Le correspondant anglais

- Par l'auteur HDS Pasham35 -
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Récit libertin : Le correspondant anglais Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le correspondant anglais
Valérie et Charles étaient parents de deux enfants qui terminaient leur études. Thomas, l’aîné, dans le cadre de son cursus d’ingénieur devait participer à un échange linguistique. Pendant deux semaines leur famille accueillait un étudiant étranger, et en échange le fils de Valérie irait dans la famille de ce dernier en fin d’année.

Thomas et ses parents accueillaient donc Christopher. Il s’agissait d’un anglais qui vivait près de Londres. Il était très sympathique et s’entendait bien avec tous les membres de la famille. Outre sa gentillesse et son humour, il était avenant et serviable. Il était grand, la peau très claire parsemée de tâches de rousseur et doté d’une tignasse blonde et de yeux bleus clairs. Son sourire et son accent anglais finissaient de lui donner son charme.

Au début de son séjour, Valérie appréciait de le côtoyer, mais plus le temps passait, plus elle se sentait troublée en sa présence.
Les regards de Christopher sur elle la déstabilisaient. Ses yeux se posaient souvent sur elle et la fixaient comme pour sonder son esprit. Il lui adressait des sourires que la mère de famille trouvait un peu trop appuyés. De temps à autre, elle surprenait le regard du jeune homme se noyant dans ses décolletés.

Valérie était une belle femme de 45 ans mais était à une période de sa vie où les changements de son corps la marquaient. Elle n’appréciait pas les cheveux blancs qui parsemaient de plus en plus sa chevelure brune, ni les rides qui s’exprimaient plus chaque jour sur son visage. De plus, même si elle était encore mince, elle avait pris quelques kilos ces dernières années. Quant à sa libido, elle la trouvait en berne. En un mot, elle aimait de moins en moins le corps qui était le sien.

Ce qui la peinait presque le plus était le regard de Charles sur elle. Même s’il s’en défendait, elle avait le sentiment qu’il ne la regardait plus comme auparavant, qu’il n’y avait plus la flamme dans ses yeux quand ils se posaient sur elle. Elle repensait alors à leurs jeunes années où la passion et le désir illuminaient toutes leurs journées. Que ces jours lui semblaient loin !
Elle aimait son mari et elle savait que lui aussi, mais leur relation n’était plus la même. Sans doute était-ce le lot de tous les couples de son âge mais elle le vivait plutôt mal.

Aussi, quand le regard du jeune anglais se posait sur elle, Valérie était troublée. Elle y voyait un intérêt, un désir même. Si elle essayait de se convaincre que cela l’offusquait, intérieurement elle était flattée qu’un jeune homme puisse encore être attiré par elle.

Pour ne pas aider, Christopher était un jeune homme tactile. Il était ainsi avec tout le monde mais Valérie en éprouvait un certain émoi quand sa main frôlait la sienne, se posait sur son bras, son épaule.

Au fil des jours, les regards ou les contacts physiques de Christopher à l’encontre de Valérie se faisaient plus insistants, plus directs. La mère de famille le laissait faire, troublée mais flattée. Parfois, sentant le rouge lui monter aux joues comme une adolescente, elle baissait les yeux, honteuse.

Un soir, les choses allèrent encore un peu plus loin. A l’occasion du dîner, Christopher vint s’asseoir à côté de Valérie. Charles était face à son épouse tandis que Thomas était face à son correspondant et sa sœur Justine était en bout de table.

Durant le repas, Christopher posa sa main sur la cuisse de Valérie. Elle eu un sursaut de surprise, frissonna mais ne dit rien. Elle ne tourna pas la tête en direction du jeune homme, de peur de se trahir devant les autres membres de la famille.

Enhardi par le silence de Valérie et caché par la nappe, le jeune homme remonta très lentement sa main le long de la cuisse, en retroussant avec sa main la jupe de long de celle-ci.
Valérie sentit des picotements dans son ventre. Un homme autre que son mari la touchait depuis très longtemps. De plus, l’interdit et la nécessité du secret venaient pimenter le moment.

