Le déménagement
Récit érotique écrit par Mainsdouces1974 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le déménagement
Pour aider des amis qui quittaient Paris pour Pithiviers, Joséphine et moi nous laissâmes notre fils chez sa mamie et chargeâmes notre voiture des cartons laissés en dépôt dans notre cave. Arrivés vers midi devant chez nos amis, nous montâmes au troisième étage et trouvâmes porte close. Nous les avons appelé vers leur mobile.
- Nous sommes devant chez vous avec les cartons.
- Vous n'avez pas eu notre message (tiens on avait oublié d'allumer le portable et de consulter la messagerie), on a eu des problèmes avec la camionnette de location. On est encore à Angers chez les parents de Sophie. Le temps de finir de remplir la camionnette de grignoter, de faire les 300 bornes, nous devrions arriver ver 5h00, 5h30, ça ne vous ennuie pas d'attendre aussi longtemps ?
- Pas de problème, on attend.
- Si vous voulez vous pourrez mettre les cartons sur le palier, ça ne gênera pas on est au dernier étage et l'autre appartement du palier n'est pas occupé.
Nous allâmes déjeuner dans un restaurant sympa près de la gare. En attendant le plat principal, je profitai du coin tranquille et de la longueur de la nappe pour retirer une chaussure et faire du pied à ma chérie sous la table. Je remontais doucement le long de ses jambes. Malgré quelques « soit sage, on va nous voir », Joséphine ne s'opposa pas à la progression. Mon pied s'insinua sous sa jupe entre ses cuisses, qu'elle écarta en s'asseyant plus au bord de la chaise. À l'arrivée de la serveuse, Joséphine se renfonça sur son siège en disant :
- Allons, maintenant on mange sagement.
Comme nous attendions le dessert, je me préparais à reprendre les opérations, quand je sentis le pied de Joséphine le long de ma jambe tandis qu'elle disait :
- À mon tour maintenant !
Elle glissa son pied entre mes jambes et le passa sur ma braguette, donnant de petits coups d'orteils à mes bourses, frottant ma queue de la plante du pied, l'aidant à se redresser dans mon pantalon, tout en parlant l'air détaché de choses et d'autres. À l'arrivée du dessert, elle retira son pied. En quittant le restaurant j'avais quelques idées coquines mais Joséphine me convainquit de monter courageusement les cartons au troisième étage, à pied car il n'y a pas d'ascenseur. À 3h00 je déposais le dernier carton. Comme Joséphine s'apprêtait à redescendre, je l'enlaçai et l'attirai contre moi avant de lui donner un baiser ou nos langues se retrouvèrent. Sans rompre le baiser je m'assis entraînant Joséphine sur mes genoux pour la caresser. Ses vêtements me gênaient, je ne parvenais pas à dégrafer son soutien-gorge, son collant faisait obstacle. Je lui murmurai à l'oreille :
- Peut-être tes sous-vêtements te gênent-ils ? Mais sans trop d'espoir car Joséphine avait sa réserve habituelle. Mais ce jour là aussi elle allait me surprendre. Elle regarda autour d'elle quelques secondes (pour évaluer la situation me dit-elle par la suite), se leva, retira pull, chemisier et soutien-gorge, me jetant ce dernier. Elle remit son chemisier, se déchaussa, passa les mains sous sa jupe, agrippa collant et slip qu'elle fit prestement descendre, qu'elle retira et me tendit avec son plus charmant sourire. Le tout en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire.
- Cela convient-il à Monsieur comme ça ?
Cela me convenait tout à fait. Je la renversai sur les cartons, après y avoir étalé nos manteaux et mis ses jambes sur mes épaules. Je commençai à lui dévorer la chatte qu'elle avait déjà baveuse à souhait. Je lui embrassai ses lèvres du bas, de la langue je parcourus sa fente et lui titillai son petit bouton. Après quelques temps, comme je relevais la tête pour reprendre mon souffle, Joséphine se redressa me repoussant doucement et sauta sur ses pieds. Elle s'agenouilla sur le tapis et entreprit d'ouvrir mon pantalon et de libérer ma queue du slip où elle se trouvait à l'étroit. Joséphine entreprit une pipe avec tant de conviction qu'après quelques minutes de ce traitement j'étais au bord de l'explosion. J'en avertis Joséphine, mais elle continua de plus belle. Je me répandis dans sa gorge. Après avoir avalé, ce que d'habitude elle ne faisait pas, elle ne cessa pas de me sucer tout en caressant mes bourses (plus tard quand je lui ai demandé pourquoi ce jour là elle avait avalé, elle me fit cette réponse magnifique : sinon ça aurait été sur le tapis !!!). Quand elle fut assurée que je ne perdais pas consistance, elle se redressa et nous échangeâmes un long baiser. Elle s'agenouilla sur les cartons levant bien haut la croupe. Je lui caressai et embrassai les fesses, la fente, le clito. Elle ondulait, je m'enhardis à lui masser un peu son petit trou. En temps normal elle n'apprécie pas que je m'occupe de cette partie de son intimité, mais là aucune protestation, aucun mouvement de recul, au contraire. J'enfonçais un, puis deux doigts dans sa fente juteuse et avec le pouce j'entrai par sa porte étroite. Je la pistonnais alternativement des doigts et du pouce. Joséphine haletait. J'introduisis un troisième doigt dans sa chatte, Joséphine continua à accompagner les mouvements de mes doigts. Mon petit doigt se risqua à rejoindre ses frères. Joséphine eut un petit sursaut, frissonna mais ne se déroba point. Elle se cambra encore plus et écarta davantage les genoux pour s'ouvrir encore plus. D'une voix rauque elle souffla « continue ». Une première. Habituellement elle n'acceptait que deux doigts, quelques rares fois trois, jamais encore elle n'en avait accueilli quatre. Je profitai de ses bonnes dispositions pour introduire délicatement deux doigts de mon autre main dans son cul déjà bien ouvert. Doucement je recommençai un petit mouvement de va-et-vient dans sa chatte écartelée. Au début seuls trois ou quatre centimètres entraient. Mais petit à petit ma main s'enfonça plus profondément. À la fin toute ma main jusqu'à la base du pouce disparaissait. Joséphine accompagnait mes mouvements, Joséphine était déchaînée comme jamais je ne l'avais vue. Aussi décidai-je d'aller encore plus loin. Comme je sortais ma main de sa vulve, j'en profitai pour rabattre mon pouce le long de ma paume. Puis doucement je commençai à réintroduire mes quatre doigts. Mon pouce arriva bientôt à l'entrée de sa chatte, je continuai ma progression sans que Joséphine ne proteste. Ma main s'insinua lentement en elle, reculant de tant en temps pour mieux revenir à l'assaut. Finalement à ma surprise elle m'absorba jusqu'au poignet. Doucement j'entrepris à nouveau un petit mouvement de va-et-vient. Joséphine suivit mes mouvements. J'étais fasciné de voir ses fesses aller et venir, se ruant au devant de cette main qui la fouillait, qui écartelait ses lèvres congestionnées. Je n'aurais jamais cru cela possible de voir Joséphine accepter un fist, avec autant d'enthousiasme surtout. C'était extraordinaire de voir à chaque fois ma main disparaître jusqu'au poignet dans son sexe. Finalement Joséphine eut une série de spasmes dont les contractions chassèrent ma main de son intimité. Après être restée quelques secondes sans bouger, elle se redressa doucement, se retourna, se leva un peu vacillante, s'accrocha à mon cou et m'embrassa avec passion. Joséphine s'écarta ensuite légèrement de moi, elle regarda ma queue tendue à bloc et dit en la caressant :
- On ne peut pas la laisser comme ça, tu ne pourrais pas te rhabiller.
Elle s'allongea sur les cartons (heureusement c'étaient de solides cartons de livres), les fesses au ras du bord. Elle amena ses genoux sur ses épaules en écartant les cuisses et me fit un petit clin d'œil coquin. Je m'approchai et pénétrai sa chatte béante. Tandis que je la baisais une idée me traversa l'esprit. Peut être aujourd'hui Joséphine, vu ses dispositions accepterait de m'accueillir là où elle n'avait jamais voulu que je m'introduise, dans son petit cul. Je me retirai de sa chatte, me baissai pour lui faire une petite léchouille sur son clitoris, puis descendis le long de fente pour finir par lui faire une feuille de rose, ma langue forçant légèrement son anus. Joséphine ne protesta pas. Bientôt je me relevai et pris ma queue en main. Je la passai tout le long de sa fente, glissai jusqu'à l'anus, remontai, renouvelai l'opération plusieurs fois, Joséphine l'arrêta devant sa porte étroite et me regardant droit dans les yeux et dit :
- Aujourd'hui c'est un jour de folie, alors on y va, j'ai envie d'essayer.
