Le contrat d'Alysha, chapitre 10
Récit érotique écrit par Coloredbirdonaroof [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 89 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Coloredbirdonaroof ont reçu un total de 1 225 548 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 16 362 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le contrat d'Alysha, chapitre 10
En rentrant ce soir-là, j'avais des vertiges d'anticipation, malgré moi.
Alysha, vêtue d'un gros pull noir et d'un bas de jogging gris, m'accueillit en souriant, l'air heureuse, insouciante, comme si rien ne s'était passé la veille, comme si elle ne m'avait pas proposé le mariage pour satisfaire la perversité de son patron.
Pour la millième fois, en l'embrassant longuement, je me demandai si cela valait bien les cent mille euros qu'elle avait gagnés pour être le jouet de cet homme. Notre couple ne valait-il pas plus que ça ? Et sa dignité à elle valait-elle si peu d'argent ?
Elle me débarrassa de ma veste en demandant:
- Tu as passé une bonne journée ?
Je me voyais lui répondre: "Très bonne, chérie, j'ai enculé la fille à peine majeure de ton patron et je trouve son cul un peu étroit", mais je me contentai de hocher la tête en m'asseyant dans le canapé.
- Très bonne. J'ai eu Manu, au téléphone, il m'a dit qu'il t'avait vue hier, pourquoi tu ne me l'as pas dit ?
Elle m'apporta un verre de vin.
- Je ne l'ai pas... hier... hier, tu dis ?
Elle pâlit légèrement, réalisant ce qu'impliquait ma petite phrase anodine: Manu devait forcément être l'inconnu qui l'avait baisée sur ordre de Bléry. Mon meilleur ami à moi.
- Hier, oui.
- Ah oui... je... c'est exact. Je n'ai pas pensé à te le dire.
Je jubilais intérieurement.
- Il passe dans une demi-heure environ, il m'a dit qu'il fallait qu'on se parle.
Alysha essayait de cacher son inquiétude. Sa respiration devenait plus haute, plus rapide, elle paniquait.
- Il vient ici ?
- Hmm hmmm. J'espère qu'il ne s'est pas fourré dans une sale situation... je ne vois pas pourquoi il voudrait me parler d'urgence sauf pour que je le défende en tant qu'avocat... tu ne crois pas ?
Elle n'écoutait pas. Je souris.
- Je... je ne sais pas.
- Tu devrais te passer une jupe, tu ressembles à un sac, comme ça. Tu sais que j'aime bien quand tu es un peu sexy...
Elle secoua la tête.
- Mais... après notre dispute d'hier... je ne veux pas te fâcher encore.
- Allons, on parle de Manu, là ! Je ne te dis pas de lui faire une douceur sur le tapis, juste de te mettre une jupette. J'adore les yeux qu'il fait quand tu te penches devant lui - et il est toujours à essayer de voir tes seins dans tes décolletés, c'est marrant.
- Je ne sais pas si c'est une bonne idée...
- Allez, quoi, joue le jeu, je ne me fâcherai pas. Mets une mini-jupe, un haut moulant sur tes seins nus, et un string. Je veux que tu m'excites moi. On pourra se faire un peu plaisir après qu'il soit parti... Après tout, tu as beaucoup à te faire pardonner !
Elle était blême.
- Je... j'y vais.
Elle quitta la pièce en titubant presque. Je m'allongeai dans le canapé, mon verre à la main, et fermai les yeux, satisfait. Je me sentais fébrile, mais il fallait que j'aille au bout de ma petite vengeance.
***
La sonnette de la porte d'entrée.
J'étais monté dans la chambre pour me mettre à l'aise, un jean, une chemisette. J'entrouvris la porte et appelai Alysha.
- C'est Manu ! Tu vas ouvrir ?
Elle dévala les escaliers, talons haut, bas noirs, jupe plissée noire, chemisier noir moulant - sans rien dessous, à en croire le balancement hypnotique de ses gros seins -, cheveux remontés en chignon, maquillage léger qui se voyait à peine sur sa peau sablée, dorée. Sexy, et juste chaste. Elle espérait encore s'en sortir indemne. 20h précises. Je réglai l'alarme de mon téléphone pour 20h02, avec la même mélodie que ma sonnerie, et la suivis discrètement dans l'escalier.
Arrivée à la porte, elle se recoiffa avant d'ouvrir.
- Salut Alysha.
Le ton de Manu était sérieux, même s'il souriait
- Sa...lut Manu.
Il entre, elle lui fait la bise, hésitante.
- J'aime vraiment ton parfum... (chuchotant) c'est le même qu'hier ?
Alysha recula, les bras croisés sous ses seins, comme pour se protéger.
Je descendis bruyamment les dernières marches, ce qui lui épargna de répondre.
- Salut mon ami - entre, entre !
On se fit la bise en riant.
- Tu veux boire un coup avant qu'on ne parle de ton souci ?
Mon téléphone sonna. L'alarme. Je fis semblant de répondre.
- Excusez-moi une seconde. Allô ? Oui, Henri ? Comment ça ?
Je fis signe à Alysha et Manu d'avancer vers le salon. Elle était vraiment canon, ce soir, ma belle salope.
- Quel dossier ? Mmmh. Mmmh. C'est que je reçois un ami, là... dans une heure ??? OK, Juge, je vois ce que je peux faire, je te rappelle. Oui. C'est ça. Je te rappelle, je préviens juste ma femme.
Je rangeai le portable et me tournai vers Alysha et Manu.
- Je suis désolé, je dois vous laisser une petite heure, j'ai un dossier à porter au juge en urgence... je reviens tout de suite, buvez l'apéro j'en ai pas pour longtemps.
