Le Deal 15
Récit érotique écrit par Kerian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Deal 15
Cette fin de première journée se passe calmement et Karine ne viendra m'ordonner de me lever que pour dîner et ensuite regarder un film avec Elle dans le grand salon. Cette soirée de détente à visionner "Venus in furs" couché à ses pieds sur ce moelleux tapis, Elle me l'offre parce qu'Elle a été satisfaite par cette entrée en matière, par la façon dont je Lui obéis déjà au doigt et à l'oeil et de la rapidité avec laquelle j'assimile les codes qu'il me faudra désormais appliquer en tout temps. Le film se terminant:
"Remets le disque à sa place et va te coucher. J'ai besoin de repos maintenant."
Je me conforme une nouvelle fois à Son ordre et je me dirige vers ma chambre, non sans Lui avoir respectueusement souhaité le bonsoir. Je note que la porte à double battant communiquant avec la chambre de Karine est grande ouverte. Avant de me glisser dans les draps en satin, un rapide coup d'oeil à mon portable, j'ai reçu un sms de Pascale:
"Coucou Jo. J'espère que la première journée dans ton nouvel emploi s'est bien passée. A la boîte, c'est déjà le bordel! Quel vide tu laisses, et pas qu'à la boîte d'ailleurs... Bisous"
Ah Pascale! Si elle savait la pauvre. Je ne réponds pas à son message, mais il faudra tout de même que j'en parle à Karine demain. De toute façon je n'ai pas le choix, les ordres sont formels. Ceci fait, je me glisse dans les draps et ne tarde pas à trouver le sommeil.
Mais qu'est-ce que... La lumière s'allume, des vociférations me tirent de ce sommeil jusque là profond et réparateur. Le drap me recouvrant s'envole comme par magie:
"Réveille-toi!"
Cette voix... celle que je n'aime pas. Un rapide coup d'oeil sur le réveil à côté du lit, il est 2h30 du matin. Manifestement, Madame Karine est contrariée, c'est le moins qu'on puisse dire. Aurais-je fait quelque chose qui L'a empêché de dormir, parlé en dormant, ronflé, que sais-je? mais non, je ne tarde pas à comprendre que la raison est toute autre:
"Une bite! Il me faut une bite! C'est toujours pareil, je le savais pourtant! Et toi, t'es pas prêt! Si Pierre avait été là, il m'aurait sauté et on en parlait plus. Mais non! Il a fallu que mon Père l'envoie à l'autre bout de la planète! J'ai envie de sucer et qu'on me baise, bordel! Et comme une conne, j'ai libéré Constance juste après manger! Elle aurait pu me prendre, elle, pour une fois et on était tranquille! A genoux sur le lit et en position, mains derrière la tête et dépêche-toi!"
Elle est en furie. Et même si je n'y suis pour rien, tout est de ma faute. Il Lui faut un bouc émissaire et comme je suis seul avec Elle... Elle tourne en rond dans la chambre comme une lionne en cage! et puis soudain:
"Tu bouges pas! Je reviens!"
Je sais pas bien où je pourrais aller de toute façon, j'attends donc quelques minutes et je La vois revenir avec un sac et des accessoires en cuir. Je comprends tout de suite pourquoi Madame Lydia disait qu'Elle était déjà très bien équipée. Je n'y connais pas grand chose à ce moment-là, mais quand Elle étale tout ça sur le lit, il ne faut pas être un expert pour voir que ce sont des accessoires grand luxe, à la finition très soignée, peut-être même fabriqués sur mesure.
"Voilà mon salaud! J'ai ce qu'il me faut! Mets tes bras le long du corps!"
Et Elle me passe une ceinture bizarre autour de la taille, munie de deux étuis fermés qui me font penser à une ceinture de revolvers. A ceci près que chaque étui est muni de menottes en cuir. Je vais vite comprendre que c'est pas pour jouer aux cow boys et aux indiens.
"Passe tes mains dans les étuis!"