Je poussai donc. Joséphine y mis du sien, elle passa les mains sous ses jambes pour écarter ses fesses afin de permettre un meilleur accès. Je n'eus pas à forcer, j'entrai très facilement. Pour une inauguration cela se passait plutôt bien. Il faut dire que Joséphine était particulièrement détendue. J'entrai en elle jusqu'au couilles sans que cela la fasse souffrir. Elle me sourit et dit :
-Tu vois tout arrive.
Elle détendit ses jambes et m'emprisonna la taille. Je l'enculais avec douceur depuis quelques minutes quand, par hasard, je tournai la tête. Je me figeai. Je venais d'apercevoir deux bustes, dans le tournant de l'escalier. Joséphine ne m'aurait pas tenu je me serais écarté. Un couple entre 25 et 30 ans nous regardait. Voyant que je les avais repérés, l'homme qui était derrière sa compagne me fit un signe de connivence en levant le pouce. Je remarquai alors le mouvement rythmé qui les animait et qui me révélait que monsieur était en train d'honorer madame. Joséphine qui n'avait rien remarqué, surprise de mon inaction me rappela à l'ordre d'un «ne t'arrête pas » enroué. Après hésitation, sans rien dire à Joséphine (je sais c'est vilain, mais j'ai craint ses réactions) je me remis en action. Je n'étais plus très vaillant, mais rapidement la forme revint. J'ai fait un petit geste au couple de se montrer discret en mettant un doigt sur ma bouche. J'étais à la fois gêné et fier que des témoins me voient enculer ma chérie. Je ne sais pas depuis quand ils nous regardaient. Mais le spectacle leur avait plu et les avait inspirés. L'homme dégrafa sa compagne et mit ses seins à l'air qu'il commença à triturer. Ils étaient entrain de prendre leur pied. Quand ils eurent fini, ils me firent un petit geste de la main et s'esquivèrent discrètement. Plus à l'aise malgré tout après leur départ, je finis par me répandre dans ma chérie. Après nous être rajusté nous commençâmes à descendre l'escalier quand une porte du deuxième s'ouvrit, je reconnus le couple témoin, en peignoir. Madame proposa gentiment :
- Bonjour, Nous sommes Renaud et Valérie. Vous devriez venir vous rafraîchir un peu, vous devez en avoir besoin.
Joséphine bredouilla en rosissant :
- C'est gentil mais pourquoi ?
- Pour le spectacle, c'était vraiment fabuleux, ça a donné des idées à mon chéri, Ne soyez pas timide venez, vous avez besoin de faire un peu de toilette. Eux visiblement en sortaient.
Joséphine à ma grande surprise (décidément c'était le jour) bien qu'étant devenue écarlate accepta l'offre au lieu de s'enfuir comme je m'y attendais et nous nous présentâmes à ce couple si accueillant. Renaud et Valérie nous conduisirent à la salle de bain. Ils nous donnèrent des peignoirs. Nous nous prélassâmes un peu sous la douche. À peine avions nous fini nos ablutions que Valérie frappa à la porte et dit :
- Venez au salon, le thé est prêt.
- Le temps de s'habiller et nous arrivons. Répondis-je.
- Vous n'avez qu'à rester en peignoir, sinon il va être trop fort.
Nous nous rendîmes au salon tous quatre en peignoir. Le salon était une grande pièce, donnant d'un coté sur la salle à manger par une large ouverture. Autour d'une table basse, il y avait deux canapés se faisant face et trois grands fauteuils, deux d'un côté et un de l'autre. Chaque couple s'installa sur un canapé. Une fois le thé servit, Joséphine demanda alors d'une petite voix :
- Qu'avez-vous vu au juste ?
Ce fut Valérie qui répondit
- On vous a vu passer avec des cartons, alors on s'est dit qu'entre voisins un petit coup de main serait le bienvenu. Alors on est monté et on est arrivé quand Bernard était en train de te bouffer la chatte. Rien que de penser aux scènes qui se sont passées devant mes yeux, à quelques mètres, ça me rend toute chose. Lorsque j'ai vu que Bernard te mettait toute sa main, j'étais sciée. Je croyais qu'on ne voyait ça que dans les films pornos. Ça t'arrive souvent de te faire mettre comme ça ? Moi je ne pourrais jamais. C'est comme lorsqu'il t'a prise par ton petit trou, à ce que tu as dit, j'ai cru comprendre que c'était une première et pourtant ça eut l'air si facile, ça ne t'as pas brûlée ? Comme elle reprenait son souffle Joséphine l'interrompit :
- Arrête, arrête, une question à la fois, pour te dire la vérité vous avez assisté à deux premières, enfin pas tout à fait, on avait déjà essayé pour le petit trou, mais ça n'avait pas été une réussite, j'avais mal toléré ou accepté. Aujourd'hui c'était le bon jour. Peut être parce que j'étais particulièrement excitée et détendue à la fois, tout passait. Quand tu dis que tu ne pourrais jamais, je suis sûre que tu fais erreur, moi aussi je le pensais, jusqu'à tout à l'heure. Si Bernard m'avait dit en commençant qu'il allait faire entrer sa main dans ma chatte, j'aurais refusé. Et je vais te dire, au début je n'ai pas réalisé que Bernard faisait entrer toute sa main. Je sentais bien que c'était… heu ! gros, très gros et que ça remontait très loin, mais je n'avais pas mal, j'étais complètement dilatée. Je n'ai vraiment réalisé que lorsque j'ai regardé. Alors j'ai vu la main qui disparaissait dans mon corps et j'allais au devant de cette main, il était un peu tard pour dire que ce n'était pas possible. Quand je me suis faite enculer - cela me fait un drôle d'effet de dire je me suis faite enculer - Bernard avait déjà mis un doigt avant, sans que cela me gène et puis j'avais apprécié quand il avait léché mon petit trou. Alors lorsque j'ai senti qu'il se présentait là, j'ai pensé que c'était le bon moment et ça l'a été à tous points de vue.
Joséphine marqua une pause, J'étais sidéré de l'entendre parler ainsi, mais elle n'avait pas fini de me surprendre. Elle enchaîna,
- Ça t'as excitée ce que tu as vu tout à l'heure ?
- Beaucoup et Renaud aussi, on a baisé en vous regardant, encore maintenant j'ai la chatte en feu. dit Valérie.
- Alors c'est peut-être le moment d'essayer, tu as l'air dans de bonnes dispositions, enchaîna Joséphine en la regardant droit dans les yeux.
Valérie rosit et bredouilla un « tu crois ? ».
- Mais bien sûr. Affirma péremptoirement Joséphine.
Valérie n'était pas convaincue à cent pour cent, mais elle ne voulait pas avoir l'air de se dégonfler. Je pense que c'est pour trouver une échappatoire honorable, pensant qu'après les exercices qu'elle venait de voir, Joséphine refuserait de remettre ça, qu'elle proposa :
- Bon d'accord, mais tu me tiens compagnie, on le fait en même temps pour que tu me soutiennes.
Joséphine eut une hésitation imperceptible, que je dus être seul à remarquer, car je la connais fort bien, avant de répondre :
- C'est une affaire qui marche. Où s'installe-t-on ?
Ni Renaud, ni moi n'avions placé un mot, peut-être était-il aussi surpris que moi du comportement de nos chères et tendres. Valérie se tourna vers son mari et dit :
- Ouvre le clic-clac, ça devrait aller, tu ne crois pas mon biquet ? »
- Heu oui, bien sûr. Répondit le biquet qui avait l'air fort dubitatif.
