Le défi
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le défi
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
Samedi 30.10.99
LE DÉFI
Caline finit d’ajouter du noir sur ses yeux, puis s’éloigne un peu pour admirer le résultat final, dans le grand miroir mural.
— Wouaou ! Ce regard démoniaque, c’est juste génial. Avec les faux cils, ça fait trop stylé... Et... Ton maquillage est une tuerie ! Tu seras la plus sexy des sorcières. Lui ai-je avouer.
J'avais demandé à ma bien aimée de se maquiller en sorcière sans lui avoir montré la tenue qu'elle se "devra" de porter.
Je mets la tenue que je lui ai acheter, sur le lit. Elle est composée ďune jupe moulante noire... Courte... Heuuu... Bon, très courte... Il faut ce qu’il faut... Des bas rouges et ces boots noires, avec des talons.
— Jolis ces boots... Wahhh les talons ! Ils font combien ?
— 8cm !
— J'en ai jamais porté d'aussi haut et sachant que cette soirée va... Inévitablement... Finir avec un coup dans le nez, je suis sûre et certaine que je vais me ramasser le bitume plus d'une fois ! Me dit-elle en me faisant la moue.
Je la rassure en disant :
— Je serai à tes cotés bébé ! Bon... Moi il me sera interdit de boire plus que raison, car... D'un... Je conduits, et de deux je ne veux pas te predre 1 an avant notre mariage !
— Ok... Je vais essayer de ne pas trop picoller aussi, pour tenir en équilibre ! D'ailleur, comme je risque de ne pas passer inaperçue avec cette tenue, et encore si je m'étale, cela sera inscrit dans les journaux de demain ! Dit-elle avec un petit sourire.
Son buste sera recouvert ďun crop top assorti, bien moulant lui aussi, histoire qu’on voit son ventre (plat). Sur sa tête viendra se placer un grand chapeau noir pointu et tout tordu. Avec ses cheveux noirs, ça fait top !
Sans oublier les faux ongles rouges de quatre centimètres, accompagnés d’un rouge à lèvres couleur sang. Voilà, le déguisement que je lui ai choisi pour cette soirée Halloween.
Dés que l'occasion se présente à nous, je me fais une joie, un plaisir, de défier ma compage, la femme qui partagera mes peines, mes nuits et même mon bonheur, en lui lancer, ou plutôt en nous lançant un défi. Bien que c'est en général toujours le même défi que nous sommes obligés de relever. Je vous explique :
Comme vous l'avez noté en lisant les chapitres précedents de ma vie amoureuse avec Caline, que j'ai toujours cherché à la pousser à dépasser ces limites, du moins à franchir ses frontières que nos esprits érigent sans aucunes (bonnes) raisons.
De ce fait, j'avais paraphé ça, noir sur blanc, que nous avons signé. Un genre de contrat plus moral qui nous "interdit" de se dérober. Ce contrat a pour but ni moins ni plus de ravivrer le feu de nos passions et de notre envie l'un pour l'autre. Car entre nous on est à se provoquer ľun ľautre (surtout moi pour voir qu'elles sont ses limites).)
Donc j'ai instauré un défi ou plutôt un challenge : à chaque occasion où cela nous sera possible, nous devons être prêts à dépasser nos limites, "sexuellement" parlant, genre qui osera faire le truc le plus pervers à l'autre (bien entedu, en mettant de coté tout ce qui est SM, scato, uro... À chacun son kif), sans pour autant choquer les personnes qui nous entourent. C'est vrai que c'est assez compliqué, mais cela nous pousse à être imaginatifs et très créatifs.
Comme la fois où on avait baiser à trois à la plage avec un inconnu...
Sans me vanter, c'étais moi qui avais ľavantage sur elle.
Bref !
— C'est quoi se déguisement que tu me propse de mettre là ? Je te rappelle, c'est Halloween et non "soirée de putes' !
— C'est mon challange pour ce soir !
— Tu veux que je fasse la pute ?
— Non chérie... Mais qu'on te prenne pour ce genre de nana et ainsi voir les réactions des gens et puis si tu as mieux, propose moi ton challenge... Et que le meilleur gagne !
— Gros porc ! Tu vas le regretter ! Me dit-elle avec un large sourire.
— Tu sais très bien que j'ne regrette welou (rien NDLR). Vas'y fais toi belle et on en reparlera ! Lui dis-je en m'éloignant pour me déguiser aussi pour être présentable à cette soirée, que j'espére, nous réservera de belles surprises.
Juste pour info :
Sais-tu, cher(ère) lecteur(rice) pourquoi se déguise-t-on ainsi pour cette fête ?
La fête ďHalloween tient son origine de la fête celtique de "Samain" qui célébre le passage de ľancienne année Celte à la nouvelle (comme le 31décembre Grégorien).
Durant cette nuit de transition, les croyances Celtes disaient que les frontières entre le monde des morts et celui des vivants était ouvertes, et que les esprits des morts venaient rendre visite aux vivants. Traditionnellement, lors de la soirée ďHalloween, les enfants portent des déguisements qui font peurs, symbolisant ainsi les âmes des morts qui érrent durant cette nuit là.
Bon, retour à notre histoire !
Pendant que j'étais entrain de vétir mon costume je demande :
— Dis Caline... Ton frère se raméne à quelle heure ?
— Ben... Aux dernières nouvelles, il ne vient pas !
— Pourquoi donc ?
— Il y a du gaz dans ľeau entre lui et sa meuf, il m'a dit qu'il restait jouer à avec ses stupides jeux vidéos au lieu de changer d'air et essayer de se trouver une nana meilleure que celle qui se tape lâ.
— Tanpix pour lui...
Après avoir fini ďenfilet ma tenue ďinfirmier, je vérifie que la petite chaînette est bien dans la poche de mon tablier ďinfirmier ensangloté.
