Le Contact est il possible entre une jeune femme et un senior ? (Partie 7)
Récit érotique écrit par CCCandice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le Contact est il possible entre une jeune femme et un senior ? (Partie 7)
Dans mon lit chaud, écoutant la pluie marteler les vitres de mon studio, je repense à ce qu’il s’est passé 3 jours avant…ma première sodomie. Mon anus s’en souvient encore mais surtout, ma mémoire n’est pas prête d’oublier cette sensation de plaisir que j’ai ressenti lorsque le voisin de Bruno effectuait de longs vas et viens dans mon conduit. J’ai été baisée comme une chienne chez ce type d’au moins 35 ans de plus que moi et le simple fait d’y repenser m’excite et me fait mouiller dans mon intimité. De plus, je passe mes doigts tout autour de mon petit trou en me rappelant qu’hier encore, je me faisais ramoner par ici…je décide de me toucher et de me faire du bien avant de m’occuper du cas de Bruno que je désire revoir plus que tout.
Je regarde sur Internet et ne met pas longtemps à trouver l’endroit où il est en maison de repos ; c’est à une demi-heure de chez moi, en campagne, dans un centre tout neuf, construit il y a deux ou trois ans. Je me dit que je vais y aller cet après midi et je réfléchis à ce que je vais dire une fois arrivée là bas, pour ne pas éveiller les soupçons de qui que ce soit ce coup-ci. Je décide de me faire passer pour sa petite fille. Je vais m’habiller, j’opte aujourd’hui pour une jupe écossaise sous laquelle je mets de simple bas noirs à dentelles. Je choisis une petite culotte rouge, également à dentelles, et pour le haut, je mets un gilet en laine noir à boutons, dont je laisse ceux du haut ouvert sur ma gracieuse poitrine Emprisonnée dans le soutien gorge assorti à la culotte. Je mets mon habituel rouge à lèvre pétant qui me fait de grosses lèvres charnues, m’attache les cheveux en une longue tresse qui me descend dans le dos puis je décide d’aller admirer le résultat dans le miroir : je me trouve plutôt séduisante et j’espère que Bruno appréciera…si je peux le voir…
Je décide également de consulter mes mails pour constater le flot de messages dans ma boîte principale, de la part de seniors qui répondent encore à mon annonce. Je remarque que je n’ai rien de neuf de la part de Bruno. Cependant, un mail attire une nouvelle fois mon attention, comme ce fût déjà le cas précédemment. C’est celui d’un type qui utilise toujours un langage cru quand il m’écrit, me disant à chaque fois qu’il en a « une énorme à me faire bouffer » que si je veux une « grosse bite de Papy » avec lui je serai servie, qu’il a très envie de me « démonter ». Il m’a réclamé souvent des photos et au début, je n’y faisais pas attention mais cette fois, il a joint une vidéo…je décide de cliquer dessus : une très mauvaise qualité d’image m’offre la vue sur un homme à la peau vieille certes mais dont le corps est musculeux. Il a l’air grand, et apparemment dans le noir, je le vois astiquer un énorme membre flasque et large qui pend entre ses cuisses et qui je le vois très bien, n’est pas à sa taille maximum…la vidéo ne dure que 20 secondes, je ne vois pas son visage mais je sens ma chatte frétiller de plaisir… « quelle queue ! » Je me dis avant de reprendre mes esprits et mettre ce mail de côté, histoire de peut-être y répondre plus tard. Mais mon objectif premier est de retrouver Bruno. J’enfile un manteau, prends mes clés de voiture et décolle enfin de chez moi.
Je mets le GPS et je pars. Le temps est pourri : la neige tombe et la route est incertaine. Je commence à me demander si je n’ai pas fait une connerie d’aller en rase campagne avec ce mauvais temps mais je dois revoir Bruno et surtout, m’assurer que celui qui m’a offert mes premiers émois avec les seniors aille bien. La route, sinueuse, est de plus en plus dangereuse, et je fais tout pour me concentrer au maximum sur ma conduite. J’arrive enfin au centre une heure plus tard. Au chaud, je vais vers la réception où une secrétaire d’a peu près mon âge m’accueille : « Bonjour, que puis-je pour vous ? » je réponds : « Bonjour, je viens voir Bruno B., Cela va faire environ une 10 jours qu’il est entré ici…je suis sa petite fille. » la secrétaire me sourit : « Ah oui ! Un monsieur charmant ! Je vois très bien qui c’est mais…il se trouve qu’il rentre chez lui aujourd’hui ! Vous n’étiez pas au courant ? » Effarée, j’ouvre de grands yeux : « Mais…non, c’est impossible ! Il a fait un malaise et… » elle me coupe poliment et sourit : « c’était juste un petit malaise vagale, mais Monsieur B. Connaît bien l’établissement, et il est toujours bien ici. Quand il a une petite rechute, il revient pour se reposer. C’est Mélissa, son infirmière qui doit venir la chercher…ça vous dit quelque chose ? » Mon cœur se soulève dans ma poitrine et je me sens mal tout à coup. Cela doit se voir puisque la secrétaire perd son joli sourire : « Euh…tout va bien ?! » Je refais mine de sourire : « Oui, oui, bien sûr, je suis juste un peu…euh…déçue, vous comprenez ? C’est bientôt Noël et je voulais passer du temps avec mon grand père… » Elle semble triste pour moi mais son visage s’éclaire soudainement : « Ecoutez ! Melissa doit venir le chercher vers 17H, ça vous laisse un peu de temps. » Je fais mine de sourire et répond : « Oui, bien sûr » Et elle me donne son numéro de chambre.