Alysha semblait désespérée.
- Tu ne vas pas nous laisser ?
Je souris, l'air innocent.
- Ce n'est pas la première fois que tu vois Manu, il est de bonne compagnie, il sait se tenir ! Le temps de prendre le dossier, de le porter au tribunal et de revenir, 40 minutes chrono. Pas de problème, Manu, ça ira ?
Mon pote rigole.
- Très bien, pas de souci, on t'attend.
- Super. A tout de suite.
Je courus dans mon bureau, à l'étage, pris un dossier au hasard, descendis les escaliers, claquai la porte. J'entrai dans la voiture, démarrai, tournai au bout de la rue, revins dans la rue transversale, me garai, et courus vers la maison pour assister à la représentation. J'entrai par la cuisine, sans faire de bruit, traversai le couloir sur la pointe des pieds et me réfugiai dans le bureau d'Alysha. La porte de communication avec le salon était entrouverte. Telle que je l'avais laissée.
Manu se tenait devant Alysha, imposant, souriant. Je pris la conversation en cours de route.
- ... chez Bléry ? Tu sais pourquoi je suis là ?
Alysha recula d'un pas.
- Je t'en prie...
- La femme de mon ami obéit comme une bonne petite chienne à une ordure sans nom et se tape tout ce qui bouge, et tu crois que je vais laisser passer ça ?
Alysha se tordait les mains, impuissante.
- Il le sait, il le SAIT ! Je le lui ai DIT !
- Oh. Dans ce cas, le fait de savoir que son meilleur ami s'est tapé sa nana hier ne lui posera pas de problème. Tu n'as rien à craindre.
- Je... il ne connaît pas les détails mais...
- Etonnant, ça, dans la mesure où tu ne savais pas toi-même qui te baisait.
Manu jouait son rôle à la perfection. J'en oubliais presque que ce n'était pas lui qui avait sauté Alysha la veille, mais moi.
- Tu ne peux pas lui dire.
- Je vais me gêner !
- Mais tu en as profité ! C'est toi, le salaud !
Manu imita Bléry.
- "Mademoiselle Rocher, si vous ouvrez les yeux, notre contrat s'arrête". Tu aurais pu ouvrir les yeux. Et justement, je ne suis pas fier de moi, j'ai trompé mon ami autant que toi.
- Si tu lui dis, il ne me le pardonnera jamais. Nous... nous allons nous marier !
Je serrai les mâchoires. Comment osait-elle invoquer cette excuse bidon ? Manu fit un pas vers elle.
- Il y a peut-être un moyen...
Alysha déglutit, pâle comme la mort.
- Le... lequel ?
Manu sourit, cynique.
- Tu vas être très gentille avec moi. Mets-toi à quatre pattes.
- Denis... Denis pourrait arriver... et...
- Ne cherche pas d'excuse à la con. Tu es baisée, d'une manière ou d'une autre. Je préférerai que ce soit au sens littéral, mais si tu préfères que ce soit au figuré, je peux attendre que Denis rentre. Montre-moi tes gros nichons.
- Mais... tu disais que Denis était ton ami ?
Je bandais. J'ouvris ma braguette et sortit ma queue de mon pantalon.
Il fit un autre pas vers elle et lui caressa le visage du bout des doigts.
- Mais tu es mon amie aussi... et tu vas être très amicale avec moi. Montre-moi tes seins.
Alysha baissa la tête, vaincue. Elle déboutonna son chemisier, lentement, recroquevillée sur elle-même. Je m'étais trompé: elle avait mis un soutien-gorge demi-lune, qui soutenait ses seins sans en cacher le galbe et les mamelons. Manu déglutit, hypnotisé, gardant son sourire moqueur. Il tâta les globes couleur de sable, l'air appréciateur. Les nichons lui emplissaient les mains, débordaient de ses doigts. Mon ventre se tordit de désir, et mon coeur de jalousie.
- Jolis lolos. A quatre pattes.
Alysha paraissait sur le point de pleurer.
- Tu... tu ne diras rien à Denis ?
Manu émit un petit rire.
- Voyons, pourquoi irai-je lui dire... tu es mon amie. Si tu viens chaque fois que je te siffle...
Il se pencha vers elle et l'embrassa sur les lèvres.
-... alors non, je ne dirai rien.
Alysha hocha la tête très lentement, et, yeux baissés, se mit à quatre pattes devant mon ami.
Il déboutonna lentement son jean, et, bite à l'air, tourna autour de ma compagne, qui me tournait le dos de trois-quarts. Je me complus à admirer ses courbes parfaites, ses cuisses fermes sous ses bas noirs. Je me masturbai doucement, à peine conscient du petit pincement qui me tordit le coeur quand Manu s'agenouilla derrière elle et releva la jupe plissée.
- Alors comme ça, tu aimes qu'on t'encule ? Denis m'avait caché ça...
Il baissa le string - blanc perle - lentement, jusqu'à mi-cuisse, et donna une tape sur le cul doré.
- Réponds.
Alysha, toujours tête baissée, serra les poings.
- C'est... c'est récent...
Nouvelle tape, plus appuyée, suivie d'une caresse.
- Tu ne m'as pas répondu. Tu aimes te faire enculer ?
Alysha se tendit.
- Ce n'est pas.... disons... ça dépend...
Manu frotta sa queue entre les lobes généreux, cherchant manifestement à assouplir la rondelle de sa proie. Alysha se tendit encore, mais resta soumise. Je me revis, dans le bureau de Bléry, tremper ma trique dans le sperme encore frais des mecs qui venaient de profiter d'elle. Je serrai ma pine entre mes doigts et la caressai plus fermement.
