Le début de ma nouvelle vie
Récit érotique écrit par Will51 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le début de ma nouvelle vie
Je m'appelle William, j'ai 23 ans, je suis blond, 1m78 pour 68 kilos, plutôt pas mal à ce qu'on dit, et avec un certain charme.
Mon histoire s'est déroulée il y a quelques temps, et le fait d'y penser me fait encore sourire.
J'avais l'habitude de voir un très bon ami à moi, que nous appellerons P (nous nous connaissons depuis une bonne dizaine d'années maintenant), aussi souvent que nos emplois du temps respectifs nous le permettaient, tout en faisant en sorte que nous nous voyions au moins le dimanche après-midi, baladant sa chienne, ou faisant de longues promenades à VTT, et profitant de ces instants passés ensemble pour nous raconter les dernières nouvelles, n’étudiant pas dans la même ville.
Voilà donc un moment que j’avais des vues sur P., que ce soit en bavant littéralement quand je le voyais torse nu, ou en maillot à la piscine, ou bien lorsqu’il prend cet air que lui seul connaît, quand il se concentre sur quelque chose ou qu’il réfléchit et ne trouve pas la solution à un problème. En plus de tout ça, son sourire charmeur, qui en a fait tomber plus d’une, ne me laisse évidemment pas de marbre et à même tendance à me faire encore plus craquer, au risque de prendre un air complétement niais.
Nous voilà donc partis un dimanche après-midi, comme à l’habitude, pour promener la chienne et nous raconter les dernières nouvelles : études, nanas, chouilles en vue, sont nos principaux sujets de conversation. Il fait fort chaud pour un dimanche de printemps, et nous décidons donc de nous rapprocher de la petite vallée formée par le ruisseau coulant près de notre ville pour profiter de la fraicheur qui s’y trouve et nous arrêter un moment, le côté nature présent dans notre petite ville natale nous ressourçant après nos semaines passées en ville pour les cours.
Après avoir passé un très long moment à discuter, et à rigoler sur nos différentes anecdotes, on distingue un bruit sourd au loin, mais qui se répète de plus en plus souvent et surtout de plus en plus fort. Un orage approche, nous décidons donc de ne plus trop nous attarder, les orages ne prévenant que trop tard dans notre région, si nous ne voulons pas rentrer trempés, il faut y aller.
Ce que nous fîmes donc très vite, après avoir ramassé nos maillots et bermudas, nous nous dépêchons de repartir, appelant la chienne pour qu’elle nous rejoigne, laissant ainsi les canards qu’elle ennuyait depuis un moment.
Finalement, l’orage étant beaucoup plus rapide que nous, les premières gouttes se font ressentir, prémisses de ce qui nous attendait. C’est donc sous une pluie battante, accompagnée des éclairs et tu tonner propres aux orages, que nous courrons pour renter au plus vite.
Moi : « Bon ben je te laisse ici, il me reste encore du chemin pour rentrer moi ! »
P. : « Ben non couillon ! Viens chez moi ! Les parents sont pas là on sera tranquille ! »
Moi : « Ok mais alors tu me payes le gouter ! »
P. : « Ouep ok ! Tu veux pas que je paye mon cul aussi ? haha »
Moi : « Ho ne me tentes pas trop ! Tu risquerais d’être surpris »
Et à ce moment-là, la foudre tombe sur le paratonnerre de la maison juste à côté de celle des parents de P., ce qui non seulement nous a fait frôler la crise cardiaque, en plus de nous rendre à moitié sourd et nous fait rentrer que plus vite tous les deux chez lui.
Nous entrons par la chaufferie, qui donne un accès direct à la cuisine, dans le but de nous restaurer comme prévu 2 minutes plus tôt.
P : « allé hop ! A poils ! Je n’ai pas l’intention de laver la maison après ton passage, et vu qu’on est plus trempés que des éponges . . . »
Moi : « Surement pas ! Avec la température de la pluie, ma queue s’est transformée en coquillette ! Je ne veux pas te laisser pouvoir te moquer de la petitesse de celle-ci ! »
P : « Haha ! Non mais attends je m’en fou moi ! Je l’ai déjà vu au repos quand elle a chaud, et même en pleine forme ! Au pire on va prendre une douche, j’ai super froid de toute façon » dit-il en claquant de dents, les lèvres violettes, ce qui le rend encore une fois très craquant.
