Le dard au pied de la lettre. Les dictons et le cul
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2024 dans la catégorie A dormir debout
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Le dard au pied de la lettre. Les dictons et le cul
Le dard au pied de la lettre. Les dictons et le cul.
Il y a énormément d’expressions alambiquées dans la langue française. Je vais m’amuser d’en détourner quelques-unes pour essayer de vous faire sourire. Si vous voulez vous-même compléter mon texte avec d’autres expressions, ne vous en privez-pas.
Si comme moi il vous arrive d'être stupide vous vous sentirez comme chez vous dans cette rubrique. Les diatribes dont souvent je fais feu de tout bois ne sont pas toujours -passez-moi l'expression, d'une robustesse à toute épreuve et définitive… et certaines -même lues entre les lignes ne résistent pas à l'analyse fût-elle débonnaire et bienveillante d’un lecteur ou d’une lectrice, légèrement offusqués par mes élucubrations.
Ainsi je ne connais aucun ou aucune partenaire qui volerait de ses propres ailes quand bien même il aurait fumé la moquette dès les premiers rapports avec un partenaire de l’autre sexe. Si vous avez un petit vélo dans la tête et que vous le tentiez pour me donner tort en cherchant la petite bête vous risqueriez de vous foutre en l'air et de vous retrouver le bec dans l'eau en découvrant que l’animal est bien plus imposant que dans vos rêves les plus fous. C'est ce qui arrive quand on se met le doigt dans l'œil au lieu de se servir d’un mettre ruban ou d’une règle rigide. Souvent ces expressions nous mènent en bateau. Je mettrais ma main et mon gros dard au feu que personne ici saurait enculer les mouches mais ne dirait pas non à une bonne sodomie. Pas folle la guêpe ! Surtout avec un gros bourdon. A moins d'en connaître un rayon et d'accepter d'essuyer les plâtres avec un véritable étalon. Comme on fait son lit on se couche et au risque de tomber dans les pommes pendant le coït et de voir trente-six chandelles avant d'avoir pris la poudre d'escampette dans l'espoir de reprendre du poil de la bête faute d’avoir supporté le gourdin de son maître… Je n'ai pas les deux pieds dans le même sabot et je n'ai pas froid aux yeux, ni à la verge que certaines considèrent comme une bête de concours. Je suis plus souvent gonflé à bloc que je n'ai un coup de pompe dans mon démonte-pneu. Pierre qui roule n’amasse pas mousse mais un bon géniteur collectionne les conquêtes. J'essaye de ne pas mettre la charrue avant les bœufs pour ne pas rester sur le carreau à pleurer comme une madeleine en me laissant manger la laine sur le dos préférant abreuver mes conquêtes de ma laitance mais je ne dis pas non à passer par derrière pour faire avancer la bête à deux dos.
Aujourd'hui faute d’avoir trop de bouteille c'est la bouteille à l’encre ou plutôt les couilles pleines d’une substance blanchâtre et gluante qui attire les assoiffées. Mon petit doigt m'a dit que beaucoup ont les boules de ne pas être un superman du sexe mais préfèrent tâter ou jalouser les miennes et cherchent une planche de salut en se plaignant de ne pouvoir joindre les deux bouts alors qu’il n’y a qu’à porter la coupe aux lèvres ou la lance à foutre dans la bouche. Tous sont sur le pied de guerre à vouloir lever un lièvre sans mâcher ses mots ni mon chibre, ou faire se redresser le gourdin. Ces va-t’en guerre souvent vont rester en carafe et iront se faire cuire un œuf car s’il y a loin de la coupe aux lèvres, avec mon bâton crémeux, la distance importe peu. Même pour ceux qui ont le bras long faute d’avoir une véritable tige pharaonique, il n’y a qu’au pied du mur que l’on juge le travail du maçon !
Une femme préfère avoir un coup de cœur et se servir de sa langue pour titiller mon méat que de donner sa langue au chat. Sans mettre les pieds dans le plat et aller faire téter les puces, elles préfèrent de loin s’abreuver à ma lance, sans mentir comme un arracheur de dents. Au lieu de chier une pendule, elles préfèrent que je leur ramone le fion plutôt que d’avoir le cul bordé de nouilles. Elles arrivent maquillées comme une voiture volée et je leur ordonne :
-Baisse ta culotte c’est moi qui pilote et ce n’est pas la fin des haricots ! Et comme disait l’un de nos présidents, « ça m’en touche une sans faire bouger l’autre »
Il ne faut pas pousser mémé dans les orties, et sans avoir voix au chapitre, faute de donner sa langue au chat je préfère prêter ma queue à la chatte, il n’y a pas à yoyotter de la touffe.