Ils se levèrent et il rabattit le dossier du canapé pour mettre celui-ci en position lit. D'un geste lent, peut-être hésitant, Valérie laissa tomber son peignoir. Elle était nue en dessous. Elle est assez mince, avec des hanches plutôt larges. Sa poitrine sans être forte, montre deux seins ronds, aux aréoles rose vif, qui se tiennent bien. Ils sont juste de la bonne taille pour tenir dans la main, comme ceux de ma chérie. Sa broussaille très fournie est, comme ses cheveux, châtain clair. Elle nous fit signe d'approcher. Nous nous levâmes et contournâmes la table. Joséphine laissa elle aussi tomber son peignoir. Elles ont à peu près la même taille, la même morphologie élancée et leur toison aussi drue, mais celle de Joséphine est brune, à bientôt trente-huit ans son corps n'a rien à envier en grâce et en fermeté à celui de Valérie qui a vingt-cinq ans . Elles étaient à croquer. Comme plus personne ne bougeait plus, je pris l'initiative de pousser légèrement Joséphine vers le canapé déployé. Elle y tomba assise. Je m'agenouillai devant le canapé, écartai les genoux de ma chérie en les soulevant pour la faire basculer en arrière. Je passai un doigt le long de sa fente. C'était doux, chaud, glissant, ses lèvres congestionnées s'écartaient toutes seules. J'avançai la tête entre ses cuisses, jusqu'à ce que mes lèvres rencontre les siennes. Je léchais, mordillais, enfonçais un peu la langue, aspirais son petit bouton qui pointait fièrement, m'arrêtant de temps en temps pour regarder sa vulve ouverte, où ma salive se mêlait à sa cyprine. Valérie s'était allongée à côté et se faisait aussi bouffer la chatte. On entendait que sucions, léchouilles et glouglous et en basse la respiration un peu hachée de ces dames. Une idée me traversa l'esprit. Le sac photo. Il faut dire je suis un mordu de la photo. Surtout d'architecture (châteaux, abbayes, église, hôtels particuliers, maisons). Mais de temps en temps, aussi, des séries coquines avec Joséphine. Je trimbale, presque en permanence en déplacement un gros sac (trop gros selon Joséphine) contenant deux appareils, des d'objectifs, des flashes et un pied. Et le sac était dans l'entrée. Je relevai la tête et dis :
- Ça vaudrait le coup de prendre quelques photos souvenirs. Comme personne n'émettait d'objection, j'allai dans le couloir récupérer mon sac. Je n'ai jamais été aussi rapide que ce jour là pour installer mon matériel. Un appareil sur pied avec flashes extérieurs et diffuseurs de la lumière, que j'actionne avec une télécommande et un appareil à côté de moi. Renaud en avait profité pour sortir son appareil photo numérique et un caméscope, moi je suis resté fidèle à la diapo. Pendant tout le reste de la soirée, soit je déclenchais la télécommande de l'appareil sur pied, pour des vues générales, soit je prenais des photos en plan plus serré avec l'autre appareil, parfois même ne le tenant que d'une main. L'appareil numérique flashant de temps en temps de son côté. Renaud et moi nous remîmes à l'ouvrage. Je sentais Joséphine très chaude. Je lui demandai :
- Veux-tu rester comme ça ou te mettre à quatre pattes pour la suite des opérations. Elle resta allongée sur le dos, mais écarta encore plus les jambes et se tourna vers Valérie en disant :
- Allez, c'est parti pour la suite. Valérie, qui avait les joues empourprées, s'appliqua elle aussi à écarter les jambes encore plus. J'étais épaté je sentais Joséphine s'ouvrir aussi facilement que tout à l'heure, mais ne brusquai pas les choses. Mes doigts se rejoignaient l'un après l'autre pour plonger dans cette grotte d'amour, et tous s'y retrouvèrent, même le pouce qui d'habitude est opposé aux autres. Quand ma main entière fut engloutie, j'immortalisai ce moment d'une photo. Je pistonnais doucement ma chérie qui avait la tête qui oscillait d'un, de l'autre. Elle m'arrêta en m'emprisonnant le poignet de ses deux mains. On aurait dit qu'elle voulait s'assurer de la réalité de cette intromission. Elle me dit :
- Ne bouge plus, je vais rouler pour me mettre à quatre pattes. Et elle se mit à rouler doucement sur elle-même, tournant autour de ma main fichée en elle. Je l'aidai à faire passer ses jambes par-dessus et par-dessous moi. Elle réussit son demi-tour et se mit à quatre pattes. La manœuvre l'avait rapprochée de Valérie et elle regarda comment ça se passait de ce côté. Renaud et Valérie n'avaient pas chômé de leur côté. Renaud avait déjà mis quatre doigts et essayait d'ajouter le pouce, mais visiblement ça avait du mal à passer, elle avait presque les larmes aux yeux et demandait à Renaud d'arrêter un peu. Joséphine lui prit la main et se mit à lui parler tout bas à l'oreille, tout en commençant à remuer un peu les fesses pour imprimer un petit mouvement de va-et-vient à ma main dans sa chatte. Je compris l'invite et participai à ce mouvement Je ne sais pas ce qu'elle a dit, mais Valérie s'est détendue, elle a même ri. Renaud avait repris, avec délicatesse sa progression. Mais malgré tout cela continuait de coincer. Joséphine se redressa un peu, fit signe à Renaud de s'approcher et lui murmura à lui aussi quelque chose à l'oreille, puis recommença à chuchoter avec Valérie. Après quelques instants elle se livra à un curieuse gymnastique. Elle rapprocha encore plus de la jeune femme, passa un bras de l'autre côté de son corps et enjamba une jambe qui se retrouva ainsi entre les deux siennes. Elle se retrouvait comme cela un peu au-dessus de Valérie. Elle se pencha, colla son buste à celui de Valérie et l'embrassa à pleine bouche. Je ne m'attendais certainement pas à cela, encore une surprise de plus pour cette journée mémorable, car Joséphine a toujours eu un a priori négatif pour les relations saphiques. Renaud en profita pour enfoncer sa main d'un geste rapide. Valérie eut un sursaut, mais sa bouche clouée ne put émettre aucune protestation. Joséphine se redressa, Valérie était tétanisée, elle ne bougeait pas. D'une petite voix elle demanda :
- Tout est-il entré ? Tout le monde lui répondit : Oui !
- J'ai cru que mon sexe allait exploser. J'ai l'impression d'un accouchement à l'envers. Est-ce que je n'ai rien de déchiré ?
Tout le monde la rassura, elle se détendit un peu et se décida à se redresser un peu pour regarder son intimité envahie. Après avoir contemplé le spectacle quelques secondes, elle déclara :
- Je savais que toute la main était entrée, je l'avais sentie, mais de le voir, ça me fait tout drôle. Elle se rallongea sur le dos en disant à Renaud :
- Essaye de la faire bouger un peu.
- De toute façon je ne pouvais pas la laisser là jusqu'à demain. Dit-il en commençant à reculer doucement son bras.
- Doucement, j'ai l'impression que tu vas tout emmener avec ta main. Renaud fit de petits mouvements, qui petit à petit prirent un peu d'ampleur. Joséphine quant à elle s'était éloignée de Valérie. Je l'avais délaissée pour assister au spectacle et prendre quelques photos, elle me dit en prenant un ton très offensé :
- Hé bien je ne t'intéresse plus, tu ne t'occupes plus de moi ?
Je revins à ma chérie et m'occupai d'elle activement. Sa respiration haletante, les mouvements de sa croupe et quelques soupirs m'apprirent que l'envahissante caresse que je lui prodiguais était appréciée. Après quelques minutes, Joséphine se tourna vers Valérie :
- On pourrait changer d'exercice, ne crois-tu pas ?
- Je veux bien. Renaud et moi retirâmes nos mains des chauds et humides étuis qui les accueillaient. J'allai me laver les mains pour changer de pellicule dans les appareils. En revenant j'entendis Joséphine demander :
- Alors comment as-tu trouvé ?
- Au début c'était dur, j'allais dire à Renaud d'arrêter quand tu m'as embrassée, et là quand il est entré complètement j'ai cru que j'explosais, que j'étais déchirée et puis ça s'est calmé. Quand il a commencé à bouger ça n'a pas été aussi difficile que je le redoutais et à la fin cela se passait plutôt bien, mais je n'ai pas pris mon pied.
- Je pense que le plus difficile est fait. La prochaine fois tu verras cela devrait bien mieux se passer. Peut-être même que le plaisir sera au rendez-vous. Et maintenant on passe à la suite du programme.
- Je suis un peu fatiguée. répondit Valérie.
- Pas tant que tu le crois, et puis on a passé un contrat toutes les deux, on fait le parcours toutes les deux en même temps.
- Hé bien ! Banco, messieurs la partie continue enchaîna Valérie en ouvrant le peignoir de Renaud et en lui caressant son sexe déjà fièrement érigé. Je retirai mon peignoir et fis mettre Joséphine à quatre pattes par terre. J'allai prendre de la mouille dans sa chatte pour en enduire son petit trou et le masser, enfonçant de temps en temps un doigt, lui donnant un petit mouvement circulaire, puis quand son anneau fut bien assoupli, je risquai un deuxième doigt, sans entendre de protestation. Je me redressai et m'installai derrière Joséphine. Je pris ma queue d'une main, après l'avoir enduite d'un peu d'huile d'amande douce et la fis glisser le long de la chatte de Joséphine, remontai jusqu'à son anus pour le flatter mais sans insister. Joséphine appuya le front au sol et de ses mains écarta ses fesses pour bien dégager sa rondelle. Je continuai, un peu, à faire parcourir par ma bite toute sa zone intime, avant de positionner mon gland sur sa porte étroite, je lâchai ma queue et pris ma chérie par les hanches. J'appuyai doucement, mon gland fut absorbé, je marquai une petite pause avant de reprendre ma progression. Bientôt je fus fiché complètement en elle. Renaud et Valérie suivaient un parcours parallèle au notre. Renaud et moi avions presque fait disparaître notre pieu dans le cul de nos compagnes en même temps et avons de concert commencé à ramoner l'étroite cheminée de nos chéries.