- Et chez Bléry ? Tu as aimé te sentir humiliée ainsi, tu as aimé te faire ramoner par un inconnu ? ça t'a fait frissonner de plaisir, de ne pas savoir qui c'était, hein ?
Petit geignement d'Alysha, plaintif. Manu donnait maintenant des coups de reins appuyés, je me demandais s'il l'avait pénétrée. Je respirai plus vite, excité, comme à chaque fois, de voir la femme de ma vie se faire déshonorer devant moi, à son insu.
- J'ai.. oui...
- Penche-toi plus, ouvre ta chatte, tu vas aimer ça aussi...
Alysha résista à la pression qu'exerçait Manu sur ses épaule, mais finit par s'affaler au sol en cambrant son cul, toujours docile. Manu la limait, je savais maintenant qu'il la sautait, il n'avait pas attendu, le salaud. Il se tourna vers moi et me fit un clin d'oeil en passant, avant de se pencher complètement sur Alysha et de lui attraper les seins sous le chemisier ouvert. Il tira les deux aiguilles du chignon avec les dents et noya son visage dans la chevelure soyeuse qui dégringola le long des épaules de la belle.
- Si tu savais depuis combien de temps je rêve de te baiser ! T'es toute mouillée, ma parole, ta chatte est une vraie fontaine !
Alysha fermait toujours les poings, mâchoires serrées.
- Denis va revenir...
Manu dansait littéralement dans le cul, en s'agrippant aux mamelles de ma compagne, sourire aux lèvres.
- Tu aimes ce que je te fais, dis ?
Elle secoua la tête. L'un de ses bas se détacha du porte jarretelle sur sa jambe, elle avait l'air d'un ange déchu.
- Denis... Denis va nous surprendre
Mon coeur battait la chamade. Je sus que j'allais entrer avant même de pousser doucement la porte, bite à la main. Alysha ne me voyait pas, Manu m'aperçut. Il se figea, l'air surpris. Je lui fis signe de continuer. Il sourit.
- Oh, ça, il fallait y penser avant ! Bouge pas, que je t'encule un coup, puisque tu en fais ta spécialité. Ouvre bien le cul, salope.
- Non, s'il te... oooh...
- Mais c'est que ça rentre comme dans du beurre, c'est çaaaa... ferme les yeux et laisse-moi te tringler, tu ne le regretteras pas !
Alysha obéit.
- Aah... oooh... s'il-te-plaît....oooh...
Je vins, à pas de loup, m'asseoir dans le fauteuil juste devant elle, je n'étais qu'à un mètre. Manu donnait des coups de reins extatiques, regardant sa queue disparaître dans le trou béant et humide, admirant le corps superbe de l'infidèle.
Je me mis lentement à genoux devant elle, et l'attrapant par les cheveux, la guidai vers ma queue.
- OH ! DENIS ! CE N'EST PAS CE QUE TU...
Je lui enfournai la pine dans la bouche plutôt que de l'entendre proférer un mensonge de plus, et la lui enfonçai dans la gorge. Elle essaya de remonter pour respirer mais je la maintins jusqu'à ce qu'elle devienne rouge écarlate, tandis que Manu continuait de la ramoner de plus en plus violemment.
- Tu es suprise, hein, salope ! Salope ! Salope ! Salope !
La tenant toujours par les cheveux, je la laissai respirer de grandes goulées d'air douloureuses mêlées de salive épaisse. Manu gémissait maintenant, et Alysha n'avait plus la force de se retirer pour l'empêcher de jouir dans son cul devant moi.
- Tu n'es qu'une traînée !
- Non, Denis, je...
- La ferme !
Je fourrai à nouveau ma queue sur sa langue et poussai dans son gosier, j'étais excité, ivre de pouvoir. Manu se tendit au fond du cul et déchargea en râlant, dans un mélange de bruits de succion et de gargouillis liquides.
- Rôôôôôôh wouohrrrrr....
Il saisit les hanches d'Alysha et la fit danser sur sa queue dans un rythme effréné, projetant des gouttelettes translucides tout autour de l'anus tendu et rougi.
Je me cabrai, et forçai Alysha à se relever, petit à petit, jusqu'à la planter sur la bite qui déchargeait en elle. Je guidai sa tête sur ma queue, la laissant à peine respirer, elle ne protestait plus, vaincue. Mais c'était trop simple, trop rapide. Je me reculai, et fis signa à Manu de se retirer.
Il ôta sa bite luisante du cul de ma compagne infidèle, et remonta son pantalon hâtivement, sans prendre le temps de s'essuyer.
- Denis, mon pote, je suis désolé...
- Tais-toi, on va s'expliquer dans une minute.
Je me penchai sur Alysha.
- Viens-là, salope !
Je l'attrapai par le bras et la menai, culotte toujours entre les jambes, à l'escalier, comme une poupée sexy désarticulée.
- Tu montes, je m'explique avec Manu, j'arrive. Et ne te rhabille pas, tu veux de la queue, tu vas en avoir.
- Denis...
Une claque sur les fesses, retentissante.
- Monte !
Elle tressaillit et obéit, trébuchant sur les premières marches. La culotte resta là, au pied de l'escalier.
Je la ramassai et revins vers Manu.
- Merci, mon pote.
- Le plaisir est pour moi ! La vache, elle m'a essoré la queue !
Je lui tendis la culotte en souriant, un rien crispé.
- Tiens, cadeau. Je t'appelle demain.
- Tu veux continuer ce petit jeu ?
Je hochai la tête.
- Ouaip. Plus que jamais. Allez, faut que j'aille finir le travail...
- Viens à la maison, demain soir. Eva sera là.