La mère de famille se retrouva comme emportée dans un rêve. Les conversations autour d’elle devinrent du bruit. Tout son esprit était porté sur la main qui glissait sur sa peau. Les doigts de Christopher remontèrent encore, jusqu’à atteindre le haut de sa cuisse. Valérie ressentait une agréable chaleur grandissante envahir son ventre.

Le jeune homme n’alla pas plus loin et se contenta de parcourir la cuisse de Valérie, de haut en bas pendant toute la durée du repas.



Le lendemain matin, la mère de famille se retrouva seule avec Christopher. Justine était partie à son entraînement de dance, Thomas travaillait tous les week-end dans un supermarché tandis que Charles était parti faire des courses.

Valérie pliait du linge tandis que son esprit se focalisait sur le jeune anglais. Elle était seule avec lui et les idées les plus folles traversaient son esprit. Ce jeune homme qui semblait la désirait la mettait en émoi. Par conséquent, elle était gênée seule en sa présence et ne savait plus trop comment se comporter avec lui.

Elle profita qu’elle entendait la douche couler dans la salle de bain à l’étage pour monter dans les chambres de ses enfants et de la chambre d’ami dans laquelle résidait Christopher pour ranger du linge.

Enfermée dans rêveries, Valérie n’entendit pas la douche s’arrêter ni Christopher entrer dans la chambre.
Elle eu un sursaut quand elle aperçu finalement le jeune homme, uniquement vêtu d’une serviette autour de la taille. Le regard de la mère de famille se posa sur le torse musclé du jeune homme sur lequel ruisselaient encore quelques gouttes d’eau. Ses tétons joliment dessinés ressortaient sur la poitrine presque dépourvu de poils. Ses épaules étaient larges, ses bras puissants.

Voir le jeune homme presque nu troubla Valérie. Alors qu’elle aurait dû s’excuser et sortir de la pièce, elle resta plantée au milieu de la chambre à le regarder.
Christopher ferma la porte derrière lui. Il ne dit rien, se contentant d’un sourire désarmant. Elle lui rendit son sourire.
Elle le trouvait beau et plus les secondes passaient plus la gêne faisait place à l’excitation. Des papillons virevoltaient dans son ventre.

Le silence régnait toujours dans la pièce. Ils se regardaient, se désiraient, s’attendaient. Aussi fou que cela pouvait lui paraître, le désir que lui témoignait le jeune homme lui plaisait beaucoup et elle avait envie d’y répondre. Une telle aventure, un tel intérêt d’un jeune homme envers elle se ne reproduirait sans doute jamais. Elle avait besoin de rallumer la flamme.

Christopher s’avança vers elle et l’enlaça doucement. Valérie se laissa faire. Il posa ses lèvres sur les siennes. La mère de famille lui rendit son baiser. D’abord tendre, il bascula rapidement en une fougueuse étreinte. Les langues s’enroulèrent l’une autour de l’autre. Les mains de Christopher parcouraient le dos de sa partenaire, glissaient dans ses cheveux bruns, s’arrêtaient dans son cou ou sur sa joue.

Délicatement, le jeune homme s’empara des fines bretelles de la robe et les écarta sur les épaules. La robe glissa lentement le long du buste de Valérie puis tomba au sol.
Mal à l’aise avec son corps, la femme essaya de le couvrir avec ses bras. Comprenant son trouble, Christopher la rassura.
- Ne vous cachez pas, vous êtes belle. Laissez moi vous admirer.
Le jeune anglais se saisit des poignets de Valérie, écarta délicatement les bras.

Christopher recula un peu et observa sa partenaire. Son corps n’était pas parfait mais il était beau. Elle portait un ensemble de lingerie noir en dentelle qui mettait en valeur sa silhouette. Une bouffée de joie envahit la mère de famille lorsqu’elle vit les yeux brillants du jeune homme.

Le jeune anglais revint vers elle et passa ses bras dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Il libéra la généreuse poitrine dont il se saisit avec envie. Il massa les seins qui s’offraient à lui. Il fit rouler les mamelons bruns dressés d’excitation sous ses doigts. Il se pencha et lécha chaque sein, les téta, aspira les tétons. Valérie fermait les yeux, se laissant emporter par le plaisir qui s’emparait de son corps.

