Le Deal 4
Récit érotique écrit par Kerian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Deal 4
Une clarté soudaine me tire de la torpeur. Les volets roulants automatiques des deux
grandes baies vitrées de ma chambre viennent de s'ouvrir. Un rapide coup d'oeil au
réveil matin m'indique qu'il est 10h30 et je remarque que la porte à double battants
séparant ma chambre de celle de Karine et Pierre est fermée. Je me lève puis me
prépare un expresso à l'aide de la machine disposée sur une table basse devant une des
baies qui diffuse une lumière douce dans la chambre au travers des voilages de soie
fine. Pendant que je sirote mon café confortablement installé dans un moelleux
fauteuil de cuir, j'en arrive à penser que ce qui m'arrive est presque trop beau. Tout
ce luxe, ces attentions, ce marché que m'a proposé Karine, tout cela ne cache-t-il pas
autre chose? Du bruit provenant du salon me tire de cette soudaine réflexion et je me
dirige vers ma salle de bain. Je décide de remettre à plus tard l'essai d'un bain
bouillonnant et j'opte pour une douche dont la multitude de jets a toute les peines du
monde à calmer cette érection matinale et le plug toujours inséré en moi n'arrange
rien à l'affaire. Après un rapide rasage et m'être aspergé d'eau de toilette, je suis
suffisamment présentable pour faire mon apparition. J'ouvre la porte et la referme
immédiatement. Une femme, en tenue de servante s'affaire au ménage dans le salon. Je
m'empare d'un peignoir que je ferme soigneusement et sort da la chambre dans cette
tenue "plus correcte" comme l'avait dit Pierre hier soir.
Me voyant arriver, elle me lance:
-"Bonjour Monsieur. Madame Karine et Monsieur Pierre ne sont pas encore sortis de leur
chambre. Désirez-vous que je vous serve un petit déjeuner sur la terrasse, le temps
est splendide ce matin?
-Non merci, je viens de boire un café et je n'ai pas faim. Et s'il vous plait,
appelez-moi Jo.
- Très bien Monsieur Jo."
Je sors néanmoins et m'assoies dans un fauteuil sous la grande tonnelle pour fumer
cette première cigarette que j'aime tant. Je m'aperçois que je commence à m'accoutumer
à la présence de ce plug en moi. Il maintient tous mes sens en éveil et me procure une
superbe impression chaleur dans le ventre. Je repense maintenant à cette femme qui
s'affaire avec toujours autant d'application dans le salon en constatant que tout sous
cette tonnelle est redevenu impeccable et n'a plus rien à voir avec le champs de
bataille que nous avions laissé derrière nous hier soir. J'évalue sa taille a
1.75m/1.80. C'est une grande brune au cheveux lisses qui lui tombent jusqu'au milieu
du dos avec des franges sur le front. Elle est plutôt jolie et un léger maquillage
rehausse le charme de son visage assez fin. Elle porte une robe noire qui descend un
peu haut dessus des genoux, col ras du coup. La robe est boutonnée sur le devant,
jusqu'en haut, la taille ceinte d'un petit tablier blanc. Malgré l'austérité de sa
robe, on devine une poitrine bien dessinée, des courbes harmonieuses et une croupe
accueillante. Ses jambes, assez fines sont gainées dans du lycra. Des ballerines
noires vernies complètent l'ensemble. Sa voix est très sensuelle même si je la trouve
un peu trop grave pour une fille. L'apparition de Pierre me tire de mes réflexions:
-"Bonjour Jo, bien dormi? Pas trop secoué par tous ces évènements?"
Il est souriant, a l'air parfaitement détendu et s'assoit sur le sofa pour siroter son
café.
-"Bonjour Pierre. Pour être tout à fait honnête, je t'avouerai que je m'attendais à
tout sauf à ça. Mais les perspectives qu'offrent cette expérience sont tellement...
-Que tu as décidé de rester avec nous et j'en suis ravi pour nous trois." Me coupe-t-
il gentiment, voyant que les mots me manquaient pour lui décrire mon ressenti. Plus je
le regarde et plus ce corps parfait dans cette totale nudité, ces cheveux blonds
coupés très cours, les traits de son visage si fins et si masculins à la fois, me font
le trouver d'une beauté exceptionnelle et ajoutent encore un peu plus au trouble que
je ressens depuis mon arrivée. Puis il reprend:
-"Au fait, Jo, tu as déjà oublié la règle?" Jetant un regard amusé à mon peignoir.
