LE DIABLE EN RIT ENCORE – Une infirmière en Beauce 07
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2016 dans la catégorie Plus on est
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LE DIABLE EN RIT ENCORE – Une infirmière en Beauce 07
LE DIABLE EN RIT ENCORE – Une infirmière en Beauce 07
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Hervé rentre tout crotté de sa randonnée dans la forêt effectuée avec son ami Paul, le colonel en retraite. Il passe sous la douche alors que Valérie revient de la piscine, sa serviette de bain enroulée autour de la taille. Son mari lui demande.
« Tu as bien bronzé ? »
Elle maugrée un vague « Oui, bien sûr », se gardant bien de lui faire part de ce qui a manqué lui arriver, omettant la présence de Cédric à la piscine en même temps qu’elle qui s’est laissé masser entièrement le corps et même ses seins nus, prête à se donner au beau baron. Comme il est déjà 18 heures 30, elle pense qu’il faut qu’elle se prépare pour la soirée. Dès qu’Hervé sort de la douche, elle se savonne pour enlever la crème solaire et alterne les jets brûlants avec l’eau froide pour faire circuler le sang. Puis, elle passe un long moment à des soins du corps, ayant trouvé dans la salle de bains une quantité impressionnante de lotions de grandes marques. Elle en profite pour se faire les ongles avec un vernis nude pâle et très discret. Puis, elle entreprend de faire de ses cheveux mi-longs, un chignon bohême et chic à la fois, mêlant les tresses pour former une couronne torsadée qu’elle dispose sur le bas de sa nuque. Puis elle se maquille légèrement, appliquant un léger blush sur ses pommettes. Enfin, elle prend un pinceau pour recouvrir ses lèvres d’un saumon clair, toujours pour la discrétion. Enveloppée de son peignoir de bains, elle vient dans la chambre pour s’habiller.
Hervé, la voyant coiffée et maquillée la trouve sublime. Il s’approche pour l’enlacer, mais elle le repousse en riant.
« Ah ! Non, pas touche. Ma coiffure et mon maquillage sont réservés aux invités de Monsieur le Baron. Tu pourras en profiter après la Fête ».
C’est alors que Valérie sort de la penderie les affaires prévues pour cette réception : la robe en satin Duchesse est de la plus belle soie. Sa couleur saumon met en valeur la carnation de Valérie : la forme du bas en corolle, sur un haut au décolleté carré soutenu par de fines bretelles est magnifique. Des escarpins recouverts de satin saumoné ainsi qu’une pochette assortie complètent cet ensemble. Pourtant, Valérie n’a pas terminé la préparation de sa toilette : un soutien-gorge à demi-bonnet, assorti d’un shorty en satin et dentelle de couleur mandarine. Puis, rougissante, elle sort d’une boite en carton, un porte-jarretelles de la même teinte et du même tissu et des bas eux aussi mandarine.
Pendant qu’Hervé songe qu’il n’a jamais vu son épouse habillée avec autant de chic et de glamour, même à leur mariage, Valérie pense qu’elle va se trouver empruntée et loin d’être à sa place à cette soirée qu’elle redoute. Elle est tout de même reconnaissante à Paul, non seulement de l’avoir accompagnée à Paris dans les magasins, mais surtout d’avoir su la conseiller habilement, même et surtout pour la lingerie. Malgré le trouble ressenti elle s’est laissé persuader de choisir des dessous plus affriolants les uns que les autres.
Il est déjà 19 heures 25 lorsque Valérie et Hervé retrouvent Cédric et Paul dans le salon. Après avoir complimenté Valérie sur sa beauté et son élégance, Cédric leur demande de l’accompagner sur le perron pour accueillir les nombreux invités. Ceux-ci arrivent dans des limousines, la plupart conduites par des chauffeurs. Le préfet, un homme distingué d’une cinquantaine d’années, accompagné d’une très jolie femme de 35 ans environ, brune aux cheveux courts et aux yeux verts ; puis, c’est le député, un homme rondouillard à l’âge indéfinissable, et son épouse, une grosse bonbonne, entortillée dans une robe noire a plutôt l’air d’une charcutière. Le colonel de gendarmerie en grand uniforme qui porte un nombre considérable de médailles et son épouse, une grande et sèche femme au visage sévère et plate comme une limande. Valérie, devant le monde qui se presse, au moins trente-cinq personnes, s’interrompt dans sa description toute personnelle des invités. Ils se retrouvent à l’intérieur où les fauteuils et canapés sont en nombre suffisant pour accueillir cette cohorte. Les extras que le Baron a fait venir sous la coupe d’Étienne, le majordome, proposent champagne ou autres boissons aux invités. Hervé connaît déjà quelques personnes, dont le directeur de la Sécurité Sociale, celui d’une très grosse compagnie d’assurances et un propriétaire terrien de plusieurs milliers d’hectares de terres. Il présente bien entendu son épouse et ils font connaissance des autres invités. Un peu plus tard, un buffet est à la disposition de ce public restreint, les extras se dépensant pour les servir au mieux.
