Le dangereux concurrent
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le dangereux concurrent
Les semaines passent, Corinne a continué sa liaison avec Jean Pierre.
Mais quand elle lui a rendu visite, son fils David était présent.
Ils l'ont baisée et enculée, toute l'après-midi.
David a encore insisté, pour qu'elle ait une relation suivie avec lui.
Il lui précise qu'il a quitté sa petite amie, et qu'elle peut venir à son appartement, quand elle le désire.
Il profite de la voiture de ma femme, pour se faire ramener chez lui.
Il parvient à l'inviter à boire un verre, dans son petit appart.
Elle succombe encore à ses avances, et il la baise encore, deux heures durant.
Sa première jouissance chez son père, l'a rendu encore plus performant.
Il est plus jeune aussi !
Il a bien appris, et lui procure le même plaisir que Jean Pierre, en lui serrant le cou, pendant qu'il la baise, puis l'encule !
Elle rentre sur les rotules, préoccupée par ce qu'elle a vécu.
Elle décide de me faire croire qu'elle a revu Chris, pour faire passer le fait, qu'elle n'a plus envie de sexe, même avec moi !
Bien sur, au cas ou je la solliciterai, ce qui est arrivé !
"Je m'en veux, mon amour, mais je suis morte ! On fera l'amour, demain, je te promets ! Il m'a tout pris ! C'était trop intense !".
"Pas de souci ! Mon amour, je comprends ! Tu peux pas assurer pour tout le monde ! C'est normal !".
je suis heureux qu'elle ai connu autant de plaisir, c'est ce qui compte pour moi !
Après le repas, je la vois se diriger vers la chambre, puis sombrer presque aussitôt, en se mettant à ronfler.
J'en profite pour visionner un de ses films de rencontre, et me masturbe, en prenant tout mon temps.
Le lendemain, on a fait l'amour passionnément, je l'ai retrouvée très réceptive à mes caresses.
C'est exactement comme ça que je l'aime. très chatte et sensuelle !
Peu de jours après, alors que j'écoute un disque dans notre salon, elle vient répondre au téléphone.
Elle s'affole en reconnaissant la voix de Jean Pierre.
Elle tire la porte qui sépare le couloir d'entrée et notre salon.
"Pourquoi tu m'appelles ici ? Tu sais que c'est risqué !".
"Je sais ! Désolé, en plus, c'est même pas pour moi ! C'est pour David ! Tu l'obsèdes ! Il pense à toi sans arrêt ! Ca me gonfle !".
"Il faut qu'il m'oublie ! J'ai une vie !".
"Je sais, mais moins, tu le verras, et plus, il va s'obstiner ! Baises avec lui ! Je pense qu'il va se lasser, à la longue ! C'est la meilleure solution ! Et puis, il te baise bien ! Non ?".
"Oui, c'est super ! Comme avec toi ! Mais j'ai peur qu'il me harcèle, après ça !".
"Allez ! Fais un effort, va le voir ! Il t'attend ! Fais le pour moi !".
"Bon ! Ok ! Il va falloir que je trouve une excuse pour Pascal ! Bisous !".
"Bisous, ma salope ! Penses à venir me voir aussi !".
Elle vient près de moi, dans le salon.
"Ca va Pascal ?".
"Oui, et toi ?".
"Je suis un peu ennuyée ! Léa vient de m'appeler ! Elle a envie que j'aille la voir ! Apparement, elle a des petis soucis, mais rien de grave ! Ne t'inquiètes pas !".
"Ben, vas y ! C'est ton amie ! Tu dois y aller !".
"Merci ! Mon amour ! Je t'aime ! Je rentre dès que je peux !".
Elle part sereinement, on a fait l'amour, le matin même, un peu de sexe lui fera le plus grand bien ! Elle est prête pour ça !
David est tout excité, quand il lui ouvre en se servant de l'interphone.
Il a préparé deux verres vides, prêts à se faire remplir de la boisson de son choix.
Finalement, ce sera une boisson alcoolisée et pétillante !
Il l'embrasse sans cesse, entre deux gorgées d'alcool.
La sentant éméchée, il lui dégage la poitrine, en ouvrant complètement son chemisier et son soutien gorge.
Il lui dévore les seins avec fougue et vice.
"Putain, j'adore tes nichons ! Corinne ! En plus, je vois que tu prend du plaisir avec, j'adore ça !".
"Arhhhhh ! Oui, j'adore jouir avec ! Je suis sensible des seins !".
"Il te fait jouir par là, ton mec ?".
"Oui, il sait y faire, mais ne parle plus de lui, sinon, je m'en vais !".
"Ok ! Pardon, ma belle !".
Il baisse son regard et admire la main de ma belle, qui a libéré sa grosse verge et la branle avec fermeté.
"Prends-moi dans ta bouche ! J'ai envie que tu me suces !".
Elle glisse longuement sur sa verge, il lui découvre le torse, puis attrape son verre, et la fait boire encore, entre quelques mouvements buccaux.
Il se dénude entièrement, elle s'arrête et se dévoile, elle aussi.
Il l'entraine vers sa chambre, il la fait s'agenouiller devant sa bite.
"Allez, suces-moi encore, salope !".
