Le copain de mon mari
Récit érotique écrit par les-jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Le copain de mon mari
Ce récit la mise en forme de la combinaison de deux situations qui sont arrivées à deux des amis(es), les prénoms sont modifiés
Je suis Sylvie une jeune femme de vingt-deux ans on me dit belle, un mètre soixante-dix, des cheveux mi- long châtain clair, des yeux marron, une poitrine quatre-vingt-cinq C, j’entretiens mon corps par les sports que je pratique en salle et aussi le week-end avec mon mari Philippe.
Philippe, âgé de vingt-six ans, sergent-chef au sein du régiment de la ville m’a épousée il y a trois ans. Sportif accompli c’est un gaillard d’un mètre quatre-vingt très beau garçon et donc très convoité par les filles mais je sais que moi seule compte même si mon homme n’est pas un ange de vertu.
Nous sommes parents d’une petite Sandrine d’un an et demie. Après ma maternité J’ai pris, en accord avec mon employeur, une disponibilité de trois ans pour élever notre fille avant son entrée en maternelle.
Nous sommes au fin juin Philippe est parti fin mars en mission pour quatre mois outremer. Comme à mon habitude je vais, avec Sandrine dans sa poussette, passer un moment au parc. Comme j’ai retrouvé la silhouette d’avant ma grossesse je m’autorise à porter une jupe courte avec un corsage et des chaussures découvertes à petit talon. Sur le chemin je suis abordée par un homme d’un âge certain (bien plus de cinquante ans) de la taille de mon époux une tête affreuse. Le mec me complimente pour ma jolie petite fille et flatte surtout sa jolie maman. Au bout d’un moment je commence à le trouver un peu lourd mais, pour ne pas me prendre la tête, je tolère cet importun à mes côtés. L’homme sûr de lui devient entreprenant, il pose son bras sur mon épaule, et vulgaire
« Cette jolie dame, au corps appétissant avec sa petite jupe, est-elle disponible pour passer un moment avec Roger, je peux lui apprendre bien des choses et lui faire du bien »
« Écoutez monsieur là vous dépassez les bornes, je suis avec ma fille laissez-nous tranquille. »
Je lui lance un regard noir et accélère le pas, il nous suit de loin, arrivée au parc je me joins à d’autres mamans auxquelles je raconte mon aventure en leur désignant l’individu. L’une d’elle dit que c’est un vieux vicieux qui a pour habitude de suivre les jeunes femmes. Les jours suivant quand je vais au parc je suis un peu anxieuse mais je ne revois pas le vieux. Le mercredi de la semaine suivante il est de retour et me suis en cherchant à provoquer un échange mais je l’ignore, au retour il me suit jusqu’à mon domicile. Le lendemain, il est de nouveau sur mon trajet me disant même à demain, je commence à avoir peur. En rentrant j’appelle Hervé un ami de Philippe pour lui faire part de ma peur, une demi-heure plus tard il est à la maison.
Hervé a deux ans de plus que mon mari, il mesure environ un mètre soixante-dix et est tout en muscle son travail de sous-officier moniteur de sport n’y est pas pour rien. Il est entre autre spécialiste de CAC (combat corps à corps) appelé également close-combat.
Je lui explique la situation il me promet d’intervenir dès le lendemain vendredi en me suivant à distance. Le vendredi après-midi Hervé, avec la tenue de sport siglée du régiment, vient me chercher comme convenu je sors la première et il me suit à distance. Au passage sur le pont surplombant les voies SNCF je vois le vieux en contrebas qui se tord le cou pour voir sous ma jupe je continue comme si je ne l’avais pas vu. Deux cent de mètres plus loin avec ses grandes jambes il me rattrape et arrive à ma hauteur.
« Salope ! Je te file trois cent balles pour un coup d’une heure »
« Ça ne vas pas pauvre con t’as vu ta gueule »
Comme j’ai répondu en criant Hervé a entendu le signal il s’approche me demande
« Il y a un problème Sylvie»
« Ce monsieur n’arrête pas de me suivre depuis plusieurs jours et maintenant il vient me proposer trois cent balles pour me baiser pendant une heure »
Il demande gentiment au vieux de me laisser tranquille ce qui n’impressionne pas le type qui du haut de son mètre quatre-vingt répond.
« De quoi je me mêle cela ne vous regarde pas ! »
Avant que le gars ne réalise ce qui lui arrive il était tenu à terre, au-dessus de lui Hervé menaçant lève le bras.