Je me retrouve au deuxième étage de l’établissement, devant la chambre numéro 28. Je trépigne d’impatience de revoir Bruno mais j’appréhende également et surtout, le fait que Mélissa soit censée venir le voir me fait stresser : je ne veux plus aucun rapport de près ou de loin avec cette femme. Et malheureusement, je me dis que ce pourrait être la dernière fois que je peux me retrouver seule à seule avec Bruno, étant donné qu’après, il rentrera de nouveau chez lui et il est évident qu’avec Mélissa dans les parages et le voisin qui m’a enculée et qui connait Bruno ainsi que son infirmière, je ne retournerai pas là bas de sitôt. Je souffle un grand coup et frappe à la porte. De derrière, j’entends un « Oui, entrez » un peu fébrile. Je pousse la porte. La minuscule pièce comporte un lit médicalisé, et un petit fauteuil à côté dans lequel Bruno est installé, paisiblement, en face d’une télévision. Ses yeux bleus s’écarquillent : il s’attendait à tout, sauf à moi. Il porte un jean marron et une jolie chemise jaune moutarde. Un léger sourire apparaît sur ses lèvres. Je lui en adresse un également. « Candice… » me souffle-t-il. Je referme la porte derrière moi et m’approche de lui doucement : « Monsieur… » il tend sa main pour prendre la mienne que je lui donne. Il l’embrasse en me fixant de son beau regard. « comment vous sentez-vous ? » Je lui demande, inquiète. « Je suis…très fatigué… » me dit-il. « Tu m’as manqué… » me confie-t-il. Je lui répond : « Moi aussi, Monsieur… » il me dit tout doucement : « Depuis que Mélissa nous as surpris, j’ai pas arrêté de penser à toi…à ton regard…à tes… » je le sens rougir, il détourne le regard. Je lui dit : « Je croyais que je ne vous reverrez jamais… » il me répond, baissant les yeux : « Moi aussi. » il prend une profonde inspiration, comme s’il manquait d’air et me dit : « Candice. Belle Candice. Je n’ai plus envie de continuer… » je sens mon estomac faire un tour sur lui-même : « Mais Monsieur ! » Il me coupe : « Non, non ! Pas avec toi » m’assure-t-il : « …Avec la vie…Mélissa me mène la vie dure et je n’ai pas de famille. Un de mes voisins profite également de ma situation…il me vole de l’argent… » je me dis que je ne lui dirai rien à propos de lui mais je ne reste pas indifférente quant à ses problèmes : « Monsieur ! Je peux vous aider, je peux contacter la police et… » il lève une main pour m’interrompre : « Tu ne sais pas de quoi Mélissa est capable…je ne veux pas qu’elle te fasse d'ennuis… » je reste muette et baisse le regard. Je sais à peu près de quoi elle est capable oui. Bruno reprend, le regard fuyant : « Tu sais ce que j’aimerais…belle Candice…avec Toi… » il me regarde, les yeux brillants, je me sens happée vers lui, j’ai très envie de l’embrasser, mais…TOC TOC TOC ! je sursaute, Bruno aussi, derrière la porte, une voix : « Monsieur B., Je viens pour la collation ! »
C’était moins une ; la personne venait de servir la collation de Bruno et avait demandé qui j'étais. Bruno avait dit que j’étais sa petite fille et nous nous retrouvâmes à nouveau tous les deux. Pendant qu’il boit un verre de jus de pomme, je réfléchis : oui, j’ai envie de coucher avec lui mais…ici, ce sera trop compliqué. Je le regarde, il me contemple à nouveau comme si j'étais une merveille, chose qui me met en émoi. J’aime me sentir désirée, belle dans le regard d’un homme. C’était le cas chez lui. Je me rapproche doucement, passe derrière le fauteuil et ferme les grands rideaux qui donne sur le parc. Je vais à la porte et constate qu’il n’y a pas de verrou…je suis embêtée. Bruno aussi : « Candice…je…je…on pourra pas ici, tu comprends ? » Je hoche la tête en signe d’approbation et me dit qu’il a raison : si quelqu’un entre au moment où…il se passe quoi que ce soit, ce pourrait être fâcheux. Mais l’envie est bien trop forte. Je décide de passer mes mains sous ma jupe et de retirer ma petite culotte que je range dans mon sac. Je le dévore du regard, il en fait de même, le souffle court et je vais m’assoir sur l’accoudoir de son fauteuil, en relevant ma jupe à l’arrière, pour qu’il puisse toucher mon cul. Je prends la télécommande sur l’autre accoudoir et monte le son en lui jetant un regard séducteur…
Il passe d’abord sa main douce et chaude sous ma petite chemise en laine et me caresse mon dos délicatement. J’en ai des frissons, ma peau s’accélère et frémit sous ses doigts qui se baladent sur moi. Il me fait beaucoup de bien et je prends sa main sans me retourner et la glisse sous ma jupe. Il effleure mes fesses et commence là aussi à balader ses doigts, toujours avec une délicatesse qui me fait un effet fou ! Quelques instants plus tard, il me les malaxe, et je regarde vite fait son entrejambe : il bande dans son jean, une grosse bosse apparaît maintenant. Je l’entends qui respire fort, heureusement que j’ai monté le son du téléviseur et je sens qu’un de ses doigts cherche dans ma raie, en descendant. Il arrive là où il voulait aller : mon anus. Il le titille, je croise mes jambes et les serre en me mordant ma lèvre inférieure. Je commence à mouiller et Bruno rentre tout doucement son doigt dans mon cul, je gémis dans les aigus, une seule petite fois et mets ma main devant ma bouche. Son doigt est rentré en entier, il le ressort tout doucement et je gémis à nouveau, encore plus lorsqu’il le rentre encore…ses râles de plaisir me parviennent, je glisse ma main par-dessus son jean et caresse la bosse dure qui est en-dessous, il lâche un petit « oooh ! » Qui aurait été très audible si je n’avais pas monté le son de la télé. Je continue mes petits gémissements en frottant sa queue pendant qu’il me lime dans l’anus avec son majeur…TOC TOC TOC ! « Monsieur B. Je peux rentrer ? » Je retire ma main immédiatement, lui son doigt de mon trou et il se racle la gorge pendant que je me redresse de l’accoudoir : « Oui, oui, vous pouvez…
Cette fois-ci, ça avait été juste pour reprendre son plateau ainsi que prendre sa tension. Le bel aide-soignant, grand et brun, n’a pas arrêté de me jeter des beaux regard avec ses grands yeux noisettes. De nouveau seuls lui et moi, Bruno me dit : « Tu devrais peut-être t’amuser avec des garçons de ton âge, belle Candice…regarde ce qu’on est obligés de faire…ne perds pas ton temps avec moi… » je lui rétorque, en prenant sa main : « Je ne perds pas mon temps avec vous… » je m’arrête et une idée me vient en tête : « il nous reste un peu de temps avant que Mélissa n’arrive et j’ai ma voiture…ne bougez pas Monsieur, je reviens… » Je descends à l’accueil. Quelques instants plus tard, je remonte dans sa chambre avec un papier : une décharge de responsabilité. Souriante, je lui annonce : « on va faire un petit tour ? » J’ajoute un clin d’œil, je le vois rougir mais il sourit, rayonne même, il est heureux et me dit : « Merveilleuse Candice ! » Je souris également. Dix minutes plus tard, nous sommes dans ma voiture ; la neige dehors s’est calmé mais un véritable blizzard souffle comme en Sibérie ! Je regarde l’heure : 15h40. Nous n’avons pas beaucoup de temps. Il me demande timidement : « Où vas-t-on ? » Je lui répond : « Pas le temps de retourner en ville. On va trouver un coin quelque part…il n’y a pas d’hôtel dans le coin Monsieur…la voiture vous convient ? » Il me regarde, comme stupéfait ; il a l’air émoussé, rien que d’avoir marché jusqu’au parking l’a fatigué mais il sourit et m’assure : « Ça ira très bien, Belle Candice ! » Je démarre et nous partons sur la route enneigée.
