Le coopérant
Récit érotique écrit par jacques r [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le coopérant
Naitre au sein d’une famille pauvre d’Afrique centrale n’est pas la meilleure façon de débuter dans la vie, même quand on a de l’ambition, de la volonté et de réelles capacités intellectuelles. Heureusement pour moi, j’ai pu poursuivre des études scientifiques grâce à l’armée, à la condition d’y servir pendant 5 ans à la fin de ma scolarité.
Et me voilà donc aujourd’hui sous-lieutenant, chef de section dans une compagnie d'infanterie. J'ai épousé Agathe alors que nous étions encore à la fac et par chance, nous avons pu bénéficier d’un petit appartement à l’intérieur du camp militaire de cette préfecture de 40 000 habitants, à 400 kilomètres de la capitale. La vie n’est pas toujours facile et ma solde guère élevée. Agathe a par chance trouvé un poste d’enseignante à mi-temps dans une école privée de la ville.
Un soir, le lieutenant-colonel Verdy a invité tous les officiers subalternes à boire un pot au mess. Il a bu beaucoup (trop ?) et s’est trouvé vite bien éméché. Je lui ai alors proposé de le ramener à son domicile familial, situé à environ cinq kilomètres du camp. Ainsi, il ne serait pas arrêté par les flics et soumis à un quelconque racket ou victime d’un accident, plus ou moins provoqué. Il a accepté bien volontiers.
Je dois admettre que j'étais un peu « lèche-botte » sur le coup, mais vous devez parfois faire de telles choses pour aller de l'avant dans notre armée aujourd'hui, surtout vis-à-vis d’un coopérant blanc et influent.
A peine installés dans ma vieille voiture, j’ai pensé m’arrêter chez moi et présenter Verdy à Agathe. J'avais l’idée que ma femme et celle de Verdy se rencontreraient ensuite et deviendraient amies, ce qui ne serait pas non plus mauvais pour mon avancement. Je pensais donc que cette hospitalité ne nuirait pas à ma carrière et que Agathe ne s’y opposerait pas non plus.
Le lieutenant-colonel Verdy a alors 38 ans. Il est grand et imposant : environ 1 mètre 90 et probablement autour de 95 kilos. Il a longtemps joué au rugby en France, dont trois ans dans le centre de formation d’un club professionnel, avant de changer d’orientation et d’entrer à l’académie militaire. Arrivé depuis quelques mois dans le pays, Il semblait jusqu’alors se tenir à l’écart des officiers subalternes. Mais j’ai pensé que c'était juste la façon dont les coopérants se devaient d’agir.
Officiellement, il n’est « que » le conseiller de notre commandant de bataillon. En réalité, c’est lui qui provoque toutes les décisions et gère le quotidien comme l’entrainement de l’unité. Compétent, très à l’aise sur le terrain, il est apprécié de tous pour ses qualités professionnelles voire admiré par nombre de capitaines et d’officiers supérieurs du bataillon.
Arrivés à la maison, je me suis aperçu que Agathe était de sortie chez des amies. J'ai offert le fauteuil au lieutenant-colonel Verdy, je me suis installé en face dans le canapé et nous avons siroté deux ou trois verres de Johnnie Walker (boisson phare dans le pays) en attendant le retour d’Agathe. C'était étrange de voir cet officier être si détendu, alors qu’il paraissait toujours sévère en service.
Agathe est habituellement une personne timide, mais elle avait manifestement abusé du ngbako (l’alcool de traite). Elle tanguait en avançant dans le couloir et bavardait sans arrêt. J’ai alors pensé :
- Oh mon Dieu ! Ne la laissez pas faire n'importe quoi qui pourrait m’être préjudiciable !
Rentrant dans le salon, elle a été d’abord surprise par la présence inattendue du lieutenant-colonel Verdy, mais elle a rapidement brisé la glace en disant :
- Juste ce dont j'ai besoin... deux beaux hommes !
J’ai pu constater que le visage du lieutenant-colonel Verdy s'illuminer immédiatement. Avec cette sensation qu’Agathe était probablement plus qu'un peu ivre, j'ai suggéré doucement à Verdy que, peut-être, je devrais le ramener chez lui dès maintenant.
J'ai été surpris quand il m'a coupé la parole pour me dire de ne pas être si pressé.