Après quelques minutes je proposai :
- Nous pourrions changer de position ? La proposition fut agréée. Je suggérai que chaque couple agisse successivement afin de faciliter les prises de vues. Joséphine proposa qu'elle et moi commencions. Je m'allongeai sur le lit les jambes pendantes, Joséphine m'enjamba en me tournant le dos et s'agenouilla. Elle se pencha en avant, prit ma queue d'une main, la pointa vers le ciel, vers sa lune. Je l'aidai des mains en séparant les deux moitiés du globe. Quand mon gland entra en contact avec sa cible, Joséphine commença de s'abaisser doucement et bientôt elle se retrouva assise sur mes cuisses. Elle se pencha en arrière prit appui sur un bras, tandis que l'autre bras restait devant elle, à son mouvement je compris qu'elle devait être en train de s'astiquer le bouton. Je l'attrapai par la taille et commençai alors à lui pistonner doucement le cul, puis de plus en plus fort, au point à la fin de presque la désarçonner. Mais elle réussit à rester en selle et après quelques minutes endiablées je me répandis en elle. Renaud et Valérie avec l'un le caméscope et l'autre les appareils photos suivirent avec une attention de journaliste professionnel notre prestation. Ensuite nous intervertîmes les rôles. Si Valérie démarra un peu difficilement, après elle se lâcha complètement et réussit je pense à pendre du plaisir. Tandis que nous reprenions un peu notre souffle en sirotant un jus d'orange, Je m'aperçus qu'il était presque 19h00, mon dieu comme le temps passe vite, et que nos amis devaient être rentré depuis plus d'heure. Joséphine et moi avons fait un nouveau brin de toilette avant de rapidement nous rhabiller, de ranger le matériel photos. Nous avons échangé nos coordonnées avec nos nouvelles relations. Comme nous partions Renaud me dit :
- Pendant que vous serez chez vos amis je vais faire des copies des prises de vue et je les mettrai sous notre paillasson vous pourrez les prendre en partant. Je le remerciai et nous montâmes chez nos amis qui heureusement n'étaient pas arrivés depuis très longtemps. Je leur dis :
Vos voisins du dessous nous ont invités à attendre chez eux votre retour en prenant le thé, on montait voir de temps en temps, mais là on a été pris par la discussion et nous n'avons plus vu le temps passer. Nous les avons aidés à rentrer les cartons et à décharger la camionnette. Heureusement cela a été assez rapide, car Joséphine et moi étions un peu flagada. Nos amis nous invitèrent ensuite au restaurant. Nous les avons raccompagnés jusqu'à chez eux, afin que je puisse récupérer mon sac à photo qui j'y avais malencontreusement oublié. Cela nous permit de récupérer en descendant, sous le paillasson de Renaud et Valérie les copies qu'ils y avaient déposées.
Sur le chemin du retour. Je dis :
- Aujourd'hui a été la journée où tu m'as le plus étonné. Je croyais te connaître. Mais durant cette journée tu as été une autre, quelqu'un que je ne reconnaissais pas vraiment.
Première surprise. Tu as accepté sans sourciller de faire des galipettes sur ce palier, alors que je ne m'attendais qu'à un petit câlin.
Deuxième surprise. Tu as accepté que je rentre toute ma main, d'habitude tu es plutôt réservée et tu n'acceptes que je te branle qu'avec deux ou trois doigts au plus.
Troisième surprise. Non seulement tu t'es faite enculer, mais en plus c'est toi qui l'as demandé, toi qui étais plus que réticente lors de nos deux ou trois précédentes tentatives.
Quatrième surprise. Quand Renaud et Valérie nous ont invités, tu as accepté, alors que je m'attendais à te voir fuir en devenant écarlate.
Cinquième surprise. Tu as accepté de refaire notre partie de jambes en l'air, si peu de temps après la première et en compagnie d'un autre couple qui plus est.
Sixième surprise. Tu as roulé une pelle d'enfer à Valérie. Alors que tu as toujours proclamé bien haut que toi les filles…
-Hé bien, tu sais, tout n'est pas forcément rationnel, pré formaté et prévisible.
Pour ton premièrement, depuis le restaurant, je me sentais chaude, j'ai songé à un petit hôtel. Mais quand tu as commencé à me câliner, j'ai eu vraiment envie. Je ne nous voyais pas partir à la recherche d'une chambre pour deux ou trois heures. Alors, autant rester où nous étions, je pensais que nous y serions peinards.
Pour ton deuxièmement, comme je l'ai expliqué quand Valérie a posé la question, je ne pensais pas que tu allais faire entrer toute ta main, aussi je n'avais pas d'appréhension. Et quand j'ai réalisé que c'était fait, il n'était plus temps d'avoir peur.
Pour ton troisièmement, j'avais senti que tu me titillais la pastille, je n'avais pas trouvé cela si désagréable, comme les fois précédentes. Aussi quand tu as promené ta queue dans la zone, comme ma chatte avait été comblée, j'ai pensé que c'était le moment d'essayer de ce coté là. Et bingo c'est rentré sans que j'aie mal au cul.
Pour ton quatrièmement, j'ai effectivement pensé à fuir, mais je crois que j'aurais eu encore plus de mal à sentir leurs regards sur notre dos en partant tout de suite que de les affronter en face. En jamais plus je n'aurais alors osé revenir, pour voir nos amis de crainte de les croiser dans l'escalier.
Pour ton cinquièmement, hé bien Valérie m'agaçait un peu avec toutes ses questions. J'ai pensé que la faire agir, calmerait sa curiosité. Quand j'ai vu qu'elle essayait de se dérober et que pour lui faire bouger son cul il fallait l'accompagner et bien je me suis fait une douce violence.
Pour ton sixièmement. C'est la solution que j'ai trouvée pour l'immobiliser pour que Renaud puisse conclure, sinon on risquait de ne pas en sortir. Et puis je vais te dire je voulais un peu me venger, car lorsqu'ils nous ont abordé, je n'avais jamais eu autant la honte, comme dirait notre fils. J'ai eu envie de disparaître dans un trou de souris, de m'évaporer dans l'air. Et je pense que c'est elle, par curiosité, qui a poussé à nous aborder dans l'escalier. C'est pour ça que j'ai aidé Renaud à forcer le passage. Et si tu veux mon avis, au début au moins elle a dû avoir un peu de mal à digérer la potion, même si après ça a été mieux. Je sais, je sais c'est très vilain d'aider un horrible mâle à forcer une malheureuse femelle, mais bon, elle était d'accord. Mais je vais t'avouer, une petite circonstance aggravante en plus. Tu sais je me suis doutée que Valérie aurait plus de mal que moi à prendre la main de son mari dans le con. Je ne sais pas si tu as remarqué les mains de Renaud. Ce sont de véritables battoirs, les tiennes à coté ont l'air toutes menues, alors évidemment c'était normal que ça coince un peu. Elle va être guérie de sa curiosité pendant quelques temps je pense.
- Et voilà la septième surprise de la journée, je ne te savais pas aussi rouée.
- Mais tu sais, c'est une journée que je ne regrette pas du tout, Valérie non plus je pense, malgré toutes ces émotions. Il faudra porter tes pellicules à développer dés demain, j'ai hâte de voir les photos et les films, ce vont être des souvenirs extraordinaires. Il faudra que tu numérises tes diapos pour pouvoir les donner à Valérie et Renaud. Ainsi fut fait. J'envoyai à Pithiviers un cd gravé des diapos que j'avais numérisées, car par courriel cela aurait fait beaucoup trop. Et je proposai à nos nouvelles relations de venir les voir en projection sur grand écran, où cela donne un rendu fabuleux. Là la photo argentique est encore à mon avis supérieure à la photo numérique. Ils doivent bientôt venir à Paris, ils ont promis de nous faire signe pour passer à la maison, en s'arrangeant pour laisser leur deux enfants chez les grands parents, comme ce jour mémorable. Notre fils aussi, d'ailleurs, ira chez sa grand-mère ce jour là.
- Nous sommes devant chez vous avec les cartons.