Je roule doucement. Le chauffage désembue mon pare-brise et la route est quasiment déserte vue la météo. Le chauffage souffle à fond mais c’est Bruno qui me réchauffe : j’ai retiré mes bas, et il me caresse la cuisse droite de haut en bas, tout en regardant la route devant lui. Je n’en peux plus : il ne va jamais jusqu’à ma petite chatte rasée, il prend soin de s’arrêter juste avant puis de repartir en arrière jusqu’à mon genoux. Je me mords les lèvres, il m’excite comme une folle ! Mes grands yeux, perdus sur la route, cherchent également un coin en bord de route où l’on pourrait s’arrêter ; je suis bien décidée à ce qu’aujourd’hui, Bruno me prenne. Au moment où je me rends compte qu’il n’y a pas beaucoup de coin calme et isolé au bord de la route, j’aperçois un tout petit renfoncement sur la droite qui semble s’enfoncer dans les bois…je me dis qu’avec ma voiture je ne pourrais pas aller trop loin dans la neige mais je me dis que ça ne coûte rien d’aller voir…je prends la main de Bruno et suce son majeur en entier, doucement, en lui jetant un intense regard. Il murmure : « Candice… » je vois un rond point, le prend pour revenir en arrière et retourner au renfoncement. Je reprends sa main que cette fois, je glisse sous ma jupe, entre mes cuisse, sur mon sexe rasé. Il garde sa main dessus, comme s’il ne savait pas quoi faire et rien que ça, ça me fait du bien ! Je prends le renfoncement et m’engouffre sous des sapins touffus qui font que nous sommes quasiment dans le noir complet. Il n’y a aucune autre voiture, j’avance un peu, la neige au sol est en toute petite quantité vu les sapins ce qui permet de continuer sur un petit chemin. À gauche, pareil, un autre renfoncement qui me permet de garer ma voiture, à l’abri de la route nationale ou des regards indiscrets…
A peine je mets le frein à main, que je bondis sur Bruno, à califourchon sur lui, le prenant au dépourvu le plus total : « Candice… » me chuchote-t-il, avant que je lui attrape le visage et l’embrasse à pleine bouche, rageusement, collant ma langue sur la sienne dans un ballet mouillant de salive. Je n’en pouvais plus ! Je retira mon gilet de laine, exhibant mon opulente poitrine et retire ensuite mon soutif que je balance à l’arrière ; Bruno respire vite, très vite, dans les rares moments de répit que je lui accorde lorsque je retire ma langue sa bouche. Je garde juste ma jupe écossaise et mes bottines, je prends sa tête que je colle sur mes seins. Je l’entends gémir bruyamment, et il me lèche mes seins, de partout, rapidement, me déversant dessus sa salive ; il me les caresse, rapidement également, sa salive fait glisser ses mains sur mes deux fruits mûrs et pâles, il suce un de mes tétons à pleine bouche, dans des bruits de succions qui me rendent folle en plus de la sensation : il regarde ma réaction en tournant sa langue sur mon mamelon, je lève la tête en poussant un cri aigu : personne ne peut m’entendre, je peux donc me lâcher ! Bruno poursuit et se jette cette fois sur mon autre téton, comme un affamé…c’en est trop pour moi ; sans prendre de précaution, sentant sa bosse sous le jean frotter ma chatte nue sous ma jupe, je retire rageusement sa ceinture et déboutonne le jean. « Candice, attends… » me fait-il mais j’ignore complétement et ouvre la bouche de désir, en guidant son membre en érection contre mes lèvres humides qui l’engloutissent sans aucune peine.
Il est en moi ! Il gémit comme jamais, de manière très aiguë, et j’en fait de même et souris en pensant :ENFIN ! Il est en entier dans ma chatte, et j’effectue moi-même de longs va et vient, vifs et rapides, en le bouffant du regard. Il a la bouche grande ouverte, je sens son souffle chaud sur mon visage, ses yeux mi-clos me regardent intensément et il lâche soudainement, dans un murmure : « Candice ! » Je sens que ma chatte déverse des quantités impressionnantes de cyprine et lorsque je touche ses boules, je constate qu’elles en sont toutes enduites ! Je reste sur le même rythme, ne voulant pas ralentir mais j’ai tellement attendu ce moment que je ne peux faire autrement, il faut que je le sente puissamment en moi. Je reprends sa tête et la remet dans mes sein qu’il suce à nouveau gloutonnement, me couvrant de sa salive qui coule jusque sur mon ventre. Je gémis maintenant sans retenue, poussant des petits cris aigus et réguliers. Bruno en fait de même, le teint rouge cramoisi, en nage, je sens son sexe qui me cogne au plus profond et au fur et à mesure de ma chevauchée, je le vois qui serre les dents et que les traits de son visage s’affaissent, j’en déduis qu’il ne va pas tarder, alors que moi, je pourrais continuer encore des heures ! Il tient bien cependant, pour mon plus grand plaisir et dans un sourire, toute en sueur, je colle mes lèvres aux siennes de nouveau et nos langues tournoient l’une avec l’autre à l’instant d’après mais soudain, 8il décolle sa bouche de la mienne et pousse un petit cri étouffé, aiguë, et il prend le soin de m’avertir : « Candice, je…je… » j’ai un éclair de lucidité ; je ne prends plus la pilule depuis mon ex, je retire son sexe de ma chatte mais à peine je le prends dans ma main que Bruno explose en tremblant, son sexe déversant de grands jets de sperme sur mon abdomen ! Il a les yeux fermés, la bouche encore grande ouverte, et la sueur sur son visage fait comme des larmes. À bout de souffle, il se remet de ses émotions, tandis que je respire, le teint rouge vif, en le regardant…
De mes doigts, je prends son sperme et je le lèche, le mets dans ma bouche. Il y en a tellement que je peux l’avaler, montrer ma langue légèrement blanchie à Bruno et avaler ensuite sa semence au goût fort. Intérieurement, en revanche, je ne suis pas rassasiée et j’en veux encore car, je veux venir et moi aussi l’éclabousser de mon jus intime. Il voit bien que j’en veux encore et regarde l’heure au cadran et me dit essoufflé : « Candice…t’as été fantastique ! Je te veux encore mais…l’heure… » je regarde : en effet, nous n’avons quasiment plus le temps. Je regarde son sexe, encore vigoureux, encore dressé fièrement et sourit en le prenant en main et avoue à Bruno : « Je veux que vous veniez en moi…Monsieur… » Bruno haussa les sourcils : « Mais alors pourquoi tu t’es… » il ne termine pas et je le coupe : « Dans mon cul, venez dans mon cul, s’il vous plaît… » je préfère ; malgré son âge, je ne veux pas prendre le risque de me retrouver enceinte, je préfère que ce soit dans mon anus mais…allait-il parvenir à jouir une fois de plus ? Je prends son membre dans ma bouche et j’effectue quelques allers-retours, avec le gout de ma mouille dans la bouche. Je le branle vigoureusement en le regardant et me penche vers lui : on s’embrasse à pleine bouche encore et il me dit, le souffle saccadé : « Je ne sais pas si je vais encore…mais je veux te faire du bien…ma Belle Candice ! »
Je lui baisse son siège pour qu’il soit un peu mieux et que j’ai de l’espace. Je retire les bottines et la jupe, je suis entièrement nue. Il enlève son pantalon, je l’aide, son caleçon et se chaussures puis, je décide de revenir sur lui mais seulement, c’est beaucoup plus difficile que pour ma chatte ce coup-ci donc, je décide de faire autrement : « Attendez Monsieur ! » Bravant le froid, je sors, passe à l’arrière et baisse les sièges. Maintenant, on a toute la place qu’on veut à l’arrière de la voiture. Je lui dit de venir. Il rentre et je le refais s’allonger de tout son long sur une couverture que j’utilise habituellement pour les pique-niques. Je lui monte dessus, sa queue est toujours érigée vers le toit de la voiture. Je me mets en position accroupie, mes deux petits pieds aux ongles vernis à plat et décide, avant de mettre son membre dans mon anus, de d’abord le remettre dans ma chatte toute endolorie et rouge afin de le chevaucher de nouveau. En moi, sa bite s’humidifie encore et il reprend la même respiration lente qu’auparavant mais il m’arrête au bout de deux minutes : « Attends ! Allonge-toi s’il te plaît, Candice ! » Je me retire dans un bruit visqueux et me place sur le dos, à côté de lui. Je constate que dehors, le jour est en train de mourir et la neige a repris. Les vitres de ma voiture son toutes embuées. Il vient se mettre entre mes cuisses et je décide de le serrer avec mes jambes. Il s’insère en moi facilement, et pousse encore un long soupir chaud en même temps que je gémis encore.