C’est bon, elle est là. Je regarde l’heure... Ah il est temps de prendre la route, faut pas qu'on traîne.
Tandis qu'on remontait la rue, pour prendre place dans notre voiture, j'étais heureux de voir ses regards que les gens jettaient à ma Caline. C’est sûr, cela a beau être le soir d’Halloween, ma version du costume "sorcière salope" contraste un peu (beaucoup) avec les tenues qu'ils et elles ont l'habitude de croiser lors de cet évenement annuel. D'ailleurs c'est le regard des femmes qui m'amuse le plus, car je n'arrivait pas à lire s'il y avait dans leurs regards, de la honte, du dégout en la voyant ainsi vétue, ou alors un regard envieux ?
On arrive enfin à l’entrée du campus. Déjà, les déguisements que nous croisons sont beaucoup moins “sages”, donc Caline se sent un peu plus "rassurée" si on peut dire, car même si la tenue qu'elle porte est à la limite du portable, d'autres tenues (de filles) peuvent lui voler la vedette s'ils envisagent de sélectionner la tenue de la plus "salope" de la soirée. Caline va pouvoir se fondre dans la masse. Nous suivons l’allée délimitée par les ballons oranges et noirs. Nos corps vibrent avec ces BOOM BOOM que les enceintes diffusent.
Whouaa ! Putain ! Ils ont fait un boulot de dingue ! La déco est vraiment top. Toiles d’araignées sur les murs et au plafond, vieux crânes, mains coupées, chauves-souris, le tout baigné dans une lumière variant du rouge au bleu en passant par l’orange. Ils ont même amené une machine à fumée, qui donne à la salle une ambiance vraiment... Halloween quoi !
Nous nous faufilons entre les zombies, les momies et les squelettes... Sur le passage, je nous attrape deux verres d’une boisson dont je ne saurais reconnaître la nature, dans cette lumière artificielle. Nous sirotons nos verres...
Mmm, pas dégueu.!
— Caline !
— Oui chéri ?
— Franchement tu ne fais pas tache ! T’es carrement trop sex dans ta tenue de sorcière !
— Tu me flattes trop là... C'est grâce à toi !
Le volume de la musique étant ce qu’il est, nous sommes obligés de nous rapprocher pour nous entendre.
Elle colle alors ses lèvres contre les miennes, et me donne un baiser à vous faire une luxation de la mâchoire. Je ne peux m’empêcher d’attraper ses seins... pas trop longtemps, pour qu’on ne nous remarque pas, mais juste assez pour faire retomber la tension sexuelle qui fait déjà effet sur moi.
— Hey, pas touche, petit pervers ! Se rebelle-t-elle faussement.
— Oh, si on ne peut même plus tâter la marchandise...
Les boissons ne sont pas officiellement alcoolisées, dans ce genre de soirée. Mais au vu de ma tête, qui commence à tourner, j’imagine que les règles n’ont pas vraiment été respectées.
Caline me quitte quelques instants pour revenir avec deux nouveaux verres à la main, moi qui supporte généralement bien les boissons alcoolisées, celle-là est effroyablement soulante. Déjà que un verre de vin rend Caline un peu pompette, je ne donne pas cher de son état à la fin de la soirée.
— Écoutes chérie... Là c'est mon dernier verre... Cette boisson est... Ouf et j'crois tenir le coup si j'en abuse et qu'après je conduit !
— Alors je vais me souler pour nous deux !
— Chiche ?
— Croix d'bois, croix d'fer, si j'mens... J'vais cramer !
La musique aidant, nous voilà pris dans le rythme électro, ondulant nos corps comme deux fous sur le dancefloor. L’alcool faisant son effet, je me sens maintenant d’attaque pour mettre mon plan à exécution.
— Caline... Viens, suis-moi !
Sans broncher, mais me lançant un regard interrogateur, elle se laisse guider par ma main qui l’entraîne dans les toilettes des hommes sous le regard de ceux qui sont entrain de soulager leurs vessies en sifflant ou en se proposons de nous tenir la torche si il y a extinction des feux... Je fais fi de tous ces commentaires et je la pousse dans une cabine et verrouille le loquet.
— Alors là... Tu es à ma merci, charmante sorcière !
— Non mon chou... C'est moi qui t'ai jetter un sort et cela marche à merveille !
— Et tu crois qu’un infirmier de mon rang n'a pas penser à prendre une antidote avant de te rencontrer ? À malin, malin et demi... Hihihihi !
— Houuuuu, je crois bien que la vilaine sorcière que je suis est... prise !
J’interprète immédiatement sa dernière phrase comme un feu vert. Ne lui laissant pas le temps de réagir, je lui enlève son chemisie. Puis, m’attaque à sa jupe, qui tombe par terre en un clin d’œil. J’attrape alors ses seins à pleines mains.
— Oh putain, depuis le temps que j’attends ça, dis-je.
— Mais dites donc, monsieur l'infirmier, comme vous y allez. Je ne suis pas une sorcière née de la dernière pluie, vous savez ?
Après avoir joué avec ses seins, je me dirige plus bas. Fermant le battant de la cuvette, je la pousse à s’asseoir dessus, je me mets à genou, puis lui replie les jambes, bien écartées, afin d’exposer sa chatte, qui commence à ruisseler de cyprine.
— Mmm, mais tu as l’air tout trempée ! Je ne savais pas que les sorcières pouvaient être salope aussi !
— Non ! Non ! Pitié, monsieur le fouture toubib, je troppe de peuuur !
L’alcool y étant sûrement pour quelque chose, ce petit jeu de rôle commence vraiment à m’exciter. Écartant les cuisses de la belle pour mieux mettre en évidence sa vulve, me voilà en train de la lécher goulûment. Son sexe lisse est, pour ma bouche, comme un fruit exquis et juteux. Ma langue, qui entre et sort de sa fente, lui arrache des râles de plaisir.
