Le diable est dans le choeur

- Par l'auteur HDS Mibou -
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Récit libertin : Le diable est dans le choeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le diable est dans le choeur
L’enfer, c’est les autres

Le scénario du présent récit m’a été suggéré par Coralie29. J’espère avoir été fidèle à sa demande et qu’elle appréciera la manière dont le sujet a été traité.
N’hésitez pas à me faire connaitre votre avis, que vous ayez aimé ou non cette histoire.


Elle prend sa veste et sort pour se rendre à l’église comme elle le fait quasi tous les jours.
Anne-Marie, appelée familièrement Nina est ce que l’on peut appeler une grenouille de bénitier, toujours habillée de noir, jamais maquillée, un visage fermé qui ne rencontre que très rarement le sourire, ce qui lui donne un air sévère.
A 57 ans, elle vit seule depuis son veuvage survenu il y a maintenant 13 ans, un accident de la route provoqué par un chauffard ivre l’a privée de son compagnon. Un drame de l’alcool, un de plus.

Cinq ans auparavant, sa fille Coralie a quitté le domicile familial, excédée par le comportement maternel.
- Maman, comment peux-tu vivre de cette manière ? Sans amour, sans amie, sans joie, toujours à te morfondre !
- Mais ma fille, j’ai de l’amour et de la joie ! Je consacre ma vie à Jésus et il me le rend bien !
- Ta foi ne doit pas t’empêcher de vivre, de rire, d’aller au cinéma, au théâtre, de rencontrer des gens autres que le Père Mathieu !
- Comme tu y vas ma fille ! C’est un homme bon et généreux. Il soutient son prochain et je veux l’aider dans cette tâche, c’est mon devoir ! Crois-moi, j’y trouve mon compte !
- Moi, je ne le trouve pas ! Si c’est très noble d’aider l’autre, c’est aussi très noble de penser à ta fille, de l’aimer et le lui dire, de partager avec elle des moments de complicité, de lui permettre de recevoir des amies et des amis. Bref, de s’ouvrir !
Gênée à l’idée de dévoiler ses sentiments, elle répond sèchement ; « Je te l’ai déjà dit : ces rencontres mènent droit à la luxure et au dévergondage. Il ne peut en être question et donc pas d’homme dans la maison. »
- Mais pourquoi ?
- Tu veux introduire l’envie et le vice dans cette maison ? C’est inacceptable!
- Maman, tu es bien intransigeante. Je refuse de suivre ces principes moraux désuets et liberticides. Je me demande parfois comment tu as fait pour m’avoir !
- Je t’interdis de me juger et je t’adjure de ne pas nous soumettre à la tentation.

Fâchée de ce peu d’ouverture d’esprit et lasse d’entendre les mêmes arguments qu’elle considère comme stupides, Coralie a quitté les lieux en claquant la porte.

Depuis, si les relations sont tendues, Coralie n’oublie cependant pas de rendre visite à sa maman aussi souvent qu’elle le peut, ou plutôt qu’elle le veut.
Mais, invariablement, le sujet revient dans leur conversation, les reproches s’amoncellent. Le cœur lourd devant une telle intransigeante, elle se dit qu’avoir un contact chaleureux avec Nina relève de l’impossible !

*****

Tout en se dirigeant vers l’église, Nina se remémore ces conversations et s’en veut un peu de ce dialogue de sourds. Malgré mon argumentation, elle est partie définitivement. « Je n’ai pas pu la maintenir dans les voies du Seigneur » se dit-elle tout en maudissant sa progéniture de ce rejet d’une vie vertueuse.

Arrivée à l’église, Anne-Marie se hâte de rejoindre le Père Mathieu pour le saluer.
- Bonjour Nina dit-il en la bénissant.
- Bonjour Monsieur le Curé répond-t-elle tête baissée
- Voulez-vous préparer ces bouquets de fleurs et les répartir de chaque côté de l’autel ? La messe dominicale n’en sera que plus égayée.
- Certainement mon Père répond-elle et s’en va de son pas traînant.
Au bout d’une demi-heure, elle revient, mission remplie.
Elle aide ensuite le prêtre à se vêtir pour l’office.


