Le coq du village , fin

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le coq du village , fin
Le coq du village. fin
Le lendemain matin, Aurélie stresse, elle est très nerveuse. elle est nue, et fait des allers et retours salle de bain coiffeuse. Elle attend l'heure avec angoisse. Son fils la rassure :
-Ne stresse pas comme ça maman, cela va être pour toi un jour fantastique !
Mais voir sa maman nue, provoque sur lui un monstrueuse érection. Dès qu'elle passe devant lui, il la saisit et la plaque ventre contre le mur. Il sort sa verge raide et la passe plusieurs fois dans le large sillon qui sépare les fesses. La maman rugit :
-Non mon chéri, pas maintenant, ils vont arriver !
Raymond trop excité, répond :
-Je m'en balance, je veux t'éclater le cul, t'enculer jusqu'aux couilles, oh putain comme il est beau ton cul, je l'aime autant que celui de Justine, donne-le à ton fils chéri, prouve lui que tu es une bonne salope !
Aurélie se cambre légèrement, et offre son fessier. Raymond, place son gland contre la pastille brune fortement ridée, et pousse. Sa maman lâche un gémissement en serrant les dents. l'anus s'ouvre au maximum, et avale le monstre de chair. Raymond, démonte sa maman contre le mur sauvagement. Sa bite entre et ressort en la faisant gémir. sa chatte rejette son jus Aurélie délire, elle dit en soufflant comme un dragon :
-Oui, oui, mon chéri, défonce bien maman, oui va à fond éclate lui le cul oh mon Dieu comme c'est bon !
Plusieurs fois, Raymond ressort sa bite et la replante violement, le coquin en fait un jeu. A chaque nouvelle empalement la maman pousse un gémissement terrible. Son rectum reçoit enfin la semence visqueuse qui lubrifie le conduit anal. Aurélie geint elle grogne, comme prise d'hystérie :
-Tape fort mon chéri, ouah comme tu m'ouvres, oui, oui, bourre-moi fort, c'est boooonnnn, mon Dieu je jouiiiiiiiis !
La maman jouisseuse se cabre, son fils lui donne encore quelques coups de reins avant de retirer sa bite du fondement maternel. Il se penche et regarde les dégâts, il dit en souriant :
-Oh maman je t'ai bien ouvert le cul, je l'aime ton cul, oh comme je l'aime !
Soudain, l'on sonne à la porte . Aurélie a juste le temps d'enfiler un peignoir de bain, son anus est douloureux, mais elle a prise son pied. Son fils reçoit les invités. Aurélie reste baba, elle à honte, devant elle, Huguette se dressent l'institutrice, et son mari Luc.
Ils passent au salon . Raymond offre un verre, et entame la discussion pour que l'atmosphère se détende.
Soudain entre dans la pièce Justine. Aurélie défaille en voyant son amie, elle se jette dans ses bras et l'embrasse bruyamment sur les joues. Justine tourne brusquement a tête et prend les lèvres d'Aurélie, qui se raidit. Elle dit en se redressant :
-Alors ma chérie, nous ne sommes plus amantes, tu sais, tous le monde est au courant de notre première relation lesbienne, d'ailleurs ton fils m'a offerte à tous ce beau monde, comme tu vas l'être surement, hum tu vas passée une journée, que tu n'oublieras pas ma chérie, Huguette est une bouffeuse de minou hors paire, son mari est résistant ?
Aurélie est rouge comme un coquelicot, elle se laisse tomber sur le canapé, Huguette se place d'un côté, et Justine de l'autre. Elle avale son verre sans regarder les invités. C'est Raymond qui ouvre les hostilités :
-Mesdames, elle est à vous, j'exige, qu'elle soit préparée, pour recevoir nos queues impatientent, n'est-ce pas Luc !
Luc en serrant les dents répond :
-C'est toi qui a dévergondé ma femme et Justine, elles te doivent obéissance, les deux salopes !