— Oh oui ! C’est trop boooooon ! Bouffe-moi la chatte !
Derrière la porte, on a le plaisir d'enyendre des rires, des sifflements et un tas de mots salaces, mais rien n'arrête ma progression. Je descends légèrement, pour m’occuper de son petit trou.
— Hou là là là... Mais ça devient chaud ici entre ses murs ! Ne t’arrêtes pas !
Il est maintenant temps d’activer le plan. Je me dégage alors de ses cuisses. Caline semble presque déçue que ça s’arrête si vite.
— C’est tout ? Tout ça pour ça ?
— Non, j’ai autre chose pour toi... Un cadeau !
Elle paraît intriguée. Je mets alors ma main dans ma poche et en sors la chaînette. Je la tiens entre mes deux mains, comme on présente un collier... sauf que la chaîne est bien plus longue.
Caline essaye de reconnaître le bijou que je lui présente, elle fixedu regard le pendentif qui se balance au milieu. Puis, elle reconnaît la forme. Je pense la voir rougir. Son regard intrigué, laisse place désormais à un regard mi-interrogatif, mi-inquiêt.
— J’ai eu du mal à en trouver un comme ça, lui dis-je, tout en portant le lourd pendentif à ma bouche.
L’objet est en fait un plug anal, muni d’une petite boucle par laquelle passe la longue chaîne. Tandis que j’enduis généreusement l’extrémité pointue avec ma salive, Caline commence à comprendre.
Je place alors le plug à l’entrée de son anus, puis, tout en la regardant droit dans les yeux, j’applique une pression pour le loger au bon endroit. Après un instant de résistance, son orifice cède, et le plug est instantanément avalé par son cul. Je vois alors, sur son visage, un mélange de douleur et de plaisir.
— Oh... Oufff ! Dit-elle.
— Attends, c’est pas tout !
Je remonte alors les deux bouts de la chaîne, ainsi accrochée à son cul, les passe entre les lèvres de sa vulve, avec assez de tension pour qu’ils s’y insèrent bien, puis tire les deux extrémités jusqu’à ses seins.
C’est en voyant les deux petites pinces aux extrémités, qu’elle comprend enfin, vraiment, ce qui l’attend.
J’accroche alors une pince à chacun de ses tétons. Au moment où mes doigts relâchent les pinces, je vois bien qu’elle grimace. Je me délecte alors, de la douce douleur qu’elle est en train de ressentir.
— Tu es très belle comme ça. Ce bijou te va à ravir, tu ne trouves pas ? Questionne ai-je.
— C’est un peu... Trop tendu à mon goût !
— Mais non, il est parfait ! Et puis tu vas t’y habituer avec temps, la zikmu et les verres... Et bien entendu... Interdiction de l’enlever avant de rentrer chez toi.
— Quoi ? Sérieux ?
— Ouais... Sauf si tu veux perdre le défi de cette nuit !
— Et si je le perds ?
— Le prochain sera encore plus... Dur à le faire... Et tu sais combien chui pervers !
— T’es vraiment qu’une petite pute toi !
— Ouiiii... Mais moi on mr baise pas !
Tout en lui faisant un grand sourire, je profite encore quelques instants du spectacle : ses tétons tiraillés par la chaîne sous tension, accrochée à son cul et cisaillant sa chatte dont le clito est coincé entre les maillons métalliques... C’est magnifique... Et je suis fiet de moi et de mon imagination diabolique.
Nous ressortons des toilettes, biensûr après que Caline se soit rhabillée, mais je sens, à sa posture, que son nouveau bijou la contraint à des mouvements plus limités. Et comme je suis d’humeur joueur, je l’attrape par la main et l’embarque avec moi sur la piste de danse.
— Allez, viens ma grande, on va bien s’amuser !
— Aïe ! T’es trop sadique toi !
— Ah... Mais on est pervers ou on ne l’est pas. Allez ! Bouge ton corps !
— Aïe ! Tu sais... Tu vas me le payer et cher !
— Mais oui... Mais oui... En attendant, c’est pas moi qui suis enchaînée comme une chienne !
Les corps qui se déhanchent, autour de nous, sur les BOOM BOOM de la musique, semblent agités par une force invisible et démoniaque. Alors que le corps de Caline bouge beaucoup moins, et moi seul en connais la raison.
Sadique jusqu'au bout des ongles, si je peux dire ici, j’attrape alors le tissu de son haut, tout en faisant bien attention de pincer la chaînette avec, et tire le tout vers moi. Je la vois alors se contorsionner, sous l’effet de la tension sur ses seins, sa chatte et son cul en même temps. J’imagine ses petits tétons meurtris et sa fente dégoulinante de cyprine, enduire la chaîne qui frotte son clito, à chacun de ses mouvements. L’image que je m’en fais est alors tellement excitante, que je sens mon sexe tout dur !
— AÏE ! Putain, ça fait mal !
— Oui, mais t’aimes ça, hein ? Avoue !
— Booon... Ouiii, c’est vrai... J'avoues... Il m’excite grave ton truc... Mais ça fait mal, quand même !
—Pas de plaisir sans douleur qu'ils disent... Allez, courage, plus qu’une heure ou deux !
En lui disant ça, et en voyant sa tête, je me dis que cette fois, elle est cuite. Mais c'est au final elle la gagnante de se défi.. Et... Je me dis qu'elle n'a,plus la tête sur les épaules pour me lancer un défi qui vaille la peone d'être pris.
Et puis, on arrive doucement, mais sûrement la fin de la soirée. Pour fêter ça, je décide d’aller lui chercher un autre verre de cette... Mixture enivrante, pour lui faire passer le goût de se défi. Je la laisse donc sur place, de toute façon, elle n’ira pas loin, ainsi enchaînée.
