Le docteur pervers. La prise en main.

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le docteur pervers. La prise en main.
Ce récit va moins vous plaire, enfin à certains !
D'autres vont s'octroyer le droit de juger.
Oui ! Vous savez ? Les donneurs de leçons !
Les rétrogrades moralisateurs !
Ceux qui laissent en commentaires: "Fau la quitté, sait une pute !", avec les "fotes" d'orthographe !
Donc, pour ceux ci, arrêtez de lire !
Lâchez votre sexe, et passez à une autre histoire.
Cette crise a lieu en été, pendant les congés de ma femme.
Un an avant son histoire très chaude avec Marc.
Cela commence en Janvier, par contre !
Elle a rencontré le docteur Georges M..., un homme très viril.
Il a galéré pour la séduire !
C'est un médecin cinquantenaire, de son hôpital.
L'homme est très pervers et dominateur, mais ça, elle ne le découvrira qu'après !
Comme il est son supérieur hiérarchique, elle le respecte naturellement, avec une certaine admiration.
Mais, lui en profite, il a jeté son dévolu sur elle, et la veut, coute que coute.
Donc, il la coince dans tous les coins, l'ascenseur, les locaux de stockage, et tout endroit propice à des tentatives de séduction.
Toutefois, il reste très correct, il ne veut pas la brusquer !
"Orhhh ! Docteur Georges ! Stop ! S'il vous plait, j'ai quelqu'un !".
"Laisses toi faire ! tu va pas le regretter ! juste une fois !".
Au fil des jours, il se dévoile davantage, ose lui parler de sexe, lui dit qu'il aimerait la faire jouir des après midi entiers, avec son gros sexe.
Bref peu à peu, il gagne du terrain, il titille sa curiosité.
Surtout, qu'elle le trouve de plus en plus attirant.
Un jour, elle a la confirmation qu'il dit vrai, lorsqu'il parvient à lui faire toucher sa grosse verge en érection.
Elle en mouille sa culotte.
Mais parvient à lui résister, il ne faut pas !
Quand même ! C'est un médecin ! Sur son lieu de travail !
Mais après tout, elle baise bien avec le kiné ?
Ca s'est bien passé avec lui ! Pourquoi pas le docteur ?
Bref, encore, elle a le cul entre deux chaises !
Et puis, depuis un mois, elle est en manque d'amant.
Seul le kiné la soulage, mais trop rarement, à cause de son boulot.
Mais il y a ce mec, qui est prêt à tout, pour lui donner du plaisir !
Ca fait des mois qu'il l'attend ! il en devient touchant, d'ailleurs.
On ne l'a jamais autant désirée.
En plus, elle est réaliste, dans les clubs libertins, elle a tellement connu de bons amants qui lui ressemblaient !
Donc, à force d'invitations pour se rendre chez lui, un jour, il s'étonne de l'entendre répondre:
"Bon ! OK ! Oui ! Je veux bien !".
"Tu te moques pas de moi ? Tu viens !".
"Oui, docteur Georges ! Je viens ! Mais vous ne dites rien, à personne !".
"Promis ! Tu vas pas le regretter, ma p'tite princesse !".
Ils se suivent jusque chez le médecin pervers.
Il la fait attendre dans son entrée.
"Attends, je vais ranger mon salon ! Deux minutes !".
Elle remarque, que c'est l'appartement typique du célibataire endurci.
Il revient rapidement, et l'accueille dans son séjour.
La pièce est lumineuse, avec une vue sur la Rade de Toulon, sans vis à vis.
Elle constate qu'il est fou de technologie.
Des appareils électroniques sont placés dans un meuble, face au canapé.
"Oh, vous aimez la photo ? moi aussi ! Il a l'air génial votre appareil".
"Non, ne touches pas ! Désolé, j'y tiens !".
"Pardon !".
"C'est moi qui m'excuse, viens là, ma princesse !".
Si avec Marc, c'est elle qui a dévoilé ses penchants sexuels, là, c'est Georges qui s'impose !
Et elle s'excite déjà d'imaginer, qu'elle va se faire baiser devant une baie vitrée sans rideau.
Il la serre contre lui, en faisant courir sa main sur son corps.
Il prend sa bouche, en la voyant s'abandonner sous la caresse de son sein.