Raymond, éclate de rire et réplique :
-C'est vrai, à ton insu, j'ai fait de ta femme, ce qu'elle est maintenant une bonne salope, qui ne peut plus rien te refuser. D'ailleurs, elle te l'a prouvée l'autre jour, en t'offrant tous ses trous. N'oublie pas, que je t'ai aussi offert Justine, Tu était très content, de baiser Justine pendant qu'elle broutait ta femme, avoue-le, et les doubles que nous leur avons fait subir, tu t'en souviens !
Luc rougit, il ravale sa salive et disant :
-Oh oui, c'était magnifique,, je ne reconnaissais plus Huguette, tu as fait d'elle une autre femme. Justine, quel coup de reins a la cochonne, une vraie machine à baiser. Oh je me suis bien éclaté avec elles. Aujourd'hui tu prévois quoi ?
Raymond, en arborant un large sourire, dit :
-J'ai prévu pour maman chérie, une orgie, elle va subir ce que mon papa ne lui a jamais offert, une débauche de sexe. C'est pour cette raison, que je vous ai invité, je vous demande d'être à la hauteur, et de bien la faire jouir !
Il est temps d'entamer les festivités mes amis !
Huguette tire sur la ceinture du peignoir d'aurélie, et écarte un pan, Justine se charge de l'autre. Les siens lourds apparaissent, il pendent sur le torse. Le ventre garni d'un gros nombril, est bien plat. Raymond intervient :
Il dit :
Maman, allonge-toi sur la petite table du salon, et offre aux deux brouteuses tes orifices !
Bien que stressée, la maman fait tomber sonpeignoir, prend place sur la table basse, et ouvre les jambes. Chacun peut voir qu'Aurélie, sous les conseils de son fils, c'est bien rasée la chatte. Les yeux se braquent sur la vulve aux lèvres épaisses, légèrement pendante. Luc ne peut s'empêcher de dire :
-Oh putain quelle chatte, je vais me régaler, merci Raymond. Raymond s'approche et relève les jambes de sa maman, La position prise, rend visible l'anus., très boursouflé qu'il vient de forcer. Huguette réagit :
-Oh mon Dieu comme il t'a arrangé ma chérie, ton trou est affreusement ouvert, il vient de t'enculer, car du sperme s'échappe de ton cul, ce n'est pas juste et nous alors, vous auriez pu nous attendre !
Luc éclate de rire et ajoute :
-Vous aurez aussi votre part mes deux cochonnes !
Raymond, repose les jambes de sa maman et va s'assoir. Les mains habiles d'Huguette et de Justine, entrent en actions, L'une s'occupe du torse et l'autre du ventre. Les mains d'Huguette malaxent les seins généreux, plante ses doigts dans les chairs tendres, les pétris en faisant geindre, Aurélie. Quant à Justine, elle caresse le ventre, descend sa main vers l'entrejambe, passe plusieurs fois sur la vulve,, qui commence à suinter. Les doigts s'insèrent entre les grandes lèvres, font l'ascenseur dans le sillon, et montent vers la boule de tout les plaisirs. Habilement Justine saisit la boule magique, et comment un doux branlage. Aurélie se cabre, pousse des gémissements de plus en plus fort.
Huguette aspire un mamelon, et le suce somme un bonbon. Il devient énorme, elle tète comme une vorace le petit mat très épais, avant de passer à l'autre. Huguette sait se servir de sa bouche, elle s'active sur les mamelons comme une affamée. Aurélie pâme de bonheur elle respire plus rapidement. Elle pousse un long gémissement, lorsque Justine, tout en lui branlant le clito, lui enfonce deux doigts dans les cul et le ramone sauvagement. Aurélie replie les jambes sur son ventre. Les doigts glissent aisément dans le conduit gorgée de sperme, et le fouillent profondément. Elle ajoute un troisième intrus très facilement dans la gaine dilatée.
Le ramonage devient terrible, Aurélie se cabre, son anus sa chatte, et ses mamelons sont très sollicités. Elle est au bord d' l'explosion. Raymond dit :
-Luc, fout lui ta bite dans la bouche, vas-y, vas-y !
