Le coursier

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le coursier Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le coursier
Durant le COVID je travaillais en télé travail et, mon employeur m'expédiait par coursier ce que j'avais besoin pour faire mon travail.
Je pouvais avoir besoin de différents documents ou logiciels à n'importe quelle heure et, c'est ainsi que j'ai fait la connaissance du coursier.

Au début il venait le matin, vers 10 heures, déposer ce que j'avais besoin pour la journée ou deux jours. Il sonnait, j'ouvrais pour apercevoir un jeune mec avec un casque intégral sur la tête d'allure jeune, toujours vêtu d'un jean et d'un blouson qui lui arrivait à la taille. Je n'avais jamais vu son visage, ni connu son nom.

Je n'avais que l'allure générale, un corps fin semble t-il avec un petit cul d'enfer dans son jean et un gonflement de l'avant qui me laissait toujours rêveur.
C'était tellement gonflé certains matins que je me suis demandé s'il ne mettait pas quelque chose pour faire fantasmer les gens.
Les seuls mots qu'il disait, sans aucun accent particulier :
-bonjour monsieur P. voilà pour aujourd'hui! à bientôt.
Il me tendait le paquet, j'avais juste à dire merci qu'il était déjà arrivé à l'ascenseur.

Il était arrivé à me faire fantasmer ce petit con que je n'avais jamais vu!

Jusqu'au jour, où j'ai eu besoin que l'on m'envoie en urgence des logiciels.
Il est arrivé à 20 heures disant qu'il était désolé pour le retard qu'il avait eu un accident avec un con et donc le temps de faire le constat cela l'avait mis en retard.
Il avait toujours son casque sur la tête.
-vous avez d'autres courses ce soir ?
-non vous êtes mon dernier client.
-alors je vous offre un verre pour me faire pardonner de vous avoir fait travailler si tard.
Je le vois hésiter. Il doit me fixer à travers son casque, se poser des questions et, je le vois retirer ses gants en entrant dans mon appart.
Je le laisse passer et je le vois retirer son casque. Il est de dos... enfin je vais voir la tronche du coursier.

Le casque se retire lentement, il secoue la tête pour laisser couler ses cheveux frisés et longs qui lui tombent sur les épaules, met son casque sous son bras, se retourne pour me regarder, sourire aux lèvres.

Et là, j'en reste bouche bée, les yeux doivent me sortir de la tête. C'est un rebeu, le fantasme du beau rebeu. Ses cheveux légèrement frisés lui encadrent le visage, le nez est fin, surmonté de deux grands yeux aux longs cils, de beaux yeux marrons clairs me fixent et sa bouche est bien dessinée avec deux belles lèvres que l'on a envie de mordre.
Il enlève son blouson et le corps fin que j'avais deviné se dessine dans le tee-shirt moulant.

Je le vois me faire un petit signe en riant.
-eh! ça va ?
-oui oui désolé mais je suis surpris de vous voir c'est quand même la première fois que je vois votre visage depuis que vous venez chez moi!
-surpris parce que je suis rebeu ? dit il en riant.
-oui et non! parce que je pensais pas qu'il y avait un si beau mec sous ce casque.
Et je dois rougir en me rendant compte de ce que je viens de dire.

Il rigole encore plus.
-eh bien moi c'est Malik! Malik le coursier qui court, qui vole dans les rues de Paris désertes pratiquement j'ai jamais été si heureux de rouler dans Paris en ce moment.
-moi c'est... je suis bête vous savez mon nom.
-mais oui monsieur Fabrice.
On rigole tous les deux. Je l'emmène au salon et il me raconte son accident de fin de soirée, rien de grave c'est l'autre qui a le plus de dégâts.

En parlant il a comme un tic, avec sa main toujours en train de ramener ses cheveux derrière ses oreilles. Je le trouve charmant, je n'entends pas tout de ses paroles, on finit rapidement par se tutoyer.
Il me raconte des anecdotes de son boulot cela me parait quand même rengaine mais cela à l'air de lui plaire.
-mais pourquoi tu gardes toujours ton casque quand tu livres ?