Ceci fait, Elle ferme les menottes autour de mes poignets et me voilà dans l'impossibilité totale de me servir de mes mains. Elle poursuit en me passant des menottes aux cuisses et aux chevilles en les attachant entre elles par des mousquetons. Elle me passe ensuite le gode bâillon que je connais déjà et termine mon harnachement par un masque semblable à ceux que l'on utilise pour dormir en avion mis à part que celui-ci est en cuir doublé de velours noir à l'intérieur pour en rendre le port plus confortable. Merci pour cela, Madame Karine.
"Bien, puisque je ne dors pas, on va en profiter pour s'occuper un peu de toi, ça nous fera toujours gagner un peu de temps pour la suite."
Je suis toujours à genoux sur le lit, les bras entravés à la taille, les chevilles liées à mes cuisses et je n'y vois maintenant plus rien du tout ce qui ajoute encore à ma confusion. Je ne parle même pas de cette queue en plastique qui a de nouveau envahi ma bouche.
"Tourne la tête sur le côté droit! Bien! Maintenant laisse-toi tomber sur l'avant!"
Après avoir tourné la tête, je marque un temps d'arrêt hésitant. La réaction ne se fait pas attendre, je crois qu'Elle monte sur le lit dans mon dos:
"Quand j'ordonne, on exécute et on cherche pas à comprendre? T'as imprimé? On va pas y passer la nuit non plus!"
Je sens alors une violente poussée sur mes épaules qui me déséquilibre, me fait basculer sur les genoux et tomber la tête la première sur le satin du matelas.
"Ben voilà, mon grand. C'était pas bien compliqué, pas vrai?"
Le baîllon ne me permet malheureusement de produire qu'une espèce de grognement inaudible.
S'en suit une bonne claque sur mon cul.
Second Grognement.
Bien! N'oublie jamais de remercier quand on s'occupe si bien de toi.
Troisième grognement.
Me voilà maintenant les fesses en l'air, cambré à l'extrême, mes entraves aidant bien à cela. Et en même temps, plus on avance dans l'humiliation et plus je me sens devenir comme le disent si bien les invités de Karine, une vraie petite salope et j'aime ça. J'aime me sentir à Sa merci, exposé comme on le serait difficilement plus et dans l'attente de découvrir sans cesse de nouvelles sensations, au gré de ses envies. Et là, je vais être servi. Elle reprend:
"Pierre avait décidément raison, t'as vraiment un cul à te faire fourrer non stop. Et il m'a semblé cet après midi que tu n'avais pas grand mal à extraire ni à remettre en place le plug que je t'avais administré lors de ton dernier séjour. Voyons ça d'un peu plus près."
Et Elle commence à sortir le pensionnaire qui m'habitait maintenant depuis plus d'une semaine, sans vraiment de difficulté.
"C'est bien ce que je pensais!" dit-Elle avec un air d'expert sur de son fait "on va donc pouvoir passer à la vitesse supérieure."
Je n'y vois bien sur rien, mais j'arrive à reconnaître le claquement sec que font les gants en latex quand on les enfile, et je ne tarde pas à sentir d'une part du gel couler dans ma raie et d'autre part des doigts qui vont s'affairer en s'y mettant à quatre, à détendre encore un peu plus ma rosette pour accueillir bientôt:
"Ouch!"