- Vous n'avez pas eu notre message (tiens on avait oublié d'allumer le portable et de consulter la messagerie), on a eu des problèmes avec la camionnette de location. On est encore à Angers chez les parents de Sophie. Le temps de finir de remplir la camionnette de grignoter, de faire les 300 bornes, nous devrions arriver ver 5h00, 5h30, ça ne vous ennuie pas d'attendre aussi longtemps ?
- Pas de problème, on attend.
- Si vous voulez vous pourrez mettre les cartons sur le palier, ça ne gênera pas on est au dernier étage et l'autre appartement du palier n'est pas occupé.
Nous allâmes déjeuner dans un restaurant sympa près de la gare. En attendant le plat principal, je profitai du coin tranquille et de la longueur de la nappe pour retirer une chaussure et faire du pied à ma chérie sous la table. Je remontais doucement le long de ses jambes. Malgré quelques « soit sage, on va nous voir », Joséphine ne s'opposa pas à la progression. Mon pied s'insinua sous sa jupe entre ses cuisses, qu'elle écarta en s'asseyant plus au bord de la chaise. À l'arrivée de la serveuse, Joséphine se renfonça sur son siège en disant :
- Allons, maintenant on mange sagement.
Comme nous attendions le dessert, je me préparais à reprendre les opérations, quand je sentis le pied de Joséphine le long de ma jambe tandis qu'elle disait :
- À mon tour maintenant !
Elle glissa son pied entre mes jambes et le passa sur ma braguette, donnant de petits coups d'orteils à mes bourses, frottant ma queue de la plante du pied, l'aidant à se redresser dans mon pantalon, tout en parlant l'air détaché de choses et d'autres. À l'arrivée du dessert, elle retira son pied. En quittant le restaurant j'avais quelques idées coquines mais Joséphine me convainquit de monter courageusement les cartons au troisième étage, à pied car il n'y a pas d'ascenseur. À 3h00 je déposais le dernier carton. Comme Joséphine s'apprêtait à redescendre, je l'enlaçai et l'attirai contre moi avant de lui donner un baiser ou nos langues se retrouvèrent. Sans rompre le baiser je m'assis entraînant Joséphine sur mes genoux pour la caresser. Ses vêtements me gênaient, je ne parvenais pas à dégrafer son soutien-gorge, son collant faisait obstacle. Je lui murmurai à l'oreille :
- Peut-être tes sous-vêtements te gênent-ils ? Mais sans trop d'espoir car Joséphine avait sa réserve habituelle. Mais ce jour là aussi elle allait me surprendre. Elle regarda autour d'elle quelques secondes (pour évaluer la situation me dit-elle par la suite), se leva, retira pull, chemisier et soutien-gorge, me jetant ce dernier. Elle remit son chemisier, se déchaussa, passa les mains sous sa jupe, agrippa collant et slip qu'elle fit prestement descendre, qu'elle retira et me tendit avec son plus charmant sourire. Le tout en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire.
- Cela convient-il à Monsieur comme ça ?
Cela me convenait tout à fait. Je la renversai sur les cartons, après y avoir étalé nos manteaux et mis ses jambes sur mes épaules. Je commençai à lui dévorer la chatte qu'elle avait déjà baveuse à souhait. Je lui embrassai ses lèvres du bas, de la langue je parcourus sa fente et lui titillai son petit bouton. Après quelques temps, comme je relevais la tête pour reprendre mon souffle, Joséphine se redressa me repoussant doucement et sauta sur ses pieds. Elle s'agenouilla sur le tapis et entreprit d'ouvrir mon pantalon et de libérer ma queue du slip où elle se trouvait à l'étroit. Joséphine entreprit une pipe avec tant de conviction qu'après quelques minutes de ce traitement j'étais au bord de l'explosion. J'en avertis Joséphine, mais elle continua de plus belle. Je me répandis dans sa gorge. Après avoir avalé, ce que d'habitude elle ne faisait pas, elle ne cessa pas de me sucer tout en caressant mes bourses (plus tard quand je lui ai demandé pourquoi ce jour là elle avait avalé, elle me fit cette réponse magnifique : sinon ça aurait été sur le tapis !!!). Quand elle fut assurée que je ne perdais pas consistance, elle se redressa et nous échangeâmes un long baiser. Elle s'agenouilla sur les cartons levant bien haut la croupe. Je lui caressai et embrassai les fesses, la fente, le clito. Elle ondulait, je m'enhardis à lui masser un peu son petit trou. En temps normal elle n'apprécie pas que je m'occupe de cette partie de son intimité, mais là aucune protestation, aucun mouvement de recul, au contraire. J'enfonçais un, puis deux doigts dans sa fente juteuse et avec le pouce j'entrai par sa porte étroite. Je la pistonnais alternativement des doigts et du pouce. Joséphine haletait. J'introduisis un troisième doigt dans sa chatte, Joséphine continua à accompagner les mouvements de mes doigts. Mon petit doigt se risqua à rejoindre ses frères. Joséphine eut un petit sursaut, frissonna mais ne se déroba point. Elle se cambra encore plus et écarta davantage les genoux pour s'ouvrir encore plus. D'une voix rauque elle souffla « continue ». Une première. Habituellement elle n'acceptait que deux doigts, quelques rares fois trois, jamais encore elle n'en avait accueilli quatre. Je profitai de ses bonnes dispositions pour introduire délicatement deux doigts de mon autre main dans son cul déjà bien ouvert. Doucement je recommençai un petit mouvement de va-et-vient dans sa chatte écartelée. Au début seuls trois ou quatre centimètres entraient. Mais petit à petit ma main s'enfonça plus profondément. À la fin toute ma main jusqu'à la base du pouce disparaissait. Joséphine accompagnait mes mouvements, Joséphine était déchaînée comme jamais je ne l'avais vue. Aussi décidai-je d'aller encore plus loin. Comme je sortais ma main de sa vulve, j'en profitai pour rabattre mon pouce le long de ma paume. Puis doucement je commençai à réintroduire mes quatre doigts. Mon pouce arriva bientôt à l'entrée de sa chatte, je continuai ma progression sans que Joséphine ne proteste. Ma main s'insinua lentement en elle, reculant de tant en temps pour mieux revenir à l'assaut. Finalement à ma surprise elle m'absorba jusqu'au poignet. Doucement j'entrepris à nouveau un petit mouvement de va-et-vient. Joséphine suivit mes mouvements. J'étais fasciné de voir ses fesses aller et venir, se ruant au devant de cette main qui la fouillait, qui écartelait ses lèvres congestionnées. Je n'aurais jamais cru cela possible de voir Joséphine accepter un fist, avec autant d'enthousiasme surtout. C'était extraordinaire de voir à chaque fois ma main disparaître jusqu'au poignet dans son sexe. Finalement Joséphine eut une série de spasmes dont les contractions chassèrent ma main de son intimité. Après être restée quelques secondes sans bouger, elle se redressa doucement, se retourna, se leva un peu vacillante, s'accrocha à mon cou et m'embrassa avec passion. Joséphine s'écarta ensuite légèrement de moi, elle regarda ma queue tendue à bloc et dit en la caressant :
- On ne peut pas la laisser comme ça, tu ne pourrais pas te rhabiller.
Elle s'allongea sur les cartons (heureusement c'étaient de solides cartons de livres), les fesses au ras du bord. Elle amena ses genoux sur ses épaules en écartant les cuisses et me fit un petit clin d'œil coquin. Je m'approchai et pénétrai sa chatte béante. Tandis que je la baisais une idée me traversa l'esprit. Peut être aujourd'hui Joséphine, vu ses dispositions accepterait de m'accueillir là où elle n'avait jamais voulu que je m'introduise, dans son petit cul. Je me retirai de sa chatte, me baissai pour lui faire une petite léchouille sur son clitoris, puis descendis le long de fente pour finir par lui faire une feuille de rose, ma langue forçant légèrement son anus. Joséphine ne protesta pas. Bientôt je me relevai et pris ma queue en main. Je la passai tout le long de sa fente, glissai jusqu'à l'anus, remontai, renouvelai l'opération plusieurs fois, Joséphine l'arrêta devant sa porte étroite et me regardant droit dans les yeux et dit :
- Aujourd'hui c'est un jour de folie, alors on y va, j'ai envie d'essayer.
Je poussai donc. Joséphine y mis du sien, elle passa les mains sous ses jambes pour écarter ses fesses afin de permettre un meilleur accès. Je n'eus pas à forcer, j'entrai très facilement. Pour une inauguration cela se passait plutôt bien. Il faut dire que Joséphine était particulièrement détendue. J'entrai en elle jusqu'au couilles sans que cela la fasse souffrir. Elle me sourit et dit :
-Tu vois tout arrive.
