Le directeur

- Par l'auteur HDS Sabinette -
Récit érotique écrit par Sabinette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le directeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le directeur
Je m’appelle Sabine, je suis une jeune femme de 27 ans. Je travaille dans une grande société dont je ne peux citer le nom. Après un cursus scolaire des plus classiques, bac puis master, après avoir fait mes différents stages et travaillé dans différentes sociétés, je me suis faite embaucher il y a déjà deux ans par ce groupe, qui compte des milliers d’employés à travers le monde.

Deux ans de travail de bureau sans grand intérêt, à essayer de faire ma place, à essayer de me faire remarquer sans grand succès pour l’instant.
Ma manager étant une femme d’une soixantaine d’années, à l’allure frigide et vieillotte, lui faire du charme s’était avéré impossible. Un manque de chance dans un univers où les hommes avec quelque pouvoir sont souvent prompts à l’échange de faveurs...

Ce jour-là, j’avais quasiment fini ma journée quand ma cheffe m’a signalé que j’étais convoquée dans le bureau du directeur de département.
Cela avait tout de suite piqué ma curiosité, une employée comme moi n’étant en principe que rarement amenée à côtoyer les directeurs et autres dirigeants de l’entreprise. Ayant entendu depuis quelques mois des bruits de couloir concernant un futur plan de départs « volontaires », j’étais d’un côté inquiète, mais de l’autre bien déterminée à faire bonne impression.

Après un passage aux sanitaires afin de me réajuster et de rafraîchir mon maquillage, je me suis présentée devant la secrétaire de direction, une vieille femme aigrie, habillée dans un style hors d’âge et qui m’a d’abord dévisagée par-dessus ses lunettes, le regard en coin et la bouche en cul de poule, avant de me faire patienter dans un fauteuil en face d’elle.
Je suis restée une bonne quinzaine de minutes dès lors que la vieille m’eut annoncé au téléphone, avant que le directeur ouvrit enfin sa porte. Il l’interpella sans même m’adresser un regard :
« Vous pouvez y aller, Simone. Mademoiselle M. est mon dernier rendez-vous aujourd’hui. N’oubliez pas de rappeler M. **** demain matin. Je vous souhaite une bonne soirée. »
Puis il se tourna vers moi.

C’était un homme d’une soixantaine d’années, un peu dégarnis, plutôt grand par rapport à mon mètre soixante, assez costaud et ventru. Le stéréotype parfait du vieux gars salace qui mate les culs de ses collaboratrices moulées dans leurs tailleurs et qui passe le plus clair de son temps en repas d’affaires à ne pas consommer que de la salade.

-Bonjour Mademoiselle R., veuillez entrer s'il vous plaît.
-Bonjour Monsieur.
Lui répondis-je, me levant tout en me dirigeant vers la porte de son bureau, tentant d'avoir une posture et une démarche à la fois sexy et détendue.

Je sentais son regard me déshabiller lorsque je passais à sa hauteur. Ça va être facile, me suis-je dit, un léger sourire aux lèvres avant de me poster devant son bureau, me cambrant pour faire ressortir mon 90E et mon fessier rebondit.
Il vient s’asseoir dans son luxueux fauteuil en face de moi et, tout en fouillant dans ses piles de dossiers, s’adresse de nouveau à moi, sans me décrocher un regard.

"- Alors Mademoiselle… Mademoiselle… Mademoiselle… Je l’ai ! 
Dit-il en même temps qu’il se saisit et ouvre un dossier qui devait très probablement être le mien.
- Mademoiselle Sabine R., vous n’êtes pas sans savoir qu’un plan de départ va bientôt être proposé à nos collaborateurs", il marqua une pause, relèva la tête du dossier portant mon nom pour me fixer droit dans les yeux, avec l’attitude blasée de quelqu’un qui perd son temps. Puis il reprit :

