Le contact est-il possible entre une jeune femme et un sénior ? (Partie 5)
Récit érotique écrit par CCCandice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le contact est-il possible entre une jeune femme et un sénior ? (Partie 5)
La cloche sonne, mon interro est terminée, et je sais que je l’ai lamentablement foirée. Pas moyen de me concentrer. Mon esprit n’a fait que fuser entre ce qui s’est passé chez Bruno, l’arrivée de cette grande femme et le fait que j’ai complètement oublié de remettre ma culotte. J’ai passé les deux heures d’exam’ en stress. Je suis maintenant en train de me hâter à sortir du lycée pour rejoindre ma voiture et récupérer mon sous-vêtement dans la boîte à gants. Une fois à l’intérieur, je regarde autour de moi : personne. J’enfile mon string et me dépêche de ressortir pour retourner au bahut. Je referme la portière et tombe sur Zoé, ma meilleure pote avec laquelle je suis sortie en ville l’autre soir. « Hé Candice ! Qu’est ce qui t’es arrivée, t’as oubliée de te lever ce matin ? » Me dit-elle dans un large sourire. Je lui rend, essayant de paraître le plus naturelle possible et lui dit : « Oui, disons que je me suis couchée tard… » Elle me décoche un regard « coquin » et fait « Tiens ?! J’le connais ou pas ? » Je décide de lui mentir : « Non, c’est pas ce que tu crois, Zoé… » Mais elle ne mord pas à l’hameçon : « Mouais, je te connais Candice ! Je sais bien que c’est un mec ! Mais je comprends pas pourquoi tu joues les cachottières avec moi ; ça ne te ressemble pas… » Je change de sujet du tout au tout : « Viens, on va prendre un café ! » Je pense : Si elle savait…
Je passe la journée au lycée sans consulter une seule fois mes mails. Je pourrais le faire, mais je me sens encore gênée et honteuse et à priori, ça se voit : « Mais qu’est ce qui t’arrives aujourd’hui ? » Me demande Zoé à la récré de l’après-midi. « Je te trouve bizarre… » Ajoute-t-elle. Je lui dis que je ne suis pas dans mon assiette, que ce doit être mes règles qui arrivent et elle me laisse tranquille. Pour le moment. En vérité, je ne pense qu’à ce qui a eu lieu ce matin avec Bruno et ça me rend toute bizarre : D’un côté ça m’excite et j’en veux encore, voire même plus, mais d’un autre, quelque chose me ramène sur Terre, notamment lorsque je repense au moment où la femme est arrivée chez lui et que j’ai dit que Bruno était mon grand-oncle…je ressens du dégoût pour moi-même et je suis clairement en train de me demander si je ne suis pas allé trop loin, si cette expérience n’est pas en train de me servir de leçon, si ce « contact avec un sénior » qui a 56 ans de plus que moi n’était pas en fait une mauvaise idée…je regrette. Et je songe clairement à ce moment-là à supprimer mon adresse mail créée exprès pour l’occasion ainsi que supprimer le numéro de Bruno…
Le soir venu, en rentrant du fast-food dans lequel je bosse, aux alentours de minuit, je reçois un texto de la part de Nico, mon plan cul : « Tu es dispo ? » Je me dis que ça pourrait me faire du bien. Je saute dans ma voiture et file au centre-ville chez lui. A peine arrivée, je me retrouve déjà à 4 pattes sur son canapé, dans la position que Nico affectionne tout particulièrement car je sais qu’il m’aime quand je suis sa chienne, soumise, sous les fessées qu’il me distribue en cascade sur ms fesses blanches. Ce coup-ci, ça ne dure que 5-10 minutes, Nico avait vraiment juste envie de se vider les couilles. Je manque de lui dire « C’est tout ? » mais je ne dis rien et me redresse pour me rhabiller.
- T’es sûre que ça va ? Me demande Nico qui remet son tee-shirt.
- Oui, pourquoi ?
- Je te sens pas comme d’habitude, Candice.
- Nico…tu t’attends à quoi en vrai ? On est juste ensemble pour baiser, à chaque fois tu fais de moi ce que tu veux, on ne parle jamais de nous, de nos vies, donc je ne comprends pas pourquoi tu me demandes comment je vais et pourquoi tu t’intéresses à comment je suis ou non…- T’as trouvé un autre gars, hein ? Demanda Nico, sûr de lui.
Je le regarde froidement, ramasse mon sac à main et mon manteau puis lui répond : « c’est pas tes oignons, occupe-toi de ta vie. » Avant de disparaitre. Il est tard, mais demain je ne travaille pas. Il va falloir que je m’occupe de tout ça avant que ça ne me bouffe…
Mon téléphone sonne. J’ouvre mes grands yeux. Je regarde l’heure : 6H07…étrange. Je me redresse lentement avec la lourdeur de mes seins nus et regarde le numéro : c’est Bruno. Mon cœur se met à bondir dans ma poitrine. Je décide de répondre : « Oui, Monsieur ? » Mais là, je deviens froide. La voix à l’autre bout du fil n’est pas du tout celle de mon Bruno. C’est une voix de femme, sèche : « C’est toi Candice ? » Je déglutis mal mais décide de répondre quand même : « Ou…oui, c’est moi, qui… » la voix me coupe la parole : « On s’est vues hier matin chez votre « grand-oncle » … » Elle avait appuyé le « grand-oncle » : c’était la femme chez Bruno qui nous a surpris hier. Je ne dis rien mais elle poursuit sur un ton toujours aussi sec : « Bon, parlons pour de vrai. Qu’est ce que tu faisais chez lui ? Qui es-tu ? Que lui veux-tu ? » J’avale ma salive avec encore pus de difficultés qu’avant et elle reprend : « Tu es une pute ? C’est ça ? » Je n’en crois pas mes oreilles, je décide de me défendre du haut de mes 18 ans : « Mais ! Pas du tout, je vous ai dit que j’étais… » Elle me coupe dans un ricanement : « Oui, oui, tu es sa nièce ! Et moi je suis la Reine d’Angleterre ! Ecoutes bien ma petite : je sais ce que tu as fait chez Bruno, et je sais aussi que tu lui as piqué des ronds… » J’explose : « MAIS NON ! Il n’est pas question de ça, vous mentez ! C’est juste… » Je perds mes mots. Je voudrais dire « Une histoire de… » de quoi au juste ? D’amour ? De cul ? D’expériences ? Je suis perdue, d’autant que la femme se fait maintenant menaçante : « Je ne sais pas ce que la police pensera de tout ça…tu as une idée…Candice ? » Je sens mon estomac se tordre : Police ? Non ! Tout sauf ça ! Mes parents seraient au courant, mes amis, tout le lycée, puis toute la ville…tout le monde saurait ce que Candice a fait, et je n’imagine même pas ma réputation…une gamine de 18 ans qui se fait un vieillard qui pourrait être son grand-père. Je sens l’étau se resserrer, et d’une petite voix apeurée, je lui implore : « S’il vous plait, pas la police…il n’y a jamais eu de…d’argent…c’était juste comme ça, laissez-moi, je vous promets que je ne remettrai jamais les pieds chez lui… » Un nouveau ricanement au bout du téléphone…ça ne présage rien de bon. Elle dit : « Si justement. Viens. Viens immédiatement chez lui. Je t’attends. »