-"Non Pierre, mais dans le salon...
-Ah oui, tu as vu Constance? Ne t'inquiète pas pour elle, c'est notre intendante et de
plus, c'est une de nos anciennes camarades de jeux." dit-il avec un petit air
complice. "Elle a..." Il s'interrompt d'un seul coup, Karine vient d'apparaître sur la
terrasse et se dirige vers nous avec cette démarche féline qui n'appartient qu'à elle,
souriante et radieuse, un véritable enchantement pour les yeux. Contournant mon
fauteuil pour aller pour aller rejoindre Pierre sur le sofa, elle dépose en tendre
baiser dans mon cou puis s'assoit et me dit:
-"Bonjour, Jo. As-tu passé une bonne nuit?
-Excellente, Karine, je te remercie. Je me sens en pleine forme.
-Très bien, mais dis-moi, pour l'amour du ciel quel est cet accoutrement?" jetant un
regard réprobateur sur mon peignoir. Un Peu embarrassé, j'essaie à nouveau de
m'expliquer, mais incapable de soutenir son regard bleu si intense, je me tais et ôte
le vêtement immédiatement. Karine étant visiblement satisfaite de ma nouvelle posture,
je prends alors la parole:
-"Je vais devoir vous demander de m'excuser, j'ai besoin de vous abandonner quelques
instants pour aller satisfaire un besoin naturel mais..." puis je me lève et me tourne
en leur présentant mon cul toujours envahi par le plug:
-"Regarde amour comme il est chou! Il a conservé son plug sans que j'ai même besoin de
lui ordonner. Il n'y a aucun soucis, Jo. Dirige-toi vers la partie Est de la maison et
tu trouveras la pièce qui te convient juste en face de la salle de sport. Dès que tu
as terminé, appelle-moi au moyen du téléphone intérieur. Je traverse donc le salon,
puis l'immense salle à manger, j'emprunte le grand couloir en demi-cercle servant
également de hall d'entrée principal et qui longe la tour ronde que je n'ai toujours
pas visitée. Puis tout de suite après, je reconnais la porte de la salle de sport et
j'ouvre donc la porte qui lui fait face. Content de ne pas avoir croisé Constance qui
doit être en train de poursuivre son ouvrage dans une autre des nombreuses pièces,
j'entre alors dans une immense salle de bain équipée comme la mienne des mêmes
accessoires à la différence près que les wc ne sont pas indépendants et qu'en son
centre est disposée une table d'examen gynécologique à commande électrique très bien
équipée. Je me dis que plus rien ne m'étonne vraiment dans cette maison, ôte le plug
sans trop de difficulté à mon grand étonnement, le dépose sur le bord du lavabo et
ayant terminé mon "opération soulagement", je passe rapidement sous la douche de
manière à être tout à fait propre. Je me saisis ensuite du téléphone mural et en
regardant le clavier, je compte 16 touches comportant des chiffres ou des lettres du
type S pour salon ou bien CA1 pour chambre d'ami 1 etc... plus deux un peu à l'écart
marquées respectivement T et P. Devinant que T signifie terrasse, je presse la touche
et après quelques sonneries, j'entends la voix de Karine:
-"Installe-toi sur la table, Jo, j'arrive tout de suite."
Je raccroche monte sur la table qui est pour l'instant redressée et place mes jambes
sur les repose cuisses prévus à cet effet. Réfléchissant un peu, je me dis que tout
était vraiment trop calme ce matin et que cette fois-ci, mon fion allait vraiment en
prendre pour son grade. C'est alors que Karine entre dans la pièce et me dit avec les
yeux brillants et un large sourire de satisfaction:
-"Eh bien, mon beau, il n'y a vraiment pas à dire, tu apprends très vite." J'ose
alors:
-"Tu sais que je ne suis là que pour te servir sublime Karine.
-Je le sais oui, mais appelle-moi simplement Karine, cela suffira amplement!
-Je suis à tes ordres, Karine.
