Le curé du village Ep 02 : Après la messe
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le curé du village Ep 02 : Après la messe
Le curé du villageEp 02 : Après la messe
José travaillait sur un chantier de l'autre côté de la petite place, Mathieu, le nouveau curé du village, pouvait le voir depuis la fenêtre de son bureau. José travaillait dans le bâtiment, c'est ce qui expliquait sa carrure, il était bien carrée ainsi que son teint mat. Ce jour là il faisait chaud et il travaillait torse nue.
Régulièrement Mathieu, le nouveau curé du village, jetait un œil dans sa direction. ''Avait-il un sous vêtement ?''. Se demandait le nouveau curé. Il était beau José, un peu vicieux, il s'exposait, il s'exhibait, à la vue de tous. Ça c'était encore assez normal somme toutes. Un ouvrier du bâtiment qui travaillait torse nue un jour ou il faisait chaud … Mais c'est face au curé qu'il se montrait en fait, et il jetait régulièrement un œil pour s'assurer qu'il était toujours observé.
Mathieu avait forcément un peu de mal à se concentrer, il devait recevoir plusieurs personnes importantes du village, ils y avait une cérémonie et des festivités à préparer. Puis il y aurait une messe et les visites des fidèles, les confessions et …
De nouveau quand il pensait à confessions il pensait à José, c'est vrai que l'autre jour, il ne l'avait pas confessé, ils avaient juste partagé le péché de chaire et ça s'était arrêté là. C'était le jour de son arrivée, ça commençait bien. Mais il faut dire que c'était José qui avait commencé. Et là Mathieu se surprenait à se trouver la plus pathétique des excuses … '' C'est pas moi, c'est lui qui a commencé !''.
Mathieu sentait une érection qui le prenait, enfin qui essayait, sa queue se révoltait. Depuis maintenant quelques temps elle était prisonnière dans une cage de chasteté. En temps normal elle le supportait bien, mais là, c'était la vue du corps de José, c'était le souvenir de ce qu'ils avaient fait le jour de son arrivée. En tout cas c'était efficace, il bandait dans sa cage de chasteté, il sentait sa queue ratatiné dans une cage maintenant trop petite. Il se sentait à l'étroit et rapidement ne pensait plus qu'à cela.
Il mettait rapidement fin à son entretient et préférait se rendre à la chapelle pour prier. Chacun son truc pour se détendre !
Noyé dans ses prières, les yeux fermés, c'était le corps de José, les bras de José, les lèvres de José, les yeux de José et pour finir la bite de José qu'il voyait devant ses yeux. Ils se connaissaient depuis leur enfance tous les deux, ils se connaissaient au sens biblique du terme depuis bien des années. Ils étaient à l'école ensemble.
Et plus il priait, plus il se sentait à l'étroit dans sa cage à bite. Elles étaient loin les prières, ils étaient loin les vœux décidés qui ne laissaient aucun doute à son choix de chasteté. Là à cet instant il se serait probablement damné pour pouvoir se branler et se donner un peu de plaisir. Heureusement pour lui les bureaux d'inscription du démon étaient fermés ce jour là.
'' Je n'aurais jamais du revenir ! '' se disait Mathieu dans sa tête. Loin du village il avait réussi à oublier le péché, mais dès son retour, à l'instant même de son retour il lui était retombé dans les bras. Mais '' bordel de dieu '' qu'est ce qu'il était bon ce péché, il était beau, bronzé et musclé.
De nouveau Mathieu sentait sa queue protester comme jamais, et de nouveau il avait devant les yeux le corps de José.
C'est toute la semaine qui a passé comme ça. Arrivé au week-end Mathieu n'en pouvait plus et en plus, lui il n'avait pas de week-end, le dimanche c'est le jour ou il travaille le plus … Lors de la dernière messe, il remarquait la présence de José. Il s'était fait tout beau, bien rasé, chemise blanche avec cravate, souliers et pantalon noir, une chemise aussi bien sûr. Et en plus il avait l'air convaincu le José. Il chantait les quantiques et vu de loin il avait l'air totalement habité …
Bon c'est clair, il en rajoutait. Personne n'y croyait, les grenouilles de bénitier comme Mlle Dominique le regardait de travers. Il faut dire que c'était la première fois qu'on le voyait à la messe depuis plus de quinze ans celui-là.