La messe dite, Nina retrouve le curé dans la sacristie, l’aide à retirer et ranger ses vêtements sacerdotaux.
- Mon Père, puis-je vous parler honnêtement ?
- Bien sûr chère Nina.
- Vous m’avez choquée aujourd’hui. Je vous ai vu lorgner dans les décolletés de ces femmes impudiques. Il faut sans doute être vicieuse pour se montrer ainsi avec une telle perversité et au surplus dans un lieu sacré. Vous ne m’avez pas habituée à ce genre de comportement déplacé ! Que vous arrive-t-il ?
- Je ne lorgne pas dans les décolletés, mais reconnais avec moi qu’elles exposent leurs atouts de manière particulièrement ostensible. Je vois plus que je ne regarde.
- Peut-être bien Monsieur le curé, mais rappelez-vous que l’occasion fait le larron ! Dans une telle circonstance, on peut être amené à faire des choses à quoi on n’aurait peut-être pas pensé autrement !
- Vous me surprenez ma fille ! Vous m’imputez des pensées impures et pensez que je m’adonnerai à de actes libidineux ! Ma Sœur…
- Et puis, je n’ai pas aimé votre homélie. Vous ménagez trop ces musulmans qui ont fait tant de morts et de blessés parmi nous. Pensez à l’atrocité du Bataclan et son cortège de malheurs.
- Chère Nina, toi la fidèle parmi les fidèles, te voilà bien agitée ! Ne sais-tu pas que le Seigneur pardonne et tend la main à ceux et celles qui ont fauté ? Rappelle toi l’histoire de la femme adultère.
- Jésus, souvent en conflit avec les pharisiens, a aussi lancé cette invective : Malheur à vous, scribes et pharisiens !
- Sans doute, mais tu peux admettre avec moi qu’Il est amour et pardon puisqu’Il s’est même sacrifié pour nous !

Devant le ton sec du prêtre, Nina comprend qu’elle l’a vexé et se retire sans pour autant être satisfaite : il ménage trop ces musulmans et ses yeux sont trop inquisiteurs à son goût !

*****

Qu’arrive-t-il à Nina ? Qui lui permet de me juger parce que je regarde les décolletés de femmes qui ont envie que l’on s’y perde ?
C’est vrai qu’ils sont attirants et plaisants et que, comme n’importe quel homme, j’y gouterais avec plaisir et volupté. Cela dit, je n’ai rien fait de mal !
L’impudence de Nina m’agace, elle dépasse les bornes. Il faut trouver un moyen de rabaisser cette morgue et la punir de cette attitude offensante. Il faut rétablir mon honneur et la punir de ce débordement.

Le Père Mathieu quitte l’église, furieux et cherchant le moyen de lui faire payer cet écart.
Je sais : je vais l’envoyer chez cet africain, cet Abdoulaye Sissoko qui me demande de lui trouver une aide. J’ai bien décelé dans ses yeux un regard très lubrique et comme il doit être en manque, il va sûrement vouloir la croquer ! Ronde et dodue comme elle est, il va la trouver à son goût et lui fera une cour assidue.
Je vais de ce pas lui en parler, lui expliquer tout le parti à en tirer. On verra si elle résistera à la tentation comme je le fais avec toutes ces femmes et leurs appâts.
Dans un sourire vicieux, il se dit qu’avec un peu de chance, peut-être pourra-t-il en profiter…

*****

Ce mardi, Nina est déjà dans l’église à nettoyer et astiquer les objets du culte, préparant ainsi la messe de 18 heures.
A genoux au pied d’un énorme bougeoir, sa robe laisse entrevoir ses grosses cuisses nues. Ses seins lourds s’agitent sous les coups vigoureux des frottements sur le cuivre.
Elle s’affaire tellement qu’elle ne se rend pas compte de l’arrivée du curé qui admire ses jambons tentants et ses gros seins appétissants en se demandant s’ils sont libres de toute entrave. Il bave devant eux, voudrait les caresser, les malaxer. Qu’est-ce qu’il aimerait sucer ces tétons !
Et puis, cet énorme postérieur prêt à être caressé et envahi par des mais douces ! Quel appât ! Qu’il donne envie de se retrouver entre ces hanches larges tellement accueillantes.
Ses pensées lubriques l’amènent à imaginer le sexe de Nina : poilu ? de larges lèvres ? et comment est son clitoris ? Il voudrait butiner ce trésor d’autant qu’il ne doit pas avoir reçu d’hommages depuis bien longtemps.
Malgré ses 60 ans, son sexe affamé devient dur. A travers sa soutane, il se caresse et voudrait bien se faire plaisir mais la présence de Nina le lui interdit. Encore que…

Le tête débordante de ses désirs, il entre dans la pièce et interpelle la femme.