-Voilà qui est mieux. Je vois que tu es très propre mais nous allons commencer par
parfaire cette toilette."
Elle commence par manoeuvrer la table électrique au moyen de la télécommande pour la
faire pivoter, faisant ainsi descendre mes épaules et remonter mon cul à une hauteur
convenable à son goût. Je suis à présent totalement ouvert, offert et j'adore ça.
Ouvrant un des innombrables tiroirs sous le plan de toilette, elle saisit une paire de
gants en latex qu'elle enfile avec dextérité. Elle enduit abondamment les doigts de sa
main droite de gel lubrifiant, puis extrait ensuite du plan un embout de douche plug
en aluminium muni d'un petit robinet nickelé à une extrémité et prolongé par un
flexible déroulant en inox. Elle lubrifie copieusement la tête de l'embout et le
présente contre ma rondelle. A peine rentrai-je en contact avec ce morceau de métal
qui n'allait pas tarder à commencer son exploration de mes intestins qu'un frisson
indescriptible me parcourt tout le corps, alors que je m'agrippe aux poignées de
traction de chaque côté de la table. Ma réaction la fait se raviser:
-"Oh sensible avec ça, mon beau. Il est vrai qu'avec un plug enfoncé dans ton cul
depuis hier soir, il ne pouvait en être autrement. Alors attendons encore un peu. Je
vais te préparer encore mieux, et tu accueilleras cette offrande avec délectation."
Sa voix est chaude et douce; pas d'insultes, pas de vociférations insensées, pas de
furie. Je suis là, nu, tout entier à sa merci, complètement abandonné à ses délires
les plus extrêmes et curieusement, c'est tout en délicatesse et en douceur qu'elle
jouit de la scène qui se déroule à présent. Et là, c'est moi qui devient complètement
dingue:
-"Prends mon cul, Karine! Disposes-en à ta guise, il est à toi, encule-moi, je t'en
supplie!"
- Tout doux, mon beau camarade. Je te rappelle que tout vient à qui sait attendre. Te
rappelles-tu notre conversation d'hier? Rien n'est meilleur que le plaisir à
retardement. Et puis aujourd'hui, pour moi, il ne s'agit pas d'un dépucelage mais
simplement d'un travail de préparation. Je ne vais rien t'insérer qui soit supérieur à
trois centimètres de diamètre, et ça, ce n'est absolument rien pour toi, au regard de
tes futures performances. Sois patient et ton heure arrivera bientôt."
C'est pas possible. Plus je m'excite et plus le calme et la sérénité l'envahit. Elle
m'appelle "mon beau camarade",je ne suis plus la petite lope de la salle de sport et
pourtant à ce moment-là, j'aimerais tant qu'elle me traite comme telle. je vis une
sorte de songe incroyablement sexuel dans lequel mon seul but ne serait que lui offrir
ce cul dont elle a tant envie. Je sens maintenant ce gant enserrant sa main experte
commencer à caresser lentement mon trou dédié à son seul plaisir. Puis son majeur
décrit des cercles à la périphérie de ma rondelle déjà hyper sensible avant cette
séance lui donnant encore plus d'élasticité pour finir par présenter ce doigt à
l'entrée de mon intimité la plus cachée. Une simple petite poussée et mon œillet cède
immédiatement et je sens ce doigt qui s'introduit en moi doucement mais sans jamais
s'arrêter jusqu'à ce que la main de Karine rencontre mes fesses. Erection extrême et
je rejette ma tête en arrière. Ma respiration s'accélère encore quand elle entreprend
un mouvement de va et vient lent et régulier:
-"C'est ça mon beau camarade, laisse-toi aller, bande pour moi, mais n'oublie pas , tu
ne te branles pas et je t'interdis de jouir. Ferme les yeux et laisse-moi faire."
