LE DÉFI DE MON MARI ( part 4 ) suite et fin - histoire érotique

Je prend quelques minutes pour prendre un verre dans le charmant café d'a coté, il fait encore bon et je m'installe en terrasse qui surplombe légèrement la marne. Le serveur vient prendre ma commande et je regarde les amoureux, les passants. Plus loin sur la terrasse une homme attablé devant une bière me regarde avec insistance. Je comprend vite que je ne le laisse pas indifférent, je me doute ma tenue y est probablement pour beaucoup ainsi que mon maquillage volontairement proche de celui d'une fille de joie.

Je lui retourne ses sourires, c'est un hommes d'une cinquantaine d'année look dragueur, mocassin, chemise, veste croisée et petite barbe bien taillée. A vrai dire plutôt beau mec.

Aujourd'hui je suis prête a répondre favorablement a toutes les avances pour réussir mon challenge. Alors je fonce a fond dans la provoc. Je change de place pour me trouver face a lui et je me lance dans un jeux de croisement je jambe afin de faire remonter ma mini jupe et offrir une vue imprenable sur mon sexe lisse et a l'air libre. J'écarte légèrement les cuisses comme un appel ce qu'aucun homme ne saurait ignorer. Le voila qui le lève sont verre a la main et qui se dirige vers ma table.

— Bonjour je vous observe depuis quelques minute et je vous trouve charmante.

Lâche t'il en s'installant a ma table.

Moi j'opte pour un discours plus direct.

— Moi aussi et si vous réglez nos consommations et je vous suce rapidement aux toilettes qu'en dite vous ?

Assez peu habituer à ce genre de proposition l'homme reste sans voix, mais quand le serveur passe sur la terrasse a coté de notre table il lui tend un billet de vingt euro et lui dit de garder la monnaie. Il se lève et se dirige vers le font de la salle ou une flèche indique la direction d'un petit escalier et des toilettes. Moi j'attends deux minutes et descente direction les sanitaires. J'ouvre la porte, me voici devant une glace et un lavabo et derrière moi une porte a la quelle je frappe doucement. Le verrou glisse et la porte s'entrouvre et mon homme est la debout je me glisse entre la porte et le mur et me retrouve assise sur le la cuvette des WC j'entends le verrou qui se ferme.

J'y vais de mon couplet sur la gratuité de la prestation et la photo que je doit faire de notre fellation et du pourquoi, d'autorité je fais jouer la glissière de sa braguette et j'y glisse ma main pour en sortir sa queue. Je pose son gland sur ma langue et lèche de haut en bas se membre ce qui commence a le faire durcir. D'une main je caresse ses bourses et j'engame sa raideur dans ma bouche et je l'enfonce en fond de gorge jusqu'à avoir un spasme et reprend mon ouvrage je pompe comme une folle se dard délicieux. Je sens qu'il va cracher je ralenti pour faire durer le plaisir et reprend mes coups de langue le long de sa verge puis la reprend en bouche pour accélérer mon allez retour sur sa bite.

Je sent le gland se gonfler ce qui annone l'arrivé de sont jus. J'espérais recevoir ce délicieux nectar dans ma bouche mais il se retire de ma bouche et étale sa semence sur tout mon visage et il en a le mec, de bons jets bien gras et épais. Me voila souillée par ce foutre blanc et chaud. Je souris et reprend son sexe en bouche j'en profite pour faire un beau selfie queue en bouche en engluée de sperme.

Il remonte son pantalon et sort sans un mot pas même un merci. Moi je prend mes lingette dans mon sac pour une petite toilette, j'ouvre la porte et profite de la glace pour une nouvelle retouche maquillage et je retourne a ma voiture.

Et de huit je me rapproche de la victoire

Il est tous juste vingt heure et je file a la maison pour un repas rapide, je me gare sur la montée de garage. Mon mari est au salon devant un verre.

Mon mari me demande

— Salut, alors ma chérie tu a terminé ta journée ?

— Pas encore mais je suis sur la bonne voie, d'ailleurs je me change et je ressort j'ai encore à faire.

J'avale un morceau, je prend une douche je passe une tenue plutôt working girl, tailleur court bas noirs et escarpins à talons haut, un petit tour devant le miroir yeux lèvres fait et me revoilà en piste.

J'ai rendez vous pour une soirée speed daiting nouveau genre, une heure pour dialoguer avec les célibataires présent, le résultat quinze minutes et le reste de la soirée pour faire connaissance. Parfait pour moi ce soir.

Le rendez vous est fixer à vingt et une heure trente dans un bar en centre ville ou me dépose mon taxi. Je prend un verre en attendant le gong de début. On m'installe à une table devant un petit bloc et un stylo et c'est parti pour six fois dix minutes de discutions.

