Le dépucelage de Marion et Camille 04.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2020 dans la catégorie Plus on est
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Le dépucelage de Marion et Camille 04.
Ça y est, nous avons été dépucelées par David et Benjamin, avec les conseils précieux des autres hommes.
- Alors, c’était bien? Demande Alain.
- Merveilleux, dis-je.
- Nous l’avons vu, pour une 1ère, elle est bien réussie, dit Stéphane.
Pierre me prend la main et me relève et se baisse pour me sucer l’abricot
- Laisse descendre cette alliance de vos épanchements que je me désaltère à la source de votre bonheur.
Sa langue a déjà récupéré la partie visible qui coule lentement de la fente jusqu’à mon anus, elle s’insinue entre mes lèvres, a l’entrée de mon vagin qu’il entrouvre avec celle-ci et bientôt une rivière blanchâtre s’épanche doucement, ce qui lui laisse le temps de tout recueillir sur sa langue.
- Tu veux goûter aussi ? Me propose-t-il.
Juste un sourire, lui prouve mon envie. Et il vient me donner un baiser délicieux où tout les sucs s’assemblent. Se tournant vers Camille qui nous regarde encore allongée, il lui demande:
- Tu veux le faire aussi?
- Oui, répond-elle.
Et il va vers elle, lui soulève les fesses pour rattraper ce qui s’est échappé et suit la raie de ses fesses, quelle chance elle a, il passe plusieurs fois sa langue entre et insiste bien sur le petit trou qui a fait obstacle et où s’est accumulé un amas de foutre.
Et il la remet debout pour recevoir le reste du produit de cette union de l’homme et de la femme qui suinte des profondeurs de ses entrailles.
Quand le maximum possible est aspiré dans sa bouche, calmement et érotiquement il s’approche des lèvres de Camille jusqu’à les accoler aux siennes, je suis bouche-bée en les voyant s’échanger avec la langue le fruit de sa récolte.
Je crois même que Pierre fait exprès de me montrer ce commerce qui les unis dans un tourbillon de plaisir en ouvrant plus que nécessaire la bouche pour que je voie bien le nectar passer de l’un à l’autre et retour à l’envoyeur plusieurs fois de suite, jusqu’à la dégustation extrême quand ils l’avalent tous les 2 simultanément en se regardant dans les yeux.
Hou, comme c’était beau, quelle coquine cette Camille! j’ai pris autant de plaisir à les regarder qu’à recevoir mon baiser beaucoup plus rapide que le sien, elle sait faire tourner en bourrique tout les garçons.
Après être de nouveau passés par le jacuzzi, nous décidons de faire un petit dodo car il est déjà bien tard et il faut reprendre des forces pour affronter demain de nouvelles charges.
Nous avons passé la nuit entassées toutes les 2, ivres de bonheur d’être dépucelées en douceur, ensemble pour ne pas faire de jaloux.
Réveillées de bon matin, nous décidons d’aller sonner le branle-bas , si je peux me permettre, dans la maison, nous pénétrons dans une 1ère sans savoir qui s’y trouve. 2 lit jumeaux avec chacun un homme dedans évidemment, nus car nous n’avons pas le droit de mettre quelque chose de tout le WE, mais aussi sans drap non plus sur eux. Nous pouvons vérifier s’ils font de beaux rêves et si, comme nous avons entendu si souvent, ils ont la trique du matin. Et l’adage se vérifie une fois encore, et rien de mieux pour les tirer du sommeil que de petits bisous, mais pas sur la joue, alors je ne vous fais pas un dessin, oui c’est tout le long de la belle gaule d’Alain qui passe en 1er. Et il y a de la place pour donner bien des bisous partout, puis après une petite pipe, il se réveille de la meilleure des manières, sa queue circule de la bouche de Camille à la mienne, du doigt nous lui faisons signe en le positionnant sur nos bouches de ne pas parler afin de ne pas réveiller Stephane qui dort du sommeil du juste. Lui aussi présente un instrument, pas complètement bandé mais pas du tout au repos, nous nous glissons près de lui de chaque côté pour atteindre le summum des possibilités de sa bite. Et après quelques instants et coups de langue bien ajustés, nous arrivons au résultat espéré, nos hommes sont super beaux comme ça, leur priapre bien dressé et de bonne humeur par la surprise et le plaisir d’avoir ouvert les yeux de cette façon.