Il me regarde, me fixe.
-tu te moques pas de moi si je te le dis.
-ben non.
-parce que sinon j'arrête pas de me faire draguer.
-bah! si c'est une belle nana.
-malheureusement c'est souvent des vieux mecs qui me proposent la botte direct!
-c'est pas vrai !dis je quand même interloqué et sentant qu'il ne faut pas que je le drague.
-tu peux pas savoir des vieux vicieux qui veulent se faire sauter par un jeune beur! on dirait que Paris en est rempli.
-mais y te disent pas ça comme ça quand même!
-si! j'ai un vieux qui veut absolument me sucer pour me remercier mais si tu voyais sa gueule! ça fait pas envie.
Il rigole en me regardant.
-mais, t'as accepté de rentrer chez moi tout à l'heure.
-toi! ben je sais que tu m'avais jamais vu donc que c'était bien de la politesse et de la gentillesse qui n'animaient.

Ses yeux me fixaient, il souriait ce voyou de voir ma gêne qui s'accentuait.
-et puis toi! t'es un beau mec au moins!
Il se lève, s'approche de moi. J'ai son renflement devant les yeux. Il doit commencer à être en érection vu la grosseur qui se cache. Sa main passe dessus et vient se mettre sous mon menton, me redressant la tête me forçant à me relever pour me retrouver face à face.
-et les beaux mecs moi aussi j'en ai envie Fabrice.
Là j'étais subjugué, coincé. Je ne savais plus comment faire avec ce mec qui me touchait presque.
-t'aimes bien les mecs rassure moi ?

J'ai fait signe que oui de la tête. Sa main est passée derrière l'attirant vers lui, vers ses lèvres. Nos yeux étaient à quelques centimètres. Je sentais son souffle de rebeu sur mon visage, j'ai fermé les yeux quand j'ai senti ses belles lèvres se poser sur les miennes, les envelopper, doucement au départ et il m'a bouffé la bouche, les lèvres. J'attendais sa langue avec impatience quand j'essayais de lui donner la mienne, il la prenait entre ses lèvres pour l'aspirer. Quand j'ai senti son corps se coller au mien, sa main s'affermir sur mon cou, je l'ai serré dans mes bras et je me suis laissé faire. Je me suis abandonné dans ses bras en soupirant de plaisir et c'est à ce moment là que sa langue a pénétré ma bouche. Une langue agile, chaude, fouineuse qui visitait avec application ma bouche.
J'ai réussi à faire bouger mon corps contre le sien, sentir ce corps dur, ce renflement se frotter au mien.,.

Quand j'ai ouvert un œil pour voir, il avait fermé les siens et me dégustait.

Je me frottais de plus en plus contre lui, mes mains caressaient son dos, je suis descendu sur les belles fesses, les caresser virilement pour sentir leur dureté, plus je caressais ses fesses plus sa langue bougeait en moi. J'ai passé mes mains sous son tee-shirt.

Je crois que c'est là que je suis tombé amoureux, sa peau douce, sa chaleur. J'ai retiré son tee-shirt nos lèvres se sont séparées. Il souriait, elles n'ont été séparé qu'un instant car il est revenu me les prendre à nouveau me léchant partout, me mordillant les lèvres, la langue, je bandais comme un cerf!
Et mes mains n'arrêtaient pas de parcourir ce corps chaud, les muscles du dos étaient durs et roulaient sous mes caresses.
Il a retiré mon tee-shirt et nos torses se sont collés.

Il m'a repoussé doucement en souriant pour me regarder, regarder mon torse et ses mains sont venus me caresser la poitrine prenant un téton qui pointait dans chaque main, entre ses deux doigts et s'est mis à les triturer doucement. Nos bassins restaient soudés, il me fixait, sa bouche entrouverte, je voyais sa langue pointer. Des ondes de plaisir sont partis de mes seins, j'avais les yeux de fermés à moitié et je le voyais sourire.

Ses mains ont lâché mes tétons, pour me serrer contre lui, descendre dans mon dos pour venir s'accaparer de mes fesses. Moi aussi j'ai de belles fesses qui plaisent mais je les donne pas à n'importe qui.
Ses lèvres avaient repris les miennes. Il essayait de passer ses mains dans mon jean, je l'ai défait pour sentir ses deux mains passer directement sous le boxer, me caresser, me pétrir, malaxer mes fesses sans ménagement. J'aimais de suite ses mains.
-fais moi pareil mec! dit il dans un souffle.