Plutôt que de jeter le bébé avec l’eau du bain, ce qui serait comme pisser dans un violon et ne casserait-pas trois pattes à un canard, je préfère faire la bête à deux dos et ne pas lui poser un lapin. J’ai bon pied bon œil, et aussi un bon braquemard et elle doit mettre de l’eau dans son vin et ne pas avoir les yeux plus gros que son ventre.
Sans avoir un fil à la patte, je préfère être connu comme le loup blanc et cerise sur le gâteau, avoir le vent en poupe et l’épée tendue à la proue. A celui que ça défrise, va te faire cuire un œuf ou te branler les couilles, ça fait chier la bite, la putain de sa mère, va te faire cuire le cul, peau de zob, pute borgne !
On ne va pas tortiller du cul pour chier droit, comme on dit ; on prend le train ou on s’encule, mettre la viande dans le torchon pour faire pleurer popaul plutôt que de couler un bronze.
Par la chatte à ton père, les femmes adorent me branler sans avoir les mains pleines de pouces et sucer mon dard jusqu’à ce que les dents du fond qui baignent, puis avoir le cigare au bord des lèvres et titiller cette tête de gland. On fait ça à la bonne franquette, à se taper le cul par terre sans chier dans la colle et avoir une couille dans le potage
Pour elles, comme mes couilles, elles adorent toujours être entre mes pattes. Je ne sais pas si j’ai été bercé trop près du mur pour vous raconter tant de conneries. Je suis loin d’être le pneu le plus gonflé du garage, mais pas loin et contrairement au dicton : « T’es pas le piston le plus vif du moteur », sans raconter des salades et en faire tout un fromage ou rouler à tombeau ouvert, je tire les marrons du feu et tire les meufs à la chaine, (de vélo bien sûr). Quitte à apprendre par cœur ce dicton : plus on est de fous, plus on rit.
J’espère que ça vous a plu et bien fait rigoler.
Il y a énormément d’expressions alambiquées dans la langue française. Je vais m’amuser d’en détourner quelques-unes pour essayer de vous faire sourire. Si vous voulez vous-même compléter mon texte avec d’autres expressions, ne vous en privez-pas.
Si comme moi il vous arrive d'être stupide vous vous sentirez comme chez vous dans cette rubrique. Les diatribes dont souvent je fais feu de tout bois ne sont pas toujours -passez-moi l'expression, d'une robustesse à toute épreuve et définitive… et certaines -même lues entre les lignes ne résistent pas à l'analyse fût-elle débonnaire et bienveillante d’un lecteur ou d’une lectrice, légèrement offusqués par mes élucubrations.
Ainsi je ne connais aucun ou aucune partenaire qui volerait de ses propres ailes quand bien même il aurait fumé la moquette dès les premiers rapports avec un partenaire de l’autre sexe. Si vous avez un petit vélo dans la tête et que vous le tentiez pour me donner tort en cherchant la petite bête vous risqueriez de vous foutre en l'air et de vous retrouver le bec dans l'eau en découvrant que l’animal est bien plus imposant que dans vos rêves les plus fous. C'est ce qui arrive quand on se met le doigt dans l'œil au lieu de se servir d’un mettre ruban ou d’une règle rigide. Souvent ces expressions nous mènent en bateau. Je mettrais ma main et mon gros dard au feu que personne ici saurait enculer les mouches mais ne dirait pas non à une bonne sodomie. Pas folle la guêpe ! Surtout avec un gros bourdon. A moins d'en connaître un rayon et d'accepter d'essuyer les plâtres avec un véritable étalon. Comme on fait son lit on se couche et au risque de tomber dans les pommes pendant le coït et de voir trente-six chandelles avant d'avoir pris la poudre d'escampette dans l'espoir de reprendre du poil de la bête faute d’avoir supporté le gourdin de son maître… Je n'ai pas les deux pieds dans le même sabot et je n'ai pas froid aux yeux, ni à la verge que certaines considèrent comme une bête de concours. Je suis plus souvent gonflé à bloc que je n'ai un coup de pompe dans mon démonte-pneu. Pierre qui roule n’amasse pas mousse mais un bon géniteur collectionne les conquêtes. J'essaye de ne pas mettre la charrue avant les bœufs pour ne pas rester sur le carreau à pleurer comme une madeleine en me laissant manger la laine sur le dos préférant abreuver mes conquêtes de ma laitance mais je ne dis pas non à passer par derrière pour faire avancer la bête à deux dos.