Le jeune homme s’accroupit et fit descendre doucement la culotte noire le long des jambes de Valérie. Il découvrit une toison brune fournie qu’il embrassa avec tendresse.
Le jeune anglais se releva. Valérie se saisit de la serviette et la dénoua pour la faire tomber au sol. Le sexe tendu de Christopher bondit, libéré de sa prison de tissus. Elle empoigna la queue, après à l’avoir admiré quelques instants, et fit glisser sa main le long du membre.

Après toutes ces années de mariage, elle avait le sentiment de revivre ses premiers émois de jeune fille, ses premières relations. Elle se sentait transportée par ses sentiments, par ses envies.

Enhardie, Valérie s’accroupit et prit en bouche la queue qu’elle suça avec beaucoup d’envie. Elle lécha les couilles et le sexe sur toute sa longueur. Sa langue s’amusa sur le gland gonflé d’excitation. Les soupirs de plaisir du jeune homme l’encourageaient à continuer et la rassura. Elle poursuivit avec plaisir sa fellation en levant de temps en temps les yeux vers le visage du jeune homme sur lequel elle pouvait lire la satisfaction.

Après plusieurs minutes, Christopher la releva, l’entraîna vers le lit et la fit se mettre à quatre pattes. Le jeune anglais se mit à lécher la chatte peu fournit en pilosité de la femme, qui se félicita d’avoir continué à entretenir son intimité.
La langue parcourut toute la vulve, joua avec le clitoris sensible. Il prit à pleine bouche chacune des grandes et petites lèvres qu’il aspira. Il remonta vers l’entrée du vagin. Il y plaqua la bouche et introduisit sa langue le plus profond possible et se délecta du jus qui en coulait abondamment.

Valérie poussait de premiers gémissements de plaisir en savourant la langue de son amant fouiller son intimité. Après un long moment à donner du plaisir à sa partenaire, Christopher remonta vers son anus que sa langue lécha avec avidité. Valérie poussa un petit cri de surprise. Jamais elle n’avait reçu un anulingus. Elle en éprouva beaucoup de plaisir.

Le jeune homme lui fit l’amour avec tendresse puis avec la fougue de sa jeunesse. Valérie défaillait sous les coups de reins de son amant, transportée par chaque caresse, chaque mouvement du jeune homme en elle. Son corps était redevenu un temple du plaisir, la quarantenaire l’ayant presque oublié. Elle fut emportée par un orgasme qui secoua tout son corps comme il y avait bien longtemps qu’elle ne l’avait plus ressenti.
Et après avoir lâché prise, c’est complètement détendue et abandonnée qu’elle se retrouva entre les bras puissants de son amant qui venait de jouir en elle. Le temps ne semblait plus avoir de prise sur elle.



Le lendemain midi, Valérie s’affairait dans la cuisine, seule, pour préparer le déjeuner. Christopher la rejoignit pour lui demander si elle avait besoin d’aide. Elle répondit par la négative et le jeune homem vint se coller dans son dos, les mains sur ses hanches.
- Que fais-tu ? Demanda Valérie, inquiète d’être surprise dans cette position pour le moins ambiguë.
- J’ai envie de sentir ton corps contre le mien.
- On pourrait nous voir ! Recule ! Murmura Valérie, à la fois inquiète et excitée.

Au lieu d’obéir, le jeune homme plaqua une de ses mains sur les seins de la femme qu’il se mit à masser.
- Ce n’est pas raisonnable, voyons !
Christopher déposa des baisers dans le cou de Valérie qui ferma les yeux et commença à se laisser envahir par les agréables sensations.
- Non, il ne faut pas, ajouta-t-elle avec de moins en moins de conviction dans la voix.

La main libre du jeune homme se mit à parcourir la cuisse de sa partenaire en remontant de plus en plus haut sous sa robe légère. Les doigts finirent par rentrer en contact avec la dentelle de sa lingerie. Tout en lui caressant à présent les fesses, Christopher lui mordillait le lobe de l’oreille. Le souffle de Valérie se faisait de plus en plus profond, elle s’abandonnait aux caresses de son amant.