Luc excité, offre à la bouche de maman de Raymond, sa bite tendue. Aurélie gobe le gland et le suce voracement, sa bouche active sur le cèpe de chair en le rudoyant. Entre chaque succion ou aspiration, Aurélie pousse un gémissement. Soudain, elle reçoit une puissante giclée de sperme dans la bouche, au même moment, elle se cambre fortement, jouit. Elle manque d'étouffer tellement la giclée est importante. Elle repousse brusquement Luc, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Raymond semble émerveillé, il dit en souriant :
-Avale, maman, avale, gave-toi de ce nectar !
Aurélie, les yeux remplis de larmes, avale la décharge jusqu'à la dernière goutte. les deux femmes reprennent ce qu'elles avaient cessées de faire, elles la dévorent en lui faisant reprendre ses gémissements. Luc la queue gluante, se place derrière Justine et l'embroche d'un coup brutal, et lui pilonne le ventre comme un sauvage. Raymond le stoppe :
-Garde ta semence pour ma maman, c'est pour elle que tu es là !
Rapidement, Luc retire sa bite et tout penaud, va prendre place sur une chaise. Aurélie sous les coups de langues et les doigtages féroces, explose encore une fois. Elle halète fortement, son corps tremble, elle regarde son fils, ses yeux sont vitreux, et très humides. Raymond dit :
-Maman, viens t'empaler sur la queue de Luc, il n'attend que cela le gredin !
En se relevant difficilement, avec des gestes maladroits, Aurélie, se dirige vers Luc. Elle l'enjambe sa main tremblante saisit, la verge dressée, et descend doucement son corps sur le pal. Raymond appuie de toute ses forces sur les épaules de sa maman en disant :
-Bien à fond maman, bien à fond, jusqu'aux couilles tu dois prendre sa bite dans le ventre !
Bien empalée sur le manche de Luc. Aurélie commence à s'agiter. Elle souffle, monte et descend son corps en geignant. Son fils se place derrière elle, Luc Plaque Aurélie contre son torse. Avec un peu de brutalité, Raymond frotte son gland contre l'anus qu'il a déjà éclaté, il y a peu de temps. Il prend sa maman par les hanches et pousse. Sa bite s'enfonce dans le rectum jusqu'à la garde. Prise pour a première fois en double, Aurélie pâme. Elle s'agite de plus en plus rapidement sur les deux queues en poussant des :
-Oui, oui, mon Dieu comme c'est bon, deux bonne bites dans son corps ouah défoncez moi, mes chéris, faites moi gueuler !
Raymond est surprit des propos de sa maman, mais il sourit et réplique :
-Tu vas prendre un pied d'enfer maman, nous allons te défoncer, jusqu'à ce que tu demande grâce !
Aurélie est prise sauvagement sans ménagement. Les bites se synchronisent, et la fouillent profondément. Les râle d'Aurélie ressemblent à ceux d'un animal agonisant. Les deux mâles en ruts la font jouir plusieurs fois, avant de lui remplir le corps de sperme. les deux hommes changent de place et reprennent le démontage d'Aurélie, qui geint comme une bête blessée. De nouvelles jouissances la font hurler, son corps devient une machine à jouir. Les hommes arrivent encore à lui remplir les entrailles de semence. Enfin à bout de souffle, ils libèrent la maman gavée de semence.
Raymond est satisfait du résultat, il voulait que sa maman devienne une bonne salope, eh bien, elle l'est. Il l'offre encore une fois aux deux femmes affamées, qui font d'Aurélie leur jouet sexuel. Les broutages d'orifices, et les pénétrations digitales, font hurler Aurélie de plaisir, qui ne cesse de jouir. Enfin c'est au tour d'Aurélie de faire jouir ses deux complices. Elle reproduit sur elles ce qu'elle à reçue. Les jouissances sont terribles, et très intenses. Raymond n'en revient pas, de l'ardeur que met sa maman à l'ouvrage. C'est épuisées que les trois amantes s'écroulent sur le sol.
Maintenant, plusieurs fois par semaine, Raymond en l'absence de son papa organise des orgies mémorables pour sa maman. Il fait intervenir d'autres personnes, pour bien la démonter. Aurélie; a bien changée depuis son premier dérapage avec son fils. Elle attend avec impatience, ses jours de défonces.