Moi : « J’osais pas te le demander mais ouais je suis gelé aussi ! »
Nous voilà donc déchaussés, et partis à monter les escaliers qui mènent à la salle de bain. Une fois arrivés, P. me dit qu’il a trop froid et ne peut pas attendre que j’aie pris ma douche pour prendre la sienne. Nous tremblons comme des feuilles et avons donc le réflexe de nous coller l’un à l’autre pour nous réchauffer, en frottant respectivement le dos de l’autre, tout en allumant l’eau pour laisser l’eau chaude arriver.
Après deux minutes de ce traitement, nous finissons par nous regarder dans les yeux, et là je me sens profondément bien, dans ces bras, collé à lui, en train de tout faire pour que nous nous réchauffions.
Le regard se fait plus insistant et l’ambiance un peu plus lourde. Seuls les bruits de respiration perturbent le bruit de l’eau qui coule, et c’est à ce moment que P. approche son visage de ma nuque, et viens y déposer un tendre baiser, rompant ainsi l’atmosphère lourde, puis voyant que je ne bouge pas ni ne dis mot, il en offre un deuxième, suivi d’autres, qui se font de plus en plus sensuels, lents, doux, et s’approchent de plus en plus de ma bouche, pour finir par me rouler la pelle la plus sensuelle de ma vie. A ce moment-là, je ne peux plus me retenir, et m’empresse de le serrer très fort dans mes bras, pour ensuite le coller contre la porte de la salle de bain, et lui rendre un peu de ce qu’il m’avait donné, mais seulement après lui avoir retiré son maillot mouillé, qui laissait apparaître ses abdos et ses pectoraux si bien dessinés.
Moi : « On la prend cette douche ? »
P : « Avec plaisir ! Mais à condition que tu ne t’arrêtes pas de m’embrasser ! »
Moi : « Mais je n’en avais pas du tout l’intention ! Je rêve de ce moment depuis des lustres... »
P : « Bah putin, qu’est-ce qu’on est cons alors ! Si j’avais su, je t’aurais sauté dessus depuis un bon moment ! »
A ces mots, je le tire sous la douche et nous pouvons ainsi profiter de la chaleur de l’eau, tout en continuant de nous embrasser tendrement, mais cette tendresse commence à laisser place à un peu plus de rapidité, d’envie et laisse déjà présager le déroulement de l’après-midi.
L’eau chaude et le côté érotique de la situation, ajoutés aux désirs qui peuvent enfin sortir de leurs cachettes font que nos sexes sont en émoi, et se frôlent en permanence, ou bien frottent contre le bas ventre de l’autre, ce qui rend la scène encore bien plus excitante.
Les câlins se font donc de plus en plus excitants, et c’est tout naturellement que P. commence à descendre vers mes tétons, tout en laissant sa langue glisser sur ma peau, pour ensuite se diriger vers mon nombril, puis finir par embrasser, lécher et aspirer divinement ma queue. Quel délice ! Je rêve éveillé ! C’est alors qu’il se lance dans une pipe magistrale, dans un mélange de bruits de sucions, d’eau qui coule, de tonnerre et de petits gémissements émanant de ma bouche. C’est la meilleure pipe qu’il m’ait été donné jusqu’ici.
Je ne tiens plus, je veux gouter à sa queue, je le fais se relever, lui dit que c’est à mon tour de m’occuper de lui, et me jette littéralement sur sa bite tendue au maximum.
C’est alors que je me lance dans une pipe acharnée, parfois rapide, puis un peu plus lente pour pouvoir faire glisser la bite jusqu’au plus profond de ma gorge. Je gobe royalement ce morceau de chair, pendant que P. me tient les cheveux pour me dicter la cadence, souhaitant certainement que le plaisir soit maximal, sans pour autant jouir immédiatement.
Après un long moment de pipes partagées, P. me propose de continuer cette séance dans sa chambre, ce que j’accepte sans aucune hésitation !
Nous nous séchons mutuellement, toujours en nous embrassant et en se suçant, puis nous dirigeons dans sa chambre, les lèvres collées les unes aux autres, les langues liées entre elles, dans un bruit de respirations frénétiques, qui témoigne de notre envie partagée.
Nous nous affalons sur son lit, et nous empressons de nous mettre en 69 pour continuer notre affaire. C’est assez naturellement de P. fini par approcher son superbe cul de ma bouche, me permettant ainsi de gouter à une nouvelle partie de lui. C’est donc avec beaucoup de plaisir que je m’attaque à sa rondelle, la léchant et la titillant, la suçotant et la pénétrant avec ma langue.
Moi : « J’adore te bouffer ton ptit cul il est trop bon ! »
P. : « c’est vrai tu le kiffes ? Moi aussi j’aime trop ! Mais je veux ta bite maintenant ! »
Il me pousse, me met sur le dos, et vient s’empaler sur ma queue. Je suis surpris de la facilité avec laquelle son cul gobe ma bite, mais la sensation qu’il m’a procurée était vraiment trop bonne. Il commence donc à onduler du cul, faire des va et viens sur ma bite et à aller de plus en plus vite.
