Le cours finit bien (4) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le lendemain, sur la route, je m’efforçais à réfléchir à ce que j’étais en train de devenir, à savoir la pute de ma prof. La situation m’échappait, et malgré la plaisir que j’en retirais, je n’étais pas sûr de vouloir continuer sur cette voie. C’est sur ces réflexions que je me garais devant chez elle à nouveau.
- Bonne chienne, bien à l’heure. Allez, à genoux et nettoie-moi les pieds. Haha même plus besoin de prendre de douches !

Comme la veille, je dus m’exécuter sans rien dire pendant qu’elle s’installait dans le canapé. Je n’étais plus vraiment sûr d’apprécier. Je n’eus pas vraiment le temps d’y réfléchir car j’entendais des pas dans l’escalier.
- Ah coucou papa, tiens je te présente ma chienne bien docile. Elle se fera un plaisir de se joindre à nos petits jeux.

Mais quelle salope, avec combien de personnes couche t’elle en même temps ? Et surtout, pourquoi son père avait l’air d’en faire partie ?
- Madame désolé, mais non. Je veux bien faire ce que vous me demandez, mais là c’est trop. Je ne veux même pas savoir ce que vous aviez prévu.
- En effet Antoine, tu ne veux pas le savoir et c’est mieux ainsi. Par contre je crois que tu n’as pas compris l’enjeu de tout cela.
- Si madame, et je suis prêt à devoir accepter une mauvaise moyenne dans votre cours.
- Justement, cela ne se limite pas à mon cours… Ce que tu n’as pas compris c’est que si tu n’obéis pas, je m’arrange pour que tu rates tous les cours, et que tu sois viré de l’école. Tu auras payé pour rien, en plus de toutes les rumeurs que je me ferais une joie de propager sur toi.

La garce. Je n’en revenais pas d’avoir été aussi con pour me faire avoir ainsi.
- Alors ?

Il n’y avait pas beaucoup à réfléchir, malheureusement, Je ne pouvais pas tout recommencer et me faire humilier publiquement avec ce qu’elle voulait raconter…Je finis par capituler et remis ses pieds dans ma bouche, comme une petite chienne.
- Sage décision. Papa, laisse libre cours à ton imagination et fais toi plaisir !

Pas très grand, ce dernier devait avoir dans les 70 ans. Pas très soigné, il était vêtu comme les gens de son âge le sont, à l’ancienne. Il fit tomber les bretelles, puis son pantalon et sa chemise pour se retrouver en slip derrière moi.
Il m’ordonna de me lever, et me déshabilla de la tête aux pieds. Puis, il se mit à me sucer pour me prodiguer la meilleure pipe de ma vie. J’avais du mal à apprécier, n’étant ni gay ni bi et étant repoussé de base par des contacts sexuels avec les hommes. Mais il s’y prenait tellement bien, jouant de la langue sur mon gland et mon frein, pendant que sa main me massait les couilles. Je bandais terriblement dur, et ma prof me remit ses pieds en bouche. Je sentais que j’allais jouir, et prévenu ma prof.
- Allez, monte à 4 pattes jusque dans la chambre !

Arrivé, elle me fit monter sur le lit, son père nous suivant. Il s’allongea sur le lit et m’ordonna de le sucer. J’avais adoré qu’il me le fasse malgré que ce soit un homme, mais je n’étais pas sûr d’être prêt ni d’avoir envie de lui rendre la pareil. Ma prof me prit par les cheveux et me mit la queue de son père dans la bouche.
- Au départ tu étais simplement supposé le sucer. Mais vu que tu as tenté de te rebeller, et qu’en plus tu ne sembles pas y mettre du tiens, on va changer nos plans !

A ces mots, elle vient se placer derrière moi. J’avais peur de comprendre où elle voulait en venir, et je ne mis pas longtemps à avoir la confirmation… Elle commença à me lécher le cul, tournant autour de mon petit trou puis s’y enfonçant avec sa langue. Bordel quelle délice, elle me léchait la rondelle alors que je suçais son père. D’ailleurs, contre toute attente je commençais à y prendre énormément de plaisir. Sa queue était assez longue, 18 cm, et épaisse. Il bandait bien pour son âge.
Je ressentis vite un doigt s’insérer en moi, ma prof semblait me préparer. Le sentir coulisser en moi me fit bander encore plus dur.
- Regarde papa, la chienne bande, elle semble apprécier. Attends un peu la suite haha.

Son majeur vint se joindre à son index, et elle accéléra le rythme. Je prenais un double plaisir incroyable. Je m’amusais à jouer avec la queue du père et avec ses couilles, que je gobais une par une. Il gémissait bruyamment, sûrement satisfait de ce que je lui faisais.
Peu après, ma prof prit la place de son père et se mit à 4 pattes devant moi, n’attendant qu’une chose. Je lui ai donc léché son délicieux petit cul, pendant que j’entendais son père se placer derrière moi. Il m’enfonça sa queue d’un coup sec, m’arrachant un cri de douleur et de surprise. En sentant le vieux m’enculer, je pris conscience que je venais de franchir un cap définitif dans la soumission. Jamais je n’aurais pu imaginer ça il y a encore quelques jours. Mais le pire, c’est qu’au fur et à mesure des va-et-vient, je gémissais de plus ne plus fort… et pour cause, j’adorais ça ! Le père me baisait sans retenue, et je sentais sa queue s’enfoncer profondément dans mes entrailles, ressentant chaque veine à chaque passage.
Ma prof aussi gémissait, ma langue continuait de fouiller sa rondelle. Ainsi positionné, je me sentais vraiment chienne, à 4 pattes me faisant enculer par un petit vieux.

Après avoir joui, ma prof m’a sucé jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche. Puis elle m’ordonna de faire la même chose avec son père. J’eu beaucoup de mal à retenir mon dégoût. Sa queue sortait de mon cul et je n’avais pas vraiment envie de regoûter du sperme. Mais le vieux me l’a rapidement fourrée en bouche, avant de me la baiser assez violemment. Il s’est ensuite bloqué au fond de ma gorge, avant de décharger plusieurs saccades que je dû avaler pour ne pas m’étouffer. Son goût était bien meilleur que le mien et pas désagréable du tout.
- Hmm quel cul serré cette petit chienne ! Merci ma chérie c’était tellement bon !
- De rien papa, je te le prêterai à certaines occasions. Antoine, dehors. Je te ferai savoir la prochaine fois que tu devras venir.
- Bien madame.

Je suis donc sortis de la maison, la tête retournée, sans vraiment savoir où j’en étais. Les évènements de ces derniers jours étaient en train de remettre en cause qui j’étais.