Je ne sais plus si je pourrai vraiment lui obéir. Je suis à la limite de la limite et
pourtant la séance ne fait que commencer. Son majeur abandonne bientôt mon cul et bien
que je garde les yeux fermés comme me l'a intimé Karine tous mes sens sont en alerte
attendant la suite des attentions qu'elle voudra bien me prodiguer. De nouveau, le
contact du métal froid, mais cette fois-ci la tête ronde s'attarde longuement en
caressant, massant et apprivoisant cette entrée qu'elle va vouloir forcer. Lors de la
première poussée pour envahir mon conduit, ma rondelle résiste encore, alors
patiemment les caresses et le massage reprennent mais de façon plus appuyée si bien
que peu de temps plus tard mon anus se dilate convenablement et accepte enfin
d'accueillir cette verge métallique. L'extrémité du plug est une sorte de boule en
forme d'amande de 2.5cm de diamètre et le reste est beaucoup plus fin. Karine
introduit juste la boule puis s'arrête. Je suis presque déçu qu'elle ne m'embroche pas
mieux que ça:
-"Surtout ne bouge plus mon beau camarade et délecte-toi."
Elle tourne la mollette du robinet au bout du plug et je sens immédiatement une douce
chaleur pénétrante envahir tout mon bas ventre quand un liquide chaud commence à
inonder mes intestins lentement. Entendre parler de lavement aussi érotique soit-il
m'avait toujours passablement rebuté mais dans le cas présent, me le faire administrer
par une clystérophile avertie, ça devenait carrément l'extase. Elle cessa l'injection
puis quand elle retirai doucement le plug, Je faisais tout mon possible pour me
contracter et garder encore en moi ce précieux liquide bienfaiteur. Karine redressa la
table et pendant qu'elle dégageai mes jambes m'ordonna de me déplacer vers l'avant de
la table, là où un assez large trou avait été pratiqué et où avait été placé un
réceptacle en inox. Ce changement de position provoqua en moi une violente douleur,
mais je n'en laissai rien paraître de peur de gâcher ce moment jusque là magique. Et
quand mon cul fut positionné au dessus du réceptacle:
-"Allez, mon beau camarade, la récréation est terminée. Expulse-moi tout ça et en
douceur s'il te plait!"
Je commençai donc à m'exécuter, mais malgré toute ma bonne volonté et à cause de mon
manque d'expérience dans le domaine, ce fût un long jet continu et puissant qui
s'échappa de mon cul, et si violent qu'il failli provoquer mon éjaculation
instantanée. Par bonheur le réceptacle était assez profond pour éviter que je souille
toute la pièce. La sensation que je venais d'éprouver était phénoménale, puis rouvrant
les yeux je regardais le beau visage contrarié de Karine, qui partit soudain d'un
grand éclat de rire en se moquant de moi pour ma maladresse, mais malgré tout
satisfaite que je n'ai pas déchargé sur la table tout en relevant qu'elle venait enfin
de trouver un secteur où j'aurai besoin de progresser à la vue de ma performance la
veille au soir quand j'avais sucé son mec. Elle m'ordonna ensuite de me rincer le cul
promptement et de reprendre place sur la table. Ce qui fût fait et je retrouvai
bientôt ma position initiale sur la table que Karine avait de nouveau fait pivoter.
Elle sortit d'un tiroir un nouveau plug bootie, plus court celui-ci, 6cm mais
également plus large, 3cm de diamètre,qu'elle entreprit de me le fourrer directement
dans le fion après l'avoir copieusement lubrifié. Ma rondelle eut cette fois un peu
plus de mal à céder le passage à ce nouvel assaillant, m'arrachant un gémissement de
douleur:
-"Comment? Tu aimes ça mon beau, hein? Excuse-moi, je n'aurais peut-être pas du le
lubrifier. Une autre règle à ne pas oublier, je veux du silence quand je te travaille,
tu as compris?
-Oui, Karine. Je te présente mes humbles excuses.
-Je les accepte pour cette fois, mais dis-toi bien que ce sera la seule et unique.
Maintenant, écoute-moi bien et enregistre. Ce plug que je viens de t'administrer, je
veux que tu le garde en place en permanence, 24h sur 24 même lorsque tu ne seras pas
avec nous. Je souhaite qu'il te rappelle en permanence à qui tu appartiens. Pour
l'instant, je veux que tu ailles te rafraîchir et calmer un peu ta queue. Tu nous
rejoindras ensuite sur la terrasse et nous prendrons un apéritif avant de déjeuner."