Agathe est très jolie. À 22 ans, sa peau noisette, ses longues tresses, son petit nez retroussé, ses lèvres en forme de cœur, son 90C, sa taille fine et ses fesses rondes attiraient tous les regards masculins depuis nos années d’université. Ce soir-là, elle portait une minijupe courte et plissée, un haut sans manche boutonné devant, suffisamment serré pour mettre en valeur sa poitrine et ses hanches et une paire de stilettos qui la grandissait encore en mettant en valeur ses longues jambes. J'ai tout de suite remarqué le regard que portait le lieutenant-colonel sur son jeune corps, la contemplant lentement, de haut en bas et je pouvais sentir qu’Agathe appréciait l'attention que lui portait cet homme mature et blanc. Étonnamment, elle l'a provoqué en se penchant très lentement pour m'embrasser, alors que j’étais assis sur le canapé.
A cet instant, le lieutenant-colonel Verdy s’est brusquement levé de son fauteuil pour soulever l’arrière de sa minijupe et dévoiler à sa vue son joli cul rond et son tanga en dentelle blanche. Et il lui donna une forte claque sur la fesse droite.
Agathe a sursauté et lui a dit qu'il était un grossier personnage.
- Viens ici, si tu veux me taquiner, grogna-t-il.
J’étais surpris par son comportement.
- Je t’ai demandé de venir ici, et tout de suite, dit-il en prenant le ton du commandement.
Agathe s'est approchée de lui et il l'a installée un peu de force sur l’un de ses genoux. Il en profitait pour masser ses seins et pincer ses mamelons avec ses grandes mains blanches.
Pour être honnête, voir ma femme ainsi maltraitée par un autre homme me rendait tout à la fois malade de jalousie et excité.
- Quelle adorable poitrine que celle de votre femme, a-t-il ajouté.
Dans le même temps, il déboutonnait le haut d’Agathe, offrant la vue de ses seins libres de tout soutien-gorge. Il mit alors son visage entre ces deux superbes nibards noirs, aspirant tour à tour chacun de ses mamelons.
Le visage d’Agathe se mit à rougir en sentant la main de Verdy disparaitre sous sa jupe. Je pouvais déduire à la tension soudaine de son corps qu’il était en train de glisser ses doigts à l'intérieur d’elle.
- Uh... mon col... je pense que je devrais vous ramener à la maison …. maintenant ? Ma voix était presque inaudible, mes propos embrouillés et mes idées confuses.
- Reste assis, gamin, et calme-toi. C'est un ordre.
J'ai alors fait ce qu'il m’ordonnait. Mon esprit imaginait déjà la prochaine étape : ce que je dirai à Agathe dès que nous serions seuls : je veux divorcer. Car elle n’essayait même pas de lutter contre les attouchements du colonel. Je ne pouvais pas croire à quel point mon épouse habituellement si réservée pouvait se laisser aller ainsi avec mon supérieur.
J'ai commencé à me demander si ce n'était pas non plus la première fois qu'elle agissait ainsi. Peut-être qu'elle avait un amant depuis un moment, peut-être que j’étais cocu depuis notre arrivée au camp ou même depuis notre mariage ?
- Tu es assez mouillée pour être baisée maintenant, sale petite salope noire, n'est-ce pas ? chuchota Verdy.
Agathe ne répondait pas.
- M'as-tu bien entendu ?
- Oui, colonel ! Murmura Agathe.
- Qu'est-ce que tu es ? Dites-le-nous.
- Je suis ta petite salope noire et j'ai besoin d'être baisée.
Elle haletait. Durant tout ce temps, il pétrissait ses seins et poussait deux de ses doigts dans et hors de sa chatte, de plus en plus vite.
Agathe gémissait et se tordait sur ses genoux. Je me suis tourné et il m'a demandé ce que je pensais de ma femme. Il m’avait pris au dépourvu, et je balbutiais :
- C'est une pute mon colonel.
Il s'est levé et a rapidement ôté son uniforme. Son sexe massif libéré de toute entrave, quelques gouttes de precum scintillaient à l’extrémité de son gland violacé. J'étais stupéfait par la vue de son organe. Il mesurait plus de vingt centimètres tout en étant d’un sacré diamètre. Il pendait, déjà long et dur, le long de son entrejambe. Et j’apercevais aussi deux boules poilues de la taille de petits citrons.
- Mets ceci dans ta bouche, Madame ! a-t-il ordonné.
-
Agathe secouait lentement la tête en disant :
- je ne suce jamais, pas même mon mari.