La main se fraya un passage sous les fesses se mit à frôler le sexe de la mère de famille à travers le tissus de la culotte. Valérie se cambra un peu plus. Ce dernier écarta le tissus et fit glisser son majeur le long de la fente déjà un peu humide.

Après quelques caresses, son doigt pénétra doucement la chatte de Valérie qu’il enfonça le plus profond possible. Il entama un lent va-et-vient. Son autre main descendit le long du ventre et s’insinua aussi sous la robe pour aller exciter le clitoris gonflée de sa partenaire.

Les caresses devenaient intenses, l’excitation que ressentait à cet instant Valérie était forte, renforcée par le risque d’être surprise par un membre de sa famille. Elle était tellement excitée, qu’elle se fichait de ce qui pourrait arriver de fâcheux, seul l’instant présent comptait.

Elle se mit à imaginer que Christopher la retourne, lui arrache sa robe d’un geste violent, lui retire ses sous-vêtements avec empressement puis la porte et la dépose brutalement sur la table de la cuisine. Là, il sortirait sa queue et la pénétrerait sans ménagement. Il la baiserait avec bestialité et elle gémirait de plaisir à chaque assaut. Finalement, elle crierait de jouissance tandis que le jeune homme se masturberait au dessus d’elle pour répandre sa semence sur sa chatte et son ventre, sous les regards médusés de sa famille.

Finalement, l’orgasme qu’elle ressentit à cet instant la ramena à la réalité. Elle serra les dents pour étouffer ses gémissements. Quand Christopher sentit que la jouissance de sa partenaire était passée, il retira son doigt de sa chatte et le lécha sous le regard ravi de Valérie. En silence, il attrapa un oignon et se mit l’éplucher.




Dans la soirée, alors que Valérie avait passé tout l’après-midi à repenser à ce que lui avait fait le jeune homme, elle le saisit soudainement par le bras lorsqu’ils se croisèrent dans le couloir et l’entraîna dans le bureau voisin.

Elle se jeta sur lui pour l’embrasser avec fougue. Leurs mains exploraient leur corps, leur langues s’enroulaient dans leurs bouches. Valérie s’accroupit et ouvrit la braguette du pantalon du jeune homme. Elle y plongea la main et en ressortit une queue gonflée d’excitation mais encore molle. Elle la mit dans sa bouche et entama une fellation.

Elle sentit avec beaucoup de plaisir le membre grossir dans sa bouche. Ses mains glissaient le long de la queue, la langue s’enroulait autour du gland. Elle lécha le sexe sur toute sa longueur. Elle défit le pantalon pour le faire tomber sur les genoux de Christopher. Son boxer prit le même chemin. Elle lécha les couilles puis les massa délicatement avec sa main en reprenant ses léchages sur le membre tendu.

Le jeune homme avait tantôt les yeux fermés pour profiter de l’instant, tantôt les yeux ouverts et la tête baissée pour admirer cette femme le sucer avec beaucoup d’adresse. La fellation dura encore de longues minutes jusqu’à ce que Christopher prévienne qu’il allait jouir.

Valérie mit bien le bout de la queue dans sa bouche et continua à le masturber et à lui caresser les couilles. Le plaisir était trop intense et une jouissance libératrice s’empara du jeune homme. Sans un bruit, il éjacula dans la bouche de la mère de famille et répandit son abondante semence sur sa langue.

Valérie avala le jus et continua à sucer la queue jusqu’à la dernière goutte et jusqu’à ce qu’elle se ramollisse dans sa bouche. Elle se releva, embrassa le jeune homme, avec un sourire satisfaite et ressortit de la pièce.



Le lendemain, alors que Valérie et Christopher, n’avaient pas eu l’occasion de beaucoup se voir, Le jeune homme rejoignit sa chambre vers 23h pour se coucher. Après avoir lu un peu, il éteignit et se coucha.
Sans savoir dire combien de temps s’était écoulé depuis, il fut sorti de sa torpeur par une caresse sur son bras. Il sursauta, puis reconnu le parfum de Valérie.
- Que fais-tu là ? Chuchota-t-il.
- J’avais envie de toi. Mon mari a le sommeil lourd, il ne s’apercevra pas de mon absence.