Puis avant de quitter la pièce avec un clin d'oeil malicieux, "et ne t'inquiète pas
pour tout ce désordre, Constance s'en occupera. A tout à l'heure, Jo."
grandes baies vitrées de ma chambre viennent de s'ouvrir. Un rapide coup d'oeil au
réveil matin m'indique qu'il est 10h30 et je remarque que la porte à double battants
séparant ma chambre de celle de Karine et Pierre est fermée. Je me lève puis me
prépare un expresso à l'aide de la machine disposée sur une table basse devant une des
baies qui diffuse une lumière douce dans la chambre au travers des voilages de soie
fine. Pendant que je sirote mon café confortablement installé dans un moelleux
fauteuil de cuir, j'en arrive à penser que ce qui m'arrive est presque trop beau. Tout
ce luxe, ces attentions, ce marché que m'a proposé Karine, tout cela ne cache-t-il pas
autre chose? Du bruit provenant du salon me tire de cette soudaine réflexion et je me
dirige vers ma salle de bain. Je décide de remettre à plus tard l'essai d'un bain
bouillonnant et j'opte pour une douche dont la multitude de jets a toute les peines du
monde à calmer cette érection matinale et le plug toujours inséré en moi n'arrange
rien à l'affaire. Après un rapide rasage et m'être aspergé d'eau de toilette, je suis
suffisamment présentable pour faire mon apparition. J'ouvre la porte et la referme
immédiatement. Une femme, en tenue de servante s'affaire au ménage dans le salon. Je
m'empare d'un peignoir que je ferme soigneusement et sort da la chambre dans cette
tenue "plus correcte" comme l'avait dit Pierre hier soir.
Me voyant arriver, elle me lance:
-"Bonjour Monsieur. Madame Karine et Monsieur Pierre ne sont pas encore sortis de leur
chambre. Désirez-vous que je vous serve un petit déjeuner sur la terrasse, le temps
est splendide ce matin?
-Non merci, je viens de boire un café et je n'ai pas faim. Et s'il vous plait,
appelez-moi Jo.
- Très bien Monsieur Jo."
Je sors néanmoins et m'assoies dans un fauteuil sous la grande tonnelle pour fumer
cette première cigarette que j'aime tant. Je m'aperçois que je commence à m'accoutumer
à la présence de ce plug en moi. Il maintient tous mes sens en éveil et me procure une
superbe impression chaleur dans le ventre. Je repense maintenant à cette femme qui
s'affaire avec toujours autant d'application dans le salon en constatant que tout sous
cette tonnelle est redevenu impeccable et n'a plus rien à voir avec le champs de
bataille que nous avions laissé derrière nous hier soir. J'évalue sa taille a
1.75m/1.80. C'est une grande brune au cheveux lisses qui lui tombent jusqu'au milieu
du dos avec des franges sur le front. Elle est plutôt jolie et un léger maquillage
rehausse le charme de son visage assez fin. Elle porte une robe noire qui descend un
peu haut dessus des genoux, col ras du coup. La robe est boutonnée sur le devant,
jusqu'en haut, la taille ceinte d'un petit tablier blanc. Malgré l'austérité de sa
robe, on devine une poitrine bien dessinée, des courbes harmonieuses et une croupe
accueillante. Ses jambes, assez fines sont gainées dans du lycra. Des ballerines
noires vernies complètent l'ensemble. Sa voix est très sensuelle même si je la trouve
un peu trop grave pour une fille. L'apparition de Pierre me tire de mes réflexions:
-"Bonjour Jo, bien dormi? Pas trop secoué par tous ces évènements?"
Il est souriant, a l'air parfaitement détendu et s'assoit sur le sofa pour siroter son
café.
-"Bonjour Pierre. Pour être tout à fait honnête, je t'avouerai que je m'attendais à
tout sauf à ça. Mais les perspectives qu'offrent cette expérience sont tellement...
-Que tu as décidé de rester avec nous et j'en suis ravi pour nous trois." Me coupe-t-
il gentiment, voyant que les mots me manquaient pour lui décrire mon ressenti. Plus je
le regarde et plus ce corps parfait dans cette totale nudité, ces cheveux blonds
coupés très cours, les traits de son visage si fins et si masculins à la fois, me font
le trouver d'une beauté exceptionnelle et ajoutent encore un peu plus au trouble que
je ressens depuis mon arrivée. Puis il reprend:
-"Au fait, Jo, tu as déjà oublié la règle?" Jetant un regard amusé à mon peignoir.