Le lendemain matin, Aurélie stresse, elle est très nerveuse. elle est nue, et fait des allers et retours salle de bain coiffeuse. Elle attend l'heure avec angoisse. Son fils la rassure :
-Ne stresse pas comme ça maman, cela va être pour toi un jour fantastique !
Mais voir sa maman nue, provoque sur lui un monstrueuse érection. Dès qu'elle passe devant lui, il la saisit et la plaque ventre contre le mur. Il sort sa verge raide et la passe plusieurs fois dans le large sillon qui sépare les fesses. La maman rugit :
-Non mon chéri, pas maintenant, ils vont arriver !
Raymond trop excité, répond :
-Je m'en balance, je veux t'éclater le cul, t'enculer jusqu'aux couilles, oh putain comme il est beau ton cul, je l'aime autant que celui de Justine, donne-le à ton fils chéri, prouve lui que tu es une bonne salope !
Aurélie se cambre légèrement, et offre son fessier. Raymond, place son gland contre la pastille brune fortement ridée, et pousse. Sa maman lâche un gémissement en serrant les dents. l'anus s'ouvre au maximum, et avale le monstre de chair. Raymond, démonte sa maman contre le mur sauvagement. Sa bite entre et ressort en la faisant gémir. sa chatte rejette son jus Aurélie délire, elle dit en soufflant comme un dragon :
-Oui, oui, mon chéri, défonce bien maman, oui va à fond éclate lui le cul oh mon Dieu comme c'est bon !
Plusieurs fois, Raymond ressort sa bite et la replante violement, le coquin en fait un jeu. A chaque nouvelle empalement la maman pousse un gémissement terrible. Son rectum reçoit enfin la semence visqueuse qui lubrifie le conduit anal. Aurélie geint elle grogne, comme prise d'hystérie :
-Tape fort mon chéri, ouah comme tu m'ouvres, oui, oui, bourre-moi fort, c'est boooonnnn, mon Dieu je jouiiiiiiiis !
La maman jouisseuse se cabre, son fils lui donne encore quelques coups de reins avant de retirer sa bite du fondement maternel. Il se penche et regarde les dégâts, il dit en souriant :
-Oh maman je t'ai bien ouvert le cul, je l'aime ton cul, oh comme je l'aime !
Soudain, l'on sonne à la porte . Aurélie a juste le temps d'enfiler un peignoir de bain, son anus est douloureux, mais elle a prise son pied. Son fils reçoit les invités. Aurélie reste baba, elle à honte, devant elle, Huguette se dressent l'institutrice, et son mari Luc.
Ils passent au salon . Raymond offre un verre, et entame la discussion pour que l'atmosphère se détende.
Soudain entre dans la pièce Justine. Aurélie défaille en voyant son amie, elle se jette dans ses bras et l'embrasse bruyamment sur les joues. Justine tourne brusquement a tête et prend les lèvres d'Aurélie, qui se raidit. Elle dit en se redressant :
-Alors ma chérie, nous ne sommes plus amantes, tu sais, tous le monde est au courant de notre première relation lesbienne, d'ailleurs ton fils m'a offerte à tous ce beau monde, comme tu vas l'être surement, hum tu vas passée une journée, que tu n'oublieras pas ma chérie, Huguette est une bouffeuse de minou hors paire, son mari est résistant ?
Aurélie est rouge comme un coquelicot, elle se laisse tomber sur le canapé, Huguette se place d'un côté, et Justine de l'autre. Elle avale son verre sans regarder les invités. C'est Raymond qui ouvre les hostilités :
-Mesdames, elle est à vous, j'exige, qu'elle soit préparée, pour recevoir nos queues impatientent, n'est-ce pas Luc !
Luc en serrant les dents répond :
-C'est toi qui a dévergondé ma femme et Justine, elles te doivent obéissance, les deux salopes !
Raymond, éclate de rire et réplique :
-C'est vrai, à ton insu, j'ai fait de ta femme, ce qu'elle est maintenant une bonne salope, qui ne peut plus rien te refuser. D'ailleurs, elle te l'a prouvée l'autre jour, en t'offrant tous ses trous. N'oublie pas, que je t'ai aussi offert Justine, Tu était très content, de baiser Justine pendant qu'elle broutait ta femme, avoue-le, et les doubles que nous leur avons fait subir, tu t'en souviens !
