Le curé du village Ep 05 : Le séminaire
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le curé du village Ep 05 : Le séminaire
Le curé du villageEp 05 : Le séminaire
Le père Mathieu s'était remis de la soirée avec José et Pascal mais il avait toujours le feu au cul. Il avait l'habitude de se contrôler, il avait été formé pour ça.
Pendant toute sa formation il avait eu le feu au cul. Pendant les quelques années que cela avait duré il ne s'était donné aucun plaisir. La frustration qui montait sans jamais disparaître devait donner la force de continuer, et développer l'esprit de déni du plaisir physique et de la jouissance.
Pour certains c'était une période trop difficile à supporter, mais ceux qui la surmontait en tirait une véritable satisfaction. Enfin c'est ce qu'on disait. Ceux qui ne pouvait supporter quittaient la formation, on leur remettait les clés et on leur souhaitait bonne chance dans la vie. C'était déshonorant, d'une certaine manière.
Mais il faut se dire que l'ambiance était particulière. Il y avait une rivalité entre tous les étudiants, c'est ainsi qu'on appelait les candidats, les postulant à la clergicalité ( ça se dit ça, clergicalité ? … Enfin bref ... ).
Au début, on leur donnait un dispositif en résine qui était à la bonne taille, suffisamment large et longue. Privée d'érection, même sans avoir a subir un confinement intensif, leurs bites s'habituait et quelques temps plus tard elle acceptait sans difficulté une cage plus petite. Quelques temps encore plus tard venait une autre cage encore plus petite.
Puis il y avait comme une rivalité, le but était d'enfiler la plus petite possible. A son arrivée le père Mathieu ( Mathieu quoi, le personnage de mon histoire ) avait une belle queue de vingt bons centimètres sur six. Sa cage faisait sept centimètres maintenant. À peine plus du tiers de la taille initiale de sa queue en érection, et en largeur elle faisait moins de cinq centimètre ( dimensions extérieures de la cage ).
Comme vous le savez on se réduit plus facilement en longueur qu'en largeur, vous savez aussi qu'il ne faut pas trop exagérer, et avancer par étapes. Il ne faut surtout pas couper la circulation du sang, le but n'est pas de mutiler le porteur, surtout pas. Ce serait une faute grave de la part des responsables !
On arrive tout de même à un résultat impressionnant. Un tiers de la taille d'origine est considéré comme un bon résultat, mais certains vont plus loin. Il avait un camarade qui était tout aussi bien monté que lui et qui est descendu à moins de cinq centimètres.
Ils ne portaient pas de sous vêtements pendant leur formation et prenaient des douches tous les jours. Il fallait rester propre et libre de ses mouvements. Souvent à cette époque il ne portaient qu'une soutane. En dessous rien donc, sinon les chaussettes et les chaussures. L'étoffe qui caressait le corps était la seule caresse qu'ils pourraient recevoir. Au début ça en faisait bander plus d'un, puis avec le temps, cette caresse devenait normale, elle faisait partie de le quotidien et n'était plus du tout un caresse stimulante. Le tissus était doux et le vêtement était confortable.
Dans la cage tout se calmais et on passait à une taille plus petite.
Les jours, les semaines passaient, la formation s'étalait sur plusieurs années. Il y avait aussi les séances de sport, là c'était chaud, surtout au début.
Les douches était prises dans un local ouvert, pas de cabines individuelles, chacun était nu avec pour seul costume son dispositif sur lui. Le seul costume qu'il ne pouvait pas retirer. Au début, ça bandait dur dans la cage. Au début le dispositif se relevait, il faisait son rebelle. Les cage étaient bien pleines mais quand avec le temps tout rentrait dans l'ordre.
Quand dans la cage ça se calmait, on passait à une taille plus petite.
Il y avait aussi les cours de théologie, et les autres matières. Au début on aurait pu imaginer que se retrouver la queue enfermée dans une cage qui confine bien, on aurait du mal à se concentrer mais rapidement le corps s'habituait et l'esprit finissait par se retrouver libre.