Elle s'exécute, sans comprendre pourquoi, il l'aime ainsi, puisqu'il n'y a que du sexe entre eux !
Elle se fait déformer la bouche en gorge profonde.
Il lui impose de se lubrifier la chatte en utilisant l'excès de salive causée par cette fellation vicieuse, et de se branler avec.
Ensuite, il recule pour l'admirer. Elle lui dit :
"Qu'est-ce que tu fais ? Baises-moi, j'en peux plus ! J'ai envie de ta queue ! Défonces-moi !".
Il est fier de lui, l'effet de l'alcool agit comme il l'espérait.
C'est Corinne elle même, qui lui confié ce secret ! Ca lui donne envie de baiser !
"Qu'est-ce que tu veux ? Redemandes-moi !".
"Baise-moi !".
Il la couche sur son lit, sur le dos, avec les cuisses ouvertes.
Il la transperce d'une traite vaginalement, puis la possède avec puissance, mais sans précipitation.
Il la bloque par les épaules en s'enfonçant à grands coups dans son vagin.
Elle vit son premier orgasme, puis, elle déplace une de ses mains, vers son cou.
"T'as envie de ça ! Chérie ?".
"Oui ! J'en ai besoin ! Fais moi jouir comme ça !".
"Ok, tout ce que tu veux ! Je ne veux que ton plaisir !".
Il enserre son cou, si mince entre ses doigts puissants, et reprend la possession profonde de sa chatte.
Sans cesser ses assauts, il lui parle dans l'oreille:
"Tu vas finir par m'aimer ! Tu verras ! Tu pourras plus te passer de moi ! Tu m'appartiendras !".
Elle gémit son plaisir sans discontinuer, il sent ses râles à travers ses doigts !
Il écarte ses phalanges !
"Non ! David ! Encore ! J'allais jouir !".
"Dis-moi que tu m'appartiens !".
"Je... Je suis à toi ! Recommences, s'il te plait !".
Il lui serre le cou à nouveau, et lui fait connaitre trois orgasmes successifs, ainsi.
Ensuite, il la retourne, et lui dévore l'anus.
Il crache abondamment dessus, puis colle son énorme gland contre son œillet.
Il est pressé, elle doit le retenir, afin de s'habituer à sa présence.
Lentement, son anus s'écartèle et il s'enfonce en elle d'une traite.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! David ! Elle est tellement grosse ! Arhhhhhhhh !".
"T'aimes ça ! Non ?".
"Ouiiiiiii !".
"C'est bon, je peux te casser le cul ?".
"Oui, vas-y ! Encules-moi ! ...Arhhhhhhhhhh !".
"Putain ! J'suis accroc à ça ! J'aime t'entendre jouir ! Tu me rends fou !".
Il la fait crier, encore et encore, puis recommence à lui serrer le cou, et ne lâche sa pression que lorsqu'elle atteint le sommet de son plaisir.
Après ça, elle retombe d'un coup !
Ca pourrait s'arrêter là, elle serait comblée !
Mais David n'a pas éjaculé encore !
Il la déplace sur un tapis, devant son lit et la défonce analement, en la cambrant comme une chienne.
Il ne s'arrête, que bien après, qu'il ai constaté, qu'elle a giclé d'énormes jets de cyprine sur le carrelage.
Il la fait pivoter pour l'allonger dans son propre jus et l'encule encore comme une bête.
Il est pris à son propre élan, il sent monter son éjaculation.
Il explose dans son cul en criant:
"Putain, tu me rends dingue, Corinne ! Je t'aimmmme ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
Ma femme est subitement prise d'un incontrôlable orgasme cérébral.
Elle l'accompagne dans son plaisir, malgré elle !
Les râles de David la rendent trop folle de ce plaisir, recevoir sa semence dans son cul !
La suite lui fait peur, David se fait plus tendre ! Il bouge en elle en lui déclarant son amour possessif.
Il la veut rien que pour lui !
"David ! Arrêtes avec ça ! Je vais pas revenir, si tu continues !".
"Non ! J'ai trop besoin de toi ! Tu m'obsèdes ! Je deviens fou de toi !".
"Bon, je reviendrai, mais j'espère que ça va te passer ! Je quitterai jamais, Pascal !".
"Ok ! Merci ! Je vais m'habituer ! Ca t'as plu, comme je t'ai baisée ?".
"Oui ! J'ai adoré ! Mais arrêtes de tout gâcher ! S'il te plait !".
"Je te le promets !".
"Bon, je dois aller me vider le cul ! Si je veux pas que Pascal sache qu'on m'a enculée !".
"Non ! Garde mon foutre ! Fais moi plaisir ! S'il te plait ! Il t'as tout le temps, lui ! Ca m'aidera de penser que tu gardes mon sperme dans ton cul, avec lui à coté ! Je me dis que tu m'aimes un peu comme ça !".
"Je te comprends pas, mais Ok ! Je vais le faire ! Bon, je dois me bouger ! Il croit que je suis chez une copine !".
Elle va gérer comme elle peut, ce surplus de relation, entre Chris, l'amant officiel, Jean Pierre, le vicieux cinquantenaire, et David, son fils envahissant et possessif.
