Le Deal 10
Récit érotique écrit par Kerian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Deal 10
Samedi matin 9h. Le réveil est facile, J'ai faim. Je n'ai rien mangé depuis avant hier soir. Direction la cuisine, tartines au beurre salé, café, Tout va bien. Première cigarette, un coup d'oeil au PC des fois que, mais c'est le silence radio.
Heureusement, il n'aurait plus manqué que ça. Bon, maintenant dans l'ordre je m'occupe de, moi, le Boss, Florence. Une bonne douche, mon copain le plug et me voilà Prêt à appeler mon futur ex-patron. Même le samedi, il se lève à six heures. Je suis sûr de ne pas le réveiller:-"Bonjour Monsieur. C'est Jo. J'espère que je ne vous dérange pas.
-Salut, Jo. Bien sûr que non. Dis-moi donc, tu vas mieux? Tu avais l'air bizarre hier et j'ai senti l'équipe tendue.
-Je suis désolé, Monsieur. Juste des petits soucis, ce n'est pas grave et puis votre annonce avait de quoi me déconcerter quelque peu.
-Surtout Jo, ne crois pas que je veuille me débarrasser de toi, bien au contraire. Je me suis même surpris à penser que tu resterais peut-être chez moi, mais je m'incline devant la superbe opportunité qui t'est faite. Alors, tu as décidé?
-J'ai parlé avec Pierre Drumon hier et j'ai accepté sa proposition. Il désire que je commence dès lundi.
-Ah ouais... bon et bien, félicitations, Jo. Je fais préparer le dossier dès lundi et on se reparle très vite. Je sens que je vais avoir un mal fou à te remplacer mon cochon! Allez, je te souhaite bonne chance et à bientôt.
-Merci beaucoup, Monsieur. Bon week end et à bientôt."Il ne croit pas si bien dire celui-là. Il m'a appelé "mon cochon". S'il savait que son collaborateur fétiche l'appelle le samedi matin avec un plug planté dans le cul et qu'il suce la bite de son futur patron, je pense qu'il aurait un peu moins d'égards envers moi. Ceci dit, je dois me concentrer maintenant sur le cas de Florence, au cas bien sûr où elle me rappelle. Parce qu'à l'heure qu'il est rien n'est encore fait.
Jusqu'à maintenant mon plan qui n'en était pas vraiment un au départ tant il m'a fallu improviser se déroule à merveille. Le seul bémol, c'est que l'héroïne de cet improbable scénario manque à l'appel. Et surtout comment l'amener ici pour arriver à mon but ultime? Je décide néanmoins de continuer dans l'improvisation, car jusqu'à maintenant, ça m'a plutôt bien réussi. Et c'est vers treize heures trente que la miss revient à la charge quand j'entends mon portable sonner:-"Allô?
-Bonjour Jo, c'est Florence. Tu sais, je n'ai pas dormi de la nuit parce que..." Décidément, quand elle démarre, on ne peut pas l'arrêter. La voilà qui m'explique qu'elle n'a pas compris ce qui s'est passé, que tout ce qu'elle voulait c'était qu'on s'amuse un peu, que ses soirées du vendredi lui servaient la plupart du temps à rentrer au mieux avec un mec, au pire avec une fille, mais qu'elle préfère quand même la gent masculine. Elle enchaîne en disant qu'elle avait vraiment flashé sur moi au poker, mais que c'était sûrement pas pour me demander en mariage, elle vit très bien toute seule, pour finir en soulignant que ce qui l'avait le plus émoustillée, c'est le ton directif que j'avais pris en lui demandant de me rappeler, un peu comme si elle avait reçu un ordre de son maître." Je saisis la balle au bond au bond avec ce ton plus dur:-"Serais-tu prête à jouer le jeu?
-Oui.