Et puis il y avait le sport. Le lycra est un tissus fantastique qui ne cache rien, on pouvait voir très distinctement le dispositif de chasteté que chacun portait. Tous en avaient un, il était impossible de le dissimuler. Ils faisaient du sport plusieurs heures par jour. Il fallait ça pour détendre le corps qui ne pouvant plus se faire plaisir et qui de fait avait de l'énergie à dépenser, beaucoup d'énergie. Et après le sport, la douche …
Les journées étaient pleines, ils n'avaient que très peu de temps libre, et pas une seconde seuls. C'était une obligation, jamais seuls. Le premier surveillait le second qui surveillait le troisième qui surveillait le quatrième qui lui surveillait le premier. Ils étaient quatre par chambre. Même à ça on s'habituait. C'est donc par groupe de quatre qu'ils se déplaçaient dans le bâtiment. Et si par nécessité un d'entre eux avait un besoin, le groupe se ceindrait en deux et pour un moment, pour un moment seulement ils se retrouvaient à deux.
Les règles étaient particulières, même les toilettes étaient communes, comme les douches. Il n'y avait pas de cloisons entre les sièges d'aisance. Pour les séances de sport il n'y avait pas d'endroit privés ou refermés pour se changer, les vestiaires ouvraient directement sur la salle de gymnastique, et seuls la présence de quelques bancs et d'étagères indiquaient que c'était un vestiaire. Ils renonçaient à porter tout objet personnel. Ils les gardaient dans une petite armoire dans leur chambre.
Tout ce qu'ils possédaient tenait dans une petite armoire à côté de leur lit. Ils ne renonçaient aux objet de consommation ou au biens matériels que pendant les quelques années de leurs formation. Si un d'entre eux faisait un héritage par exemple il pourrait en disposer librement plus tard. Pendant cette période de formation, une seule chose comptait, leur formation …
Et il y avait les corps, nus quand ils changeaient de vêtements, nus quand il passaient sous la douche, nus quand ils dormaient. Les lits avaient un sommier en métal, si jamais l'un d'entre eux avait l'idée de remuer le dispositif pour se faire jouir, de se donner un peu de plaisir, le sommier produirait un son qui dérangerait et réveillerait toute la chambrée.
Ça arrivait, au début ça arrivait, le coupable était condamné à se rendre entièrement nu à la chapelle et à terminer sa nuit en prières.
Ils se voyaient nus tous les jours, plusieurs fois par jour. Le but était d'habituer le futur religieux à la nudité, avec le temps ça deviendrait pour lui tellement naturel qu'il n'y ferait plus attention et que la nudité ne serait plus une stimulation sexuelle. Enfin, ils avaient tous une cage de chasteté, qu'en serait-il le jours ou ils se retrouveraient devant un homme nu avec une belle grosse bite en érection, ou devant une femme ?
Ils prenaient aussi soin de ne jamais se toucher l'un l'autre. La frustration était poussée à l'extrême. Ils finissaient par en tirer une force incroyable, c'est ce qu'on leur disait. Depuis maintenant plusieurs siècles c'étaient là les règles et le mode de vie du clergé. Pendant ces années les seules moment ou ils pourraient éjaculer étaient les rêves humides, là on laissait faire, et tout le monde en rigolait.
On leur racontait que c'était la règle depuis plusieurs siècles, comme je le disais. En fait ce n'était la règle que depuis quelques dizaines d'années, avant c'était un phantasme. Mais quelquefois les dogmes naissent d'un mensonge qui s'est transformé en légende.
Ils prenaient l'engagement de continuer à respecter ces règles qu'on leur avait appris quand ils quittaient le séminaire. Ils étaient tous beaux comme des dieux, musclés, élégants. Ils avaient tous une formation intellectuelle complète et un physique de sportif. Il choisissaient leur mutation, en fonction des places disponibles et de la taille de la cage obtenue. Mathieu était à presque un tiers de sa taille initiale ce qui le plaçait dans une moyenne acceptable, et comme personne ne voulait venir dans un petit village perdu, il avait sa mutation dans le village de son choix.
Par la suite il retrouvaient bien plus de liberté. Comme ils resteraient sages, qu'ils n'avaient plus le choix de faire autrement, on leur faisait confiance.
Mathieu se retrouvait à moins de trente ans, sous le nom de Père Mathieu. Il était revenu dans son village de naissance.
Mais quand le religieux est ainsi libéré, il peut se passer bien des choses. Il ne peut toujours pas bandé, il ne pourra retirer son dispositif que s'il quitte les ordres, c'est la règle, elle est sans pitié et ne connaît aucune exception.