Je souris.
- Je viendrai.
Il me serra la main, et sortit en sifflotant.
Je me déshabillai totalement et montai les escaliers quatre à quatre, trique dressée, couilles au vent.
Alysha était dans la petite salle de bains, toujours débraillée, le chemisier ouvert, ses nichons débordant vulgairement du soutif demi-lune, la jupette de travers, les bas filés. Elle ressemblait à une prostituée de série B, et sanglotait devant le lavabo, humiliée.
- Denis, je suis...
- Tu es une GARCE. Et tu sais ce qu'on leur fait aux garces ?
Je la tirai par le bras, sans ménagement, et l'obligeai à se mettre à quatre pattes, le buste au-dessus de la baignoire, les seins pendouillant misérablement.
- Montre-moi ton cul.
- Denis... je t'en prie...
- Les garces, on les punit. Cambre-toi. Montre-moi ton cul.
Elle serra les lèvres, silencieuse, ferma les yeux, et releva lentement sa jupette. Ses deux lobes couleur de sable apparurent, couverts de gouttes de sperme séché. Ma queue durcit encore, elle battait dans l'air, à l'horizontale. La première claque sur les fesses tomba. Suivie d'une caresse. Puis d'une seconde claque. Et d'une seconde caresse, plus prononcée. Alysha s'agrippa à la baignoire, tête basse.
Je la fessai, encore et encore, de grandes claques sonores, ponctuées de caresses douces sur la peau rougie. Alysha pleurait, geignait, ahanait, me supplia d'arrêter, puis de continuer, au fur et à mesure que les caresses se faisaient plus appuyées et descendaient vers son intimité.
- Oh, Denis, pardon, pardon, pardon... ah ! ah ! DENIS ! Pardon ! Pardooon !
Elle se cabra soudain, cherchant ma bite avec sa main, et m'attira dans sa bouche. Elle me suça avidement, pendant que je continuai à la fesser résolument, espaçant les claques, faisant durer plus longuement les caresses. Ses lèvres épousaient parfaitement la forme de ma queue, sa langue se lovait autour de mon gland, le recouvrant d'un cocon humide et doux. Je la revis, dans le bureau de Bléry, me sucer, yeux fermés, devant tous les autres, dans la même attitude soumise. Je n'éprouvais que du mépris pour elle. Elle était allée trop loin.
Je la repoussai, et la relevai, la forçant à me tourner le dos, debout.
- Monte ta jupe.
Elle me regarda, dans la glace, au-dessus du lavabo, les yeux embués de larmes, et releva sa jupe lentement.
Je glissai ma queue entre les lobes arrondis, rougis, elle écarta les jambes légèrement. La raie de ses fesses était poisseuse, gluante, je poussai contre la rondelle pleine de jute, qui s'ouvrit comme une fleur et je l'enculai, lentement, debout. Elle appuya ses mains sur le lavabo, baissant la tête, honteuse, humiliée. Ma bite s'insinua jusqu'au fond des boyaux lubrifiés par le sperme gluant de Manu, je collai mes abdos au cul formidable et entamai un va-et-vient nonchalant, cherchant mon plaisir, sans complexe. Je ne me rendis pas tout de suite compte des gémissements d'Alysha.
- Mmmh... aah... mmmh...
Elle avait glissé une main sur la chatte et se masturbait frénétiquement. Je saisis ses hanches et essayai de la pénétrer plus loin encore, son anus se contracta autour de ma bite, elle poussait vers l'arrière pour mieux me sentir, pour me stimuler, m'encourager, je ne sentais plus ma pine dans ses boyaux glaireux, visqueux, le sperme me collait aux poils, au corps. Ignorant les bruits de succion peu ragoûtants, j'accentuai la pression, j'accélérai le rythme, sentant ma verge enfler en elle, et les éclairs monter de mes couilles, de mon ventre. J'explosai au fond de son cul dans un râle, agité de soubresauts délicieux, mêlant mon sperme à celui de mon meilleur ami, espérant ainsi la salir et l'avilir à jamais.
La délivrance gicla longuement dans les tripes écartelées, je me collai au cul de ma compagne, la serrant dans mes bras croisés, mes doigts plantés dans ses nichons formidables, les malaxant, les griffant, conscient des mamelons dressés contre mes paumes, jusqu'à ce qu'enfin le dernier sursaut ébranle ma queue, vide mes couilles, libère ma rage.
Je restai quelques instants tout contre elle, sentant son corps au creux du mien, ses entrailles autour de mon sexe débandant déjà, puis je me retirai sans douceur.
- A genoux.
Elle se retourna, les yeux dans le vague, et obéit en grimaçant. Je n'avais pas pris de gants avec son anus, elle en ressentait les premiers effets.
- Nettoie ma bite.
Elle hocha la tête sans sourire, et cracha sur mon gland une salive épaisse avant de le nettoyer minutieusement sa mollesse avec sa langue.
- C'est terminé, Alysha.
Elle ne réagit pas, continuant à me sucer, les yeux ouverts, mais sans me regarder. Elle pleurait.
- Ne me parle plus de mariage. Je ne sais même pas si je veux rester avec toi.
Elle cracha encore sur ma queue, s'y accrochant comme si c'était sa bouée de sauvetage. Sa langue atteignit les poils de mon pubis, qu'elle débarrassa du sperme congelé, avant de descendre vers mes bourses encore sensibles.
Je la laissai finir, et me demandais vaguement comment allait réagir Bléry quand il saurait que nous ne nous marierons pas.
Et j'étais sûr qu'Alysha n'allait pas tarder à se poser la question aussi.