En moins de dix minutes, je me retrouve chez Bruno. Il est assis dans le canapé et me scrute de ses beaux yeux bleus quand j’arrive. Debout à côté de lui, c’est bien la femme que j’ai vue hier matin. Elle a les bras croisés et me fixe avec un léger rictus aux lèvres…je n’aime pas ça. Bruno et moi échangeons un regard, j’ai l’impression d’avoir affaire à un chien puni aux pieds de sa maitresse. Celle-ci d’ailleurs, directive, m’ordonne : « retire tes vêtements. Tout de suite. » Je regarde encore Bruno, celui-ci semble très mal à l’aise également. Je soupire et m’exécute : Je retire mon gilet en laine ainsi que ma chemise à carreaux de bucheron en dessous et ma poitrine se dévoile au grand jour dans un soutien-gorge bordeaux : « Eh bah! On peut dire qu’il y a de quoi faire ! » S’exclame la femme. « Retire le bas et dépêche-toi ! » Je porte un legging moulant. Très moulant. J’exhibe maintenant mes deux énormes jarrets couverts de quelques traces de cellulite ainsi que mon petit string assorti au soutif. Je vois Bruno presque baver tandis qu’il me contemple. La femme me regarde, je me sens terriblement gênée, je mets mes mains dans le dos et regarde le lino du salon. Elle arrive vers moi, me tourne autour, je me sens comme une proie face à une lionne malfaisante. Elle met une violente fessée sur la fesse gauche, je lâche un petit cri de surprise puis elle revient face à moi : « Tu feras parfaitement l’affaire » m’annonce-t-elle. (L’affaire pourquoi ??) Je sens mes yeux s’humidifier, les larmes me monter ; je ne comprends pas ce qu’il se passe, je commence à avoir peur. La mégère a l’air ravie : « Il fallait réfléchir avant, gamine ! » Elle sourit d’un air malfaisant et je me passe les mains sur les yeux pour sécher mes larmes naissantes. Je lui dis dans un début de sanglot : « Croyez-moi s’il vous plaît ! Croyez-moi ! Je n’ai rien fait ! Je ne sais pas ce que vous attendez de moi mais laissez-moi partir… » Je regarde furtivement Bruno. La femme fait « non » de la tête, toujours avec cet air sadique sur le visage et je comprends que je suis à elle. Que je serai sa chose, bien que je ne sache pas encore dans quel but…Je commence à avoir froid. Elle vient se rapproche de moi et me dit : « Quand tu es venue ici faire tes trucs dégueulasses avec lui, tu t’es dit dit que si jamais il crevait, tu aurais peut-être ta part du gâteau, c’est ça ? Petite trainée ! » Sans prévenir, elle me met une violente claque ! Je gémis et me touche la joue, redressant la tête vers elle avec un air ahuri, mes larmes qui me remplissent les yeux. J’essaye une dernière fois de lui faire entendre raison : « Mais Madame, je vous jure que… » Elle me remet une violente gifle en hurlant cette fois-ci un : « Ta gueule ! » Je me recroqueville et me baisse devant elle. Je la sens jubiler : « Tu vas me faire croire quoi ? Que c’est par Amour que tu es venues ? » Je ne sais pas quoi dire. Bien sûr que non, je ne suis pas venue par amour…mais le fait de dire le contraire me semble autant risqué que de dire « oui » et mentir. Je ne dis plus rien et elle m’explique enfin qui elle est et ce qu’elle vient faire chez Bruno : « Notre cher Bruno est diabétique de type 2, et il a un cancer. Je viens quotidiennement lui administrer son traitement, n’est-ce pas, Monsieur ? » Elle se tourne vers lui. Il acquiesce d’un hochement de tête, tout en regardant le sol, visiblement mal à l’aise. Je me sens encore plus gênée qu’avant et un sentiment de culpabilité s’empare de moi, bien que je ne pouvais pas être au courant de tout ça…lui qui a l’air tellement en forme ! Je tente de lui dire que je ne savais pas mais à l’instant ou ma bouche s’ouvre, elle lève la main et je me baisse à nouveau pour ne pas en prendre une autre. « Tu aimes les vieux ? Tu vas être servie ! » M’annonce t’elle en se mordant la lèvre inférieure, comme si elle prenait un plaisir intense. Elle ordonne : « Rhabilles-toi ! ». Je m’exécute sans demander mon reste, à tout vitesse et elle me dit pendant ce temps-là : « Je sais comment on va régler cette affaire. Je vais t’envoyer des instructions par SMS et une adresse. Tu auras intérêt à suivre tout ce que je dis à la lettre, sinon, ça ira chez les flics ! C’est compris ?! » Je suis dans tous mes états, je ne sais pas ce qu’elle attend de moi mais vu comment cette femme semble perfide, je crains le pire…Elle me répète en levant sa main : « C’est compris, trainée ?! Maintenant dégage d’ici ! Je te contacte cet après-midi, tu as intérêt à être dispo, crois-moi ! » recroquevillée, je hoche la tête de bas en haut pour lui confirmer que je serai disponible et je me relève du canapé de Bruno pour aller vers la porte. Avant de la refermer, je lui jette un dernier regard. Il me fixe lui aussi dans les yeux.
Je rentre chez moi avec une boule dans le ventre. L’angoisse que je ressens est à son apogée et je me demande à quelle sauce je vais être croquée… cette femme mesquine et mauvaise le possède et me possède aussi, par la même occasion. J’en arrive à me demander si elle ne soutire pas de l’argent à Bruno ou profite de sa situation. En tous cas, je me suis mise dans une merde noire et j’allais devoir en subir les conséquences…
Le téléphone sonne aux alentours de quinze heures cet après midi là. Impossible pour moi de faire quoi que ce soit, je n’ai d’ailleurs rien mangé à midi. Je regarde mon tél : SMS du numéro de Bruno : laves-toi et viens épilée. Maquillage : rouge à lèvre rouge pétant. Coiffure : tresses d’écolière. 18H en bas de chez Bruno. T’as intérêt à être là. J’expire longuement, angoissée, et me rend à l’évidence : j’allais devoir obéir à cette femme, au doigt et à l’œil.
Dernier regard dans le rétroviseur : le rouge à lèvre que je porte macule mes lèvres et mes cheveux forment deux longues tresses qui retombent sur mon manteau, à l’endroit où se trouvent mes seins en dessous. J’arrive sur le parking en bas de chez Bruno et je remarque que la matrone est là, au volant de sa voiture qui comporte un macaron d’infirmière sous le pare-brise. Je me poste à côté de sa voiture et baisse-la vitre, elle en fait de même et me dit : « Maintenant tu me suis petite trainée, et t’as pas intérêt à me faire faux bond !