Juste après sa sortie du séminaire, il avait décidé d'aller voir ses parents. Ils avait quitté le village quelques années plus tôt pour s'installer dans le sud du pays et le voyage était long. Mais dans le train qui le conduisait vers sa destination, il était seul dans la voiture. La ligne était peu, très peu fréquentée à cette heure ci. Il n'y avait que deux voitures, il s'était installé à l'arrière de la deuxième voiture. Il était un peu perdu dans ses pensées, pour la première fois depuis qu'il avait commencé ses études religieuses cinq ans plus tôt qu'il se retrouvait seul.
Il ne savait pas s'il devait apprécier ou pas. Il ne parvenait même pas à savoir si c'était agréable ou pas. Plus de quarante minutes avant d'arriver, le train s'arrêtait à la dernière gare avant son village. Quelques minutes plus tard, une silhouette entrait dans la voiture, c'était un homme qui était monté dans la première voiture, elle était vide, il avançait pour voir s'il était seul dans le train.
Il voyait Mathieu, le saluait de la tête en lui disant : '' Mon père … '' . Mathieu lui répondait d'un mouvement de la tête. Puis l'homme venait s'installer juste en face.
Brusquement Mathieu se sentait tout bizarre, son cœur battait plus fort, plus vite. Il le regardait avec insistance, sans pour autant s'en rendre compte. L'homme semblait fatigué, il allongeait les jambes, Mathieu remarquait la bosse bien visible entre ses cuisses. Il avait l'air musclé et la bosse était prometteuse. Mathieu savait, il en était sûr que cet inconnu ne portait pas de dispositif de chasteté. Il était la première personne qu'il rencontrait et qui devait avoir la queue libre. Cette pensée l'excitait beaucoup et si voir un corps nu avec sur cage à bite ne lui faisait plus rien, la seule idée d'avoir à côté de lui un homme qui n'en portait pas le faisait bander. Comme à son habitude depuis quelques années il ne portait pas de sous vêtements. Il portait un costume sobre qui tombait bien et ne cachait ni sa musculature ni son élégance naturelle.
Il ne pouvait pas détacher ses yeux de son entre jambe, au point qu'il ne remarquait pas que l'inconnu en faisait de même. Mais lui par contre était plus dégourdi que Mathieu et avait remarqué le regard que lui jetais le religieux.
– Vous m'avez l'air bien jeune mon père.
– Je viens juste de sortir du séminaire, dans l'après midi.
– Bien, et ça s'est bien passé ? …
Tout en continuant à discuter l'inconnu se caressait son entre jambe et tout particulièrement la bosse que Mathieu regardait avec insistance.
– Il paraît que les religieux porte un dispositif, pour, comment dire … Rester sage.
– Nous faisons vœux de chasteté, en effet.
– Ah ! Et pour tenir vous n'utilisez pas un … Truc ? Demandait naïvement l'inconnu.
Mathieu devenait tout rouge, et bafouillait quelque chose du genre '' Oui en effet, c'est un dispositif de chasteté, avec on ne peut pas … ''. L'inconnu bandait, sa queue se développait le long de sa cuisse. Il en avait une belle. Mathieu avait comme la fièvre.
– Mon père, vous me montrez et moi je vous montre aussi.
Mathieu avait le visage rouge pourpre de gêne, de honte, d’embarras. Il se décidait en hésitant longuement. Il n'avait pas de sous vêtements donc, à partir du moment ou il ouvrait son pantalon, les choses allaient très vite.
L'inconnu regardait avec des yeux pleins de curiosité. Sa queue en érection se dessinait sous son pantalon, bien plaquée contre sa cuisse. Il n'a pas prévenu l'inconnu quand il a touché Mathieu, il a juste tendu la main et il lui a tripoté les couilles. Mathieu à sursauté mais il a laissé faire. Il n'y avait personne dans le train, personne ne passerait dans les trois quarts d'heure, ils étaient tranquilles.
Mathieu bandait fort maintenant, il ne se souvenait pas avoir connu une érection aussi violente, enfin une tentative d'érection, depuis, peut être depuis le début de sa formation. Il continuait à regarder la forme de la queue de son compagnon de route. Sa queue lui faisait presque mal. Mécaniquement il caressait la queue de l'inconnu, elle était énorme et bien dure.
