Le coup de la panne
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le coup de la panne
Le coup de la panne vous, vous connaissez! Pas celui de cette panne:
Ce matin j'ai eu une panne électrique. Il a fallut que je demande en urgence un électricien pour venir réparer peut-être pas grand chose. Je ne connais rien en la matière et pour moi la lumière arrive appuyant sur un bouton. Dans l'heure qui suit le réparateur est là, pardon la réparatrice. Une femme pour ça, pourquoi pas!
Mais cette femme jeune blondes au cheveux ondulés et bâtie comme la vénus de Milo ma foi, c'est plus joli qu'un moustachu. Finalement ma panne a été de courte durée: un simple plomb à changer. Avec un soupir engageant elle me demande si je ne l'ai pas fait exprès pour qu'elle vienne. Je la réassure en lui disant que j'attendais plutôt un homme qu'une très jolie fille.
Elle me rassure en disant qu'elle s'y connait suffisamment pour ce qu'elle vient de faire mais que ce n'est pas son métier: elle est étudiante et aide son père quand elle est libre. Dans ces conditions je vous remercierais en vous invitant à déjeuner. Pourquoi pas, je suis libre: je n'ai qu'à passer à l'atelier prévenir que je ne suis plus libre et je vous rejoint.
J'ai du lui taper dans l'oeil. Aussi je me prépare rapidement pour la rejoindre à ma "cantine", c'est ainsi que j'appelle mon resto favori. Je ne l'attends pas longtemps. C'est non seulement une beauté, mais elle a une classe folle, élégante, tenue d'une reine.
Je ne tarde pas à lui dire que je la trouve bien à mon gout, qu'elle est très belle et que.............
- Que vous aimeriez bien m'amener chez vous.
- Pourquoi pas, vous me plaisez tant.
- Vous me plaisez aussi mais de là à aller dans votre chambre..........
- Qui parle de chambre ? Pas moi en tout cas.
- Non c'est moi qui en parlais, mais je ne dis pas non.
Elle ne disait pas non mais ne disait pas oui.
Quelque fois avec les femmes il faut comprendre l'envers de ce qu'elles disent. Nous partons, vers mon appart.
Elle n'a pas dit non en rentrant et n'a pas dit non si elle avait pu puisque je lui bouchais la bouche en l'embrassant. Elle n'a pas refusé mes mains sur sa poitrine. Et quand je lui ai posé une main sur le bas ventre elle n'a pas hésité à poser la sienne sur ma bite. Je bandais et la coquine elle savait bien ce que ça voulait dire.
Elle s'est baissée face à ma braguette l'a ouverte et a sorti ma bite qu'elle a embrassé avant de la prendre dans sa bouche. Je l'empêche d'aller plus loin. Je ne veux pas jouir encore. Je la relève et dégrafe sa robe. Je la fait tomber au sol et surprise, elle ne porte rien sur elle. Elle savait ce qu'elle allait faire, la garce.
C'est à mon tour de me prosterner devant elle: je pose ma bouche sur son bas ventre: elle écarte les jambes et je peux lui passer ma langue sur le haut du sexe.
Mais la position n'est pas très confortable ni pour l'un ni pour l'autre. Nous passons dans la chambre et je la jette sur le lit. Elle reste les jambes écartées et me demande de venir lui faire un câlin sur son sexe. Je passe ma tête entre ses cuisses et je peux voir de très près son con: ses lèvres sont régulières contrairement aux autres femmes que j'ai connu. Son odeur est très agréable: l'odeur d'un con bien entretenu. Je passe ma langue le long des lèvres et arrive à son petit bouton et le lèche sans arrêt jusqu'au moment où elle me dit qu'elle jouit: je sens aux soubresauts de son sexe. Je lui demande si elle veut être sucée encore. Oui. Je ne lâche pas ma prise mais j'y ajoute deux doigts dans le cul. Elle écarte ses fesses et je continue à téter son con. Elle jouit encore, plus fort que la première fois: je jouiiiiiiiiiiis.
Elle reste sur le dos lorsque je viens sur elle pour la baiser. A passage j'embrasse ses seins et suce les tétons qui sont tout durs. Je pose mes lèvres sur les siennes et en nous embrassons, elle me guide vers son puits. Je pénètre une grotte toute douce à ma bite. J'y glisse lentement. Mais elle veux que j'aille de plus en plus vite: elle jouit avant moi:en criant toujours. Je n'ai pas encore jouis. Mais elle veut que je lui passe ma bite sur son cul. Je ne fais pas que la passer j'y entre. Elle entame une sorte de danse où son cul et ma bite sont au centre. Nous jouissons ensemble pour la première fois.
Elle me demande de l'accompagner à la salle de bain et se lave avec soin le con et le cul. Elle prend ma bite et lui fait subir un lavage tel que je bande encore.
Nous retournons dans la chambre et elle me fait coucher sur le dos pour prendre la place active. Elle se pose sur moi et rentre ma bite dans son con. Elle cri encore je jouiiiiiiiiiiiiiiiis. et s'écroule sur moi. Nous nous embrassons encore. Elle se relève un peu et cette fois s'encule elle même en se branlant. Nous jouissons ensemble.
Comme nous finissons de baiser je lui dit quelle baise très bien: c'est normal: mon cousin m'a fait l'amour pour la première fois à l'age de 14 ans et j'ai aimé tout de suite. C'est même sans doute pour ça que je cris en jouissant.
