Le cul du lapin 1
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le cul du lapin 1
1 / PATRON LAPIN
Mon patron est petit et menu. Il est jeune pour un patron, 35 ans. Petit format mais extrêmement sexy, costume impeccable, sourire ravageur, petit cul de lapin.
Mais il est aussi très nerveux, vif et autoritaire. Il rit fort, il aime les grandes femmes à hauts talons et les secrétaires en mini-jupes. Il est macho, supérieur, drôle... un peu méprisant. Il compense sa petitesse et sa légèreté par un excès de machisme et un affichage de virilité. Il a un 4x4 Mercedes et il aime les grosses voitures. Ça en dit long sur ce s'il a dans le slip. Mais nous y reviendrons.
Petit par la taille, mais attention c'est un grand financier. Il gère des contrats internationaux très juteux. Nous avons de gros clients étrangers. Il leur offre des séjours à Paris et à Nice dans les plus grands hôtels. Du "all-inclusive"... entendre : avec call-girls.
Devant elles, comble de vulgarité, mon petit patron rigole en écartant les jambes :
- Vous pouvez y aller, c'est que de la bonne ! Je les ai toutes essayées avant pour vous, ha ha !
Sa femme est blonde platine, jolie mais effacée. Il en est très fier.
Quand il fait vister ses bureaux à ses 2 fils, il dit :
- Regardez, tout ça c'est à papa !
Il pose la main sur la cuisse des secrétaires :
- Même ça, ha ha !
Moi ça me choque. Mais ses fils, ça les fait sourire. Attristant.
Moi je travaille en open space avec plusieurs collègues, en lien avec le pôle administratif... les secrétaires, quoi ! De là où je suis je vois dans le bureau de mon petit patron quand il laisse sa porte entrebaillée. Je vois ses jambes de petit lapin sous son bureau, en position écartées de manspreading. Il est très nerveux, il secoue les jambes, il les ouvre et il les ferme, il tape du pied : Panpan !
Bref il est petit mais il occupe l'espace.
Il passe son temps à draguer les secrétaires. Il leur demande de porter des tenues "féminines" c'est à dire talons hauts, mini-jupe et decolleté. Il est collant avec les plus jolies.
Moi il m'ignore à peu près. Il sait que je suis gay donc pour lui je suis insignifiant. J'ai eu droit au début à quelques blagues homophobes, mais comme je travaille correctement il s'est calmé.
Il a un petit zizi. Ça se voit les jours où son pantalon le serre : une petite verge toute mignonne, toujours plaquée sur le côté droit. Il a le torse velu à l'ouverture de sa chemise, et j'ai vu ses mollets fins, jolis et poilus... Mais surtout il a un magnifique petit cul de lapin !!!
... Le genre de petit cul bien rond avec la fesse en creux, bien moulé dans son costume... À chaque fois ça me donne envie de lui arracher tous ses vêtements et de le culbuter dans la garenne ! Han... han... han...
Un jour aux urinoirs d'étage, il est venu à côté de moi, ce con. Moi, je regardais droit devant pour lui montrer que je ne profitais pas de la situation, mais lui non, il m'a maté ostensiblement la teub, ca m'a surpris mais je l'ai laissé regarder, et il a dit :
- quel dommage quand même...
-... ?
- avec une bonne queue comme ça, vous en auriez fait grimper plus d'une aux rideaux !
J'étais tellement interloqué que je n'ai rien su répondre. Et comme il continuait de me regarder la bite, je l'ai maté à mon tour par dessus son épaule, mais je n'ai rien vu, rien ne dépassait de sa petite main à part un petit jet d'urine bien droit.
Il a remarqué mon regard, mais il n'a rien dit... jusqu'au lendemain : il parait qu'il a dit à mes collègues que je l'avais maté aux urinoirs, et que je ferais mieux de bosser, au lieu de me branler en pensant à la bite de mon patron.
Depuis ce jour, je ressens pour ce petit homme un profond mépris. Pour moi c'est juste un petit con, un petit macho... Je me disais "qu'il aille se faire enculer profond !"... et c'est précisément ce qui arriva.
Voilà en effet qu'un très gros client venu du Moyen-Orient débarque direct de l'aéroport avec son staff de 7 personnes.