Nos jeans sont tombés à terre. Nos mains étaient dans les boxers et caressaient nos fesses et sa langue jouait toujours avec la mienne.
Quand il a bougé un bras j'ai eu une odeur de sueur qui est arrivé à mes narines. Cette odeur m'excite, j'ai lâché ses fesses d'une main pour lui relever le bras voir son aisselle poilue et je me suis jeté dessus, respirant à fond cette bonne odeur certes de sueur, mais là doublée de celle du rebeu. Cette bonne odeur de rebeu que j'aime tant. Je me suis appliqué à la lécher, la respirer et je l'ai entendu gémir doucement.

Je l'ai regardé.
-j'adore ça mec qu'on me lèche les aisselles comme j'adore le faire aussi! et on trouve pas beaucoup de mecs pour ça!
Alors j'ai eu droit aux deux aisselles et en passant de l'une à l'autre je me suis occupé des beaux tétons bien durs.

J'ai aimé ses plaintes, ses petits gémissements.

Quand j'ai commencé à lui lécher entre les seins, descendant sur son torse, sa peau chaude, lisse de tout poil, avait des frissons. Si bien que je me suis retrouvé à genoux devant son boxer qui débordait de tous les côtés. Une couille de sortie pendait d'un côté, le gros machin droit remontait et l'on voyait le gland.

J'ai fait un bisou sur ce beau gland, et j'ai descendu le boxer, lentement, faisant apparaitre centimètre après centimètre ce beau sgeg qui se développait devant moi comme un cadeau que j'ouvrais. Chaque morceau découvert recevait des bisous et des coups de langues. Le méat ne cessait de couler une mouille claire et généreuse. A chaque coup de langue il sursautait et gémissait.

Le beau sgeg se développait encore, il s'allongeait de plus en plus sous mes bisous. J'ai baissé son boxer complètement pour avoir et admirer ce beau service trois pièces. Certes c'est un sgeg de belle dimension, tant en longueur qu'en épaisseur, le gland bien dessiné, circoncis était doux sous mes lèvres et délivrait sa mouille sans discontinuer mais la paire de couilles qu'il avait méritait qu'on s'y attarde.

Après les avoir caressé doucement, les sentant durcir je les ai léché avec application avant de les avaler une par une, les aspirer pour l'entendre pousser de petits cris en me tenant la tête.

Jamais en me bloquant la tête, il accentuait ce que je lui faisais. Il suivait mon mouvement.
Il avait l'air d'aimer se faire bouffer les couilles et je me suis retrouvé comme un hamster en le regardant me sourire puis j'ai attaqué le sgeg. Y'avait à manger pour plusieurs et j'étais seul pour ce festin. Alors j'ai fait honneur en bon gourmand que je suis. J'ai pris mon temps pour déguster ce morceau, apprécier la façon dont elle m'envahissait la bouche, la comblait, s'enfonçait le plus loin possible et s'arrêtait quand il m'entendait tousser. Mais j'ai eu sa queue au fond de ma gorge pendant que ses mains me caressaient mes cheveux.

En tenant ses couilles fermement, je l'ai pipé avidement aspirant cette tige, la suçant, la léchant, la noyant de salive. Il râlait de plus en plus, j'allais de plus en plus vite. Son bon sgeg s'est mis à durcir comme du marbre chaud. J'ai senti et entendu qu'il râlait encore plus, j'ai bien fermé mes lèvres sur le gros morceau et dans l'instant j'avais ma première récompense.

Du bon jus de rebeu coulait en moi. Je l'entendais râler en se vidant par giclées fournies et dans un soupir, tout s'est arrêté alors j'ai bien nettoyé le matériel.
Il m'a relevé, pris dans ses bras et ses beaux yeux marrons clairs ont plongé dans les miens. Il me serrait à m'étouffer!
-mec! t'as une bouche merveilleuse! c'était vraiment un plaisir!
Et on s'est embrassé.