Dans les salons du château, le buffet et le bar fonctionnent à volonté, puis, le Baron signale que la piste de danse est ouverte. Les couples se forment et la musique joue valses, rumba, boléro, slows et tangos, tout ce qu’il y a de plus classique. Hervé et Valérie dansent ensemble seulement deux fois car il est un piètre danseur. Cédric et Paul invitent également Valérie ainsi que le préfet, le gendarme et d’autres invités. Il faut avouer qu’à part la femme du préfet qui est splendide, peu d’autres femmes, sont aussi jolies que Valérie et elle a un franc succès. Valérie est étourdie par cette ambiance très élégante et d’un niveau social supérieur. Hervé lui fait remarquer qu’ils font désormais partie du même milieu, surtout que Cédric d'Avesgaud vient de lui accorder des parts dans la banque et de le nommer administrateur en plus de son poste de directeur. Il conseille à son épouse de se montrer la plus aimable possible avec leur hôte et ses invités.
Lorsqu’elle danse, assez souvent, avec le patron de son mari, Valérie se rend bien compte qu’il la serre de près. Elle ne trouve pas cela désagréable, légèrement enivrée par les cinq ou six coupes de champagne qu’elle a déjà bues, étourdie aussi par l’ambiance musicale. Elle a bien remarqué lors des slows que l’entrejambe de son cavalier possède une protubérance qui se presse contre son ventre. Pourtant, elle se sent flattée qu’un aussi beau et riche cavalier « bande » pour elle. Elle sait bien que cela n’ira pas plus loin. Il est vrai que les lumières tamisées, la musique, l’alcool et la foule permettraient à Cédric d’aller plus avant dans ses audaces, mais gentleman, il se contente de la serrer fort dans ses bras. La robe de Valérie dont le tissu est si léger, laisse ressentir la chaleur de la main qui la tient par la taille. Sa joue contre la sienne et ce sexe appuyé contre le sien, lui donne des vilaines pensées, et même des envies perverses.
Il est presque une heure du matin et la soirée se termine. Les invités prennent congé et Valérie se reprend quelque peu. Elle est tout de même ravie d’avoir fait bonne figure et apparemment, elle semble acceptée par tous ces gens qu’elle croyait inaccessibles. Les invités partis, Cédric retient Hervé pour discuter d’une affaire importante dans son bureau. Paul prend congé et rejoint sa chambre, alors que Valérie se repose sur un sofa, buvant encore quelques flûtes de champagne.
Cédric fait part pour la première fois à Hervé de la proposition qu’il a reçue de leur ami commun concernant le dévergondage de son épouse. Ils mettent au point leur stratagème afin qu’elle puisse succomber.