Râle en version étouffée bien sur, pour cause de pine en plastique dans ma bouche et là, la sensation est totalement différente. Quand Elle m'enfilait un plug, il y avait une partie un peu plus large à faire passer puis mon cul se refermait sur la partie la plus étroite et c'était fini en quelque sorte. Là, non seulement le diamètre est beaucoup plus important, mais en plus ce pieu n'en finit pas de me remplir. J'ai l'impression qu'il m'écarte, qu'il me déchire à l'intérieur, bordel ça fait mal mais ça continue à s'enfoncer lentement, très lentement et sans jamais s'arrêter, jusqu'à cogner dans ma prostate ce qui du coup, réveille pour de bon ma queue qui n'était jusque là qu'à moitié tendue et vient taper contre mon ventre sous la violence de ce redressement soudain. Karine, elle, ne se soucie pas un seul instant de la douleur que je peux ressentir parce qu'Elle sait. Elle sait qu'Elle va tout aussi lentement ressortir presque entièrement le mandrin, puis le rentrer à nouveau et ainsi de suite en accélérant progressivement la cadence. Elle sait que peu à peu la douleur va s'estomper au fur et à mesure que mon conduit acceptera mieux cet envahisseur. Et bientôt ce missile parfaitement lubrifié et piloté par cette main experte se met à coulisser dans mon tunnel comme s'il passait par là depuis des années, tout en m'arrachant de toujours aussi inaudibles grognements d'aise. J'entends alors:
"C'est bien, mon beau! Détends-toi, laisse toi aller. Tu vas être magnifique lors de ta présentation, je le sais maintenant. Je vais t'apprendre à aimer te faire enculer. C'est bon hein? Je le vois de toute façon à la mouille qui s'écoule de ton méat. Mais ne jouis pas! Je vais avoir besoin de toi. Alors, ne me déçois pas! Et puis de toute façon, ce gode ne fait que cinq petits centimètres et crois-moi, d'ici quelque temps, tu seras capable de bien meilleures performances."
Elle a raison, elle me possède et c'est bon. C'est vraiment bon. Je m'aperçois maintenant que quand en toute confiance, on lâche prise, c'est la promesse de sensations exceptionnelles, sans cesse renouvelées. Je suis Sa chose et je m'abandonne alors totalement alors qu'Elle continue à me besogner pendant un long, très long moment. quand Elle décide enfin de retirer cet imposant pieu, mon anus n'est plus alors qu'un trou béant qu'Elle a manifestement plaisir à admirer:
"Que c'est beau un cul de mâle dilaté! Je vais t'offrir maintenant un nouveau bijou."
Et Elle m'introduit aussitôt un plug rosebud muni à son extrémité d'une pastille décorée d'un diamant translucide. Elle poursuit:
"Te voilà correctement ornementé. Maintenant, occupons-nous de Moi!"
Il y a un anneau dans mon dos sur la grosse ceinture qui me ceint la taille. J'entends qu'Elle doit y passer une chaîne. Puis Elle me retourne, je suis maintenant sur le dos. Je sens qu'Elle m'écarte les jambes et qu'Elle les entrave, écartées à l'extrême, au moyen de la chaîne qu'Elle fixe avec des mousquetons sur chaque anneau de mes menottes de cuisse. Je suis totalement immobilisé, je peux éventuellement bouger la tête en la tournant sur le côté, mais pas pour longtemps. Je sens qu'Elle se met à cheval sur moi en position de soixante neuf à ceci près que le bâillon que j'ai dans la bouche va m'empêcher de lécher Sa délicieuse chatte et que le bandeau sur mes yeux va lui, m'empêcher d'admirer Sa magnifique croupe. Elle s'empale d'un coup sur la verge de plastique qui se dresse de mon bâillon:
"Voilà! Un bon mandrin dans ma chatte. Ca te plairait de mater ça, hein mon salaud? Tiens la tête bien droite et surtout ne bouge pas! Je me suis donné du mal pour bien t'attacher. Alors, pour ma récompense et pas pour la tienne, je vais sucer ta queue. J'adore pomper les bites et tu vas enfin comprendre ce qu'est une pipe quand Karine en aura fini avec toi! Mais je te promets que si tu esquisses le moindre geste dans ma direction pour essayer de me toucher, que le châtiment sera à la hauteur de ma colère!"