« Maintenant papi écoute bien cette dame est mon amie tu vas lui présenter des excuses et si jamais tu l’importunes à nouveau je te retrouve et je te fais bouffer ton service trois pièces »
« Oui monsieur ! Excusez-moi madame ! Je ne recommencerai pas, pardon ! »
Tout penaud le « Roger », qu’Hervé a lâché, se lève et détale sans demander son reste. (Je ne l’ai jamais recroisé)
Je remercie Hervé de son intervention il sourit assurant que cela n’est pas grand-chose et ça lui a fait plaisir de me rendre ce service et en plus cela l’a bien amusé. J’insiste pour le remercier et je lui demande s’il est disponible pour venir diner avec Aline sa femme. Il hésite un moment puis me dit :
« Aline a un diner de fin de mois entre copine alors si je peux venir seul je ne dis pas non ce sera plus agréable que de diner en tête à tête avec la télé. »
« vingt heures à la maison ça te vas »
A mon retour du parc après m’être occupée de ma petite merveille je prépare un petit diner que je veux à la hauteur pour remercier mon sauveur. Après une douche vers dix-neuf heures trente je me change pour recevoir mon invité. Je choisi une tenue sobre, une robe portefeuille noire avec une ceinture de cuir rouge nouée à la taille, des chaussures rouges à talons bas. Je dresse la table et avant l’arrivée de mon invité je vais m’assurer que Sandrine dors (comme elle se dépense lors des sorties au parc ce qui la fatigue elle dort à point fermé).
Vingt heures Hervé est ponctuel il est là à ma porte pantalon gris chemisette blanche ouverte sur sa poitrine velue un bouquet à la main, je l’accueille il m’offre les fleurs et m’embrasse puis il me fait tourner sur moi-même et d’un ton charmeur :
« Sylvie tu es magnifique! C’est pour moi que tu sors le grand jeu »
« Pas du tout, c’est uniquement pour mon sauveur, les amis de Philippe n’ont pas droit à tout ça !»
Nous prenons l’apéritif dans le salon avant de passer à table. Je mets mon invité à contribution pour ouvrir la bouteille de bordeaux. Le repas basique, pour me permettre de ne pas abandonner mon invité, se déroule dans une ambiance à la fois feutrée et électrique. Au dessert Hervé ouvre la bouteille de champagne puis remplit les deux coupes. Nous parlons beaucoup, j’apprends qu’avant de m’épouser Philippe a eu une aventure avec la femme d’Hervé sans savoir qui elle était. Il ne lui en a pas tenu rigueur. Nous échangeons beaucoup de regards. Je lui demande de passer au salon avec les coupes et le seau à champagne pendant que je débarrasse la table. Il me rejoint en cuisine où je remplis le lave-vaisselle et le mets en route puis nous retournons au salon. Je vois Hervé regarder sa montre je jette un œil à la pendule il est un peu plus de dix heures trente
« Tu es pressé tu t’ennuies ? Tu veux rentrer retrouver ta petite femme ? »
« Non pas du tout je suis bien avec toi, de toute façon elle ne rentrera pas avant deux heures du mat ! Pour finir leurs soirées elles vont danser en boite»
« Dans ce cas faisons comme elles !»
« Aller en boite ? »
« Mais non ! Avec Sandrine je ne peux pas, mais on peut danser ici »
Je mets la chaine en route et nous voici en train de danser après plusieurs morceaux on fait une pause sur le canapé Hervé s’excuse de ne pas être un bon danseur habituellement il ne danse que les slows nous buvons une coupe. Pour reprendre la danse je propose le quart d’heure américain, je file mettre une compile de slows et j’invite mon sauveur. Au fil des morceaux nous dansons de plus en plus près l’un de l’autre je me laisse aller à poser ma tête sur son épaule. Nos déplacements sont devenus inexistants au cours d’un morceau nos bouches se sont unies sans qu’aucun de nous refuse ce contact. Les yeux fermé je savoure ce baiser qui dure, la musique s’arrête Hervé recule accrochant ma robe avec sa boucle de ceinture, le pan de ma robe tiraillé par la boucle s’est ouvert dévoilant l’ensemble en dentelle qui se cachait dessous. Il a le visage rouge de confusion.