De retour au salon, avant d’aller dormir, Cédric propose une dernière danse à Valérie, qui n’ose refuser. Le personnel a terminé de ranger et il n’y a plus personne de visible dans les salons du château. Seules quelques lumières indirectes restent allumées et c’est dans une demi-pénombre que Valérie se retrouve entre les bras de Cédric pour une succession de slows, où son cavalier se montre des plus pressants, en tenant sa compagne étroitement serrée contre lui. Valérie, à demi-pompette se laisse quelque peu tripoter lorsque son mari, venant par-derrière l’enlace aussi et vient se coller aux fesses de sa femme. Il l’embrasse dans le cou et lui pelote les seins tout en plaquant son bas-ventre sur le cul ferme et rebondi de Valérie. Celle-ci sent la verge bien dure de son mari qui se frotte sur ses fesses, alors qu’elle ne peut ignorer l’épaisse et rigide tige qui s’est infiltrée, juste entre ses cuisses. Elle a une soudaine bouffée de chaleur et en même temps, son ventre de femme est agité de l’intérieur. Elle sent la mouille qui a envahi sa culotte et qui commence à s’écouler en haut des cuisses. L’atmosphère est très lourde, son mari n’arrête pas de lui bécoter le cou et la bouche de Cédric est à quelques centimètres de ses lèvres. Soudain, les lèvres se soudent aux siennes, et elle sent une langue qui force sa bouche étroitement fermée. Alors qu’intérieurement, elle ne veut pas se laisser aller, sa résistance cède, ouvrant la bouche sans même réfléchir et c’est une danse des langues qui se fouillent dans les moindres recoins. Hervé retrousse sa robe petit à petit jusqu’aux hanches, puis, il retire les bretelles de sa robe et fait tomber le haut qui rejoint le bas à sa taille. Dégrafant rapidement son soutien-gorge, prenant ses seins dans les mains, tandis que Cédric, écartant le tissu de la culotte, introduit trois doigts dans le vagin dégoulinant, agitant doucement le pouce contre le clitoris. Valérie est littéralement emprisonnée entre les deux hommes. Elle sait dans son subconscient que ce n’est pas bien, qu’elle s’enfonce dans le péché, mais l’alcool, l’ambiance de cette soirée, son ventre et ses seins qui réclament les attouchements dont elle est l’objet, elle se laisse faire, gloussant sous les doigts et les lèvres qui l’emmènent au septième ciel.
Cédric fait glisser la culotte d’une main tandis qu’il s’aide de l’autre pour enlever ses vêtements. Puis, prenant la femme pâmée sous les cuisses dans ses bras puissants, il l’embroche littéralement avec un pieu de la plus belle espèce. Le baron est très bien monté et Valérie pousse un gémissement discontinu à la verge qui la pourfend. Hervé, dont une pointe de jalousie est apparue, ne peut que se réjouir de voir sa femme se faire prendre ainsi devant lui. Il se déshabille aussi et nu, il vient enlacer sa moitié, fourrant son sexe entre les fesses maritales. C’est alors que les écartant de ses deux mains, il voit l’énorme bâton de chair qui écarte exagérément les grandes lèvres retroussées de son épouse. Perdant toute retenue, il présente sa verge devant le vagin déjà bien rempli et il pousse de toutes ses forces pour se faire un passage. Cédric sort à moitié de la chatte pour laisser un peu de place à son compère et avant que Valérie le réalise et proteste, les deux queues perforent le trou qui s’élargit démesurément jusqu’à avaler les deux mandrins. Elle pousse un hurlement et cherche à se dégager, mais les deux hommes la tiennent solidement et lui perforent la matrice, la faisant hurler de plus belle et bientôt geindre et pousser des râles de jouissance. Hervé ne peut tenir longtemps, il éjacule son foutre au fond du vagin de son épouse. Cédric est plus endurant. Sa queue, large et longue fait des va-et-vient réguliers dans le con englué du foutre d’Hervé. Il embrasse goulument la pauvre femme qui lui répond avec fougue. Ses cris gutturaux sont des hurlements de plaisir et elle susurre à son amant : « Encore, encore, ne t’arrête pas, je t’en supplie, c’est trop bon » Oh ! Oui ! Oui, encore…………
Lorsque Cédric se répand enfin dans le ventre convoité, il s’écroule sur le corps de Valérie, alors que celle-ci s’endort d’un seul coup d’un sommeil de plomb.
Hervé, hébété, regarde la scène : sa femme a les bas et la culotte déchirés. Sa robe, entortillée avec son soutien-gorge autour de la taille n’a plus de figure humaine. Elle est complètement décoiffée et son rimmel a coulé, le rouge à lèvres macule les alentours de sa bouche. Elle est proprement affreuse. Mais quelle baise, où la belle mature a été prise par deux queues en même temps dans le vagin. Jamais il n’aurait pensé cela possible. Il rêve à présent d’une sodomisation prochaine pour pouvoir avec Cédric par exemple, la prendre par le cul pendant que celui-ci, envahirait son con.