Dans la position où je me trouve, je vois pas bien comment je pourrais esquisser quoi que ce soit. Elle commence alors des va et viens d'une violence et à une cadence inouïe sur le gode, me donnant l'impression qu'Elle va m'arracher la tête tout en prenant en bouche ma pine monstrueusement tendue et qui est comme aspirée au plus profond de Sa gorge. Elle la libère, puis gobe mon gland enroule Sa langue autour, lèche ma hampe de haut en bas, de bas en haut, m'aspire de nouveau entièrement, la libère, la prend dans Ses mains pour me branler à une allure vertigineuse, tout en titillant le frein avec Sa langue experte. J'ai l'impression de devenir dingue! Et puis cette douleur dans ma mâchoire! Je ne sais plus sur quelle sensation porter mon attention, alors que les coups de boutoir qu'Elle s'inflige avec le gode atteignent un paroxysme de bestialité. Je finis par me dire qu'Elle n'a peut-être pas envie que Son jouet ait le temps de ressentir quoi que ce soit à part une espèce de magma sensoriel qui est en train de m'anéantir totalement, en m'entraînant avec Elle dans les limbes de Sa totale perversité. Et puis:
"Ouiii!! Sale enfoiré, tu me fais jouir, alors viens maintenant! Crache tout ton jus, crache mon salaud!"
J'étais au bord du gouffre depuis bien longtemps déjà et même si Son ordre est formulé dans un langage qui Lui est tout à fait personnel, cela m'apparaît comme une douce permission de me laisser emporter enfin par cette vague de plaisir intense et je Lui explose au visage en de longs jets de foutre chaud, alors que les derniers spasmes terminent de m'ôter le peu de forces qu'il me reste. Dans le même temps, je sens ma furieuse Domina terrassée Elle-même par cet orgasme foudroyant qu'Elle réclamait de tout son corps et Elle finit par s'effondrer sur un côté du lit. Nous restons immobiles un long moment; il règne tout à coup un tel silence après tout ce déchaînement bestial que le temps paraît comme suspendu jusqu'à ce qu'Elle reprenne ses esprits. Elle ne dit plus rien, je sens simplement qu'Elle me libère de mes menottes aux poignets puis disparaît dans Sa chambre en fermant la porte à double battant.
Je mettrai un certain temps à me défaire de mon harnachement puis, après une douche une nouvelle fois fort réparatrice, je vais enfin pouvoir terminer ma nuit qui pour le coup va être bien courte.
(à suivre...)
"Remets le disque à sa place et va te coucher. J'ai besoin de repos maintenant."
Je me conforme une nouvelle fois à Son ordre et je me dirige vers ma chambre, non sans Lui avoir respectueusement souhaité le bonsoir. Je note que la porte à double battant communiquant avec la chambre de Karine est grande ouverte. Avant de me glisser dans les draps en satin, un rapide coup d'oeil à mon portable, j'ai reçu un sms de Pascale:
"Coucou Jo. J'espère que la première journée dans ton nouvel emploi s'est bien passée. A la boîte, c'est déjà le bordel! Quel vide tu laisses, et pas qu'à la boîte d'ailleurs... Bisous"
Ah Pascale! Si elle savait la pauvre. Je ne réponds pas à son message, mais il faudra tout de même que j'en parle à Karine demain. De toute façon je n'ai pas le choix, les ordres sont formels. Ceci fait, je me glisse dans les draps et ne tarde pas à trouver le sommeil.
Mais qu'est-ce que... La lumière s'allume, des vociférations me tirent de ce sommeil jusque là profond et réparateur. Le drap me recouvrant s'envole comme par magie:
"Réveille-toi!"
Cette voix... celle que je n'aime pas. Un rapide coup d'oeil sur le réveil à côté du lit, il est 2h30 du matin. Manifestement, Madame Karine est contrariée, c'est le moins qu'on puisse dire. Aurais-je fait quelque chose qui L'a empêché de dormir, parlé en dormant, ronflé, que sais-je? mais non, je ne tarde pas à comprendre que la raison est toute autre:
"Une bite! Il me faut une bite! C'est toujours pareil, je le savais pourtant! Et toi, t'es pas prêt! Si Pierre avait été là, il m'aurait sauté et on en parlait plus. Mais non! Il a fallu que mon Père l'envoie à l'autre bout de la planète! J'ai envie de sucer et qu'on me baise, bordel! Et comme une conne, j'ai libéré Constance juste après manger! Elle aurait pu me prendre, elle, pour une fois et on était tranquille! A genoux sur le lit et en position, mains derrière la tête et dépêche-toi!"