« Excuse-moi il vaut mieux que je parte pour ne pas faire de bêtise »
« Qu’appelles-tu une bêtise notre baiser ou ma robe ouverte »
« Les deux Sylvie nous sommes tous les deux mariés et j’accroche ta robe»
« Moi je n’appelle pas notre baiser une bêtise et nos conjoints ils l’on déjà faite la bêtise
Je retire ma robe, je m’approche de lui et l’embrasse à nouveau ses mains se posent sur mes hanches et me serrent contre lui je sens son désir se développer. Une de ses mains remonte dans mon dos et d’un geste adroit il dégrafe mon soutien-gorge. Je recule un peu en baissant les bras pour me débarrasser du sous vêtement, me voilà seins nus dans les bras du copain de mon mari. Aucune parole n’est nécessaire chacun caresse l’autre, sa chemisette rejoint mon soutien-gorge. nos torses se touchent.
À cet instant je sais que plus rien ne peut nous arrêter, lentement il m’allonge sur le canapé et embrasse mes seins dont les tétons sont érigés je maintiens sa tête sur ma poitrine tellement j’apprécie ses baisers. Ses mains me caressent et me délestent de ma culotte. Sa bouche vient prendre possession de ma vulve suce mon bouton sa langue joue avec mon clitoris ses dents mordillent parfois cet organe si sensible. Je sens monter en moi le plaisir qui explose et me terrasse dans un orgasme si intense que j’inonde sa bouche et son visage.
Il se lève, retire enfin son pantalon et son slip, l’objet mystère apparait et en voyant sa bite superbe je peux dire que le dicton « gros muscles petite bite » est totalement erroné. Mes mains et ma bouche se précipitent sur le sexe bandé, je le suce je le branle il est dur et chaud je deviens hystérique je le pousse sur la banquette
« J’ai trop envie de ta queue baise moi, fait moi jouir ! »
Je pose mes genoux de part et d’autre de ses cuisses face à lui, je guide sa queue vers mon sexe et je m’empale dessus le chibre tendu. Je l’embrasse à pleine bouche avant de lui demander.
« Bourre moi la chatte, baise moi fort j’ai envie de jouir sur ta queue te retiens pas tu peux jouir en moi je prends la pilule »
Je découvre en Hervé un très bon amant il me baise longuement, sa musculature lui permet de se lever en me portant pour me coucher sur le canapé sans que sa bite ne quitte mon antre.il finit de me baiser en position dominante. Après plusieurs minutes de ce traitement je jouis comme une salope il est temps car il ne peut se retenir plus longtemps je le sens déverser en moi une quantité impressionnante de sperme. Nous restons un instant enlacés avant de nous séparer. Je pars en courant vers les toilettes la main sur la chatte pour ne pas semer de foutre partout.
A mon retour nous buvons un peu de champagne il est presque minuit. Je suis blottie dans ses bras
« Merci Sylvie c’était un délicieux moment, je ne te savais pas aussi avide de sexe »
« Tu n’es pas mauvais non plus, on peut remettre le couvert si tu as encore un peu de force »
Je le vois prendre son téléphone composer un numéro et de son doigt sur la bouche me faire signe de me taire.
« Aline chérie vous en êtes où, tu comptes rentrer à quelle heure car je dois aller chercher un collègue en panne de voiture je ne serai pas de retour avant trois heures. »
Il y a un blanc Aline doit parler puis « Ok ça marche. »
Aline va coucher chez sa copine Dominique car elles ont un peu bu ce qui fait que nous avons le temps de faire un deuxième round. Heureuse de cette nouvelle donne, je prends Hervé par la main et l’entraine dans ma chambre. Dans le lit je ne résiste pas au plaisir de le sucer un moment avant qu’il ne me redresse pour m’embrasser en me caressant. Il me caresse avec douceur et fermeté j’ai l’impression qu’il me connait depuis toujours il sait ce que j’aime, où et comment me caresser si bien que toute la nuit il me fait l’amour il me fait jouir plusieurs fois et de plusieurs manière. Je suis à lui toute la nuit j’ai avalé sa semence, son foutre a couvert mes seins et a rempli mon ventre à plusieurs reprises Pour mon plus grand plaisir il arrive même me sodomiser en douceur chose que je n’ai jamais acceptée de mon mari trop brutal.
Au cours de cette nuit je découvre en Hervé un amant aussi tendre et attentif que Philippe est brut et néglige parfois mes désirs. Quand on fait l’amour, bien qu’il me fasse jouir, je ne ressens pas la même plénitude que cette nuit avec Hervé.