Le premier est un homme d'une trentaine d'année et vraiment a la recherche de la futur mère de ses futurs enfant, pas pour moi, le deuxième un peu trop beauf, j'aperçois un magnifique black qui s'assoie à la table d'a coté. Le troisième passe mais je n'est déjà plus d'yeux que pour ce mâle ébène qui passe de table en table. Un nouveau prétendant se place devant moi, bel homme et même plutôt sympa mais, on échange quelques mots et je le note second pour la soirée au cas ou. C'est enfin l'arrivée de Djibril, il dégage une classe naturel, une allure sportive je suis sous le charme a moi de le prendre dans mes filets. Je sort le grand jeux. Je lui fait comprendre que je suis une célibataire qui sort et s'amuse qui ne recherche nullement l'engagement mais plutôt a prendre du bon temps.

Je comprend a son sourire que mes arguments font mouche reste a espérer que dans les femmes présente il n'y a pas une autre chaudasse intéressée par ce beau mâle, puis le gong sonne et Djibril est remplacé par un bobo sur de sont charme, allez out le dernier est hors jeux. Fin du temps et remise des notes ans l'attente des résultats. Mon second choix tente un rapprochement il se nome David et m'offre un verre, il est drôle et vraiment gentil et nous passons les quinze minutes à rigoler ensemble. Je ne lâche pas pour autant mon black des yeux il sirote son verre seul au bout du bar. Le gong retenti de nouveau, je passe au prêt de l'organisateur qui me tend une petite enveloppe qui contient les numéros et les prénoms des hommes avec qui j'ai matcher. Je ne perd pas de temps et j'ouvre rapidement et parfait mes deux favoris sont la.

Je me dirige vers le beau Djibril mon verre à la main et j'entame la conversation nos loisirs, nos sorties, nos envies et justement nos envies semble identique. Nous terminons nos verre et sortons en direction de sa voiture.

J'ai très envie de lui et visiblement c'est réciproque. Sa main se pose timidement sur mon genoux tout en conduisant. Sortie de la ville un motel devant une zone industriel, un restaurant au toit rouge typique de ce genre d'endroit. Nous nous garons sur le parking, il coupe le moteur et se dirige vers l'entrée. Je lui emboîte le pas vers la borne automatique il y prend une chambre. La machine nous attribue la dix neuf. Nous montons au premier par un l'escalier extérieur et trouvons le numéro de la chambre. Quelques chiffre sur le clavier et nous voici a l'intérieur. Djibril dépose sont sac sur le bureau et me plaque face au mur ses mains sur ma poitrine, je sent sont souffle dans mon coup et sa virilité pressé contre mes fesses. Ses mains quitte mes seins et remonte sous ma jupe, j'écarte légèrement mes jambes pour qu'il découvre qu'aucune lingerie n'entrave sa progression vers mon intimité.

Dans l'excitation du moment je ne me suis pas aperçu que son pantalon est sur ses chevilles et que lui non plus ne porte aucun sous vêtements. Le voila qui frotte son sexe sur ma fente toute humide de plaisir, je mouille de sentir glisser sa tige et caresser mon clito déjà très sensible. J'ai très envie de le sentir bouger dans mon ventre.

Je l'interroge :

— Tu a des préservatifs ?

Le voila qui attrape le sac sur le bureau et en sort toute un chapelet de capotes

— Je ne sort jamais sans.

Et le voila qui déroule son petit chapeau sur l'objet de mon désir, moi de mon coté j'allais me dévêtir quand il me stop.

— Non reste habillé je veux te baiser comme ça, met toi a quatre pattes sur le lit.

Je m'exécute sans discuter, me voila offerte bassin cambrée prête a sentir cette poutre investir mon intimité. Je sens ses mains qui me serrent les hanches et je frissonne au passage de son gland sur mes lèvres intimes. Je suis en quelques secondes remplie par son engin qui glisse délicieusement entre mes cuisses. Il sait y faire alternant de puissants coups de reins puis le frottement de sont gland sur mon clito, puis replonge au plus profond de mon ventre et reprend ainsi la montée de mon plaisir. Toute en continuant a me labourer le ventre il m'introduit un puis deux doigts dans le cul , puis voyant que je n'oppose aucune résistance sont gland se pose sur ma petite pastille étoilée et pousse doucement. J'adore cette délicieuse sensation, le moment ou se dilate mon anus pour laisser passer un objet de plaisir. Il s'introduit en une poussée douce et constante et reste la planté sans bouger au plus profond de mes intestins.

C'est moi qui imprime le rythme en m'enfonçant ou en reculant mon bassin sur sa colonne durcie.

Je sent la jouissance qui monte en moi une vague de plaisir me submerge et je ne peut retenir des cris de bonheur. Mes cris et mes spasmes déclenche l'envoi de sa semence je ressent le gonflement de sa bite ce qui augure d'une bonne éjaculation. Je ne me trompais pas il s'enfonce jusqu'à la garde dans mon cul et libère plusieurs jets de se liquide blanchâtre chargé de spermatozoïdes.

Une fois mon plaisir redescendu je réalise que je n'est pas fait la photo servant de preuve pour mon mari.