- Nous allons voir les jeunes? Demandé-je, vous venez avec nous?
- Vous aimez bien leurs queues? Dit Stéphane.
- Nous pouvons rien vous cacher, dis-je.
- On a toujours une tendresse particulière pour la 1ère queue qu’elle l’on a câlinée, ajoute Camille.
De toute façon nous ne cherchons pas à dissimuler quelque chose, ils nous guident vers une porte entrouverte et nous nous faufilons dans la pièce, Benjamin est bien, sur le dos sans aucune entrave, mais David lui, est sur le ventre.
Nous commençons par le plus facile, et sa cornemuse est prête à jouer un air Écossais. De chaque côté en commençant par les cuisses et remontant vers le ventre où l’instrument est bien positionné au milieu face à son mignon petit nombril, nous apposons des poutous baveux, puis en alternance nous bécotons la tige de son sexe ce qui déclenche un mouvement de surprise vite calmé en nous reconnaissant, Camille enfourne la 1 ère et nous joue du pipeau avant de me tendre l’accessoire pour interpréter mon solo de clarinette, Benjamin jubile et Camille plaque sa bouche sur la sienne pour le faire taire.
Au tour de David qui ne présente que son postérieur. Rappelez-vous, les garçons nous ont bien sucé la pastille, alors rien de plus naturel surtout que ses belles fesses me font envie. Et nous commençons par les parties charnues de ce derrière, chacune notre hémisphère, cet attouchement réanime ce dormeur qui fait mine de se retourner, mais Camille le plaque sur le lit en s’assoyant sur son dos et écartant son joufflu pour me donner accès à sa lune où je m’engouffre avec gaité, ma langue visite cette impasse et je parcoure l’intégralité de ce rétrécissement en insistant particulièrement sur son souterrain.
puis Camille, impatiente me remplace pour connaître cette nouvelle sensation qui est tellement érotique. Plus besoin de maintenir David, il se laisse faire, il en est même tout retourné, c’est le cas de le dire.
Après ce réveil en fanfare, nous retrouvons Pierre qui est déjà levé depuis un moment et s’active pour nous préparer un petit déjeuner copieux. Nous lui racontons ce qui vient de se passer et il est très chagrin de ne pas avoir pu bénéficier du même traitement de faveur, sa zezette ressemble à celle d’un enfant en ce moment, lisse et repliée dans sa coquille, cela nous empêche pas de lui faire un petit bisou dessus pour lui dire bonjour, ce qui a pour effet de le mettre en joie ce matin et il se met à chanter « Le père Dupanloup ».
Après un repas régénérateur, Pierre nous invite à faire une promenade dans la campagne environnante.
- Le piquant, dit-il, c’est que nous pouvons faire des rencontres fortuites, il y a beaucoup d’ adeptes de la course à pied le matin.
Ça, ça nous plaît, Camille et moi, vous savez: exciter des inconnus, et nous acceptons immédiatement, nous avons juste le droit de prendre nos chaussures car sinon ce serait la galère et gâcherait notre plaisir.
Nous partons donc tous ensemble, c’est très agréable de se promener nus dans les chemins, nous regardons les bites qui se baguenaudent de gauche à droite et de droite à gauche quand nos hommes marchent, nous faisons courir Benjamin et David devant nous, c’est super marrant de voir leurs fesses, puis surtout quand ils reviennent vers nous, leurs queues circulant dans tous les sens très rapidement. Ça nous fait beaucoup rire avec Camille.
- Regardez, dit Pierre en nous montrant un pré, c’est un taureau, voyez ses belles baloches qui pendent, ça vous plairait de les toucher?
Oui elle sont bien pendantes mais c’est trop risqué d’aller les lui titiller et de le contrarier à coup sûr, déjà qu’il nous scrute d’un drôle d’air en ravinant le sol avec sa patte. Nous repartons et j’ai l’idée de tenir les garçons, non pas main dans la main, mais main entourant la bite, Camille me suit et nous rions de cet étrange tableau vivant ainsi créé. Seul Pierre n’a pas droit a ce traitement, il a une si petite bite au repos, c’est vraiment étrange qu’elle puisse devenir si énorme quand il bande.