Alysha, vêtue d'un gros pull noir et d'un bas de jogging gris, m'accueillit en souriant, l'air heureuse, insouciante, comme si rien ne s'était passé la veille, comme si elle ne m'avait pas proposé le mariage pour satisfaire la perversité de son patron.
Pour la millième fois, en l'embrassant longuement, je me demandai si cela valait bien les cent mille euros qu'elle avait gagnés pour être le jouet de cet homme. Notre couple ne valait-il pas plus que ça ? Et sa dignité à elle valait-elle si peu d'argent ?
Elle me débarrassa de ma veste en demandant:
- Tu as passé une bonne journée ?
Je me voyais lui répondre: "Très bonne, chérie, j'ai enculé la fille à peine majeure de ton patron et je trouve son cul un peu étroit", mais je me contentai de hocher la tête en m'asseyant dans le canapé.
- Très bonne. J'ai eu Manu, au téléphone, il m'a dit qu'il t'avait vue hier, pourquoi tu ne me l'as pas dit ?
Elle m'apporta un verre de vin.
- Je ne l'ai pas... hier... hier, tu dis ?
Elle pâlit légèrement, réalisant ce qu'impliquait ma petite phrase anodine: Manu devait forcément être l'inconnu qui l'avait baisée sur ordre de Bléry. Mon meilleur ami à moi.
- Hier, oui.
- Ah oui... je... c'est exact. Je n'ai pas pensé à te le dire.
Je jubilais intérieurement.
- Il passe dans une demi-heure environ, il m'a dit qu'il fallait qu'on se parle.
Alysha essayait de cacher son inquiétude. Sa respiration devenait plus haute, plus rapide, elle paniquait.
- Il vient ici ?
- Hmm hmmm. J'espère qu'il ne s'est pas fourré dans une sale situation... je ne vois pas pourquoi il voudrait me parler d'urgence sauf pour que je le défende en tant qu'avocat... tu ne crois pas ?
Elle n'écoutait pas. Je souris.
- Je... je ne sais pas.
- Tu devrais te passer une jupe, tu ressembles à un sac, comme ça. Tu sais que j'aime bien quand tu es un peu sexy...
Elle secoua la tête.
- Mais... après notre dispute d'hier... je ne veux pas te fâcher encore.
- Allons, on parle de Manu, là ! Je ne te dis pas de lui faire une douceur sur le tapis, juste de te mettre une jupette. J'adore les yeux qu'il fait quand tu te penches devant lui - et il est toujours à essayer de voir tes seins dans tes décolletés, c'est marrant.
- Je ne sais pas si c'est une bonne idée...
- Allez, quoi, joue le jeu, je ne me fâcherai pas. Mets une mini-jupe, un haut moulant sur tes seins nus, et un string. Je veux que tu m'excites moi. On pourra se faire un peu plaisir après qu'il soit parti... Après tout, tu as beaucoup à te faire pardonner !
Elle était blême.
- Je... j'y vais.
Elle quitta la pièce en titubant presque. Je m'allongeai dans le canapé, mon verre à la main, et fermai les yeux, satisfait. Je me sentais fébrile, mais il fallait que j'aille au bout de ma petite vengeance.
***
La sonnette de la porte d'entrée.
J'étais monté dans la chambre pour me mettre à l'aise, un jean, une chemisette. J'entrouvris la porte et appelai Alysha.
- C'est Manu ! Tu vas ouvrir ?
Elle dévala les escaliers, talons haut, bas noirs, jupe plissée noire, chemisier noir moulant - sans rien dessous, à en croire le balancement hypnotique de ses gros seins -, cheveux remontés en chignon, maquillage léger qui se voyait à peine sur sa peau sablée, dorée. Sexy, et juste chaste. Elle espérait encore s'en sortir indemne. 20h précises. Je réglai l'alarme de mon téléphone pour 20h02, avec la même mélodie que ma sonnerie, et la suivis discrètement dans l'escalier.
Arrivée à la porte, elle se recoiffa avant d'ouvrir.
- Salut Alysha.
Le ton de Manu était sérieux, même s'il souriait
- Sa...lut Manu.
Il entre, elle lui fait la bise, hésitante.
- J'aime vraiment ton parfum... (chuchotant) c'est le même qu'hier ?
Alysha recula, les bras croisés sous ses seins, comme pour se protéger.
Je descendis bruyamment les dernières marches, ce qui lui épargna de répondre.
- Salut mon ami - entre, entre !
On se fit la bise en riant.
- Tu veux boire un coup avant qu'on ne parle de ton souci ?
Mon téléphone sonna. L'alarme. Je fis semblant de répondre.
- Excusez-moi une seconde. Allô ? Oui, Henri ? Comment ça ?
Je fis signe à Alysha et Manu d'avancer vers le salon. Elle était vraiment canon, ce soir, ma belle salope.
- Quel dossier ? Mmmh. Mmmh. C'est que je reçois un ami, là... dans une heure ??? OK, Juge, je vois ce que je peux faire, je te rappelle. Oui. C'est ça. Je te rappelle, je préviens juste ma femme.
Je rangeai le portable et me tournai vers Alysha et Manu.
- Je suis désolé, je dois vous laisser une petite heure, j'ai un dossier à porter au juge en urgence... je reviens tout de suite, buvez l'apéro j'en ai pas pour longtemps.
Alysha semblait désespérée.
- Tu ne vas pas nous laisser ?
Je souris, l'air innocent.
- Ce n'est pas la première fois que tu vois Manu, il est de bonne compagnie, il sait se tenir ! Le temps de prendre le dossier, de le porter au tribunal et de revenir, 40 minutes chrono. Pas de problème, Manu, ça ira ?
Mon pote rigole.