-Très bien, alors seize heures chez moi."Cette fois ci, je suis prêt. Mon salon est nickel, le caméscope astucieusement dissimulé et prêt à immortaliser ce qui se passera sur le canapé, je lui ai expliqué comment arriver chez moi et je suis confortablement installé dans un fauteuil, en compagnie d'un petit bourbon et d'une cigarette. Je suis nu dans mon peignoir correctement fermé, du moins pour l'instant. C'est incroyable, je bande déjà. Non pas que Florence soit pour moi attirante, mais je suis excité à l'idée de diriger les débats avec cette fille qui ne veut qu'une seule chose, c'est se taper son Jo qui l'a laissé sur sa faim hier et semble prête à tout pour arriver à ce qu'elle veut. Elle m'a même promis une surprise. Mon portable sonne soudain:-"Jo, c'est Florence. Je ne peux pas entrer la barrière est fermée." Ce à quoi je réponds avec ce ton si dur qui l'avait tant émoustillée:-"Je t'ouvre, tu te gares, tu entres chez moi et pas un mot." Elle conclut avec un ton qui se voudrait obéissant par un:-"Oui Monsieur!"Je presse la télécommande qui ouvre la barrière et laisse le passage à l'auto de la demoiselle. Ma porte s'ouvre et Florence apparaît vêtue d'un manteau en simili cuir noir descendant jusqu'à mi mollet, laissant apparaître une paire de bottes, noires également, à talons de cinq centimètres. Je m'aperçois en la regardant qu'elle a en fait un joli petit minois qu'elle a eu le bon goût de maquiller outrageusement, en insistant bien sur le contour des yeux et parant ses lèvres d'un gloss pourpre très foncé. Ses faux cheveux blonds sont tirés en arrière et tout ça lui donne un look qui se voudrait gothique tout en me rassurant, car de cette façon Karine ne la trouvera certainement pas trop jolie. Sans un mot, je lui indique d'un signe où elle doit se placer, de manière à ce que l'oeil espion qui enregistre le moindre détail, ne puisse rien manquer de ce qui se déroule maintenant. Elle remarque la bosse présente sous mon peignoir. elle se dit alors qu'elle produit l'effet escompté, se saisit d'une chaise la dispose à deux mètres en face de moi puis s'assoit. Je la gratifie d'un signe de tête approbateur et désigne les boutons du manteau qui l'habille encore à ce moment.
Elle les fait sauter un à un découvrant progressivement un corps dont les rondeurs sont vraiment plus que prononcées. Ceci étant d'autant plus visible que la dame est totalement nue en dessous du manteau. Une fois celui-ci grand ouvert elle écarte ses cuisses pour laisser apparaître une chatte qu'elle a pris soin de raser totalement avant notre entrevue. Toujours sans un mot, je me dirige vers elle, l'aide à se relever et me débarrasse de cette chaise encombrante. Je me place ensuite derrière Florence et libère ses épaules de ce vêtement devenu inutile. Elle est maintenant debout, totalement nue, avec pour seuls atours, un collier de fausses perles sombres et les bottes que je ne voulais pas qu'elle ôte. Je commence alors mon inspection en faisant plusieurs fois le tour de ma partenaire d'un jour et en la toisant d'un oeil circonspect. M'arrêtant face à elle, j'effleure d'abord ses épaules assez larges puis descend vers ses seins énormes, lourds et tombant. Je contourne de mes doigts deux aréoles brunes et gigantesques avant de recentrer mon attention sur les deux tétons déjà durs et dressés que je titille un peu en les pinçant avec fermeté. Prenant alors en main ces deux imposantes mamelles, je les sous pèse puis les malaxe avec vigueur, arrachant à ma proie des gémissements de satisfaction. Je cesse alors immédiatement mes attouchements et me plaçant derrière elle, je délivre deux claques sèches sur son impressionnant fessier:-"J'ai dit pas un mot!
-Excusez-moi.