Elle est rassurée, il a l'air doué de ses mains, et l'embrasse très bien.
Puis, elle se met à râler, lorsqu'il ose remonter sa jupe, pour lui masturber la vulve.
"Eh ! T'es excitée, on dirait ! T'es déjà toute trempée !".
"Arghhh ! Vous m'excitez, docteur Georges !".
"Putain, tu m'as fait attendre, ma p'tite coquine ! J'ai failli lâcher l'affaire ! Alors, c'est quoi ton truc ? Comment tu veux que je te baise ? Avec douceur, du sexe ?".
"Orghhh ! J'aime qu'on me domine ! Quand c'est très cochon !".
"Ouhhhh ! Là ! Mais tu sais que c'est mon pêché mignon ! Mais je joue pas par contre ! J'vais vraiment te dominer ! Tu va être ma salope !".
"Orhhhh ! Oui ! Faites le, docteur ! J'avais peur que vous me respectiez trop !".
"Déshabilles toi, montres moi ce que tu as à m'offrir !".
Elle se dénude, il a déjà instauré une relation de soumission sur elle.
Elle craint même, qu'il n'aime pas son corps magnifique.
Lui se débarrasse également de ses fringues, et l'admire en se posant sur son canapé, avec la verge entre les doigts.
Il l'adore, mais ne veut pas qu'elle se serve de sa beauté pour le contrôler.
On ne sait jamais.
Elle finit son effeuillage, en fixant sa grosse verge, qu'elle découvre enfin de ses yeux.
"Elle te plait ?".
"Oui, Monsieur Georges !".
"Tu peux m'appeler Georges ! Oh, et puis non ! T'as raison, c'est mieux comme ça ! Pour notre relation, c'est plus logique ! Docteur, ou docteur Georges ! C'est bien ! Toi tu seras, ma p'tite princesse, ou ma p'tite salope ! Ca te va ?".
"Oui, docteur !".
Il tapote sur le coté du canapé, lui désignant l'endroit, ou elle doit poser son corps, à demi nu.
Simplement couvert au niveau des jambes par des bas, qui tiennent seuls.
"Viens me sucer !".
Elle se penche au dessus de sa verge.
Ses doigts la caressent avec envie et admiration.
Il pose sa main sur sa tête, elle n'a pas besoin d'appui pour approcher sa bouche.
Elle lui dégage le gland, pour le lécher longuement.
"Hummm ! Oui, comme ça, je sens que ça va être bon, avec toi !".
"Mmmmm ! Ca vous plait, docteur ?".
"Oui, c'est un bon début, continues !".
Elle amplifie ses mouvements de pompage.
Puis ressort sa verge pour la lécher de bas en haut, s'attarde sur ses couilles.
"Comme ça ? Docteur Georges ! Mmmmmm ! Mmmmmm !...".
"Orhhh ! Oui, comme ça ! Tu t'en sors bien !".
"Merci, docteur ! Mmmmm ! Mmmmmm !...".
"Si tu me fais bien jouir, que tu me vides bien les couilles, tu pourras revenir ! Ok ?".
"Oui ! J'veux déjà revenir ! S'il vous plait !".
"On verra, suces !".
La fellation humiliante dure un long moment.
Puis, il lance:
"Tu mériterais que je te punisse de m'avoir fait attendre !".
"Mmmmm ! Mmmmm ! Sllllrp ! Oui, je veux être punie, docteur !".
"Montes sur ma bite alors ! J'vais t'en mettre un coup !".
"Mais ! docteur, vous avez pas de capote !".
"Pas besoin ! Je fais souvent le test, et je sais que t'as du le faire récemment, à cause du protocole ! Pas vrai ?".
"Oui !".
En effet, elle s'est piquée avec une seringue, après qu'elle ai servi sur un patient (prise de sang, je crois), c'est la règle !
Donc, elle ose lui enjamber le bas ventre, avec envie.
Le gros membre épais de plus de 24 cm x 5,5 cm, voir 6 cm lui écartèle la chatte.
"Arghhhhhhhhhhh ! Orhhh ! Docteur ! Ca faisait longtemps !".
"Qu'est-ce qui faisait longtemps ? Dis-moi !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Un grosse queue comme la vôtre !".
"C'est pas ta première, alors ? T'aimes ça ?".
"Orghhhhhh ! Ouiiii ! J'adoorrrrrre !".