Je la suis dans la nuit en voiture, depuis un bon quart d’heure. La neige commence à tomber sur mon pare-brise, et nous nous trouvons l’une derrière l’autre à un feu, en agglomération. Dans une ville ou je n’ai pas trop l’habitude d’aller. On traverse cette ville pour arriver dans une espèce de zone industrielle déserte et sinistre à côté d’une route qui monte en campagne. La femme s’engage dans une sorte de terrain vague et se gare à côté d’une immense benne à ordure. Elle descend de la voiture, un grand sac à la main. Je baisse la vitre, elle me tend le sac et me dit : « Tu te changes et tu me rejoins dans ma voiture. Pas de culotte ni de soutien-gorge. Tu laisses la tienne ici, c’est pas très loin. Et bouge ton gros cul, j’ai pas que ça à faire, il attend ! » Elle repart. Il attend ? Je commence à méditer sur ce « il » et fouille dans le sac qu’elle m’a donné : il y a une robe d’infirmière. Je constate qu’il y a un insigne à « mon » nom, agrafée dessus : Candice. Difficilement, j’enfile la tenue et me rend compte qu’elle est courte. Très courte. Et vues mes rondeurs, elle me moule terriblement, si bien qu’une grosse partie de mes seins dépasse du décolleté béant que la tenue comporte…je crains le pire…je mets les bas- résilles blancs qui eux aussi me moulent les cuisses. J’enfile de nouveau mes bottines noires et ajuste le calot d’infirmière sur ma tête, avec les tresses qui dépassent en dessous. Je me regarde dans le rétroviseur : mes grands yeux sont remplis d’appréhension…
Je rejoins la femme dans la voiture. Elle me regarde de haut en bas et dit : « impeccable ! Tu fais bien vulgaire en plus, typiquement ce qui conviendra à notre client. » Je ne réponds rien et commence à avoir une idée de ce qui va m’arriver mais je ne dis rien. Je suis le mouvement, embarqué par cette femme qui démarre son moteur et sort de la zone industrielle pour entrer dans un quartier délabré et mal fréquenté ; je constate que des jeunes qui traînent aux pieds des tours nous regardent d’un mauvais œil. Je commence à flipper et m’attend à être livré à une bande de mecs dans une cave, je supplie : « S’il vous plaît, non, je ferai ce que vous voudrez mais pas ça… » Elle se gare et tir le frein à main, puis me regarde sans émotion et dit : « Tu veux pas quoi, merdeuse ? » Elle suit mon regard sur le groupe de type amassé plus loin. Elle éclate d’un rire sinistre et dit : « Mais non ! T’es déjà réservée ma grande et je te veux toute propre pour lui ! Disons que c’est un bon client… ». Nous sortons de la voiture et nous montons les marches pour atteindre la porte de l’allée. Les mecs qui traînent nous ont vu, enfin, m’ont vu, malgré la nuit, et je vois qu’ils me jettent des regards très intéressés. La femme m’attrape par le bras une fois dans l’allée et me dit, d’un ton menaçant : « Je te préviens, petit trainée, tu me fais un coup de pute et je te livre à ces zonards dehors, c’est compris ? » J’hoche la tête en signe d’approbation, et on commence à monter les marches.
Arrivée au deuxième étage, devant une porte, elle me dit : « Je t’attends dans la bagnole. Il va te filer une enveloppe avec le fric. Pas d’entourloupe, je sais combien il y a. T’es à lui pour une heure, tu fais ce qu’il te demande, comme il te le demande. Avec un peu de chance, il en aura pas pour longtemps mais je suis sûre que vas apprécier vu tes penchants… » Elle ricane et descend les marches. « Ah oui ! Tu dis que tu viens pour les soins, bien entendu ! » Lance-t-elle depuis les escaliers, avant de disparaître. Je me retrouve devant la porte, seule. Je sonne. Tout de suite après, j’entends un pas claudiquant, suivit d’un bruit sourd, comme si on marchait avec une canne : la porte s’ouvre. Un mec d’à peu près l’âge de Bruno se tient dans l’encadrement. Il a un visage buriné, couvert de tâches rouge, un gros nez, des yeux injectés de sang ainsi qu’une petite touffe de cheveux blanc et gras, sur un crâne presque chauve. Il est gros, possède un ventre bedonnant qui forme comme un ballon de plage sous un gilet vert et miteux. Des poils blancs en dépassé d’ailleurs au niveau du torse, et je constate que son pantalon en toile gris est déboutonné et la ceinture défaite. Derrière lui, j’entends les voix d’un film porno qui retentissent et une odeur nauséabonde commence à me parvenir jusqu’aux narines. Ça sent également le renfermé, mais pas comme chez Bruno. Ici, l’odeur forte a quelque chose d’agressif et de désagréable. Sa bouche se tord en un sourire, il n’a plus beaucoup de dents et je vois qu’il a des dépôts blancs aux coins des lèvres. Ça me dégoute. « Ah ! Bonsoir ! Vous devez être… » Je ne dis rien, je le regarde, tout simplement. Il s’avance vers mon insigne et lorsqu’il arrive enfin à la déchiffrer, il dit : « Entre Candice ! » Me dit-il en s’écartant de la porte. Je rentre en passant devant lui, sentant son regard vicelard se poser sur mes jambes et mon cul.
Il s’arrête devant moi et se passe plusieurs fois la langue sur les lèvres alors qu’il mate mon décolleté puis mes jambes : « Melissa a très bien choisi, cette fois ! tu…hum, très alléchante, ma petite ! » Je ne sais pas trop quoi répondre mais là, je me dis qu’enfin, je réalise un de mes fantasmes ; ce vieux n’est pas comme Bruno, je lis dans ses yeux qu’il est vicieux et qu’il n’a pas l’air de ressentir la moindre gêne face à moi. Je suis offerte pour une heure à ce type et je repense à ces films pornos que j’ai vu, impliquant un vieux et une gamine de mon âge. C’est ce que je voulais. Je le suis dans son salon. A la télé, une gamine de mon âge avec des tresses et des vêtements semblables aux miens est à genoux, en train de sucer des mecs qui pourraient être son père…ça me fait quelque chose, je sens que je commence à avoir chaud au niveau de l’entrejambe. Le vieux se traine difficilement jusqu’au canapé et s’assoit dedans. Il baisse son pantalon, le retire : son membre, dressé, ne doit pas mesurer plus de 8 ou 9 centimètres. Je n’avais jamais vu de bite aussi petite et il avait l’air de bande en plus…Il me regarde en se touchant les couilles et je lui annonce, la chatte commençant à s’ouvrir un peu : « Bonjour Monsieur, je viens pour vos soins… »
Je m’approche de lui et me met à quatre pattes. Affalé dans le canapé, il respire vite, très excité ! Instinctivement, je me dis que je vais commencer par le branler. Il me fait : « Viens sur le canapé avec moi ! » Je me relève et me met à quatre pattes à côté de lui. Je le regarde droit dans les yeux : il me jette un regard coquin et me dit : « Allez, suce-moi ça Candice ! » Je lui réponds, d’instinct : « Oui, Monsieur ! » Et je descends ma tête vers son pénis mais je manque d’avoir un mouvement de recul : une odeur poisseuse, très forte, s’en émane. Je crois qu’il n’a pas vu mon mouvement de recul, mais je sais qu’il a déjà dû jouir plusieurs fois devant son porno avant que j’arrive. Au plus près, je constate qu’en effet, quelques-uns de ses poils pubiens sont séchés et collés entre eux et son gros gland violacé est humide et couvert de pré-sperme visqueux. Ce n’était pas vraiment ce que j’imaginais, et le gars perd patience pendant mon hésitation : « Allez, ma petite ! Suce-moi, allez ! » Je ferme les yeux, et plonge ma tête en apnée.