Le lieutenant-colonel Verdy s'assit rapidement, l'attrapa par ses tresses et la coucha sur ses genoux. Agathe essaya de lutter mais il était trop fort. Dans le même temps, sa main droite frappait son cul, comme un large battoir.
Prenant mon courage à deux mains, je m’exclamais :
- Colonel Verdy, Monsieur...
- Tais-toi lieutenant, sinon je fais un rapport pour désobéissance. Et maintenant, madame l’épouse du sous-lieutenant, compte quand je te frappe !
Agathe essayait de compter mais le colonel accélérait sa fessée et elle en perdait le décompte.
- N'as-tu pas appris à compter ? Commence enfin !
Il a continué ainsi pendant plusieurs minutes. Quand il s'est arrêté, il a dit :
- Qu'en est-il de ma bite, Agathe ma petite soumise ? Commence à me sucer !
Je fus stupéfait par son attitude : elle se mit à le sucer comme une professionnelle expérimentée.
- Alors tu vois que tu peux sucer une bite, n'est-ce pas?
-
Elle a hoché la tête et il s’est mis à rire :
- Lieutenant, elle est désormais pleinement opérationnelle. Peut-être que je vais la laisser sucer la tienne, dès demain ! Je suis sûr que tu me remercieras.
Verdy retira sa bite de sa bouche et la frotta sur tout son joli minois.
- Allez ma chère Agathe. Il est grand temps que tu me montres tes autres talents. J’ai hâte d’en découvrir plus et de te faire beugler.
Il a soulevé ma femme pour la déposer sur le canapé et écarter ses cuisses désormais grandes ouvertes, la chatte déjà toute mouillée avec ses nombreuses caresses et l’excitation de la situation.
- Oui, prenez-moi, Colonel. Faites de moi une putain, s'il vous plaît.
Agathe mendiait les faveurs de Verdy. Elle n'avait jamais été comme ça auparavant avec moi.
Je ne pouvais plus accepter ce spectacle. Je me suis levé et j'ai pris ma voix la plus autoritaire possible.
- Lieutenant-colonel Verdy, vous êtes ivre et ne faites pas quelque chose que vous regretterez plus tard !
Il tourna la tête vers moi et me montra un visage menaçant :
- Occupe-toi de ton cul avant que je ne te réduise en bouillie !
Je suis retourné m’assoir, de plus en plus abattu. J’ai pourtant murmuré :
- Agathe, ne fais pas ça. Tu es ma femme...
Elle n'a même pas prêté attention à mes paroles ou au son de ma voix. Mon supérieur s’est installé sur ma femme, son énorme carcasse écrasant presque son petit corps, tout en poussant sa queue profondément dans sa petite chatte serrée.
Elle a crié très fort alors qu’elle sentait la taille de l’engin de l’homme qui la possédait, et son cul a commencé à s’agiter de haut en bas, facilitant une pénétration de sa chatte de plus en plus profonde. Les couilles de Verdy se balançaient à leur propre rythme.
Il grogna, tout en poursuivant sa besogne :
- Qu'est-ce que tu es ?
-
- Je suis une catin, une salope, je suis ta pute. Viens à l'intérieur de moi, s'il te plait.
J'ai vu le visage de l’officier grimacer, alors qu’il accélérait ses aller-retours jusqu’à remplir son ventre de sa semence. Puis, il s’est effondré sur elle.
Agathe est restée allongée pendant un certain temps, les jambes largement écartées, les lèvres de sa vulve gorgées de sang et le sperme du lieutenant-colonel qui s’écouler lentement sur le canapé.
Elle était réellement une véritable petite salope... mais je l’adorais et j’adorais ce que je venais de voir.
Verdy se leva et me toisa. Il renfila lentement son uniforme et utilisa mon téléphone pour appeler un taxi. J'ai relevé ma femme totalement ivre et l'ai mise au lit.
J'ai passé la nuit sur le canapé. Le lendemain matin, le lieutenant-colonel Verdy obtenait ma promotion immédiate au grade de lieutenant et mon inscription au prochain cours des capitaines. J'étais abasourdi.
Les jours ont passé. Je me doute qu’Agathe voit toujours Verdy de temps à autre. Je le sais simplement par la manière dont sa chatte devient de plus en plus lâche.
Finalement, après mûre réflexion, j'ai décidé de faire carrière dans l'armée. Car j’ai désormais avec moi un atout maître et pour un long moment : Agathe. J'espère juste que mes prochains chefs seront aussi bien dotés que Verdy, sinon elle pourrait ne pas vouloir avoir affaire à eux. Et j’en serai le premier désolé. Ma carrière en dépend.
