Le dépucelage de Marion et Camille 05 et fin - histoire érotique

Nous revenons à la maison après une petite ballade dans la campagne.

Un bon repas et une petite sieste pour nos hommes c’est pas de trop pour qu’ils récupèrent quelques forces. Puis la fin de l’après-midi nous jouons tous ensemble sur la pelouse derrière la maison. Un Collin Maillard avec bien sûr des gages polissons, pour nous les filles , nous devons reconnaître à qui est la queue que nous suçons sans les mains et si c’est la bonne réponse, nous avons droit à une petite introduction dans notre coquillage et c’est à nous de décider la position en levrette, en missionnaire ou encore en cuillère, et nous les goûtons toutes. Pierre est exempt de ce jeu car nous le réservons pour demain et à partir de ce moment nous pourrons goûter dans la craquette tous les garçons de la terre s’il réussit à passer son énorme bite. Cela ne l’empêche pas de venir se faire sucer sans que nous ayons de gage, de toute façon nous le reconnaissons tout de suite.

Après c’est aux garçons de trouver à qui appartient la mounette qu’ils goûtent, avec comme gage, s’ils se trompent : sucer un autre garçon. Je n’en dis pas plus, mais sachez que cela est arrivé et plus d’une fois. A leur décharge nous avons échanger entre nous notre mouille pour corser la difficulté.

Après nous avons fait une petite partie de foot très marrante: toujours étrange de voir leurs bites balloter devant nous.

Puis nous plongeons dans la piscine pour nous rafraîchir et pour finir la soirée Pierre a installé une sono et nous avons danse tous ensemble en se restaurant, des danses solo mais aussi à 2 des collés-serrés pas toujours facile quand les garçons reprennent de la vigueur.

Cela nous a conduit jusqu’à tard dans le soir où le clou de la nuit: c’est faire des pipes au rythme de la musique avec des tempos lents et d’autres très rapides. C’est très rigolo, surtout qu’à la fin sur une musique hard rock, afin que les garçons passent une bonne nuit, nous finissons par des pipes intégrales, pas étonnant avec la vitesse où nous les suçons. Et après les avoir si bien préparés, ils terminent tous par une faciale, cette fois c’est moi qui en ait 3 et Camille 2, ils nous régalent en jouissant à la queue leu leu, si je peux me permettre.

Comme c’est excellent de les recevoir à la suite, le plaisir en est décuplé car aucune interruption ne fait redescendre la pression et il est bien sûr plus long. A la fin nous sommes de nouveau bien barbouillée et nous terminons en nous souhaitant bonne nuit, les filles comme les garçons en nous embrassant copieusement sur les joues et les lèvres sans nous préoccuper à qui appartient ce jus d’amour que nous partageons.

Ce matin, les garçons sont réveillés avant nous, ils ont dû préparé leur coup car ils nous tirent du sommeil par une langue au chat, c’est sublime d’ouvrir les yeux grâce aux caresses des langues de tous nos garçons, cela nous met en joie pour toute la journée qui est splendide car le soleil brille sans aucun nuage.

Le petit déjeuner en extérieur est très agréable.

- Avez-vous déjà fait du cheval? Demande Pierre.

- Oui, nous avons été toutes les 2 initiées mais sans en faire régulièrement, dit Camille.

- Et bien je vous propose d’en faire comme vous en avez jamais fait, c’est à dire nues.

Il a vraiment des idées magnifiques ce Pierre, et il nous entraîne vers le box que nous avons aperçu en arrivant.

- je vous propose avec et sans selle, vous allez voir comme ça va vous faire du bien à votre cramouille! Mettez-moi cette bombe c’est tout, je prépare le cheval le plus gentil.

Je mouille déjà en imaginant les claques que va prendre ma fente sur le dos de l’animal.

En 1er je monte sur la selle, les jambes bien écartées, ma minette collée sur le cuir et qui se frotte quand le cheval part au pas.
Que dire quand je le mets au trot, c’est un ravissement, et tout de suite j’essaye le galop ce qui est encore plus fort car ma fontaine maltraitée de la sorte coule abondamment à cause du plaisir que cela me provoque.

Je reste plusieurs minutes à ce rythme, mais je vois que Camille est impatiente d’essayer aussi quand elle entend les gémissements que je pousse.

Tout comme moi, elle adore ce test et elle voudrait continuer encore mais Pierre lui dit que sans la selle c’est encore meilleur.

Pendant que Pierre enlève la selle, nous échangeons nos impression.

- Ca t’as fait mouiller? Demandé-je.

- oh que oui, met ton doigt.

Et en effet c’est bien humide à l’intérieur.