Nos langues se mélangent depuis dix bonnes minutes dans des bruits visqueux de ventouse et je ne l'ai toujours pas lâché, le serrant fermement entre mes cuisses charpentées, tandis qu’il me lime tout doucement, dans de lents vas et viens qui m’excitent comme une dingue. Nos deux ventres collés l’un contre l’autre suent ensemble et de temps à autre il m’agrippe un sein avant de le sucer goulûment. Il respire très vite et je remarque qu’il est vraiment très endurant pour son âge. Je me sens flotter pendant tout ce temps, loin de tout, loin de cette voiture garée au milieu de nulle part, loin de tout mes simples problèmes d’étudiantes ou de gamine de 18 piges, alors que je couche avec un homme qui pourrait aisément être mon grand père. Comme tout à l’heure, je sens que Bruno se rigidifie, il saccade au niveau du sexe, je sens qu’il va venir mais il reste en moi et me baise, me fait l’amour même, dignement, tout en allant jusqu’au bout, je sens presque son gland effleurer mon col. Continuant de gémir comme une petite chienne, nos deux regards plongés l’un dans l’autre, je lui susurre à l’oreille un : « Oui, Bruno… » et il me dit très difficilement : « Candice…il faut que je vienne dans ton…parce que je sens que je vais…oooh ! Merveilleuse Candice ! » Il me lèche dans le cou et je l’agrippe par la nuque, tirant ses cheveux blancs : je me sens venir…je sens que ma chatte va imploser, je respire encore de plsu en plus vite moi aussi, je ferme les yeux, mon visage est en feu comme l’intégralité de mon épiderme, il va un peu plus vite, relève la tête à bout de souffle, ses beaux yeux me contemplent et…je ne veux mas qu’il se retire, je ne veux pas couper cette montée en moi, ce plaisir intense qui est en train de me remplir tout le bas du ventre, jusque dans mes entrailles. Je lui dit, sûre et certaines : « Venez dans ma chatte Monsieur, Venez ! » Il pousse un long gémissement rauque et accélère le rythme. Je gémis de plus en plus vite, de plus en plus fort, je vais, je veux, venir en même temps que lui. Je m’accroche encore plus fort avec mes cuisses et il accélère encore, les traits de son visage s’étirent, il ouvre la bouche et pousse un véritable cri qui ressemble à un cri de détresse mais il exulte en réalité et moi, je sens tout mon corps se raidir, en même temps que le sien, avant de pousser un long cri aigu, laissant enfin exulter mon plaisir, mes doigts de pieds recroquevillés, mes ongles s’enfonçant dans son cuir chevelu, sa tête dans mes seins. Je sens qu’il s’abandonne en moi à grands flots, son membre comme agité de spasmes à chaque fois que sa semence se déverse !
Nous restons encore 5 bonnes minutes dans cette position, en silence, reprenant notre souffle, sa tête brulante et trempée dans mon cou rougi par les morsures qu’il m’a infligé et les baisers également qu’il m’a donné à cet endroit-là. Il redresse doucement la tête et me dit : « Candice…Melissa… » je regarde le cadran : 16h50. Nous ne serons jamais à l’heure mais bizarrement, je n’en n’ai plus grand-chose à faire…, je me lève, me rhabille. Il reboutonne sa chemise et remet son jean et nous repartons en direction du centre, en sueur, reprenant notre souffle. Je vois que Bruno est au bout, complétement crevé, mais il me sourit tendrement lorsque je ‘e regarde et il me prends la main. Nous arrivons au centre à 17h05, j’angoisse d’avance mais lorsque nous arrivons â l’accueil, la petite secrétaire me dit que Melissa va avoir du retard, à cause de la neige. Je remonte avec Bruno jusqu’à sa chambre et il s’installe dans son fauteuil et me dit tout doucement, encore essoufflé : « Merveilleuse Candice…merci. Merci pour tout ! Tu m’as fais un immense cadeau que de m’accorder ça… » J’ai l’impression que cette fois, magique pour moi qui fût la première avec Bruno, sera néanmoins la dernière. Je lui dis : « Bruno. J’ai adoré… » et je m’approche de lui, nos regards se croisent, on s’embrasse de nouveau à pleine bouche. Je décide de vite repartir, jetant un dernier regard sur lui, avant de refermer la porte…
1 Mois plus tard…
C’est ainsi que mon premier « contact » avec un sénior se déroula. Je n’ai plus jamais eu de nouvelles de Bruno et très franchement, je n’ai pas cherché à en avoir non plus. J’ai adoré cette expérience si particulière, et ce souvenir dans la voiture, au milieu de nulle part avec lui, restera gravé dans ma mémoire à tout jamais. Je n’ai pas voulu reprendre le risque de retomber sur Mélissa qui de toute évidence, était encore présente dans la vie de Bruno. Ce matin-là, Je suis en terrasse d’un café tout près de mon lycée, avec ma meilleure amie Zoé, qui m’apprend les derniers potins pendant que je lis le journal : « …Ça te fait rien que Nico soit avec cette truie ? » Elle venait de me dire que mon plan cul, Nico, sortait avec une nana de mon BTS que je n’apprécie pas trop mais très franchement, je m’en fous pas mal…je lui réponds, en lisant le journal : « J’m’en fous Zoé, tu sais, Nico, c’était pas non plus l’extase hein…c’était banal, sans plus, tu vois ? » Elle me fait des yeux ronds et réplique : « Banal ?! T’es au courant que pas mal de filles au lycée aimeraient être à ta place ?! » Je ne réponds pas et Zoé reprend, en riant cette fois : « De toute façon le weekend prochain on va à l’anniv d’Anaïs, tu trouveras bien un autre morceau à te mettre sous la dent, n’est-ce pas, miss jambes à l’air ? » je souris mais…en