Le début - histoire érotique

Exceptionnellement c’est moi qui prends le clavier pour donner quelques précisions, bien que nous écrivions quasiment ensemble ces récits d’aventures.
Rien ne me prédisposait à une vie remplie d’aventures sexuelles comme celles que nous vous narrons.
J’ai connu François à l’âge de 26 ans et bien qu’ayant eu de multiples aventures avant lui, elles étaient tout à fait banales.
Seuls deux événements auraient pu laisser présager une vie bien remplie.
Une relation à 16 ans avec une amie d’enfance à qui j’ai raconté ma première expérience datant de la veille avec un homme beaucoup plus âgé que moi.
C’est en lui expliquant qu’il m’avait beaucoup faite jouir avec sa langue et ses doigts et bien plus qu’avec son sexe que nous nous sommes retrouvées dans la même situation.
Malheureusement, le déménagement de ses parents quelques mois plus tard a mit fin à notre relation.
Bien plus tard, lors d’une crémaillère organisée par un prof de fac, j’ai été littéralement harcelée par une invitée de 35/ 38 ans (j’en avais 20).
Les délicieux souvenirs de mon adolescence ont fait que je me suis retrouvée dans une chambre avec elle pour un moment inoubliable.
Notre départ, notre absence et notre retour ne sont pas passés inaperçus malgré nos précautions et je me suis retrouvée la cible de beaucoup de regards.
Parmi ceux-ci, deux hommes sont venus me draguer l’un après l’autre puis ensemble laissant ouvertement entrevoir une relation à trois.
J’ai profité d’une pause dans leur harcèlement pour prendre la fuite et rentrer chez moi.
Mais pendant quelques jours cette idée de relation à trois m’a pas mal obnubilée puis a finit par disparaître.
Ma seule véritable « déviance » sexuelle depuis toujours est mon amour immodéré pour la fellation, le goût du sperme et le plaisir immense de le recevoir dans ma bouche, sur mon visage ou sur mes seins.

François, trois ans de plus que moi, de son coté a bien vécu aussi mais en plus fréquentait le milieu échangiste.
Trois mois après notre rencontre, je m’installais chez lui ; trois mois de plus et je connaissais tout de ses aventures.
Nous avions pris, dès le début, l’habitude de tout nous dire sur nos fantasmes et expériences.
Il fréquentait, entre autre, un couple habitant à 5mn de chez lui avec qui il avait une relation régulière et suivie.
Il me proposa de les rencontrer…Quelques jours après, on était chez eux.
Réception grande classe : Appartement bourgeois, lumières tamisées, musique choisie, champagne, tenue sexy.
J’avais moi aussi choisie ma tenue pour la circonstance, bien qu’il était entendu entre nous qu’il s’agissait juste de curiosité de ma part et qu’il ne se passerait rien.
Elle, charmante, quelques rondeurs agréables.
Lui, très maigre, presque maladif, cheveux blancs, mais une voix grave et envoûtante. Des yeux bleu foncé qui lui donnait un regard étrange, dérangeant.
J’avais l’impression qu’il me voyait nue tellement son regard était perçant.
Tous deux la quarante cinq, quarante huit ans.
Soirée agréable et très chaleureuse.
J’aurais pu craquer au moins deux fois malgré le physique de Mr qui ne me convenait pas.
Mais leur éducation a fait qu’ils n’ont pas voulu brusquer les choses.
Au moment de partir, alcool aidant, imbroglio dont je ne me souviens pas le début.
Je me retrouve enlacée par Suzanne qui me fait de petits bisous du bout des lèvres partout sur le visage. Jean-Paul se retrouve derrière moi et fait de même dans mon cou.
Je vois François derrière Suzanne qui en fait autant et ses mains qui lui malaxent les seins.
Jean-Paul a soulevé ma robe et se plaque contre mes fesses, sa femme s’attaque à ma poitrine après m’avoir embrassée sur la bouche, baisé auquel j’ai répondu avec ardeur.
Il est 1h00 du matin, le téléphone sonne…IMPENSABLE…Il nous a fallu à tous plusieurs sonneries pour réaliser que c’était bien ici !
Leur fille avait eu un accident de voiture vers 23h00, et elle voulait les avertir que tout allait bien avant que la police ne les appelle.
Le charme, ce moment magique que l’on ne peut pas recréer était rompu.
Nous nous sommes quittés avec la ferme intention de se revoir.
Le lendemain, j’étais plus lucide et demandais à François de ne rien prévoir avec eux, étant définitivement certaine que le Mr ne me convenait pas.

Nous avons tout de même tiré la morale de cette soirée :J’ai apprécié l’ambiance de cette soirée, j’étais portée sur la bisexualité, je n’ai pas été jalouse de l’attitude de François, J’ai accepté le contact d’un autre homme.

Il n’en fallait pas plus à François pour concocter la suite de nos aventures….
Sylviecoquine@hotmail.com