Le départ de Chris lui apporte un peu de répit, elle voit moins Jean Pierre, au profit de David, qui est heureux de la voir plus souvent !
Puis, arrive l'accident avec Jean Pierre ! Elle ne garde que sa relation avec David, en lui demandant d'arrêter les jeux sexuels dangereux ! Il s'en passe sans problème ! Il préfère la baiser et l'enculer à sa guise !
Un soir, on se rend dans une boite de nuit branchée de la ville.
Au bout d'un quart d'heure, je vois arriver un couple.
Corinne blêmit ! C'est David avec une amie, peut être, sa petite copine !
"Salut Corinne ! C'est Pascal ?".
"Euh ... Oui ! Pascal ! Je te présente David ! Vous êtes ensemble ?".
"Oui, voilà Isabelle ! Ma copine !".
On se fait la bise, David chuchote à ma femme:
"Attends moi aux chiottes ! J'arrive !".
On se sépare, puis, Corinne me dit assez rapidement:
"Bébé ! Je vais aux toilettes ! J'en ai pour un moment ! Tu commandes un crémant pour moi ?".
"Ok, prends ton temps !".
Lorsque David la rejoint, elle lui dit:
"Il y a trop de monde ! C'est pas possible !".
"Viens, on sort !".
Ils font le tour du bâtiment, il trouve une porte métallique, elle s'ouvre !
C'est à la fois un local technique et un local à poubelles, avec une petite lumière.
Il y a assez d'espace pour y baiser, sans souci.
Il utilise un balai pour bloquer la poignée.
Puis, il colle ma femme contre le mur, en relevant sa jupe.
"Tiens ? T'as mis une culotte ?".
"Ben, je savais pas que tu serais là !".
Il la déchire et se baisse pour lui lécher l'anus.
"On a pas le temps ! je vais t'enculer directement ! Tu le sais ?".
"Oui, je sais !".
"T'en as envie ?".
"Oui !".
La verge retrouve le chemin de son fourreau anal préféré ! Celui de ma femme !
Il l'encule comme une pute, en lui disant qu'il l'aime toujours, et en l'insultant, en même temps !
Depuis peu, elle est entrée dans son jeu, en lui répondant qu'elle l'aime, elle aussi, et lui réclame de l'enculer plus fort !
Il éjacule avec abondance, au fond de son anus.
Elle a joui plusieurs fois, comme une folle, mais reprend ses esprits.
"Putain ! Comment, je vais faire ? J'ai plus de culotte ! Ca va couler !".
"Serres les fesses ! Mon amour !".
"Ouais ! C'est pas évident ! T'es pas à ma place !".
Elle essaie de chasser le plus de sperme possible, puis s'essuie avec son string déchiré, et le jette dans une poubelle.
Elle se remet en état, et ils retournent dans la boite, en se séparant de quelques mètres.
Le temps passe à l'intérieur, puis on entend David qui se dispute avec sa copine.
Elle quitte la boite en pleurant, il vient vers nous !
"Putain, elle me gonfle ! Enfin, c'est fini ! J'en pouvais plus d'elle !".
je lui dis:
"Elle a l'air gentille, pourtant ! Tu lui reproches quoi ?".
"Pas grand chose ! Mais je m'emmerde avec elle ! Bon, parlons d'autre chose !".
Les sujets sont divers, je remarque ses regards envers Corinne.
Je commence à saturer de bruits, il faut que j'aille m'aérer un peu !
"Attends-moi ! Je viens aussi !". Me dit David.
Je vais me poser sur un muret, loin de l'entrée.
Il s'assoit à mes cotés !
"Je sais pas comment tu fais !".
Je lui réponds:
"Comment je fais quoi ?".
"Comment tu fais pour supporter, que ta femme se fait baiser par d'autres mecs !".
Il voit mon air surpris !
"Elle t'as pas dit que je la baisais ? On était pas aux chiottes, tout à l'heure ! Je l'ai enculée, comme une salope, derrière la boite !".
"Ah, non, je savais pas ! Ca explique tes regards ! Tant mieux pour toi ! Ca me gênes pas, au contraire ! Si tu lui apporte du plaisir ! Je suis heureux pour elle !".
"Oh, oui, et elle aime ma grosse bite, tu peux le croire ! Je la baise mieux que toi, tu t'en doutes !".
"Oui, mais c'est pas le plus important pour moi, puisque c'est pas mon truc ! je préfère qu'un autre s'en occupe à ma place !".
A cet instant, je commence à sérieusement, à en avoir marre de ce type ! Je ronge mon frein !
Corinne, qui s'inquiétait de ne plus nous voir, commence à s'approcher.
"Dis-lui à ton mec ! Comment t'as aimé que je t'encule, tout à l'heure !".
"Tu lui as dis ! T'avais pas le droit ! Mon amour ! Ne m'en veux pas ! S'il te plait !".
"Pourquoi ? Ca change rien pour moi ! A moins que tu l'aimes ! Si c'est le cas, il faut que tu fasses un choix ! Je te préfèrerai heureuse avec lui, que malheureuse avec moi !".
"Tu vois, il est d'accord ! Restes avec moi !".
"Justement ! David ! C'est lui que j'aime ! Il pense vraiment à moi ! Toi, tu veux m'enfermer ! Va t'en ! C'est fini entre nous ! T'as tout gâché !".