- Très bien, pas de souci, on t'attend.
- Super. A tout de suite.
Je courus dans mon bureau, à l'étage, pris un dossier au hasard, descendis les escaliers, claquai la porte. J'entrai dans la voiture, démarrai, tournai au bout de la rue, revins dans la rue transversale, me garai, et courus vers la maison pour assister à la représentation. J'entrai par la cuisine, sans faire de bruit, traversai le couloir sur la pointe des pieds et me réfugiai dans le bureau d'Alysha. La porte de communication avec le salon était entrouverte. Telle que je l'avais laissée.
Manu se tenait devant Alysha, imposant, souriant. Je pris la conversation en cours de route.
- ... chez Bléry ? Tu sais pourquoi je suis là ?
Alysha recula d'un pas.
- Je t'en prie...
- La femme de mon ami obéit comme une bonne petite chienne à une ordure sans nom et se tape tout ce qui bouge, et tu crois que je vais laisser passer ça ?
Alysha se tordait les mains, impuissante.
- Il le sait, il le SAIT ! Je le lui ai DIT !
- Oh. Dans ce cas, le fait de savoir que son meilleur ami s'est tapé sa nana hier ne lui posera pas de problème. Tu n'as rien à craindre.
- Je... il ne connaît pas les détails mais...
- Etonnant, ça, dans la mesure où tu ne savais pas toi-même qui te baisait.
Manu jouait son rôle à la perfection. J'en oubliais presque que ce n'était pas lui qui avait sauté Alysha la veille, mais moi.
- Tu ne peux pas lui dire.
- Je vais me gêner !
- Mais tu en as profité ! C'est toi, le salaud !
Manu imita Bléry.
- "Mademoiselle Rocher, si vous ouvrez les yeux, notre contrat s'arrête". Tu aurais pu ouvrir les yeux. Et justement, je ne suis pas fier de moi, j'ai trompé mon ami autant que toi.
- Si tu lui dis, il ne me le pardonnera jamais. Nous... nous allons nous marier !
Je serrai les mâchoires. Comment osait-elle invoquer cette excuse bidon ? Manu fit un pas vers elle.
- Il y a peut-être un moyen...
Alysha déglutit, pâle comme la mort.
- Le... lequel ?
Manu sourit, cynique.
- Tu vas être très gentille avec moi. Mets-toi à quatre pattes.
- Denis... Denis pourrait arriver... et...
- Ne cherche pas d'excuse à la con. Tu es baisée, d'une manière ou d'une autre. Je préférerai que ce soit au sens littéral, mais si tu préfères que ce soit au figuré, je peux attendre que Denis rentre. Montre-moi tes gros nichons.
- Mais... tu disais que Denis était ton ami ?
Je bandais. J'ouvris ma braguette et sortit ma queue de mon pantalon.
Il fit un autre pas vers elle et lui caressa le visage du bout des doigts.
- Mais tu es mon amie aussi... et tu vas être très amicale avec moi. Montre-moi tes seins.
Alysha baissa la tête, vaincue. Elle déboutonna son chemisier, lentement, recroquevillée sur elle-même. Je m'étais trompé: elle avait mis un soutien-gorge demi-lune, qui soutenait ses seins sans en cacher le galbe et les mamelons. Manu déglutit, hypnotisé, gardant son sourire moqueur. Il tâta les globes couleur de sable, l'air appréciateur. Les nichons lui emplissaient les mains, débordaient de ses doigts. Mon ventre se tordit de désir, et mon coeur de jalousie.
- Jolis lolos. A quatre pattes.
Alysha paraissait sur le point de pleurer.
- Tu... tu ne diras rien à Denis ?
Manu émit un petit rire.
- Voyons, pourquoi irai-je lui dire... tu es mon amie. Si tu viens chaque fois que je te siffle...
Il se pencha vers elle et l'embrassa sur les lèvres.
-... alors non, je ne dirai rien.
Alysha hocha la tête très lentement, et, yeux baissés, se mit à quatre pattes devant mon ami.
Il déboutonna lentement son jean, et, bite à l'air, tourna autour de ma compagne, qui me tournait le dos de trois-quarts. Je me complus à admirer ses courbes parfaites, ses cuisses fermes sous ses bas noirs. Je me masturbai doucement, à peine conscient du petit pincement qui me tordit le coeur quand Manu s'agenouilla derrière elle et releva la jupe plissée.
- Alors comme ça, tu aimes qu'on t'encule ? Denis m'avait caché ça...
Il baissa le string - blanc perle - lentement, jusqu'à mi-cuisse, et donna une tape sur le cul doré.
- Réponds.
Alysha, toujours tête baissée, serra les poings.
- C'est... c'est récent...
Nouvelle tape, plus appuyée, suivie d'une caresse.
- Tu ne m'as pas répondu. Tu aimes te faire enculer ?
Alysha se tendit.
- Ce n'est pas.... disons... ça dépend...
Manu frotta sa queue entre les lobes généreux, cherchant manifestement à assouplir la rondelle de sa proie. Alysha se tendit encore, mais resta soumise. Je me revis, dans le bureau de Bléry, tremper ma trique dans le sperme encore frais des mecs qui venaient de profiter d'elle. Je serrai ma pine entre mes doigts et la caressai plus fermement.
- Et chez Bléry ? Tu as aimé te sentir humiliée ainsi, tu as aimé te faire ramoner par un inconnu ? ça t'a fait frissonner de plaisir, de ne pas savoir qui c'était, hein ?
Petit geignement d'Alysha, plaintif. Manu donnait maintenant des coups de reins appuyés, je me demandais s'il l'avait pénétrée. Je respirai plus vite, excité, comme à chaque fois, de voir la femme de ma vie se faire déshonorer devant moi, à son insu.