Et me voilà donc aujourd’hui sous-lieutenant, chef de section dans une compagnie d'infanterie. J'ai épousé Agathe alors que nous étions encore à la fac et par chance, nous avons pu bénéficier d’un petit appartement à l’intérieur du camp militaire de cette préfecture de 40 000 habitants, à 400 kilomètres de la capitale. La vie n’est pas toujours facile et ma solde guère élevée. Agathe a par chance trouvé un poste d’enseignante à mi-temps dans une école privée de la ville.
Un soir, le lieutenant-colonel Verdy a invité tous les officiers subalternes à boire un pot au mess. Il a bu beaucoup (trop ?) et s’est trouvé vite bien éméché. Je lui ai alors proposé de le ramener à son domicile familial, situé à environ cinq kilomètres du camp. Ainsi, il ne serait pas arrêté par les flics et soumis à un quelconque racket ou victime d’un accident, plus ou moins provoqué. Il a accepté bien volontiers.
Je dois admettre que j'étais un peu « lèche-botte » sur le coup, mais vous devez parfois faire de telles choses pour aller de l'avant dans notre armée aujourd'hui, surtout vis-à-vis d’un coopérant blanc et influent.
A peine installés dans ma vieille voiture, j’ai pensé m’arrêter chez moi et présenter Verdy à Agathe. J'avais l’idée que ma femme et celle de Verdy se rencontreraient ensuite et deviendraient amies, ce qui ne serait pas non plus mauvais pour mon avancement. Je pensais donc que cette hospitalité ne nuirait pas à ma carrière et que Agathe ne s’y opposerait pas non plus.
Le lieutenant-colonel Verdy a alors 38 ans. Il est grand et imposant : environ 1 mètre 90 et probablement autour de 95 kilos. Il a longtemps joué au rugby en France, dont trois ans dans le centre de formation d’un club professionnel, avant de changer d’orientation et d’entrer à l’académie militaire. Arrivé depuis quelques mois dans le pays, Il semblait jusqu’alors se tenir à l’écart des officiers subalternes. Mais j’ai pensé que c'était juste la façon dont les coopérants se devaient d’agir.
Officiellement, il n’est « que » le conseiller de notre commandant de bataillon. En réalité, c’est lui qui provoque toutes les décisions et gère le quotidien comme l’entrainement de l’unité. Compétent, très à l’aise sur le terrain, il est apprécié de tous pour ses qualités professionnelles voire admiré par nombre de capitaines et d’officiers supérieurs du bataillon.
Arrivés à la maison, je me suis aperçu que Agathe était de sortie chez des amies. J'ai offert le fauteuil au lieutenant-colonel Verdy, je me suis installé en face dans le canapé et nous avons siroté deux ou trois verres de Johnnie Walker (boisson phare dans le pays) en attendant le retour d’Agathe. C'était étrange de voir cet officier être si détendu, alors qu’il paraissait toujours sévère en service.
Agathe est habituellement une personne timide, mais elle avait manifestement abusé du ngbako (l’alcool de traite). Elle tanguait en avançant dans le couloir et bavardait sans arrêt. J’ai alors pensé :
- Oh mon Dieu ! Ne la laissez pas faire n'importe quoi qui pourrait m’être préjudiciable !
Rentrant dans le salon, elle a été d’abord surprise par la présence inattendue du lieutenant-colonel Verdy, mais elle a rapidement brisé la glace en disant :
- Juste ce dont j'ai besoin... deux beaux hommes !
J’ai pu constater que le visage du lieutenant-colonel Verdy s'illuminer immédiatement. Avec cette sensation qu’Agathe était probablement plus qu'un peu ivre, j'ai suggéré doucement à Verdy que, peut-être, je devrais le ramener chez lui dès maintenant.
J'ai été surpris quand il m'a coupé la parole pour me dire de ne pas être si pressé.
Agathe est très jolie. À 22 ans, sa peau noisette, ses longues tresses, son petit nez retroussé, ses lèvres en forme de cœur, son 90C, sa taille fine et ses fesses rondes attiraient tous les regards masculins depuis nos années d’université. Ce soir-là, elle portait une minijupe courte et plissée, un haut sans manche boutonné devant, suffisamment serré pour mettre en valeur sa poitrine et ses hanches et une paire de stilettos qui la grandissait encore en mettant en valeur ses longues jambes. J'ai tout de suite remarqué le regard que portait le lieutenant-colonel sur son jeune corps, la contemplant lentement, de haut en bas et je pouvais sentir qu’Agathe appréciait l'attention que lui portait cet homme mature et blanc. Étonnamment, elle l'a provoqué en se penchant très lentement pour m'embrasser, alors que j’étais assis sur le canapé.