" J’ai ici une pile de dossiers concernant les profils qui me semblent prometteurs et qui méritent une entrevue, disons approfondie… Malheureusement, vous vous doutez que tous ces profils ne pourront être sélectionnés, vous savez que la concurrence est rude. Néanmoins, vous semblez avoir de belles qualités." Dit-il avant de marquer une pause, fixant sans aucune pudeur ma poitrine, Avant de me regarder à nouveau dans les yeux, un sourire lubrique aux lèvres, puis de reprendre :

" C’est pourquoi vous êtes ici. Le but de cet entretien est donc d’évaluer votre motivation et…

— Je suis très motivée, monsieur ! " Lui répondis-je avant qu’il ne me rétorque sans ménagement, l’air sévère, son sourire pervers ayant disparu de son visage :

« Mademoiselle R., je n’ai pas pour habitude de me laisser couper la parole ! À l’avenir, je vous prierais de n’utiliser votre bouche que lorsque vous y serez invitée ! "

Et l'invitation ne tarda pas très longtemps... il se leva, fit le tour de son bureau nonchalamment, faisant mine de réfléchir, puis vint se poster debout en position dominante face à moi, avant de reprendre:

-Je disais donc! Évaluer votre motivation. J'attends des employés une certaine implication... je dirais personnelle... Vous voyez ce que je veux dire?

-Je pense savoir monsieur. Lui répondis-je avec mon sourire le plus coquin.

-Très bien. Dit-il avec de nouveau son sourire lubrique. Alors dans ce cas vous devez aussi vous douter de la perspective d'évolution qui vous attend si vous savez répondre à mes attentes?

-Oui monsieur.

-J'ai de grosses attentes... mais je suis prêt a penser que vous avez toutes les dispositions requises pour les satisfaire. Qu'en pensez vous mademoiselle R. ? "Dit-il en posant sa main sur son entre-jambe en carressant son sexe. "Pensez-vous pouvoir répondre à mes attentes ?
C’est donc à vous maintenant. Je vous laisse à présent le soin de me convaincre !"

À ses paroles, il était évident qu’il n’attendait pas de moi un quelconque étalage de mon cursus ou de mes qualités professionnelles… Je me suis donc levée et j’ai parcouru les deux ou trois pas qui nous séparaient de ma démarche la plus féline avant de me présenter juste devant lui avec une posture de défi.
Il déboutonna sa veste en me regardant droit dans les yeux avec un sourire de vieux pervers et en ramenant les pans de sa veste sur les côtés, dissipant totalement le peu d’ambiguïté qu’il pouvait encore y avoir sur la situation, puis il dégrafa sa ceinture pendant que je venais lentement me positionner à genoux, toujours en le regardant dans les yeux.

J'ai ensuite abaisser son pantalon sur ses chevilles, constatant que la bosse formé sous son slip blanc, était déjà de bonne taille et ne masquait qu'à moitié son début d'érection.

J'ai d'abord caressé son sexe à travers le tissu de coton blanc avant de lui faire subir le même sort qu'à son pantalon, libérant ainsi son sexe.
Lentement, je me suis ensuite saisi de ses testicules d'une main, afin de les carresser et de les masser tendrement, puis de son sexe de l'autre pour le masturber.
Il se mit très vite à bander comme un taureau, n'ayant rien à envier aux jeunes de moins de deux fois son âge.

L'ayant fixée du regard depuis le moment ou j'avais hoté son slip, je n'avais fait que sentir son membre grossir et durcir entre mes mains, et bien qu'il m'avait déjà sembler particulièrement imposant entre mes doigts, ce n'est que lorsque j'abaissa mes yeux que je me rendis réellement compte de la taille de son attribut.

En effet il était à l'image de son propriétaire, d'une taille légèrement au dessus de la moyenne mais surtout d'une largeur bien au-delà de la norme, si bien qu'il m'en était impossible d'en faire le tour avec les doigts d'une main.

Néanmoins, je n'ai encore jamais eu à souffrir de la crainte des proportions d'un attributs masculin, aussi conséquent soit t-il, si bien que je m'en occupa sans me faire prier, posant pour commencer le bout de ma langue sur son gros gland en forme de champignon pour lui lécher le frein et lui titiller l'urètre avec sensualitée, tout en le fixant dans les yeux.
Relevant ensuite son sexe de la main, ma langue parcourue le long de sa hampe plusieurs fois avant de m'attarder sur ses boules pendantes, elles aussi d'une taille impressionnantes en comparaison de ma frêle main de jeune femme qui ne pouvait les contenir.