-"Non Pierre, mais dans le salon...
-Ah oui, tu as vu Constance? Ne t'inquiète pas pour elle, c'est notre intendante et de
plus, c'est une de nos anciennes camarades de jeux." dit-il avec un petit air
complice. "Elle a..." Il s'interrompt d'un seul coup, Karine vient d'apparaître sur la
terrasse et se dirige vers nous avec cette démarche féline qui n'appartient qu'à elle,
souriante et radieuse, un véritable enchantement pour les yeux. Contournant mon
fauteuil pour aller pour aller rejoindre Pierre sur le sofa, elle dépose en tendre
baiser dans mon cou puis s'assoit et me dit:
-"Bonjour, Jo. As-tu passé une bonne nuit?
-Excellente, Karine, je te remercie. Je me sens en pleine forme.
-Très bien, mais dis-moi, pour l'amour du ciel quel est cet accoutrement?" jetant un
regard réprobateur sur mon peignoir. Un Peu embarrassé, j'essaie à nouveau de
m'expliquer, mais incapable de soutenir son regard bleu si intense, je me tais et ôte
le vêtement immédiatement. Karine étant visiblement satisfaite de ma nouvelle posture,
je prends alors la parole:
-"Je vais devoir vous demander de m'excuser, j'ai besoin de vous abandonner quelques
instants pour aller satisfaire un besoin naturel mais..." puis je me lève et me tourne
en leur présentant mon cul toujours envahi par le plug:
-"Regarde amour comme il est chou! Il a conservé son plug sans que j'ai même besoin de
lui ordonner. Il n'y a aucun soucis, Jo. Dirige-toi vers la partie Est de la maison et
tu trouveras la pièce qui te convient juste en face de la salle de sport. Dès que tu
as terminé, appelle-moi au moyen du téléphone intérieur. Je traverse donc le salon,
puis l'immense salle à manger, j'emprunte le grand couloir en demi-cercle servant
également de hall d'entrée principal et qui longe la tour ronde que je n'ai toujours
pas visitée. Puis tout de suite après, je reconnais la porte de la salle de sport et
j'ouvre donc la porte qui lui fait face. Content de ne pas avoir croisé Constance qui
doit être en train de poursuivre son ouvrage dans une autre des nombreuses pièces,
j'entre alors dans une immense salle de bain équipée comme la mienne des mêmes
accessoires à la différence près que les wc ne sont pas indépendants et qu'en son
centre est disposée une table d'examen gynécologique à commande électrique très bien
équipée. Je me dis que plus rien ne m'étonne vraiment dans cette maison, ôte le plug
sans trop de difficulté à mon grand étonnement, le dépose sur le bord du lavabo et
ayant terminé mon "opération soulagement", je passe rapidement sous la douche de
manière à être tout à fait propre. Je me saisis ensuite du téléphone mural et en
regardant le clavier, je compte 16 touches comportant des chiffres ou des lettres du
type S pour salon ou bien CA1 pour chambre d'ami 1 etc... plus deux un peu à l'écart
marquées respectivement T et P. Devinant que T signifie terrasse, je presse la touche
et après quelques sonneries, j'entends la voix de Karine:
-"Installe-toi sur la table, Jo, j'arrive tout de suite."
Je raccroche monte sur la table qui est pour l'instant redressée et place mes jambes
sur les repose cuisses prévus à cet effet. Réfléchissant un peu, je me dis que tout
était vraiment trop calme ce matin et que cette fois-ci, mon fion allait vraiment en
prendre pour son grade. C'est alors que Karine entre dans la pièce et me dit avec les
yeux brillants et un large sourire de satisfaction:
-"Eh bien, mon beau, il n'y a vraiment pas à dire, tu apprends très vite." J'ose
alors:
-"Tu sais que je ne suis là que pour te servir sublime Karine.
-Je le sais oui, mais appelle-moi simplement Karine, cela suffira amplement!
-Je suis à tes ordres, Karine.
-Voilà qui est mieux. Je vois que tu es très propre mais nous allons commencer par
parfaire cette toilette."