Elle détendit ses jambes et m'emprisonna la taille. Je l'enculais avec douceur depuis quelques minutes quand, par hasard, je tournai la tête. Je me figeai. Je venais d'apercevoir deux bustes, dans le tournant de l'escalier. Joséphine ne m'aurait pas tenu je me serais écarté. Un couple entre 25 et 30 ans nous regardait. Voyant que je les avais repérés, l'homme qui était derrière sa compagne me fit un signe de connivence en levant le pouce. Je remarquai alors le mouvement rythmé qui les animait et qui me révélait que monsieur était en train d'honorer madame. Joséphine qui n'avait rien remarqué, surprise de mon inaction me rappela à l'ordre d'un «ne t'arrête pas » enroué. Après hésitation, sans rien dire à Joséphine (je sais c'est vilain, mais j'ai craint ses réactions) je me remis en action. Je n'étais plus très vaillant, mais rapidement la forme revint. J'ai fait un petit geste au couple de se montrer discret en mettant un doigt sur ma bouche. J'étais à la fois gêné et fier que des témoins me voient enculer ma chérie. Je ne sais pas depuis quand ils nous regardaient. Mais le spectacle leur avait plu et les avait inspirés. L'homme dégrafa sa compagne et mit ses seins à l'air qu'il commença à triturer. Ils étaient entrain de prendre leur pied. Quand ils eurent fini, ils me firent un petit geste de la main et s'esquivèrent discrètement. Plus à l'aise malgré tout après leur départ, je finis par me répandre dans ma chérie. Après nous être rajusté nous commençâmes à descendre l'escalier quand une porte du deuxième s'ouvrit, je reconnus le couple témoin, en peignoir. Madame proposa gentiment :
- Bonjour, Nous sommes Renaud et Valérie. Vous devriez venir vous rafraîchir un peu, vous devez en avoir besoin.
Joséphine bredouilla en rosissant :
- C'est gentil mais pourquoi ?
- Pour le spectacle, c'était vraiment fabuleux, ça a donné des idées à mon chéri, Ne soyez pas timide venez, vous avez besoin de faire un peu de toilette. Eux visiblement en sortaient.
Joséphine à ma grande surprise (décidément c'était le jour) bien qu'étant devenue écarlate accepta l'offre au lieu de s'enfuir comme je m'y attendais et nous nous présentâmes à ce couple si accueillant. Renaud et Valérie nous conduisirent à la salle de bain. Ils nous donnèrent des peignoirs. Nous nous prélassâmes un peu sous la douche. À peine avions nous fini nos ablutions que Valérie frappa à la porte et dit :
- Venez au salon, le thé est prêt.
- Le temps de s'habiller et nous arrivons. Répondis-je.
- Vous n'avez qu'à rester en peignoir, sinon il va être trop fort.
Nous nous rendîmes au salon tous quatre en peignoir. Le salon était une grande pièce, donnant d'un coté sur la salle à manger par une large ouverture. Autour d'une table basse, il y avait deux canapés se faisant face et trois grands fauteuils, deux d'un côté et un de l'autre. Chaque couple s'installa sur un canapé. Une fois le thé servit, Joséphine demanda alors d'une petite voix :
- Qu'avez-vous vu au juste ?
Ce fut Valérie qui répondit
- On vous a vu passer avec des cartons, alors on s'est dit qu'entre voisins un petit coup de main serait le bienvenu. Alors on est monté et on est arrivé quand Bernard était en train de te bouffer la chatte. Rien que de penser aux scènes qui se sont passées devant mes yeux, à quelques mètres, ça me rend toute chose. Lorsque j'ai vu que Bernard te mettait toute sa main, j'étais sciée. Je croyais qu'on ne voyait ça que dans les films pornos. Ça t'arrive souvent de te faire mettre comme ça ? Moi je ne pourrais jamais. C'est comme lorsqu'il t'a prise par ton petit trou, à ce que tu as dit, j'ai cru comprendre que c'était une première et pourtant ça eut l'air si facile, ça ne t'as pas brûlée ? Comme elle reprenait son souffle Joséphine l'interrompit :
- Arrête, arrête, une question à la fois, pour te dire la vérité vous avez assisté à deux premières, enfin pas tout à fait, on avait déjà essayé pour le petit trou, mais ça n'avait pas été une réussite, j'avais mal toléré ou accepté. Aujourd'hui c'était le bon jour. Peut être parce que j'étais particulièrement excitée et détendue à la fois, tout passait. Quand tu dis que tu ne pourrais jamais, je suis sûre que tu fais erreur, moi aussi je le pensais, jusqu'à tout à l'heure. Si Bernard m'avait dit en commençant qu'il allait faire entrer sa main dans ma chatte, j'aurais refusé. Et je vais te dire, au début je n'ai pas réalisé que Bernard faisait entrer toute sa main. Je sentais bien que c'était… heu ! gros, très gros et que ça remontait très loin, mais je n'avais pas mal, j'étais complètement dilatée. Je n'ai vraiment réalisé que lorsque j'ai regardé. Alors j'ai vu la main qui disparaissait dans mon corps et j'allais au devant de cette main, il était un peu tard pour dire que ce n'était pas possible. Quand je me suis faite enculer - cela me fait un drôle d'effet de dire je me suis faite enculer - Bernard avait déjà mis un doigt avant, sans que cela me gène et puis j'avais apprécié quand il avait léché mon petit trou. Alors lorsque j'ai senti qu'il se présentait là, j'ai pensé que c'était le bon moment et ça l'a été à tous points de vue.
Joséphine marqua une pause, J'étais sidéré de l'entendre parler ainsi, mais elle n'avait pas fini de me surprendre. Elle enchaîna,
- Ça t'as excitée ce que tu as vu tout à l'heure ?
- Beaucoup et Renaud aussi, on a baisé en vous regardant, encore maintenant j'ai la chatte en feu. dit Valérie.
- Alors c'est peut-être le moment d'essayer, tu as l'air dans de bonnes dispositions, enchaîna Joséphine en la regardant droit dans les yeux.
Valérie rosit et bredouilla un « tu crois ? ».
- Mais bien sûr. Affirma péremptoirement Joséphine.
Valérie n'était pas convaincue à cent pour cent, mais elle ne voulait pas avoir l'air de se dégonfler. Je pense que c'est pour trouver une échappatoire honorable, pensant qu'après les exercices qu'elle venait de voir, Joséphine refuserait de remettre ça, qu'elle proposa :
- Bon d'accord, mais tu me tiens compagnie, on le fait en même temps pour que tu me soutiennes.
Joséphine eut une hésitation imperceptible, que je dus être seul à remarquer, car je la connais fort bien, avant de répondre :
- C'est une affaire qui marche. Où s'installe-t-on ?
Ni Renaud, ni moi n'avions placé un mot, peut-être était-il aussi surpris que moi du comportement de nos chères et tendres. Valérie se tourna vers son mari et dit :
- Ouvre le clic-clac, ça devrait aller, tu ne crois pas mon biquet ? »
- Heu oui, bien sûr. Répondit le biquet qui avait l'air fort dubitatif.