Elle est en furie. Et même si je n'y suis pour rien, tout est de ma faute. Il Lui faut un bouc émissaire et comme je suis seul avec Elle... Elle tourne en rond dans la chambre comme une lionne en cage! et puis soudain:
"Tu bouges pas! Je reviens!"
Je sais pas bien où je pourrais aller de toute façon, j'attends donc quelques minutes et je La vois revenir avec un sac et des accessoires en cuir. Je comprends tout de suite pourquoi Madame Lydia disait qu'Elle était déjà très bien équipée. Je n'y connais pas grand chose à ce moment-là, mais quand Elle étale tout ça sur le lit, il ne faut pas être un expert pour voir que ce sont des accessoires grand luxe, à la finition très soignée, peut-être même fabriqués sur mesure.
"Voilà mon salaud! J'ai ce qu'il me faut! Mets tes bras le long du corps!"
Et Elle me passe une ceinture bizarre autour de la taille, munie de deux étuis fermés qui me font penser à une ceinture de revolvers. A ceci près que chaque étui est muni de menottes en cuir. Je vais vite comprendre que c'est pas pour jouer aux cow boys et aux indiens.
"Passe tes mains dans les étuis!"
Ceci fait, Elle ferme les menottes autour de mes poignets et me voilà dans l'impossibilité totale de me servir de mes mains. Elle poursuit en me passant des menottes aux cuisses et aux chevilles en les attachant entre elles par des mousquetons. Elle me passe ensuite le gode bâillon que je connais déjà et termine mon harnachement par un masque semblable à ceux que l'on utilise pour dormir en avion mis à part que celui-ci est en cuir doublé de velours noir à l'intérieur pour en rendre le port plus confortable. Merci pour cela, Madame Karine.
"Bien, puisque je ne dors pas, on va en profiter pour s'occuper un peu de toi, ça nous fera toujours gagner un peu de temps pour la suite."
Je suis toujours à genoux sur le lit, les bras entravés à la taille, les chevilles liées à mes cuisses et je n'y vois maintenant plus rien du tout ce qui ajoute encore à ma confusion. Je ne parle même pas de cette queue en plastique qui a de nouveau envahi ma bouche.
"Tourne la tête sur le côté droit! Bien! Maintenant laisse-toi tomber sur l'avant!"
Après avoir tourné la tête, je marque un temps d'arrêt hésitant. La réaction ne se fait pas attendre, je crois qu'Elle monte sur le lit dans mon dos:
"Quand j'ordonne, on exécute et on cherche pas à comprendre? T'as imprimé? On va pas y passer la nuit non plus!"
Je sens alors une violente poussée sur mes épaules qui me déséquilibre, me fait basculer sur les genoux et tomber la tête la première sur le satin du matelas.
"Ben voilà, mon grand. C'était pas bien compliqué, pas vrai?"
Le baîllon ne me permet malheureusement de produire qu'une espèce de grognement inaudible.
S'en suit une bonne claque sur mon cul.
Second Grognement.
Bien! N'oublie jamais de remercier quand on s'occupe si bien de toi.
Troisième grognement.
Me voilà maintenant les fesses en l'air, cambré à l'extrême, mes entraves aidant bien à cela. Et en même temps, plus on avance dans l'humiliation et plus je me sens devenir comme le disent si bien les invités de Karine, une vraie petite salope et j'aime ça. J'aime me sentir à Sa merci, exposé comme on le serait difficilement plus et dans l'attente de découvrir sans cesse de nouvelles sensations, au gré de ses envies. Et là, je vais être servi. Elle reprend:
"Pierre avait décidément raison, t'as vraiment un cul à te faire fourrer non stop. Et il m'a semblé cet après midi que tu n'avais pas grand mal à extraire ni à remettre en place le plug que je t'avais administré lors de ton dernier séjour. Voyons ça d'un peu plus près."