Je lèche d’abord ses deux boules, et m’empare de sa bite dans ma petite main qui arrive à s’en emparer entièrement tellement elle est petite. En revanche, elle est large, et son gland est gros. Je le branle comme je peux, je l’entends respirer et faire des « aaaah » de soulagement. Je lèche ses boules, prenant soin de bien laisser ma salive dessus et j’alterne entre la gauche et la droite en les mettant dans ma bouche une par une. Je vois qu’il kiffe. Je repousse le moment où je devrais mettre sa queue dans ma bouche mais il insiste : « Allez, maintenant tu me suces ! » Je n’ai plus vraiment le choix. Je ressors sa boule de ma bouche – qui a maintenant la couleur de mon rouge à lèvre – et je m’avance vers son gland.
Je le lèche afin d’en retirer le près sperme déjà dessus. Une fois, deux fois, le goût est horrible ; poisseux comme l’odeur, comme quelque chose d’avarié. J’en déduis qu’il ne doit pas se laver beaucoup non plus et je décide de me lancer et de le prendre en entier dans ma bouche. J’ai un relent, une nausée au plus profond de moi, mais peu à peu, en faisant des allers-retours très court sur sa petite queue et voyant le plaisir que je lui offre, je commence à oublier les désagréments et l’excitation revient au galop, je réalise cette fois-ci que je suis en train de faire ce qui m’a toujours fait fantasmer ! Ma chatte est totalement ouverte et mouille abondamment. Pas besoin de le branler en même temps vu la taille, donc je me frotte le clito pendant que je le suce. Je sens qu’il passe une de ses mains sous ma robe d’infirmière et qu’il me caresse les fesses. Il dit : « Ouh ! Quel cul, ah, il est énorme, putain ! » Je retire son membre de ma bouche, un gros filet de bave s’étirant de son gland jusqu’à mes lèvres rouges et dit : « Allez-y Monsieur, tapez-moi ! » Il sourit. Un sourire gras et me dit : « Ah ! T’aimes ça petite coquine, hein ? » Puis il me frappe les fesses à plusieurs reprises avec le plat de sa main. D’énormes fessées ! Je n’en ai jamais prise des comme ça et je surkiffe ! Il n’y a pas d’autre mot ! Je gémis tout en continuant de le sucer rapidement. Il fait des commentaires à chaque claquement du style : « Tiens ! » « Voilà ! » « Prends ça, Candice » !
Je sens que je peux le terminer très vite, mais je sais que je dois rester durant une heure. Je le vois qui souffle de plus en plus longuement, que les traits de son visage se tirent, se referment, je sens son membre qui a de légers à-coups et quelques saccades de pré-sperme me reviennent en bouche de temps en temps. Il a stoppé les fessées et me dit : « T’as le cul tout rouge, ma petite ! » Je sors sa bite de ma bouche et passe ma main dessus ; ma salive et son jus la font glisser entre mes petits doigts. Il me dit : « Putain c’est bon ! Doucement…doucement…oui, je vais jouir sinon, ma petite ! » Je le branle plus doucement, et je me caresse le clito au même rythme. Il se lèche le majeur à plusieurs reprises, je sais ce qu’il veut faire : « Dans le cul, tu aimes ? » Me demande-t-il. J’en frissonne et répond : « Oui, j’adore ça monsieur ! » Il sourit de nouveau avec cet air vicieux et sans prévenir, il me rentre son immense majeur dans l’anus…j’en pousse un glapissement de chienne et il pousse, il pousse, jusqu’à me le rentrer totalement ! J’expire longuement en fermant les yeux : « Oh oui c’est bon, monsieur ! » Il se lèche les lèvres avec délectation et ressort son doigt, puis le rentre à nouveau, le ressort, le rentre, de plus en plus vite ! Je commence à monter moi aussi ! J’adore ça !
Je continue de le branler doucement pendant qu’il me doigte le cul et il va de plus en plus vite quand il respire, il pousse de petits gémissements du fond de sa gorge et je sens qu’il va venir. Je le regarde, il a les yeux fermés et me dit dans un souffle rauque : « Dans ta bouche, ma petite, dans ta bouche ! » Je sens qu’il va venir très vite, et sans hésiter alors que je ne l’ai jamais fait, je reprend son membre visqueux dans ma bouche et je l’entends venir dans un râle de plaisir : je sens sa semence tapisser mon palais, jusque mes amygdales, et j’en ai sur toute la langue, il ne s’arrête plus, il pose sa main sur mes cheveux et je rentre sa bite au max dans ma bouche, me frottant le clito avec force et rapidité. Quand je sens qu’il a tout lâché et qu’il relève la tête vers son plafond je ressors son membre de ma bouche et me tourne vers lui, la langue sortie, encore maculée de son sperme et lui dit en me masturbant à toute vitesse : « Oui, Monsieur, Oui, oui, je viens, aaaaaah ! » En effet, je viens, et pour la première fois de ma vie, je gicle ; à grosse gouttes, une fois, mais je gicle sur son canapé des gouttes de mon jus intime. Il voit ça et sourit puis me dit : « Avale ce que tu as dans la bouche ! » En effet, il reste encore du sperme, je referme ma bouche, avale ce qui reste et la rouvre pour lui montrer. Il a un air satisfait tout en reprenant son souffle.
Ça fait 35 minutes que je suis chez lui. Je suis allé lui prendre un grand verre d’eau. Je suis dans le canapé à côté de lui, les seins à l’air, mouillés car il me les lèche de partout et s’attarde particulièrement sur les tétons. Je sens que je pourrais revenir, mes yeux se révulsent et il me touche maladroitement la chatte sous ma robe mais ça me fait quand même beaucoup d’effet. Il m’a dit, avant que j’aille prendre le verre d’eau, qu’il n’arriverait probablement pas à rebander mais qu’il avait adoré notre « contact » et qu’il voulait profiter des dernières minutes. Il stoppe avec mes tétons et me dit : « Tu veux que je te fasse venir, petite ? » Je lui réponds : « Oh oui, Monsieur, j’en ai tellement envie ! ». Il me dit de m’allonger sur le canapé, je le fais, jambes écartées, et il vient mettre sa tête entre mes cuisses. Il me dévore la chatte avec sa langue, me suce le clitoris et me lèche également l’anus ! Il se débrouille très bien, je vois qu’il a été un grand connaisseur à l’époque. Il alterne entre des petits coups de langues et des longues léchouilles sur mes parties, je sens que mon cœur s’accélère, je commence à monter de nouveau, je gémit de plus en plus vite et surtout…de plus en plus fort, c’est trop bon ! Je mets ma main devant la bouche pour ne pas ameuter toute sa montée d’escaliers. Il rentre sa langue dans ma chatte, je lui prends la tête à deux mains pour bien le garder entre mes cuisse et…la libération ! Je reviens, je rejette encore un petit jet de cyprine et je l’entends me dire : « T’adores ça ma petite ! » Les joues en feu, reprenant mon souffle sur le canapé, je lui murmure : « Oh oui, cest très bon ! »
Je bois un verre d’eau, lui en ressert un ; il reste 5 minutes. Il me tend une enveloppe et me dit : « il y a tout ! » Il fouille dans sa poche et sort un billet de 50 Euros : « Tiens ! C’est un petit supplément, parce que tu étais géniale Candice ! La prochaine fois, ce sera toi j’espère ? » Je range son billet et lui répond : « Non, Monsieur. C’était juste une fois…en vérité, j’avais une dette envers cette…cette femme » il semble déçu : « Oh ! Je vois…écoute, je te laisse mon numéro de téléphone. Tu suces super bien et je suis un peu sur ma faim…appelle-moi à l’occasion, d’accord ? » Je lui dis que c’est ok, prends son numéro et vais pour ressortir quand il me lance : « Merci Candice ! C’était exquis ! » Je lui souris radieusement et répond : « Pour moi aussi ! » Puis je repars dans l’allée.