Les 8 hommes sont en costumes clairs, couleur sable. Ils portent tous le cheich. Ils sont tous très bruns, très grands, très beaux et très virils : 8 grands basanés, 8 regards ténébreux... 8 entrejambes volumineux ! 8 superbes loups du désert, genre poil dru, regard acéré, canines qui dépassent des babines et gland qui dépasse de l'étui.
Mon patron les accueille, il a l'air tout petit à côté d'eux
Après une matinée de réunion, il leur propose soit de passer l'après-midi à visiter la ville soit de se rendre directement au Grand Hôtel pour rencontrer les call-girls qu'il leur a réservées.
- Ça tombe bien, répond le client, mes amis et moi avons accumulé des tensions, et nous avons tous besoin de... décharger, vous comprenez ?
Et en disant cela il donne un petit coup de bassin.
Un sourire passe entre les hommes (connivence masculine à 2 balles)... Les bouches s'entrouvrent. C'est vrai qu'ils ont l'air fatigués, leurs regards sont lourds, et on devine que leurs couilles aussi. L'air de la salle de réunion sent la testostérone.
Mon patron semble les comprendre. Il les regarde avec une complaisance mâle.
Mais le client l'interroge :
- Dites-moi, lapin (ça ne vous dérange pas si je vous appelle lapin ?)... ces call-girls... ce sont des... professionnelles ?
- Oh oui, bien sûr... vous verrez... le top du top ! Ha ha ! Elles sont très chaudes et très humides... je les ai toutes essay...
- Oui, nous savons cela. Mais vous n'auriez pas quelque chose de mieux ?
- De mieux... ?
- Pas des professionnelles... des personnes... vierges... des trous qui n'ont jamais servi... des personnes plus impliquées... de votre société... des personnes d'ici, par exemple !
-... ?
(blanc)
- Ah... oh... euh... oui bien sûr, je vais demander aux secrétaires, je suis sûr qu'il y en a qui accepteront avec plaisir... vous ne serez pas déçus je les ai toutes essayées, ha ha...
Mais le client ne rit pas.
- Vous n'avez pas compris, lapin... nous ne voulons pas les employées...
(blanc)
- Mais... euh... vous voulez qui... précisément ?
- Nous voulons le cul du lapin...
- ... du lapin ?... quel lapin ?...
Le grand client le regarde avec ses yeux ténébreux. Il pose sur son épaule sa longue main brune. Mon patron semble se tasser. Le client a de grands cils noirs, ses paupières sombres sont mi-closes.
- Vous ne sentez pas cette odeur de lapin... lapin ?
Et il ouvre un grand sourire carnassier.
Les 7 autres l'imitent, ils sourient de toutes leurs dents blanches magnifiques.
Mais le visage de mon patron se décompose. Tout le monde se tourne vers lui... Je me dis que ces hommes ont bon goût. Ils commencent à l'entourer et à poser leurs longues mains sur lui... On devine leurs gros glands qui gonflent... Mais je connais mon patron, il ne voudra jamais.
- Si vous voulez, Amar, il y a dans le personnel des hommes qui...
- Vous, lapin.
Le patron cherche une échappatoire, il nous regarde, il est perdu... En même temps, comme dit l'autre pédé, il y a ce contrat, là... tellement juteux... Que faire ?...
Il est coincé. Petit lapin est acculé dans son terrier, entouré de 8 loups affamés, aux pelages noirs, aux yeux sombres, aux crocs brillants, aux sexes lourds et aux glands mouillés, qui l'attendent à la sortie... J'ai déjà mal pour son pauvre petit cul !
Et là le grand client glisse carrément sa grande main sous la braguette de mon patron, il lui chope son petit paquet en plaquant sa main vers le haut. Il le soulève presque. Je croise le regard écarquillé du patron. J'y lis un peu de douleur, beaucoup d'humiliation... et une sorte de terreur.
Et là, c'est pas bien, je sais, mais je ne peux pas m'empêcher de penser : "bien fait pour ta gueule".
Mon patron est petit et menu. Il est jeune pour un patron, 35 ans. Petit format mais extrêmement sexy, costume impeccable, sourire ravageur, petit cul de lapin.
Mais il est aussi très nerveux, vif et autoritaire. Il rit fort, il aime les grandes femmes à hauts talons et les secrétaires en mini-jupes. Il est macho, supérieur, drôle... un peu méprisant. Il compense sa petitesse et sa légèreté par un excès de machisme et un affichage de virilité. Il a un 4x4 Mercedes et il aime les grosses voitures. Ça en dit long sur ce s'il a dans le slip. Mais nous y reviendrons.