"Non ! Corinne ! Ne fais pas ça ! On baise trop bien tous les deux ! Je t'aime !".
Je reste en retrait, rassuré, désormais, ça les regarde ! Elle lui répond:
"Je peux pas me passer de Pascal ! C'est comme ça, entre nous, c'est génial, mais ça reste que du sexe ! Va t'en !".
Voyant qu'il insiste, elle me demande:
"Mon amour ! Viens, on s'en va ! C'est pas la peine de discuter plus longtemps !".
Il nous suit jusqu'à la voiture, puis, dans un excès de colère, il se met à la traiter de salope, pute, etc...
Elle se retourne d'un coup et lui répond:
"Oui, je suis une salope ! Une pute ! Tout ce que tu veux ! Mais, c'est ce que tu aimais chez moi ! Non ? Alors ! Adieu !".
On démarre en trombe, pour se garer dans un coin sombre, bien plus loin, elle se met à pleurer.
Je la console:
"Il fallait que ça arrive un jour, ça fait partie des risques ! Il ne faut pas t'en vouloir !".
"Il a raison ! Je suis une salope ! Tu m'en veux, je suis sure !".
"Mais non ! Pas du tout, tu m'aimes, je le sais ! La preuve, c'est moi que tu as choisis ! Je suis désolé pour lui, mais il a joué et il a perdu ! C'est comme ça !".
"Tu peux pas savoir à quel point, je taime ! Pascal ! Tu es tout pour moi ! Ne me quittes jamais ! S'il te plait !".
"Compte sur moi ! Je t'aime trop, moi aussi ! Alors comme ça, il t'a enculée !".
Elle se met à rire !
"Oui !".
"T'as bien joui ? J'espère !".
"Oui ! Mais il est trop con ! C'est dommage ! On s'éclatait bien tous les deux ! Tant pis pour lui ! J'en trouverai un autre ! Mais je savais qu'il allait me causer des problèmes ! Il était trop fou de moi !".
"C'est une bonne leçon !".
"Ohhh ! Oui, ça m'arrivera plus ! Pas avant longtemps, en tout cas !".
Comme pour une chute de cheval, je la force à me raconter leur sodomie, afin de lui redonner, gout au sexe !
Je la masturbe, pendant qu'elle se remémore ses derniers orgasmes avec David.
Elle se met à jouir sous mes doigts !
"Arhhhhhhhhhh ! Mon amour ! J'adorai sa grosse bite ! Il m'enculait tellement bien ! Arhhhhhhhhh ! Je joui ! Orhhh, pourquoi, il a fait ça ? C'était si bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh !".
Elle reprend toute sa tête, puis se jette sur ma queue en érection.
Je suis pris de court, je scrute les alentours, pendant qu'elle me suce la queue, comme la reine des salopes !
J'explose au bout de quelques minutes, elle m'avale goulument.
On se déclare encore, notre amour, comme deux pervers accrocs, l'un à l'autre.
Quelques jours plus tard, Jean Pierre l'a rappelée.
Il s'est excusé pour son fils, et avoue qu'elle n'aurait jamais du accepter la relation suivie avec David !
"Mais, pourquoi, tu viens plus me voir ?".
"Je dois me passer de ce que tu sais ! Pascal a raison, c'est trop dangereux ! Le jeu ne vaut pas le risque ! Et en plus, il y a David ! Si je reviens, je vais le recroiser !".
"Je comprend ! Dommage ! On s'amusait bien tous les deux ! Il y a d'autres jeux, tu sais !".
"Non, je sais que je vais être tentée de recommencer ! Par contre, j'oublierai jamais ce qu'on a vécu ! Surtout au club ! Ca va rester un de mes meilleurs souvenirs !".
"Bon, si tu changes d'avis ! Saches que ma queue t'attends ! C'est quand tu veux ! Je m'arrangerai, pour être sûr que David ne débarquera pas ! Ne lui en veux pas trop ! Il est jeune ! Je comprends qu'il ai craqué sur toi ! T'es la plus adorable des salopes!".
"Merci ! Je vais réfléchir !".
Finalement, elle est retournée chez Jean Pierre !
Puis, un nouvel amant la détournera de lui, c'est la vie !
Mais quand elle lui a rendu visite, son fils David était présent.
Ils l'ont baisée et enculée, toute l'après-midi.
David a encore insisté, pour qu'elle ait une relation suivie avec lui.
Il lui précise qu'il a quitté sa petite amie, et qu'elle peut venir à son appartement, quand elle le désire.
Il profite de la voiture de ma femme, pour se faire ramener chez lui.
Il parvient à l'inviter à boire un verre, dans son petit appart.
Elle succombe encore à ses avances, et il la baise encore, deux heures durant.
Sa première jouissance chez son père, l'a rendu encore plus performant.
Il est plus jeune aussi !
Il a bien appris, et lui procure le même plaisir que Jean Pierre, en lui serrant le cou, pendant qu'il la baise, puis l'encule !
Elle rentre sur les rotules, préoccupée par ce qu'elle a vécu.
Elle décide de me faire croire qu'elle a revu Chris, pour faire passer le fait, qu'elle n'a plus envie de sexe, même avec moi !