Je passe la journée au lycée sans consulter une seule fois mes mails. Je pourrais le faire, mais je me sens encore gênée et honteuse et à priori, ça se voit : « Mais qu’est ce qui t’arrives aujourd’hui ? » Me demande Zoé à la récré de l’après-midi. « Je te trouve bizarre… » Ajoute-t-elle. Je lui dis que je ne suis pas dans mon assiette, que ce doit être mes règles qui arrivent et elle me laisse tranquille. Pour le moment. En vérité, je ne pense qu’à ce qui a eu lieu ce matin avec Bruno et ça me rend toute bizarre : D’un côté ça m’excite et j’en veux encore, voire même plus, mais d’un autre, quelque chose me ramène sur Terre, notamment lorsque je repense au moment où la femme est arrivée chez lui et que j’ai dit que Bruno était mon grand-oncle…je ressens du dégoût pour moi-même et je suis clairement en train de me demander si je ne suis pas allé trop loin, si cette expérience n’est pas en train de me servir de leçon, si ce « contact avec un sénior » qui a 56 ans de plus que moi n’était pas en fait une mauvaise idée…je regrette. Et je songe clairement à ce moment-là à supprimer mon adresse mail créée exprès pour l’occasion ainsi que supprimer le numéro de Bruno…
Le soir venu, en rentrant du fast-food dans lequel je bosse, aux alentours de minuit, je reçois un texto de la part de Nico, mon plan cul : « Tu es dispo ? » Je me dis que ça pourrait me faire du bien. Je saute dans ma voiture et file au centre-ville chez lui. A peine arrivée, je me retrouve déjà à 4 pattes sur son canapé, dans la position que Nico affectionne tout particulièrement car je sais qu’il m’aime quand je suis sa chienne, soumise, sous les fessées qu’il me distribue en cascade sur ms fesses blanches. Ce coup-ci, ça ne dure que 5-10 minutes, Nico avait vraiment juste envie de se vider les couilles. Je manque de lui dire « C’est tout ? » mais je ne dis rien et me redresse pour me rhabiller.
- T’es sûre que ça va ? Me demande Nico qui remet son tee-shirt.
- Oui, pourquoi ?
- Je te sens pas comme d’habitude, Candice.
- Nico…tu t’attends à quoi en vrai ? On est juste ensemble pour baiser, à chaque fois tu fais de moi ce que tu veux, on ne parle jamais de nous, de nos vies, donc je ne comprends pas pourquoi tu me demandes comment je vais et pourquoi tu t’intéresses à comment je suis ou non…- T’as trouvé un autre gars, hein ? Demanda Nico, sûr de lui.
Je le regarde froidement, ramasse mon sac à main et mon manteau puis lui répond : « c’est pas tes oignons, occupe-toi de ta vie. » Avant de disparaitre. Il est tard, mais demain je ne travaille pas. Il va falloir que je m’occupe de tout ça avant que ça ne me bouffe…
Mon téléphone sonne. J’ouvre mes grands yeux. Je regarde l’heure : 6H07…étrange. Je me redresse lentement avec la lourdeur de mes seins nus et regarde le numéro : c’est Bruno. Mon cœur se met à bondir dans ma poitrine. Je décide de répondre : « Oui, Monsieur ? » Mais là, je deviens froide. La voix à l’autre bout du fil n’est pas du tout celle de mon Bruno. C’est une voix de femme, sèche : « C’est toi Candice ? » Je déglutis mal mais décide de répondre quand même : « Ou…oui, c’est moi, qui… » la voix me coupe la parole : « On s’est vues hier matin chez votre « grand-oncle » … » Elle avait appuyé le « grand-oncle » : c’était la femme chez Bruno qui nous a surpris hier. Je ne dis rien mais elle poursuit sur un ton toujours aussi sec : « Bon, parlons pour de vrai. Qu’est ce que tu faisais chez lui ? Qui es-tu ? Que lui veux-tu ? » J’avale ma salive avec encore pus de difficultés qu’avant et elle reprend : « Tu es une pute ? C’est ça ? » Je n’en crois pas mes oreilles, je décide de me défendre du haut de mes 18 ans : « Mais ! Pas du tout, je vous ai dit que j’étais… » Elle me coupe dans un ricanement : « Oui, oui, tu es sa nièce ! Et moi je suis la Reine d’Angleterre ! Ecoutes bien ma petite : je sais ce que tu as fait chez Bruno, et je sais aussi que tu lui as piqué des ronds… » J’explose : « MAIS NON ! Il n’est pas question de ça, vous mentez ! C’est juste… » Je perds mes mots. Je voudrais dire « Une histoire de… » de quoi au juste ? D’amour ? De cul ? D’expériences ? Je suis perdue, d’autant que la femme se fait maintenant menaçante : « Je ne sais pas ce que la police pensera de tout ça…tu as une idée…Candice ? » Je sens mon estomac se tordre : Police ? Non ! Tout sauf ça ! Mes parents seraient au courant, mes amis, tout le lycée, puis toute la ville…tout le monde saurait ce que Candice a fait, et je n’imagine même pas ma réputation…une gamine de 18 ans qui se fait un vieillard qui pourrait être son grand-père. Je sens l’étau se resserrer, et d’une petite voix apeurée, je lui implore : « S’il vous plait, pas la police…il n’y a jamais eu de…d’argent…c’était juste comme ça, laissez-moi, je vous promets que je ne remettrai jamais les pieds chez lui… » Un nouveau ricanement au bout du téléphone…ça ne présage rien de bon. Elle dit : « Si justement. Viens. Viens immédiatement chez lui. Je t’attends. »