"Bon, maintenant, je vais te punir !".
Il la saisit fermement par les hanches et la burine par dessous, sans précaution.
Elle se bloque la bouche dans son bras pour hurler.
"Ta gueule, salope ! C'est ta faute, si j'te défonces comme ça !".
"Mmmmmm ! Ohhhhhhhh....Aarghhhhhhhhh, Ouiiiiiiiiiii ! J'vais jouir docteur ! C'est boooooonnn !".
"Mais c'est qu'elle aime ça, cette pute !".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !....".
"Ohhh ! Toi, j'vais pas te lâcher ! Tu vas être ma salope attitrée ! T'es d'accord ?".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! ...Je ...je suis mariée !".
"J'm'en fous ! Et puis t'es déjà là ! Non ? Sur ma bite ! Alors, t'es ma pute soumise ?".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Encore ! Tout ce que vous voulez, Docteur Georges !".
"Voilà, c'est bien !".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ...".
Il la soulève, puis lui fait prendre une position improbable.
Retournée sur ses épaules, appuyée du dos, sur le canapé.
Il se place au dessus d'elle, avec ses jambes écartées, et en dirigeant sa grosse bite vers le bas, d'une main.
Il fait tomber trois grosses doses de salive, sur son anus.
"Docteur Georges ! Orhhhhh ! Putain ! C'est grrroooooooos !".
Dès que possible, il force son œillet en la tenant par les chevilles.
"Ehhh ! Mais c'est qu'elle encaisse bien, cette salope ! T'en as pris dans le cul, déjà ! Hein, ma p'tite princesse ?".
La verge commence à s'enfoncer, de plus en plus profondément.
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, c'est vrai ! Arghhhhhh ! C'est bon ! Arghhhhhh ! Putain, elle est grosse !".
Elle est surprise par un clic, puis voit qu'il a la main sur une télécommande.
"Docteur ! Arghhhhhh ! Vous faites quoi ?".
"Tu aimes la photo ? Ben, tu seras mon modèle ! On va bien jouer tous les deux, tu verras ! Et puis, c'est trop tard, c'est dans la boite !".
"Arghhhhhh ! Promettez moi que vous les montrerez à personne ! J'ai peur !".
"Promis, ma princesse ! Sauf si tu m'écoutes pas ! Promis, toi aussi ?".
"Oui, docteur Georges ! Promis ! Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! ...".
"On va vérifier ça ! C'est toi qui va appuyer, pendant que je t'éclate le cul ! Tiens !".
Elle lui prend la télécommande, en regardant, ou est posé le doigt.
Dès lors, il s'attache à s'enfoncer en elle, qui appuie de temps en temps, au début.
Puis, les clics s'accélèrent.
Il finit par lui demander:
"Ehhh ! Doucement ! On en fera d'autres, dans d'autres positions ! J'suis sûr que ça t'excites salope ! J'me trompe ?".
"Arghhhhhh ! Oui, c'est vrai, ça me plait, vous me les montrerez ? J'ai envie de voir ! Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! ...".
Elle peut se concentrer sur sa défonce anale, libérée de la télécommande.
Il lui écartèle l'anus sans relâche.
Dans cette position, qui lui permet d'aller plus profondément qu'une autre.
Il s'étonne qu'elle le prenne jusqu'aux couilles.
Mais il en profite, et l'en apprécie que davantage, lui confirmant qu'il va en faire sa soumise attitrée.
Elle accumule les orgasmes, jusqu'au moment, où elle gicle d'un énorme jet en hauteur, qui lui retombe sur la poitrine, et sa petite face d'ange.
"Ohhh ! Ca, c'est la cerise sur le gâteau ! J'adore les filles fontaines ! Encore !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Docteur ! Non ! Arghhhhhh ! ...".
"J'fais ce que je veux ! T'es ma chienne ! Tu l'a pas encore compris ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Docteur ! Faites ce que vous voulez ! Arghhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiii...".
Il la redresse, et la fait monter sur lui.
Elle lui tourne le dos, et envoie sa main sous sa vulve, alors qu'il se replace dans son trou du cul béant.
Il lui tend la télécommande.
Les clics s'enchainent pendant qu'elle se fait démonter l'anus, par dessous.
Elle râle en disant que ça l'excite, de montrer qu'elle aime se faire enculer, par une aussi grosse bite.