Ils se relevait baissait son pantalon, sa queue se relevait avec force. Mathieu rêvait devant ça, la sienne était, enfin avait été, de belle taille mais là il avait trouvé plus grand et puis de toutes façon la sienne, ne pouvait plus vraiment servir. Sous clé, elle était comme débranchée.
L'homme s'approchait de Mathieu, lui mettait la queue devant son nez. Mathieu hésitait quelques instants puis la caressait et la prenait dans sa bouche. Il passait sa langue sur toute la longueur de cette très belle bite. Il insistait surtout sur le gland. La tête lui tournait, il avait une sorte de vertige et le gland de l'inconnu lui rentrait dans la bouche en entier.
L'étranger continuait à lui tripoter les couilles et à jouer avec sa cage. Mathieu se souvenait de ses amis qui étaient restés au village. Il se souvenait des ces soirée à deux ou à trois. Il ne s'était jamais pris une bite aussi large dans le cul, et comme la dernière fois qu'il s'était pris une bite dans le cul c'était il y a déjà bien longtemps, il se demandait s'il le pourrait.
La queue du voyageur entrait maintenant sur la moitié de sa longueur. On pouvait deviner que Mathieu avait du mal, il avait le visage tout rouge mais ce n'était plus d’embarras. Il insistait Mathieu, il insistait il pensait que ça n'irait pas plus loin quand il a reçu un coup de bassin dans la gorge, et d'un coup c'est entré plus loin, plus profond.
– Allez l'abbé, on se relève et on se retourne.
Mathieu s'exécutait, il tremblait, il s'inquiétait un peu. Il avait la trouille mais il en avait aussi tellement envie. Il était mort de trouille. Mais il laissait faire.
C'était violent, l'homme posait sa queue sur le cul de Mathieu, et poussait, ça résistait, il lubrifiait et recommençait. Il ne poussait pas trop fort, ça n'aurait servi à rien mais il poussait avec une certaine force. Mathieu respirait fort, il prenait de longues inspirations jusqu'au moment il sentait son cul s'ouvrir.
Son partenaire poussait moins fort, l'anus de Mathieu se dilatait toujours, et l'énorme bite s'introduisait lentement. Mathieu hurlait, il avait soudainement peur de déchirer, dans sa tête il paniquait. L'inconnu continuait à pousser sa queue entre les fesses de Mathieu. Il la sentait glisser, et Mathieu râlait, gémissait.
Il n'est pas entré en entier. Mathieu s'est débattu, c'était trop pour lui. Alors son partenaire l'a limé longuement, avec des mouvements lents et amples sans s'introduire à fond. Il tentait d'aller un peu plus profond à chaque fois mais ça résistait et Mathieu gémissait et pleurait.
– Les jeunes curés, j'adore les baiser mais je peux jamais les baiser à fond. Tu n'est pas le premier tu sais.
Puis il continuait à le limer. Mathieu jutait, il n'éjaculait pas vraiment mais il jutait. Il était difficile de savoir s'il éprouvait du plaisir et quel était ce plaisir, il y avait aussi de la douleur.
Ca glissait bien maintenant mais Mathieu sentait la queue de son partenaire lui dilater les entrailles. Il avait le souffle coupé et quand il respirait c'était pour gémir plus fort.
Quelques mouvements particulièrement violent lui arrachaient des cris de douleur au moment ou son partenaire jouissait dans son cul. Rapidement celui-ci débandait et se retirait. Mathieu respirait de nouveau.
– Tu sais que tu as du potentiel l'abbé.
Mathieu ne répondait pas.
– Tu ne vas me faire croire que c'était la première fois.
– Quand j'étais plus jeune … Je me suis … Bafouillait Mathieu.
Mathieu l'avait senti passer mais c'est vrai qu'il aimait bien ça. Il aimait bien quand ça passait en force, quand ça devait forcer pour rentrer. Il aimait particulièrement cette panique qui le prenait au moment ou il sentait son anus se dilater et qu'il se demandait s'il n'allait pas déchirer.
Ils sont arrivé au terminus un moment plus tard mais ont pris deux directions différentes. Mathieu n'a jamais su qui c'était mais ce n'était pas bien grave. Il a passé quelques jours avec ses parents avant de repartir pour le village ou il avait été muté.