Pour le Père Mathieu cette dernière messe de la matinée était un enfer, il avait un mal fou à détourner les yeux de son ami José. Il bafouillait par moment, il avait vraiment des difficultés à se concentrer mais parvenait tout de même à terminer son office.
C'est Mlle Dominique qui faisait la quête, elle avait repéré depuis le début le nouveau fidèle et ne manquait pas de lui tendre le panier en osier pour qu'il y mette son obole. Il allait y mettre une pièce de monnaie, elle le fusillait du regard. Voyant cela il jugeais plus prudent de remplacer sa pièce de monnaie par un billet de banque, un petit billet, il ne faut pas exagérer non plus.
Mlle Dominique lui adressait alors un grand sourire forcé. '' Merci mon frère, dieu vous le rendra ! ''. Cette réponse résonnait comme une menace dans les oreilles de José. Vous savez les grenouilles de bénitier ont quelquefois des dents et peuvent mordre.
Le seul avantage avec Mlle Dominique, c'est que quand Mathieu se retrouvait face à elle, il ne bandait plus du tout. Sa queue se calmaiy presque instantanément, elle avait toujours eu cet effet reposant sur les hommes. Elle, une vraie jeune fille …
Ensuite Mathieu assurait le service après-vente. Il fallait qu'il parle aux fidèle, qu'il prenne des nouvelles, les personnes les plus âgées le connaissaient, il était un enfant du village. Une bénédiction par ci, un mot gentil par là, il se retrouvait invité pour le jour même à la fête que le village organisait. C'était prévu depuis un moment et beaucoup espéraient qu'un curé serait arrivé avant cette fête. C'était le cas, donc il fallait qu'il y soit.
Discrètement José s'approchait de Mathieu. Il s'approchait en essayant de ne pas se faire remarquer mais je vous garantis que les deux cerbères Mlle Dominique et Mlle Marie Thérèse l'avait vu venir de loin. Elle se demandaient ce que ce voyou débauché de José voulait à leur nouveau curé. Elles se sentaient investi du devoir de le protéger. Elles étaient prêtes à mordre
José parvenait malgré tout à glisser un mot à son pote Mathieu avant de disparaître. Les fidèles finissaient par repartir, chacun de leur côté. Mathieu retournait dans ses appartements pour tout ranger. José l'y attendait.
– Comment tu es rentré là toi ?
– On est seuls ?
– Oui mais tu ne réponds pas à ma question.
José attrapait Mathieu par les couilles au travers de son pantalon, l’agrippait fermement sans pour autant essayer de lui faire mal, le tirait vers lui. Mathieu suivait.
– J'ai pas bien vu le truc que tu m'as montré l'autre jour.
Mathieu passait ses bras autour du cou de José et l'embrassait.
– Toi tu es un démon.
– J'ai pas changé !
– Oui mais, tu sais, maintenant tout à changé.
– Si tu le décides, si tu le décides uniquement.
Ils s'embrassaient avec passion.
– Tu aimais bien te prendre ma queue dans le cul, quand on était jeune ? Rappelait José à Mathieu.
Mathieu ne répondait pas, et José continuait à lui tripoter les couilles. Ils bandait ferme maintenant.
– Suce moi la queue !
Mathieu ne répondait pas, s'accroupissait, ouvrait la braguette de José, il n'avait toujours pas de sous vêtements le petit vicieux, puis Mathieu s'exécutait.
La queue de José était déjà grosse, mais toujours un peu molle. Elle ne le restait pas, rapidement elle prenait de la force, grossissait encore un peu mais surtout se relevait et devenait dure, très dure.
Mathieu n'avait pas perdu la main, il caressait cette queue, léchait son gland, le prenait dans la bouche puis passait et repassait sa langue tout autour. Il prenait la queue dans sa bouche. Doucement au début, juste le gland pour commencer puis plus profond. Là le gland clissait sur sa langue.
