Le Contact est il possible entre une jeune femme et un senior ? (Partie 6)

- Par l'auteur HDS CCCandice -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Le Contact est il possible entre une jeune femme et un senior ? (Partie 6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le Contact est il possible entre une jeune femme et un senior ? (Partie 6)
Je n’ai plus de nouvelles de Bruno…cela fait une semaine maintenant que je suis allé chez ce vieux déguisée en infirmière. Depuis, il ne s’est pas passé grand-chose dans ma vie et je dois dire que le fait d’avoir été prise sur le fait par cette « Mélissa » m’a un petit peu calmée. En revanche, l’expérience avec son client m’a faite beaucoup de bien et il m’est arrivée de me masturber dans mon lit en y repensant, tellement c’était bon. J’en veux encore ! Mais surtout, je veux que ce soit Bruno. J’ai regardé mes mails quotidiennement et rien…aucune nouvelle. J’en suis même arrivée à me demander s’il ne lui était pas arrivé quelque chose. On était samedi, il fallait que j’en ai le cœur net ; malgré mes réticences vis-à-vis ce qu’il pourrait arriver si cette horrible femme me voyait tourner autour de chez Bruno, je décide de sauter le pas et de prendre ma voiture pour aller chez lui…Une fois arrivée, je sonne à l’interphone un bon nombre de fois mais rien. Il n’a pas l’air d’être là. Je prie intérieurement pour qu’il ne lui soit rien arrivé. On tousse derrière moi : je me retourne. Un homme d’une cinquantaine d’année, grand et chauve, me fait face. Il a quelque chose de soupçonneux dans ses yeux clairs : « Bonjour. Je peux vous aider ? » je lui répond : « Oui. Peut être. Je cherche Bruno, ça vous dit quelque chose ? Je n’ai pas de nouvelles depuis un petit moment et je m’inquiète… » Il me contemple de haut en bas, s’arrête bien sur mes seins qui forment comme deux collines sous mon manteau puis sur mes jambes qui dépassent de ma jupe bordeaux. « Oui, je connais bien Bruno ! Et vous êtes ? » Me demande-t-il toujours aussi suspicieux. J’avale ma salive difficilement et répond : « sa petite nièce…c’est l’oncle de mon père. » comme la femme l’autre fois, je constate qu’il ne me croit pas. D’ailleurs, il me répond avec un sourire gênant : « C’est toi Candice ? » j’ai l’impression d’avoir de nouveau du mal à avaler ma salive : comment connaît-il mon nom ? Bruno lui a parlé de moi ? Je ne vois aucune autre hypothèseJe lui dit : « oui. Comment connaissez-vous mon nom ? » Il sourit encore, toujours avec cet air gênant comme s’il avait une idée en tête et me répond : « j’habite juste à côté de chez Bruno. Je sais que tu n’es pas de sa famille. Bruno est très malade, t’es au courant ? » Je me sens coupable et baisse les yeux : « je…je l’ai appris que récemment… » il reprend la parole : « Je connais Mélissa, son infirmière. Pour toute te dire, elle vient me voir quand elle passe s’occuper de Bruno…disons que…elle et moi, on est plutôt intimes, tu comprends ? » Il connaît cette horrible mégère qui m’a fait du chantage, je me sens pas très bien. « Candice, je suis au courant de tout. Il faut que tu saches que Bruno est en maison de repos, il a eu un malaise le jour même où tu es passé chez lui. Il se repose. » Il s’arrête et reprend, en me déshabillant du regard : « Il faut aussi que tu saches que Mélissa m’a demandé de surveiller les allers et venues chez Bruno. Il se trouve que je dois l’informer si je te vois… » je l’interrompt immédiatement : « Ecoutez, je ne veux pas d’ennuis avec elle, je voulais juste savoir où… » il me coupe : « Menteuse ! Je sais ce que tu venais faire chez Bruno. J’imagine qu’il te payait pour ça ? » je baisse le nez et répond sincèrement : « Non. Pas un sou. Je ne voulais pas de son argent de toute façon. Je voulais… » Je m’arrête, il attend la suite et me regarde avidement : « je voulais juste réaliser un fantasme. Tout simplement…je suis navrée.. » il me répond : « Mélissa m’a racontée qu’elle t’avais emmenée chez un de ses clients pourtant… » Rougissante, je lui explique : « il ne s’est rien passé. Enfin, j’ai juste…euh…on n’a pas bai…couché ensemble… » je regarde toujours le sol, les mains dans le dos, je me sens honteuse de faire ces confidences-là à cet homme qui me dévisage à nouveau avec cet air gênant.