- Moi aussi.

Et je prend sa main pour la plaquer sur ma chatte ou elle introduit un doigt et me sourit en le ressortant pour le porter à sa bouche.

Maintenant Pierre m’aide à grimper sur le dos de la bête, je suis stabilisée sur sa croupe.

-Tu sens la douceur de sa peau sur ta moule? Me demande-t-il. Je vais tenir les guides et le faire aller au pas et au trot.

Effectivement c’est super doux et quand le cheval se met en marche, le frottement qui suit me surprend par le bien-être qu’il me donne.

- Attention je le mets au trot, m’annonce Pierre.

Et le frottement devient encore plus fort avec des petites tapettes sur mes lèvres qui m’enivre de bonheur. Après plusieurs minutes de ce traitement, Pierre est à bout de souffle et moi dégoulinante de mouille.

- Désolé, me dit-il, mais je ne peux pas le faire aller au galop, je ne pourrais pas le suivre et toi tu risques de tomber.

C’est au tour de Camille qui monte à son tour et place sa minette exactement sur ma trace de cyprine qui ruisselle sur le dos du cheval. Et le manège démarre et comme moi c’est un ravissement pour sa chatte d’être régalée de la sorte. Et nous nous retrouvons sur le plancher des vaches dans un état d’excitation maximum.

Et il est temps de tester la grosse bite pas celle à Dudule, mais celle de Pierre. Nos babas sont tellement concassés qu’ils peuvent subir la dernière épreuve qui les attends.

De retour sur la pelouse, Pierre sort un matelas et nous commençons par hisser le mât de la grand voile, pendant que les autres garçons entretiennent le feu du désir d’être empalées sur ce pieu.

Le magistral poteau magnifiquement dressé par nos soins est opérationnel. Et après quelques politesses Camille a l’honneur de subir un premier assaut, elle se place sur le dos, les jambes écartées au maximum pour faciliter l’introduction du gourdin.
Pierre l’enduit de son indispensable gel magique, et le présente à l’entrée de sa boutique, mais il a l’habitude d’être bienveillant avec les femmes qu’il honore pour ne pas les martyriser d’entrée, et la chatte de Camille se détend si bien que l’engin progresse doucement mais sûrement jusqu’à là moitier de celui-ci et Camille crie toute sa reconnaissance quand le mandrin se met en marche, il la lime avec vigueur et pour ne pas ameuter tout le quartier, Alain lui propose sa bite à sucer qu’elle accepte volontiers et ce qui permet d’assourdir ses plaintes de satisfaction.

Je me suis préparée pour subir la même attaque et Pierre quitte momentanément Camille pour me faire goûter au même bonheur qu’elle qui ne reste pas sur sa faim car Stéphane vient occuper la place laissée libre.

C’est avec la même félicité que je reçois cette superbe verge qui se glisse entre mes cuisses et je parviens à l’introduire magnifiquement dans ma chatière et progressivement elle se met en branle, je comprend tout de suite pourquoi ma copine pousse des alléluias si stridents, mais avant que je ne l’imite, Benjamin et David me calment en s’invitent dans ma bouche, les 2 en même temps c’est pas facile mais tellement bon.

Pierre saute de l’une à l’autre, et Stéphane nous fait patienter en attendant qu’il reviennent vers nous. Pierre laboure si bien nos crèches que plusieurs fois il nous fait monter au 7eme ciel. Les jeunes, de chaque côté de moi se régalent avec ma bouche et finissent en même temps par des jets puissants qui me dépassent largement pour maculer de sperme le ventre et le sexe de l’autre en face, mais je récupère ce nectar perdu avec mes doigts pour le porter à ma bouche pendant que Pierre me besogne atrocement et me ramone superbement ma cheminée.

Alain et Stéphane qui voient que la fin est proche, sollicite Camille pour s’éprendre dans sa bouche, ce qu’elle leur accorde avec délectation. L’un après l’autre, il lui déverse le coulis qu’elle déguste un moment avant d’avaler en riant.

Pierre a l’agonie se retire et nous place l’une à côté de l’autre et lui se relève un pied de chaque côté de nous et se branle quelques instant avant de jouir et de nous arroser toutes les 2 le corps et le visage.

Un souvenir inoubliable, j’ai eu 3 orgasmes et Camille a jouit aussi plusieurs fois.
Notre conduit s’est bien élargit et maintenant peut supporter tout type de bite.

C’est comme ça que cet WE nous avons perdu, Camille et moi notre pucelage, mais il est l’heure de rentrer et nous remercions chaleureusement Pierre qui nous dit que nous lui avons fait passer le plus merveilleux WE de sa vie.

Fin.