- Chère Nina, tu es toujours au travail. Le Seigneur ne manquera pas de te remercier de ton engagement.
- C’est normal mon Père. Je suis toute dévouée à l’Eglise et à vous-même.
- Merci Nina. Sans toi, que ferais-je ? (même si j’ai une petite idée…) J’ai justement un immense service à te demander.
- Dites-moi.
- Pourrais-tu dégager deux après-midi par semaine pour aller t’occuper d’un homme de 65 ans que j’héberge dans la maison contiguë à notre belle église ?
- J’ignorais que vous hébergiez quelqu’un. Je devrais pouvoir faire cela mon Père. Qui est cet homme ?
- Il s’agit de Monsieur Abdoulaye Sissoko, un africain. Il est un peu perdu et désemparé car il nous vient directement de son pays natal qu’il a fui en raison de troubles graves et persistants. J’espère qu’être noir ne te dérange pas ?
- Pas du tout mon Père. Si cela est important pour vous, ce le sera pour moi et je l’aiderai.
- Je n’en attendais pas moi de toi chère enfant.
- Mais je redoute que cela ne suscite bien des rumeurs malveillantes à mon égard !
- Voyons Nina, tout le monde te connait, salue ta dévotion et sait ton engagement au service des autres.
- Sans doute mon Père, mais les ragots et rumeurs vont toujours bon train lorsque l’on veut nuire à quelqu’un. Les histoires de bonne du curé pullulent et font bien rire. Je ne voudrais en aucun cas ternir ma réputation ou la vôtre.
- Rassure-toi Nina, je n’en parlerai à personne et tu as remarqué que l’accès à cette maison est extrêmement discret. Bien sûr les mauvaises langues existent et, tout ce que l’on peut faire c’est de les ignorer.
- En effet mon Père. Très bien, je ferai ce que vous me demandez.
- Dans ce cas, viens que je te le présente.

Le curé l’entraine alors dans une pièce attenante à la sacristie et ouvre une porte dérobée lui permettant d’accéder à la demeure.

Il fait les présentations.
Abdoulaye, je te présente Anne-Marie
- Heureux de faire votre connaissance Madame.
- Les plus intimes l’appelle Nina dit le Père Mathieu.
- Bonjour Monsieur, je suis enchantée de vous venir en aide.
- Appelez-moi Abdoulaye. Et je vous remercie sincèrement de cette aide.
Nina perçoit une étincelle de surprise et de désir dans les yeux de l’africain qui s’incline devant elle.
Elle n’en n’est pas certaine, mais le sourire et l’attitude générale de cet homme la laisse perplexe : il la regarde fixement, la jauge et se sent déshabillée. Les femmes sentent ce genre de chose malgré que voilà longtemps qu’un homme ne l’ait détaillée de cette manière, avec autant de désir et de lubricité. Elle en est extrêmement troublée.

A son tour, elle admire un homme grand, costaud, bien proportionné, au visage anguleux mangé par une barbe de quelques jours, les cheveux crépus mi-longs.
Il a un sourire ravageur lorsqu’il tend la main à Nina pour la saluer. La puissance animale qu’il dégage la fait frissonner.
Sa peau est noire, il est beau, envoûtant et Nina est désarçonnée par ce personnage sorti de nulle part. Sa voix est mélodieuse, chaude et terriblement suave lorsqu’il la salue. Ses yeux la vrille et il a une poigne virile. Il a semblé à Nina qu’il a conservé sa main plus qu’il n’en faut. Je me fais sûrement un film pense-t-elle en haussant les épaules.

Sous le regard sardonique du prêtre, ils mettent au point les détails de la venue de Nina : les jours, les heures, la fréquence et le travail attendu.
Le Père Mathieu est satisfait : tout se passe comme prévu. Il est ravi de ce premier contact qui annonce une suite chaude et jouissive. Tous les espoirs sont permis se dit-il.



Le vendredi, Nina se présente chez son « employeur » qui l’accueille d’un sourire éclatant et enjôleur.
- Soyez la bienvenue et d’ores et déjà, merci de ce que vous ferez pour moi.
Elle lui tend la main.
Tout en lui parlant, il prend cette main tendue, la dirige vers sa bouche et la baise avec douceur.
Nina est charmée par ce geste et trouve cet homme décidément avenant. Sans vraiment d’explication ni certitude, elle le sent néanmoins dangereux, prédateur. Attention se dit-elle…


Le travail terminé, Sissoko n’est pas avare de compliments. Il n’a de cesse de lui répéter qu’il la trouve efficace, rapide et organisée.
Pour le surplus, il trouve qu’elle est aussi belle que les femmes de chez lui.

Nina ne sait trop quoi lui dire, se sentant flattée et très troublée. Sa gêne initiale, tant physique que psychologique et morale s’amplifie.
Cet homme est magnifique mais c’est le diable ! Que me veut-il ? S’il espère une quelconque privauté, il se trompe ! J’apprécie sa gentillesse mais quelle sensualité animale il dégage.
Prend garde ma fille…
Ne laisse pas courir ces pensées immorales, cette tentation au péché. Je ne me reconnais plus vraiment, je dois me confesser.