Il se retourne, constatant que personne ne peut entendre puis me regarde à nouveau : « Je sais où Bruno est en maison de repos…je peux te donner l’adresse, Candice. » Pas totalement naïve, je dit : « moyennant quoi ? » un rictus apparaît sur ses lèvres : « Tu montes avec moi un moment… » je veux revoir Bruno, mais je ne veux plus me retrouver dans de sales histoires. Voyant que je réfléchis, il me dit : « ça ne t’engage à rien, Candice. Mais…si tu ne veux pas le perdre, c’est ta seule chance je crois… » Il me fixe comme si j’étais un morceau de viande très alléchant, je me pose des questions : est-ce qu’il est sincère ? Est-ce que je veux revoir Bruno ? Pour la première, je n’en saurais jamais rien mais pour la seconde question, je sais que oui, je veux concrétiser ce qui s’est passé chez Bruno avant que Mélissa ne nous surprenne. Cela avait été tellement intense…je lève mes deux billes bleus vers cet homme et le prévient : « Ecoutez…j’ai…disons, des trucs de fille… » il se ricane et montre les dents : « T’as tes règles, quoi ! Oh ! On va bien pouvoir s’arranger, tu crois pas ? » Je baisse les yeux, il ouvre la porte de l’allée avec son badge et me fait signe de passer devant avec un air triomphant: « Après toi, petite »À peine arrivés dans l’entrée, il ouvre sa ceinture et déboutonne son jean : « Allez, tu me suces, Candice, on verra après… » sans rien dire, encore vêtue de mon manteau, je me pose à genoux et entreprend de baisser son caleçon : un long membre d’une quinzaine de centimètres s’offre à moi, il est dur mais pas encore totalement en érection. Je l’empoigne et fait des vas et viens avec ma petite main pour le branler. « Allez, suce-la, allez ! » Je la porte à ma bouche immédiatement et décide de la gober entièrement. Je la sens taper sur mon palais, son goût est bien meilleur que celle du vieux de la semaine dernière. Il pousse un grognement sourd et lève sa tête au plafond : « Putain c’est bon ! » Rugit-il en me poussant la tête avec sa main. Sens que j’ai besoin d’air, je la ressort, couverte de salive et la branle à nouveau : il bande au max. Et c’est une très belle queue qui s’offre à moi. Je lui lèche le gland en faisant des rotations avec ma langue, puis le branle en m’occupant de ses couilles intégralement rasées. Il prend son chibre et le place en travers de mon visage, je continue à manger ses boules délicieuses. Je me sens mouiller, il me place son membre devant mes grosses lèvres rouges et fait le forcing : j’ouvre bien grand et le suce de nouveau en faisant de long va et vient, tout en le branlant. Je savoure avec de petits gémissements, lui caresse ses couilles couvertes de ma salive. « Oh ouais Candice ! T’as une bonne bouche ! » Flattée, je retire sa queue dans un bruit de succion et lui murmure un « merci » avant de téter son gland violacée et humide.
Ça fait bien dix minutes que je lui taille une pipe, je le sens partir de plus en plus, il lâche de petit gémissements saccadés et sa bite a comme des sursauts. Ça m’arrangerait qu’il jouisse : comme ça je n’aurais pas à aller plus loin mais il retire rageusement sa bite de ma bouche et me dit : « lèves-toi, va là bas ! » Il me désigne de la tête une porte au fond d’un couloir et j’ai une idée de l’endroit : sa chambre. Je pénètre à l’intérieur, il me suit de très près. Il n’allume pas la lumière et me pousse sur le lit : je tombe face contre le matelas. Il soulève ma jupe, exhibant mes collants et en dessous, un de mes strings à dentelles noir : je lui dis : « j’ai mes règles, je peux pas… » il me coupe la parole : « J’en peux plus, il faut que je te prenne, gamine… » Sans autre choix possible et avec un soupçon d’envie malgré tout, je me mets à genoux et lui offre mon gros cul en me cambrant. Il semble comprendre : « Ah ! Je sais ce que tu veux ! Dis-le moi, petite, allez ! » Je tourne légèrement ma tête et chuchote : « prenez moi dans mon cul, Monsieur… » il jubile, se touche le membre qui pointe vers le plafond et retire jean totalement cette fois ainsi que le reste de ses fringue. Il se retrouve très vite à poil : je relève bien les pans de ma jupe et il me baisse mon collant jusqu’à mi-cuisse, exhibant mes jambes blanches et mon cul de la même couleur. Il me claque la fesse droite en se délectant de la vue : « Oh ma petite, quel cul ! Je vais m’en occuper » je baisse mon string de façon à ce qu’il ne voit que mon petit trou. Il pose ses deux mains sur mes fesses et titille mon trou avec un de ses pouces. Je me sens partir et bouge doucement mes hanches. Je sens que je mouille plus que jamais.