Il me rend littéralement dingue ! Mais je veux mener la danse, et le tourne donc sur le lit, prends ses jambes sur mes épaules, et m’enfonce directement au fond de ses entrailles. Dans cette position, je vais encore plus loin en lui, et ça nous procure un maximum de plaisir à tous les deux.
L’excitation étant tellement grande, je finis par lui dire que j’allais jouir, alors il me demande de lui donner tout dans son cul, qu’il veut me regarder jouir et sentir mon sperme en lui.
A ces mots, j’accélère une dernière fois et crache tout dans son cul, que je sens encore tressauter à chaque jet, et c’est dans un râle de plaisir qu’il finit lui aussi par venir, sans même se toucher la queue, juste avec le plaisir qu’il a de sentir ma queue gonfler en lui à chaque fois qu’un jet de sperme en sort. Je m’effondre sur lui et nous nous embrassons longuement.
Moi : « Putin j’ai vraiment adoré »
P. : « Moi aussi franchement c’était génial ! »
Moi : « On a pu qu’à reprendre une douche »
P. : « Ouais mais alors tu me laves ! »
Moi : « Ok ! »
Je descends lentement le long de ses abdos, et lèche tout le sperme qu’il avait sur lui, pour finir par gober de nouveau sa queue.
P. : « Will arrêtes sinon je vais rebander ! »
Moi : « Et alors ? »
On éclate de rire puis on est retourné prendre une douche, durant laquelle nous nous sommes embrassés, et avons recommencé à se sucer, se caresser, se branler, puis il a fini par enfiler de nouveau son cul sur ma tige.
Nous nous sommes ensuite allongés sur son lit et on s’est endormi. Dans la nuit, je me suis réveillé, l’ai regardé et me suis rendu compte que j’avais vraiment énormément de chance de l’avoir.
Le matin, on s’est levé et c’est avec beaucoup de mal que nous nous sommes quittés pour aller en cours... Finalement, nous avons pris un appart ensemble, avons fini par vivre notre amour au grand jour, et cela fait maintenant un peu plus d’un an que nous sommes ensemble.
Petit conseil donc : lors d’un orage, ne vous protégez pas du coup de foudre :p
William.
Mon histoire s'est déroulée il y a quelques temps, et le fait d'y penser me fait encore sourire.
J'avais l'habitude de voir un très bon ami à moi, que nous appellerons P (nous nous connaissons depuis une bonne dizaine d'années maintenant), aussi souvent que nos emplois du temps respectifs nous le permettaient, tout en faisant en sorte que nous nous voyions au moins le dimanche après-midi, baladant sa chienne, ou faisant de longues promenades à VTT, et profitant de ces instants passés ensemble pour nous raconter les dernières nouvelles, n’étudiant pas dans la même ville.
Voilà donc un moment que j’avais des vues sur P., que ce soit en bavant littéralement quand je le voyais torse nu, ou en maillot à la piscine, ou bien lorsqu’il prend cet air que lui seul connaît, quand il se concentre sur quelque chose ou qu’il réfléchit et ne trouve pas la solution à un problème. En plus de tout ça, son sourire charmeur, qui en a fait tomber plus d’une, ne me laisse évidemment pas de marbre et à même tendance à me faire encore plus craquer, au risque de prendre un air complétement niais.
Nous voilà donc partis un dimanche après-midi, comme à l’habitude, pour promener la chienne et nous raconter les dernières nouvelles : études, nanas, chouilles en vue, sont nos principaux sujets de conversation. Il fait fort chaud pour un dimanche de printemps, et nous décidons donc de nous rapprocher de la petite vallée formée par le ruisseau coulant près de notre ville pour profiter de la fraicheur qui s’y trouve et nous arrêter un moment, le côté nature présent dans notre petite ville natale nous ressourçant après nos semaines passées en ville pour les cours.
Après avoir passé un très long moment à discuter, et à rigoler sur nos différentes anecdotes, on distingue un bruit sourd au loin, mais qui se répète de plus en plus souvent et surtout de plus en plus fort. Un orage approche, nous décidons donc de ne plus trop nous attarder, les orages ne prévenant que trop tard dans notre région, si nous ne voulons pas rentrer trempés, il faut y aller.
Ce que nous fîmes donc très vite, après avoir ramassé nos maillots et bermudas, nous nous dépêchons de repartir, appelant la chienne pour qu’elle nous rejoigne, laissant ainsi les canards qu’elle ennuyait depuis un moment.