Il me caressait le visage, en me regardant de ses beaux yeux brillants.
-tu veux quoi de moi ? demande t-il doucement.
-tout ce que tu voudras me donner Malik, je le prendrais avec plaisir.
Il a l'air de réfléchir.
-tu vois Fabrice, quand je baise la première fois avec un mec, j'me fais sucer et je le baise... je donne rarement plus mais là... je sais pas pourquoi..
.
Ses yeux pétillaient de malice, son doigt passait sur ma joue, mon nez, mes lèvres.
-mais tu m'as fait plaisir sans que je te le demande alors si t'as un lit ben je m'offre à toi, j'ai senti de la manière que tu avais de me caresser le cul... dis moi que tu aimerais bien t'en occuper de mon beau cul.
-ça se voit tant que ça ? dis je en riant.
-je te l'offre et après tu m'offres le tien et ta queue, faut que je la goûte aussi ta belle queue mec!
-ben dis donc! on a du boulot ce soir alors! car moi j'aime bien prendre mon temps tu sais.
-ben de toute façon maintenant c'est le couvre feu alors t'es obligé de me garder pour la nuit.
On a rigolé et je l'ai entrainé vers ma chambre.

On s'est allongé tous les deux, serrés l'un contre l'autre. Il m'a dit tout plein de choses gentilles, on a parlé longtemps en se caressant. J'aimais sa main quand il me caressait la queue et c'est sa bouche que j'ai eu en premier.

Je ne sais pas l'effet que cela m'a fait d'avoir sa bouche sur ma queue, sentir sa langue l'enrouler, la lécher, ses belles lèvres la serrer et la piper en aspirant. Chaque fois qu'il sentait que le plaisir arrivait il cessait toute activité, me regardait en souriant.
-tu vas pas tenir longtemps mec! dit il en riant.
Et il repartait pour la pipe.

Quand il a senti que je n'en pouvais plus, il m'a retourné sur le lit pour que je sois au dessus de lui et quand j'ai joui il me dégustait encore une fois ma queue enfouie au plus profond de sa gorge.
-il est excellent ton jus j'espère que j'aurais droit à d'autres tournées mec!
-mais t'es un rebeu gourmand.
-oh oui mec! bon maintenant il reste nos culs à remplir!
-t'as pas faim ? on prend des forces ?
Il rigole en m'embrassant.
-mais alors t'es décidé pour faire ça toute la nuit ?
-c'est toi qui a dit que tu étais mon prisonnier!

J'avais jamais eu un rebeu si tendre chez moi, doux, prévenant, gentil, attentionné. De le voir déambuler à poil chez moi ce n'est pas ça qui faisait débander.
Après avoir dîné rapidement, on s'est recouché pour prendre chacun notre dessert!
Ce que j'aime chez lui, c'est qu'il prend son temps pour tout faire, amener son partenaire au plaisir extrême avant même de penser au sien.
J'étais déjà comblé d'avoir ce beau rebeu dans mon lit, j'étais de plus en plus amoureux c'est sûr et chez lui je sentais aussi que je lui plaisais énormément mais quand il m'a offert son cul.
-tu me niques comme t'as envie... je suis certain que se sera merveilleux!

Il aime prendre son temps et moi aussi alors j'ai dégusté son cul qui s'ouvrait bien, son odeur dans mes narines, ma langue fouineuse dans l'entrée de son petit trou et les petits cris qu'il poussait. Je l'ai inondé de salive, doigté lentement, m'enfonçant en lui tendrement, le voir relever la tête en gémissant quand mes doigts bougeaient en lui.

Et, quand ma grosse queue s'est pointée devant le petit trou ouvert j'ai vu son cul gourmand reculer dessus. Il voulait faire entrer le gland à sa façon ce qui ne l'a pas empêché de crier quand il est passé.
-je suis à toi maintenant mec!

J'ai eu ce beau rebeu lentement, je sentais ma queue ouvrir son boyau qui se resserrait dessus. J'avais envie de le violer, de le baiser hard pour l'entendre gueuler mais pas besoin d'être hard pour l'entendre gueuler. Il aimait avoir une bite dans le cul le rebeu! ça se sentait, ça se voyait à la manière qu'il avait de s'offrir alors je l'ai baisé tendrement, durement. Il criait de la même façon avant que se soit moi qui hurle mon bonheur de gicler en lui, de gicler de longues saccades chaudes et bouillonnantes. Il a râlé tout le temps en tendant son cul jusqu'à la fin et je me suis écroulé sur lui, m'entrainant sur son dos, avec ma queue toujours en lui.
-bouge pas comme ça mec!