Bien sur, au cas ou je la solliciterai, ce qui est arrivé !
"Je m'en veux, mon amour, mais je suis morte ! On fera l'amour, demain, je te promets ! Il m'a tout pris ! C'était trop intense !".
"Pas de souci ! Mon amour, je comprends ! Tu peux pas assurer pour tout le monde ! C'est normal !".
je suis heureux qu'elle ai connu autant de plaisir, c'est ce qui compte pour moi !
Après le repas, je la vois se diriger vers la chambre, puis sombrer presque aussitôt, en se mettant à ronfler.
J'en profite pour visionner un de ses films de rencontre, et me masturbe, en prenant tout mon temps.
Le lendemain, on a fait l'amour passionnément, je l'ai retrouvée très réceptive à mes caresses.
C'est exactement comme ça que je l'aime. très chatte et sensuelle !
Peu de jours après, alors que j'écoute un disque dans notre salon, elle vient répondre au téléphone.
Elle s'affole en reconnaissant la voix de Jean Pierre.
Elle tire la porte qui sépare le couloir d'entrée et notre salon.
"Pourquoi tu m'appelles ici ? Tu sais que c'est risqué !".
"Je sais ! Désolé, en plus, c'est même pas pour moi ! C'est pour David ! Tu l'obsèdes ! Il pense à toi sans arrêt ! Ca me gonfle !".
"Il faut qu'il m'oublie ! J'ai une vie !".
"Je sais, mais moins, tu le verras, et plus, il va s'obstiner ! Baises avec lui ! Je pense qu'il va se lasser, à la longue ! C'est la meilleure solution ! Et puis, il te baise bien ! Non ?".
"Oui, c'est super ! Comme avec toi ! Mais j'ai peur qu'il me harcèle, après ça !".
"Allez ! Fais un effort, va le voir ! Il t'attend ! Fais le pour moi !".
"Bon ! Ok ! Il va falloir que je trouve une excuse pour Pascal ! Bisous !".
"Bisous, ma salope ! Penses à venir me voir aussi !".
Elle vient près de moi, dans le salon.
"Ca va Pascal ?".
"Oui, et toi ?".
"Je suis un peu ennuyée ! Léa vient de m'appeler ! Elle a envie que j'aille la voir ! Apparement, elle a des petis soucis, mais rien de grave ! Ne t'inquiètes pas !".
"Ben, vas y ! C'est ton amie ! Tu dois y aller !".
"Merci ! Mon amour ! Je t'aime ! Je rentre dès que je peux !".
Elle part sereinement, on a fait l'amour, le matin même, un peu de sexe lui fera le plus grand bien ! Elle est prête pour ça !
David est tout excité, quand il lui ouvre en se servant de l'interphone.
Il a préparé deux verres vides, prêts à se faire remplir de la boisson de son choix.
Finalement, ce sera une boisson alcoolisée et pétillante !
Il l'embrasse sans cesse, entre deux gorgées d'alcool.
La sentant éméchée, il lui dégage la poitrine, en ouvrant complètement son chemisier et son soutien gorge.
Il lui dévore les seins avec fougue et vice.
"Putain, j'adore tes nichons ! Corinne ! En plus, je vois que tu prend du plaisir avec, j'adore ça !".
"Arhhhhh ! Oui, j'adore jouir avec ! Je suis sensible des seins !".
"Il te fait jouir par là, ton mec ?".
"Oui, il sait y faire, mais ne parle plus de lui, sinon, je m'en vais !".
"Ok ! Pardon, ma belle !".
Il baisse son regard et admire la main de ma belle, qui a libéré sa grosse verge et la branle avec fermeté.
"Prends-moi dans ta bouche ! J'ai envie que tu me suces !".
Elle glisse longuement sur sa verge, il lui découvre le torse, puis attrape son verre, et la fait boire encore, entre quelques mouvements buccaux.
Il se dénude entièrement, elle s'arrête et se dévoile, elle aussi.
Il l'entraine vers sa chambre, il la fait s'agenouiller devant sa bite.
"Allez, suces-moi encore, salope !".
Elle s'exécute, sans comprendre pourquoi, il l'aime ainsi, puisqu'il n'y a que du sexe entre eux !
Elle se fait déformer la bouche en gorge profonde.
Il lui impose de se lubrifier la chatte en utilisant l'excès de salive causée par cette fellation vicieuse, et de se branler avec.
Ensuite, il recule pour l'admirer. Elle lui dit :
"Qu'est-ce que tu fais ? Baises-moi, j'en peux plus ! J'ai envie de ta queue ! Défonces-moi !".
Il est fier de lui, l'effet de l'alcool agit comme il l'espérait.
C'est Corinne elle même, qui lui confié ce secret ! Ca lui donne envie de baiser !
"Qu'est-ce que tu veux ? Redemandes-moi !".
"Baise-moi !".
Il la couche sur son lit, sur le dos, avec les cuisses ouvertes.
Il la transperce d'une traite vaginalement, puis la possède avec puissance, mais sans précipitation.
Il la bloque par les épaules en s'enfonçant à grands coups dans son vagin.
Elle vit son premier orgasme, puis, elle déplace une de ses mains, vers son cou.