Cédric et Hervé, abandonnent la belle mature à son sommeil et vont prendre une douche, puis les deux hommes vont se changer pendant qu’ils laissent se reposer la belle endormie. Hervé vient veiller sa femme, voulant être là à son éveil, pendant que Cédric va se coucher…
À suivre…
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Hervé rentre tout crotté de sa randonnée dans la forêt effectuée avec son ami Paul, le colonel en retraite. Il passe sous la douche alors que Valérie revient de la piscine, sa serviette de bain enroulée autour de la taille. Son mari lui demande.
« Tu as bien bronzé ? »
Elle maugrée un vague « Oui, bien sûr », se gardant bien de lui faire part de ce qui a manqué lui arriver, omettant la présence de Cédric à la piscine en même temps qu’elle qui s’est laissé masser entièrement le corps et même ses seins nus, prête à se donner au beau baron. Comme il est déjà 18 heures 30, elle pense qu’il faut qu’elle se prépare pour la soirée. Dès qu’Hervé sort de la douche, elle se savonne pour enlever la crème solaire et alterne les jets brûlants avec l’eau froide pour faire circuler le sang. Puis, elle passe un long moment à des soins du corps, ayant trouvé dans la salle de bains une quantité impressionnante de lotions de grandes marques. Elle en profite pour se faire les ongles avec un vernis nude pâle et très discret. Puis, elle entreprend de faire de ses cheveux mi-longs, un chignon bohême et chic à la fois, mêlant les tresses pour former une couronne torsadée qu’elle dispose sur le bas de sa nuque. Puis elle se maquille légèrement, appliquant un léger blush sur ses pommettes. Enfin, elle prend un pinceau pour recouvrir ses lèvres d’un saumon clair, toujours pour la discrétion. Enveloppée de son peignoir de bains, elle vient dans la chambre pour s’habiller.
Hervé, la voyant coiffée et maquillée la trouve sublime. Il s’approche pour l’enlacer, mais elle le repousse en riant.
« Ah ! Non, pas touche. Ma coiffure et mon maquillage sont réservés aux invités de Monsieur le Baron. Tu pourras en profiter après la Fête ».
C’est alors que Valérie sort de la penderie les affaires prévues pour cette réception : la robe en satin Duchesse est de la plus belle soie. Sa couleur saumon met en valeur la carnation de Valérie : la forme du bas en corolle, sur un haut au décolleté carré soutenu par de fines bretelles est magnifique. Des escarpins recouverts de satin saumoné ainsi qu’une pochette assortie complètent cet ensemble. Pourtant, Valérie n’a pas terminé la préparation de sa toilette : un soutien-gorge à demi-bonnet, assorti d’un shorty en satin et dentelle de couleur mandarine. Puis, rougissante, elle sort d’une boite en carton, un porte-jarretelles de la même teinte et du même tissu et des bas eux aussi mandarine.
Pendant qu’Hervé songe qu’il n’a jamais vu son épouse habillée avec autant de chic et de glamour, même à leur mariage, Valérie pense qu’elle va se trouver empruntée et loin d’être à sa place à cette soirée qu’elle redoute. Elle est tout de même reconnaissante à Paul, non seulement de l’avoir accompagnée à Paris dans les magasins, mais surtout d’avoir su la conseiller habilement, même et surtout pour la lingerie. Malgré le trouble ressenti elle s’est laissé persuader de choisir des dessous plus affriolants les uns que les autres.
Il est déjà 19 heures 25 lorsque Valérie et Hervé retrouvent Cédric et Paul dans le salon. Après avoir complimenté Valérie sur sa beauté et son élégance, Cédric leur demande de l’accompagner sur le perron pour accueillir les nombreux invités. Ceux-ci arrivent dans des limousines, la plupart conduites par des chauffeurs. Le préfet, un homme distingué d’une cinquantaine d’années, accompagné d’une très jolie femme de 35 ans environ, brune aux cheveux courts et aux yeux verts ; puis, c’est le député, un homme rondouillard à l’âge indéfinissable, et son épouse, une grosse bonbonne, entortillée dans une robe noire a plutôt l’air d’une charcutière. Le colonel de gendarmerie en grand uniforme qui porte un nombre considérable de médailles et son épouse, une grande et sèche femme au visage sévère et plate comme une limande. Valérie, devant le monde qui se presse, au moins trente-cinq personnes, s’interrompt dans sa description toute personnelle des invités. Ils se retrouvent à l’intérieur où les fauteuils et canapés sont en nombre suffisant pour accueillir cette cohorte. Les extras que le Baron a fait venir sous la coupe d’Étienne, le majordome, proposent champagne ou autres boissons aux invités. Hervé connaît déjà quelques personnes, dont le directeur de la Sécurité Sociale, celui d’une très grosse compagnie d’assurances et un propriétaire terrien de plusieurs milliers d’hectares de terres. Il présente bien entendu son épouse et ils font connaissance des autres invités. Un peu plus tard, un buffet est à la disposition de ce public restreint, les extras se dépensant pour les servir au mieux.
