demain et essaye de me remettre sur mon intéro d’histoire…5h30 du matin, je me réveille avec une envie pressante. Je fonce aux toilettes. En retournant me coucher, je décide cependant de consulter mon téléphone et quelle joie de constater que Bruno m’a répondu, quelques dizaines de minutes avant mon réveil ! Je me dis que je dois dormir, être en forme pour l’intero mais c’est plus fort que moi…aucun mec jusqu’ici ne m’avait fait faire ce genre de chose mais je me dis que je vais lui répondre et si jamais il est debout, je passe le voir avant le contrôle d’histoire. Il me dit : « Merci Candice, j’espère qu’on se reparle bientôt. » j’écris : « Bonjour Monsieur…je me permets de vous contacter parce que je viens de voir que vous m’avez écrit à 5H. Je commence les cours à 8H. Est-ce que vous voudriez que je passe vous voir ? » Je repose mon téléphone, j’attends. Impossible de me rendormir. Le temps passe : 6H. 6h30. 7h…je me dis qu’il a dû se recoucher…tant pis. Au moment ou je me lève pour aller me préparer, SMS. C’est lui : « Désolé, je m’étais rendormi. Viens quand tu veux Candice, je suis réveillé. » Je regarde dans le vide et…je me dépêche de sortie du lit.
Je me gare sur le parking de la copropriété de Bruno à 7h25, je dois être au bahut pour 8H afin de passer mon intéro. Je sors de la voiture, vêtu d’une jupe noire en coton et de bas. En dessous, je devais porter un string rouge mais…je l’ai laissé dans la boîte à gants. Je porte les mêmes bottines que la veille et j’ai sous mon manteau un pull en laine rouge décolleté sur ma plantureuse poitrine, tenue par un soutien-gorge à dentelles noire. Je fonce vers l’interphone, sonne, la porte s’ouvre rapidement. Je fonce dans l’allée et monte les marches 4 à 4 pour arriver au dernier étage. Là encore, la porte est entrouverte et la lumière tamisée. J’entre. Bruno est dans l’entrée cette fois, vêtu d’un peignoir. Il me regarde. Ses grands yeux me troublent une fois de plus. Nous échangeons un long regard tous les deux et il me dit « Candice » je lui retourne un « Monsieur… » et je m’avance doucement vers lui. Il me contemple de bas en haut, ça me fait beaucoup d’effet. Il détourne le regard, gêné. Je sens toute sa vulnérabilité soudain. Je m’avance encore et prend une de ses mains que je place sur mon pull, au niveau de mon sein droit dont je sens le mamelon durcir d’un coup…Bruno rougit, je le vois malgré la pénombre et je sens que sa main se détend peu à peu…Je décide de retirer mon sein de sa baleine de soutif et l’exposer par-dessus mon décolleté. « Allez’y monsieur… ». Il respire de plus en plus vite, je sens son haleine me parvenir. Je recule afin de m’adosser au mur de l’entrée. Il suit le mouvement toujours en regardant ailleurs sauf qu’au dernier moment, lorsque mes fesses et mon dos s’appuient sur le mur, il pose ses yeux dans les miens puis sur mon sein. Je le sens tout affolé et là, il s’anime soudain : il se jette presque dessus, me suçant ‘le téton comme un bébé affamé. De son autre main, il descend sur ma jupe et cherche ma zone humide : il la trouve directement et la caresse. Je sens que je ruisselle sur ses doigts et mon souffle s’accélère d’un coup alors qu’il alterne entre sucer mon téton et le mordiller sans que cela ne me fasse mal, bien au contraire : je me sens partir. Un de ses doigts me pénètre sans sommation et je pousse un petit cri de plaisir. Il fouille à l’intérieur de ma chatte et je lève la tête en respirant fort. Il m’embrasse dans le cou à présent, tendrement, me passe sa langue, je crois que je suis en train de devenir folle, d’autant que ses doigts vont de plus en plus profond en moi, je les sens aller et venir dans tous les sens. Sans réfléchir, je décide de tâter son entrejambe d’une main délicate sous son peignoir : il est nu en dessous. Intégralement. Je touche son sexe en érection, je le découvre en ouvrant son peignoir : il est pâle, quelque peu fripé mais pourvu d’un gland violacé, vigoureux, qui pointe en avant. Enfin je touche son sexe ! Fin mais long, ma petite main seule n’arrive qu’à l’empoigner de moitié et je le caresse de bas en haut, sans pour autant le branler pour le moment. Je vois Bruno soupirer de plaisir en me mordant dans le cou, j’agrippe ses cheveux blancs de ma main libre quand tout à coups…Un cliquetis se fait entendre dans la porte d’entrée, juste à côté de nous. Surprise, je m’écarte de Bruno et remet comme je peux mon sein dans mon soutien-gorge. La porte s’ouvre et une jeune femme noire, grande et élégante, fait son apparition. Elle ne me voit pas dans un premier temps car je me suis écartée. Elle s’exclame : « Bah alors monsieur, on n’y voit rien chez vous encore ! » Elle éclaire le couloir ; le sexe de Bruno, en érection, fait une bosse sous le peignoir. Je vois ses cheveux blanc en bataille et il est essoufflé. La femme remarque ma présence, je suis certaine que je ne suis pas plus présentable que lui. Elle me regarde sans aucune expression, longtemps, me dévisage même et je comprends qu’elle a compris ce que je faisais là. Elle me dit alors : « bonjour, je peux savoir qui vous êtes ? » Bruno se racle la gorge, la femme le regarde mais je décide de tenter quelque chose : « C’est mon grand oncle…euh l’oncle de mon père. Je passais dans le coin puis je me suis dit que j’allais rendre visite à mon tonton préféré. » Bruno hocha frénétiquement la tête et confirma : « Oui, tout à fait. » La femme, dont j’ignorais encore l’identité, nous regarde â tour de rôle et je vois bien qu’elle n’est pas convaincue. Très gênée, je décide de ramasser mon manteau jeté à même le sol et me tourner vers la porte : « Tonton, à bientôt ! Madame ! Au plaisir ! » La femme me regarde avec un air suspicieux et ne dit rien.
Je ressors en claquant la porte et descend les escaliers quatre à quatre, je regarde l’heure en même temps : 7h56. Je suis en retard pour mon intéro mais le plus important, c’est la honte que j’éprouve de m’être faite surprendre avec Bruno ! Et qui est cette femme ? J’ai l’impression qu’elle venait pour une prestation ou quelque chose dans ce goût là…quoi qu’il en soit, morte de honte et gênée comme jamais, je mets le contact de ma voiture et me met en route vers le lycée. Tout le long du trajet, je regarde mon visage : mes cheveux sont en bataille et j’ai des rougeurs dans le cou mais le pire, c’est mon décolleté : je remarque à peine qu’il était tout en travers et qu’on voyait une grande partie de mon soutien gorge. Je rougis encore de honte. J’arrive sur le parking du bahut, je sors à la hâte, encore éprouvée à la fois par l’intensité de ce contact avec Bruno et par la gêne que je ressens encore. J’arrive dans la salle d’exam avec 17 minutes de retard et alors que je sors un stylo de ma trousse je me rends compte de quelque chose : j’ai oublié de remettre mon string.
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