Il est déjà cinq heures Hervé doit partir, il prend une douche rapide se rhabille il me prend dans ses bras m’embrasse
« Merci Sylvie pour cette nuit merveilleuse j’espère ne pas t’avoir déçue en tout cas moi je ne l’oublierai jamais. Nous ne devons plus recommencer et il faut garder ce secret pour nous afin de préserver nos couples et notre amitié »
« Merci Hervé pour moi aussi cette nuit restera un moment magique et je te rejoins pour qu’il reste unique »
Hervé rentre chez lui, sa femme ne rentre qu’à huit heures avec sa tête de lendemain de fête.
Un mois plus tard Philippe rentre enfin de mission nous reprenons notre vie. Je lui raconte comment Hervé est intervenu pour me libérer du vieux pervers évidemment je ne lui parle pas de ma première infidélité la nuit avec son copain. Mais sans le savoir il lui doit le plaisir de me sodomiser à présent.
Notre secret n’a rien changé à notre amitié parfois nous recevons nos amis Aline et Hervé aucune allusion ni aucune tentative de rapprochement n’a eu lieu entre Hervé et moi. Nos amis ont été mutés dans une autre garnison à plus de cinq cent kilomètres l’année suivante mais nous nous retrouvons une ou deux fois par an avec toujours le même bonheur.
Je suis Sylvie une jeune femme de vingt-deux ans on me dit belle, un mètre soixante-dix, des cheveux mi- long châtain clair, des yeux marron, une poitrine quatre-vingt-cinq C, j’entretiens mon corps par les sports que je pratique en salle et aussi le week-end avec mon mari Philippe.
Philippe, âgé de vingt-six ans, sergent-chef au sein du régiment de la ville m’a épousée il y a trois ans. Sportif accompli c’est un gaillard d’un mètre quatre-vingt très beau garçon et donc très convoité par les filles mais je sais que moi seule compte même si mon homme n’est pas un ange de vertu.
Nous sommes parents d’une petite Sandrine d’un an et demie. Après ma maternité J’ai pris, en accord avec mon employeur, une disponibilité de trois ans pour élever notre fille avant son entrée en maternelle.
Nous sommes au fin juin Philippe est parti fin mars en mission pour quatre mois outremer. Comme à mon habitude je vais, avec Sandrine dans sa poussette, passer un moment au parc. Comme j’ai retrouvé la silhouette d’avant ma grossesse je m’autorise à porter une jupe courte avec un corsage et des chaussures découvertes à petit talon. Sur le chemin je suis abordée par un homme d’un âge certain (bien plus de cinquante ans) de la taille de mon époux une tête affreuse. Le mec me complimente pour ma jolie petite fille et flatte surtout sa jolie maman. Au bout d’un moment je commence à le trouver un peu lourd mais, pour ne pas me prendre la tête, je tolère cet importun à mes côtés. L’homme sûr de lui devient entreprenant, il pose son bras sur mon épaule, et vulgaire
« Cette jolie dame, au corps appétissant avec sa petite jupe, est-elle disponible pour passer un moment avec Roger, je peux lui apprendre bien des choses et lui faire du bien »
« Écoutez monsieur là vous dépassez les bornes, je suis avec ma fille laissez-nous tranquille. »
Je lui lance un regard noir et accélère le pas, il nous suit de loin, arrivée au parc je me joins à d’autres mamans auxquelles je raconte mon aventure en leur désignant l’individu. L’une d’elle dit que c’est un vieux vicieux qui a pour habitude de suivre les jeunes femmes. Les jours suivant quand je vais au parc je suis un peu anxieuse mais je ne revois pas le vieux. Le mercredi de la semaine suivante il est de retour et me suis en cherchant à provoquer un échange mais je l’ignore, au retour il me suit jusqu’à mon domicile. Le lendemain, il est de nouveau sur mon trajet me disant même à demain, je commence à avoir peur. En rentrant j’appelle Hervé un ami de Philippe pour lui faire part de ma peur, une demi-heure plus tard il est à la maison.
Hervé a deux ans de plus que mon mari, il mesure environ un mètre soixante-dix et est tout en muscle son travail de sous-officier moniteur de sport n’y est pas pour rien. Il est entre autre spécialiste de CAC (combat corps à corps) appelé également close-combat.