Dans les salons du château, le buffet et le bar fonctionnent à volonté, puis, le Baron signale que la piste de danse est ouverte. Les couples se forment et la musique joue valses, rumba, boléro, slows et tangos, tout ce qu’il y a de plus classique. Hervé et Valérie dansent ensemble seulement deux fois car il est un piètre danseur. Cédric et Paul invitent également Valérie ainsi que le préfet, le gendarme et d’autres invités. Il faut avouer qu’à part la femme du préfet qui est splendide, peu d’autres femmes, sont aussi jolies que Valérie et elle a un franc succès. Valérie est étourdie par cette ambiance très élégante et d’un niveau social supérieur. Hervé lui fait remarquer qu’ils font désormais partie du même milieu, surtout que Cédric d'Avesgaud vient de lui accorder des parts dans la banque et de le nommer administrateur en plus de son poste de directeur. Il conseille à son épouse de se montrer la plus aimable possible avec leur hôte et ses invités.
Lorsqu’elle danse, assez souvent, avec le patron de son mari, Valérie se rend bien compte qu’il la serre de près. Elle ne trouve pas cela désagréable, légèrement enivrée par les cinq ou six coupes de champagne qu’elle a déjà bues, étourdie aussi par l’ambiance musicale. Elle a bien remarqué lors des slows que l’entrejambe de son cavalier possède une protubérance qui se presse contre son ventre. Pourtant, elle se sent flattée qu’un aussi beau et riche cavalier « bande » pour elle. Elle sait bien que cela n’ira pas plus loin. Il est vrai que les lumières tamisées, la musique, l’alcool et la foule permettraient à Cédric d’aller plus avant dans ses audaces, mais gentleman, il se contente de la serrer fort dans ses bras. La robe de Valérie dont le tissu est si léger, laisse ressentir la chaleur de la main qui la tient par la taille. Sa joue contre la sienne et ce sexe appuyé contre le sien, lui donne des vilaines pensées, et même des envies perverses.
Il est presque une heure du matin et la soirée se termine. Les invités prennent congé et Valérie se reprend quelque peu. Elle est tout de même ravie d’avoir fait bonne figure et apparemment, elle semble acceptée par tous ces gens qu’elle croyait inaccessibles. Les invités partis, Cédric retient Hervé pour discuter d’une affaire importante dans son bureau. Paul prend congé et rejoint sa chambre, alors que Valérie se repose sur un sofa, buvant encore quelques flûtes de champagne.
Cédric fait part pour la première fois à Hervé de la proposition qu’il a reçue de leur ami commun concernant le dévergondage de son épouse. Ils mettent au point leur stratagème afin qu’elle puisse succomber.