De retour avec son verre, je cherche du regard ma petite sorcière bien aimée... Mais que néni... Je ne vois point de Caline. Mince, mais où est-ce qu’elle a pu se planquer ? Je fais alors le tour de la salle, à la recherche de la plus sexy des socrières, mais rien. Bizarre... Vous avez dit bizarre ? Mais c'est bien bizarre là !
"Elle peut être aux chiottes... Et si elle a osé enlever mon bijou, elle va le regreter grave !" Murmure ai-je.
Ce n’est que dix bonnes minutes plus tard, son verre toujoues à la main, que je la vois réapparaître. Elle s’avance vers moi, et sans un mot, me fait signe de l’index, de venir. Je m’approche alors.
— Bein alors, t’étais où ? Je t’ai cherché partout !
Mais, sans même me répondre, elle place son doigt, à la verticale, sur sa bouche désespérément fermée, en signe de silence. Puis, en plein milieu de la foule, elle prend ma tête entre ses mains, et plaque ses lèvres contre les miennes. Je sens bien que je vais avoir droit à un roulage de pelle en règle... Qui exciterait un pape.
Elle ouvre sa bouche et pénètre la mienne de sa langue. Il me faut quelques secondes pour réaliser, car le roulage de nos langues, mélange admirablement bien nos fluides buccaux. Mais ce que je sens là, ce n’est pas sa salive... Ce goût... je ne l'ai eu en bouche qu'une fois, mais il reste gravé dans ma mémoire... C’est... C'est du sperme !
J’essaye de m’extraire, mais il est déjà trop tard. Sa langue est bien plus agile que la mienne... Elle m’a déjà injecté tout le contenu de sa bouche de cochonne. Je sens le fluide visqueux et encore chaud.
— Putain ! Il est encore tout frai se foutre ! Dis ai-je comme si j'acais une patate chaude dans la bouche.
— Et maintenant, tu avales... C'est ton défi ! Me dit-elle en plaçant sa main sur ma bouche
Si tous ces gens autour de moi, avaient une idée de ce que j’ai dans la bouche et de ce que je dois en faire... Seraient mort de rire et je serais le plus minable des minables sur... Non... Juste sur Paris. Mais cela m’excite énormément. Le goût de ce foutre qui vient d’un inconnu que j'ai dans la bouche et cette sorcière sexy qui m’ordonne de l’avaler... Prenant une grande inspiration, je déglutis.
— Glurp... Oh putain, c’est... Pas le même goût... T’es vraiment une perverse toi ! Vite, un verre...
— Non non non ! Interdiction de se rincer la bouche, avant que tu ne rentres ! Ça ne te rappelle pas quelque chose ?
Putain, elle m’a bien niquée, la pute ! J’ai le goût en bouche, et impossible de m’en défaire.
Heureusement, la soirée arrive à sa fin. Une bonne partie des étudiant(e)s ont déjà quitté les lieux, d’ailleurs.
Pour ma part, je commence à me délecter du breuvage qu'on m'a refiler... J'en prendrai bien un autre verre !
Caline, doit avoir les tétons et la chatte en feu. Il est temps, pour nous deux, de rentrer chez nous. Mais pas question de rompre son défi avant... Quand on joue, on joue jusqu'au bout qu'on s'étant juré en fixant les régles de nos défis
— Bon, OK, j’avoue... T’es forte... Ton défi est plus une torture mentale que physique. Et je vais être bon joueur... Ton défi bat le mien de pein couture !
— Je vais être honnéte aussi... C'est ton défi, que j'ai kiffé soit dit en passant, qui as fait que j'ai trouvé le mien !
— Bon... Maintenant raconte moi comment t'as fait ?
— Tu vois... Quand t'es parti me chercher un verre, j'ai vu un mec avec le masque de Dracula, je l'ai pécho, on c'est abriter derrière la sono et je lui ai vidé les burnes... Simple comme bonjour !
— Hein ? Quoi ?
Sur ces mots, mon GSM dans ka poche vibre.
— Allo !
— ...
— Oui... On allait justement rentrer là ?
— ...
— Ok... Tu nous trouveras à l'entrée, chui déguisé en infirmier ! Dus je avant de raccrocher.
— C'est qui ?
— Ton frère... Il est quand même venu, il passe la nuit avec nous à l'appart !
À peine, quelques secondes passées, Caline me fait du coude et me dit :
— Regardes... C'est lui !
— Ton frère ?
— Non le keum que j'ai pompé !
Monsieur Dracula se dirige vers nous et relève son masque, pour nous dévoiler un grand sourire.
— Yooo... Salut Dali !
Le visage de Caline est passé du rose, rouge, au blanc !
Sans même jetter un coup d'œil à sa sœur il nous dit :
— Ohhh... Des soirées comme ça j'en ferai tous les jours !
— Pourquoi ? Demande ai-je, alors que je savais déjà la réponse.
— J'te raconte pas ou plutôt di je te raconte... Bref, j'étais entrain de danser, vient une sorcière, me tire par la main derrière la sono, baisse lon futal et le pompe et elle se barre...Sans un mot !
Puis il regarde sa sœur et dit :
— Mais... Mais... T'es déguiser en sorcière toi ? Non !
Je suis plié en deux et je dis :
— Non Dali... J'ai pas quitté ta sœur des yeux... Tellement bonasse qu'elle est ce soir, j'avais peur qu'elle se fasse violer !
— Mais...
— Moi perso... J'ai vu au moins 3 sorcière ! Dis-je entirant Caline par la main.
En nous dirigeant vers mon véhicule, je chuchotte à l'oreille de ma chérie :
— De tous les mecs de la soirée... Il a fallu que tu tombes sur ton frangin !
— Encore un mot et j'te tue !
D'autres aventures sont à suivre si cela vous dit !