Je lui explique la situation il me promet d’intervenir dès le lendemain vendredi en me suivant à distance. Le vendredi après-midi Hervé, avec la tenue de sport siglée du régiment, vient me chercher comme convenu je sors la première et il me suit à distance. Au passage sur le pont surplombant les voies SNCF je vois le vieux en contrebas qui se tord le cou pour voir sous ma jupe je continue comme si je ne l’avais pas vu. Deux cent de mètres plus loin avec ses grandes jambes il me rattrape et arrive à ma hauteur.
« Salope ! Je te file trois cent balles pour un coup d’une heure »
« Ça ne vas pas pauvre con t’as vu ta gueule »
Comme j’ai répondu en criant Hervé a entendu le signal il s’approche me demande
« Il y a un problème Sylvie»
« Ce monsieur n’arrête pas de me suivre depuis plusieurs jours et maintenant il vient me proposer trois cent balles pour me baiser pendant une heure »
Il demande gentiment au vieux de me laisser tranquille ce qui n’impressionne pas le type qui du haut de son mètre quatre-vingt répond.
« De quoi je me mêle cela ne vous regarde pas ! »
Avant que le gars ne réalise ce qui lui arrive il était tenu à terre, au-dessus de lui Hervé menaçant lève le bras.
« Maintenant papi écoute bien cette dame est mon amie tu vas lui présenter des excuses et si jamais tu l’importunes à nouveau je te retrouve et je te fais bouffer ton service trois pièces »
« Oui monsieur ! Excusez-moi madame ! Je ne recommencerai pas, pardon ! »
Tout penaud le « Roger », qu’Hervé a lâché, se lève et détale sans demander son reste. (Je ne l’ai jamais recroisé)
Je remercie Hervé de son intervention il sourit assurant que cela n’est pas grand-chose et ça lui a fait plaisir de me rendre ce service et en plus cela l’a bien amusé. J’insiste pour le remercier et je lui demande s’il est disponible pour venir diner avec Aline sa femme. Il hésite un moment puis me dit :
« Aline a un diner de fin de mois entre copine alors si je peux venir seul je ne dis pas non ce sera plus agréable que de diner en tête à tête avec la télé. »
« vingt heures à la maison ça te vas »
A mon retour du parc après m’être occupée de ma petite merveille je prépare un petit diner que je veux à la hauteur pour remercier mon sauveur. Après une douche vers dix-neuf heures trente je me change pour recevoir mon invité. Je choisi une tenue sobre, une robe portefeuille noire avec une ceinture de cuir rouge nouée à la taille, des chaussures rouges à talons bas. Je dresse la table et avant l’arrivée de mon invité je vais m’assurer que Sandrine dors (comme elle se dépense lors des sorties au parc ce qui la fatigue elle dort à point fermé).
Vingt heures Hervé est ponctuel il est là à ma porte pantalon gris chemisette blanche ouverte sur sa poitrine velue un bouquet à la main, je l’accueille il m’offre les fleurs et m’embrasse puis il me fait tourner sur moi-même et d’un ton charmeur :
« Sylvie tu es magnifique! C’est pour moi que tu sors le grand jeu »
« Pas du tout, c’est uniquement pour mon sauveur, les amis de Philippe n’ont pas droit à tout ça !»
Nous prenons l’apéritif dans le salon avant de passer à table. Je mets mon invité à contribution pour ouvrir la bouteille de bordeaux. Le repas basique, pour me permettre de ne pas abandonner mon invité, se déroule dans une ambiance à la fois feutrée et électrique. Au dessert Hervé ouvre la bouteille de champagne puis remplit les deux coupes. Nous parlons beaucoup, j’apprends qu’avant de m’épouser Philippe a eu une aventure avec la femme d’Hervé sans savoir qui elle était. Il ne lui en a pas tenu rigueur. Nous échangeons beaucoup de regards. Je lui demande de passer au salon avec les coupes et le seau à champagne pendant que je débarrasse la table. Il me rejoint en cuisine où je remplis le lave-vaisselle et le mets en route puis nous retournons au salon. Je vois Hervé regarder sa montre je jette un œil à la pendule il est un peu plus de dix heures trente
« Tu es pressé tu t’ennuies ? Tu veux rentrer retrouver ta petite femme ? »
« Non pas du tout je suis bien avec toi, de toute façon elle ne rentrera pas avant deux heures du mat ! Pour finir leurs soirées elles vont danser en boite»
« Dans ce cas faisons comme elles !»