Petit par la taille, mais attention c'est un grand financier. Il gère des contrats internationaux très juteux. Nous avons de gros clients étrangers. Il leur offre des séjours à Paris et à Nice dans les plus grands hôtels. Du "all-inclusive"... entendre : avec call-girls.
Devant elles, comble de vulgarité, mon petit patron rigole en écartant les jambes :
- Vous pouvez y aller, c'est que de la bonne ! Je les ai toutes essayées avant pour vous, ha ha !
Sa femme est blonde platine, jolie mais effacée. Il en est très fier.
Quand il fait vister ses bureaux à ses 2 fils, il dit :
- Regardez, tout ça c'est à papa !
Il pose la main sur la cuisse des secrétaires :
- Même ça, ha ha !
Moi ça me choque. Mais ses fils, ça les fait sourire. Attristant.
Moi je travaille en open space avec plusieurs collègues, en lien avec le pôle administratif... les secrétaires, quoi ! De là où je suis je vois dans le bureau de mon petit patron quand il laisse sa porte entrebaillée. Je vois ses jambes de petit lapin sous son bureau, en position écartées de manspreading. Il est très nerveux, il secoue les jambes, il les ouvre et il les ferme, il tape du pied : Panpan !
Bref il est petit mais il occupe l'espace.
Il passe son temps à draguer les secrétaires. Il leur demande de porter des tenues "féminines" c'est à dire talons hauts, mini-jupe et decolleté. Il est collant avec les plus jolies.
Moi il m'ignore à peu près. Il sait que je suis gay donc pour lui je suis insignifiant. J'ai eu droit au début à quelques blagues homophobes, mais comme je travaille correctement il s'est calmé.
Il a un petit zizi. Ça se voit les jours où son pantalon le serre : une petite verge toute mignonne, toujours plaquée sur le côté droit. Il a le torse velu à l'ouverture de sa chemise, et j'ai vu ses mollets fins, jolis et poilus... Mais surtout il a un magnifique petit cul de lapin !!!
... Le genre de petit cul bien rond avec la fesse en creux, bien moulé dans son costume... À chaque fois ça me donne envie de lui arracher tous ses vêtements et de le culbuter dans la garenne ! Han... han... han...
Un jour aux urinoirs d'étage, il est venu à côté de moi, ce con. Moi, je regardais droit devant pour lui montrer que je ne profitais pas de la situation, mais lui non, il m'a maté ostensiblement la teub, ca m'a surpris mais je l'ai laissé regarder, et il a dit :
- quel dommage quand même...
-... ?
- avec une bonne queue comme ça, vous en auriez fait grimper plus d'une aux rideaux !
J'étais tellement interloqué que je n'ai rien su répondre. Et comme il continuait de me regarder la bite, je l'ai maté à mon tour par dessus son épaule, mais je n'ai rien vu, rien ne dépassait de sa petite main à part un petit jet d'urine bien droit.
Il a remarqué mon regard, mais il n'a rien dit... jusqu'au lendemain : il parait qu'il a dit à mes collègues que je l'avais maté aux urinoirs, et que je ferais mieux de bosser, au lieu de me branler en pensant à la bite de mon patron.
Depuis ce jour, je ressens pour ce petit homme un profond mépris. Pour moi c'est juste un petit con, un petit macho... Je me disais "qu'il aille se faire enculer profond !"... et c'est précisément ce qui arriva.
Voilà en effet qu'un très gros client venu du Moyen-Orient débarque direct de l'aéroport avec son staff de 7 personnes.
Les 8 hommes sont en costumes clairs, couleur sable. Ils portent tous le cheich. Ils sont tous très bruns, très grands, très beaux et très virils : 8 grands basanés, 8 regards ténébreux... 8 entrejambes volumineux ! 8 superbes loups du désert, genre poil dru, regard acéré, canines qui dépassent des babines et gland qui dépasse de l'étui.
Mon patron les accueille, il a l'air tout petit à côté d'eux
Après une matinée de réunion, il leur propose soit de passer l'après-midi à visiter la ville soit de se rendre directement au Grand Hôtel pour rencontrer les call-girls qu'il leur a réservées.
- Ça tombe bien, répond le client, mes amis et moi avons accumulé des tensions, et nous avons tous besoin de... décharger, vous comprenez ?