tournant les pages du journal, j’en suis arrivée à la rubrique nécrologique et malheureusement…je lis que Bruno B. Est décédé « des suites d’une longue maladie » et il n’y a aucun doute : l’âge correspond, le lieu de résidence aussi. Je n’écoute plus rien, et Zoé m’interpelle : « Candice ! Qu’est ce que t’as ?! » Au fond de moi, je sens mes entrailles remuer, j’avoue que ça me touche, et…je ne dois rien laisser transparaître. Je tourne la page mais Zoé a vu que j’étais dans la rubrique nécrologique : « Hé Candice ! Lis pas ces trucs, y’a rien de mieux pour te mettre le cafard ! T’as 18 ans, t’es jeune et fraîche, pense à la vie et amuses-toi ! » dans ma tête, je me dis que Bruno aurait également pensé ça. Je referme le journal et avec Zoé, on décide de mater un groupe de beaux mecs qui attendent le bus. De nôtre âge. Mine de rien, je garde en tête l’image de Bruno en moi, en train de jouir, et espère qu’il est mieux là où il est. Puis je décide de remettre ce souvenir dans un coin de ma tête et de me concentrer sur l’avenir…
FIN
Je regarde sur Internet et ne met pas longtemps à trouver l’endroit où il est en maison de repos ; c’est à une demi-heure de chez moi, en campagne, dans un centre tout neuf, construit il y a deux ou trois ans. Je me dit que je vais y aller cet après midi et je réfléchis à ce que je vais dire une fois arrivée là bas, pour ne pas éveiller les soupçons de qui que ce soit ce coup-ci. Je décide de me faire passer pour sa petite fille. Je vais m’habiller, j’opte aujourd’hui pour une jupe écossaise sous laquelle je mets de simple bas noirs à dentelles. Je choisis une petite culotte rouge, également à dentelles, et pour le haut, je mets un gilet en laine noir à boutons, dont je laisse ceux du haut ouvert sur ma gracieuse poitrine Emprisonnée dans le soutien gorge assorti à la culotte. Je mets mon habituel rouge à lèvre pétant qui me fait de grosses lèvres charnues, m’attache les cheveux en une longue tresse qui me descend dans le dos puis je décide d’aller admirer le résultat dans le miroir : je me trouve plutôt séduisante et j’espère que Bruno appréciera…si je peux le voir…
Je décide également de consulter mes mails pour constater le flot de messages dans ma boîte principale, de la part de seniors qui répondent encore à mon annonce. Je remarque que je n’ai rien de neuf de la part de Bruno. Cependant, un mail attire une nouvelle fois mon attention, comme ce fût déjà le cas précédemment. C’est celui d’un type qui utilise toujours un langage cru quand il m’écrit, me disant à chaque fois qu’il en a « une énorme à me faire bouffer » que si je veux une « grosse bite de Papy » avec lui je serai servie, qu’il a très envie de me « démonter ». Il m’a réclamé souvent des photos et au début, je n’y faisais pas attention mais cette fois, il a joint une vidéo…je décide de cliquer dessus : une très mauvaise qualité d’image m’offre la vue sur un homme à la peau vieille certes mais dont le corps est musculeux. Il a l’air grand, et apparemment dans le noir, je le vois astiquer un énorme membre flasque et large qui pend entre ses cuisses et qui je le vois très bien, n’est pas à sa taille maximum…la vidéo ne dure que 20 secondes, je ne vois pas son visage mais je sens ma chatte frétiller de plaisir… « quelle queue ! » Je me dis avant de reprendre mes esprits et mettre ce mail de côté, histoire de peut-être y répondre plus tard. Mais mon objectif premier est de retrouver Bruno. J’enfile un manteau, prends mes clés de voiture et décolle enfin de chez moi.
Je mets le GPS et je pars. Le temps est pourri : la neige tombe et la route est incertaine. Je commence à me demander si je n’ai pas fait une connerie d’aller en rase campagne avec ce mauvais temps mais je dois revoir Bruno et surtout, m’assurer que celui qui m’a offert mes premiers émois avec les seniors aille bien. La route, sinueuse, est de plus en plus dangereuse, et je fais tout pour me concentrer au maximum sur ma conduite. J’arrive enfin au centre une heure plus tard. Au chaud, je vais vers la réception où une secrétaire d’a peu près mon âge m’accueille : « Bonjour, que puis-je pour vous ? » je réponds : « Bonjour, je viens voir Bruno B., Cela va faire environ une 10 jours qu’il est entré ici…je suis sa petite fille. » la secrétaire me sourit : « Ah oui ! Un monsieur charmant ! Je vois très bien qui c’est mais…il se trouve qu’il rentre chez lui aujourd’hui ! Vous n’étiez pas au courant ? » Effarée, j’ouvre de grands yeux : « Mais…non, c’est impossible ! Il a fait un malaise et… » elle me coupe poliment et sourit : « c’était juste un petit malaise vagale, mais Monsieur B. Connaît bien l’établissement, et il est toujours bien ici. Quand il a une petite rechute, il revient pour se reposer. C’est Mélissa, son infirmière qui doit venir la chercher…ça vous dit quelque chose ? » Mon cœur se soulève dans ma poitrine et je me sens mal tout à coup. Cela doit se voir puisque la secrétaire perd son joli sourire : « Euh…tout va bien ?! » Je refais mine de sourire : « Oui, oui, bien sûr, je suis juste un peu…euh…déçue, vous comprenez ? C’est bientôt Noël et je voulais passer du temps avec mon grand père… » Elle semble triste pour moi mais son visage s’éclaire soudainement : « Ecoutez ! Melissa doit venir le chercher vers 17H, ça vous laisse un peu de temps. » Je fais mine de sourire et répond : « Oui, bien sûr » Et elle me donne son numéro de chambre.