-Bien."Je retourne alors prendre place dans le fauteuil et une fois installé, lui montre la ceinture nouée de mon peignoir. Elle s'approche de suite, se met à genoux entre mes jambes écartées et ouvre celui-ci toute heureuse de pouvoir enfin reprendre les débats là où ils s'étaient arrêtés hier soir. Elle me reprend aussitôt en bouche et recommence à me pomper sur le même rythme endiablé. Je dois dire que son accueillant réceptacle qui s'active à me happer puis me relâcher et sa langue qui s'enroule tel un reptile emprisonnant sa proie me mettent rapidement dans un état proche du point de non retour, tenant compte du fait que la semaine que je viens de passer a été à peu près tout ce qu'on veut sauf torride. Je la rejette une nouvelle fois en arrière. Elle me regarde du coup avec un air aussi triste qu'interrogateur mais ne dit pas un mot.
Je lui intime alors toujours en silence de s'installer à quatre pattes sur le canapé et me place derrière celui-ci de manière à ne pas boucher l'angle de mon espionne de caméra. Je caresse lentement le dos de ma compagne du moment. Elle a de petits frissons d'aise qui m'invitent à poursuivre plus avant. Je m'attarde alors sur ses fesses, les pétrissant lentement puis plus vigoureusement pour revenir enfin à des caresses plus douces, insinuant de temps à autre mes doigts dans sa raie et la cochonne qui n'en demandait pas temps commence à onduler sous l'effet de ces attouchements répétés. Mes mains s'enhardissent encore pour descendre vers sa chatte qui est maintenant gonflée et humide, toute dégoulinante de cyprine. Plus aucune toison ne m'empêche maintenant l'accès à sa fente qui s'ouvre comme un fruit mur dès que mes doigts se présentent à l'entrée de ce con inondé. J'introduis directement deux doigts dans ce conduit chaud et profond et je la sens alors prendre une grande respiration pour s'empêcher de lâcher un gémissement provoqué par la fulgurance de cet assaut. L'accès à l'intérieur de son ventre est aussi serré que ses hanches sont larges. Son postérieur ondule de plus en plus au rythme du mouvement de va et vient qu'impriment mes doigts tandis que mon autre main a maintenant pris possession de son bouton durcissant à son tour en roulant sous mes doigts. Je l'abandonne ensuite quelques instants, le temps d'enfiler rapidement un préservatif:-"Je vais te prendre maintenant et tu accepteras ma queue." En guise de réponse, puisqu'elle ne peut parler, à l'aide de ses mains, elle écarte ses fesses, offrant encore un peu plus son puits d'amour à ma pine bandée comme un arc. Je m'introduis en elle fermement et commence à la besogner sans ménagement lui arrachant dans un soupir rauque:-"Oh oui, baisez-moi comme ça, c'est tellement bon." Quatre claques cinglantes la font se raviser, quant à continuer à exprimer ainsi sa satisfaction. Elle porte alors une main à sa bouche pour s'empêcher de crier, tandis que l'autre s'affaire à maltraiter son clito au moyen de caresses qui ont l'air bien plus qu'appuyées. Elle ne criera plus mais je la sens tout à coup contracter son vagin sous la force de l'orgasme qui l'envahit maintenant. Je ressens également la montée de mon jus. Je me retire alors et après m'être débarrassé de cette gaine de latex, j'inonde son dos et sa raie de mon foutre épais et chaud en fixant l'objectif.
Quelques instants pour reprendre mes esprits, et je me dirige vers la caméra pour appuyer sur Stop, ma production devant être sans retouche, on ne sait jamais. Et j'ai bien fais car à l'instant même:-"Jo! C'est pas possible! T'as pas fait ça?! T'as pas filmé!
-Et si mademoiselle. J'adore filmer mes ébats. Surtout quand ils sortent à ce point de l'ordinaire" réponds-je avec un air faussement blasé.
-"Mais tu es un gros pervers, toi! Et puis après tout, je me doutais bien en venant ici que ça n'allait pas se passer de façon tout à fait commune alors un peu plus, un peu moins!"Pour couper court, je lui propose une douche qu'elle accepte volontiers, puis après quelques petits bisous, un verre et des promesses plus ou moins sincères de se revoir bientôt, la demoiselle ajuste son manteau, remonte dans sa voiture et disparaît. si elle savait...