« Aller en boite ? »
« Mais non ! Avec Sandrine je ne peux pas, mais on peut danser ici »
Je mets la chaine en route et nous voici en train de danser après plusieurs morceaux on fait une pause sur le canapé Hervé s’excuse de ne pas être un bon danseur habituellement il ne danse que les slows nous buvons une coupe. Pour reprendre la danse je propose le quart d’heure américain, je file mettre une compile de slows et j’invite mon sauveur. Au fil des morceaux nous dansons de plus en plus près l’un de l’autre je me laisse aller à poser ma tête sur son épaule. Nos déplacements sont devenus inexistants au cours d’un morceau nos bouches se sont unies sans qu’aucun de nous refuse ce contact. Les yeux fermé je savoure ce baiser qui dure, la musique s’arrête Hervé recule accrochant ma robe avec sa boucle de ceinture, le pan de ma robe tiraillé par la boucle s’est ouvert dévoilant l’ensemble en dentelle qui se cachait dessous. Il a le visage rouge de confusion.
« Excuse-moi il vaut mieux que je parte pour ne pas faire de bêtise »
« Qu’appelles-tu une bêtise notre baiser ou ma robe ouverte »
« Les deux Sylvie nous sommes tous les deux mariés et j’accroche ta robe»
« Moi je n’appelle pas notre baiser une bêtise et nos conjoints ils l’on déjà faite la bêtise
Je retire ma robe, je m’approche de lui et l’embrasse à nouveau ses mains se posent sur mes hanches et me serrent contre lui je sens son désir se développer. Une de ses mains remonte dans mon dos et d’un geste adroit il dégrafe mon soutien-gorge. Je recule un peu en baissant les bras pour me débarrasser du sous vêtement, me voilà seins nus dans les bras du copain de mon mari. Aucune parole n’est nécessaire chacun caresse l’autre, sa chemisette rejoint mon soutien-gorge. nos torses se touchent.
À cet instant je sais que plus rien ne peut nous arrêter, lentement il m’allonge sur le canapé et embrasse mes seins dont les tétons sont érigés je maintiens sa tête sur ma poitrine tellement j’apprécie ses baisers. Ses mains me caressent et me délestent de ma culotte. Sa bouche vient prendre possession de ma vulve suce mon bouton sa langue joue avec mon clitoris ses dents mordillent parfois cet organe si sensible. Je sens monter en moi le plaisir qui explose et me terrasse dans un orgasme si intense que j’inonde sa bouche et son visage.
Il se lève, retire enfin son pantalon et son slip, l’objet mystère apparait et en voyant sa bite superbe je peux dire que le dicton « gros muscles petite bite » est totalement erroné. Mes mains et ma bouche se précipitent sur le sexe bandé, je le suce je le branle il est dur et chaud je deviens hystérique je le pousse sur la banquette
« J’ai trop envie de ta queue baise moi, fait moi jouir ! »
Je pose mes genoux de part et d’autre de ses cuisses face à lui, je guide sa queue vers mon sexe et je m’empale dessus le chibre tendu. Je l’embrasse à pleine bouche avant de lui demander.
« Bourre moi la chatte, baise moi fort j’ai envie de jouir sur ta queue te retiens pas tu peux jouir en moi je prends la pilule »
Je découvre en Hervé un très bon amant il me baise longuement, sa musculature lui permet de se lever en me portant pour me coucher sur le canapé sans que sa bite ne quitte mon antre.il finit de me baiser en position dominante. Après plusieurs minutes de ce traitement je jouis comme une salope il est temps car il ne peut se retenir plus longtemps je le sens déverser en moi une quantité impressionnante de sperme. Nous restons un instant enlacés avant de nous séparer. Je pars en courant vers les toilettes la main sur la chatte pour ne pas semer de foutre partout.
A mon retour nous buvons un peu de champagne il est presque minuit. Je suis blottie dans ses bras
« Merci Sylvie c’était un délicieux moment, je ne te savais pas aussi avide de sexe »
« Tu n’es pas mauvais non plus, on peut remettre le couvert si tu as encore un peu de force »
Je le vois prendre son téléphone composer un numéro et de son doigt sur la bouche me faire signe de me taire.