En moins de dix minutes, je me retrouve chez Bruno. Il est assis dans le canapé et me scrute de ses beaux yeux bleus quand j’arrive. Debout à côté de lui, c’est bien la femme que j’ai vue hier matin. Elle a les bras croisés et me fixe avec un léger rictus aux lèvres…je n’aime pas ça. Bruno et moi échangeons un regard, j’ai l’impression d’avoir affaire à un chien puni aux pieds de sa maitresse. Celle-ci d’ailleurs, directive, m’ordonne : « retire tes vêtements. Tout de suite. » Je regarde encore Bruno, celui-ci semble très mal à l’aise également. Je soupire et m’exécute : Je retire mon gilet en laine ainsi que ma chemise à carreaux de bucheron en dessous et ma poitrine se dévoile au grand jour dans un soutien-gorge bordeaux : « Eh bah! On peut dire qu’il y a de quoi faire ! » S’exclame la femme. « Retire le bas et dépêche-toi ! » Je porte un legging moulant. Très moulant. J’exhibe maintenant mes deux énormes jarrets couverts de quelques traces de cellulite ainsi que mon petit string assorti au soutif. Je vois Bruno presque baver tandis qu’il me contemple. La femme me regarde, je me sens terriblement gênée, je mets mes mains dans le dos et regarde le lino du salon. Elle arrive vers moi, me tourne autour, je me sens comme une proie face à une lionne malfaisante. Elle met une violente fessée sur la fesse gauche, je lâche un petit cri de surprise puis elle revient face à moi : « Tu feras parfaitement l’affaire » m’annonce-t-elle. (L’affaire pourquoi ??) Je sens mes yeux s’humidifier, les larmes me monter ; je ne comprends pas ce qu’il se passe, je commence à avoir peur. La mégère a l’air ravie : « Il fallait réfléchir avant, gamine ! » Elle sourit d’un air malfaisant et je me passe les mains sur les yeux pour sécher mes larmes naissantes. Je lui dis dans un début de sanglot : « Croyez-moi s’il vous plaît ! Croyez-moi ! Je n’ai rien fait ! Je ne sais pas ce que vous attendez de moi mais laissez-moi partir… » Je regarde furtivement Bruno. La femme fait « non » de la tête, toujours avec cet air sadique sur le visage et je comprends que je suis à elle. Que je serai sa chose, bien que je ne sache pas encore dans quel but…Je commence à avoir froid. Elle vient se rapproche de moi et me dit : « Quand tu es venue ici faire tes trucs dégueulasses avec lui, tu t’es dit dit que si jamais il crevait, tu aurais peut-être ta part du gâteau, c’est ça ? Petite trainée ! » Sans prévenir, elle me met une violente claque ! Je gémis et me touche la joue, redressant la tête vers elle avec un air ahuri, mes larmes qui me remplissent les yeux. J’essaye une dernière fois de lui faire entendre raison : « Mais Madame, je vous jure que… » Elle me remet une violente gifle en hurlant cette fois-ci un : « Ta gueule ! » Je me recroqueville et me baisse devant elle. Je la sens jubiler : « Tu vas me faire croire quoi ? Que c’est par Amour que tu es venues ? » Je ne sais pas quoi dire. Bien sûr que non, je ne suis pas venue par amour…mais le fait de dire le contraire me semble autant risqué que de dire « oui » et mentir. Je ne dis plus rien et elle m’explique enfin qui elle est et ce qu’elle vient faire chez Bruno : « Notre cher Bruno est diabétique de type 2, et il a un cancer. Je viens quotidiennement lui administrer son traitement, n’est-ce pas, Monsieur ? » Elle se tourne vers lui. Il acquiesce d’un hochement de tête, tout en regardant le sol, visiblement mal à l’aise. Je me sens encore plus gênée qu’avant et un sentiment de culpabilité s’empare de moi, bien que je ne pouvais pas être au courant de tout ça…lui qui a l’air tellement en forme ! Je tente de lui dire que je ne savais pas mais à l’instant ou ma bouche s’ouvre, elle lève la main et je me baisse à nouveau pour ne pas en prendre une autre. « Tu aimes les vieux ? Tu vas être servie ! » M’annonce t’elle en se mordant la lèvre inférieure, comme si elle prenait un plaisir intense. Elle ordonne : « Rhabilles-toi ! ». Je m’exécute sans demander mon reste, à tout vitesse et elle me dit pendant ce temps-là : « Je sais comment on va régler cette affaire. Je vais t’envoyer des instructions par SMS et une adresse. Tu auras intérêt à suivre tout ce que je dis à la lettre, sinon, ça ira chez les flics ! C’est compris ?! » Je suis dans tous mes états, je ne sais pas ce qu’elle attend de moi mais vu comment cette femme semble perfide, je crains le pire…Elle me répète en levant sa main : « C’est compris, trainée ?! Maintenant dégage d’ici ! Je te contacte cet après-midi, tu as intérêt à être dispo, crois-moi ! » recroquevillée, je hoche la tête de bas en haut pour lui confirmer que je serai disponible et je me relève du canapé de Bruno pour aller vers la porte. Avant de la refermer, je lui jette un dernier regard. Il me fixe lui aussi dans les yeux.
Je rentre chez moi avec une boule dans le ventre. L’angoisse que je ressens est à son apogée et je me demande à quelle sauce je vais être croquée… cette femme mesquine et mauvaise le possède et me possède aussi, par la même occasion. J’en arrive à me demander si elle ne soutire pas de l’argent à Bruno ou profite de sa situation. En tous cas, je me suis mise dans une merde noire et j’allais devoir en subir les conséquences…
Le téléphone sonne aux alentours de quinze heures cet après midi là. Impossible pour moi de faire quoi que ce soit, je n’ai d’ailleurs rien mangé à midi. Je regarde mon tél : SMS du numéro de Bruno : laves-toi et viens épilée. Maquillage : rouge à lèvre rouge pétant. Coiffure : tresses d’écolière. 18H en bas de chez Bruno. T’as intérêt à être là. J’expire longuement, angoissée, et me rend à l’évidence : j’allais devoir obéir à cette femme, au doigt et à l’œil.
Dernier regard dans le rétroviseur : le rouge à lèvre que je porte macule mes lèvres et mes cheveux forment deux longues tresses qui retombent sur mon manteau, à l’endroit où se trouvent mes seins en dessous. J’arrive sur le parking en bas de chez Bruno et je remarque que la matrone est là, au volant de sa voiture qui comporte un macaron d’infirmière sous le pare-brise. Je me poste à côté de sa voiture et baisse-la vitre, elle en fait de même et me dit : « Maintenant tu me suis petite trainée, et t’as pas intérêt à me faire faux bond !