A cet instant, le lieutenant-colonel Verdy s’est brusquement levé de son fauteuil pour soulever l’arrière de sa minijupe et dévoiler à sa vue son joli cul rond et son tanga en dentelle blanche. Et il lui donna une forte claque sur la fesse droite.
Agathe a sursauté et lui a dit qu'il était un grossier personnage.
- Viens ici, si tu veux me taquiner, grogna-t-il.
J’étais surpris par son comportement.
- Je t’ai demandé de venir ici, et tout de suite, dit-il en prenant le ton du commandement.
Agathe s'est approchée de lui et il l'a installée un peu de force sur l’un de ses genoux. Il en profitait pour masser ses seins et pincer ses mamelons avec ses grandes mains blanches.
Pour être honnête, voir ma femme ainsi maltraitée par un autre homme me rendait tout à la fois malade de jalousie et excité.
- Quelle adorable poitrine que celle de votre femme, a-t-il ajouté.
Dans le même temps, il déboutonnait le haut d’Agathe, offrant la vue de ses seins libres de tout soutien-gorge. Il mit alors son visage entre ces deux superbes nibards noirs, aspirant tour à tour chacun de ses mamelons.
Le visage d’Agathe se mit à rougir en sentant la main de Verdy disparaitre sous sa jupe. Je pouvais déduire à la tension soudaine de son corps qu’il était en train de glisser ses doigts à l'intérieur d’elle.
- Uh... mon col... je pense que je devrais vous ramener à la maison …. maintenant ? Ma voix était presque inaudible, mes propos embrouillés et mes idées confuses.
- Reste assis, gamin, et calme-toi. C'est un ordre.
J'ai alors fait ce qu'il m’ordonnait. Mon esprit imaginait déjà la prochaine étape : ce que je dirai à Agathe dès que nous serions seuls : je veux divorcer. Car elle n’essayait même pas de lutter contre les attouchements du colonel. Je ne pouvais pas croire à quel point mon épouse habituellement si réservée pouvait se laisser aller ainsi avec mon supérieur.
J'ai commencé à me demander si ce n'était pas non plus la première fois qu'elle agissait ainsi. Peut-être qu'elle avait un amant depuis un moment, peut-être que j’étais cocu depuis notre arrivée au camp ou même depuis notre mariage ?
- Tu es assez mouillée pour être baisée maintenant, sale petite salope noire, n'est-ce pas ? chuchota Verdy.
Agathe ne répondait pas.
- M'as-tu bien entendu ?
- Oui, colonel ! Murmura Agathe.
- Qu'est-ce que tu es ? Dites-le-nous.
- Je suis ta petite salope noire et j'ai besoin d'être baisée.
Elle haletait. Durant tout ce temps, il pétrissait ses seins et poussait deux de ses doigts dans et hors de sa chatte, de plus en plus vite.
Agathe gémissait et se tordait sur ses genoux. Je me suis tourné et il m'a demandé ce que je pensais de ma femme. Il m’avait pris au dépourvu, et je balbutiais :
- C'est une pute mon colonel.
Il s'est levé et a rapidement ôté son uniforme. Son sexe massif libéré de toute entrave, quelques gouttes de precum scintillaient à l’extrémité de son gland violacé. J'étais stupéfait par la vue de son organe. Il mesurait plus de vingt centimètres tout en étant d’un sacré diamètre. Il pendait, déjà long et dur, le long de son entrejambe. Et j’apercevais aussi deux boules poilues de la taille de petits citrons.
- Mets ceci dans ta bouche, Madame ! a-t-il ordonné.
-
Agathe secouait lentement la tête en disant :
- je ne suce jamais, pas même mon mari.
Le lieutenant-colonel Verdy s'assit rapidement, l'attrapa par ses tresses et la coucha sur ses genoux. Agathe essaya de lutter mais il était trop fort. Dans le même temps, sa main droite frappait son cul, comme un large battoir.
Prenant mon courage à deux mains, je m’exclamais :
- Colonel Verdy, Monsieur...