José lui caressait les cheveux, au début il était bien coiffé le curé mais ça n'a pas duré. José lui appuyait doucement sur le dos de la tête pour l'encourager et peu à peu sa queue entrait plus profond dans la bouche puis dans la gorge de Mathieu.
Mathieu reculait sa tête puis l'avançait, la queue de José entrait et sortait de sa bouche. Il agitait la langue, il savait y faire. Ces deux là se connaissaient de longue date. Ils s'étaient perdus du vue mais ils se connaissaient de longue date. Ils se retrouvaient.
Rapidement c'est au fond de la gorge de Mathieu que la queue s'écrasait la queue de José, le visage de Mathieu lui, s'écrasait sur le ventre de José. Doucement au début puis avec plus de force, José donnait des coup de bassin, doucement, toujours doucement au début, puis avec plus de violence ensuite.
José retenait avec fermeté la tête de Mathieu et lui limait la bouche avec conviction.
– Déshabille toi ! Ordonnait José sur un ton motivé.
Il se déshabillait également, quelques instants plus tard les deux hommes se retrouvaient nus, enlacés l'un contre l'autre. Ils s'embrassaient, ils se caressaient. José insistait particulièrement sur les couilles de son partenaire qui portait un dispositif de chasteté. Il trouvait ça amusant, c'était la première fois qu'il se retrouvait avec un homme qui portait ce genre de dispositif.
Les couilles de Mathieu formaient deux boules toute ronde, il était épilé au niveau du sexe, totalement épilé et sa peau était douce. Sa queue confinée dans une sorte de tube très aéré faisait pitié, c'était une sorte de cage avec des barreaux large et plats qu'elle remplissait totalement. Cette cage semblait trop étroite et ne laissait pas beaucoup de place pour ce qui devait avoir été une grosse queue, la peau poussait et faisait penser à un saucisson, elle formait comme des bosses. C'était amusant à voir, sauf peut être pour celui qui portait un tel dispositif.
José trouvait cela très excitant et bandait encore plus. Il prenait le curé dans ses bras et le jetait sur le lit, sur le dos, il se glissait entre ses cuisses, les relevait et posait les chevilles de Mathieu sur ses épaules. Pendant encore un moment il continuait à lui tripoter les couilles. Il avait un large sourire amusé.
– Ta queue fait la même taille que la mienne, je ne rentrerais jamais la dedans moi.
– C'est une question d'entraînement !
– Ça fait mal ?
Mathieu faisait non de la tête.
José lui lubrifiait le cul, se lubrifiait la queue et sans prévenir la lui enfonçait dans le cul d'un mouvement rapide et décidé. Il lui enfonçait sa queue jusqu'à la garde.
– Tu aimais bien ça aussi. Faisait remarqué José.
Mathieu serrait les dent, il devenait tout rouge, là il devait déguster le pauvre. José ne montrait aucune pitié, il se retirait rapidement et revenait avec force et toujours autant de violence. Puis sans plus attendre lui limait le cul avec des mouvements rapides, forts, violents même.
Il faisait claquer son ventre contre les fesses de son partenaire qui gémissait, il avait réussi à se retenir jusque là mais à ce moment il n'en pouvait plus. Il voulait retenir les coups en glissant ses mains contre le bassin de José mais n'y arrivait pas.
Il avait le réflexe de tenter de se dégager mais José le retenait avec force et l'écrasait en se penchant sur lui. Mathieu ne pouvait plus bouger, il n'était pas en position dominante et se retrouvait bloqué sous le poids de José.
Et José se lâchait, il continuait à lui buriner le cul, relevait bien son bassin avant de lui en donner un coup bien rapide, bien violent. Il n'était pas aussi violent dans le passé, mais bien des années avaient passées, et c'était peut Mathieu qui était devenu plus sensible, plus douillet.
Mathieu gémissait de plus en plus fort, José le faisait taire en lui mettant la main sur la bouche, il le maintenait avec force et continuait à lui défoncer le cul. Il avait l'air furieux le José.