A mon étonnement son scrutum était parfaitement glabre et entretenu, fait plutôt rare pour un homme de cette génération, je m'en suis donc occupé avec application en léchant tout d'abord, puis en sucottant et en gobant une à une chacunes de ses couilles, parvenant à arracher à leur propriétaire plusieurs soupirs de plaisir.

Ce n'est qu'après avoir lustrée ses valseuses avec soin que ma langue remonta comme elle était descendu sur son mat veineux et que je décida qu'il était à présent le moment de l'engloutir, mais pas avant d'avoir d'abord fait parcourir ma langue le long de sa corolle. Une fois y avoir fait plusieurs tours, mes lèvres se posèrent sur son bout rose turgescent, le faisant rentrer petit à petit dans ma cavité buccale chaude et humide en le suscotant, jusqu'à l'engloutir entièrement, ce qui au vue de sa taille, m'obligea à ouvrir la machoire au maximum.

Bien que concentrée sur la pipe que j'étais en train de lui tailler, je ne pût m'empêcher de m'imaginer la scène cocasse vu de l'extérieur, mon gabarit menu face à cette homme charpenté à la bite énorme me fit penser en comparaison à une poupée en train de sucer un poney, et cette pensée me fit instantanément mouiller ma culotte.

C'est donc toute excitée que je commença à effectuer des vas et vient avec ma bouche en aspirant son sexe, les joues creusées, jouant avec ma langue autour de cette colonne de chair, salivant abondamment, son gland démesuré en forme de champignon distendant mes lèvres et remplissant me remplissant à chaques aller-retour.
Une main posée sur sa cuisse, l'autre soupesant et malaxant ses bourses, je le sucait comme la petite employée modèle que j'étais, alternant le rythme et la profondeur, aspirant plus ou moins fort, jouant avec ma langue et mes lèvres sur son gros chibre tendu, léchant son scrutum puis sa hampe comme une glace, faisant preuve tantôt de sensualitée et de douceur, tantôt d'appétit féroce afin de faire varier ses sensations et durer son plaisir, je jouait ainsi avec son envie de me cracher sa jouissance sur le visage et sur le palais, refreinant mes ardeur lorsqu'il était sur le point d'exploser et reprenant de plus belle une fois son pic d'excitation redescendu.

Je prenais un réel plaisir à sucer son attribut viril, cela m'ayant toujours excitée et fait plaisir de sentir toute la vitalité d'un homme à travers mes lèvres. Et le sexe massif et dur comme l'acier de cet homme, qui plus est en position d'autorité face à moi, me faisait mouiller comme une petite salope.

Le bureau était empli de bruits de succion et de ses râles de plaisir alors que je m'evertuais à lui prouver ma valeur en lui prodiguant la meilleure pipe de sa vie.
Je le sucait déjà depuis un bon moment lorsque j'ai entamé une  gorge profonde.

La machoire grande ouverte, en salivant sur sa queue que j'ai enfoncé aussi loin que possible, je massai son énorme gland avec ma luette en déglutissant, le regardant dans les yeux, le sentant petit à petit au bord de lâcher prise.
Je m'evertuai ainsi, les mains posées sur ses hanches, à l'avaler de manière experte lorsque sans prévenir, il posa sa main à l'arrière de ma tête et fit pression avec force pour me ramener vers lui et me forcer à engloutir sa bite en entier, en grognant son plaisir.

Il m'a maintenue ainsi de nombreuses secondes, le visage plaqué contre son pubis, me privant d'air avant de relâcher son emprise juste avant que je ne suffoque.
Il força ainsi ma gorge plusieurs fois, me laissant respirer entre chaque, puis toujours sans prévenir, vint poser son autre main sur ma tête pour la maintenir puis se mit alors à faire des va et vient, me baisant littéralement la bouche et la gorge comme si c'était une chatte, sans retenue. Son chibre dur et épais me faisait mal à la gorge à chaques passages et ses couilles claquaient sur mon menton bruyamment.
Il grognait de plaisir allègrement, couvrant presque les bruits de son sexe fourrant ma gorge humide de salive.

