Le cul de Carlos - histoire érotique

Carlos avait beau être numéro un mondial, il n’en était pas moins (jeune) homme. Il avait une girl-friend comme on dit mais aimait aussi (et sexuellement encore plus) les relations avec les hommes, avec qui il pouvait même être totalement passif.
Il venait tout juste d’avoir 20 ans, cela faisait un moment qu’il était sur le circuit mondial, c’était une vie passionnante, trépidante, mais tellement dure et exigeante, notamment sur le plan du mental et de la discipline personnelle.
Il avait besoin de se ménager des “soupapes de respiration” : parmi elles, il se faisait un plan cul bien chaud avec un ou deux mecs le soir de son arrivée dans une ville où il allait disputer une compétition.
Il l’organisait bien à l’avance, et c’est Alberto, un de ses cousins, qui l’accompagnait sur le circuit, et qui était dans la confidence, qui s’en occupait.

Physiquement il était évidemment très bien foutu, torse imberbe et finement musclé, la peau mate, une belle gueule de latino, et un sourire ravageur. Il avait aussi un très beau cul, bien charnu, qui plaisait beaucoup, et qui lui procurait beaucoup de plaisir.
C’était comme son joyau, quand il se masturbait, il adorait le caresser, le pénétrer avec ses doigts humectés de salive.
Il aimait prendre son temps pour bien le travailler, et, évidemment, il adorait que quelqu’un d’autre s’en occupe.

Sexuellement, il avait quasiment tout pratiqué. Il aimait sucer, se faire sucer, se faire travailler le cul, donc, et se faire baiser. Il pouvait être actif aussi, mais c’était moins son truc. A la limite, quitte à être actif, il préférait le faire avec une fille qu’avec un gars.
Niveau âge et physique des mecs il était assez éclectique, et n’avait pas d’impératif particulier, même si, étant passif, il aimait qu’un ou plusieurs mecs plus âgés s’occupent de lui. En fait il aimait mettre son corps à disposition.

Tout cela était donc son petit jardin secret.

Dimanche soir il arrivait à Paris, pour disputer l’un des plus importants tournois de l’année. Il en était l’un des favoris, sinon le favori, et il était très motivé pour y réussir une belle performance. Pour cela il lui faudrait être hyper concentré, ce qu’il arrivait en général à faire. Il avait d’ailleurs une capacité à faire le vide assez exceptionnelle, il s’entraînait dur, et il était prêt à beaucoup de sacrifices pour parvenir aux objectifs qu’il s’était fixés.
A Paris, dès le lundi, il allait rentrer dans sa bulle : pas de sexe (ça tombait bien, sa petite amie ne serait là que la deuxième semaine), pas d’excès alimentaire, beaucoup de sommeil, et de la préparation physique.

Par contre, le dimanche soir de son arrivée, c’était sa soupape habituelle, et il avait l’intention d’en profiter bien à fond. En plus, ce n’était que du sexe, certes à haute intensité, mais rien d’autre : pas d’alcool, pas de drogue, évidemment, que du sexe qui était, comme chacun sait, un excellent exercice physique et un facteur de bien-être.
Il sentait que, non seulement cela n’affectait pas ses performances, mais que ça lui faisait beaucoup de bien, et ce plan du dimanche soir, qui était devenu un rituel, lui était indispensable.

Pour son arrivée à Paris, il avait souhaité franchir un cap. Jusque là il avait déjà fait des plans à trois, mais jamais une double pénétration. Avec le fist c’était les deux choses qu’il n’avait pas tentées, et il avait envie d’essayer la double. Il s’y sentait prêt, et pensait que son cul pouvait y résister.
Il en fit part à Alberto qui, quelques jours avant, se chargea de prospecter, et tomba sur deux parisiens, 57 et 42 ans, qui cherchaient à baiser un jeune cul à deux.
La discussion s’engagea, et, assez rapidement (l’âge non seulement ne gênait pas Carlos, mais en plus l’attirait et même l’excitait), rendez-vous fut conclu pour le dimanche soir à 22 heures, au domicile de ces deux gars.