Ils se levèrent et il rabattit le dossier du canapé pour mettre celui-ci en position lit. D'un geste lent, peut-être hésitant, Valérie laissa tomber son peignoir. Elle était nue en dessous. Elle est assez mince, avec des hanches plutôt larges. Sa poitrine sans être forte, montre deux seins ronds, aux aréoles rose vif, qui se tiennent bien. Ils sont juste de la bonne taille pour tenir dans la main, comme ceux de ma chérie. Sa broussaille très fournie est, comme ses cheveux, châtain clair. Elle nous fit signe d'approcher. Nous nous levâmes et contournâmes la table. Joséphine laissa elle aussi tomber son peignoir. Elles ont à peu près la même taille, la même morphologie élancée et leur toison aussi drue, mais celle de Joséphine est brune, à bientôt trente-huit ans son corps n'a rien à envier en grâce et en fermeté à celui de Valérie qui a vingt-cinq ans . Elles étaient à croquer. Comme plus personne ne bougeait plus, je pris l'initiative de pousser légèrement Joséphine vers le canapé déployé. Elle y tomba assise. Je m'agenouillai devant le canapé, écartai les genoux de ma chérie en les soulevant pour la faire basculer en arrière. Je passai un doigt le long de sa fente. C'était doux, chaud, glissant, ses lèvres congestionnées s'écartaient toutes seules. J'avançai la tête entre ses cuisses, jusqu'à ce que mes lèvres rencontre les siennes. Je léchais, mordillais, enfonçais un peu la langue, aspirais son petit bouton qui pointait fièrement, m'arrêtant de temps en temps pour regarder sa vulve ouverte, où ma salive se mêlait à sa cyprine. Valérie s'était allongée à côté et se faisait aussi bouffer la chatte. On entendait que sucions, léchouilles et glouglous et en basse la respiration un peu hachée de ces dames. Une idée me traversa l'esprit. Le sac photo. Il faut dire je suis un mordu de la photo. Surtout d'architecture (châteaux, abbayes, église, hôtels particuliers, maisons). Mais de temps en temps, aussi, des séries coquines avec Joséphine. Je trimbale, presque en permanence en déplacement un gros sac (trop gros selon Joséphine) contenant deux appareils, des d'objectifs, des flashes et un pied. Et le sac était dans l'entrée. Je relevai la tête et dis :
- Ça vaudrait le coup de prendre quelques photos souvenirs. Comme personne n'émettait d'objection, j'allai dans le couloir récupérer mon sac. Je n'ai jamais été aussi rapide que ce jour là pour installer mon matériel. Un appareil sur pied avec flashes extérieurs et diffuseurs de la lumière, que j'actionne avec une télécommande et un appareil à côté de moi. Renaud en avait profité pour sortir son appareil photo numérique et un caméscope, moi je suis resté fidèle à la diapo. Pendant tout le reste de la soirée, soit je déclenchais la télécommande de l'appareil sur pied, pour des vues générales, soit je prenais des photos en plan plus serré avec l'autre appareil, parfois même ne le tenant que d'une main. L'appareil numérique flashant de temps en temps de son côté. Renaud et moi nous remîmes à l'ouvrage. Je sentais Joséphine très chaude. Je lui demandai :
- Veux-tu rester comme ça ou te mettre à quatre pattes pour la suite des opérations. Elle resta allongée sur le dos, mais écarta encore plus les jambes et se tourna vers Valérie en disant :
- Allez, c'est parti pour la suite. Valérie, qui avait les joues empourprées, s'appliqua elle aussi à écarter les jambes encore plus. J'étais épaté je sentais Joséphine s'ouvrir aussi facilement que tout à l'heure, mais ne brusquai pas les choses. Mes doigts se rejoignaient l'un après l'autre pour plonger dans cette grotte d'amour, et tous s'y retrouvèrent, même le pouce qui d'habitude est opposé aux autres. Quand ma main entière fut engloutie, j'immortalisai ce moment d'une photo. Je pistonnais doucement ma chérie qui avait la tête qui oscillait d'un, de l'autre. Elle m'arrêta en m'emprisonnant le poignet de ses deux mains. On aurait dit qu'elle voulait s'assurer de la réalité de cette intromission. Elle me dit :
- Ne bouge plus, je vais rouler pour me mettre à quatre pattes. Et elle se mit à rouler doucement sur elle-même, tournant autour de ma main fichée en elle. Je l'aidai à faire passer ses jambes par-dessus et par-dessous moi. Elle réussit son demi-tour et se mit à quatre pattes. La manœuvre l'avait rapprochée de Valérie et elle regarda comment ça se passait de ce côté. Renaud et Valérie n'avaient pas chômé de leur côté. Renaud avait déjà mis quatre doigts et essayait d'ajouter le pouce, mais visiblement ça avait du mal à passer, elle avait presque les larmes aux yeux et demandait à Renaud d'arrêter un peu. Joséphine lui prit la main et se mit à lui parler tout bas à l'oreille, tout en commençant à remuer un peu les fesses pour imprimer un petit mouvement de va-et-vient à ma main dans sa chatte. Je compris l'invite et participai à ce mouvement Je ne sais pas ce qu'elle a dit, mais Valérie s'est détendue, elle a même ri. Renaud avait repris, avec délicatesse sa progression. Mais malgré tout cela continuait de coincer. Joséphine se redressa un peu, fit signe à Renaud de s'approcher et lui murmura à lui aussi quelque chose à l'oreille, puis recommença à chuchoter avec Valérie. Après quelques instants elle se livra à un curieuse gymnastique. Elle rapprocha encore plus de la jeune femme, passa un bras de l'autre côté de son corps et enjamba une jambe qui se retrouva ainsi entre les deux siennes. Elle se retrouvait comme cela un peu au-dessus de Valérie. Elle se pencha, colla son buste à celui de Valérie et l'embrassa à pleine bouche. Je ne m'attendais certainement pas à cela, encore une surprise de plus pour cette journée mémorable, car Joséphine a toujours eu un a priori négatif pour les relations saphiques. Renaud en profita pour enfoncer sa main d'un geste rapide. Valérie eut un sursaut, mais sa bouche clouée ne put émettre aucune protestation. Joséphine se redressa, Valérie était tétanisée, elle ne bougeait pas. D'une petite voix elle demanda :
- Tout est-il entré ? Tout le monde lui répondit : Oui !
- J'ai cru que mon sexe allait exploser. J'ai l'impression d'un accouchement à l'envers. Est-ce que je n'ai rien de déchiré ?
Tout le monde la rassura, elle se détendit un peu et se décida à se redresser un peu pour regarder son intimité envahie. Après avoir contemplé le spectacle quelques secondes, elle déclara :
- Je savais que toute la main était entrée, je l'avais sentie, mais de le voir, ça me fait tout drôle. Elle se rallongea sur le dos en disant à Renaud :
- Essaye de la faire bouger un peu.
- De toute façon je ne pouvais pas la laisser là jusqu'à demain. Dit-il en commençant à reculer doucement son bras.
- Doucement, j'ai l'impression que tu vas tout emmener avec ta main. Renaud fit de petits mouvements, qui petit à petit prirent un peu d'ampleur. Joséphine quant à elle s'était éloignée de Valérie. Je l'avais délaissée pour assister au spectacle et prendre quelques photos, elle me dit en prenant un ton très offensé :
- Hé bien je ne t'intéresse plus, tu ne t'occupes plus de moi ?
Je revins à ma chérie et m'occupai d'elle activement. Sa respiration haletante, les mouvements de sa croupe et quelques soupirs m'apprirent que l'envahissante caresse que je lui prodiguais était appréciée. Après quelques minutes, Joséphine se tourna vers Valérie :
- On pourrait changer d'exercice, ne crois-tu pas ?
- Je veux bien. Renaud et moi retirâmes nos mains des chauds et humides étuis qui les accueillaient. J'allai me laver les mains pour changer de pellicule dans les appareils. En revenant j'entendis Joséphine demander :
- Alors comment as-tu trouvé ?
- Au début c'était dur, j'allais dire à Renaud d'arrêter quand tu m'as embrassée, et là quand il est entré complètement j'ai cru que j'explosais, que j'étais déchirée et puis ça s'est calmé. Quand il a commencé à bouger ça n'a pas été aussi difficile que je le redoutais et à la fin cela se passait plutôt bien, mais je n'ai pas pris mon pied.
- Je pense que le plus difficile est fait. La prochaine fois tu verras cela devrait bien mieux se passer. Peut-être même que le plaisir sera au rendez-vous. Et maintenant on passe à la suite du programme.
- Je suis un peu fatiguée. répondit Valérie.
- Pas tant que tu le crois, et puis on a passé un contrat toutes les deux, on fait le parcours toutes les deux en même temps.
- Hé bien ! Banco, messieurs la partie continue enchaîna Valérie en ouvrant le peignoir de Renaud et en lui caressant son sexe déjà fièrement érigé. Je retirai mon peignoir et fis mettre Joséphine à quatre pattes par terre. J'allai prendre de la mouille dans sa chatte pour en enduire son petit trou et le masser, enfonçant de temps en temps un doigt, lui donnant un petit mouvement circulaire, puis quand son anneau fut bien assoupli, je risquai un deuxième doigt, sans entendre de protestation. Je me redressai et m'installai derrière Joséphine. Je pris ma queue d'une main, après l'avoir enduite d'un peu d'huile d'amande douce et la fis glisser le long de la chatte de Joséphine, remontai jusqu'à son anus pour le flatter mais sans insister. Joséphine appuya le front au sol et de ses mains écarta ses fesses pour bien dégager sa rondelle. Je continuai, un peu, à faire parcourir par ma bite toute sa zone intime, avant de positionner mon gland sur sa porte étroite, je lâchai ma queue et pris ma chérie par les hanches. J'appuyai doucement, mon gland fut absorbé, je marquai une petite pause avant de reprendre ma progression. Bientôt je fus fiché complètement en elle. Renaud et Valérie suivaient un parcours parallèle au notre. Renaud et moi avions presque fait disparaître notre pieu dans le cul de nos compagnes en même temps et avons de concert commencé à ramoner l'étroite cheminée de nos chéries.