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
Samedi 30.10.99
LE DÉFI
Caline finit d’ajouter du noir sur ses yeux, puis s’éloigne un peu pour admirer le résultat final, dans le grand miroir mural.
— Wouaou ! Ce regard démoniaque, c’est juste génial. Avec les faux cils, ça fait trop stylé... Et... Ton maquillage est une tuerie ! Tu seras la plus sexy des sorcières. Lui ai-je avouer.
J'avais demandé à ma bien aimée de se maquiller en sorcière sans lui avoir montré la tenue qu'elle se "devra" de porter.
Je mets la tenue que je lui ai acheter, sur le lit. Elle est composée ďune jupe moulante noire... Courte... Heuuu... Bon, très courte... Il faut ce qu’il faut... Des bas rouges et ces boots noires, avec des talons.
— Jolis ces boots... Wahhh les talons ! Ils font combien ?
— 8cm !
— J'en ai jamais porté d'aussi haut et sachant que cette soirée va... Inévitablement... Finir avec un coup dans le nez, je suis sûre et certaine que je vais me ramasser le bitume plus d'une fois ! Me dit-elle en me faisant la moue.
Je la rassure en disant :
— Je serai à tes cotés bébé ! Bon... Moi il me sera interdit de boire plus que raison, car... D'un... Je conduits, et de deux je ne veux pas te predre 1 an avant notre mariage !
— Ok... Je vais essayer de ne pas trop picoller aussi, pour tenir en équilibre ! D'ailleur, comme je risque de ne pas passer inaperçue avec cette tenue, et encore si je m'étale, cela sera inscrit dans les journaux de demain ! Dit-elle avec un petit sourire.
Son buste sera recouvert ďun crop top assorti, bien moulant lui aussi, histoire qu’on voit son ventre (plat). Sur sa tête viendra se placer un grand chapeau noir pointu et tout tordu. Avec ses cheveux noirs, ça fait top !
Sans oublier les faux ongles rouges de quatre centimètres, accompagnés d’un rouge à lèvres couleur sang. Voilà, le déguisement que je lui ai choisi pour cette soirée Halloween.
Dés que l'occasion se présente à nous, je me fais une joie, un plaisir, de défier ma compage, la femme qui partagera mes peines, mes nuits et même mon bonheur, en lui lancer, ou plutôt en nous lançant un défi. Bien que c'est en général toujours le même défi que nous sommes obligés de relever. Je vous explique :
Comme vous l'avez noté en lisant les chapitres précedents de ma vie amoureuse avec Caline, que j'ai toujours cherché à la pousser à dépasser ces limites, du moins à franchir ses frontières que nos esprits érigent sans aucunes (bonnes) raisons.
De ce fait, j'avais paraphé ça, noir sur blanc, que nous avons signé. Un genre de contrat plus moral qui nous "interdit" de se dérober. Ce contrat a pour but ni moins ni plus de ravivrer le feu de nos passions et de notre envie l'un pour l'autre. Car entre nous on est à se provoquer ľun ľautre (surtout moi pour voir qu'elles sont ses limites).)
Donc j'ai instauré un défi ou plutôt un challenge : à chaque occasion où cela nous sera possible, nous devons être prêts à dépasser nos limites, "sexuellement" parlant, genre qui osera faire le truc le plus pervers à l'autre (bien entedu, en mettant de coté tout ce qui est SM, scato, uro... À chacun son kif), sans pour autant choquer les personnes qui nous entourent. C'est vrai que c'est assez compliqué, mais cela nous pousse à être imaginatifs et très créatifs.
Comme la fois où on avait baiser à trois à la plage avec un inconnu...
Sans me vanter, c'étais moi qui avais ľavantage sur elle.
Bref !
— C'est quoi se déguisement que tu me propse de mettre là ? Je te rappelle, c'est Halloween et non "soirée de putes' !
— C'est mon challange pour ce soir !
— Tu veux que je fasse la pute ?
— Non chérie... Mais qu'on te prenne pour ce genre de nana et ainsi voir les réactions des gens et puis si tu as mieux, propose moi ton challenge... Et que le meilleur gagne !
— Gros porc ! Tu vas le regretter ! Me dit-elle avec un large sourire.
— Tu sais très bien que j'ne regrette welou (rien NDLR). Vas'y fais toi belle et on en reparlera ! Lui dis-je en m'éloignant pour me déguiser aussi pour être présentable à cette soirée, que j'espére, nous réservera de belles surprises.
Juste pour info :
Sais-tu, cher(ère) lecteur(rice) pourquoi se déguise-t-on ainsi pour cette fête ?
La fête ďHalloween tient son origine de la fête celtique de "Samain" qui célébre le passage de ľancienne année Celte à la nouvelle (comme le 31décembre Grégorien).
Durant cette nuit de transition, les croyances Celtes disaient que les frontières entre le monde des morts et celui des vivants était ouvertes, et que les esprits des morts venaient rendre visite aux vivants. Traditionnellement, lors de la soirée ďHalloween, les enfants portent des déguisements qui font peurs, symbolisant ainsi les âmes des morts qui érrent durant cette nuit là.
Bon, retour à notre histoire !
Pendant que j'étais entrain de vétir mon costume je demande :
— Dis Caline... Ton frère se raméne à quelle heure ?
— Ben... Aux dernières nouvelles, il ne vient pas !
— Pourquoi donc ?
— Il y a du gaz dans ľeau entre lui et sa meuf, il m'a dit qu'il restait jouer à avec ses stupides jeux vidéos au lieu de changer d'air et essayer de se trouver une nana meilleure que celle qui se tape lâ.
— Tanpix pour lui...
Après avoir fini ďenfilet ma tenue ďinfirmier, je vérifie que la petite chaînette est bien dans la poche de mon tablier ďinfirmier ensangloté.