De leur côté, Eric et Samir avaient été sacrément boustés par leur premier plan à trois, il y a quelques semaines, surtout par ses suites, après le départ du troisième, Arnaud, ce qui leur avait permis de se retrouver et d’avoir, à deux reprises, le soir, puis la nuit, des relations sexuelles bien chaudes.
Pendant un long moment, aucun d’eux n’avait été voir ailleurs, et deux à trois soirs par semaine, ils se retrouvaient, en général dans le lit d’Eric, et ils baisaient.
Déjà, il n’était pas rare qu’ils passent le début de soirée, allongés sur leur canapé, à se caresser, le torse, les pieds notamment, et, souvent, Samir sortait sa queue, et Eric la suçait. Samir éjaculait rarement, c’était juste pour le plaisir et la proximité entre les deux. Ça lui permettait aussi de garder ses couilles pleines pour leur “vraie” baise, une fois au lit.

Au bout de quelques semaines, ils avaient eu envie de refaire un plan à trois, et avaient alors parlé de tenter une double pénétration avec un jeune passif, ce que ni l’un ni l’autre n’avait encore fait.
Ils avaient recontacté Arnaud, il avait été content d’avoir de leurs nouvelles, flatté qu’ils veuillent le revoir, mais il ne se sentait pas de tenter ce genre d’expérience. Il leur avait proposé un plan comme la première fois, mais ça ne disait rien à Eric et surtout à Samir, qui voulait expérimenter la double pénétration, découvrir cette pratique qu’il ne connaissait pas, et élargir son horizon en matière sexuelle.

Il s’était chargé de passer une annonce en ce sens, et, au bout de quelques jours de recherche, il était tombé sur celle de Carlos.
Eric et Samir n’avaient guère hésité, ils trouvaient ce jeune champion charmant et bien foutu (même Samir), et ça les bottait (surtout Eric) de se taper un mec connu.

Le dimanche soir convenu, un peu avant 22h, Samir reçut un coup de fil d’Alberto qui s’approchait de l’adresse qu’il lui avait donnée, l’entrée du parking souterrain de leur immeuble.
Comme convenu, Samir descendit au sous-sol, et vint se positionner au niveau du portail, qu’il ouvrit avec son bip. Au même moment, arrivait une Tesla noire aux vitres fumées. La porte arrière gauche s’ouvrit et permit à Samir d’entrer. De l’autre côté était assis Carlos, pantalon beige clair, polo beige plus foncé, qui lui fit un beau sourire. Samir le lui rendit, en lui faisant la bise, et en se disant qu’avec Eric ils allaient bien se régaler.
Samir guida Alberto jusqu’à la porte donnant à l’ascenseur, il descendit de voiture, Carlos fit de même et il le conduisit jusqu’à leur appartement. Les deux hommes échangèrent quelques banalités en anglais, Samir ne put résister à mettre la main aux fesses de Carlos, qui se redressa, et vint coller son corps contre celui de son hôte, comme pour lui confirmer qu’il était bien à sa disposition et qu’il entendait s’éclater.

Samir se rendit vite compte que Carlos était chaud comme la braise, il avait en effet très envie de profiter au maximum de cette soirée avant l’importante quinzaine qui allait s’ouvrir et qui allait nécessiter concentration et abstinence.
Lorsqu’ils entrèrent dans l’appartement, Eric les attendait, vêtu simplement de son peignoir de bain.
Les deux hommes se firent la bise, Carlos murmurant son prénom et gratifiant Eric de son beau sourire.

Ils avaient convenu d’un plan direct, c’est pourquoi Carlos entreprit de se déshabiller dans le hall (il n’eut qu’à oter son polo et son pantalon pour se retrouver en boxer). La vue de son corps musclé et bronzé fit son effet sur ses hôtes qui l’entourèrent tous deux et l’embrassèrent dans une sorte de pelle à trois déjà très chaude.
Eric ôta son peignoir, Carlos se mit à genoux, prit son sexe dans sa bouche, et commença à le faire durcir et à le sucer.
Samir se déshabilla également (il avait un pantacourt-jogging et un tee-shirt, pas de caleçon) et vint présenter sa queue au niveau du visage de Carlos qui quitta alors celle d’Eric pour la prendre en bouche, puis alla de l’une à l’autre. Eric et Samir se regardèrent, et échangèrent un baiser. Quelle entrée en matière ! se disaient-ils tous deux.