« Candice, je vais te baiser ! » Me dit-il en me remettant des tapes sur les fesse. Sous chaque claquement sec, résonnant dans la pièce, je pousse un petit couinement bref et je sens qu’il colle sa bite mouillée de ma salive contre mes fesses. Je réfléchis et me dit que je n’ai pas de capotes. Que je n’ai jamais fait ça et que je n’ai pas non plus tellement de lubrifiant…je tourne ma tête du mieux que je peux et dit, haletante : « vous avez ce qu’il faut ? » Il se met à rire. Un rire franc et glacial : « ce qu’il faut ? J’dois avoir une capote, attends ! » Il va jusqu’à sa table de chevet et en sort une qu’il déballe et déroule sur sa grande bite. Il revient vers moi mais près de mon visage, il m’offre sa queue : « suce-là, j’ai rien pour lubrifier donc ça vaut mieux » je reprends son membre en bouche, en entier, je sens que lorsqu’il arrive à ma gorge, je manque de m’étouffer et me recule un peu, mais sa bite est bien mouillée comme ça. Je répète l’opération en fermant les yeux deux ou trois fois, faisant des bruits de gorge un peu sourd lorsqu’il atteint ma gorge et enfin, je lui ressors sa queue : j’ai un arrière goût de latex en bouche – qui n’est pas si désagréable- il revient derrière moi illico et décale ma fesse gauche il frotte son chibre sur ma raie et je sens qu’il frôle mon anus. Il a compris, s’arrête dessus et pousse doucement dans un premier temps. Il glisse une fois et retombe en dessous. Il lâche un leger grognement et reprend sa bite en main qu’il remonte pour la replacer contre mon cul. Il pousse, voyant que ça ne rentre pas, il force. Je décide de cracher dans ma main et la passer jusque sur mon anus pour le lubrifier au naturel. Il crache également sur mon cul et imbibe sa bite de salive qu’il replace sur mon anus. Excitée, je suis également un peu soucieuse, cela reste ma première sodomie…Il maintient mes énormes fesses blanches et me fait même mal alors qu’il enfonce ses ongles dedans mais il est concentré à pousser sa queue dans mon fondement. J’ai mal, je ferme les yeux et serre les dents, il ne peut pas me voir. Je l’entends gémir doucement au fur et à mesure qu’il rentre le sommet de son gland dans mon cul : c’est bon, ça me rappelle quand Nico me met son pouce et petit à petit je sens que mon anus se dilate, s’agrandit , tandis qu’il continue son avancée en soupirant de plaisir dans un doux gémissement. Il chemine en moi et je me sens mieux, je n’ai plus mal au fur et à mesure ; c’est comme si mon conduit anal s’adaptait parfaitement à son membre. Je sens qu’il fait marche arrière dans mon cul avant de repartir en avant, prenant bien soin maintenant de ressortir lentement l’intégralité de sa queue et de me la remettre. Il effectue des vas et viens, ça me fait un bien fou ! Ce n’est pas mieux que par « devant » c’est juste différent, je le sens à l’étroit et mon anus me comble de plaisir. Il va un peu plus vite maintenant, en faisant des bruits de gorge et soupirant encore. Je colle ma tête sur le matelas, la langue sortie. Je sens que je sue tout ce que je sais, les cheveux me colle au front, je suis brûlante, mais qu’est ce que j’aime qu’il m’encule ! Sa bite me va comme un gant ! Il me met des fessées en même temps qui résonne dans tout l’appartement sûrement et je gémis de plaisir, à haute voix, j’essaye de me taire mais je n’y peux rien, je gémis, je mouille comme une chienne, j’ai presque envie qu’il s’occupe aussi de ma chatte, je ne veux pas que ça s’arrête !
« Ta gueule ! » M’ordonne-t-il en détachant les syllabes lentement vu qu’il est à bout de souffle. Mais je n’y peut rien, sa chevauchée me tue et je ne peux plus me retenir : « Monsieur ! C’est tellement bon, aaah ! » Il m’attrape les cheveux et les tire en arrière, m’obligeant à lever le menton au plafond. Je sens les gouttes de sueur perler sur mon visage, il me prend la bouche avec des doigts que je suce goulûment, je sens que ça me brûle dans le cul et il se déplace maintenant avec une aisance et une facilité dans mon conduit comme s’il était dans ma chatte…et je sens que je commence à venir, je sens que ça va être puissant, je sens que je vais éclater, je gémis plus fort, plus aigu, il me met la main devant la bouche et j’hurle comme une chienne tandis que je gicle à grosse goutte sur ses draps en tremblant dans tous les sens. Un grognement sonore derrière moi m’indique qu’il jouir aussi et je sens en effet sa queue trembler dans mon cul. Je retombe, vaincue, contre lit, haletante, le visage brûlant et humide. Je l’entends quitter la pièce. Il revient et me jette un petit bout de papier sur lequel je distingue une adresse et un numéro de téléphone. Il se craque une clope et me regarde, assit sur le lit, pendant que je me redresse et remonte mon string et mes collants. Il me décoche un sourire vicieux : « C’était bon hein, gamine ? » Je fais « oui » dans un souffle ; j’ai tellement mal au cul, je sens que ça me brûle, mais je suis encore toute chose de l’intensité avec laquelle je suis venue. C’était sans hésitation la meilleure baise de toute ma vie, et j’ai beau avoir mal, j’ai déjà envie de me refaire prendre par ici…je lui dit : « merci » il me répond : « je t’aurais bien redonné rencard Candice, mais Mélissa…fais en profiter Bruno, s’il est en état…je ne réponds rien et repars directement, bien décidée à reprendre contact avec Bruno, ne serait-ce que pour savoir comment il va
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