Je lui ai fais des bisous partout, mordant sa nuque, lui disant toutes sortes de bêtises pour l'entendre rire.
Je suis sorti avec regret de ce beau cul chaud. On s'est repris dans les bras, se faire des bisous, des caresses. Je sentais son sgeg palpiter contre moi.
-je suis bien avec toi dit il en me faisant un bisou du bout des lèvres.
-moi aussi Malik! t'es quand même un drôle de phénomène quand même!
-pourquoi ?
-ben tu te pointes chez moi, on boit un coup et on baise! et je t'avais jamais vu avant!
-bah tu me voyais pratiquement tous les deux jours.
-mais j'avais jamais vu ta tête!
-tu vois que ça valait le coup d'attendre mec!
-t'as raison mon beau Malik.
-et moi je désespérais dit Malik.
-comment ça tu désespérais ?
-ben y'a un moment que j'avais envie de baiser ton petit cul et v'là que c'est toi qui a eu le mien en premier! j'en reviens pas mec!
-tu regrettes ?
-oh non mec j'vais te dire un truc mais tu te moques pas hein ?
-promis ! juré! dis je le plus sérieusement possible.
-eh bien tu vois ça fait un moment que j'avais envie que tu m'invites car tu me plais beaucoup Fabrice, j'ai toujours eu envie de te tenir dans mes bras, t'embrasser, tu vois comme on a fait tout à l'heure, goûter ta langue, tes lèvres. J'me suis branlé plusieurs fois en pensant tout ce que je pourrais faire avec toi.
Il était devenu sérieux en disant cela, j'en avais presque les larmes aux yeux de l'entendre.
-ben tu vois tout arrive Malik dis je en lui caressant la joue.
-oui car je crois et que je suis même sûr que je t'aime mec!

Un grand silence s'est fait, on se regardait en se caressant la joue.
-pour être honnête Malik tu me plais énormément. Quand j'ai vu ton visage ce soir, j'en suis resté baba de temps de beauté et maintenant je me rends compte que le beau mec que j'ai dans mon lit est un mec gentil, doux et adorable... alors je ne sais pas si je t'aime vraiment mais ce dont je suis sûr c'est que je suis heureux de t'avoir avec moi et que j'espère que se sera pas l'unique fois.
-t'es un amour Fabrice, je le savais!
-mais avant, j'aimerais bien que mon beau petit cul reçoive une visite qu'il attend depuis un moment maintenant! pour un rebeu t'es pas rapide quand même!
-putain et on dit que tous les rebeu sont des voyous!

Il s'est jeté sur moi et ça a été la fête à mon cul! Mais une fête grandiose, avec plein de tacts, de douceur mais aussi de profondeur et de bons coups de reins. Il a voulu me baiser en face à face.
-j'aime voir la tête de mes victimes dit-il en riant et toi! la tienne je veux m'en souvenir tout le temps quand mon zob va entrer en toi pour la première fois.

Sa manière de me baiser cette première fois, je l'ai comparé à la première fois fois où j'ai pris un coup de bite par un mec doux qui a tout fait pour que j'aime ça et bien Malik s'est pareil tout en tendresse, douceur au début avant de niquer comme un rebeu en chaleur et jouir comme il se doit et m'écraser de son corps pour m'embrasser comme un amoureux qu'il était déjà.

Cette première nuit, on a pratiquement pas dormi... on a pris notre temps.

Puis il venait un jour sur deux... pour venir tous les soirs pour me demander de s'installer avec moi et on est resté ensemble deux ans pratiquement.

J'ai jamais été si heureux avec un rebeu, avoir un mec amoureux qui te le prouve tous les jours. Mais la vie fait que des fois cela s'arrête, mais on est toujours ami, grands amis qui s'apprécient encore et, qui sait?

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Texte coquin : Le coursier
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