- Tais-toi lieutenant, sinon je fais un rapport pour désobéissance. Et maintenant, madame l’épouse du sous-lieutenant, compte quand je te frappe !
Agathe essayait de compter mais le colonel accélérait sa fessée et elle en perdait le décompte.
- N'as-tu pas appris à compter ? Commence enfin !
Il a continué ainsi pendant plusieurs minutes. Quand il s'est arrêté, il a dit :
- Qu'en est-il de ma bite, Agathe ma petite soumise ? Commence à me sucer !
Je fus stupéfait par son attitude : elle se mit à le sucer comme une professionnelle expérimentée.
- Alors tu vois que tu peux sucer une bite, n'est-ce pas?
-
Elle a hoché la tête et il s’est mis à rire :
- Lieutenant, elle est désormais pleinement opérationnelle. Peut-être que je vais la laisser sucer la tienne, dès demain ! Je suis sûr que tu me remercieras.
Verdy retira sa bite de sa bouche et la frotta sur tout son joli minois.
- Allez ma chère Agathe. Il est grand temps que tu me montres tes autres talents. J’ai hâte d’en découvrir plus et de te faire beugler.
Il a soulevé ma femme pour la déposer sur le canapé et écarter ses cuisses désormais grandes ouvertes, la chatte déjà toute mouillée avec ses nombreuses caresses et l’excitation de la situation.
- Oui, prenez-moi, Colonel. Faites de moi une putain, s'il vous plaît.
Agathe mendiait les faveurs de Verdy. Elle n'avait jamais été comme ça auparavant avec moi.
Je ne pouvais plus accepter ce spectacle. Je me suis levé et j'ai pris ma voix la plus autoritaire possible.
- Lieutenant-colonel Verdy, vous êtes ivre et ne faites pas quelque chose que vous regretterez plus tard !
Il tourna la tête vers moi et me montra un visage menaçant :
- Occupe-toi de ton cul avant que je ne te réduise en bouillie !
Je suis retourné m’assoir, de plus en plus abattu. J’ai pourtant murmuré :
- Agathe, ne fais pas ça. Tu es ma femme...
Elle n'a même pas prêté attention à mes paroles ou au son de ma voix. Mon supérieur s’est installé sur ma femme, son énorme carcasse écrasant presque son petit corps, tout en poussant sa queue profondément dans sa petite chatte serrée.
Elle a crié très fort alors qu’elle sentait la taille de l’engin de l’homme qui la possédait, et son cul a commencé à s’agiter de haut en bas, facilitant une pénétration de sa chatte de plus en plus profonde. Les couilles de Verdy se balançaient à leur propre rythme.
Il grogna, tout en poursuivant sa besogne :
- Qu'est-ce que tu es ?
-
- Je suis une catin, une salope, je suis ta pute. Viens à l'intérieur de moi, s'il te plait.
J'ai vu le visage de l’officier grimacer, alors qu’il accélérait ses aller-retours jusqu’à remplir son ventre de sa semence. Puis, il s’est effondré sur elle.
Agathe est restée allongée pendant un certain temps, les jambes largement écartées, les lèvres de sa vulve gorgées de sang et le sperme du lieutenant-colonel qui s’écouler lentement sur le canapé.
Elle était réellement une véritable petite salope... mais je l’adorais et j’adorais ce que je venais de voir.
Verdy se leva et me toisa. Il renfila lentement son uniforme et utilisa mon téléphone pour appeler un taxi. J'ai relevé ma femme totalement ivre et l'ai mise au lit.
J'ai passé la nuit sur le canapé. Le lendemain matin, le lieutenant-colonel Verdy obtenait ma promotion immédiate au grade de lieutenant et mon inscription au prochain cours des capitaines. J'étais abasourdi.
Les jours ont passé. Je me doute qu’Agathe voit toujours Verdy de temps à autre. Je le sais simplement par la manière dont sa chatte devient de plus en plus lâche.
Finalement, après mûre réflexion, j'ai décidé de faire carrière dans l'armée. Car j’ai désormais avec moi un atout maître et pour un long moment : Agathe. J'espère juste que mes prochains chefs seront aussi bien dotés que Verdy, sinon elle pourrait ne pas vouloir avoir affaire à eux. Et j’en serai le premier désolé. Ma carrière en dépend.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
belle histoire
très belle histoire
le mari apprend les réel besoin de sa femme e s'en accommode
le mari apprend les réel besoin de sa femme e s'en accommode
Très belle histoire excitante
Cyrille
Cyrille