Dans l’obscurité, les deux amants se blottirent l’un contre l’autre. La femme se mit à caresser le torse nu du jeune homme, à jouer avec les poils de son buste. D’agréables frissons parcoururent le corps du jeune anglais.
La femme, déjà très excitée à l’idée de se glisser dans le lit du jeune homme, fut surprise de constater la bosse sur le boxer du jeune homme. Pour son plus grand plaisir Christopher était condition, bien qu’elle fut étonnée et amusée de voir à quelle vitesse le jeune corps de son amant pouvait se mettre en action.
Elle massa quelques instants la bosse puis glissa sa main sous l’élastique du sous vêtement et prit à pleine main la queue du jeune homme pour la masturber doucement.

Christopher passa sa main sous la nuisette en satin de la mère de famille, ses doigts caressèrent le pubis au travers de la dentelle de la fine lingerie, serpenta sur le ventre jusqu’aux seins qu’ils massèrent avec envie. Ses doigts glissèrent ensuite dans le dos qu’ils griffèrent gentiment avant de plonger vers les fesses qu’il malaxa avec gourmandise.

Valérie sentait son ventre s’enflammer sous les caresses de son amant. Elle s’enfonça sous les draps et extirpa le membre tendu de sa prison et le suça goulûment. Tandis qu’elle administrait la fellation, Christopher se mit à doigter sa chatte dégoulinante de mouille. Il jouait avec le clitoris gonflé d’excitation, plongeait son doigt dans le vagin humide pour le plus grand bonheur de sa partenaire qui haletait tantôt sur la queue perlante, tantôt sur les couilles volumineuses.

La quarantaine n’en tenait plus, elle sortit de sous les draps et chevaucha le jeune homme. Avec adresse, elle plaça l’entrée de son vagin au dessus de la queue du jeune anglais et appuya doucement pour qu’elle s’enfonce en elle. Lorsque la verge fut bien en fond d’elle Valérie se mit à onduler sur son amant, les mains posées sur son torse musclé.

La mère de famille était au comble de l’excitation à sentir le membre dur de Christopher coulisser en elle aussi elle ralentit fortement le mouvement pour retarder son orgasme.
Elle cessa de bouger quelques instants pour embrasser fougueusement le jeune anglais puis reprit une lente chevauchée.

Valérie descendit de son étalon et s’allongea de côté, les jambes repliées sur elle. Le jeune homme se blottit dans son dos et dans la position de la cuillère pénétra sa partenaire avec douceur. Valérie sentait le corps du jeune épouser parfaitement chaque courbe du sien. Collé l’un à l’autre, ils ne faisaient plus qu’un.

La mère de famille respirait de plus en plus fort sous les mouvements du sexe de Christopher en elle et la main puissante du jeune homme qui malaxait son sein droit, pinçait son téton dressé jusqu’à une divine douleur.

Valérie s’accrochait à la cuisse du jeune homme et savourait chaque coup de rein de ce dernier. Elle haletait, étouffait, était au bord du précipice. Soudain, elle fit une chute vertigineuse, une onde de plaisir parcourut son corps. Elle se mordit les lèvres pour étouffer ses gémissements. Et tandis que les spasmes déferlaient encore et encore dans son ventre, elle sentit Christopher répandre son sperme chaud en elle. Elle jouit encore plus fort.

Ils restèrent blotti l’un contre l’autre un bon moment, savourant le doux bien-être qui les enveloppait à cet instant. La queue de Christopher ramollissait doucement mais il ne bougea pas, gardant son membre dans l’accueillante chatte de Valérie. Et cette dernière ne voulait pour rien au moment qu’il ne bouge, elle voulait le garder en elle le plus longtemps possible, que le temps s’arrête.

Valérie, apaisée, sentait la torpeur la gagner. Elle était tellement bien et aurait tant souhaité s’endormir ainsi, dans les bras de Christopher. Mais la raison la rattrapa et, ne voulant pas prendre le risque de s’endormir et de se réveiller dans ce lit au petit matin tandis que son mari la cherchait, elle se força à se lever.