Ça c'était une semaine avant son arrivée au village ou il a retrouvé son vieux pote José.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le père Mathieu s'était remis de la soirée avec José et Pascal mais il avait toujours le feu au cul. Il avait l'habitude de se contrôler, il avait été formé pour ça.
Pendant toute sa formation il avait eu le feu au cul. Pendant les quelques années que cela avait duré il ne s'était donné aucun plaisir. La frustration qui montait sans jamais disparaître devait donner la force de continuer, et développer l'esprit de déni du plaisir physique et de la jouissance.
Pour certains c'était une période trop difficile à supporter, mais ceux qui la surmontait en tirait une véritable satisfaction. Enfin c'est ce qu'on disait. Ceux qui ne pouvait supporter quittaient la formation, on leur remettait les clés et on leur souhaitait bonne chance dans la vie. C'était déshonorant, d'une certaine manière.
Mais il faut se dire que l'ambiance était particulière. Il y avait une rivalité entre tous les étudiants, c'est ainsi qu'on appelait les candidats, les postulant à la clergicalité ( ça se dit ça, clergicalité ? … Enfin bref ... ).
Au début, on leur donnait un dispositif en résine qui était à la bonne taille, suffisamment large et longue. Privée d'érection, même sans avoir a subir un confinement intensif, leurs bites s'habituait et quelques temps plus tard elle acceptait sans difficulté une cage plus petite. Quelques temps encore plus tard venait une autre cage encore plus petite.
Puis il y avait comme une rivalité, le but était d'enfiler la plus petite possible. A son arrivée le père Mathieu ( Mathieu quoi, le personnage de mon histoire ) avait une belle queue de vingt bons centimètres sur six. Sa cage faisait sept centimètres maintenant. À peine plus du tiers de la taille initiale de sa queue en érection, et en largeur elle faisait moins de cinq centimètre ( dimensions extérieures de la cage ).
Comme vous le savez on se réduit plus facilement en longueur qu'en largeur, vous savez aussi qu'il ne faut pas trop exagérer, et avancer par étapes. Il ne faut surtout pas couper la circulation du sang, le but n'est pas de mutiler le porteur, surtout pas. Ce serait une faute grave de la part des responsables !
On arrive tout de même à un résultat impressionnant. Un tiers de la taille d'origine est considéré comme un bon résultat, mais certains vont plus loin. Il avait un camarade qui était tout aussi bien monté que lui et qui est descendu à moins de cinq centimètres.
Ils ne portaient pas de sous vêtements pendant leur formation et prenaient des douches tous les jours. Il fallait rester propre et libre de ses mouvements. Souvent à cette époque il ne portaient qu'une soutane. En dessous rien donc, sinon les chaussettes et les chaussures. L'étoffe qui caressait le corps était la seule caresse qu'ils pourraient recevoir. Au début ça en faisait bander plus d'un, puis avec le temps, cette caresse devenait normale, elle faisait partie de le quotidien et n'était plus du tout un caresse stimulante. Le tissus était doux et le vêtement était confortable.
Dans la cage tout se calmais et on passait à une taille plus petite.
Les jours, les semaines passaient, la formation s'étalait sur plusieurs années. Il y avait aussi les séances de sport, là c'était chaud, surtout au début.
Les douches était prises dans un local ouvert, pas de cabines individuelles, chacun était nu avec pour seul costume son dispositif sur lui. Le seul costume qu'il ne pouvait pas retirer. Au début, ça bandait dur dans la cage. Au début le dispositif se relevait, il faisait son rebelle. Les cage étaient bien pleines mais quand avec le temps tout rentrait dans l'ordre.
Quand dans la cage ça se calmait, on passait à une taille plus petite.
Il y avait aussi les cours de théologie, et les autres matières. Au début on aurait pu imaginer que se retrouver la queue enfermée dans une cage qui confine bien, on aurait du mal à se concentrer mais rapidement le corps s'habituait et l'esprit finissait par se retrouver libre.