"T'as envie de ça ! Chérie ?".
"Oui ! J'en ai besoin ! Fais moi jouir comme ça !".
"Ok, tout ce que tu veux ! Je ne veux que ton plaisir !".
Il enserre son cou, si mince entre ses doigts puissants, et reprend la possession profonde de sa chatte.
Sans cesser ses assauts, il lui parle dans l'oreille:
"Tu vas finir par m'aimer ! Tu verras ! Tu pourras plus te passer de moi ! Tu m'appartiendras !".
Elle gémit son plaisir sans discontinuer, il sent ses râles à travers ses doigts !
Il écarte ses phalanges !
"Non ! David ! Encore ! J'allais jouir !".
"Dis-moi que tu m'appartiens !".
"Je... Je suis à toi ! Recommences, s'il te plait !".
Il lui serre le cou à nouveau, et lui fait connaitre trois orgasmes successifs, ainsi.
Ensuite, il la retourne, et lui dévore l'anus.
Il crache abondamment dessus, puis colle son énorme gland contre son œillet.
Il est pressé, elle doit le retenir, afin de s'habituer à sa présence.
Lentement, son anus s'écartèle et il s'enfonce en elle d'une traite.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! David ! Elle est tellement grosse ! Arhhhhhhhh !".
"T'aimes ça ! Non ?".
"Ouiiiiiii !".
"C'est bon, je peux te casser le cul ?".
"Oui, vas-y ! Encules-moi ! ...Arhhhhhhhhhh !".
"Putain ! J'suis accroc à ça ! J'aime t'entendre jouir ! Tu me rends fou !".
Il la fait crier, encore et encore, puis recommence à lui serrer le cou, et ne lâche sa pression que lorsqu'elle atteint le sommet de son plaisir.
Après ça, elle retombe d'un coup !
Ca pourrait s'arrêter là, elle serait comblée !
Mais David n'a pas éjaculé encore !
Il la déplace sur un tapis, devant son lit et la défonce analement, en la cambrant comme une chienne.
Il ne s'arrête, que bien après, qu'il ai constaté, qu'elle a giclé d'énormes jets de cyprine sur le carrelage.
Il la fait pivoter pour l'allonger dans son propre jus et l'encule encore comme une bête.
Il est pris à son propre élan, il sent monter son éjaculation.
Il explose dans son cul en criant:
"Putain, tu me rends dingue, Corinne ! Je t'aimmmme ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
Ma femme est subitement prise d'un incontrôlable orgasme cérébral.
Elle l'accompagne dans son plaisir, malgré elle !
Les râles de David la rendent trop folle de ce plaisir, recevoir sa semence dans son cul !
La suite lui fait peur, David se fait plus tendre ! Il bouge en elle en lui déclarant son amour possessif.
Il la veut rien que pour lui !
"David ! Arrêtes avec ça ! Je vais pas revenir, si tu continues !".
"Non ! J'ai trop besoin de toi ! Tu m'obsèdes ! Je deviens fou de toi !".
"Bon, je reviendrai, mais j'espère que ça va te passer ! Je quitterai jamais, Pascal !".
"Ok ! Merci ! Je vais m'habituer ! Ca t'as plu, comme je t'ai baisée ?".
"Oui ! J'ai adoré ! Mais arrêtes de tout gâcher ! S'il te plait !".
"Je te le promets !".
"Bon, je dois aller me vider le cul ! Si je veux pas que Pascal sache qu'on m'a enculée !".
"Non ! Garde mon foutre ! Fais moi plaisir ! S'il te plait ! Il t'as tout le temps, lui ! Ca m'aidera de penser que tu gardes mon sperme dans ton cul, avec lui à coté ! Je me dis que tu m'aimes un peu comme ça !".
"Je te comprends pas, mais Ok ! Je vais le faire ! Bon, je dois me bouger ! Il croit que je suis chez une copine !".
Elle va gérer comme elle peut, ce surplus de relation, entre Chris, l'amant officiel, Jean Pierre, le vicieux cinquantenaire, et David, son fils envahissant et possessif.
Le départ de Chris lui apporte un peu de répit, elle voit moins Jean Pierre, au profit de David, qui est heureux de la voir plus souvent !
Puis, arrive l'accident avec Jean Pierre ! Elle ne garde que sa relation avec David, en lui demandant d'arrêter les jeux sexuels dangereux ! Il s'en passe sans problème ! Il préfère la baiser et l'enculer à sa guise !
Un soir, on se rend dans une boite de nuit branchée de la ville.
Au bout d'un quart d'heure, je vois arriver un couple.
Corinne blêmit ! C'est David avec une amie, peut être, sa petite copine !
"Salut Corinne ! C'est Pascal ?".
"Euh ... Oui ! Pascal ! Je te présente David ! Vous êtes ensemble ?".
"Oui, voilà Isabelle ! Ma copine !".
On se fait la bise, David chuchote à ma femme:
"Attends moi aux chiottes ! J'arrive !".
On se sépare, puis, Corinne me dit assez rapidement:
"Bébé ! Je vais aux toilettes ! J'en ai pour un moment ! Tu commandes un crémant pour moi ?".
"Ok, prends ton temps !".