Finalement, l’orage étant beaucoup plus rapide que nous, les premières gouttes se font ressentir, prémisses de ce qui nous attendait. C’est donc sous une pluie battante, accompagnée des éclairs et tu tonner propres aux orages, que nous courrons pour renter au plus vite.
Moi : « Bon ben je te laisse ici, il me reste encore du chemin pour rentrer moi ! »
P. : « Ben non couillon ! Viens chez moi ! Les parents sont pas là on sera tranquille ! »
Moi : « Ok mais alors tu me payes le gouter ! »
P. : « Ouep ok ! Tu veux pas que je paye mon cul aussi ? haha »
Moi : « Ho ne me tentes pas trop ! Tu risquerais d’être surpris »
Et à ce moment-là, la foudre tombe sur le paratonnerre de la maison juste à côté de celle des parents de P., ce qui non seulement nous a fait frôler la crise cardiaque, en plus de nous rendre à moitié sourd et nous fait rentrer que plus vite tous les deux chez lui.
Nous entrons par la chaufferie, qui donne un accès direct à la cuisine, dans le but de nous restaurer comme prévu 2 minutes plus tôt.
P : « allé hop ! A poils ! Je n’ai pas l’intention de laver la maison après ton passage, et vu qu’on est plus trempés que des éponges . . . »
Moi : « Surement pas ! Avec la température de la pluie, ma queue s’est transformée en coquillette ! Je ne veux pas te laisser pouvoir te moquer de la petitesse de celle-ci ! »
P : « Haha ! Non mais attends je m’en fou moi ! Je l’ai déjà vu au repos quand elle a chaud, et même en pleine forme ! Au pire on va prendre une douche, j’ai super froid de toute façon » dit-il en claquant de dents, les lèvres violettes, ce qui le rend encore une fois très craquant.
Moi : « J’osais pas te le demander mais ouais je suis gelé aussi ! »
Nous voilà donc déchaussés, et partis à monter les escaliers qui mènent à la salle de bain. Une fois arrivés, P. me dit qu’il a trop froid et ne peut pas attendre que j’aie pris ma douche pour prendre la sienne. Nous tremblons comme des feuilles et avons donc le réflexe de nous coller l’un à l’autre pour nous réchauffer, en frottant respectivement le dos de l’autre, tout en allumant l’eau pour laisser l’eau chaude arriver.
Après deux minutes de ce traitement, nous finissons par nous regarder dans les yeux, et là je me sens profondément bien, dans ces bras, collé à lui, en train de tout faire pour que nous nous réchauffions.
Le regard se fait plus insistant et l’ambiance un peu plus lourde. Seuls les bruits de respiration perturbent le bruit de l’eau qui coule, et c’est à ce moment que P. approche son visage de ma nuque, et viens y déposer un tendre baiser, rompant ainsi l’atmosphère lourde, puis voyant que je ne bouge pas ni ne dis mot, il en offre un deuxième, suivi d’autres, qui se font de plus en plus sensuels, lents, doux, et s’approchent de plus en plus de ma bouche, pour finir par me rouler la pelle la plus sensuelle de ma vie. A ce moment-là, je ne peux plus me retenir, et m’empresse de le serrer très fort dans mes bras, pour ensuite le coller contre la porte de la salle de bain, et lui rendre un peu de ce qu’il m’avait donné, mais seulement après lui avoir retiré son maillot mouillé, qui laissait apparaître ses abdos et ses pectoraux si bien dessinés.
Moi : « On la prend cette douche ? »
P : « Avec plaisir ! Mais à condition que tu ne t’arrêtes pas de m’embrasser ! »
Moi : « Mais je n’en avais pas du tout l’intention ! Je rêve de ce moment depuis des lustres... »
P : « Bah putin, qu’est-ce qu’on est cons alors ! Si j’avais su, je t’aurais sauté dessus depuis un bon moment ! »
A ces mots, je le tire sous la douche et nous pouvons ainsi profiter de la chaleur de l’eau, tout en continuant de nous embrasser tendrement, mais cette tendresse commence à laisser place à un peu plus de rapidité, d’envie et laisse déjà présager le déroulement de l’après-midi.
L’eau chaude et le côté érotique de la situation, ajoutés aux désirs qui peuvent enfin sortir de leurs cachettes font que nos sexes sont en émoi, et se frôlent en permanence, ou bien frottent contre le bas ventre de l’autre, ce qui rend la scène encore bien plus excitante.