- J'ai.. oui...
- Penche-toi plus, ouvre ta chatte, tu vas aimer ça aussi...
Alysha résista à la pression qu'exerçait Manu sur ses épaule, mais finit par s'affaler au sol en cambrant son cul, toujours docile. Manu la limait, je savais maintenant qu'il la sautait, il n'avait pas attendu, le salaud. Il se tourna vers moi et me fit un clin d'oeil en passant, avant de se pencher complètement sur Alysha et de lui attraper les seins sous le chemisier ouvert. Il tira les deux aiguilles du chignon avec les dents et noya son visage dans la chevelure soyeuse qui dégringola le long des épaules de la belle.
- Si tu savais depuis combien de temps je rêve de te baiser ! T'es toute mouillée, ma parole, ta chatte est une vraie fontaine !
Alysha fermait toujours les poings, mâchoires serrées.
- Denis va revenir...
Manu dansait littéralement dans le cul, en s'agrippant aux mamelles de ma compagne, sourire aux lèvres.
- Tu aimes ce que je te fais, dis ?
Elle secoua la tête. L'un de ses bas se détacha du porte jarretelle sur sa jambe, elle avait l'air d'un ange déchu.
- Denis... Denis va nous surprendre
Mon coeur battait la chamade. Je sus que j'allais entrer avant même de pousser doucement la porte, bite à la main. Alysha ne me voyait pas, Manu m'aperçut. Il se figea, l'air surpris. Je lui fis signe de continuer. Il sourit.
- Oh, ça, il fallait y penser avant ! Bouge pas, que je t'encule un coup, puisque tu en fais ta spécialité. Ouvre bien le cul, salope.
- Non, s'il te... oooh...
- Mais c'est que ça rentre comme dans du beurre, c'est çaaaa... ferme les yeux et laisse-moi te tringler, tu ne le regretteras pas !
Alysha obéit.
- Aah... oooh... s'il-te-plaît....oooh...
Je vins, à pas de loup, m'asseoir dans le fauteuil juste devant elle, je n'étais qu'à un mètre. Manu donnait des coups de reins extatiques, regardant sa queue disparaître dans le trou béant et humide, admirant le corps superbe de l'infidèle.
Je me mis lentement à genoux devant elle, et l'attrapant par les cheveux, la guidai vers ma queue.
- OH ! DENIS ! CE N'EST PAS CE QUE TU...
Je lui enfournai la pine dans la bouche plutôt que de l'entendre proférer un mensonge de plus, et la lui enfonçai dans la gorge. Elle essaya de remonter pour respirer mais je la maintins jusqu'à ce qu'elle devienne rouge écarlate, tandis que Manu continuait de la ramoner de plus en plus violemment.
- Tu es suprise, hein, salope ! Salope ! Salope ! Salope !
La tenant toujours par les cheveux, je la laissai respirer de grandes goulées d'air douloureuses mêlées de salive épaisse. Manu gémissait maintenant, et Alysha n'avait plus la force de se retirer pour l'empêcher de jouir dans son cul devant moi.
- Tu n'es qu'une traînée !
- Non, Denis, je...
- La ferme !
Je fourrai à nouveau ma queue sur sa langue et poussai dans son gosier, j'étais excité, ivre de pouvoir. Manu se tendit au fond du cul et déchargea en râlant, dans un mélange de bruits de succion et de gargouillis liquides.
- Rôôôôôôh wouohrrrrr....
Il saisit les hanches d'Alysha et la fit danser sur sa queue dans un rythme effréné, projetant des gouttelettes translucides tout autour de l'anus tendu et rougi.
Je me cabrai, et forçai Alysha à se relever, petit à petit, jusqu'à la planter sur la bite qui déchargeait en elle. Je guidai sa tête sur ma queue, la laissant à peine respirer, elle ne protestait plus, vaincue. Mais c'était trop simple, trop rapide. Je me reculai, et fis signa à Manu de se retirer.
Il ôta sa bite luisante du cul de ma compagne infidèle, et remonta son pantalon hâtivement, sans prendre le temps de s'essuyer.
- Denis, mon pote, je suis désolé...
- Tais-toi, on va s'expliquer dans une minute.
Je me penchai sur Alysha.
- Viens-là, salope !
Je l'attrapai par le bras et la menai, culotte toujours entre les jambes, à l'escalier, comme une poupée sexy désarticulée.
- Tu montes, je m'explique avec Manu, j'arrive. Et ne te rhabille pas, tu veux de la queue, tu vas en avoir.
- Denis...
Une claque sur les fesses, retentissante.
- Monte !
Elle tressaillit et obéit, trébuchant sur les premières marches. La culotte resta là, au pied de l'escalier.
Je la ramassai et revins vers Manu.
- Merci, mon pote.
- Le plaisir est pour moi ! La vache, elle m'a essoré la queue !
Je lui tendis la culotte en souriant, un rien crispé.
- Tiens, cadeau. Je t'appelle demain.
- Tu veux continuer ce petit jeu ?
Je hochai la tête.
- Ouaip. Plus que jamais. Allez, faut que j'aille finir le travail...
- Viens à la maison, demain soir. Eva sera là.
Je souris.
- Je viendrai.
Il me serra la main, et sortit en sifflotant.
Je me déshabillai totalement et montai les escaliers quatre à quatre, trique dressée, couilles au vent.
Alysha était dans la petite salle de bains, toujours débraillée, le chemisier ouvert, ses nichons débordant vulgairement du soutif demi-lune, la jupette de travers, les bas filés. Elle ressemblait à une prostituée de série B, et sanglotait devant le lavabo, humiliée.