(à suivre...)
Heureusement, il n'aurait plus manqué que ça. Bon, maintenant dans l'ordre je m'occupe de, moi, le Boss, Florence. Une bonne douche, mon copain le plug et me voilà Prêt à appeler mon futur ex-patron. Même le samedi, il se lève à six heures. Je suis sûr de ne pas le réveiller:-"Bonjour Monsieur. C'est Jo. J'espère que je ne vous dérange pas.
-Salut, Jo. Bien sûr que non. Dis-moi donc, tu vas mieux? Tu avais l'air bizarre hier et j'ai senti l'équipe tendue.
-Je suis désolé, Monsieur. Juste des petits soucis, ce n'est pas grave et puis votre annonce avait de quoi me déconcerter quelque peu.
-Surtout Jo, ne crois pas que je veuille me débarrasser de toi, bien au contraire. Je me suis même surpris à penser que tu resterais peut-être chez moi, mais je m'incline devant la superbe opportunité qui t'est faite. Alors, tu as décidé?
-J'ai parlé avec Pierre Drumon hier et j'ai accepté sa proposition. Il désire que je commence dès lundi.
-Ah ouais... bon et bien, félicitations, Jo. Je fais préparer le dossier dès lundi et on se reparle très vite. Je sens que je vais avoir un mal fou à te remplacer mon cochon! Allez, je te souhaite bonne chance et à bientôt.
-Merci beaucoup, Monsieur. Bon week end et à bientôt."Il ne croit pas si bien dire celui-là. Il m'a appelé "mon cochon". S'il savait que son collaborateur fétiche l'appelle le samedi matin avec un plug planté dans le cul et qu'il suce la bite de son futur patron, je pense qu'il aurait un peu moins d'égards envers moi. Ceci dit, je dois me concentrer maintenant sur le cas de Florence, au cas bien sûr où elle me rappelle. Parce qu'à l'heure qu'il est rien n'est encore fait.
Jusqu'à maintenant mon plan qui n'en était pas vraiment un au départ tant il m'a fallu improviser se déroule à merveille. Le seul bémol, c'est que l'héroïne de cet improbable scénario manque à l'appel. Et surtout comment l'amener ici pour arriver à mon but ultime? Je décide néanmoins de continuer dans l'improvisation, car jusqu'à maintenant, ça m'a plutôt bien réussi. Et c'est vers treize heures trente que la miss revient à la charge quand j'entends mon portable sonner:-"Allô?
-Bonjour Jo, c'est Florence. Tu sais, je n'ai pas dormi de la nuit parce que..." Décidément, quand elle démarre, on ne peut pas l'arrêter. La voilà qui m'explique qu'elle n'a pas compris ce qui s'est passé, que tout ce qu'elle voulait c'était qu'on s'amuse un peu, que ses soirées du vendredi lui servaient la plupart du temps à rentrer au mieux avec un mec, au pire avec une fille, mais qu'elle préfère quand même la gent masculine. Elle enchaîne en disant qu'elle avait vraiment flashé sur moi au poker, mais que c'était sûrement pas pour me demander en mariage, elle vit très bien toute seule, pour finir en soulignant que ce qui l'avait le plus émoustillée, c'est le ton directif que j'avais pris en lui demandant de me rappeler, un peu comme si elle avait reçu un ordre de son maître." Je saisis la balle au bond au bond avec ce ton plus dur:-"Serais-tu prête à jouer le jeu?
-Oui.
