Le couvent
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Couleur du fond :
Le couvent
Je n’ai pas pu me défaire de mon habitude. Je pensais sérieusement que l’entrée au couvent me serait profitable. Je suis heureusement seule dans ma cellule, sauf que je m’oublie juste avant de m’endormir comme chez moi. Je me sors de ce carcan de chemise de nuit de pénitence pour me caresser les seins d’abord, mon ventre et inévitablement entre les jambes où je retrouve toujours ma chatte bien mouillée.
Je caresse comme je veux, dans un élan de désir le clitoris. Je me fais du bien, beaucoup de bien, même plus que chez moi, avant d’entrer où je suis. J’espère surtout qu’une consœur ne me surprendra pas. Si elle allait le répéter à la mère supérieure ! J’améliore mes plaisir en entrant un doigt dans la gaine de derrière. J’ai découvert cette façon il y a peu. C’est drôlement bon de sentir son doigt aller et venir dans son cul.
J’ai des fantasmes comme toutes les filles de mon âge : je me vois avec un homme bien monté, comme celui qui le premier me la mise devant, il y a longtemps. Ce n’était pas la grosseur de sa bite, normale si agréable la première fois, mais après quand il a pris l’habitude de mon corps, il m’a faite jouir à chaque fois : je lui en redemandais même. Pour le second et dernier amant, j’ai joui dès le premier coup. Je me souviens encore de la grosseur de sa bite, normale, et surtout de sa longueur. Il allait tout au fond de mon vagin facilement, trop peut-être. En tout cas il me donnait le plaisir que je désirais.
Le soir j’aimerais particulièrement qu’il soit là, sur moi, sa queue dans mon trou. Mais ça, je ne peux pas, je me dois de ne plus avoir d’amant. C’est pour ça que je ne peux pas tenir plus d’une journée sans me branler.
Un soir, j’étais malade : j’ai du passer plusieurs jours à l’infirmerie. Malgré la fièvre, le soir je me suis caressée en faisant attention de ne pas me faire remarquer. J’entendais des soupirs de souffrance juste à coté de mon lit. Ce n’est que le lendemain soir que je m’apercevais que la sœur à côté se faisait du bien comme moi. Je n’écoutais que mon désir, j’allais lui rendre visite.
Elle sursautait : il fallait que je la calme par un baiser sur les joues ; J’ai remplacé sa main par la mienne ; elle se laissait faire en gémissant toujours. J’arrivais à la faire jouir. Si au départ elle restait immobile sous mes caresses, vers la fin elle les cherchait. Il a fallu que je lui demande de me caresser aussi.
Elle posait une main sur ma chatte, lentement comme si elle ne savait pas ce que c’était. J’ai du la forcer pour qu’elle accepte de me masturber. Elle faisait bien bouger sa main et ses doigts sur le clitoris. J’étais comme elle, je jouissais avec un plaisir immense. Puis, n’en pouvant plus je l’embrassais comme si elle était mon amant.
Enfin j’avais à nouveau une langue dans ma bouche.
J’allais jusqu’à lui mettre trois doigts dans sa gaine que je supposais déjà ouverte. Heureusement elle n’était pas vierge. Cette fois elle ne jouait pas à l’innocente. Je la baisais presque avec ma main. Je savais qu’elle devait avoir un orgasme.
C’est à partir de cet instant que nos vies se sont unies facticement : dans un murmure elle me donnait les coordonnées de sa cellule, come je lui donnais les miennes.
Pendant tout son séjour à l’infirmerie, chaque nuit nous étions dans le même lit : nous en étions à faire des 69. Plus tard, je venais juste de revenir chez moi, j’entendis frapper doucement à ma porte : elle entrait revêtue simplement de son vêtement de nuit. Sans un mot, elle venait près de moi, se penchait pour me donner le baiser charnel. C’est moi qui entrais ma langue sans sa bouche. Elle était vite nue pour venir contre moi.
Sa chaleur était le bien venu contre mon corps. Sans jamais dire un mot nous nous sommes aimé de plus en plus librement. Au début nous nous sommes branlées, nous avons joui une première fois. Je l’ai baisée avec plusieurs doigts. Pour la première fois elle aussi mettait ses doigts dans mon vagin. Quand elle les sortait c’était pour lécher sa main.
J’aurais tant voulu qu’elle me baise avec un objet style godemiché. Allez trouver de genre d’accessoire dans un couvent ! Je trouvais ce qui pouvait servir pour nous bourrer la chatte. Une paire de chaussette emplie d’un mouchoir devant faire l’affaire.
L’avantage de cette formule était que la grosseur de la chaussette, agrandie par le mouchoir ajouté à la rudesse de l’ensemble dans le con faisait un effet magistral. J’essayais sur elle : elle écartait un peu trop les cuisses, je pouvais entrer ce que je voulais. J’enfonçais lentement l’ensemble dans son vagin extrêmement mouillé. Ses gémissements prouvaient au moins que ce n’était pas désagréable. Je la sentais se tendre souvent quand elle avait un orgasme. Il a fallut que j’attende pour qu’elle me branle avec les chaussettes.
Je comprenais ses orgasmes à la chaine. Nous venions d’inventer la nouvelle façon de jouir dans un couvent.
Les nuits ont succédé aux nuits jusqu’au moment de prononcer les vœux.