Je me retrouve au deuxième étage de l’établissement, devant la chambre numéro 28. Je trépigne d’impatience de revoir Bruno mais j’appréhende également et surtout, le fait que Mélissa soit censée venir le voir me fait stresser : je ne veux plus aucun rapport de près ou de loin avec cette femme. Et malheureusement, je me dis que ce pourrait être la dernière fois que je peux me retrouver seule à seule avec Bruno, étant donné qu’après, il rentrera de nouveau chez lui et il est évident qu’avec Mélissa dans les parages et le voisin qui m’a enculée et qui connait Bruno ainsi que son infirmière, je ne retournerai pas là bas de sitôt. Je souffle un grand coup et frappe à la porte. De derrière, j’entends un « Oui, entrez » un peu fébrile. Je pousse la porte. La minuscule pièce comporte un lit médicalisé, et un petit fauteuil à côté dans lequel Bruno est installé, paisiblement, en face d’une télévision. Ses yeux bleus s’écarquillent : il s’attendait à tout, sauf à moi. Il porte un jean marron et une jolie chemise jaune moutarde. Un léger sourire apparaît sur ses lèvres. Je lui en adresse un également. « Candice… » me souffle-t-il. Je referme la porte derrière moi et m’approche de lui doucement : « Monsieur… » il tend sa main pour prendre la mienne que je lui donne. Il l’embrasse en me fixant de son beau regard. « comment vous sentez-vous ? » Je lui demande, inquiète. « Je suis…très fatigué… » me dit-il. « Tu m’as manqué… » me confie-t-il. Je lui répond : « Moi aussi, Monsieur… » il me dit tout doucement : « Depuis que Mélissa nous as surpris, j’ai pas arrêté de penser à toi…à ton regard…à tes… » je le sens rougir, il détourne le regard. Je lui dit : « Je croyais que je ne vous reverrez jamais… » il me répond, baissant les yeux : « Moi aussi. » il prend une profonde inspiration, comme s’il manquait d’air et me dit : « Candice. Belle Candice. Je n’ai plus envie de continuer… » je sens mon estomac faire un tour sur lui-même : « Mais Monsieur ! » Il me coupe : « Non, non ! Pas avec toi » m’assure-t-il : « …Avec la vie…Mélissa me mène la vie dure et je n’ai pas de famille. Un de mes voisins profite également de ma situation…il me vole de l’argent… » je me dis que je ne lui dirai rien à propos de lui mais je ne reste pas indifférente quant à ses problèmes : « Monsieur ! Je peux vous aider, je peux contacter la police et… » il lève une main pour m’interrompre : « Tu ne sais pas de quoi Mélissa est capable…je ne veux pas qu’elle te fasse d'ennuis… » je reste muette et baisse le regard. Je sais à peu près de quoi elle est capable oui. Bruno reprend, le regard fuyant : « Tu sais ce que j’aimerais…belle Candice…avec Toi… » il me regarde, les yeux brillants, je me sens happée vers lui, j’ai très envie de l’embrasser, mais…TOC TOC TOC ! je sursaute, Bruno aussi, derrière la porte, une voix : « Monsieur B., Je viens pour la collation ! »
C’était moins une ; la personne venait de servir la collation de Bruno et avait demandé qui j'étais. Bruno avait dit que j’étais sa petite fille et nous nous retrouvâmes à nouveau tous les deux. Pendant qu’il boit un verre de jus de pomme, je réfléchis : oui, j’ai envie de coucher avec lui mais…ici, ce sera trop compliqué. Je le regarde, il me contemple à nouveau comme si j'étais une merveille, chose qui me met en émoi. J’aime me sentir désirée, belle dans le regard d’un homme. C’était le cas chez lui. Je me rapproche doucement, passe derrière le fauteuil et ferme les grands rideaux qui donne sur le parc. Je vais à la porte et constate qu’il n’y a pas de verrou…je suis embêtée. Bruno aussi : « Candice…je…je…on pourra pas ici, tu comprends ? » Je hoche la tête en signe d’approbation et me dit qu’il a raison : si quelqu’un entre au moment où…il se passe quoi que ce soit, ce pourrait être fâcheux. Mais l’envie est bien trop forte. Je décide de passer mes mains sous ma jupe et de retirer ma petite culotte que je range dans mon sac. Je le dévore du regard, il en fait de même, le souffle court et je vais m’assoir sur l’accoudoir de son fauteuil, en relevant ma jupe à l’arrière, pour qu’il puisse toucher mon cul. Je prends la télécommande sur l’autre accoudoir et monte le son en lui jetant un regard séducteur…
Il passe d’abord sa main douce et chaude sous ma petite chemise en laine et me caresse mon dos délicatement. J’en ai des frissons, ma peau s’accélère et frémit sous ses doigts qui se baladent sur moi. Il me fait beaucoup de bien et je prends sa main sans me retourner et la glisse sous ma jupe. Il effleure mes fesses et commence là aussi à balader ses doigts, toujours avec une délicatesse qui me fait un effet fou ! Quelques instants plus tard, il me les malaxe, et je regarde vite fait son entrejambe : il bande dans son jean, une grosse bosse apparaît maintenant. Je l’entends qui respire fort, heureusement que j’ai monté le son du téléviseur et je sens qu’un de ses doigts cherche dans ma raie, en descendant. Il arrive là où il voulait aller : mon anus. Il le titille, je croise mes jambes et les serre en me mordant ma lèvre inférieure. Je commence à mouiller et Bruno rentre tout doucement son doigt dans mon cul, je gémis dans les aigus, une seule petite fois et mets ma main devant ma bouche. Son doigt est rentré en entier, il le ressort tout doucement et je gémis à nouveau, encore plus lorsqu’il le rentre encore…ses râles de plaisir me parviennent, je glisse ma main par-dessus son jean et caresse la bosse dure qui est en-dessous, il lâche un petit « oooh ! » Qui aurait été très audible si je n’avais pas monté le son de la télé. Je continue mes petits gémissements en frottant sa queue pendant qu’il me lime dans l’anus avec son majeur…TOC TOC TOC ! « Monsieur B. Je peux rentrer ? » Je retire ma main immédiatement, lui son doigt de mon trou et il se racle la gorge pendant que je me redresse de l’accoudoir : « Oui, oui, vous pouvez…
Cette fois-ci, ça avait été juste pour reprendre son plateau ainsi que prendre sa tension. Le bel aide-soignant, grand et brun, n’a pas arrêté de me jeter des beaux regard avec ses grands yeux noisettes. De nouveau seuls lui et moi, Bruno me dit : « Tu devrais peut-être t’amuser avec des garçons de ton âge, belle Candice…regarde ce qu’on est obligés de faire…ne perds pas ton temps avec moi… » je lui rétorque, en prenant sa main : « Je ne perds pas mon temps avec vous… » je m’arrête et une idée me vient en tête : « il nous reste un peu de temps avant que Mélissa n’arrive et j’ai ma voiture…ne bougez pas Monsieur, je reviens… » Je descends à l’accueil. Quelques instants plus tard, je remonte dans sa chambre avec un papier : une décharge de responsabilité. Souriante, je lui annonce : « on va faire un petit tour ? » J’ajoute un clin d’œil, je le vois rougir mais il sourit, rayonne même, il est heureux et me dit : « Merveilleuse Candice ! » Je souris également. Dix minutes plus tard, nous sommes dans ma voiture ; la neige dehors s’est calmé mais un véritable blizzard souffle comme en Sibérie ! Je regarde l’heure : 15h40. Nous n’avons pas beaucoup de temps. Il me demande timidement : « Où vas-t-on ? » Je lui répond : « Pas le temps de retourner en ville. On va trouver un coin quelque part…il n’y a pas d’hôtel dans le coin Monsieur…la voiture vous convient ? » Il me regarde, comme stupéfait ; il a l’air émoussé, rien que d’avoir marché jusqu’au parking l’a fatigué mais il sourit et m’assure : « Ça ira très bien, Belle Candice ! » Je démarre et nous partons sur la route enneigée.