- Denis, je suis...
- Tu es une GARCE. Et tu sais ce qu'on leur fait aux garces ?
Je la tirai par le bras, sans ménagement, et l'obligeai à se mettre à quatre pattes, le buste au-dessus de la baignoire, les seins pendouillant misérablement.
- Montre-moi ton cul.
- Denis... je t'en prie...
- Les garces, on les punit. Cambre-toi. Montre-moi ton cul.
Elle serra les lèvres, silencieuse, ferma les yeux, et releva lentement sa jupette. Ses deux lobes couleur de sable apparurent, couverts de gouttes de sperme séché. Ma queue durcit encore, elle battait dans l'air, à l'horizontale. La première claque sur les fesses tomba. Suivie d'une caresse. Puis d'une seconde claque. Et d'une seconde caresse, plus prononcée. Alysha s'agrippa à la baignoire, tête basse.
Je la fessai, encore et encore, de grandes claques sonores, ponctuées de caresses douces sur la peau rougie. Alysha pleurait, geignait, ahanait, me supplia d'arrêter, puis de continuer, au fur et à mesure que les caresses se faisaient plus appuyées et descendaient vers son intimité.
- Oh, Denis, pardon, pardon, pardon... ah ! ah ! DENIS ! Pardon ! Pardooon !
Elle se cabra soudain, cherchant ma bite avec sa main, et m'attira dans sa bouche. Elle me suça avidement, pendant que je continuai à la fesser résolument, espaçant les claques, faisant durer plus longuement les caresses. Ses lèvres épousaient parfaitement la forme de ma queue, sa langue se lovait autour de mon gland, le recouvrant d'un cocon humide et doux. Je la revis, dans le bureau de Bléry, me sucer, yeux fermés, devant tous les autres, dans la même attitude soumise. Je n'éprouvais que du mépris pour elle. Elle était allée trop loin.
Je la repoussai, et la relevai, la forçant à me tourner le dos, debout.
- Monte ta jupe.
Elle me regarda, dans la glace, au-dessus du lavabo, les yeux embués de larmes, et releva sa jupe lentement.
Je glissai ma queue entre les lobes arrondis, rougis, elle écarta les jambes légèrement. La raie de ses fesses était poisseuse, gluante, je poussai contre la rondelle pleine de jute, qui s'ouvrit comme une fleur et je l'enculai, lentement, debout. Elle appuya ses mains sur le lavabo, baissant la tête, honteuse, humiliée. Ma bite s'insinua jusqu'au fond des boyaux lubrifiés par le sperme gluant de Manu, je collai mes abdos au cul formidable et entamai un va-et-vient nonchalant, cherchant mon plaisir, sans complexe. Je ne me rendis pas tout de suite compte des gémissements d'Alysha.
- Mmmh... aah... mmmh...
Elle avait glissé une main sur la chatte et se masturbait frénétiquement. Je saisis ses hanches et essayai de la pénétrer plus loin encore, son anus se contracta autour de ma bite, elle poussait vers l'arrière pour mieux me sentir, pour me stimuler, m'encourager, je ne sentais plus ma pine dans ses boyaux glaireux, visqueux, le sperme me collait aux poils, au corps. Ignorant les bruits de succion peu ragoûtants, j'accentuai la pression, j'accélérai le rythme, sentant ma verge enfler en elle, et les éclairs monter de mes couilles, de mon ventre. J'explosai au fond de son cul dans un râle, agité de soubresauts délicieux, mêlant mon sperme à celui de mon meilleur ami, espérant ainsi la salir et l'avilir à jamais.
La délivrance gicla longuement dans les tripes écartelées, je me collai au cul de ma compagne, la serrant dans mes bras croisés, mes doigts plantés dans ses nichons formidables, les malaxant, les griffant, conscient des mamelons dressés contre mes paumes, jusqu'à ce qu'enfin le dernier sursaut ébranle ma queue, vide mes couilles, libère ma rage.
Je restai quelques instants tout contre elle, sentant son corps au creux du mien, ses entrailles autour de mon sexe débandant déjà, puis je me retirai sans douceur.
- A genoux.
Elle se retourna, les yeux dans le vague, et obéit en grimaçant. Je n'avais pas pris de gants avec son anus, elle en ressentait les premiers effets.
- Nettoie ma bite.
Elle hocha la tête sans sourire, et cracha sur mon gland une salive épaisse avant de le nettoyer minutieusement sa mollesse avec sa langue.
- C'est terminé, Alysha.
Elle ne réagit pas, continuant à me sucer, les yeux ouverts, mais sans me regarder. Elle pleurait.
- Ne me parle plus de mariage. Je ne sais même pas si je veux rester avec toi.
Elle cracha encore sur ma queue, s'y accrochant comme si c'était sa bouée de sauvetage. Sa langue atteignit les poils de mon pubis, qu'elle débarrassa du sperme congelé, avant de descendre vers mes bourses encore sensibles.
Je la laissai finir, et me demandais vaguement comment allait réagir Bléry quand il saurait que nous ne nous marierons pas.
Et j'étais sûr qu'Alysha n'allait pas tarder à se poser la question aussi.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Coloredbirdonaroof
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est vraiment terrible cette histoire.
merci beaucoup.
vivement la suite.
merci beaucoup.
vivement la suite.
en attendant le récit suivant... félicitations pour ce récit fantastique !!!
Vivement la suivante !!!
Très sympa la fin de l'histoire ^^
J'attends la suivante avec impatience!!
Bonne continuation et merci encore!!
J'attends la suivante avec impatience!!
Bonne continuation et merci encore!!