Lorsque David la rejoint, elle lui dit:
"Il y a trop de monde ! C'est pas possible !".
"Viens, on sort !".
Ils font le tour du bâtiment, il trouve une porte métallique, elle s'ouvre !
C'est à la fois un local technique et un local à poubelles, avec une petite lumière.
Il y a assez d'espace pour y baiser, sans souci.
Il utilise un balai pour bloquer la poignée.
Puis, il colle ma femme contre le mur, en relevant sa jupe.
"Tiens ? T'as mis une culotte ?".
"Ben, je savais pas que tu serais là !".
Il la déchire et se baisse pour lui lécher l'anus.
"On a pas le temps ! je vais t'enculer directement ! Tu le sais ?".
"Oui, je sais !".
"T'en as envie ?".
"Oui !".
La verge retrouve le chemin de son fourreau anal préféré ! Celui de ma femme !
Il l'encule comme une pute, en lui disant qu'il l'aime toujours, et en l'insultant, en même temps !
Depuis peu, elle est entrée dans son jeu, en lui répondant qu'elle l'aime, elle aussi, et lui réclame de l'enculer plus fort !
Il éjacule avec abondance, au fond de son anus.
Elle a joui plusieurs fois, comme une folle, mais reprend ses esprits.
"Putain ! Comment, je vais faire ? J'ai plus de culotte ! Ca va couler !".
"Serres les fesses ! Mon amour !".
"Ouais ! C'est pas évident ! T'es pas à ma place !".
Elle essaie de chasser le plus de sperme possible, puis s'essuie avec son string déchiré, et le jette dans une poubelle.
Elle se remet en état, et ils retournent dans la boite, en se séparant de quelques mètres.
Le temps passe à l'intérieur, puis on entend David qui se dispute avec sa copine.
Elle quitte la boite en pleurant, il vient vers nous !
"Putain, elle me gonfle ! Enfin, c'est fini ! J'en pouvais plus d'elle !".
je lui dis:
"Elle a l'air gentille, pourtant ! Tu lui reproches quoi ?".
"Pas grand chose ! Mais je m'emmerde avec elle ! Bon, parlons d'autre chose !".
Les sujets sont divers, je remarque ses regards envers Corinne.
Je commence à saturer de bruits, il faut que j'aille m'aérer un peu !
"Attends-moi ! Je viens aussi !". Me dit David.
Je vais me poser sur un muret, loin de l'entrée.
Il s'assoit à mes cotés !
"Je sais pas comment tu fais !".
Je lui réponds:
"Comment je fais quoi ?".
"Comment tu fais pour supporter, que ta femme se fait baiser par d'autres mecs !".
Il voit mon air surpris !
"Elle t'as pas dit que je la baisais ? On était pas aux chiottes, tout à l'heure ! Je l'ai enculée, comme une salope, derrière la boite !".
"Ah, non, je savais pas ! Ca explique tes regards ! Tant mieux pour toi ! Ca me gênes pas, au contraire ! Si tu lui apporte du plaisir ! Je suis heureux pour elle !".
"Oh, oui, et elle aime ma grosse bite, tu peux le croire ! Je la baise mieux que toi, tu t'en doutes !".
"Oui, mais c'est pas le plus important pour moi, puisque c'est pas mon truc ! je préfère qu'un autre s'en occupe à ma place !".
A cet instant, je commence à sérieusement, à en avoir marre de ce type ! Je ronge mon frein !
Corinne, qui s'inquiétait de ne plus nous voir, commence à s'approcher.
"Dis-lui à ton mec ! Comment t'as aimé que je t'encule, tout à l'heure !".
"Tu lui as dis ! T'avais pas le droit ! Mon amour ! Ne m'en veux pas ! S'il te plait !".
"Pourquoi ? Ca change rien pour moi ! A moins que tu l'aimes ! Si c'est le cas, il faut que tu fasses un choix ! Je te préfèrerai heureuse avec lui, que malheureuse avec moi !".
"Tu vois, il est d'accord ! Restes avec moi !".
"Justement ! David ! C'est lui que j'aime ! Il pense vraiment à moi ! Toi, tu veux m'enfermer ! Va t'en ! C'est fini entre nous ! T'as tout gâché !".
"Non ! Corinne ! Ne fais pas ça ! On baise trop bien tous les deux ! Je t'aime !".
Je reste en retrait, rassuré, désormais, ça les regarde ! Elle lui répond:
"Je peux pas me passer de Pascal ! C'est comme ça, entre nous, c'est génial, mais ça reste que du sexe ! Va t'en !".
Voyant qu'il insiste, elle me demande:
"Mon amour ! Viens, on s'en va ! C'est pas la peine de discuter plus longtemps !".
Il nous suit jusqu'à la voiture, puis, dans un excès de colère, il se met à la traiter de salope, pute, etc...
Elle se retourne d'un coup et lui répond:
"Oui, je suis une salope ! Une pute ! Tout ce que tu veux ! Mais, c'est ce que tu aimais chez moi ! Non ? Alors ! Adieu !".
On démarre en trombe, pour se garer dans un coin sombre, bien plus loin, elle se met à pleurer.
Je la console:
"Il fallait que ça arrive un jour, ça fait partie des risques ! Il ne faut pas t'en vouloir !".