Après 1 heure de marche environ, un banc nous tend les bras et nous sommes heureux de pouvoir nous reposer un instant.
- Voulez-vous essayer le calibre au dessus, demande Alain, le faire dans la nature me paraît très agréable.
Et tout de suite nous sommes séduites par l’invitation, et avons très envie bien sûr. Reprendre les bites dans la bouche les unes à la suite des autres est chouette, les filles sont aux centres d’une éclipse et les garçons gravitent autour, et elles se succèdent jusqu’à devenir dures et présentables.
Les garçons nous installent à genoux sur le banc, les coudes sur le dossier, ce qui me permet de continuer de sucer la belle bite de David pendant que derrière moi Alain prépare mon petit con, il le lèche en écartant mes fesses. Camille a côté de moi, dans la même position suce les 2 bites de Pierre et Benjamin, la gourmande, pendant que c’est Stephane qui prépare sa craquette.
Je sens bientôt un petit doigt qui cherche son chemin, et comme il a été humidifié avec de la salive il entre facilement, et le va et vient dans ma fente me plaît beaucoup, mais ce que nous attendons maintenant c’est une dimension supérieure.
Serons-nous capable de recevoir les chibres d’ Alain et Stéphane? dont nous connaissons les mensurations, rappelez-vous nous les avons mesurés. Je vais bientôt connaître la réponse car je sens maintenant que ce n’est pas un doigt qui se frotte à l’entrée de ma chatte, mais la bite d’Alain, doucement il l’introduit et je suis surprise qu’elle rentre si facilement et que cela me procure un bien fou, David quant à lui prend à sa charge la pipe, je le laisse faire, il actionne le mouvement qui permet a sa bite de bien coulisser entre mes lèvres, je suis agrippée au banc balancée d’avant en arrière, ce qui permet l’introduction des 2 queues dans ma bouche et ma chatte. Oh c’est génial d’être prise par les 2 bouts et les petites plaintes qui s’échappent de ma bouche ne font qu’accélérer le mouvement qu’imprime Alain jusqu’à atteindre bonne vitesse de croisière qui me ravit.
David qui me pelote les seins est proche aussi du ravissement complet, je garde bien sa queue dans ma bouche en essayant de ne pas l’échapper pour goûter intensément ce nouveau plaisir pour moi, et pendant qu’Alain accélère encore et qu’il se glisse de plus en plus loin et de plus en plus fort, David s’épanche dans ma bouche et se vide complètement dedans, je suis aux anges, comme c’est délicieux!
- Alors c’est bon les filles? Nous lance un joggeur.
Nous ne les avons pas entendu arrivés: ce sont 2 hommes essoufflés à quelques mètres de nous, arrêtés pour contempler la scène.
Oh oui, réponds-je, en libérant la bite de David qui goûte encore et un léger filet blanc s’échappe de ma bouche à la commissure de mes lèvres, ce qui ne leur laissent aucun doute sur ce qui vient d’arriver.
- Profitez bien de votre jeunesse et éclatez-vous, nous lance le 2ème.
Et ils repartent discrètement comme il sont arrivés, en discutant entre eux sûrement de nous.
Alain remet ça de plus belle et cela devient la chevauchée fantastique, il me donne des grands coups de bite qui hâtent ma jouissance surtout qu’avec ses doigts il asticote mon clito.
- Je vais t’arroser la marguerite, me lance-t-il.
Et dans des ultimes assauts, je pars en me contractant dans des frémissements et en poussant un énorme cri de plaisir. Alain n’y tenant plus non plus, sort sa queue pour inonder ma fente et je perçois les doux jets chauds qui me nappent mon abricot.
Camille, pendant ce temps, à reçu 2 belles faciales et ça dégouline de son visage, et Stéphane à lui aussi fait connaître à Camille, le bonheur d’être aspergé de foutre sur sa fleur. Elle récupère de la main le sperme qui coule sur sa fente et celui de la mienne pour faire un mélange des 2 et me l’étale sur mes joues et les lèvres pour que je garde la délicieuse odeur de jus de nos garçons le reste de la promenade.