"Là, il y a pas photo ! On la voit bien ma grosse bite, dans ton cul de salope ! Et ta p'tite gueule de princesse, aussi !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Docteur ! J'aaaaimme ! Arghhhhhh ! Je vais jouir encorrrrrrrrrrre...".
Un nouveau jet s'expulse, puis d'autres, alors qu'elle enchaine les clics à répétition.
Après cette longue séance, il s'arrête pour remettre un autre pellicule, et lui demande de le sucer.
Toujours en s'occupant des prises de vue.
Il constate qu'elle aime sortir exagérément sa langue, pour lui lécher le gland longuement.
Il s'amuse à l'humilier verbalement.
Elle dit oui à tout ses surnoms vulgaires, tout passe comme un lettre à la Poste !
Même certains qu'elle refusait à d'autres amants, surement pour ne pas passer pour ce qu'elle est.
Il la soulève pour l'éloigner de sa verge.
"Docteur ! Vous faites quoi ? Non ! Encore !".
"Excites moi ! Dis moi ce que tu es ! Ce que t'es prête à faire pour moi !".
"Je...je suis votre salope !".
"Encore, c'est trop gentil ça ! Lâches toi, tu dois la mériter ma bite !".
"Je suis votre pute, votre chienne ! Un vide-couilles ! Votre trou à bites ! Je veux avaler votre sperme ! Vous pourrez m'enculer quand vous en aurez envie !".
"Où je veux ? Quand je veux ?".
"Oui ! Où vous voulez ! Quand vous voulez !".
"Bon ! (il laisse s'enfoncer son anus, sur sa verge) C'est bien ! Tu m'attendras au local, au fond de l'hôpital ! A la pause, de dix heures ! Je veux que tu mettes des bas comme aujourd'hui, si t'as un porte jarretelle, c'est mieux ! Mais pas de culotte ! C'est compris ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Docteur ! Arghhhhhh ! C'est trop bon !".
"Orghhhhhhhhhhhh ! Tu vas m'avoir, salope ! "Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Arghhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiii...Prends toi ça dans le cul, sale petite chienne !".
Elle jouit cérébralement du plaisir de recevoir son éjaculation, enfin !
Les mouvements ralentissent, les esprits se calment aussi.
"Orhhhh ! Putain ! C'était bon, ma princesse !".
"C'est vrai docteur ? vous avez aimé ? On recommencera ?".
"Oui, tu l'a mérité ! T'as assuré ! Tu pourras revenir, pour que je te montre d'autres choses bien excitantes à faire !".
"Merci ! Docteur Georges ! Ohhhrrhh ! J'ai plus envie de l'enlever de mon cul !".
"Tu vas prendre les dernières photos ! Sors la ! Et tu fais sortir mon sperme !".
Elle le fait avec vice, puisqu'elle finit par saisir la verge sous elle.
Pour maculer en son gland, avec son propre foutre.
Puis se l'enfonce jusqu'aux couilles !
Elle remonte, et s'excite de voir sa verge foncée, maculée à la base.
Elle recommence plusieurs fois.
"Arrêtes ! Sinon, je t'encule encore !".
"Vous pourrez pas !".
"C'est ce que tu vas voir !".
Il la place en chienne soumise, en levrette, et l'encule, sans lui demander son avis.
Il n'a pas menti ! Il la démonte en se masturbant dans son orifice !
Il la fait encore gicler un peu, en la couvrant de mots vulgaires.
Il parvient à ses fins, il va encore éjaculer, après une longue saillie anale.
"Tournes toi ! Tu vas m'avaler salope !".
Corinne pivote, les clics s'enchainent, alors qu'elle reçoit sa semence sur la face, avant de le recevoir dans la gorge.
Il lui retire sa verge et lui macule les tétons avec ce qui lui reste.
Il lâche enfin sa bite, vidé !
Elle la saisit et se branle le nichon, tout en agitant ses doigts dans sa chatte.
"Orghhh ! J'suis une salope ! J'ai adoré ça ! Vous m'avez bien enculée ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
"Putain ! J'vais me régaler avec toi ! T'es encore plus salope que je le pensais !".
Elle continue sa caresse sur ses seins, avec son gros gland, sans quitter des yeux sa verge.