Et en disant cela il donne un petit coup de bassin.
Un sourire passe entre les hommes (connivence masculine à 2 balles)... Les bouches s'entrouvrent. C'est vrai qu'ils ont l'air fatigués, leurs regards sont lourds, et on devine que leurs couilles aussi. L'air de la salle de réunion sent la testostérone.
Mon patron semble les comprendre. Il les regarde avec une complaisance mâle.
Mais le client l'interroge :
- Dites-moi, lapin (ça ne vous dérange pas si je vous appelle lapin ?)... ces call-girls... ce sont des... professionnelles ?
- Oh oui, bien sûr... vous verrez... le top du top ! Ha ha ! Elles sont très chaudes et très humides... je les ai toutes essay...
- Oui, nous savons cela. Mais vous n'auriez pas quelque chose de mieux ?
- De mieux... ?
- Pas des professionnelles... des personnes... vierges... des trous qui n'ont jamais servi... des personnes plus impliquées... de votre société... des personnes d'ici, par exemple !
-... ?
(blanc)
- Ah... oh... euh... oui bien sûr, je vais demander aux secrétaires, je suis sûr qu'il y en a qui accepteront avec plaisir... vous ne serez pas déçus je les ai toutes essayées, ha ha...
Mais le client ne rit pas.
- Vous n'avez pas compris, lapin... nous ne voulons pas les employées...
(blanc)
- Mais... euh... vous voulez qui... précisément ?
- Nous voulons le cul du lapin...
- ... du lapin ?... quel lapin ?...
Le grand client le regarde avec ses yeux ténébreux. Il pose sur son épaule sa longue main brune. Mon patron semble se tasser. Le client a de grands cils noirs, ses paupières sombres sont mi-closes.
- Vous ne sentez pas cette odeur de lapin... lapin ?
Et il ouvre un grand sourire carnassier.
Les 7 autres l'imitent, ils sourient de toutes leurs dents blanches magnifiques.
Mais le visage de mon patron se décompose. Tout le monde se tourne vers lui... Je me dis que ces hommes ont bon goût. Ils commencent à l'entourer et à poser leurs longues mains sur lui... On devine leurs gros glands qui gonflent... Mais je connais mon patron, il ne voudra jamais.
- Si vous voulez, Amar, il y a dans le personnel des hommes qui...
- Vous, lapin.
Le patron cherche une échappatoire, il nous regarde, il est perdu... En même temps, comme dit l'autre pédé, il y a ce contrat, là... tellement juteux... Que faire ?...
Il est coincé. Petit lapin est acculé dans son terrier, entouré de 8 loups affamés, aux pelages noirs, aux yeux sombres, aux crocs brillants, aux sexes lourds et aux glands mouillés, qui l'attendent à la sortie... J'ai déjà mal pour son pauvre petit cul !
Et là le grand client glisse carrément sa grande main sous la braguette de mon patron, il lui chope son petit paquet en plaquant sa main vers le haut. Il le soulève presque. Je croise le regard écarquillé du patron. J'y lis un peu de douleur, beaucoup d'humiliation... et une sorte de terreur.
Et là, c'est pas bien, je sais, mais je ne peux pas m'empêcher de penser : "bien fait pour ta gueule".
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien écrit, hâte de lire la suite
Histoire en 4 épisodes
La suite dans les jours qui viennent...
La suite dans les jours qui viennent...
Oui je l'ai publiée sur un autre site auparavant. Mais elles ont été supprimées.
:(
:(
Merci Lelivredejeremie !
Tu as bien vu !
Tu as bien vu !
J'ai trouvé ça amusant ...
Deja lu sur un autre site. Dommage.
Faudrait modifier la fin, ça créerait la surprise
Faudrait modifier la fin, ça créerait la surprise
Mwahahaha ! C'est délicieusement cruel, comme toute bonne vengeance, amenée avec douceur et un brin de séduction, pour coincer la victime sans lui laisser d'échappatoire ¬‿¬ J'ai craint un moment que les partenaires commerciaux exigent l'accès à l'intimité de ton héros-pas-trop-héroïque jusque là, le narrateur, mais comment auraient-ils su ? ¯\_(ツ)_/¯
J'ai tout de même un peu honte de déjà beaucoup m'amuser...
J'ai tout de même un peu honte de déjà beaucoup m'amuser...