Nous rentrons ainsi, très satisfaites de cette magnifique excursion, dommage que nous ne croisons personne, pas même nos joggeurs, qui je pense auraient été ravis de nous voir aussi ravissantes.
A suivre.
- Alors, c’était bien? Demande Alain.
- Merveilleux, dis-je.
- Nous l’avons vu, pour une 1ère, elle est bien réussie, dit Stéphane.
Pierre me prend la main et me relève et se baisse pour me sucer l’abricot
- Laisse descendre cette alliance de vos épanchements que je me désaltère à la source de votre bonheur.
Sa langue a déjà récupéré la partie visible qui coule lentement de la fente jusqu’à mon anus, elle s’insinue entre mes lèvres, a l’entrée de mon vagin qu’il entrouvre avec celle-ci et bientôt une rivière blanchâtre s’épanche doucement, ce qui lui laisse le temps de tout recueillir sur sa langue.
- Tu veux goûter aussi ? Me propose-t-il.
Juste un sourire, lui prouve mon envie. Et il vient me donner un baiser délicieux où tout les sucs s’assemblent. Se tournant vers Camille qui nous regarde encore allongée, il lui demande:
- Tu veux le faire aussi?
- Oui, répond-elle.
Et il va vers elle, lui soulève les fesses pour rattraper ce qui s’est échappé et suit la raie de ses fesses, quelle chance elle a, il passe plusieurs fois sa langue entre et insiste bien sur le petit trou qui a fait obstacle et où s’est accumulé un amas de foutre.
Et il la remet debout pour recevoir le reste du produit de cette union de l’homme et de la femme qui suinte des profondeurs de ses entrailles.
Quand le maximum possible est aspiré dans sa bouche, calmement et érotiquement il s’approche des lèvres de Camille jusqu’à les accoler aux siennes, je suis bouche-bée en les voyant s’échanger avec la langue le fruit de sa récolte.
Je crois même que Pierre fait exprès de me montrer ce commerce qui les unis dans un tourbillon de plaisir en ouvrant plus que nécessaire la bouche pour que je voie bien le nectar passer de l’un à l’autre et retour à l’envoyeur plusieurs fois de suite, jusqu’à la dégustation extrême quand ils l’avalent tous les 2 simultanément en se regardant dans les yeux.
Hou, comme c’était beau, quelle coquine cette Camille! j’ai pris autant de plaisir à les regarder qu’à recevoir mon baiser beaucoup plus rapide que le sien, elle sait faire tourner en bourrique tout les garçons.
Après être de nouveau passés par le jacuzzi, nous décidons de faire un petit dodo car il est déjà bien tard et il faut reprendre des forces pour affronter demain de nouvelles charges.
Nous avons passé la nuit entassées toutes les 2, ivres de bonheur d’être dépucelées en douceur, ensemble pour ne pas faire de jaloux.
Réveillées de bon matin, nous décidons d’aller sonner le branle-bas , si je peux me permettre, dans la maison, nous pénétrons dans une 1ère sans savoir qui s’y trouve. 2 lit jumeaux avec chacun un homme dedans évidemment, nus car nous n’avons pas le droit de mettre quelque chose de tout le WE, mais aussi sans drap non plus sur eux. Nous pouvons vérifier s’ils font de beaux rêves et si, comme nous avons entendu si souvent, ils ont la trique du matin. Et l’adage se vérifie une fois encore, et rien de mieux pour les tirer du sommeil que de petits bisous, mais pas sur la joue, alors je ne vous fais pas un dessin, oui c’est tout le long de la belle gaule d’Alain qui passe en 1er. Et il y a de la place pour donner bien des bisous partout, puis après une petite pipe, il se réveille de la meilleure des manières, sa queue circule de la bouche de Camille à la mienne, du doigt nous lui faisons signe en le positionnant sur nos bouches de ne pas parler afin de ne pas réveiller Stephane qui dort du sommeil du juste. Lui aussi présente un instrument, pas complètement bandé mais pas du tout au repos, nous nous glissons près de lui de chaque côté pour atteindre le summum des possibilités de sa bite. Et après quelques instants et coups de langue bien ajustés, nous arrivons au résultat espéré, nos hommes sont super beaux comme ça, leur priapre bien dressé et de bonne humeur par la surprise et le plaisir d’avoir ouvert les yeux de cette façon.