« Aline chérie vous en êtes où, tu comptes rentrer à quelle heure car je dois aller chercher un collègue en panne de voiture je ne serai pas de retour avant trois heures. »
Il y a un blanc Aline doit parler puis « Ok ça marche. »
Aline va coucher chez sa copine Dominique car elles ont un peu bu ce qui fait que nous avons le temps de faire un deuxième round. Heureuse de cette nouvelle donne, je prends Hervé par la main et l’entraine dans ma chambre. Dans le lit je ne résiste pas au plaisir de le sucer un moment avant qu’il ne me redresse pour m’embrasser en me caressant. Il me caresse avec douceur et fermeté j’ai l’impression qu’il me connait depuis toujours il sait ce que j’aime, où et comment me caresser si bien que toute la nuit il me fait l’amour il me fait jouir plusieurs fois et de plusieurs manière. Je suis à lui toute la nuit j’ai avalé sa semence, son foutre a couvert mes seins et a rempli mon ventre à plusieurs reprises Pour mon plus grand plaisir il arrive même me sodomiser en douceur chose que je n’ai jamais acceptée de mon mari trop brutal.
Au cours de cette nuit je découvre en Hervé un amant aussi tendre et attentif que Philippe est brut et néglige parfois mes désirs. Quand on fait l’amour, bien qu’il me fasse jouir, je ne ressens pas la même plénitude que cette nuit avec Hervé.
Il est déjà cinq heures Hervé doit partir, il prend une douche rapide se rhabille il me prend dans ses bras m’embrasse
« Merci Sylvie pour cette nuit merveilleuse j’espère ne pas t’avoir déçue en tout cas moi je ne l’oublierai jamais. Nous ne devons plus recommencer et il faut garder ce secret pour nous afin de préserver nos couples et notre amitié »
« Merci Hervé pour moi aussi cette nuit restera un moment magique et je te rejoins pour qu’il reste unique »
Hervé rentre chez lui, sa femme ne rentre qu’à huit heures avec sa tête de lendemain de fête.
Un mois plus tard Philippe rentre enfin de mission nous reprenons notre vie. Je lui raconte comment Hervé est intervenu pour me libérer du vieux pervers évidemment je ne lui parle pas de ma première infidélité la nuit avec son copain. Mais sans le savoir il lui doit le plaisir de me sodomiser à présent.
Notre secret n’a rien changé à notre amitié parfois nous recevons nos amis Aline et Hervé aucune allusion ni aucune tentative de rapprochement n’a eu lieu entre Hervé et moi. Nos amis ont été mutés dans une autre garnison à plus de cinq cent kilomètres l’année suivante mais nous nous retrouvons une ou deux fois par an avec toujours le même bonheur.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
elle aimait la bite celle du roger ne lui plaisait pas
elle en a pris plein le cul et la bouche
elle en a pris plein le cul et la bouche
Pourquoi le mari est con !!! Il ne l’a pas maltraité. Mais elle l’a trompé avec son ami et connaissait sa femme c’est 1 pouf.
Quel dommage qu elle n'est pas quittée son con de mari le mauvais baiseur pour vivre avec son protecteur qui lui est toujours là pas comme son gros con de mari toujours en vadrouille.
"Je jouis comme une salope". Est-on obligée de se traiter soi-même de salope parce qu'on baise ?
Portion de vie bien racontée et vraisemblable. On se laisse aller, on dérape, on prend son pied, et puis oups!, on revient dans les clous vite fait avec notre petit vie bien réglée, ni vu ni connu. Un peu comme sur l'autoroute entre deux radars, on fait une pointe à 200, pour revenir à 130 à l'approche de la boîte à images. L'instinct prévaut souvent sur les conventions. Pour être tout à fait crédible, cette aventure ne mérite pas "nous nous retrouvons une ou deux fois par an avec toujours le même bonheur." Il s'agit là d'un(e) faute/erreur/occasion/concours de circonstances/... mais qui ne devait pas se répéter.
Sinon, j'ai bandé. C'est tout dire.
Sinon, j'ai bandé. C'est tout dire.
Oui c’est sans lendemain vu que le mec a été muté. Du moins c’est ce qui écrit à la fin de l’histoire.
Un dérapage sans lendemain?
Magnifique! Avec des amis comme ça et une telle femme le couple est entièrement en sécurité.
Philippe n’a rien a craindre , tout va pour le mieux il peut dormir sur ses deux oreilles.
Philippe n’a rien a craindre , tout va pour le mieux il peut dormir sur ses deux oreilles.
La c’est prendre les gens pour des cons vu que c’est prémédité au final !!!