-Très bien, alors seize heures chez moi."Cette fois ci, je suis prêt. Mon salon est nickel, le caméscope astucieusement dissimulé et prêt à immortaliser ce qui se passera sur le canapé, je lui ai expliqué comment arriver chez moi et je suis confortablement installé dans un fauteuil, en compagnie d'un petit bourbon et d'une cigarette. Je suis nu dans mon peignoir correctement fermé, du moins pour l'instant. C'est incroyable, je bande déjà. Non pas que Florence soit pour moi attirante, mais je suis excité à l'idée de diriger les débats avec cette fille qui ne veut qu'une seule chose, c'est se taper son Jo qui l'a laissé sur sa faim hier et semble prête à tout pour arriver à ce qu'elle veut. Elle m'a même promis une surprise. Mon portable sonne soudain:-"Jo, c'est Florence. Je ne peux pas entrer la barrière est fermée." Ce à quoi je réponds avec ce ton si dur qui l'avait tant émoustillée:-"Je t'ouvre, tu te gares, tu entres chez moi et pas un mot." Elle conclut avec un ton qui se voudrait obéissant par un:-"Oui Monsieur!"Je presse la télécommande qui ouvre la barrière et laisse le passage à l'auto de la demoiselle. Ma porte s'ouvre et Florence apparaît vêtue d'un manteau en simili cuir noir descendant jusqu'à mi mollet, laissant apparaître une paire de bottes, noires également, à talons de cinq centimètres. Je m'aperçois en la regardant qu'elle a en fait un joli petit minois qu'elle a eu le bon goût de maquiller outrageusement, en insistant bien sur le contour des yeux et parant ses lèvres d'un gloss pourpre très foncé. Ses faux cheveux blonds sont tirés en arrière et tout ça lui donne un look qui se voudrait gothique tout en me rassurant, car de cette façon Karine ne la trouvera certainement pas trop jolie. Sans un mot, je lui indique d'un signe où elle doit se placer, de manière à ce que l'oeil espion qui enregistre le moindre détail, ne puisse rien manquer de ce qui se déroule maintenant. Elle remarque la bosse présente sous mon peignoir. elle se dit alors qu'elle produit l'effet escompté, se saisit d'une chaise la dispose à deux mètres en face de moi puis s'assoit. Je la gratifie d'un signe de tête approbateur et désigne les boutons du manteau qui l'habille encore à ce moment.
Elle les fait sauter un à un découvrant progressivement un corps dont les rondeurs sont vraiment plus que prononcées. Ceci étant d'autant plus visible que la dame est totalement nue en dessous du manteau. Une fois celui-ci grand ouvert elle écarte ses cuisses pour laisser apparaître une chatte qu'elle a pris soin de raser totalement avant notre entrevue. Toujours sans un mot, je me dirige vers elle, l'aide à se relever et me débarrasse de cette chaise encombrante. Je me place ensuite derrière Florence et libère ses épaules de ce vêtement devenu inutile. Elle est maintenant debout, totalement nue, avec pour seuls atours, un collier de fausses perles sombres et les bottes que je ne voulais pas qu'elle ôte. Je commence alors mon inspection en faisant plusieurs fois le tour de ma partenaire d'un jour et en la toisant d'un oeil circonspect. M'arrêtant face à elle, j'effleure d'abord ses épaules assez larges puis descend vers ses seins énormes, lourds et tombant. Je contourne de mes doigts deux aréoles brunes et gigantesques avant de recentrer mon attention sur les deux tétons déjà durs et dressés que je titille un peu en les pinçant avec fermeté. Prenant alors en main ces deux imposantes mamelles, je les sous pèse puis les malaxe avec vigueur, arrachant à ma proie des gémissements de satisfaction. Je cesse alors immédiatement mes attouchements et me plaçant derrière elle, je délivre deux claques sèches sur son impressionnant fessier:-"J'ai dit pas un mot!
-Excusez-moi.