Après quelques minutes je proposai :
- Nous pourrions changer de position ? La proposition fut agréée. Je suggérai que chaque couple agisse successivement afin de faciliter les prises de vues. Joséphine proposa qu'elle et moi commencions. Je m'allongeai sur le lit les jambes pendantes, Joséphine m'enjamba en me tournant le dos et s'agenouilla. Elle se pencha en avant, prit ma queue d'une main, la pointa vers le ciel, vers sa lune. Je l'aidai des mains en séparant les deux moitiés du globe. Quand mon gland entra en contact avec sa cible, Joséphine commença de s'abaisser doucement et bientôt elle se retrouva assise sur mes cuisses. Elle se pencha en arrière prit appui sur un bras, tandis que l'autre bras restait devant elle, à son mouvement je compris qu'elle devait être en train de s'astiquer le bouton. Je l'attrapai par la taille et commençai alors à lui pistonner doucement le cul, puis de plus en plus fort, au point à la fin de presque la désarçonner. Mais elle réussit à rester en selle et après quelques minutes endiablées je me répandis en elle. Renaud et Valérie avec l'un le caméscope et l'autre les appareils photos suivirent avec une attention de journaliste professionnel notre prestation. Ensuite nous intervertîmes les rôles. Si Valérie démarra un peu difficilement, après elle se lâcha complètement et réussit je pense à pendre du plaisir. Tandis que nous reprenions un peu notre souffle en sirotant un jus d'orange, Je m'aperçus qu'il était presque 19h00, mon dieu comme le temps passe vite, et que nos amis devaient être rentré depuis plus d'heure. Joséphine et moi avons fait un nouveau brin de toilette avant de rapidement nous rhabiller, de ranger le matériel photos. Nous avons échangé nos coordonnées avec nos nouvelles relations. Comme nous partions Renaud me dit :
- Pendant que vous serez chez vos amis je vais faire des copies des prises de vue et je les mettrai sous notre paillasson vous pourrez les prendre en partant. Je le remerciai et nous montâmes chez nos amis qui heureusement n'étaient pas arrivés depuis très longtemps. Je leur dis :
Vos voisins du dessous nous ont invités à attendre chez eux votre retour en prenant le thé, on montait voir de temps en temps, mais là on a été pris par la discussion et nous n'avons plus vu le temps passer. Nous les avons aidés à rentrer les cartons et à décharger la camionnette. Heureusement cela a été assez rapide, car Joséphine et moi étions un peu flagada. Nos amis nous invitèrent ensuite au restaurant. Nous les avons raccompagnés jusqu'à chez eux, afin que je puisse récupérer mon sac à photo qui j'y avais malencontreusement oublié. Cela nous permit de récupérer en descendant, sous le paillasson de Renaud et Valérie les copies qu'ils y avaient déposées.
Sur le chemin du retour. Je dis :
- Aujourd'hui a été la journée où tu m'as le plus étonné. Je croyais te connaître. Mais durant cette journée tu as été une autre, quelqu'un que je ne reconnaissais pas vraiment.
Première surprise. Tu as accepté sans sourciller de faire des galipettes sur ce palier, alors que je ne m'attendais qu'à un petit câlin.
Deuxième surprise. Tu as accepté que je rentre toute ma main, d'habitude tu es plutôt réservée et tu n'acceptes que je te branle qu'avec deux ou trois doigts au plus.
Troisième surprise. Non seulement tu t'es faite enculer, mais en plus c'est toi qui l'as demandé, toi qui étais plus que réticente lors de nos deux ou trois précédentes tentatives.
Quatrième surprise. Quand Renaud et Valérie nous ont invités, tu as accepté, alors que je m'attendais à te voir fuir en devenant écarlate.
Cinquième surprise. Tu as accepté de refaire notre partie de jambes en l'air, si peu de temps après la première et en compagnie d'un autre couple qui plus est.
Sixième surprise. Tu as roulé une pelle d'enfer à Valérie. Alors que tu as toujours proclamé bien haut que toi les filles…
-Hé bien, tu sais, tout n'est pas forcément rationnel, pré formaté et prévisible.
Pour ton premièrement, depuis le restaurant, je me sentais chaude, j'ai songé à un petit hôtel. Mais quand tu as commencé à me câliner, j'ai eu vraiment envie. Je ne nous voyais pas partir à la recherche d'une chambre pour deux ou trois heures. Alors, autant rester où nous étions, je pensais que nous y serions peinards.
Pour ton deuxièmement, comme je l'ai expliqué quand Valérie a posé la question, je ne pensais pas que tu allais faire entrer toute ta main, aussi je n'avais pas d'appréhension. Et quand j'ai réalisé que c'était fait, il n'était plus temps d'avoir peur.
Pour ton troisièmement, j'avais senti que tu me titillais la pastille, je n'avais pas trouvé cela si désagréable, comme les fois précédentes. Aussi quand tu as promené ta queue dans la zone, comme ma chatte avait été comblée, j'ai pensé que c'était le moment d'essayer de ce coté là. Et bingo c'est rentré sans que j'aie mal au cul.
Pour ton quatrièmement, j'ai effectivement pensé à fuir, mais je crois que j'aurais eu encore plus de mal à sentir leurs regards sur notre dos en partant tout de suite que de les affronter en face. En jamais plus je n'aurais alors osé revenir, pour voir nos amis de crainte de les croiser dans l'escalier.
Pour ton cinquièmement, hé bien Valérie m'agaçait un peu avec toutes ses questions. J'ai pensé que la faire agir, calmerait sa curiosité. Quand j'ai vu qu'elle essayait de se dérober et que pour lui faire bouger son cul il fallait l'accompagner et bien je me suis fait une douce violence.
Pour ton sixièmement. C'est la solution que j'ai trouvée pour l'immobiliser pour que Renaud puisse conclure, sinon on risquait de ne pas en sortir. Et puis je vais te dire je voulais un peu me venger, car lorsqu'ils nous ont abordé, je n'avais jamais eu autant la honte, comme dirait notre fils. J'ai eu envie de disparaître dans un trou de souris, de m'évaporer dans l'air. Et je pense que c'est elle, par curiosité, qui a poussé à nous aborder dans l'escalier. C'est pour ça que j'ai aidé Renaud à forcer le passage. Et si tu veux mon avis, au début au moins elle a dû avoir un peu de mal à digérer la potion, même si après ça a été mieux. Je sais, je sais c'est très vilain d'aider un horrible mâle à forcer une malheureuse femelle, mais bon, elle était d'accord. Mais je vais t'avouer, une petite circonstance aggravante en plus. Tu sais je me suis doutée que Valérie aurait plus de mal que moi à prendre la main de son mari dans le con. Je ne sais pas si tu as remarqué les mains de Renaud. Ce sont de véritables battoirs, les tiennes à coté ont l'air toutes menues, alors évidemment c'était normal que ça coince un peu. Elle va être guérie de sa curiosité pendant quelques temps je pense.
- Et voilà la septième surprise de la journée, je ne te savais pas aussi rouée.
- Mais tu sais, c'est une journée que je ne regrette pas du tout, Valérie non plus je pense, malgré toutes ces émotions. Il faudra porter tes pellicules à développer dés demain, j'ai hâte de voir les photos et les films, ce vont être des souvenirs extraordinaires. Il faudra que tu numérises tes diapos pour pouvoir les donner à Valérie et Renaud. Ainsi fut fait. J'envoyai à Pithiviers un cd gravé des diapos que j'avais numérisées, car par courriel cela aurait fait beaucoup trop. Et je proposai à nos nouvelles relations de venir les voir en projection sur grand écran, où cela donne un rendu fabuleux. Là la photo argentique est encore à mon avis supérieure à la photo numérique. Ils doivent bientôt venir à Paris, ils ont promis de nous faire signe pour passer à la maison, en s'arrangeant pour laisser leur deux enfants chez les grands parents, comme ce jour mémorable. Notre fils aussi, d'ailleurs, ira chez sa grand-mère ce jour là.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour, tres belle histoire,j en bande encore.
Cela serait il possible d avoir des photos de ce moments.
Cela serait il possible d avoir des photos de ce moments.
terriblement excitant,j'ai chaud et je me carresse les seins, j'ai
hâte que mon mari arrive mais il ne sera pas là avant 8h...dans 3h, je
ne sais pas si je vais pouvoir tenir jusque là, ma main s'égare déjà!!
hâte que mon mari arrive mais il ne sera pas là avant 8h...dans 3h, je
ne sais pas si je vais pouvoir tenir jusque là, ma main s'égare déjà!!
trés belle histoire terriblement bandante, j'espere qu'il y a une suite avec les voisins
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Bravo. J'ai essayé une fois le fistage: je recommencerai dès que possible.