Et puis il y avait le sport. Le lycra est un tissus fantastique qui ne cache rien, on pouvait voir très distinctement le dispositif de chasteté que chacun portait. Tous en avaient un, il était impossible de le dissimuler. Ils faisaient du sport plusieurs heures par jour. Il fallait ça pour détendre le corps qui ne pouvant plus se faire plaisir et qui de fait avait de l'énergie à dépenser, beaucoup d'énergie. Et après le sport, la douche …
Les journées étaient pleines, ils n'avaient que très peu de temps libre, et pas une seconde seuls. C'était une obligation, jamais seuls. Le premier surveillait le second qui surveillait le troisième qui surveillait le quatrième qui lui surveillait le premier. Ils étaient quatre par chambre. Même à ça on s'habituait. C'est donc par groupe de quatre qu'ils se déplaçaient dans le bâtiment. Et si par nécessité un d'entre eux avait un besoin, le groupe se ceindrait en deux et pour un moment, pour un moment seulement ils se retrouvaient à deux.
Les règles étaient particulières, même les toilettes étaient communes, comme les douches. Il n'y avait pas de cloisons entre les sièges d'aisance. Pour les séances de sport il n'y avait pas d'endroit privés ou refermés pour se changer, les vestiaires ouvraient directement sur la salle de gymnastique, et seuls la présence de quelques bancs et d'étagères indiquaient que c'était un vestiaire. Ils renonçaient à porter tout objet personnel. Ils les gardaient dans une petite armoire dans leur chambre.
Tout ce qu'ils possédaient tenait dans une petite armoire à côté de leur lit. Ils ne renonçaient aux objet de consommation ou au biens matériels que pendant les quelques années de leurs formation. Si un d'entre eux faisait un héritage par exemple il pourrait en disposer librement plus tard. Pendant cette période de formation, une seule chose comptait, leur formation …
Et il y avait les corps, nus quand ils changeaient de vêtements, nus quand il passaient sous la douche, nus quand ils dormaient. Les lits avaient un sommier en métal, si jamais l'un d'entre eux avait l'idée de remuer le dispositif pour se faire jouir, de se donner un peu de plaisir, le sommier produirait un son qui dérangerait et réveillerait toute la chambrée.
Ça arrivait, au début ça arrivait, le coupable était condamné à se rendre entièrement nu à la chapelle et à terminer sa nuit en prières.
Ils se voyaient nus tous les jours, plusieurs fois par jour. Le but était d'habituer le futur religieux à la nudité, avec le temps ça deviendrait pour lui tellement naturel qu'il n'y ferait plus attention et que la nudité ne serait plus une stimulation sexuelle. Enfin, ils avaient tous une cage de chasteté, qu'en serait-il le jours ou ils se retrouveraient devant un homme nu avec une belle grosse bite en érection, ou devant une femme ?
Ils prenaient aussi soin de ne jamais se toucher l'un l'autre. La frustration était poussée à l'extrême. Ils finissaient par en tirer une force incroyable, c'est ce qu'on leur disait. Depuis maintenant plusieurs siècles c'étaient là les règles et le mode de vie du clergé. Pendant ces années les seules moment ou ils pourraient éjaculer étaient les rêves humides, là on laissait faire, et tout le monde en rigolait.
On leur racontait que c'était la règle depuis plusieurs siècles, comme je le disais. En fait ce n'était la règle que depuis quelques dizaines d'années, avant c'était un phantasme. Mais quelquefois les dogmes naissent d'un mensonge qui s'est transformé en légende.
Ils prenaient l'engagement de continuer à respecter ces règles qu'on leur avait appris quand ils quittaient le séminaire. Ils étaient tous beaux comme des dieux, musclés, élégants. Ils avaient tous une formation intellectuelle complète et un physique de sportif. Il choisissaient leur mutation, en fonction des places disponibles et de la taille de la cage obtenue. Mathieu était à presque un tiers de sa taille initiale ce qui le plaçait dans une moyenne acceptable, et comme personne ne voulait venir dans un petit village perdu, il avait sa mutation dans le village de son choix.
Par la suite il retrouvaient bien plus de liberté. Comme ils resteraient sages, qu'ils n'avaient plus le choix de faire autrement, on leur faisait confiance.
Mathieu se retrouvait à moins de trente ans, sous le nom de Père Mathieu. Il était revenu dans son village de naissance.
Mais quand le religieux est ainsi libéré, il peut se passer bien des choses. Il ne peut toujours pas bandé, il ne pourra retirer son dispositif que s'il quitte les ordres, c'est la règle, elle est sans pitié et ne connaît aucune exception.