Je la suis dans la nuit en voiture, depuis un bon quart d’heure. La neige commence à tomber sur mon pare-brise, et nous nous trouvons l’une derrière l’autre à un feu, en agglomération. Dans une ville ou je n’ai pas trop l’habitude d’aller. On traverse cette ville pour arriver dans une espèce de zone industrielle déserte et sinistre à côté d’une route qui monte en campagne. La femme s’engage dans une sorte de terrain vague et se gare à côté d’une immense benne à ordure. Elle descend de la voiture, un grand sac à la main. Je baisse la vitre, elle me tend le sac et me dit : « Tu te changes et tu me rejoins dans ma voiture. Pas de culotte ni de soutien-gorge. Tu laisses la tienne ici, c’est pas très loin. Et bouge ton gros cul, j’ai pas que ça à faire, il attend ! » Elle repart. Il attend ? Je commence à méditer sur ce « il » et fouille dans le sac qu’elle m’a donné : il y a une robe d’infirmière. Je constate qu’il y a un insigne à « mon » nom, agrafée dessus : Candice. Difficilement, j’enfile la tenue et me rend compte qu’elle est courte. Très courte. Et vues mes rondeurs, elle me moule terriblement, si bien qu’une grosse partie de mes seins dépasse du décolleté béant que la tenue comporte…je crains le pire…je mets les bas- résilles blancs qui eux aussi me moulent les cuisses. J’enfile de nouveau mes bottines noires et ajuste le calot d’infirmière sur ma tête, avec les tresses qui dépassent en dessous. Je me regarde dans le rétroviseur : mes grands yeux sont remplis d’appréhension…
Je rejoins la femme dans la voiture. Elle me regarde de haut en bas et dit : « impeccable ! Tu fais bien vulgaire en plus, typiquement ce qui conviendra à notre client. » Je ne réponds rien et commence à avoir une idée de ce qui va m’arriver mais je ne dis rien. Je suis le mouvement, embarqué par cette femme qui démarre son moteur et sort de la zone industrielle pour entrer dans un quartier délabré et mal fréquenté ; je constate que des jeunes qui traînent aux pieds des tours nous regardent d’un mauvais œil. Je commence à flipper et m’attend à être livré à une bande de mecs dans une cave, je supplie : « S’il vous plaît, non, je ferai ce que vous voudrez mais pas ça… » Elle se gare et tir le frein à main, puis me regarde sans émotion et dit : « Tu veux pas quoi, merdeuse ? » Elle suit mon regard sur le groupe de type amassé plus loin. Elle éclate d’un rire sinistre et dit : « Mais non ! T’es déjà réservée ma grande et je te veux toute propre pour lui ! Disons que c’est un bon client… ». Nous sortons de la voiture et nous montons les marches pour atteindre la porte de l’allée. Les mecs qui traînent nous ont vu, enfin, m’ont vu, malgré la nuit, et je vois qu’ils me jettent des regards très intéressés. La femme m’attrape par le bras une fois dans l’allée et me dit, d’un ton menaçant : « Je te préviens, petit trainée, tu me fais un coup de pute et je te livre à ces zonards dehors, c’est compris ? » J’hoche la tête en signe d’approbation, et on commence à monter les marches.
Arrivée au deuxième étage, devant une porte, elle me dit : « Je t’attends dans la bagnole. Il va te filer une enveloppe avec le fric. Pas d’entourloupe, je sais combien il y a. T’es à lui pour une heure, tu fais ce qu’il te demande, comme il te le demande. Avec un peu de chance, il en aura pas pour longtemps mais je suis sûre que vas apprécier vu tes penchants… » Elle ricane et descend les marches. « Ah oui ! Tu dis que tu viens pour les soins, bien entendu ! » Lance-t-elle depuis les escaliers, avant de disparaître. Je me retrouve devant la porte, seule. Je sonne. Tout de suite après, j’entends un pas claudiquant, suivit d’un bruit sourd, comme si on marchait avec une canne : la porte s’ouvre. Un mec d’à peu près l’âge de Bruno se tient dans l’encadrement. Il a un visage buriné, couvert de tâches rouge, un gros nez, des yeux injectés de sang ainsi qu’une petite touffe de cheveux blanc et gras, sur un crâne presque chauve. Il est gros, possède un ventre bedonnant qui forme comme un ballon de plage sous un gilet vert et miteux. Des poils blancs en dépassé d’ailleurs au niveau du torse, et je constate que son pantalon en toile gris est déboutonné et la ceinture défaite. Derrière lui, j’entends les voix d’un film porno qui retentissent et une odeur nauséabonde commence à me parvenir jusqu’aux narines. Ça sent également le renfermé, mais pas comme chez Bruno. Ici, l’odeur forte a quelque chose d’agressif et de désagréable. Sa bouche se tord en un sourire, il n’a plus beaucoup de dents et je vois qu’il a des dépôts blancs aux coins des lèvres. Ça me dégoute. « Ah ! Bonsoir ! Vous devez être… » Je ne dis rien, je le regarde, tout simplement. Il s’avance vers mon insigne et lorsqu’il arrive enfin à la déchiffrer, il dit : « Entre Candice ! » Me dit-il en s’écartant de la porte. Je rentre en passant devant lui, sentant son regard vicelard se poser sur mes jambes et mon cul.
Il s’arrête devant moi et se passe plusieurs fois la langue sur les lèvres alors qu’il mate mon décolleté puis mes jambes : « Melissa a très bien choisi, cette fois ! tu…hum, très alléchante, ma petite ! » Je ne sais pas trop quoi répondre mais là, je me dis qu’enfin, je réalise un de mes fantasmes ; ce vieux n’est pas comme Bruno, je lis dans ses yeux qu’il est vicieux et qu’il n’a pas l’air de ressentir la moindre gêne face à moi. Je suis offerte pour une heure à ce type et je repense à ces films pornos que j’ai vu, impliquant un vieux et une gamine de mon âge. C’est ce que je voulais. Je le suis dans son salon. A la télé, une gamine de mon âge avec des tresses et des vêtements semblables aux miens est à genoux, en train de sucer des mecs qui pourraient être son père…ça me fait quelque chose, je sens que je commence à avoir chaud au niveau de l’entrejambe. Le vieux se traine difficilement jusqu’au canapé et s’assoit dedans. Il baisse son pantalon, le retire : son membre, dressé, ne doit pas mesurer plus de 8 ou 9 centimètres. Je n’avais jamais vu de bite aussi petite et il avait l’air de bande en plus…Il me regarde en se touchant les couilles et je lui annonce, la chatte commençant à s’ouvrir un peu : « Bonjour Monsieur, je viens pour vos soins… »
Je m’approche de lui et me met à quatre pattes. Affalé dans le canapé, il respire vite, très excité ! Instinctivement, je me dis que je vais commencer par le branler. Il me fait : « Viens sur le canapé avec moi ! » Je me relève et me met à quatre pattes à côté de lui. Je le regarde droit dans les yeux : il me jette un regard coquin et me dit : « Allez, suce-moi ça Candice ! » Je lui réponds, d’instinct : « Oui, Monsieur ! » Et je descends ma tête vers son pénis mais je manque d’avoir un mouvement de recul : une odeur poisseuse, très forte, s’en émane. Je crois qu’il n’a pas vu mon mouvement de recul, mais je sais qu’il a déjà dû jouir plusieurs fois devant son porno avant que j’arrive. Au plus près, je constate qu’en effet, quelques-uns de ses poils pubiens sont séchés et collés entre eux et son gros gland violacé est humide et couvert de pré-sperme visqueux. Ce n’était pas vraiment ce que j’imaginais, et le gars perd patience pendant mon hésitation : « Allez, ma petite ! Suce-moi, allez ! » Je ferme les yeux, et plonge ma tête en apnée.
Je lèche d’abord ses deux boules, et m’empare de sa bite dans ma petite main qui arrive à s’en emparer entièrement tellement elle est petite. En revanche, elle est large, et son gland est gros. Je le branle comme je peux, je l’entends respirer et faire des « aaaah » de soulagement. Je lèche ses boules, prenant soin de bien laisser ma salive dessus et j’alterne entre la gauche et la droite en les mettant dans ma bouche une par une. Je vois qu’il kiffe. Je repousse le moment où je devrais mettre sa queue dans ma bouche mais il insiste : « Allez, maintenant tu me suces ! » Je n’ai plus vraiment le choix. Je ressors sa boule de ma bouche – qui a maintenant la couleur de mon rouge à lèvre – et je m’avance vers son gland.