Aujourd'hui faute d’avoir trop de bouteille c'est la bouteille à l’encre ou plutôt les couilles pleines d’une substance blanchâtre et gluante qui attire les assoiffées. Mon petit doigt m'a dit que beaucoup ont les boules de ne pas être un superman du sexe mais préfèrent tâter ou jalouser les miennes et cherchent une planche de salut en se plaignant de ne pouvoir joindre les deux bouts alors qu’il n’y a qu’à porter la coupe aux lèvres ou la lance à foutre dans la bouche. Tous sont sur le pied de guerre à vouloir lever un lièvre sans mâcher ses mots ni mon chibre, ou faire se redresser le gourdin. Ces va-t’en guerre souvent vont rester en carafe et iront se faire cuire un œuf car s’il y a loin de la coupe aux lèvres, avec mon bâton crémeux, la distance importe peu. Même pour ceux qui ont le bras long faute d’avoir une véritable tige pharaonique, il n’y a qu’au pied du mur que l’on juge le travail du maçon !
Une femme préfère avoir un coup de cœur et se servir de sa langue pour titiller mon méat que de donner sa langue au chat. Sans mettre les pieds dans le plat et aller faire téter les puces, elles préfèrent de loin s’abreuver à ma lance, sans mentir comme un arracheur de dents. Au lieu de chier une pendule, elles préfèrent que je leur ramone le fion plutôt que d’avoir le cul bordé de nouilles. Elles arrivent maquillées comme une voiture volée et je leur ordonne :
-Baisse ta culotte c’est moi qui pilote et ce n’est pas la fin des haricots ! Et comme disait l’un de nos présidents, « ça m’en touche une sans faire bouger l’autre »
Il ne faut pas pousser mémé dans les orties, et sans avoir voix au chapitre, faute de donner sa langue au chat je préfère prêter ma queue à la chatte, il n’y a pas à yoyotter de la touffe.
Plutôt que de jeter le bébé avec l’eau du bain, ce qui serait comme pisser dans un violon et ne casserait-pas trois pattes à un canard, je préfère faire la bête à deux dos et ne pas lui poser un lapin. J’ai bon pied bon œil, et aussi un bon braquemard et elle doit mettre de l’eau dans son vin et ne pas avoir les yeux plus gros que son ventre.
Sans avoir un fil à la patte, je préfère être connu comme le loup blanc et cerise sur le gâteau, avoir le vent en poupe et l’épée tendue à la proue. A celui que ça défrise, va te faire cuire un œuf ou te branler les couilles, ça fait chier la bite, la putain de sa mère, va te faire cuire le cul, peau de zob, pute borgne !
On ne va pas tortiller du cul pour chier droit, comme on dit ; on prend le train ou on s’encule, mettre la viande dans le torchon pour faire pleurer popaul plutôt que de couler un bronze.
Par la chatte à ton père, les femmes adorent me branler sans avoir les mains pleines de pouces et sucer mon dard jusqu’à ce que les dents du fond qui baignent, puis avoir le cigare au bord des lèvres et titiller cette tête de gland. On fait ça à la bonne franquette, à se taper le cul par terre sans chier dans la colle et avoir une couille dans le potage
Pour elles, comme mes couilles, elles adorent toujours être entre mes pattes. Je ne sais pas si j’ai été bercé trop près du mur pour vous raconter tant de conneries. Je suis loin d’être le pneu le plus gonflé du garage, mais pas loin et contrairement au dicton : « T’es pas le piston le plus vif du moteur », sans raconter des salades et en faire tout un fromage ou rouler à tombeau ouvert, je tire les marrons du feu et tire les meufs à la chaine, (de vélo bien sûr). Quitte à apprendre par cœur ce dicton : plus on est de fous, plus on rit.
J’espère que ça vous a plu et bien fait rigoler.
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36 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La meilleure lettre, le Q
Ce qu'on peut faire avec les mots...
Mais où il a trouvé tous ces dictons?
J'ai fait lire l'histoire à ma femme mais c'est l'avatar qui l'a scotchée
Il aurait pu remplacer dard par gourdin ou poutre
Surprenant et pourtant très bien conçu
La langue française est formidable
Il nous étonnera toujours. Encore bravo
Rigolo et éducatif
L'encre de ce stylo est blanche et poisseuse
Plutôt que le pied, je préfère le dard de mlkjhg39
Où est-il allé chercher tous ces dictons?
Ah, ah, ah!Rigolo
A Q B C G SU C son dard
Fallait le faire.
Mlkjhg39 me surprendra toujours
La plume est le gourdin de l'auteur
Histoire peu lu mais pourtant superbement écrite.
En fait de dard, c'est plutôt un gourdin
Ça m'a bien fait rigoler
Il nous surprendra toujours
Et pour la lettre, le Q
Sans queue ni tête
J'aurais cru que cette histoire aurait eu plus de succès
Rigolo
Son cerveau est aussi efficace que son chibre dans ses vidéos
Histoire pas piquée des vers.
Construire une histoire avec des expressions, fallait le faire.
Très drôle
Où va-t-il trouver tout ça ?
J'adore
Tu nous surprendras toujours mlkjhg39
De beaux jeux de mots.
Bien vu
Pas mou du gland, cette histoire
Fallait y penser