Et Elle commence à sortir le pensionnaire qui m'habitait maintenant depuis plus d'une semaine, sans vraiment de difficulté.
"C'est bien ce que je pensais!" dit-Elle avec un air d'expert sur de son fait "on va donc pouvoir passer à la vitesse supérieure."
Je n'y vois bien sur rien, mais j'arrive à reconnaître le claquement sec que font les gants en latex quand on les enfile, et je ne tarde pas à sentir d'une part du gel couler dans ma raie et d'autre part des doigts qui vont s'affairer en s'y mettant à quatre, à détendre encore un peu plus ma rosette pour accueillir bientôt:
"Ouch!"
Râle en version étouffée bien sur, pour cause de pine en plastique dans ma bouche et là, la sensation est totalement différente. Quand Elle m'enfilait un plug, il y avait une partie un peu plus large à faire passer puis mon cul se refermait sur la partie la plus étroite et c'était fini en quelque sorte. Là, non seulement le diamètre est beaucoup plus important, mais en plus ce pieu n'en finit pas de me remplir. J'ai l'impression qu'il m'écarte, qu'il me déchire à l'intérieur, bordel ça fait mal mais ça continue à s'enfoncer lentement, très lentement et sans jamais s'arrêter, jusqu'à cogner dans ma prostate ce qui du coup, réveille pour de bon ma queue qui n'était jusque là qu'à moitié tendue et vient taper contre mon ventre sous la violence de ce redressement soudain. Karine, elle, ne se soucie pas un seul instant de la douleur que je peux ressentir parce qu'Elle sait. Elle sait qu'Elle va tout aussi lentement ressortir presque entièrement le mandrin, puis le rentrer à nouveau et ainsi de suite en accélérant progressivement la cadence. Elle sait que peu à peu la douleur va s'estomper au fur et à mesure que mon conduit acceptera mieux cet envahisseur. Et bientôt ce missile parfaitement lubrifié et piloté par cette main experte se met à coulisser dans mon tunnel comme s'il passait par là depuis des années, tout en m'arrachant de toujours aussi inaudibles grognements d'aise. J'entends alors:
"C'est bien, mon beau! Détends-toi, laisse toi aller. Tu vas être magnifique lors de ta présentation, je le sais maintenant. Je vais t'apprendre à aimer te faire enculer. C'est bon hein? Je le vois de toute façon à la mouille qui s'écoule de ton méat. Mais ne jouis pas! Je vais avoir besoin de toi. Alors, ne me déçois pas! Et puis de toute façon, ce gode ne fait que cinq petits centimètres et crois-moi, d'ici quelque temps, tu seras capable de bien meilleures performances."
Elle a raison, elle me possède et c'est bon. C'est vraiment bon. Je m'aperçois maintenant que quand en toute confiance, on lâche prise, c'est la promesse de sensations exceptionnelles, sans cesse renouvelées. Je suis Sa chose et je m'abandonne alors totalement alors qu'Elle continue à me besogner pendant un long, très long moment. quand Elle décide enfin de retirer cet imposant pieu, mon anus n'est plus alors qu'un trou béant qu'Elle a manifestement plaisir à admirer:
"Que c'est beau un cul de mâle dilaté! Je vais t'offrir maintenant un nouveau bijou."
Et Elle m'introduit aussitôt un plug rosebud muni à son extrémité d'une pastille décorée d'un diamant translucide. Elle poursuit:
"Te voilà correctement ornementé. Maintenant, occupons-nous de Moi!"