Je roule doucement. Le chauffage désembue mon pare-brise et la route est quasiment déserte vue la météo. Le chauffage souffle à fond mais c’est Bruno qui me réchauffe : j’ai retiré mes bas, et il me caresse la cuisse droite de haut en bas, tout en regardant la route devant lui. Je n’en peux plus : il ne va jamais jusqu’à ma petite chatte rasée, il prend soin de s’arrêter juste avant puis de repartir en arrière jusqu’à mon genoux. Je me mords les lèvres, il m’excite comme une folle ! Mes grands yeux, perdus sur la route, cherchent également un coin en bord de route où l’on pourrait s’arrêter ; je suis bien décidée à ce qu’aujourd’hui, Bruno me prenne. Au moment où je me rends compte qu’il n’y a pas beaucoup de coin calme et isolé au bord de la route, j’aperçois un tout petit renfoncement sur la droite qui semble s’enfoncer dans les bois…je me dis qu’avec ma voiture je ne pourrais pas aller trop loin dans la neige mais je me dis que ça ne coûte rien d’aller voir…je prends la main de Bruno et suce son majeur en entier, doucement, en lui jetant un intense regard. Il murmure : « Candice… » je vois un rond point, le prend pour revenir en arrière et retourner au renfoncement. Je reprends sa main que cette fois, je glisse sous ma jupe, entre mes cuisse, sur mon sexe rasé. Il garde sa main dessus, comme s’il ne savait pas quoi faire et rien que ça, ça me fait du bien ! Je prends le renfoncement et m’engouffre sous des sapins touffus qui font que nous sommes quasiment dans le noir complet. Il n’y a aucune autre voiture, j’avance un peu, la neige au sol est en toute petite quantité vu les sapins ce qui permet de continuer sur un petit chemin. À gauche, pareil, un autre renfoncement qui me permet de garer ma voiture, à l’abri de la route nationale ou des regards indiscrets…
A peine je mets le frein à main, que je bondis sur Bruno, à califourchon sur lui, le prenant au dépourvu le plus total : « Candice… » me chuchote-t-il, avant que je lui attrape le visage et l’embrasse à pleine bouche, rageusement, collant ma langue sur la sienne dans un ballet mouillant de salive. Je n’en pouvais plus ! Je retira mon gilet de laine, exhibant mon opulente poitrine et retire ensuite mon soutif que je balance à l’arrière ; Bruno respire vite, très vite, dans les rares moments de répit que je lui accorde lorsque je retire ma langue sa bouche. Je garde juste ma jupe écossaise et mes bottines, je prends sa tête que je colle sur mes seins. Je l’entends gémir bruyamment, et il me lèche mes seins, de partout, rapidement, me déversant dessus sa salive ; il me les caresse, rapidement également, sa salive fait glisser ses mains sur mes deux fruits mûrs et pâles, il suce un de mes tétons à pleine bouche, dans des bruits de succions qui me rendent folle en plus de la sensation : il regarde ma réaction en tournant sa langue sur mon mamelon, je lève la tête en poussant un cri aigu : personne ne peut m’entendre, je peux donc me lâcher ! Bruno poursuit et se jette cette fois sur mon autre téton, comme un affamé…c’en est trop pour moi ; sans prendre de précaution, sentant sa bosse sous le jean frotter ma chatte nue sous ma jupe, je retire rageusement sa ceinture et déboutonne le jean. « Candice, attends… » me fait-il mais j’ignore complétement et ouvre la bouche de désir, en guidant son membre en érection contre mes lèvres humides qui l’engloutissent sans aucune peine.
Il est en moi ! Il gémit comme jamais, de manière très aiguë, et j’en fait de même et souris en pensant :ENFIN ! Il est en entier dans ma chatte, et j’effectue moi-même de longs va et vient, vifs et rapides, en le bouffant du regard. Il a la bouche grande ouverte, je sens son souffle chaud sur mon visage, ses yeux mi-clos me regardent intensément et il lâche soudainement, dans un murmure : « Candice ! » Je sens que ma chatte déverse des quantités impressionnantes de cyprine et lorsque je touche ses boules, je constate qu’elles en sont toutes enduites ! Je reste sur le même rythme, ne voulant pas ralentir mais j’ai tellement attendu ce moment que je ne peux faire autrement, il faut que je le sente puissamment en moi. Je reprends sa tête et la remet dans mes sein qu’il suce à nouveau gloutonnement, me couvrant de sa salive qui coule jusque sur mon ventre. Je gémis maintenant sans retenue, poussant des petits cris aigus et réguliers. Bruno en fait de même, le teint rouge cramoisi, en nage, je sens son sexe qui me cogne au plus profond et au fur et à mesure de ma chevauchée, je le vois qui serre les dents et que les traits de son visage s’affaissent, j’en déduis qu’il ne va pas tarder, alors que moi, je pourrais continuer encore des heures ! Il tient bien cependant, pour mon plus grand plaisir et dans un sourire, toute en sueur, je colle mes lèvres aux siennes de nouveau et nos langues tournoient l’une avec l’autre à l’instant d’après mais soudain, 8il décolle sa bouche de la mienne et pousse un petit cri étouffé, aiguë, et il prend le soin de m’avertir : « Candice, je…je… » j’ai un éclair de lucidité ; je ne prends plus la pilule depuis mon ex, je retire son sexe de ma chatte mais à peine je le prends dans ma main que Bruno explose en tremblant, son sexe déversant de grands jets de sperme sur mon abdomen ! Il a les yeux fermés, la bouche encore grande ouverte, et la sueur sur son visage fait comme des larmes. À bout de souffle, il se remet de ses émotions, tandis que je respire, le teint rouge vif, en le regardant…
De mes doigts, je prends son sperme et je le lèche, le mets dans ma bouche. Il y en a tellement que je peux l’avaler, montrer ma langue légèrement blanchie à Bruno et avaler ensuite sa semence au goût fort. Intérieurement, en revanche, je ne suis pas rassasiée et j’en veux encore car, je veux venir et moi aussi l’éclabousser de mon jus intime. Il voit bien que j’en veux encore et regarde l’heure au cadran et me dit essoufflé : « Candice…t’as été fantastique ! Je te veux encore mais…l’heure… » je regarde : en effet, nous n’avons quasiment plus le temps. Je regarde son sexe, encore vigoureux, encore dressé fièrement et sourit en le prenant en main et avoue à Bruno : « Je veux que vous veniez en moi…Monsieur… » Bruno haussa les sourcils : « Mais alors pourquoi tu t’es… » il ne termine pas et je le coupe : « Dans mon cul, venez dans mon cul, s’il vous plaît… » je préfère ; malgré son âge, je ne veux pas prendre le risque de me retrouver enceinte, je préfère que ce soit dans mon anus mais…allait-il parvenir à jouir une fois de plus ? Je prends son membre dans ma bouche et j’effectue quelques allers-retours, avec le gout de ma mouille dans la bouche. Je le branle vigoureusement en le regardant et me penche vers lui : on s’embrasse à pleine bouche encore et il me dit, le souffle saccadé : « Je ne sais pas si je vais encore…mais je veux te faire du bien…ma Belle Candice ! »
Je lui baisse son siège pour qu’il soit un peu mieux et que j’ai de l’espace. Je retire les bottines et la jupe, je suis entièrement nue. Il enlève son pantalon, je l’aide, son caleçon et se chaussures puis, je décide de revenir sur lui mais seulement, c’est beaucoup plus difficile que pour ma chatte ce coup-ci donc, je décide de faire autrement : « Attendez Monsieur ! » Bravant le froid, je sors, passe à l’arrière et baisse les sièges. Maintenant, on a toute la place qu’on veut à l’arrière de la voiture. Je lui dit de venir. Il rentre et je le refais s’allonger de tout son long sur une couverture que j’utilise habituellement pour les pique-niques. Je lui monte dessus, sa queue est toujours érigée vers le toit de la voiture. Je me mets en position accroupie, mes deux petits pieds aux ongles vernis à plat et décide, avant de mettre son membre dans mon anus, de d’abord le remettre dans ma chatte toute endolorie et rouge afin de le chevaucher de nouveau. En moi, sa bite s’humidifie encore et il reprend la même respiration lente qu’auparavant mais il m’arrête au bout de deux minutes : « Attends ! Allonge-toi s’il te plaît, Candice ! » Je me retire dans un bruit visqueux et me place sur le dos, à côté de lui. Je constate que dehors, le jour est en train de mourir et la neige a repris. Les vitres de ma voiture son toutes embuées. Il vient se mettre entre mes cuisses et je décide de le serrer avec mes jambes. Il s’insère en moi facilement, et pousse encore un long soupir chaud en même temps que je gémis encore.