Elle commence par manoeuvrer la table électrique au moyen de la télécommande pour la
faire pivoter, faisant ainsi descendre mes épaules et remonter mon cul à une hauteur
convenable à son goût. Je suis à présent totalement ouvert, offert et j'adore ça.
Ouvrant un des innombrables tiroirs sous le plan de toilette, elle saisit une paire de
gants en latex qu'elle enfile avec dextérité. Elle enduit abondamment les doigts de sa
main droite de gel lubrifiant, puis extrait ensuite du plan un embout de douche plug
en aluminium muni d'un petit robinet nickelé à une extrémité et prolongé par un
flexible déroulant en inox. Elle lubrifie copieusement la tête de l'embout et le
présente contre ma rondelle. A peine rentrai-je en contact avec ce morceau de métal
qui n'allait pas tarder à commencer son exploration de mes intestins qu'un frisson
indescriptible me parcourt tout le corps, alors que je m'agrippe aux poignées de
traction de chaque côté de la table. Ma réaction la fait se raviser:
-"Oh sensible avec ça, mon beau. Il est vrai qu'avec un plug enfoncé dans ton cul
depuis hier soir, il ne pouvait en être autrement. Alors attendons encore un peu. Je
vais te préparer encore mieux, et tu accueilleras cette offrande avec délectation."
Sa voix est chaude et douce; pas d'insultes, pas de vociférations insensées, pas de
furie. Je suis là, nu, tout entier à sa merci, complètement abandonné à ses délires
les plus extrêmes et curieusement, c'est tout en délicatesse et en douceur qu'elle
jouit de la scène qui se déroule à présent. Et là, c'est moi qui devient complètement
dingue:
-"Prends mon cul, Karine! Disposes-en à ta guise, il est à toi, encule-moi, je t'en
supplie!"
- Tout doux, mon beau camarade. Je te rappelle que tout vient à qui sait attendre. Te
rappelles-tu notre conversation d'hier? Rien n'est meilleur que le plaisir à
retardement. Et puis aujourd'hui, pour moi, il ne s'agit pas d'un dépucelage mais
simplement d'un travail de préparation. Je ne vais rien t'insérer qui soit supérieur à
trois centimètres de diamètre, et ça, ce n'est absolument rien pour toi, au regard de
tes futures performances. Sois patient et ton heure arrivera bientôt."
C'est pas possible. Plus je m'excite et plus le calme et la sérénité l'envahit. Elle
m'appelle "mon beau camarade",je ne suis plus la petite lope de la salle de sport et
pourtant à ce moment-là, j'aimerais tant qu'elle me traite comme telle. je vis une
sorte de songe incroyablement sexuel dans lequel mon seul but ne serait que lui offrir
ce cul dont elle a tant envie. Je sens maintenant ce gant enserrant sa main experte
commencer à caresser lentement mon trou dédié à son seul plaisir. Puis son majeur
décrit des cercles à la périphérie de ma rondelle déjà hyper sensible avant cette
séance lui donnant encore plus d'élasticité pour finir par présenter ce doigt à
l'entrée de mon intimité la plus cachée. Une simple petite poussée et mon œillet cède
immédiatement et je sens ce doigt qui s'introduit en moi doucement mais sans jamais
s'arrêter jusqu'à ce que la main de Karine rencontre mes fesses. Erection extrême et
je rejette ma tête en arrière. Ma respiration s'accélère encore quand elle entreprend
un mouvement de va et vient lent et régulier:
-"C'est ça mon beau camarade, laisse-toi aller, bande pour moi, mais n'oublie pas , tu
ne te branles pas et je t'interdis de jouir. Ferme les yeux et laisse-moi faire."
Je ne sais plus si je pourrai vraiment lui obéir. Je suis à la limite de la limite et
pourtant la séance ne fait que commencer. Son majeur abandonne bientôt mon cul et bien
que je garde les yeux fermés comme me l'a intimé Karine tous mes sens sont en alerte
attendant la suite des attentions qu'elle voudra bien me prodiguer. De nouveau, le
contact du métal froid, mais cette fois-ci la tête ronde s'attarde longuement en
caressant, massant et apprivoisant cette entrée qu'elle va vouloir forcer. Lors de la
première poussée pour envahir mon conduit, ma rondelle résiste encore, alors
patiemment les caresses et le massage reprennent mais de façon plus appuyée si bien
que peu de temps plus tard mon anus se dilate convenablement et accepte enfin
d'accueillir cette verge métallique. L'extrémité du plug est une sorte de boule en
forme d'amande de 2.5cm de diamètre et le reste est beaucoup plus fin. Karine
introduit juste la boule puis s'arrête. Je suis presque déçu qu'elle ne m'embroche pas
mieux que ça:
-"Surtout ne bouge plus mon beau camarade et délecte-toi."