Mathieu avait le visage tout rouge, il avait surtout les yeux rouges, un peu comme s'il n'avait pas dormi depuis plusieurs jours, et des larmes en coulaient. Les larmes qu'il versait ne devaient pas être uniquement des larmes de plaisir ou de joie.
José râlait de plaisir, il sentait le plaisir monter, il se calmait, il voulait faire durer. Mathieu n'en pouvait plus, lui il aurait aimé qu'on en finisse, mais c'est pas lui qui décidait.
Mathieu finissait par juter, un flot de sperme coulait de sa cage de chasteté par les ouvertures. C'est sans doute ça qui a provoqué la réaction de José, un violent coup de rein pour commencer puis il a éjaculé, il a joui dans un cris de plaisir. Suivaient quelques coups de rein, quelques violents coups de reins puis il s'écroulait sur Mathieu.
Mathieu continuait à gémir pendant un moment, José se calmais, la fièvre retombait, il débandait et se retirait. Mathieu tremblait sous l'effet de l'émotion.
– Tu m'as fait mal, vraiment mal.
– Tu n'avais qu'à ne pas partir, tu sais tu m'as manqué.
– Il fallait que je parte.
– Et puis tu aimais bien ça dans le temps. Même quand j'étais un peu violent.
– Personne ne m'a touché depuis mon départ, le dernier homme que j'ais connu, c'est toi !
José ne savais pas quoi répondre.
– Tu as perdu l'habitude ?
– Personne ne m'a touché, et tu étais moins violent. Tu y es allé un peu trop fort, surtout au début.
– Moi aussi j'aimais bien sentir ta queue dans mon cul, et là …
José saisissait les couilles de Mathieu et les lui écrasait dans sa main.
– Arrête tu me fais mal !
Mathieu se dégageait, José le lâchait.
Il faut vraiment que je me prépare, on m'attend. Déclarait Mathieu.
Matthieu se relevait, il était chancelant, et se dirigeait vers la salle de bain. Il a pris une longue douche.
– On recommencera ?
– Si tu me promets d'être un peu plus tendre.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
José travaillait sur un chantier de l'autre côté de la petite place, Mathieu, le nouveau curé du village, pouvait le voir depuis la fenêtre de son bureau. José travaillait dans le bâtiment, c'est ce qui expliquait sa carrure, il était bien carrée ainsi que son teint mat. Ce jour là il faisait chaud et il travaillait torse nue.
Régulièrement Mathieu, le nouveau curé du village, jetait un œil dans sa direction. ''Avait-il un sous vêtement ?''. Se demandait le nouveau curé. Il était beau José, un peu vicieux, il s'exposait, il s'exhibait, à la vue de tous. Ça c'était encore assez normal somme toutes. Un ouvrier du bâtiment qui travaillait torse nue un jour ou il faisait chaud … Mais c'est face au curé qu'il se montrait en fait, et il jetait régulièrement un œil pour s'assurer qu'il était toujours observé.
Mathieu avait forcément un peu de mal à se concentrer, il devait recevoir plusieurs personnes importantes du village, ils y avait une cérémonie et des festivités à préparer. Puis il y aurait une messe et les visites des fidèles, les confessions et …
De nouveau quand il pensait à confessions il pensait à José, c'est vrai que l'autre jour, il ne l'avait pas confessé, ils avaient juste partagé le péché de chaire et ça s'était arrêté là. C'était le jour de son arrivée, ça commençait bien. Mais il faut dire que c'était José qui avait commencé. Et là Mathieu se surprenait à se trouver la plus pathétique des excuses … '' C'est pas moi, c'est lui qui a commencé !''.
Mathieu sentait une érection qui le prenait, enfin qui essayait, sa queue se révoltait. Depuis maintenant quelques temps elle était prisonnière dans une cage de chasteté. En temps normal elle le supportait bien, mais là, c'était la vue du corps de José, c'était le souvenir de ce qu'ils avaient fait le jour de son arrivée. En tout cas c'était efficace, il bandait dans sa cage de chasteté, il sentait sa queue ratatiné dans une cage maintenant trop petite. Il se sentait à l'étroit et rapidement ne pensait plus qu'à cela.