Carlos, qui avait gardé son boxer, entreprit de l’enlever et dénuda ainsi sa belle bite, déjà dressée, et naturellement son fessier musclé et charnu. Les trois hommes étaient désormais complètement à poil.
Carlos continua à sucer ses hôtes, qui bandaient alors bien à fond.
Samir voulut mettre un terme à cette première phase, déjà très prometteuse, prit Carlos par la main pour le relever et le conduire dans sa chambre, à l’étage, là où ils avaient fait leur premier plan à trois avec Arnaud.

Carlos le suivit bien volontiers, et Eric ferma la marche, ce qui lui permit d’apprécier la vue imprenable sur le postérieur du jeune espagnol, qui semblait lui dire “entrez, c’est ouvert”. Il avait très envie de le lui bouffer, il savait qu’il allait le faire dans quelques instants, d’ici là il se contenta d’y poser la main et de le caresser tandis qu’il marchait derrière lui.

Arrivés dans la chambre, Samir fit signe à Carlos de s’allonger sur le lit, ce qu’il fit. Il se mit sur le dos, et, aussitôt, il écarta les jambes et releva les fesses. Ses deux hôtes eurent tôt fait de le rejoindre et, comme dans une répartition des rôles, chacun entreprit ce qu’il préférait. Samir se mit à genoux, à la gauche de Carlos, et lui tendit sa queue. Le jeune homme tourna la tête, ouvrit la bouche, et entreprit une nouvelle fellation.
Eric de son côté s’était allongé sur le ventre, il releva les jambes et le fessier de Carlos et commença à lui bouffer le cul. Hum... il ferma les yeux pour savourer le moment, et bien se régaler de la rondelle qui s’offrait à lui.

Au bout de quelques instants, Eric souhaita prendre une position plus confortable. Il s’allongea sur le dos, fit mettre Carlos à genoux de part et d’autre de lui, et le buste en avant, de façon à ce que sa croupe soit bien à la hauteur de sa bouche, pendant qu’au niveau de celle de Carlos, se trouvait la bite de Samir, qui était resté également à genoux.
C’était la position préférée d’Eric lorsqu’il bouffait le cul d’un mec, c’était la plus confortable et la plus agréable, celle qui permettait à la langue de bien explorer l’orifice léché.

Eric se régala ainsi longuement du cul de Carlos, qu’il bouffait bien à fond, tout en malaxant ses fesses avec ses mains. Samir, de son côté, qui aurait pu se faire sucer pendant des heures tellement il aimait ça, prenait également son pied.
Quant au jeune homme, il semblait aussi apprécier, comme en témoignaient ses gémissements aigus, quand il retirait la bite de Samir de sa bouche pour la lécher ainsi que ses couilles.

Il leur sembla le moment venu de passer à la phase supérieure, ça tombait bien, la position qui était la leur était la plus propice.
Eric poussa les fesses de Carlos, et l’invita à s’allonger complètement sur lui. Eric positionna sa bite entre les fesses du jeune homme et commença à se frotter, tout en caressant son torse et en branlant doucement son sexe bien dur.
Samir, qui était allé en chercher dans le tiroir de sa table de nuit, tendit un préservatif à son compagnon.
Carlos glissa alors sur le côté, ce qui permit à Eric d’enfiler la capote sur son sexe.

Le jeune homme prit l’initiative de sucer Eric, et de bien lui saliver le préservatif. Samir, qui en avait aussi enfilé un, vint à son tour se faire sucer et lubrifier son membre protégé.
Avant de se remettre sur le dos, et sur Eric, Carlos lui présenta son fessier, pour qu’il puisse le préparer encore un peu. Eric constata que son anus était resté bien humide et bien ouvert et, après les avoir salivés, il rentra trois doigts d’un coup, sans problème.

Carlos revint prendre position, il se mit un peu plus haut qu’il y a quelques minutes, mit ses fesses à hauteur du bas ventre d’Eric, ce qui lui permit de prendre sa bite en main et de la mettre à la verticale. Carlos se releva, appuya ses mains de part et d’autre du corps d’Eric, et vint positionner son cul juste en dessus du sexe dressé.
Il le fit redescendre lentement, et vint l’empaler sur la queue d’Eric, qui put ainsi le pénétrer bien à fond.