Elle tourne la mollette du robinet au bout du plug et je sens immédiatement une douce
chaleur pénétrante envahir tout mon bas ventre quand un liquide chaud commence à
inonder mes intestins lentement. Entendre parler de lavement aussi érotique soit-il
m'avait toujours passablement rebuté mais dans le cas présent, me le faire administrer
par une clystérophile avertie, ça devenait carrément l'extase. Elle cessa l'injection
puis quand elle retirai doucement le plug, Je faisais tout mon possible pour me
contracter et garder encore en moi ce précieux liquide bienfaiteur. Karine redressa la
table et pendant qu'elle dégageai mes jambes m'ordonna de me déplacer vers l'avant de
la table, là où un assez large trou avait été pratiqué et où avait été placé un
réceptacle en inox. Ce changement de position provoqua en moi une violente douleur,
mais je n'en laissai rien paraître de peur de gâcher ce moment jusque là magique. Et
quand mon cul fut positionné au dessus du réceptacle:
-"Allez, mon beau camarade, la récréation est terminée. Expulse-moi tout ça et en
douceur s'il te plait!"
Je commençai donc à m'exécuter, mais malgré toute ma bonne volonté et à cause de mon
manque d'expérience dans le domaine, ce fût un long jet continu et puissant qui
s'échappa de mon cul, et si violent qu'il failli provoquer mon éjaculation
instantanée. Par bonheur le réceptacle était assez profond pour éviter que je souille
toute la pièce. La sensation que je venais d'éprouver était phénoménale, puis rouvrant
les yeux je regardais le beau visage contrarié de Karine, qui partit soudain d'un
grand éclat de rire en se moquant de moi pour ma maladresse, mais malgré tout
satisfaite que je n'ai pas déchargé sur la table tout en relevant qu'elle venait enfin
de trouver un secteur où j'aurai besoin de progresser à la vue de ma performance la
veille au soir quand j'avais sucé son mec. Elle m'ordonna ensuite de me rincer le cul
promptement et de reprendre place sur la table. Ce qui fût fait et je retrouvai
bientôt ma position initiale sur la table que Karine avait de nouveau fait pivoter.
Elle sortit d'un tiroir un nouveau plug bootie, plus court celui-ci, 6cm mais
également plus large, 3cm de diamètre,qu'elle entreprit de me le fourrer directement
dans le fion après l'avoir copieusement lubrifié. Ma rondelle eut cette fois un peu
plus de mal à céder le passage à ce nouvel assaillant, m'arrachant un gémissement de
douleur:
-"Comment? Tu aimes ça mon beau, hein? Excuse-moi, je n'aurais peut-être pas du le
lubrifier. Une autre règle à ne pas oublier, je veux du silence quand je te travaille,
tu as compris?
-Oui, Karine. Je te présente mes humbles excuses.
-Je les accepte pour cette fois, mais dis-toi bien que ce sera la seule et unique.
Maintenant, écoute-moi bien et enregistre. Ce plug que je viens de t'administrer, je
veux que tu le garde en place en permanence, 24h sur 24 même lorsque tu ne seras pas
avec nous. Je souhaite qu'il te rappelle en permanence à qui tu appartiens. Pour
l'instant, je veux que tu ailles te rafraîchir et calmer un peu ta queue. Tu nous
rejoindras ensuite sur la terrasse et nous prendrons un apéritif avant de déjeuner."
Puis avant de quitter la pièce avec un clin d'oeil malicieux, "et ne t'inquiète pas
pour tout ce désordre, Constance s'en occupera. A tout à l'heure, Jo."
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mais très très content de vous retrouver ici.
Rudy
Rudy
hmm pas mal du tout, même si j'ai pas lu les autres.
J attendais la suite avec impatience!!!!! J aurais tellement être a votre place