Nous nous sommes revus souvent puisqu'elle trouvait que je le baisait bien aussi
Ce matin j'ai eu une panne électrique. Il a fallut que je demande en urgence un électricien pour venir réparer peut-être pas grand chose. Je ne connais rien en la matière et pour moi la lumière arrive appuyant sur un bouton. Dans l'heure qui suit le réparateur est là, pardon la réparatrice. Une femme pour ça, pourquoi pas!
Mais cette femme jeune blondes au cheveux ondulés et bâtie comme la vénus de Milo ma foi, c'est plus joli qu'un moustachu. Finalement ma panne a été de courte durée: un simple plomb à changer. Avec un soupir engageant elle me demande si je ne l'ai pas fait exprès pour qu'elle vienne. Je la réassure en lui disant que j'attendais plutôt un homme qu'une très jolie fille.
Elle me rassure en disant qu'elle s'y connait suffisamment pour ce qu'elle vient de faire mais que ce n'est pas son métier: elle est étudiante et aide son père quand elle est libre. Dans ces conditions je vous remercierais en vous invitant à déjeuner. Pourquoi pas, je suis libre: je n'ai qu'à passer à l'atelier prévenir que je ne suis plus libre et je vous rejoint.
J'ai du lui taper dans l'oeil. Aussi je me prépare rapidement pour la rejoindre à ma "cantine", c'est ainsi que j'appelle mon resto favori. Je ne l'attends pas longtemps. C'est non seulement une beauté, mais elle a une classe folle, élégante, tenue d'une reine.
Je ne tarde pas à lui dire que je la trouve bien à mon gout, qu'elle est très belle et que.............
- Que vous aimeriez bien m'amener chez vous.
- Pourquoi pas, vous me plaisez tant.
- Vous me plaisez aussi mais de là à aller dans votre chambre..........
- Qui parle de chambre ? Pas moi en tout cas.
- Non c'est moi qui en parlais, mais je ne dis pas non.
Elle ne disait pas non mais ne disait pas oui.
Quelque fois avec les femmes il faut comprendre l'envers de ce qu'elles disent. Nous partons, vers mon appart.
Elle n'a pas dit non en rentrant et n'a pas dit non si elle avait pu puisque je lui bouchais la bouche en l'embrassant. Elle n'a pas refusé mes mains sur sa poitrine. Et quand je lui ai posé une main sur le bas ventre elle n'a pas hésité à poser la sienne sur ma bite. Je bandais et la coquine elle savait bien ce que ça voulait dire.
Elle s'est baissée face à ma braguette l'a ouverte et a sorti ma bite qu'elle a embrassé avant de la prendre dans sa bouche. Je l'empêche d'aller plus loin. Je ne veux pas jouir encore. Je la relève et dégrafe sa robe. Je la fait tomber au sol et surprise, elle ne porte rien sur elle. Elle savait ce qu'elle allait faire, la garce.
C'est à mon tour de me prosterner devant elle: je pose ma bouche sur son bas ventre: elle écarte les jambes et je peux lui passer ma langue sur le haut du sexe.
Mais la position n'est pas très confortable ni pour l'un ni pour l'autre. Nous passons dans la chambre et je la jette sur le lit. Elle reste les jambes écartées et me demande de venir lui faire un câlin sur son sexe. Je passe ma tête entre ses cuisses et je peux voir de très près son con: ses lèvres sont régulières contrairement aux autres femmes que j'ai connu. Son odeur est très agréable: l'odeur d'un con bien entretenu. Je passe ma langue le long des lèvres et arrive à son petit bouton et le lèche sans arrêt jusqu'au moment où elle me dit qu'elle jouit: je sens aux soubresauts de son sexe. Je lui demande si elle veut être sucée encore. Oui. Je ne lâche pas ma prise mais j'y ajoute deux doigts dans le cul. Elle écarte ses fesses et je continue à téter son con. Elle jouit encore, plus fort que la première fois: je jouiiiiiiiiiiis.
Elle reste sur le dos lorsque je viens sur elle pour la baiser. A passage j'embrasse ses seins et suce les tétons qui sont tout durs. Je pose mes lèvres sur les siennes et en nous embrassons, elle me guide vers son puits. Je pénètre une grotte toute douce à ma bite. J'y glisse lentement. Mais elle veux que j'aille de plus en plus vite: elle jouit avant moi:en criant toujours. Je n'ai pas encore jouis. Mais elle veut que je lui passe ma bite sur son cul. Je ne fais pas que la passer j'y entre. Elle entame une sorte de danse où son cul et ma bite sont au centre. Nous jouissons ensemble pour la première fois.
Elle me demande de l'accompagner à la salle de bain et se lave avec soin le con et le cul. Elle prend ma bite et lui fait subir un lavage tel que je bande encore.
Nous retournons dans la chambre et elle me fait coucher sur le dos pour prendre la place active. Elle se pose sur moi et rentre ma bite dans son con. Elle cri encore je jouiiiiiiiiiiiiiiiis. et s'écroule sur moi. Nous nous embrassons encore. Elle se relève un peu et cette fois s'encule elle même en se branlant. Nous jouissons ensemble.
Comme nous finissons de baiser je lui dit quelle baise très bien: c'est normal: mon cousin m'a fait l'amour pour la première fois à l'age de 14 ans et j'ai aimé tout de suite. C'est même sans doute pour ça que je cris en jouissant.
Nous nous sommes revus souvent puisqu'elle trouvait que je le baisait bien aussi
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