Il mettait rapidement fin à son entretient et préférait se rendre à la chapelle pour prier. Chacun son truc pour se détendre !
Noyé dans ses prières, les yeux fermés, c'était le corps de José, les bras de José, les lèvres de José, les yeux de José et pour finir la bite de José qu'il voyait devant ses yeux. Ils se connaissaient depuis leur enfance tous les deux, ils se connaissaient au sens biblique du terme depuis bien des années. Ils étaient à l'école ensemble.
Et plus il priait, plus il se sentait à l'étroit dans sa cage à bite. Elles étaient loin les prières, ils étaient loin les vœux décidés qui ne laissaient aucun doute à son choix de chasteté. Là à cet instant il se serait probablement damné pour pouvoir se branler et se donner un peu de plaisir. Heureusement pour lui les bureaux d'inscription du démon étaient fermés ce jour là.
'' Je n'aurais jamais du revenir ! '' se disait Mathieu dans sa tête. Loin du village il avait réussi à oublier le péché, mais dès son retour, à l'instant même de son retour il lui était retombé dans les bras. Mais '' bordel de dieu '' qu'est ce qu'il était bon ce péché, il était beau, bronzé et musclé.
De nouveau Mathieu sentait sa queue protester comme jamais, et de nouveau il avait devant les yeux le corps de José.
C'est toute la semaine qui a passé comme ça. Arrivé au week-end Mathieu n'en pouvait plus et en plus, lui il n'avait pas de week-end, le dimanche c'est le jour ou il travaille le plus … Lors de la dernière messe, il remarquait la présence de José. Il s'était fait tout beau, bien rasé, chemise blanche avec cravate, souliers et pantalon noir, une chemise aussi bien sûr. Et en plus il avait l'air convaincu le José. Il chantait les quantiques et vu de loin il avait l'air totalement habité …
Bon c'est clair, il en rajoutait. Personne n'y croyait, les grenouilles de bénitier comme Mlle Dominique le regardait de travers. Il faut dire que c'était la première fois qu'on le voyait à la messe depuis plus de quinze ans celui-là.
Pour le Père Mathieu cette dernière messe de la matinée était un enfer, il avait un mal fou à détourner les yeux de son ami José. Il bafouillait par moment, il avait vraiment des difficultés à se concentrer mais parvenait tout de même à terminer son office.
C'est Mlle Dominique qui faisait la quête, elle avait repéré depuis le début le nouveau fidèle et ne manquait pas de lui tendre le panier en osier pour qu'il y mette son obole. Il allait y mettre une pièce de monnaie, elle le fusillait du regard. Voyant cela il jugeais plus prudent de remplacer sa pièce de monnaie par un billet de banque, un petit billet, il ne faut pas exagérer non plus.
Mlle Dominique lui adressait alors un grand sourire forcé. '' Merci mon frère, dieu vous le rendra ! ''. Cette réponse résonnait comme une menace dans les oreilles de José. Vous savez les grenouilles de bénitier ont quelquefois des dents et peuvent mordre.
Le seul avantage avec Mlle Dominique, c'est que quand Mathieu se retrouvait face à elle, il ne bandait plus du tout. Sa queue se calmaiy presque instantanément, elle avait toujours eu cet effet reposant sur les hommes. Elle, une vraie jeune fille …
Ensuite Mathieu assurait le service après-vente. Il fallait qu'il parle aux fidèle, qu'il prenne des nouvelles, les personnes les plus âgées le connaissaient, il était un enfant du village. Une bénédiction par ci, un mot gentil par là, il se retrouvait invité pour le jour même à la fête que le village organisait. C'était prévu depuis un moment et beaucoup espéraient qu'un curé serait arrivé avant cette fête. C'était le cas, donc il fallait qu'il y soit.