Elle embrassa longuement Christopher, se rhabilla, regagna le lit conjugal puis se caressa en repensant à son amant.


Le jour du départ arriva finalement. Après ces derniers jours pleins d’euphorie pour Valérie, elle eut l’impression de se retrouver face à un abyme. Elle se leva malheureuse de voir Christopher partir. Elle savait que ce jour viendrait et qu’ils n’avaient aucun avenir, cependant la séparation qui s’annonçait lui faisait mal au cœur.

1h avant le départ de Christopher, alors que Valérie traînait son spleen dans la maison, bien qu’essayant de paraître détachée, le jeune anglais la saisit discrètement par le bras et l’entraîna dans les toilettes. Il referma la porte derrière eux et embrassa avec fougue la mère de famille.

Valérie lui rendit son baiser avec passion, heureuse de ce dernier contact. La quarantenaire s’accroupit et sortit le sexe déjà tendu du jeune homme. Elle savoura une dernière fois cette queue dont elle avait tant aimé le goût.

Après qu’elle lui eu longuement lécher la verge, Christopher releva Valérie qui s’appuya sur la chasse d’eau. Le jeune homme releva sa jupe, baissa son tanga et se mit à dévorer le sexe humide qui lui faisait face. Il lapa, lécha avala tout le jus qu’il put tout en caressant les cuisses nues de sa partenaire. Valérie se mordait les lèvres de plaisir.

Les deux amants étaient prit d’une fièvre dévorante, voulant profiter une dernière fois de leur corps.

Christopher se releva et enfonça avec fougue sa queue dans la chatte de la mère de famille qu’il se mit à labourer avec force. Jamais leur rapports n’avaient été aussi endiablés. Valérie défaillait sous les assauts du jeune homme, se délectant des puissants coups de rein que lui infligeait le jeune anglais. Jamais un homme ne lui avait labouré la chatte ainsi et elle y prenait beaucoup de plaisir. Cela lui donnait autant de satisfaction qu’un rapport plein de tendresse et de douceur. Le contexte changeait tout à l’affaire. En cette instant, elle voulait se faire pilonner la chatte, ce que Christopher faisait à merveille.

Valérie fut emportée par un puissant orgasme, tous les muscles de son ventre se contractant avec force. Elle était secouée par de violents spasmes, ses jambes tremblaient. Christopher jouit à son tour rapidement en voyant sa partenaire prendre un tel plaisir. Il déchargea de puissants jets de sperme dans le vagin de Valérie qui savoura la semence chaude qui s’écoulait dans son ventre.

Christopher s’accroupit, remonta le tanga rose qui gisait aux pieds de sa partenaire puis rajusta la jupe. Valérie suça une dernière fois la queue du jeune homme jusqu’à ce qu’elle ramollisse complètement. A regret, elle rangea le sexe dans le boxer noir et remonta la fermeture éclair du pantalon.

Discrètement ils sortirent des toilettes.

L’heure du départ sonna et Valérie prit sur elle pour retenir ses larmes. Voir le visage peiné du jeune homme lui déchira le cœur.
Elle regarda la voiture qui emmenait Christopher loin d’elle s’éloigner. Elle savoura avec nostalgie la semence qui s’écoulait en dehors de sa chatte.

Pendant plusieurs jours, Valérie fut déprimée, jusqu’à ce qu’elle reprenne le cours de sa vie. Le jeune homme avait réveillé la flamme presque éteinte de son désir. Elle se rapprocha de son mari pour raviver la passion de leur jeunesse. Ils se retrouvèrent et purent vivre de nouveaux moments de passion, de tendresse. Ce n’était plus comme durant leur vingt ans, mais Valérie avait retrouvé une sexualité heureuse et épanouit avec son mari.

Et si pendant leurs ébats, elle revoyait de temps en temps le visage de Christopher, c’était surtout pour être reconnaissante envers ce dernier pour avoir ravivé la flamme de sa libido endormie.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Toujours très bien écrit et très excitant, bravo!

Histoire Erotique
Très jolie histoire une libido ranimee par un jeune homme fougueux Daniel



Texte coquin : Le correspondant anglais
Histoire sexe : Une rose rouge
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