Nos langues se mélangent depuis dix bonnes minutes dans des bruits visqueux de ventouse et je ne l'ai toujours pas lâché, le serrant fermement entre mes cuisses charpentées, tandis qu’il me lime tout doucement, dans de lents vas et viens qui m’excitent comme une dingue. Nos deux ventres collés l’un contre l’autre suent ensemble et de temps à autre il m’agrippe un sein avant de le sucer goulûment. Il respire très vite et je remarque qu’il est vraiment très endurant pour son âge. Je me sens flotter pendant tout ce temps, loin de tout, loin de cette voiture garée au milieu de nulle part, loin de tout mes simples problèmes d’étudiantes ou de gamine de 18 piges, alors que je couche avec un homme qui pourrait aisément être mon grand père. Comme tout à l’heure, je sens que Bruno se rigidifie, il saccade au niveau du sexe, je sens qu’il va venir mais il reste en moi et me baise, me fait l’amour même, dignement, tout en allant jusqu’au bout, je sens presque son gland effleurer mon col. Continuant de gémir comme une petite chienne, nos deux regards plongés l’un dans l’autre, je lui susurre à l’oreille un : « Oui, Bruno… » et il me dit très difficilement : « Candice…il faut que je vienne dans ton…parce que je sens que je vais…oooh ! Merveilleuse Candice ! » Il me lèche dans le cou et je l’agrippe par la nuque, tirant ses cheveux blancs : je me sens venir…je sens que ma chatte va imploser, je respire encore de plsu en plus vite moi aussi, je ferme les yeux, mon visage est en feu comme l’intégralité de mon épiderme, il va un peu plus vite, relève la tête à bout de souffle, ses beaux yeux me contemplent et…je ne veux mas qu’il se retire, je ne veux pas couper cette montée en moi, ce plaisir intense qui est en train de me remplir tout le bas du ventre, jusque dans mes entrailles. Je lui dit, sûre et certaines : « Venez dans ma chatte Monsieur, Venez ! » Il pousse un long gémissement rauque et accélère le rythme. Je gémis de plus en plus vite, de plus en plus fort, je vais, je veux, venir en même temps que lui. Je m’accroche encore plus fort avec mes cuisses et il accélère encore, les traits de son visage s’étirent, il ouvre la bouche et pousse un véritable cri qui ressemble à un cri de détresse mais il exulte en réalité et moi, je sens tout mon corps se raidir, en même temps que le sien, avant de pousser un long cri aigu, laissant enfin exulter mon plaisir, mes doigts de pieds recroquevillés, mes ongles s’enfonçant dans son cuir chevelu, sa tête dans mes seins. Je sens qu’il s’abandonne en moi à grands flots, son membre comme agité de spasmes à chaque fois que sa semence se déverse !
Nous restons encore 5 bonnes minutes dans cette position, en silence, reprenant notre souffle, sa tête brulante et trempée dans mon cou rougi par les morsures qu’il m’a infligé et les baisers également qu’il m’a donné à cet endroit-là. Il redresse doucement la tête et me dit : « Candice…Melissa… » je regarde le cadran : 16h50. Nous ne serons jamais à l’heure mais bizarrement, je n’en n’ai plus grand-chose à faire…, je me lève, me rhabille. Il reboutonne sa chemise et remet son jean et nous repartons en direction du centre, en sueur, reprenant notre souffle. Je vois que Bruno est au bout, complétement crevé, mais il me sourit tendrement lorsque je ‘e regarde et il me prends la main. Nous arrivons au centre à 17h05, j’angoisse d’avance mais lorsque nous arrivons â l’accueil, la petite secrétaire me dit que Melissa va avoir du retard, à cause de la neige. Je remonte avec Bruno jusqu’à sa chambre et il s’installe dans son fauteuil et me dit tout doucement, encore essoufflé : « Merveilleuse Candice…merci. Merci pour tout ! Tu m’as fais un immense cadeau que de m’accorder ça… » J’ai l’impression que cette fois, magique pour moi qui fût la première avec Bruno, sera néanmoins la dernière. Je lui dis : « Bruno. J’ai adoré… » et je m’approche de lui, nos regards se croisent, on s’embrasse de nouveau à pleine bouche. Je décide de vite repartir, jetant un dernier regard sur lui, avant de refermer la porte…
1 Mois plus tard…
C’est ainsi que mon premier « contact » avec un sénior se déroula. Je n’ai plus jamais eu de nouvelles de Bruno et très franchement, je n’ai pas cherché à en avoir non plus. J’ai adoré cette expérience si particulière, et ce souvenir dans la voiture, au milieu de nulle part avec lui, restera gravé dans ma mémoire à tout jamais. Je n’ai pas voulu reprendre le risque de retomber sur Mélissa qui de toute évidence, était encore présente dans la vie de Bruno. Ce matin-là, Je suis en terrasse d’un café tout près de mon lycée, avec ma meilleure amie Zoé, qui m’apprend les derniers potins pendant que je lis le journal : « …Ça te fait rien que Nico soit avec cette truie ? » Elle venait de me dire que mon plan cul, Nico, sortait avec une nana de mon BTS que je n’apprécie pas trop mais très franchement, je m’en fous pas mal…je lui réponds, en lisant le journal : « J’m’en fous Zoé, tu sais, Nico, c’était pas non plus l’extase hein…c’était banal, sans plus, tu vois ? » Elle me fait des yeux ronds et réplique : « Banal ?! T’es au courant que pas mal de filles au lycée aimeraient être à ta place ?! » Je ne réponds pas et Zoé reprend, en riant cette fois : « De toute façon le weekend prochain on va à l’anniv d’Anaïs, tu trouveras bien un autre morceau à te mettre sous la dent, n’est-ce pas, miss jambes à l’air ? » je souris mais…en tournant les pages du journal, j’en suis arrivée à la rubrique nécrologique et malheureusement…je lis que Bruno B. Est décédé « des suites d’une longue maladie » et il n’y a aucun doute : l’âge correspond, le lieu de résidence aussi. Je n’écoute plus rien, et Zoé m’interpelle : « Candice ! Qu’est ce que t’as ?! » Au fond de moi, je sens mes entrailles remuer, j’avoue que ça me touche, et…je ne dois rien laisser transparaître. Je tourne la page mais Zoé a vu que j’étais dans la rubrique nécrologique : « Hé Candice ! Lis pas ces trucs, y’a rien de mieux pour te mettre le cafard ! T’as 18 ans, t’es jeune et fraîche, pense à la vie et amuses-toi ! » dans ma tête, je me dis que Bruno aurait également pensé ça. Je referme le journal et avec Zoé, on décide de mater un groupe de beaux mecs qui attendent le bus. De nôtre âge. Mine de rien, je garde en tête l’image de Bruno en moi, en train de jouir, et espère qu’il est mieux là où il est. Puis je décide de remettre ce souvenir dans un coin de ma tête et de me concentrer sur l’avenir…
FIN
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