Juste après sa sortie du séminaire, il avait décidé d'aller voir ses parents. Ils avait quitté le village quelques années plus tôt pour s'installer dans le sud du pays et le voyage était long. Mais dans le train qui le conduisait vers sa destination, il était seul dans la voiture. La ligne était peu, très peu fréquentée à cette heure ci. Il n'y avait que deux voitures, il s'était installé à l'arrière de la deuxième voiture. Il était un peu perdu dans ses pensées, pour la première fois depuis qu'il avait commencé ses études religieuses cinq ans plus tôt qu'il se retrouvait seul.
Il ne savait pas s'il devait apprécier ou pas. Il ne parvenait même pas à savoir si c'était agréable ou pas. Plus de quarante minutes avant d'arriver, le train s'arrêtait à la dernière gare avant son village. Quelques minutes plus tard, une silhouette entrait dans la voiture, c'était un homme qui était monté dans la première voiture, elle était vide, il avançait pour voir s'il était seul dans le train.
Il voyait Mathieu, le saluait de la tête en lui disant : '' Mon père … '' . Mathieu lui répondait d'un mouvement de la tête. Puis l'homme venait s'installer juste en face.
Brusquement Mathieu se sentait tout bizarre, son cœur battait plus fort, plus vite. Il le regardait avec insistance, sans pour autant s'en rendre compte. L'homme semblait fatigué, il allongeait les jambes, Mathieu remarquait la bosse bien visible entre ses cuisses. Il avait l'air musclé et la bosse était prometteuse. Mathieu savait, il en était sûr que cet inconnu ne portait pas de dispositif de chasteté. Il était la première personne qu'il rencontrait et qui devait avoir la queue libre. Cette pensée l'excitait beaucoup et si voir un corps nu avec sur cage à bite ne lui faisait plus rien, la seule idée d'avoir à côté de lui un homme qui n'en portait pas le faisait bander. Comme à son habitude depuis quelques années il ne portait pas de sous vêtements. Il portait un costume sobre qui tombait bien et ne cachait ni sa musculature ni son élégance naturelle.
Il ne pouvait pas détacher ses yeux de son entre jambe, au point qu'il ne remarquait pas que l'inconnu en faisait de même. Mais lui par contre était plus dégourdi que Mathieu et avait remarqué le regard que lui jetais le religieux.
– Vous m'avez l'air bien jeune mon père.
– Je viens juste de sortir du séminaire, dans l'après midi.
– Bien, et ça s'est bien passé ? …
Tout en continuant à discuter l'inconnu se caressait son entre jambe et tout particulièrement la bosse que Mathieu regardait avec insistance.
– Il paraît que les religieux porte un dispositif, pour, comment dire … Rester sage.
– Nous faisons vœux de chasteté, en effet.
– Ah ! Et pour tenir vous n'utilisez pas un … Truc ? Demandait naïvement l'inconnu.
Mathieu devenait tout rouge, et bafouillait quelque chose du genre '' Oui en effet, c'est un dispositif de chasteté, avec on ne peut pas … ''. L'inconnu bandait, sa queue se développait le long de sa cuisse. Il en avait une belle. Mathieu avait comme la fièvre.
– Mon père, vous me montrez et moi je vous montre aussi.
Mathieu avait le visage rouge pourpre de gêne, de honte, d’embarras. Il se décidait en hésitant longuement. Il n'avait pas de sous vêtements donc, à partir du moment ou il ouvrait son pantalon, les choses allaient très vite.
L'inconnu regardait avec des yeux pleins de curiosité. Sa queue en érection se dessinait sous son pantalon, bien plaquée contre sa cuisse. Il n'a pas prévenu l'inconnu quand il a touché Mathieu, il a juste tendu la main et il lui a tripoté les couilles. Mathieu à sursauté mais il a laissé faire. Il n'y avait personne dans le train, personne ne passerait dans les trois quarts d'heure, ils étaient tranquilles.
Mathieu bandait fort maintenant, il ne se souvenait pas avoir connu une érection aussi violente, enfin une tentative d'érection, depuis, peut être depuis le début de sa formation. Il continuait à regarder la forme de la queue de son compagnon de route. Sa queue lui faisait presque mal. Mécaniquement il caressait la queue de l'inconnu, elle était énorme et bien dure.