- Nous allons voir les jeunes? Demandé-je, vous venez avec nous?
- Vous aimez bien leurs queues? Dit Stéphane.
- Nous pouvons rien vous cacher, dis-je.
- On a toujours une tendresse particulière pour la 1ère queue qu’elle l’on a câlinée, ajoute Camille.
De toute façon nous ne cherchons pas à dissimuler quelque chose, ils nous guident vers une porte entrouverte et nous nous faufilons dans la pièce, Benjamin est bien, sur le dos sans aucune entrave, mais David lui, est sur le ventre.
Nous commençons par le plus facile, et sa cornemuse est prête à jouer un air Écossais. De chaque côté en commençant par les cuisses et remontant vers le ventre où l’instrument est bien positionné au milieu face à son mignon petit nombril, nous apposons des poutous baveux, puis en alternance nous bécotons la tige de son sexe ce qui déclenche un mouvement de surprise vite calmé en nous reconnaissant, Camille enfourne la 1 ère et nous joue du pipeau avant de me tendre l’accessoire pour interpréter mon solo de clarinette, Benjamin jubile et Camille plaque sa bouche sur la sienne pour le faire taire.
Au tour de David qui ne présente que son postérieur. Rappelez-vous, les garçons nous ont bien sucé la pastille, alors rien de plus naturel surtout que ses belles fesses me font envie. Et nous commençons par les parties charnues de ce derrière, chacune notre hémisphère, cet attouchement réanime ce dormeur qui fait mine de se retourner, mais Camille le plaque sur le lit en s’assoyant sur son dos et écartant son joufflu pour me donner accès à sa lune où je m’engouffre avec gaité, ma langue visite cette impasse et je parcoure l’intégralité de ce rétrécissement en insistant particulièrement sur son souterrain.
puis Camille, impatiente me remplace pour connaître cette nouvelle sensation qui est tellement érotique. Plus besoin de maintenir David, il se laisse faire, il en est même tout retourné, c’est le cas de le dire.
Après ce réveil en fanfare, nous retrouvons Pierre qui est déjà levé depuis un moment et s’active pour nous préparer un petit déjeuner copieux. Nous lui racontons ce qui vient de se passer et il est très chagrin de ne pas avoir pu bénéficier du même traitement de faveur, sa zezette ressemble à celle d’un enfant en ce moment, lisse et repliée dans sa coquille, cela nous empêche pas de lui faire un petit bisou dessus pour lui dire bonjour, ce qui a pour effet de le mettre en joie ce matin et il se met à chanter « Le père Dupanloup ».
Après un repas régénérateur, Pierre nous invite à faire une promenade dans la campagne environnante.
- Le piquant, dit-il, c’est que nous pouvons faire des rencontres fortuites, il y a beaucoup d’ adeptes de la course à pied le matin.
Ça, ça nous plaît, Camille et moi, vous savez: exciter des inconnus, et nous acceptons immédiatement, nous avons juste le droit de prendre nos chaussures car sinon ce serait la galère et gâcherait notre plaisir.
Nous partons donc tous ensemble, c’est très agréable de se promener nus dans les chemins, nous regardons les bites qui se baguenaudent de gauche à droite et de droite à gauche quand nos hommes marchent, nous faisons courir Benjamin et David devant nous, c’est super marrant de voir leurs fesses, puis surtout quand ils reviennent vers nous, leurs queues circulant dans tous les sens très rapidement. Ça nous fait beaucoup rire avec Camille.
- Regardez, dit Pierre en nous montrant un pré, c’est un taureau, voyez ses belles baloches qui pendent, ça vous plairait de les toucher?
Oui elle sont bien pendantes mais c’est trop risqué d’aller les lui titiller et de le contrarier à coup sûr, déjà qu’il nous scrute d’un drôle d’air en ravinant le sol avec sa patte. Nous repartons et j’ai l’idée de tenir les garçons, non pas main dans la main, mais main entourant la bite, Camille me suit et nous rions de cet étrange tableau vivant ainsi créé. Seul Pierre n’a pas droit a ce traitement, il a une si petite bite au repos, c’est vraiment étrange qu’elle puisse devenir si énorme quand il bande.
Après 1 heure de marche environ, un banc nous tend les bras et nous sommes heureux de pouvoir nous reposer un instant.