Je le sentais au bord de l'orgasme lorsqu'il stoppa ses va-et-vient et vint branler la base de sa queue, une main toujours posée sur ma tête et son gros gland figé à l'intérieur de ma bouche.
Il grossit et se raidit encore davantage lorsque, dans un grognement bestial, la première pulsation expulsa un abondant jet de liquide chaud sur mon palais et ma langue.

Les lèvres étirées par sa largeur de sa grosse bite, les joues creusées autour de son gland, j’aspirais chaques giclées de sperme que les contractions de son membre envoyaient remplir ma bouche.
Je fut rapidement obligée d'avaler au fur et à mesure ses puissantes et abondantes éjaculations qui m'inondait par flots saccadés sans jamais sembler vouloir se tarrir.
Mais il fini tout de même par arrêter de déverser sa semence chaude et épaisse dans un ultime râle de plaisir, ôtant sa main de ma tête.

Je me suis alors mise à lécher et suscoter doucement son gland pour le nettoyer et en extirper les dernières gouttes de foutre, tout en malaxant tendrement ses couilles, pendant que lui me carrassait la tête en me regardant dans les yeux, un sourire satisfait sur le visage.

Son sexe perdant peu à peu de la vigueur, ce n'est qu'une fois qu'il estima son membre suffisamment propre et lustré, qu'il se retira et s'adressa à moi:
" Vous m'avez convaincu Sabine!  Dit-il tout en commençant à ranger son sexe presque débandé dans son pantalon. Vous n'avez plus à douter de votre avenir au sein de notre entreprise, si toutefois vous savez faire preuve avec régularité d'autant de détermination et de professionnalisme.

-Merci monsieur." Lui répondis-je avec un grand sourire, avant d'essuyer du revers de la main la traînée de sperme qui avait coulé à la commissure de mes lèvres.
"Je reste à votre disposition pour toute entrevue nécessaire à la pleine appréciation de mon dossier."

Il me sourit à l'écoute de cette réponse, et ajouta:

" -Mais j'y compte bien Mademoiselle R. , il reste effectivement un ou deux sujets qu'ils nous faudra traiter plus en profondeur, mais je suis convaincu qu'il ne s'agira là que d'une simple formalité, au vue de vos compétences."

Puis il alla s'assoir à son bureau pour y réorganiser ses dossiers, ne me prêtant pas attention le temps que je me relève et réajuste mon tailleur, puis il se leva de nouveau pour m'emboiter le pas et m'ouvrir la porte de son bureau.
Sa poignée de main et son sourire fut tout ce qu'il y a de plus professionnel lorsque je quitta son bureau et que la porte se referma derrière moi, et c'est non sans un certain sourire aux lèvres que je regagna mon modeste deux pièces, la bouche toujours emplie de la saveur de sa semence, ma petite chatte trempée et en feu, et la tête pleines de belles perspectives professionnelles.

Ce dont je ne me doutais pas, c'est où cette situation allait me mener...

Mais ça, ça sera aux prochains épisodes!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Superbe récit,on se croirait à la place de cet homme en lisant c'est un vrai plaisir. Merci à vous au plaisir de vous lire de nouveau.

Histoire Erotique
C’est rempli de fautes d’accord de mauvaise conjugaison etc
Ça coupe « l’appétit « 
Révisez les livres de grammaire et d’orthographe avant de vous lancer dans la littérature erotique
Mathieu du74

Histoire Libertine
Vivement la suite votre description de la fellation m a excite

Histoire Libertine
Superbe vous avez su saisir votre chance

Histoire Erotique
excellent Sabinette. vivement la suite

Histoire Erotique
Je trouve votre aventure rocambolesque bien écrit malgré le choix dans lequel vous étiez confronté.



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