Pour nous c’étais trop demander : nous sommes sortie du couvent ensemble. Pas bras dessous bras dessous, mais presque. Si au début notre vie était difficile, maintenant nous vivons comme un couple presque normal avec nos disputes et nous réconciliations sur l’oreiller. Il nous arrive de temps en temps de nous donner à un homme à deux pour le simple plaisir d’avoir une bite à notre disposition, sinon, nous nous contentons entre filles.
Je caresse comme je veux, dans un élan de désir le clitoris. Je me fais du bien, beaucoup de bien, même plus que chez moi, avant d’entrer où je suis. J’espère surtout qu’une consœur ne me surprendra pas. Si elle allait le répéter à la mère supérieure ! J’améliore mes plaisir en entrant un doigt dans la gaine de derrière. J’ai découvert cette façon il y a peu. C’est drôlement bon de sentir son doigt aller et venir dans son cul.
J’ai des fantasmes comme toutes les filles de mon âge : je me vois avec un homme bien monté, comme celui qui le premier me la mise devant, il y a longtemps. Ce n’était pas la grosseur de sa bite, normale si agréable la première fois, mais après quand il a pris l’habitude de mon corps, il m’a faite jouir à chaque fois : je lui en redemandais même. Pour le second et dernier amant, j’ai joui dès le premier coup. Je me souviens encore de la grosseur de sa bite, normale, et surtout de sa longueur. Il allait tout au fond de mon vagin facilement, trop peut-être. En tout cas il me donnait le plaisir que je désirais.
Le soir j’aimerais particulièrement qu’il soit là, sur moi, sa queue dans mon trou. Mais ça, je ne peux pas, je me dois de ne plus avoir d’amant. C’est pour ça que je ne peux pas tenir plus d’une journée sans me branler.
Un soir, j’étais malade : j’ai du passer plusieurs jours à l’infirmerie. Malgré la fièvre, le soir je me suis caressée en faisant attention de ne pas me faire remarquer. J’entendais des soupirs de souffrance juste à coté de mon lit. Ce n’est que le lendemain soir que je m’apercevais que la sœur à côté se faisait du bien comme moi. Je n’écoutais que mon désir, j’allais lui rendre visite.
Elle sursautait : il fallait que je la calme par un baiser sur les joues ; J’ai remplacé sa main par la mienne ; elle se laissait faire en gémissant toujours. J’arrivais à la faire jouir. Si au départ elle restait immobile sous mes caresses, vers la fin elle les cherchait. Il a fallu que je lui demande de me caresser aussi.
Elle posait une main sur ma chatte, lentement comme si elle ne savait pas ce que c’était. J’ai du la forcer pour qu’elle accepte de me masturber. Elle faisait bien bouger sa main et ses doigts sur le clitoris. J’étais comme elle, je jouissais avec un plaisir immense. Puis, n’en pouvant plus je l’embrassais comme si elle était mon amant.
Enfin j’avais à nouveau une langue dans ma bouche.
J’allais jusqu’à lui mettre trois doigts dans sa gaine que je supposais déjà ouverte. Heureusement elle n’était pas vierge. Cette fois elle ne jouait pas à l’innocente. Je la baisais presque avec ma main. Je savais qu’elle devait avoir un orgasme.
C’est à partir de cet instant que nos vies se sont unies facticement : dans un murmure elle me donnait les coordonnées de sa cellule, come je lui donnais les miennes.
Pendant tout son séjour à l’infirmerie, chaque nuit nous étions dans le même lit : nous en étions à faire des 69. Plus tard, je venais juste de revenir chez moi, j’entendis frapper doucement à ma porte : elle entrait revêtue simplement de son vêtement de nuit. Sans un mot, elle venait près de moi, se penchait pour me donner le baiser charnel. C’est moi qui entrais ma langue sans sa bouche. Elle était vite nue pour venir contre moi.
Sa chaleur était le bien venu contre mon corps. Sans jamais dire un mot nous nous sommes aimé de plus en plus librement. Au début nous nous sommes branlées, nous avons joui une première fois. Je l’ai baisée avec plusieurs doigts. Pour la première fois elle aussi mettait ses doigts dans mon vagin. Quand elle les sortait c’était pour lécher sa main.
J’aurais tant voulu qu’elle me baise avec un objet style godemiché. Allez trouver de genre d’accessoire dans un couvent ! Je trouvais ce qui pouvait servir pour nous bourrer la chatte. Une paire de chaussette emplie d’un mouchoir devant faire l’affaire.
L’avantage de cette formule était que la grosseur de la chaussette, agrandie par le mouchoir ajouté à la rudesse de l’ensemble dans le con faisait un effet magistral. J’essayais sur elle : elle écartait un peu trop les cuisses, je pouvais entrer ce que je voulais. J’enfonçais lentement l’ensemble dans son vagin extrêmement mouillé. Ses gémissements prouvaient au moins que ce n’était pas désagréable. Je la sentais se tendre souvent quand elle avait un orgasme. Il a fallut que j’attende pour qu’elle me branle avec les chaussettes.
Je comprenais ses orgasmes à la chaine. Nous venions d’inventer la nouvelle façon de jouir dans un couvent.
Les nuits ont succédé aux nuits jusqu’au moment de prononcer les vœux.
Pour nous c’étais trop demander : nous sommes sortie du couvent ensemble. Pas bras dessous bras dessous, mais presque. Si au début notre vie était difficile, maintenant nous vivons comme un couple presque normal avec nos disputes et nous réconciliations sur l’oreiller. Il nous arrive de temps en temps de nous donner à un homme à deux pour le simple plaisir d’avoir une bite à notre disposition, sinon, nous nous contentons entre filles.
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