De retour au salon, avant d’aller dormir, Cédric propose une dernière danse à Valérie, qui n’ose refuser. Le personnel a terminé de ranger et il n’y a plus personne de visible dans les salons du château. Seules quelques lumières indirectes restent allumées et c’est dans une demi-pénombre que Valérie se retrouve entre les bras de Cédric pour une succession de slows, où son cavalier se montre des plus pressants, en tenant sa compagne étroitement serrée contre lui. Valérie, à demi-pompette se laisse quelque peu tripoter lorsque son mari, venant par-derrière l’enlace aussi et vient se coller aux fesses de sa femme. Il l’embrasse dans le cou et lui pelote les seins tout en plaquant son bas-ventre sur le cul ferme et rebondi de Valérie. Celle-ci sent la verge bien dure de son mari qui se frotte sur ses fesses, alors qu’elle ne peut ignorer l’épaisse et rigide tige qui s’est infiltrée, juste entre ses cuisses. Elle a une soudaine bouffée de chaleur et en même temps, son ventre de femme est agité de l’intérieur. Elle sent la mouille qui a envahi sa culotte et qui commence à s’écouler en haut des cuisses. L’atmosphère est très lourde, son mari n’arrête pas de lui bécoter le cou et la bouche de Cédric est à quelques centimètres de ses lèvres. Soudain, les lèvres se soudent aux siennes, et elle sent une langue qui force sa bouche étroitement fermée. Alors qu’intérieurement, elle ne veut pas se laisser aller, sa résistance cède, ouvrant la bouche sans même réfléchir et c’est une danse des langues qui se fouillent dans les moindres recoins. Hervé retrousse sa robe petit à petit jusqu’aux hanches, puis, il retire les bretelles de sa robe et fait tomber le haut qui rejoint le bas à sa taille. Dégrafant rapidement son soutien-gorge, prenant ses seins dans les mains, tandis que Cédric, écartant le tissu de la culotte, introduit trois doigts dans le vagin dégoulinant, agitant doucement le pouce contre le clitoris. Valérie est littéralement emprisonnée entre les deux hommes. Elle sait dans son subconscient que ce n’est pas bien, qu’elle s’enfonce dans le péché, mais l’alcool, l’ambiance de cette soirée, son ventre et ses seins qui réclament les attouchements dont elle est l’objet, elle se laisse faire, gloussant sous les doigts et les lèvres qui l’emmènent au septième ciel.
Cédric fait glisser la culotte d’une main tandis qu’il s’aide de l’autre pour enlever ses vêtements. Puis, prenant la femme pâmée sous les cuisses dans ses bras puissants, il l’embroche littéralement avec un pieu de la plus belle espèce. Le baron est très bien monté et Valérie pousse un gémissement discontinu à la verge qui la pourfend. Hervé, dont une pointe de jalousie est apparue, ne peut que se réjouir de voir sa femme se faire prendre ainsi devant lui. Il se déshabille aussi et nu, il vient enlacer sa moitié, fourrant son sexe entre les fesses maritales. C’est alors que les écartant de ses deux mains, il voit l’énorme bâton de chair qui écarte exagérément les grandes lèvres retroussées de son épouse. Perdant toute retenue, il présente sa verge devant le vagin déjà bien rempli et il pousse de toutes ses forces pour se faire un passage. Cédric sort à moitié de la chatte pour laisser un peu de place à son compère et avant que Valérie le réalise et proteste, les deux queues perforent le trou qui s’élargit démesurément jusqu’à avaler les deux mandrins. Elle pousse un hurlement et cherche à se dégager, mais les deux hommes la tiennent solidement et lui perforent la matrice, la faisant hurler de plus belle et bientôt geindre et pousser des râles de jouissance. Hervé ne peut tenir longtemps, il éjacule son foutre au fond du vagin de son épouse. Cédric est plus endurant. Sa queue, large et longue fait des va-et-vient réguliers dans le con englué du foutre d’Hervé. Il embrasse goulument la pauvre femme qui lui répond avec fougue. Ses cris gutturaux sont des hurlements de plaisir et elle susurre à son amant : « Encore, encore, ne t’arrête pas, je t’en supplie, c’est trop bon » Oh ! Oui ! Oui, encore…………
Lorsque Cédric se répand enfin dans le ventre convoité, il s’écroule sur le corps de Valérie, alors que celle-ci s’endort d’un seul coup d’un sommeil de plomb.
Hervé, hébété, regarde la scène : sa femme a les bas et la culotte déchirés. Sa robe, entortillée avec son soutien-gorge autour de la taille n’a plus de figure humaine. Elle est complètement décoiffée et son rimmel a coulé, le rouge à lèvres macule les alentours de sa bouche. Elle est proprement affreuse. Mais quelle baise, où la belle mature a été prise par deux queues en même temps dans le vagin. Jamais il n’aurait pensé cela possible. Il rêve à présent d’une sodomisation prochaine pour pouvoir avec Cédric par exemple, la prendre par le cul pendant que celui-ci, envahirait son con.
Cédric et Hervé, abandonnent la belle mature à son sommeil et vont prendre une douche, puis les deux hommes vont se changer pendant qu’ils laissent se reposer la belle endormie. Hervé vient veiller sa femme, voulant être là à son éveil, pendant que Cédric va se coucher…
À suivre…
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