- Voulez-vous essayer le calibre au dessus, demande Alain, le faire dans la nature me paraît très agréable.
Et tout de suite nous sommes séduites par l’invitation, et avons très envie bien sûr. Reprendre les bites dans la bouche les unes à la suite des autres est chouette, les filles sont aux centres d’une éclipse et les garçons gravitent autour, et elles se succèdent jusqu’à devenir dures et présentables.
Les garçons nous installent à genoux sur le banc, les coudes sur le dossier, ce qui me permet de continuer de sucer la belle bite de David pendant que derrière moi Alain prépare mon petit con, il le lèche en écartant mes fesses. Camille a côté de moi, dans la même position suce les 2 bites de Pierre et Benjamin, la gourmande, pendant que c’est Stephane qui prépare sa craquette.
Je sens bientôt un petit doigt qui cherche son chemin, et comme il a été humidifié avec de la salive il entre facilement, et le va et vient dans ma fente me plaît beaucoup, mais ce que nous attendons maintenant c’est une dimension supérieure.
Serons-nous capable de recevoir les chibres d’ Alain et Stéphane? dont nous connaissons les mensurations, rappelez-vous nous les avons mesurés. Je vais bientôt connaître la réponse car je sens maintenant que ce n’est pas un doigt qui se frotte à l’entrée de ma chatte, mais la bite d’Alain, doucement il l’introduit et je suis surprise qu’elle rentre si facilement et que cela me procure un bien fou, David quant à lui prend à sa charge la pipe, je le laisse faire, il actionne le mouvement qui permet a sa bite de bien coulisser entre mes lèvres, je suis agrippée au banc balancée d’avant en arrière, ce qui permet l’introduction des 2 queues dans ma bouche et ma chatte. Oh c’est génial d’être prise par les 2 bouts et les petites plaintes qui s’échappent de ma bouche ne font qu’accélérer le mouvement qu’imprime Alain jusqu’à atteindre bonne vitesse de croisière qui me ravit.
David qui me pelote les seins est proche aussi du ravissement complet, je garde bien sa queue dans ma bouche en essayant de ne pas l’échapper pour goûter intensément ce nouveau plaisir pour moi, et pendant qu’Alain accélère encore et qu’il se glisse de plus en plus loin et de plus en plus fort, David s’épanche dans ma bouche et se vide complètement dedans, je suis aux anges, comme c’est délicieux!
- Alors c’est bon les filles? Nous lance un joggeur.
Nous ne les avons pas entendu arrivés: ce sont 2 hommes essoufflés à quelques mètres de nous, arrêtés pour contempler la scène.
Oh oui, réponds-je, en libérant la bite de David qui goûte encore et un léger filet blanc s’échappe de ma bouche à la commissure de mes lèvres, ce qui ne leur laissent aucun doute sur ce qui vient d’arriver.
- Profitez bien de votre jeunesse et éclatez-vous, nous lance le 2ème.
Et ils repartent discrètement comme il sont arrivés, en discutant entre eux sûrement de nous.
Alain remet ça de plus belle et cela devient la chevauchée fantastique, il me donne des grands coups de bite qui hâtent ma jouissance surtout qu’avec ses doigts il asticote mon clito.
- Je vais t’arroser la marguerite, me lance-t-il.
Et dans des ultimes assauts, je pars en me contractant dans des frémissements et en poussant un énorme cri de plaisir. Alain n’y tenant plus non plus, sort sa queue pour inonder ma fente et je perçois les doux jets chauds qui me nappent mon abricot.
Camille, pendant ce temps, à reçu 2 belles faciales et ça dégouline de son visage, et Stéphane à lui aussi fait connaître à Camille, le bonheur d’être aspergé de foutre sur sa fleur. Elle récupère de la main le sperme qui coule sur sa fente et celui de la mienne pour faire un mélange des 2 et me l’étale sur mes joues et les lèvres pour que je garde la délicieuse odeur de jus de nos garçons le reste de la promenade.
Nous rentrons ainsi, très satisfaites de cette magnifique excursion, dommage que nous ne croisons personne, pas même nos joggeurs, qui je pense auraient été ravis de nous voir aussi ravissantes.
A suivre.
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