Il y a un anneau dans mon dos sur la grosse ceinture qui me ceint la taille. J'entends qu'Elle doit y passer une chaîne. Puis Elle me retourne, je suis maintenant sur le dos. Je sens qu'Elle m'écarte les jambes et qu'Elle les entrave, écartées à l'extrême, au moyen de la chaîne qu'Elle fixe avec des mousquetons sur chaque anneau de mes menottes de cuisse. Je suis totalement immobilisé, je peux éventuellement bouger la tête en la tournant sur le côté, mais pas pour longtemps. Je sens qu'Elle se met à cheval sur moi en position de soixante neuf à ceci près que le bâillon que j'ai dans la bouche va m'empêcher de lécher Sa délicieuse chatte et que le bandeau sur mes yeux va lui, m'empêcher d'admirer Sa magnifique croupe. Elle s'empale d'un coup sur la verge de plastique qui se dresse de mon bâillon:
"Voilà! Un bon mandrin dans ma chatte. Ca te plairait de mater ça, hein mon salaud? Tiens la tête bien droite et surtout ne bouge pas! Je me suis donné du mal pour bien t'attacher. Alors, pour ma récompense et pas pour la tienne, je vais sucer ta queue. J'adore pomper les bites et tu vas enfin comprendre ce qu'est une pipe quand Karine en aura fini avec toi! Mais je te promets que si tu esquisses le moindre geste dans ma direction pour essayer de me toucher, que le châtiment sera à la hauteur de ma colère!"
Dans la position où je me trouve, je vois pas bien comment je pourrais esquisser quoi que ce soit. Elle commence alors des va et viens d'une violence et à une cadence inouïe sur le gode, me donnant l'impression qu'Elle va m'arracher la tête tout en prenant en bouche ma pine monstrueusement tendue et qui est comme aspirée au plus profond de Sa gorge. Elle la libère, puis gobe mon gland enroule Sa langue autour, lèche ma hampe de haut en bas, de bas en haut, m'aspire de nouveau entièrement, la libère, la prend dans Ses mains pour me branler à une allure vertigineuse, tout en titillant le frein avec Sa langue experte. J'ai l'impression de devenir dingue! Et puis cette douleur dans ma mâchoire! Je ne sais plus sur quelle sensation porter mon attention, alors que les coups de boutoir qu'Elle s'inflige avec le gode atteignent un paroxysme de bestialité. Je finis par me dire qu'Elle n'a peut-être pas envie que Son jouet ait le temps de ressentir quoi que ce soit à part une espèce de magma sensoriel qui est en train de m'anéantir totalement, en m'entraînant avec Elle dans les limbes de Sa totale perversité. Et puis:
"Ouiii!! Sale enfoiré, tu me fais jouir, alors viens maintenant! Crache tout ton jus, crache mon salaud!"
J'étais au bord du gouffre depuis bien longtemps déjà et même si Son ordre est formulé dans un langage qui Lui est tout à fait personnel, cela m'apparaît comme une douce permission de me laisser emporter enfin par cette vague de plaisir intense et je Lui explose au visage en de longs jets de foutre chaud, alors que les derniers spasmes terminent de m'ôter le peu de forces qu'il me reste. Dans le même temps, je sens ma furieuse Domina terrassée Elle-même par cet orgasme foudroyant qu'Elle réclamait de tout son corps et Elle finit par s'effondrer sur un côté du lit. Nous restons immobiles un long moment; il règne tout à coup un tel silence après tout ce déchaînement bestial que le temps paraît comme suspendu jusqu'à ce qu'Elle reprenne ses esprits. Elle ne dit plus rien, je sens simplement qu'Elle me libère de mes menottes aux poignets puis disparaît dans Sa chambre en fermant la porte à double battant.
Je mettrai un certain temps à me défaire de mon harnachement puis, après une douche une nouvelle fois fort réparatrice, je vais enfin pouvoir terminer ma nuit qui pour le coup va être bien courte.
(à suivre...)
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi captivant... A tous les sens du terme ! Merci !
Dame Noémi
Dame Noémi
Oui bon chapitre de transition
seulement tous les deux
et lui à son service même en pleine nuit.
seulement tous les deux
et lui à son service même en pleine nuit.