C’est bon, elle est là. Je regarde l’heure... Ah il est temps de prendre la route, faut pas qu'on traîne.
Tandis qu'on remontait la rue, pour prendre place dans notre voiture, j'étais heureux de voir ses regards que les gens jettaient à ma Caline. C’est sûr, cela a beau être le soir d’Halloween, ma version du costume "sorcière salope" contraste un peu (beaucoup) avec les tenues qu'ils et elles ont l'habitude de croiser lors de cet évenement annuel. D'ailleurs c'est le regard des femmes qui m'amuse le plus, car je n'arrivait pas à lire s'il y avait dans leurs regards, de la honte, du dégout en la voyant ainsi vétue, ou alors un regard envieux ?
On arrive enfin à l’entrée du campus. Déjà, les déguisements que nous croisons sont beaucoup moins “sages”, donc Caline se sent un peu plus "rassurée" si on peut dire, car même si la tenue qu'elle porte est à la limite du portable, d'autres tenues (de filles) peuvent lui voler la vedette s'ils envisagent de sélectionner la tenue de la plus "salope" de la soirée. Caline va pouvoir se fondre dans la masse. Nous suivons l’allée délimitée par les ballons oranges et noirs. Nos corps vibrent avec ces BOOM BOOM que les enceintes diffusent.
Whouaa ! Putain ! Ils ont fait un boulot de dingue ! La déco est vraiment top. Toiles d’araignées sur les murs et au plafond, vieux crânes, mains coupées, chauves-souris, le tout baigné dans une lumière variant du rouge au bleu en passant par l’orange. Ils ont même amené une machine à fumée, qui donne à la salle une ambiance vraiment... Halloween quoi !
Nous nous faufilons entre les zombies, les momies et les squelettes... Sur le passage, je nous attrape deux verres d’une boisson dont je ne saurais reconnaître la nature, dans cette lumière artificielle. Nous sirotons nos verres...
Mmm, pas dégueu.!
— Caline !
— Oui chéri ?
— Franchement tu ne fais pas tache ! T’es carrement trop sex dans ta tenue de sorcière !
— Tu me flattes trop là... C'est grâce à toi !
Le volume de la musique étant ce qu’il est, nous sommes obligés de nous rapprocher pour nous entendre.
Elle colle alors ses lèvres contre les miennes, et me donne un baiser à vous faire une luxation de la mâchoire. Je ne peux m’empêcher d’attraper ses seins... pas trop longtemps, pour qu’on ne nous remarque pas, mais juste assez pour faire retomber la tension sexuelle qui fait déjà effet sur moi.
— Hey, pas touche, petit pervers ! Se rebelle-t-elle faussement.
— Oh, si on ne peut même plus tâter la marchandise...
Les boissons ne sont pas officiellement alcoolisées, dans ce genre de soirée. Mais au vu de ma tête, qui commence à tourner, j’imagine que les règles n’ont pas vraiment été respectées.
Caline me quitte quelques instants pour revenir avec deux nouveaux verres à la main, moi qui supporte généralement bien les boissons alcoolisées, celle-là est effroyablement soulante. Déjà que un verre de vin rend Caline un peu pompette, je ne donne pas cher de son état à la fin de la soirée.
— Écoutes chérie... Là c'est mon dernier verre... Cette boisson est... Ouf et j'crois tenir le coup si j'en abuse et qu'après je conduit !
— Alors je vais me souler pour nous deux !
— Chiche ?
— Croix d'bois, croix d'fer, si j'mens... J'vais cramer !
La musique aidant, nous voilà pris dans le rythme électro, ondulant nos corps comme deux fous sur le dancefloor. L’alcool faisant son effet, je me sens maintenant d’attaque pour mettre mon plan à exécution.
— Caline... Viens, suis-moi !
Sans broncher, mais me lançant un regard interrogateur, elle se laisse guider par ma main qui l’entraîne dans les toilettes des hommes sous le regard de ceux qui sont entrain de soulager leurs vessies en sifflant ou en se proposons de nous tenir la torche si il y a extinction des feux... Je fais fi de tous ces commentaires et je la pousse dans une cabine et verrouille le loquet.
— Alors là... Tu es à ma merci, charmante sorcière !
— Non mon chou... C'est moi qui t'ai jetter un sort et cela marche à merveille !
— Et tu crois qu’un infirmier de mon rang n'a pas penser à prendre une antidote avant de te rencontrer ? À malin, malin et demi... Hihihihi !
— Houuuuu, je crois bien que la vilaine sorcière que je suis est... prise !
J’interprète immédiatement sa dernière phrase comme un feu vert. Ne lui laissant pas le temps de réagir, je lui enlève son chemisie. Puis, m’attaque à sa jupe, qui tombe par terre en un clin d’œil. J’attrape alors ses seins à pleines mains.
— Oh putain, depuis le temps que j’attends ça, dis-je.
— Mais dites donc, monsieur l'infirmier, comme vous y allez. Je ne suis pas une sorcière née de la dernière pluie, vous savez ?
Après avoir joué avec ses seins, je me dirige plus bas. Fermant le battant de la cuvette, je la pousse à s’asseoir dessus, je me mets à genou, puis lui replie les jambes, bien écartées, afin d’exposer sa chatte, qui commence à ruisseler de cyprine.
— Mmm, mais tu as l’air tout trempée ! Je ne savais pas que les sorcières pouvaient être salope aussi !
— Non ! Non ! Pitié, monsieur le fouture toubib, je troppe de peuuur !
L’alcool y étant sûrement pour quelque chose, ce petit jeu de rôle commence vraiment à m’exciter. Écartant les cuisses de la belle pour mieux mettre en évidence sa vulve, me voilà en train de la lécher goulûment. Son sexe lisse est, pour ma bouche, comme un fruit exquis et juteux. Ma langue, qui entre et sort de sa fente, lui arrache des râles de plaisir.