Les câlins se font donc de plus en plus excitants, et c’est tout naturellement que P. commence à descendre vers mes tétons, tout en laissant sa langue glisser sur ma peau, pour ensuite se diriger vers mon nombril, puis finir par embrasser, lécher et aspirer divinement ma queue. Quel délice ! Je rêve éveillé ! C’est alors qu’il se lance dans une pipe magistrale, dans un mélange de bruits de sucions, d’eau qui coule, de tonnerre et de petits gémissements émanant de ma bouche. C’est la meilleure pipe qu’il m’ait été donné jusqu’ici.
Je ne tiens plus, je veux gouter à sa queue, je le fais se relever, lui dit que c’est à mon tour de m’occuper de lui, et me jette littéralement sur sa bite tendue au maximum.
C’est alors que je me lance dans une pipe acharnée, parfois rapide, puis un peu plus lente pour pouvoir faire glisser la bite jusqu’au plus profond de ma gorge. Je gobe royalement ce morceau de chair, pendant que P. me tient les cheveux pour me dicter la cadence, souhaitant certainement que le plaisir soit maximal, sans pour autant jouir immédiatement.
Après un long moment de pipes partagées, P. me propose de continuer cette séance dans sa chambre, ce que j’accepte sans aucune hésitation !
Nous nous séchons mutuellement, toujours en nous embrassant et en se suçant, puis nous dirigeons dans sa chambre, les lèvres collées les unes aux autres, les langues liées entre elles, dans un bruit de respirations frénétiques, qui témoigne de notre envie partagée.
Nous nous affalons sur son lit, et nous empressons de nous mettre en 69 pour continuer notre affaire. C’est assez naturellement de P. fini par approcher son superbe cul de ma bouche, me permettant ainsi de gouter à une nouvelle partie de lui. C’est donc avec beaucoup de plaisir que je m’attaque à sa rondelle, la léchant et la titillant, la suçotant et la pénétrant avec ma langue.
Moi : « J’adore te bouffer ton ptit cul il est trop bon ! »
P. : « c’est vrai tu le kiffes ? Moi aussi j’aime trop ! Mais je veux ta bite maintenant ! »
Il me pousse, me met sur le dos, et vient s’empaler sur ma queue. Je suis surpris de la facilité avec laquelle son cul gobe ma bite, mais la sensation qu’il m’a procurée était vraiment trop bonne. Il commence donc à onduler du cul, faire des va et viens sur ma bite et à aller de plus en plus vite.
Il me rend littéralement dingue ! Mais je veux mener la danse, et le tourne donc sur le lit, prends ses jambes sur mes épaules, et m’enfonce directement au fond de ses entrailles. Dans cette position, je vais encore plus loin en lui, et ça nous procure un maximum de plaisir à tous les deux.
L’excitation étant tellement grande, je finis par lui dire que j’allais jouir, alors il me demande de lui donner tout dans son cul, qu’il veut me regarder jouir et sentir mon sperme en lui.
A ces mots, j’accélère une dernière fois et crache tout dans son cul, que je sens encore tressauter à chaque jet, et c’est dans un râle de plaisir qu’il finit lui aussi par venir, sans même se toucher la queue, juste avec le plaisir qu’il a de sentir ma queue gonfler en lui à chaque fois qu’un jet de sperme en sort. Je m’effondre sur lui et nous nous embrassons longuement.
Moi : « Putin j’ai vraiment adoré »
P. : « Moi aussi franchement c’était génial ! »
Moi : « On a pu qu’à reprendre une douche »
P. : « Ouais mais alors tu me laves ! »
Moi : « Ok ! »
Je descends lentement le long de ses abdos, et lèche tout le sperme qu’il avait sur lui, pour finir par gober de nouveau sa queue.
P. : « Will arrêtes sinon je vais rebander ! »
Moi : « Et alors ? »
On éclate de rire puis on est retourné prendre une douche, durant laquelle nous nous sommes embrassés, et avons recommencé à se sucer, se caresser, se branler, puis il a fini par enfiler de nouveau son cul sur ma tige.
Nous nous sommes ensuite allongés sur son lit et on s’est endormi. Dans la nuit, je me suis réveillé, l’ai regardé et me suis rendu compte que j’avais vraiment énormément de chance de l’avoir.
Le matin, on s’est levé et c’est avec beaucoup de mal que nous nous sommes quittés pour aller en cours... Finalement, nous avons pris un appart ensemble, avons fini par vivre notre amour au grand jour, et cela fait maintenant un peu plus d’un an que nous sommes ensemble.
Petit conseil donc : lors d’un orage, ne vous protégez pas du coup de foudre :p
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