Le déménagement - histoire érotique

C’était au mois de Juillet Dernier. Je venais d’avoir une promotion et devais déménager pour une capitale Européenne. Ma petite amie me suivait, car ça collait bien avec ses projets à elle et nous nous sommes rapidement trouvé un petit appartement plutôt bien situé, 60 m², grande cuisine ouverte sur le salon et une chambre plus que spacieuse ! Ce samedi là, nous déménagions, Les affaires ont été chargé la veille dans le camion et hop, on the road again. Nous somme arrivé à destination sans encombre.
La journée à été très longue, mais ponctuée de moments très intéressants. Voici le premier.
La plupart des meubles avait été montés (2 ième étage, ça va ca ce fait) et ma copine était dans la cuisine en train de déballer des couverts. Elle était sexy en short moulant, avec son petit débardeur noir, environ 1m70, un bon 90 C, elle dé »ballait les assiettes contre le plan de travail, et son petit cul rebondi me donnait des envies… bestiales ! Je m’approchais d’elle doucement pour me coller à elle et me frotter contre ses fesses. Elle souriait à pleine dents :
- Dis donc coquin, tu crois pas qu’on a du boulot ?
- Si… mais c’est obligatoire les poses aussi.
- Oui mais ce genre de pause ça te tue les jambes.
- Ca tombe bien c’est pas les jambes que je compte utiliser..
Elle souriait de plus belle tandis que mes mains ont commencé à explorer son corps. Depuis le haut de ses épaules je suis lentement descendu jusqu'à ses fesses que j’ai pu malaxer à loisir. Elle ne disais rien, mais je la sentait légèrement tremblante, visiblement ça lui plaisait bien, et je sentait que la pause » allait être imminente. Je lui pelotais maintenant les seins, et elle frottait ses fesses contre mon sexe qui durcissait à vue d’œil.
Je lui retirais son débardeur, dévoilant un soutient gorge noir à dentelle. Elle ne disait toujours rien, mais je la sentais de plus en plus chaude, tentatrice. Ses mouvements de bassin étaient sans équivoque, je ne pensais pas pouvoir la chauffer a ce point d’ailleurs ! Je luis embrassait le coup tous en caressant ses seins, titillant ses tétons du bout des doigts, la laissant échapper de léger soupirs de désir.
- Bon et bien, murmura-t-elle, si nous passions aux choses sérieuses. Joignant le geste à la parole elle se trouve vers moi et m’embrasse à pleine bouche, en s’assaillant contre le plan de travail. J’étais aux anges.
- J’ai la chatte toute trempée...
- Qu..
Je n’ai pas eu le temps de réagit qu’elle s’était agenouillé devant moi et avait libéré ma queue bien dure, pointant vers son nez fin. Elle paraissait énorme à coté, mais je savais que ca ne lui faisait pas peur du tout. Elle à commencé par la léchouillé gentiment avant de la gober d’un trait pour entamer ses va et viens baveux. Elle soupirait en me suçant, elle ne fait jamais ça d’habitude ! Moi je ne savais plus où j’étais ses lèvres était à la foi douce et chaude, brulante et sucrée, je sentais mon désir palpiter dans mon corps au rythme de sa fellation. Sans doute la plus intense de ma vie. Elle me caresse les boules en rythme, tandis que ma main appuyait sur sa tête, comme pour l’empêcher d’arrêter un moment aussi excitant.