Eric entama des mouvements de va-et-vient de sa bite dans le fondement de Carlos, qui grimaçait et gémissait, manifestement plus de plaisir que de douleur.
Lentement il fit glisser le corps du jeune homme de la verticale à l’horizontale, pendant qu’il relevait son bassin pour poursuivre sa pénétration.
Comme tout à l’heure, il en profita pour caresser son torse et pour le branler.

Samir vint se mettre à genoux au bord du lit, il releva les jambes de Carlos et s’appuya sur elles pour les faire basculer en arrière, le plus loin possible.
Eric s’était arrêté de pilonner le cul de Carlos, et resta le sexe en lui, sans bouger.
Le jeune homme se préparait à ce qui allait lui arriver. Il s’efforça d’être le plus relax possible, il ferma les yeux, ouvrit la bouche, et gémit doucement.

Samir positionna sa bite à l’entrée de l’orifice déjà occupé. Avec ses doigts, humectés de salive, il s’efforça d’agrandir l’espace entre la bite d’Eric et le haut de l’anus de Carlos, qui émit alors un soupir plus grave, et murmura, entre deux gémissements : “Let’s go !”.
Samir rentra sa bite, qu’il avait salivée une dernière fois, mais ne put guère aller plus loin. Carlos gueula, cette fois de douleur.
Samir s’était mis le corps en avant, vint poser son torse sur celui de Carlos, et appuya ses mains de part et d’autre des deux corps superposés qui étaient sous lui.

C’est dans cette position, quelque peu inconfortable, qu’il essaya de faire rentrer davantage sa bite. Carlos gueulait toujours autant, Eric reprit ses mouvements de va-et-vient, ce qui dégagea un peu d’espace dans lequel Samir enfonça sa bite. Carlos se mit alors à hurler : “Stop !”. Ses deux hôtes s’arrêtèrent, et Samir entreprit de se retirer lentement. Carlos grimaça au moment du retrait total, mais ressentit un soulagement immédiat. Il soupira, retrouva le sourire, et dit :
- Sorry, I could’nt any more.
- No problem, répondit Samir, en lui souriant et en lui tapotant la joue.

Eric, qui ne s’était pas retiré, recommença à bouger dans l’anus de Carlos, qui reprit des gémissements de plaisir.
Tout en restant en lui, Eric le fit basculer de façon à ce que le jeune homme soit sur le dos.
Il se mit sur lui, et le baisa dans cette position, ce qui lui permettait de bien mater le torse et le visage de Carlos, bandants à souhait.
Vu l’excitation, il sentit la sauce monter, et continua à pilonner le cul de Carlos, jusqu’à l’éjaculation, en lui, protégée par le préservatif. Il poussa un cri d’extase, et continua à gémir jusqu’à ce qu’il ait senti la dernière goutte sortir de son gland. Il se retira alors lentement, s’éloigna et retira avec précaution le préservatif, pour éviter d’en mettre partout.

Samir prit le relais, et demanda à Carlos de se mettre à quatre pattes, dans sa position favorite pour enculer un mec.
Il rentra sans problème dans l’orifice, cette fois vide de tout occupant, et le pilonna bien à fond.
Lui aussi sentit l’éjaculation arriver rapidement et, après d’ultimes va-et-vient puissants, il se retira, se branla et jouit dans le préservatif, en soupirant bruyamment.

Carlos se remit sur le dos, Eric vint à ses côtés, les deux hommes s’embrassèrent. Eric entreprit de le branler, Carlos prit sa main pour la conduire vers son anus, et Eric le doigta pendant qu’il lui masturbait la queue.
Le jeune homme ne tarda pas à jouir, et cracha abondamment, de giglées puissantes qui tapissèrent bientôt tout son torse, jusqu’aux épaules, le tout dans des gémissements rauques et saccadés. Le pied...

Samir lui tendit une serviette, ce qui lui permit de s’essuyer et de reprendre définitivement son souffle.
Eric et Samir s’allongèrent sur le lit, de part de d’autre de Carlos, qui leur fit son plus beau sourire, et leur dit, en levant le pouce :
- Very good, guys !
- You liked it ? demanda Eric.
- Yes, very much... sorry for the double, it was impossible for me...
- No problem, we liked fucking you, le rassura Samir.
- Yes, you have a good mouth and good asses, renchérit Eric.
- Thanks guys.

Les trois hommes s’embrassèrent, ils avaient passé un bon moment.