Luc rougit, il ravale sa salive et disant :
-Oh oui, c'était magnifique,, je ne reconnaissais plus Huguette, tu as fait d'elle une autre femme. Justine, quel coup de reins a la cochonne, une vraie machine à baiser. Oh je me suis bien éclaté avec elles. Aujourd'hui tu prévois quoi ?
Raymond, en arborant un large sourire, dit :
-J'ai prévu pour maman chérie, une orgie, elle va subir ce que mon papa ne lui a jamais offert, une débauche de sexe. C'est pour cette raison, que je vous ai invité, je vous demande d'être à la hauteur, et de bien la faire jouir !
Il est temps d'entamer les festivités mes amis !
Huguette tire sur la ceinture du peignoir d'aurélie, et écarte un pan, Justine se charge de l'autre. Les siens lourds apparaissent, il pendent sur le torse. Le ventre garni d'un gros nombril, est bien plat. Raymond intervient :
Il dit :
Maman, allonge-toi sur la petite table du salon, et offre aux deux brouteuses tes orifices !
Bien que stressée, la maman fait tomber sonpeignoir, prend place sur la table basse, et ouvre les jambes. Chacun peut voir qu'Aurélie, sous les conseils de son fils, c'est bien rasée la chatte. Les yeux se braquent sur la vulve aux lèvres épaisses, légèrement pendante. Luc ne peut s'empêcher de dire :
-Oh putain quelle chatte, je vais me régaler, merci Raymond. Raymond s'approche et relève les jambes de sa maman, La position prise, rend visible l'anus., très boursouflé qu'il vient de forcer. Huguette réagit :
-Oh mon Dieu comme il t'a arrangé ma chérie, ton trou est affreusement ouvert, il vient de t'enculer, car du sperme s'échappe de ton cul, ce n'est pas juste et nous alors, vous auriez pu nous attendre !
Luc éclate de rire et ajoute :
-Vous aurez aussi votre part mes deux cochonnes !
Raymond, repose les jambes de sa maman et va s'assoir. Les mains habiles d'Huguette et de Justine, entrent en actions, L'une s'occupe du torse et l'autre du ventre. Les mains d'Huguette malaxent les seins généreux, plante ses doigts dans les chairs tendres, les pétris en faisant geindre, Aurélie. Quant à Justine, elle caresse le ventre, descend sa main vers l'entrejambe, passe plusieurs fois sur la vulve,, qui commence à suinter. Les doigts s'insèrent entre les grandes lèvres, font l'ascenseur dans le sillon, et montent vers la boule de tout les plaisirs. Habilement Justine saisit la boule magique, et comment un doux branlage. Aurélie se cabre, pousse des gémissements de plus en plus fort.
Huguette aspire un mamelon, et le suce somme un bonbon. Il devient énorme, elle tète comme une vorace le petit mat très épais, avant de passer à l'autre. Huguette sait se servir de sa bouche, elle s'active sur les mamelons comme une affamée. Aurélie pâme de bonheur elle respire plus rapidement. Elle pousse un long gémissement, lorsque Justine, tout en lui branlant le clito, lui enfonce deux doigts dans les cul et le ramone sauvagement. Aurélie replie les jambes sur son ventre. Les doigts glissent aisément dans le conduit gorgée de sperme, et le fouillent profondément. Elle ajoute un troisième intrus très facilement dans la gaine dilatée.
Le ramonage devient terrible, Aurélie se cabre, son anus sa chatte, et ses mamelons sont très sollicités. Elle est au bord d' l'explosion. Raymond dit :
-Luc, fout lui ta bite dans la bouche, vas-y, vas-y !
Luc excité, offre à la bouche de maman de Raymond, sa bite tendue. Aurélie gobe le gland et le suce voracement, sa bouche active sur le cèpe de chair en le rudoyant. Entre chaque succion ou aspiration, Aurélie pousse un gémissement. Soudain, elle reçoit une puissante giclée de sperme dans la bouche, au même moment, elle se cambre fortement, jouit. Elle manque d'étouffer tellement la giclée est importante. Elle repousse brusquement Luc, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Raymond semble émerveillé, il dit en souriant :
-Avale, maman, avale, gave-toi de ce nectar !