Ils se relevait baissait son pantalon, sa queue se relevait avec force. Mathieu rêvait devant ça, la sienne était, enfin avait été, de belle taille mais là il avait trouvé plus grand et puis de toutes façon la sienne, ne pouvait plus vraiment servir. Sous clé, elle était comme débranchée.
L'homme s'approchait de Mathieu, lui mettait la queue devant son nez. Mathieu hésitait quelques instants puis la caressait et la prenait dans sa bouche. Il passait sa langue sur toute la longueur de cette très belle bite. Il insistait surtout sur le gland. La tête lui tournait, il avait une sorte de vertige et le gland de l'inconnu lui rentrait dans la bouche en entier.
L'étranger continuait à lui tripoter les couilles et à jouer avec sa cage. Mathieu se souvenait de ses amis qui étaient restés au village. Il se souvenait des ces soirée à deux ou à trois. Il ne s'était jamais pris une bite aussi large dans le cul, et comme la dernière fois qu'il s'était pris une bite dans le cul c'était il y a déjà bien longtemps, il se demandait s'il le pourrait.
La queue du voyageur entrait maintenant sur la moitié de sa longueur. On pouvait deviner que Mathieu avait du mal, il avait le visage tout rouge mais ce n'était plus d’embarras. Il insistait Mathieu, il insistait il pensait que ça n'irait pas plus loin quand il a reçu un coup de bassin dans la gorge, et d'un coup c'est entré plus loin, plus profond.
– Allez l'abbé, on se relève et on se retourne.
Mathieu s'exécutait, il tremblait, il s'inquiétait un peu. Il avait la trouille mais il en avait aussi tellement envie. Il était mort de trouille. Mais il laissait faire.
C'était violent, l'homme posait sa queue sur le cul de Mathieu, et poussait, ça résistait, il lubrifiait et recommençait. Il ne poussait pas trop fort, ça n'aurait servi à rien mais il poussait avec une certaine force. Mathieu respirait fort, il prenait de longues inspirations jusqu'au moment il sentait son cul s'ouvrir.
Son partenaire poussait moins fort, l'anus de Mathieu se dilatait toujours, et l'énorme bite s'introduisait lentement. Mathieu hurlait, il avait soudainement peur de déchirer, dans sa tête il paniquait. L'inconnu continuait à pousser sa queue entre les fesses de Mathieu. Il la sentait glisser, et Mathieu râlait, gémissait.
Il n'est pas entré en entier. Mathieu s'est débattu, c'était trop pour lui. Alors son partenaire l'a limé longuement, avec des mouvements lents et amples sans s'introduire à fond. Il tentait d'aller un peu plus profond à chaque fois mais ça résistait et Mathieu gémissait et pleurait.
– Les jeunes curés, j'adore les baiser mais je peux jamais les baiser à fond. Tu n'est pas le premier tu sais.
Puis il continuait à le limer. Mathieu jutait, il n'éjaculait pas vraiment mais il jutait. Il était difficile de savoir s'il éprouvait du plaisir et quel était ce plaisir, il y avait aussi de la douleur.
Ca glissait bien maintenant mais Mathieu sentait la queue de son partenaire lui dilater les entrailles. Il avait le souffle coupé et quand il respirait c'était pour gémir plus fort.
Quelques mouvements particulièrement violent lui arrachaient des cris de douleur au moment ou son partenaire jouissait dans son cul. Rapidement celui-ci débandait et se retirait. Mathieu respirait de nouveau.
– Tu sais que tu as du potentiel l'abbé.
Mathieu ne répondait pas.
– Tu ne vas me faire croire que c'était la première fois.
– Quand j'étais plus jeune … Je me suis … Bafouillait Mathieu.
Mathieu l'avait senti passer mais c'est vrai qu'il aimait bien ça. Il aimait bien quand ça passait en force, quand ça devait forcer pour rentrer. Il aimait particulièrement cette panique qui le prenait au moment ou il sentait son anus se dilater et qu'il se demandait s'il n'allait pas déchirer.
Ils sont arrivé au terminus un moment plus tard mais ont pris deux directions différentes. Mathieu n'a jamais su qui c'était mais ce n'était pas bien grave. Il a passé quelques jours avec ses parents avant de repartir pour le village ou il avait été muté.
Ça c'était une semaine avant son arrivée au village ou il a retrouvé son vieux pote José.
Fin
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