Puis sa langue partie s’aventurer sur mes boules, tandis que sa main me branlait. Ca devenait dur de résister ! Elle me léchait et me branlait à toute allure, elle savait vraiment ce que qu’elle faisait la cochonne. Je croisais son regard, un vrai regard de salope, assoiffée de sexe.
Elle s’arrêtait alors, m’évitant de juste l’orgasme. Elle souriait toujours, puis fit doucement tomber son short, dévoilant un string assorti. Le string tomba aussi et surprise, sa petite chatte toute lisse vibrait au rythme d’un œuf, probablement télécommandé. Elle éclata de rire :- J’ai cru que tu ne t’approcherais jamais. Avec tous les signaux que j’envoyais, j’ai même cru que j’allais devoir me trouver un voisin…- Pfff, fait ta maligne, mais n’empêche j’adore…- J’espère bien, mais maintenant va falloir assurer, je suis trempée, et j’ai chaud.
- T’inquiète pas, je commence à peine…
Elle s’assit sur le plan de travail, et j’ai approché ma langue pour titiller son clitoris. D’abord avec des petits coups, puis des caresse plus appuyer, la chaleur à vite monté quand j’ai commencé à franchement le léchouiller, le tourner dans tous les sens. Elle gémissait de plus en plus fort, elle me tenait la tête, me malaxait les cheveux. Je pouvais sentir la vibration de l’œuf, c’était tres excitant, surtout de l’entendre gémir comme une coquine. Ca a duré un bon quart d’heure, elle enchainait les orgasmes en se crispant, en gémissant. Les voisins vont nous adorer.

Puis je la fis se poser face au plan de travail, debout avec les mains dessus et je présente ma queue devant sa chatte qui vibre encore, je sens qu’elle en a envie. Je retire le jouet, et prend sa place d’un coup. Elle est trempé sa rentre tout seul, elle pousse un feulement quand j’entre, suivi d’un long gémissement au rythme de mes va et vient qui se font de plus en plus profond. Je la prends en levrette dans la cuisine, elle gémit comme une folle. Elle est prise entre moi et la cuisine, elle n’a nulle part où aller.
- Je vais où je veux me dit-elle- Arrête de lire mes pensées- Elles sont… mmm.. faciles à deviner
Je lui mets alors un violent coup de rein.
- Et là je pense à quoi ?
- Que je suis une salope qui adore ça..
- Gagné.
Je la prends de plus en plus violement, elle crie dans l’appart vide, c’est assez excitant. Elle donne des coups de rein en sens inverse, le va et vient nous percute de plain fouet, on gémit comme des animaux enragés.
Puis elle atteint l’orgasme, en s’écroulant sur le plan de travail. A ce moment là, je suis fier de moi, mais rien n’est encore terminé.

Nous nous dirigeons vers la chambre. Je trépigne d’impatience. Elle s’allonge sur le lit et se remet l’œuf, puis commence à se caresser :
- Et non c’est bloqué mmm Mais qu’est ce que c’est bon..
- Tu es joueuse…- N’importe quoi, regarde comme je me caresse le clito, mmm je suis encore trempée- Tu va le regretter…- Tu rigoles ? je suis en plein extase mes doigts qui me fouille et hhhaaaaaaaLentement mais surement, j’avais approché ma queue de son cul ouvert, et en la regardant dans les yeux je m’enfonçais doucement en elle. Je sentais la vibration de l’œuf, et son regard gourmand, malgré une légère grimace de douleur. Ca y est, j’étais au fond, je commence mon va et viens qui la fait gémir. Même plus que gémir, elle se perd dans ses émotion, l’œuf, et moi en même temps, elle gémie, couine, murmure des cochonneries à peine audible.
Je la prenais de plus en plus fort, elle me regardait d’un regard de braise, j’étais aux anges, je donnais des coups de rein un peu plus sec pour lui faire ravaler son sourire. Puis sans prévenir, elle s’est crispée, et a joui d’un coup, un orgasme puissant qui à résonné dans la chambre.

Je me suis mis a califourchon sur elle et j’ai glissé ma queue entre ses deux seins imposant, elle les a pressé sur ma queue et j’ai commencé le va et vient. Elle passait sa langue sur ses lèvres en me regardant comme une coquine, une coquine en manque malgré ce qu’elle a eu ! Je sens le plaisir monter, de plus en plus fort, je gémis doucement avant de jouir de longue giclées de sperme qui vienne s’écraser sur son visage et ses seins. Elle sourit à pleine dent, la langue tendue tandis que je l’inonde de sperme. Elle me sourit et viens m’embrasser.
- Bon, si nous allions tester la douche ?...