-Bien."Je retourne alors prendre place dans le fauteuil et une fois installé, lui montre la ceinture nouée de mon peignoir. Elle s'approche de suite, se met à genoux entre mes jambes écartées et ouvre celui-ci toute heureuse de pouvoir enfin reprendre les débats là où ils s'étaient arrêtés hier soir. Elle me reprend aussitôt en bouche et recommence à me pomper sur le même rythme endiablé. Je dois dire que son accueillant réceptacle qui s'active à me happer puis me relâcher et sa langue qui s'enroule tel un reptile emprisonnant sa proie me mettent rapidement dans un état proche du point de non retour, tenant compte du fait que la semaine que je viens de passer a été à peu près tout ce qu'on veut sauf torride. Je la rejette une nouvelle fois en arrière. Elle me regarde du coup avec un air aussi triste qu'interrogateur mais ne dit pas un mot.
Je lui intime alors toujours en silence de s'installer à quatre pattes sur le canapé et me place derrière celui-ci de manière à ne pas boucher l'angle de mon espionne de caméra. Je caresse lentement le dos de ma compagne du moment. Elle a de petits frissons d'aise qui m'invitent à poursuivre plus avant. Je m'attarde alors sur ses fesses, les pétrissant lentement puis plus vigoureusement pour revenir enfin à des caresses plus douces, insinuant de temps à autre mes doigts dans sa raie et la cochonne qui n'en demandait pas temps commence à onduler sous l'effet de ces attouchements répétés. Mes mains s'enhardissent encore pour descendre vers sa chatte qui est maintenant gonflée et humide, toute dégoulinante de cyprine. Plus aucune toison ne m'empêche maintenant l'accès à sa fente qui s'ouvre comme un fruit mur dès que mes doigts se présentent à l'entrée de ce con inondé. J'introduis directement deux doigts dans ce conduit chaud et profond et je la sens alors prendre une grande respiration pour s'empêcher de lâcher un gémissement provoqué par la fulgurance de cet assaut. L'accès à l'intérieur de son ventre est aussi serré que ses hanches sont larges. Son postérieur ondule de plus en plus au rythme du mouvement de va et vient qu'impriment mes doigts tandis que mon autre main a maintenant pris possession de son bouton durcissant à son tour en roulant sous mes doigts. Je l'abandonne ensuite quelques instants, le temps d'enfiler rapidement un préservatif:-"Je vais te prendre maintenant et tu accepteras ma queue." En guise de réponse, puisqu'elle ne peut parler, à l'aide de ses mains, elle écarte ses fesses, offrant encore un peu plus son puits d'amour à ma pine bandée comme un arc. Je m'introduis en elle fermement et commence à la besogner sans ménagement lui arrachant dans un soupir rauque:-"Oh oui, baisez-moi comme ça, c'est tellement bon." Quatre claques cinglantes la font se raviser, quant à continuer à exprimer ainsi sa satisfaction. Elle porte alors une main à sa bouche pour s'empêcher de crier, tandis que l'autre s'affaire à maltraiter son clito au moyen de caresses qui ont l'air bien plus qu'appuyées. Elle ne criera plus mais je la sens tout à coup contracter son vagin sous la force de l'orgasme qui l'envahit maintenant. Je ressens également la montée de mon jus. Je me retire alors et après m'être débarrassé de cette gaine de latex, j'inonde son dos et sa raie de mon foutre épais et chaud en fixant l'objectif.
Quelques instants pour reprendre mes esprits, et je me dirige vers la caméra pour appuyer sur Stop, ma production devant être sans retouche, on ne sait jamais. Et j'ai bien fais car à l'instant même:-"Jo! C'est pas possible! T'as pas fait ça?! T'as pas filmé!
-Et si mademoiselle. J'adore filmer mes ébats. Surtout quand ils sortent à ce point de l'ordinaire" réponds-je avec un air faussement blasé.
-"Mais tu es un gros pervers, toi! Et puis après tout, je me doutais bien en venant ici que ça n'allait pas se passer de façon tout à fait commune alors un peu plus, un peu moins!"Pour couper court, je lui propose une douche qu'elle accepte volontiers, puis après quelques petits bisous, un verre et des promesses plus ou moins sincères de se revoir bientôt, la demoiselle ajuste son manteau, remonte dans sa voiture et disparaît. si elle savait...
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