— Oh oui ! C’est trop boooooon ! Bouffe-moi la chatte !
Derrière la porte, on a le plaisir d'enyendre des rires, des sifflements et un tas de mots salaces, mais rien n'arrête ma progression. Je descends légèrement, pour m’occuper de son petit trou.
— Hou là là là... Mais ça devient chaud ici entre ses murs ! Ne t’arrêtes pas !
Il est maintenant temps d’activer le plan. Je me dégage alors de ses cuisses. Caline semble presque déçue que ça s’arrête si vite.
— C’est tout ? Tout ça pour ça ?
— Non, j’ai autre chose pour toi... Un cadeau !
Elle paraît intriguée. Je mets alors ma main dans ma poche et en sors la chaînette. Je la tiens entre mes deux mains, comme on présente un collier... sauf que la chaîne est bien plus longue.
Caline essaye de reconnaître le bijou que je lui présente, elle fixedu regard le pendentif qui se balance au milieu. Puis, elle reconnaît la forme. Je pense la voir rougir. Son regard intrigué, laisse place désormais à un regard mi-interrogatif, mi-inquiêt.
— J’ai eu du mal à en trouver un comme ça, lui dis-je, tout en portant le lourd pendentif à ma bouche.
L’objet est en fait un plug anal, muni d’une petite boucle par laquelle passe la longue chaîne. Tandis que j’enduis généreusement l’extrémité pointue avec ma salive, Caline commence à comprendre.
Je place alors le plug à l’entrée de son anus, puis, tout en la regardant droit dans les yeux, j’applique une pression pour le loger au bon endroit. Après un instant de résistance, son orifice cède, et le plug est instantanément avalé par son cul. Je vois alors, sur son visage, un mélange de douleur et de plaisir.
— Oh... Oufff ! Dit-elle.
— Attends, c’est pas tout !
Je remonte alors les deux bouts de la chaîne, ainsi accrochée à son cul, les passe entre les lèvres de sa vulve, avec assez de tension pour qu’ils s’y insèrent bien, puis tire les deux extrémités jusqu’à ses seins.
C’est en voyant les deux petites pinces aux extrémités, qu’elle comprend enfin, vraiment, ce qui l’attend.
J’accroche alors une pince à chacun de ses tétons. Au moment où mes doigts relâchent les pinces, je vois bien qu’elle grimace. Je me délecte alors, de la douce douleur qu’elle est en train de ressentir.
— Tu es très belle comme ça. Ce bijou te va à ravir, tu ne trouves pas ? Questionne ai-je.
— C’est un peu... Trop tendu à mon goût !
— Mais non, il est parfait ! Et puis tu vas t’y habituer avec temps, la zikmu et les verres... Et bien entendu... Interdiction de l’enlever avant de rentrer chez toi.
— Quoi ? Sérieux ?
— Ouais... Sauf si tu veux perdre le défi de cette nuit !
— Et si je le perds ?
— Le prochain sera encore plus... Dur à le faire... Et tu sais combien chui pervers !
— T’es vraiment qu’une petite pute toi !
— Ouiiii... Mais moi on mr baise pas !
Tout en lui faisant un grand sourire, je profite encore quelques instants du spectacle : ses tétons tiraillés par la chaîne sous tension, accrochée à son cul et cisaillant sa chatte dont le clito est coincé entre les maillons métalliques... C’est magnifique... Et je suis fiet de moi et de mon imagination diabolique.
Nous ressortons des toilettes, biensûr après que Caline se soit rhabillée, mais je sens, à sa posture, que son nouveau bijou la contraint à des mouvements plus limités. Et comme je suis d’humeur joueur, je l’attrape par la main et l’embarque avec moi sur la piste de danse.
— Allez, viens ma grande, on va bien s’amuser !
— Aïe ! T’es trop sadique toi !
— Ah... Mais on est pervers ou on ne l’est pas. Allez ! Bouge ton corps !
— Aïe ! Tu sais... Tu vas me le payer et cher !
— Mais oui... Mais oui... En attendant, c’est pas moi qui suis enchaînée comme une chienne !
Les corps qui se déhanchent, autour de nous, sur les BOOM BOOM de la musique, semblent agités par une force invisible et démoniaque. Alors que le corps de Caline bouge beaucoup moins, et moi seul en connais la raison.
Sadique jusqu'au bout des ongles, si je peux dire ici, j’attrape alors le tissu de son haut, tout en faisant bien attention de pincer la chaînette avec, et tire le tout vers moi. Je la vois alors se contorsionner, sous l’effet de la tension sur ses seins, sa chatte et son cul en même temps. J’imagine ses petits tétons meurtris et sa fente dégoulinante de cyprine, enduire la chaîne qui frotte son clito, à chacun de ses mouvements. L’image que je m’en fais est alors tellement excitante, que je sens mon sexe tout dur !
— AÏE ! Putain, ça fait mal !
— Oui, mais t’aimes ça, hein ? Avoue !
— Booon... Ouiii, c’est vrai... J'avoues... Il m’excite grave ton truc... Mais ça fait mal, quand même !
—Pas de plaisir sans douleur qu'ils disent... Allez, courage, plus qu’une heure ou deux !
En lui disant ça, et en voyant sa tête, je me dis que cette fois, elle est cuite. Mais c'est au final elle la gagnante de se défi.. Et... Je me dis qu'elle n'a,plus la tête sur les épaules pour me lancer un défi qui vaille la peone d'être pris.
Et puis, on arrive doucement, mais sûrement la fin de la soirée. Pour fêter ça, je décide d’aller lui chercher un autre verre de cette... Mixture enivrante, pour lui faire passer le goût de se défi. Je la laisse donc sur place, de toute façon, elle n’ira pas loin, ainsi enchaînée.