Discrètement José s'approchait de Mathieu. Il s'approchait en essayant de ne pas se faire remarquer mais je vous garantis que les deux cerbères Mlle Dominique et Mlle Marie Thérèse l'avait vu venir de loin. Elle se demandaient ce que ce voyou débauché de José voulait à leur nouveau curé. Elles se sentaient investi du devoir de le protéger. Elles étaient prêtes à mordre
José parvenait malgré tout à glisser un mot à son pote Mathieu avant de disparaître. Les fidèles finissaient par repartir, chacun de leur côté. Mathieu retournait dans ses appartements pour tout ranger. José l'y attendait.
– Comment tu es rentré là toi ?
– On est seuls ?
– Oui mais tu ne réponds pas à ma question.
José attrapait Mathieu par les couilles au travers de son pantalon, l’agrippait fermement sans pour autant essayer de lui faire mal, le tirait vers lui. Mathieu suivait.
– J'ai pas bien vu le truc que tu m'as montré l'autre jour.
Mathieu passait ses bras autour du cou de José et l'embrassait.
– Toi tu es un démon.
– J'ai pas changé !
– Oui mais, tu sais, maintenant tout à changé.
– Si tu le décides, si tu le décides uniquement.
Ils s'embrassaient avec passion.
– Tu aimais bien te prendre ma queue dans le cul, quand on était jeune ? Rappelait José à Mathieu.
Mathieu ne répondait pas, et José continuait à lui tripoter les couilles. Ils bandait ferme maintenant.
– Suce moi la queue !
Mathieu ne répondait pas, s'accroupissait, ouvrait la braguette de José, il n'avait toujours pas de sous vêtements le petit vicieux, puis Mathieu s'exécutait.
La queue de José était déjà grosse, mais toujours un peu molle. Elle ne le restait pas, rapidement elle prenait de la force, grossissait encore un peu mais surtout se relevait et devenait dure, très dure.
Mathieu n'avait pas perdu la main, il caressait cette queue, léchait son gland, le prenait dans la bouche puis passait et repassait sa langue tout autour. Il prenait la queue dans sa bouche. Doucement au début, juste le gland pour commencer puis plus profond. Là le gland clissait sur sa langue.
José lui caressait les cheveux, au début il était bien coiffé le curé mais ça n'a pas duré. José lui appuyait doucement sur le dos de la tête pour l'encourager et peu à peu sa queue entrait plus profond dans la bouche puis dans la gorge de Mathieu.
Mathieu reculait sa tête puis l'avançait, la queue de José entrait et sortait de sa bouche. Il agitait la langue, il savait y faire. Ces deux là se connaissaient de longue date. Ils s'étaient perdus du vue mais ils se connaissaient de longue date. Ils se retrouvaient.
Rapidement c'est au fond de la gorge de Mathieu que la queue s'écrasait la queue de José, le visage de Mathieu lui, s'écrasait sur le ventre de José. Doucement au début puis avec plus de force, José donnait des coup de bassin, doucement, toujours doucement au début, puis avec plus de violence ensuite.
José retenait avec fermeté la tête de Mathieu et lui limait la bouche avec conviction.
– Déshabille toi ! Ordonnait José sur un ton motivé.
Il se déshabillait également, quelques instants plus tard les deux hommes se retrouvaient nus, enlacés l'un contre l'autre. Ils s'embrassaient, ils se caressaient. José insistait particulièrement sur les couilles de son partenaire qui portait un dispositif de chasteté. Il trouvait ça amusant, c'était la première fois qu'il se retrouvait avec un homme qui portait ce genre de dispositif.
Les couilles de Mathieu formaient deux boules toute ronde, il était épilé au niveau du sexe, totalement épilé et sa peau était douce. Sa queue confinée dans une sorte de tube très aéré faisait pitié, c'était une sorte de cage avec des barreaux large et plats qu'elle remplissait totalement. Cette cage semblait trop étroite et ne laissait pas beaucoup de place pour ce qui devait avoir été une grosse queue, la peau poussait et faisait penser à un saucisson, elle formait comme des bosses. C'était amusant à voir, sauf peut être pour celui qui portait un tel dispositif.