— Dit moi Djibril, ça te dirais une petite pipe rapide pour que je fasse une photo de moi ta queue en bouche juste pour mon mari.

Djibril réagit au quart de tour et me tend sa bite.

— Si c'est pour ton mari alors vas y pompe moi.

Et me voila sa queue a la main et commençant a nettoyer sont manche encore poisseux de foutre à grand coup de langue. Je fais durcir, j'avale le gland tout en imprimant un mouvement de va et viens sur sa colonne dressée. Je continu encore quelques minutes a le sucer, le branler et bientôt se sent dans ma main les veines se gonfler, il déverse encore son divin hectare sur ma langue sortie pour l'occasion. Clic clac et voila une preuve de plus de ma folle journée. Je prend rapidement un douche et quand je sort la chambre est vide mon beau black a filer.

Et de neuf.

Je regarde ma montre, il est vingt trois heure quinze dans quelques minutes et j'aurais terminé mon challenge mais a presque minuit et dans cette zone industriel j'ai assez peu de chance de trouver une proie. Djibril est déjà loin quand je sort du motel. Je ne vais quand même pas être obliger de frapper a une porte pour trouver un mec.

J' appel un UBER il sera sur place dans une dizaine de minutes, je n'aurais pas d'autre choix que de me faire mon chauffeur VTC pour réussir.

Le voilà qui arrive j'ai beaucoup de chance c'est un jeune arabe d'une vingtaine d'année plutôt beau mec et j'y vais de mon couplet je doit le sucer et faire une photo pour gagner mon pari avec mon mari.

A l'écoute de ma proposition il me gratifie d'un superbe sourire et je comprend que oui il est partant. Je monte a l'arrière et il démarre doucement à la recherche d'un coin tranquille ou stationner. Entre deux entrepôts une ruelle mal éclairée et discrète, dans le fond juste quelques conteneurs poubelles. Il se gare en marche arrière et sort me rejoindre sur la banquette. Avant de rentrer dans la voiture il ouvre sa braguette et vient se placer a coté de moi. Sans perdre de temps ma bouche engloutie sa bite encore molle. Je la sent durcir sur ma langue je m'active sur cette colonne qui raidir. Ça fait cinq minutes que je pompe fort et rapidement pour faire monter sa sève qui je la sent arrive. Son sexe se gonfle, je prend ses couilles et joue avec entre mets doigts.

Je sort mon téléphone et le passe a mon partenaire du moment.

— Allez dépêche toi de faire la photo.

Mais trop tard il me bloque la tête entre ses mains et m'enfonce son dard en fond de gorges. Il me force le garder enfoncer au plus profond de moi et ne relâche pas sa pression. Sa crème gicle en moi en très grande quantité et je n'arrive pas a avaler tout le foutre qui m'inonde le gorge et la bouche. Mais mon étouffeur ne relâche pas pour autant sa poussée sur mon crane.

— Tu voulais ma queue maintenant avale et ne recrache rien salope.

Je sent son étreinte qui se relâche et me délivre ainsi de mon gavage de foutre, j'en profite pour reprendre ma respiration. Mais ma libération n'est que de courte durée car la pression reprend et mon jeune chauffeur me plaque le visage sur la banquette.

— Tu est une vraie chienne toi, mais ne pense pas que tu vas partir sans nettoyer ma banquette, allez sort ta langue pour astiquer le cuir.

Je le regarde et il me désigne du doigt une flaque de liquide blanchâtre qui macule le siège arrière ainsi que quelques gouttes ont aussi souillées le dossier. Je m'exécute a grand coup de langue, c'est le moment qu'il profite pour prendre des photos de moi en plein léchage. Il place sa bite a cote que je la nettoie aussi. Peu importe j'ai ma dernière photo.

PARI RÉUSSI !!!

Mon chauffeur me dépose devant la maison et j'entre, mon mari et déjà au lit je me couche a ses cotés et m'endors rapidement.

Le lendemain matin je suis de très bonne humeur quand mon époux me rejoint. Je lui tend mon téléphone et lui lance :

— Voilà tes photos chéri je pense que nous allons passer chez le bijoutier aujourd'hui.

Il regarde les clichés de ma journée.

— Tu est vraiment une superbe salope mais je m'incline je suis beau joueur tu a droit à ta récompense, bravo.

Dit il en se repassant les images

— Attend les dernières photo quand je regarde l'horodatage elles dates d'aujourd'hui 00H12 et donc tu n'a pas fini en temps et en heure alors pour la bijouterie il faudra te contenter d'une petite récompense pour être passée aussi prêt de ton challenge. De toutes façons comme convenu tu vas devoir te soumettre a mes envies et je ne serais pas un ingrat.

Je prend mon téléphone et me repasse les photos, il a raison dans le feu de l'action je n'est pas pensée a vérifier l'heure j'étais pourtant sur de ma réussite mais heureusement il me reste quelques bon souvenirs et je me rattraperais c'est sur.