Sissoko l’observe. Il ressent sa gêne, son trouble.
Ces seins volumineux et ce cul plantureux et rebondi l’attirent. Que ne ferait-il pas pour les caresser, empoigner et explorer ce corps replet mais terriblement attrayant ?
La patience est la mère de toutes les vertus dit-on. En l’occurrence, une seule me suffit et je la prendrai…

*****
-
Avec le temps, le tenté s’enhardit et de plus en plus souvent, l’entoure de ses flatteries, de sa gentillesse.
Nina commence à se détendre, et finit par accepter l’invitation à déguster un café, partager un gâteau. Cela n’engage à rien n’est-ce pas se dit-elle.
Il lui parle alors de son pays, raconte sa vie, la perte de son épouse quelques années plus tôt, au cours des troubles qu’il a fini par fuir.
Nina l’écoute, la larme à l’œil, le cœur au bord des lèvres.
Cet homme a surmonté bien des vicissitudes. Qu’il est courageux ! Il me fait mouiller les yeux, me secoue le cœur avec ces histoires. Je le prendrais bien dans mes bras pour le consoler, lui dire toute ma sympathie, mon amitié. Et j’ai bien envie d’en connaître plus, beaucoup plus.
Que m’arrive-t-il ? Cet homme provoque en moi des pensées impures, des désirs de dépravée. Mon Dieu, aidez-moi ! Je vous en supplie, sauvez mon âme, ne me laissez pas succomber à cette tentation !

Ni une ni deux, elle se présente au confessionnal dans lequel officie bien entendu le Père Mathieu.
- Mon Père pardonnez-moi car j’ai pêché dit-elle en exécutant le signe de croix.
- Racontez-moi ma fille. Dieu peut tout entendre et pardonner.
- Depuis que je travaille pour cet africain, j’ai des pensées impures.
- Ah oui ? Quelles genres de pensées ? Bonne nouvelle se dit-il.
- Des pensées lubriques, de…sexe !
- Oh ! Et comment cela se fait-il ma sœur ? Vous m’étonnez !
- Il est très gentil, attentionné et d’une conversation très plaisante.
- Mais encore…
- Il me caresse la main et j’en ai des frissons de plaisir, cela me rend toute chose. Il vaudrait mieux ne plus aller chez lui.
- Chère Nina, votre aide lui est bien trop précieuse.
- Oui, mais…
- Et votre présence très apaisante pour cet homme qui a connu tant de déboires.
- Je comprends, il m’a raconté.
- Vous lui faites beaucoup de bien Nina, il s’en est ouvert à moi. Il revit, la joie s’est emparée de son cœur.
- Mon Père, je…
- Ne le laissez pas en plan. Je suis certain que vous surmonterez cette difficulté, cette tentation de la chair.
- D’accord, mon Père. Je vais m’y atteler.
- Je sais que la chair est faible mais vous êtes forte et le Bon Dieu vous accompagnera. Il vous remerciera mille fois de votre compassion pour lui, soyez en certaine ! Et moi aussi !
- Merci mon Père.
- Vous êtes pardonnée de vos pensées et vous direz deux « Je vous salue Marie » pour votre peine. Cette prière accompagnera votre âme et vous donnera le courage nécessaire
- Puisse-t-il en être ainsi mon Père.
- Allez dans la paix du Seigneur dit-il en la bénissant.

Bénédiction reçue, Nina quitte le confessionnal l’esprit apaisé prête à affronter ce qu’elle considère comme son chemin de croix. Elle a compris que derrière elle, le curé accompagnera et soutiendra sa résistance.


Petit à petit, une complicité naît et ils décident de se tutoyer.
Il lui raconte avec force détails les troubles dans son pays, précise les circonstances de la perte de sa femme et de ses enfants, les événements dramatiques et terriblement stressants vécus au cours de sa fuite après avoir tout perdu.
Sa narration est certes romanesque mais surtout effrayante.

Nina lui relate la décès de son mari, les difficultés avec sa fille qu’elle ne voit que rarement, son engagement dans l’Eglise et son dévouement au Père Mathieu.
Elle lui explique éprouver une grande compassion pour son vécu.

Plus ils se confient l’un à l’autre, plus ils ressentent une attirance qui n’est pas que de l’amitié. Nina est très secouée par cette sensation qu’elle ne s’explique pas. Elle a le cerveau chamboulé, les mains qui tremblent, des fourmillements dans le ventre.
Elle est à la fois excitée et mal à l’aise comme lorsqu’elle a rencontré son mari se dit-elle.

Il lui avoue être musulman.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bon préambule à voir la suite pour la bigote. Mang



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