Je le lèche afin d’en retirer le près sperme déjà dessus. Une fois, deux fois, le goût est horrible ; poisseux comme l’odeur, comme quelque chose d’avarié. J’en déduis qu’il ne doit pas se laver beaucoup non plus et je décide de me lancer et de le prendre en entier dans ma bouche. J’ai un relent, une nausée au plus profond de moi, mais peu à peu, en faisant des allers-retours très court sur sa petite queue et voyant le plaisir que je lui offre, je commence à oublier les désagréments et l’excitation revient au galop, je réalise cette fois-ci que je suis en train de faire ce qui m’a toujours fait fantasmer ! Ma chatte est totalement ouverte et mouille abondamment. Pas besoin de le branler en même temps vu la taille, donc je me frotte le clito pendant que je le suce. Je sens qu’il passe une de ses mains sous ma robe d’infirmière et qu’il me caresse les fesses. Il dit : « Ouh ! Quel cul, ah, il est énorme, putain ! » Je retire son membre de ma bouche, un gros filet de bave s’étirant de son gland jusqu’à mes lèvres rouges et dit : « Allez-y Monsieur, tapez-moi ! » Il sourit. Un sourire gras et me dit : « Ah ! T’aimes ça petite coquine, hein ? » Puis il me frappe les fesses à plusieurs reprises avec le plat de sa main. D’énormes fessées ! Je n’en ai jamais prise des comme ça et je surkiffe ! Il n’y a pas d’autre mot ! Je gémis tout en continuant de le sucer rapidement. Il fait des commentaires à chaque claquement du style : « Tiens ! » « Voilà ! » « Prends ça, Candice » !
Je sens que je peux le terminer très vite, mais je sais que je dois rester durant une heure. Je le vois qui souffle de plus en plus longuement, que les traits de son visage se tirent, se referment, je sens son membre qui a de légers à-coups et quelques saccades de pré-sperme me reviennent en bouche de temps en temps. Il a stoppé les fessées et me dit : « T’as le cul tout rouge, ma petite ! » Je sors sa bite de ma bouche et passe ma main dessus ; ma salive et son jus la font glisser entre mes petits doigts. Il me dit : « Putain c’est bon ! Doucement…doucement…oui, je vais jouir sinon, ma petite ! » Je le branle plus doucement, et je me caresse le clito au même rythme. Il se lèche le majeur à plusieurs reprises, je sais ce qu’il veut faire : « Dans le cul, tu aimes ? » Me demande-t-il. J’en frissonne et répond : « Oui, j’adore ça monsieur ! » Il sourit de nouveau avec cet air vicieux et sans prévenir, il me rentre son immense majeur dans l’anus…j’en pousse un glapissement de chienne et il pousse, il pousse, jusqu’à me le rentrer totalement ! J’expire longuement en fermant les yeux : « Oh oui c’est bon, monsieur ! » Il se lèche les lèvres avec délectation et ressort son doigt, puis le rentre à nouveau, le ressort, le rentre, de plus en plus vite ! Je commence à monter moi aussi ! J’adore ça !
Je continue de le branler doucement pendant qu’il me doigte le cul et il va de plus en plus vite quand il respire, il pousse de petits gémissements du fond de sa gorge et je sens qu’il va venir. Je le regarde, il a les yeux fermés et me dit dans un souffle rauque : « Dans ta bouche, ma petite, dans ta bouche ! » Je sens qu’il va venir très vite, et sans hésiter alors que je ne l’ai jamais fait, je reprend son membre visqueux dans ma bouche et je l’entends venir dans un râle de plaisir : je sens sa semence tapisser mon palais, jusque mes amygdales, et j’en ai sur toute la langue, il ne s’arrête plus, il pose sa main sur mes cheveux et je rentre sa bite au max dans ma bouche, me frottant le clito avec force et rapidité. Quand je sens qu’il a tout lâché et qu’il relève la tête vers son plafond je ressors son membre de ma bouche et me tourne vers lui, la langue sortie, encore maculée de son sperme et lui dit en me masturbant à toute vitesse : « Oui, Monsieur, Oui, oui, je viens, aaaaaah ! » En effet, je viens, et pour la première fois de ma vie, je gicle ; à grosse gouttes, une fois, mais je gicle sur son canapé des gouttes de mon jus intime. Il voit ça et sourit puis me dit : « Avale ce que tu as dans la bouche ! » En effet, il reste encore du sperme, je referme ma bouche, avale ce qui reste et la rouvre pour lui montrer. Il a un air satisfait tout en reprenant son souffle.
Ça fait 35 minutes que je suis chez lui. Je suis allé lui prendre un grand verre d’eau. Je suis dans le canapé à côté de lui, les seins à l’air, mouillés car il me les lèche de partout et s’attarde particulièrement sur les tétons. Je sens que je pourrais revenir, mes yeux se révulsent et il me touche maladroitement la chatte sous ma robe mais ça me fait quand même beaucoup d’effet. Il m’a dit, avant que j’aille prendre le verre d’eau, qu’il n’arriverait probablement pas à rebander mais qu’il avait adoré notre « contact » et qu’il voulait profiter des dernières minutes. Il stoppe avec mes tétons et me dit : « Tu veux que je te fasse venir, petite ? » Je lui réponds : « Oh oui, Monsieur, j’en ai tellement envie ! ». Il me dit de m’allonger sur le canapé, je le fais, jambes écartées, et il vient mettre sa tête entre mes cuisses. Il me dévore la chatte avec sa langue, me suce le clitoris et me lèche également l’anus ! Il se débrouille très bien, je vois qu’il a été un grand connaisseur à l’époque. Il alterne entre des petits coups de langues et des longues léchouilles sur mes parties, je sens que mon cœur s’accélère, je commence à monter de nouveau, je gémit de plus en plus vite et surtout…de plus en plus fort, c’est trop bon ! Je mets ma main devant la bouche pour ne pas ameuter toute sa montée d’escaliers. Il rentre sa langue dans ma chatte, je lui prends la tête à deux mains pour bien le garder entre mes cuisse et…la libération ! Je reviens, je rejette encore un petit jet de cyprine et je l’entends me dire : « T’adores ça ma petite ! » Les joues en feu, reprenant mon souffle sur le canapé, je lui murmure : « Oh oui, cest très bon ! »
Je bois un verre d’eau, lui en ressert un ; il reste 5 minutes. Il me tend une enveloppe et me dit : « il y a tout ! » Il fouille dans sa poche et sort un billet de 50 Euros : « Tiens ! C’est un petit supplément, parce que tu étais géniale Candice ! La prochaine fois, ce sera toi j’espère ? » Je range son billet et lui répond : « Non, Monsieur. C’était juste une fois…en vérité, j’avais une dette envers cette…cette femme » il semble déçu : « Oh ! Je vois…écoute, je te laisse mon numéro de téléphone. Tu suces super bien et je suis un peu sur ma faim…appelle-moi à l’occasion, d’accord ? » Je lui dis que c’est ok, prends son numéro et vais pour ressortir quand il me lance : « Merci Candice ! C’était exquis ! » Je lui souris radieusement et répond : « Pour moi aussi ! » Puis je repars dans l’allée.
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