Aurélie, les yeux remplis de larmes, avale la décharge jusqu'à la dernière goutte. les deux femmes reprennent ce qu'elles avaient cessées de faire, elles la dévorent en lui faisant reprendre ses gémissements. Luc la queue gluante, se place derrière Justine et l'embroche d'un coup brutal, et lui pilonne le ventre comme un sauvage. Raymond le stoppe :
-Garde ta semence pour ma maman, c'est pour elle que tu es là !
Rapidement, Luc retire sa bite et tout penaud, va prendre place sur une chaise. Aurélie sous les coups de langues et les doigtages féroces, explose encore une fois. Elle halète fortement, son corps tremble, elle regarde son fils, ses yeux sont vitreux, et très humides. Raymond dit :
-Maman, viens t'empaler sur la queue de Luc, il n'attend que cela le gredin !
En se relevant difficilement, avec des gestes maladroits, Aurélie, se dirige vers Luc. Elle l'enjambe sa main tremblante saisit, la verge dressée, et descend doucement son corps sur le pal. Raymond appuie de toute ses forces sur les épaules de sa maman en disant :
-Bien à fond maman, bien à fond, jusqu'aux couilles tu dois prendre sa bite dans le ventre !
Bien empalée sur le manche de Luc. Aurélie commence à s'agiter. Elle souffle, monte et descend son corps en geignant. Son fils se place derrière elle, Luc Plaque Aurélie contre son torse. Avec un peu de brutalité, Raymond frotte son gland contre l'anus qu'il a déjà éclaté, il y a peu de temps. Il prend sa maman par les hanches et pousse. Sa bite s'enfonce dans le rectum jusqu'à la garde. Prise pour a première fois en double, Aurélie pâme. Elle s'agite de plus en plus rapidement sur les deux queues en poussant des :
-Oui, oui, mon Dieu comme c'est bon, deux bonne bites dans son corps ouah défoncez moi, mes chéris, faites moi gueuler !
Raymond est surprit des propos de sa maman, mais il sourit et réplique :
-Tu vas prendre un pied d'enfer maman, nous allons te défoncer, jusqu'à ce que tu demande grâce !
Aurélie est prise sauvagement sans ménagement. Les bites se synchronisent, et la fouillent profondément. Les râle d'Aurélie ressemblent à ceux d'un animal agonisant. Les deux mâles en ruts la font jouir plusieurs fois, avant de lui remplir le corps de sperme. les deux hommes changent de place et reprennent le démontage d'Aurélie, qui geint comme une bête blessée. De nouvelles jouissances la font hurler, son corps devient une machine à jouir. Les hommes arrivent encore à lui remplir les entrailles de semence. Enfin à bout de souffle, ils libèrent la maman gavée de semence.
Raymond est satisfait du résultat, il voulait que sa maman devienne une bonne salope, eh bien, elle l'est. Il l'offre encore une fois aux deux femmes affamées, qui font d'Aurélie leur jouet sexuel. Les broutages d'orifices, et les pénétrations digitales, font hurler Aurélie de plaisir, qui ne cesse de jouir. Enfin c'est au tour d'Aurélie de faire jouir ses deux complices. Elle reproduit sur elles ce qu'elle à reçue. Les jouissances sont terribles, et très intenses. Raymond n'en revient pas, de l'ardeur que met sa maman à l'ouvrage. C'est épuisées que les trois amantes s'écroulent sur le sol.
Maintenant, plusieurs fois par semaine, Raymond en l'absence de son papa organise des orgies mémorables pour sa maman. Il fait intervenir d'autres personnes, pour bien la démonter. Aurélie; a bien changée depuis son premier dérapage avec son fils. Elle attend avec impatience, ses jours de défonces.
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Les avis des lecteurs
C’est parfait une jolie fin en orgie. Raymond a fait de sa mère une jouisseuse hors pair qui a besoin de sexe multiples régulièrement. DANIEL