De retour avec son verre, je cherche du regard ma petite sorcière bien aimée... Mais que néni... Je ne vois point de Caline. Mince, mais où est-ce qu’elle a pu se planquer ? Je fais alors le tour de la salle, à la recherche de la plus sexy des socrières, mais rien. Bizarre... Vous avez dit bizarre ? Mais c'est bien bizarre là !
"Elle peut être aux chiottes... Et si elle a osé enlever mon bijou, elle va le regreter grave !" Murmure ai-je.
Ce n’est que dix bonnes minutes plus tard, son verre toujoues à la main, que je la vois réapparaître. Elle s’avance vers moi, et sans un mot, me fait signe de l’index, de venir. Je m’approche alors.
— Bein alors, t’étais où ? Je t’ai cherché partout !
Mais, sans même me répondre, elle place son doigt, à la verticale, sur sa bouche désespérément fermée, en signe de silence. Puis, en plein milieu de la foule, elle prend ma tête entre ses mains, et plaque ses lèvres contre les miennes. Je sens bien que je vais avoir droit à un roulage de pelle en règle... Qui exciterait un pape.
Elle ouvre sa bouche et pénètre la mienne de sa langue. Il me faut quelques secondes pour réaliser, car le roulage de nos langues, mélange admirablement bien nos fluides buccaux. Mais ce que je sens là, ce n’est pas sa salive... Ce goût... je ne l'ai eu en bouche qu'une fois, mais il reste gravé dans ma mémoire... C’est... C'est du sperme !
J’essaye de m’extraire, mais il est déjà trop tard. Sa langue est bien plus agile que la mienne... Elle m’a déjà injecté tout le contenu de sa bouche de cochonne. Je sens le fluide visqueux et encore chaud.
— Putain ! Il est encore tout frai se foutre ! Dis ai-je comme si j'acais une patate chaude dans la bouche.
— Et maintenant, tu avales... C'est ton défi ! Me dit-elle en plaçant sa main sur ma bouche
Si tous ces gens autour de moi, avaient une idée de ce que j’ai dans la bouche et de ce que je dois en faire... Seraient mort de rire et je serais le plus minable des minables sur... Non... Juste sur Paris. Mais cela m’excite énormément. Le goût de ce foutre qui vient d’un inconnu que j'ai dans la bouche et cette sorcière sexy qui m’ordonne de l’avaler... Prenant une grande inspiration, je déglutis.
— Glurp... Oh putain, c’est... Pas le même goût... T’es vraiment une perverse toi ! Vite, un verre...
— Non non non ! Interdiction de se rincer la bouche, avant que tu ne rentres ! Ça ne te rappelle pas quelque chose ?
Putain, elle m’a bien niquée, la pute ! J’ai le goût en bouche, et impossible de m’en défaire.
Heureusement, la soirée arrive à sa fin. Une bonne partie des étudiant(e)s ont déjà quitté les lieux, d’ailleurs.
Pour ma part, je commence à me délecter du breuvage qu'on m'a refiler... J'en prendrai bien un autre verre !
Caline, doit avoir les tétons et la chatte en feu. Il est temps, pour nous deux, de rentrer chez nous. Mais pas question de rompre son défi avant... Quand on joue, on joue jusqu'au bout qu'on s'étant juré en fixant les régles de nos défis
— Bon, OK, j’avoue... T’es forte... Ton défi est plus une torture mentale que physique. Et je vais être bon joueur... Ton défi bat le mien de pein couture !
— Je vais être honnéte aussi... C'est ton défi, que j'ai kiffé soit dit en passant, qui as fait que j'ai trouvé le mien !
— Bon... Maintenant raconte moi comment t'as fait ?
— Tu vois... Quand t'es parti me chercher un verre, j'ai vu un mec avec le masque de Dracula, je l'ai pécho, on c'est abriter derrière la sono et je lui ai vidé les burnes... Simple comme bonjour !
— Hein ? Quoi ?
Sur ces mots, mon GSM dans ka poche vibre.
— Allo !
— ...
— Oui... On allait justement rentrer là ?
— ...
— Ok... Tu nous trouveras à l'entrée, chui déguisé en infirmier ! Dus je avant de raccrocher.
— C'est qui ?
— Ton frère... Il est quand même venu, il passe la nuit avec nous à l'appart !
À peine, quelques secondes passées, Caline me fait du coude et me dit :
— Regardes... C'est lui !
— Ton frère ?
— Non le keum que j'ai pompé !
Monsieur Dracula se dirige vers nous et relève son masque, pour nous dévoiler un grand sourire.
— Yooo... Salut Dali !
Le visage de Caline est passé du rose, rouge, au blanc !
Sans même jetter un coup d'œil à sa sœur il nous dit :
— Ohhh... Des soirées comme ça j'en ferai tous les jours !
— Pourquoi ? Demande ai-je, alors que je savais déjà la réponse.
— J'te raconte pas ou plutôt di je te raconte... Bref, j'étais entrain de danser, vient une sorcière, me tire par la main derrière la sono, baisse lon futal et le pompe et elle se barre...Sans un mot !
Puis il regarde sa sœur et dit :
— Mais... Mais... T'es déguiser en sorcière toi ? Non !
Je suis plié en deux et je dis :
— Non Dali... J'ai pas quitté ta sœur des yeux... Tellement bonasse qu'elle est ce soir, j'avais peur qu'elle se fasse violer !
— Mais...
— Moi perso... J'ai vu au moins 3 sorcière ! Dis-je entirant Caline par la main.
En nous dirigeant vers mon véhicule, je chuchotte à l'oreille de ma chérie :
— De tous les mecs de la soirée... Il a fallu que tu tombes sur ton frangin !
— Encore un mot et j'te tue !
D'autres aventures sont à suivre si cela vous dit !
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