José trouvait cela très excitant et bandait encore plus. Il prenait le curé dans ses bras et le jetait sur le lit, sur le dos, il se glissait entre ses cuisses, les relevait et posait les chevilles de Mathieu sur ses épaules. Pendant encore un moment il continuait à lui tripoter les couilles. Il avait un large sourire amusé.
– Ta queue fait la même taille que la mienne, je ne rentrerais jamais la dedans moi.
– C'est une question d'entraînement !
– Ça fait mal ?
Mathieu faisait non de la tête.
José lui lubrifiait le cul, se lubrifiait la queue et sans prévenir la lui enfonçait dans le cul d'un mouvement rapide et décidé. Il lui enfonçait sa queue jusqu'à la garde.
– Tu aimais bien ça aussi. Faisait remarqué José.
Mathieu serrait les dent, il devenait tout rouge, là il devait déguster le pauvre. José ne montrait aucune pitié, il se retirait rapidement et revenait avec force et toujours autant de violence. Puis sans plus attendre lui limait le cul avec des mouvements rapides, forts, violents même.
Il faisait claquer son ventre contre les fesses de son partenaire qui gémissait, il avait réussi à se retenir jusque là mais à ce moment il n'en pouvait plus. Il voulait retenir les coups en glissant ses mains contre le bassin de José mais n'y arrivait pas.
Il avait le réflexe de tenter de se dégager mais José le retenait avec force et l'écrasait en se penchant sur lui. Mathieu ne pouvait plus bouger, il n'était pas en position dominante et se retrouvait bloqué sous le poids de José.
Et José se lâchait, il continuait à lui buriner le cul, relevait bien son bassin avant de lui en donner un coup bien rapide, bien violent. Il n'était pas aussi violent dans le passé, mais bien des années avaient passées, et c'était peut Mathieu qui était devenu plus sensible, plus douillet.
Mathieu gémissait de plus en plus fort, José le faisait taire en lui mettant la main sur la bouche, il le maintenait avec force et continuait à lui défoncer le cul. Il avait l'air furieux le José.
Mathieu avait le visage tout rouge, il avait surtout les yeux rouges, un peu comme s'il n'avait pas dormi depuis plusieurs jours, et des larmes en coulaient. Les larmes qu'il versait ne devaient pas être uniquement des larmes de plaisir ou de joie.
José râlait de plaisir, il sentait le plaisir monter, il se calmait, il voulait faire durer. Mathieu n'en pouvait plus, lui il aurait aimé qu'on en finisse, mais c'est pas lui qui décidait.
Mathieu finissait par juter, un flot de sperme coulait de sa cage de chasteté par les ouvertures. C'est sans doute ça qui a provoqué la réaction de José, un violent coup de rein pour commencer puis il a éjaculé, il a joui dans un cris de plaisir. Suivaient quelques coups de rein, quelques violents coups de reins puis il s'écroulait sur Mathieu.
Mathieu continuait à gémir pendant un moment, José se calmais, la fièvre retombait, il débandait et se retirait. Mathieu tremblait sous l'effet de l'émotion.
– Tu m'as fait mal, vraiment mal.
– Tu n'avais qu'à ne pas partir, tu sais tu m'as manqué.
– Il fallait que je parte.
– Et puis tu aimais bien ça dans le temps. Même quand j'étais un peu violent.
– Personne ne m'a touché depuis mon départ, le dernier homme que j'ais connu, c'est toi !
José ne savais pas quoi répondre.
– Tu as perdu l'habitude ?
– Personne ne m'a touché, et tu étais moins violent. Tu y es allé un peu trop fort, surtout au début.
– Moi aussi j'aimais bien sentir ta queue dans mon cul, et là …
José saisissait les couilles de Mathieu et les lui écrasait dans sa main.
– Arrête tu me fais mal !
Mathieu se dégageait, José le lâchait.
Il faut vraiment que je me prépare, on m'attend. Déclarait Mathieu.
Matthieu se relevait, il était chancelant, et se dirigeait vers la salle de bain. Il a pris une longue douche.
– On recommencera ?
– Si tu me promets d'être un peu plus tendre.
A suivre
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