"Il a raison ! Je suis une salope ! Tu m'en veux, je suis sure !".
"Mais non ! Pas du tout, tu m'aimes, je le sais ! La preuve, c'est moi que tu as choisis ! Je suis désolé pour lui, mais il a joué et il a perdu ! C'est comme ça !".
"Tu peux pas savoir à quel point, je taime ! Pascal ! Tu es tout pour moi ! Ne me quittes jamais ! S'il te plait !".
"Compte sur moi ! Je t'aime trop, moi aussi ! Alors comme ça, il t'a enculée !".
Elle se met à rire !
"Oui !".
"T'as bien joui ? J'espère !".
"Oui ! Mais il est trop con ! C'est dommage ! On s'éclatait bien tous les deux ! Tant pis pour lui ! J'en trouverai un autre ! Mais je savais qu'il allait me causer des problèmes ! Il était trop fou de moi !".
"C'est une bonne leçon !".
"Ohhh ! Oui, ça m'arrivera plus ! Pas avant longtemps, en tout cas !".
Comme pour une chute de cheval, je la force à me raconter leur sodomie, afin de lui redonner, gout au sexe !
Je la masturbe, pendant qu'elle se remémore ses derniers orgasmes avec David.
Elle se met à jouir sous mes doigts !
"Arhhhhhhhhhh ! Mon amour ! J'adorai sa grosse bite ! Il m'enculait tellement bien ! Arhhhhhhhhh ! Je joui ! Orhhh, pourquoi, il a fait ça ? C'était si bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh !".
Elle reprend toute sa tête, puis se jette sur ma queue en érection.
Je suis pris de court, je scrute les alentours, pendant qu'elle me suce la queue, comme la reine des salopes !
J'explose au bout de quelques minutes, elle m'avale goulument.
On se déclare encore, notre amour, comme deux pervers accrocs, l'un à l'autre.
Quelques jours plus tard, Jean Pierre l'a rappelée.
Il s'est excusé pour son fils, et avoue qu'elle n'aurait jamais du accepter la relation suivie avec David !
"Mais, pourquoi, tu viens plus me voir ?".
"Je dois me passer de ce que tu sais ! Pascal a raison, c'est trop dangereux ! Le jeu ne vaut pas le risque ! Et en plus, il y a David ! Si je reviens, je vais le recroiser !".
"Je comprend ! Dommage ! On s'amusait bien tous les deux ! Il y a d'autres jeux, tu sais !".
"Non, je sais que je vais être tentée de recommencer ! Par contre, j'oublierai jamais ce qu'on a vécu ! Surtout au club ! Ca va rester un de mes meilleurs souvenirs !".
"Bon, si tu changes d'avis ! Saches que ma queue t'attends ! C'est quand tu veux ! Je m'arrangerai, pour être sûr que David ne débarquera pas ! Ne lui en veux pas trop ! Il est jeune ! Je comprends qu'il ai craqué sur toi ! T'es la plus adorable des salopes!".
"Merci ! Je vais réfléchir !".
Finalement, elle est retournée chez Jean Pierre !
Puis, un nouvel amant la détournera de lui, c'est la vie !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle aussi a eu des histoires d'amour !
Mais comme beaucoup de femmes, elle a succombé à leur déclarations d'amour continuelles.
C'est très féminin, je pense !
J'ai connu beaucoup d'ex, et d'amies qui ont succombé comme elle !
"A force qu'il me disait qu'il m'aimait, j'ai craqué et je lui dit que je l'aimait, moi aussi".
Moi, ça ne m'est jamais arrivé, au maximum, je ressentais de la tendresse ! C'est tout !
Mais en général ces histoires ne duraient pas ! Ma femme réalisait qu'elle n'avait pas de vrais sentiments !
Mais comme beaucoup de femmes, elle a succombé à leur déclarations d'amour continuelles.
C'est très féminin, je pense !
J'ai connu beaucoup d'ex, et d'amies qui ont succombé comme elle !
"A force qu'il me disait qu'il m'aimait, j'ai craqué et je lui dit que je l'aimait, moi aussi".
Moi, ça ne m'est jamais arrivé, au maximum, je ressentais de la tendresse ! C'est tout !
Mais en général ces histoires ne duraient pas ! Ma femme réalisait qu'elle n'avait pas de vrais sentiments !
Merci, voilà une histoire qui me rappelle bien des souvenirs.
L'époque ou ma femme rencontrait beaucoup d'autres hommes...des amants d'un seul coup..ou régulier.
Toujours surpris quand ils savaient que je savais... elle que même je l'encourageait.. revenant toujours plus amoureuse.
Elle à connue une histoire d'amour en parallèle qui n'as jamais nuit à notre relation.
Bravo,je me reconnais beaucoup ici.
Rudy 1944
L'époque ou ma femme rencontrait beaucoup d'autres hommes...des amants d'un seul coup..ou régulier.
Toujours surpris quand ils savaient que je savais... elle que même je l'encourageait.. revenant toujours plus amoureuse.
Elle à connue une histoire d'amour en parallèle qui n'as jamais nuit à notre relation.
Bravo,je me reconnais beaucoup ici.
Rudy 1944