"Hummmm ! je l'aime ! Vous m'aimez bien vous aussi, c'est vrai ?".
"Oui !".
Elle a recouvert le gland de sperme, puis l'approche de sa langue pour le lécher.
"Hummm ! Continues ! Ma p'tite princesse dévergondée !".
Puis, c'est au tour de son visage maculé d'être nettoyé ainsi.
Cette fois, c'est lui qui gère les photos.
Trois clics immortalisent sa langue souillée de sperme, léchant son gros gland.
Les deux dernières la montrent sous sa verge, dure et droite, en lui gobant une couille.
L'autre enfoncée sur elle, à s'en étouffer la gorge.
Il lui a imposé de nettoyer ses effluves vaginales, avant qu'elle prenne une douche.
Il la regarde à quatre pattes, essuyant sa cyprine.
Lui se prélassait sur son canapé, s'amusant de ses flatulences anales.
"T'oublieras pas ! Tu m'attends dans le local F...".
"Promis, Mais on aura le temps ?".
"Oui, j'me retiendrai pas ! Et prévois rien, pour demain après-midi ! Tu viens ici !".
"Oui, Merci Docteur Georges !".
"Va prendre ta douche ! Ah ! Tu vas baiser avec ton mari ?".
"Je...je sais pas ! Il me baise presque jamais, c'est différent entre nous, on fait que l'amour !".
"Ben, tu dois te faire chier ! Avec moi, t'auras du vrai sexe ! Tu vas bien jouir ! L'amour, c'est pas ce que je cherche !".
"J'ai vu ! ...m... Merci docteur !".
Elle rentre épuisée de plaisir, encore étonnée de ce qu'il lui a fait.
Elle n'aurait jamais pensé que ce médecin serait aussi pervers, et aussi bon baiseur !
Un sentiment étrange l'envahit, elle vient d'avoir une relation sexuelle avec un salaud, sans aucun respect.
Mais elle a joui comme jamais, et c'est peut-être cette humiliation qui l'a excitée, plus que le plaisir !
Elle se sent encore plus salope qu'auparavant, elle va plus loin avec lui.
Elle a encore mal au cul, mais elle ne regrette rien !
Ce qui la gêne, c'est de trouver une excuse pour ses fesses rougies par ses claques, quand il l'a enculée la dernière fois !
Elle ne peux s'empêcher de repenser à lui, il la perturbe déjà.
Elle se couche sur notre lit, et se procure un orgasme avec les doigts, en revivant tout ce qu'il lui a fait.
Elle convulse en jouissant, lorsqu'elle repense à son éjaculation sur son visage, et dans sa gorge.
Sa verge maculée de sperme, qu'elle léchait sans pour voir s'arrêter.
Que tout ça est gravé sur pellicule.
Elle va le revoir ! C'est évident pour elle !
La preuve en est, qu'elle ne s'était jamais masturbée, après une rencontre.
Elle est attirée par sa manière de la mettre sur un piédestal, tout en la soumettant à l'extrême.
C'est le début d'une relation qui va devenir toxique, mais elle en est addicte, sans le savoir.
D'autres vont s'octroyer le droit de juger.
Oui ! Vous savez ? Les donneurs de leçons !
Les rétrogrades moralisateurs !
Ceux qui laissent en commentaires: "Fau la quitté, sait une pute !", avec les "fotes" d'orthographe !
Donc, pour ceux ci, arrêtez de lire !
Lâchez votre sexe, et passez à une autre histoire.
Cette crise a lieu en été, pendant les congés de ma femme.
Un an avant son histoire très chaude avec Marc.
Cela commence en Janvier, par contre !
Elle a rencontré le docteur Georges M..., un homme très viril.
Il a galéré pour la séduire !
C'est un médecin cinquantenaire, de son hôpital.
L'homme est très pervers et dominateur, mais ça, elle ne le découvrira qu'après !
Comme il est son supérieur hiérarchique, elle le respecte naturellement, avec une certaine admiration.
Mais, lui en profite, il a jeté son dévolu sur elle, et la veut, coute que coute.
Donc, il la coince dans tous les coins, l'ascenseur, les locaux de stockage, et tout endroit propice à des tentatives de séduction.
Toutefois, il reste très correct, il ne veut pas la brusquer !
"Orhhh ! Docteur Georges ! Stop ! S'il vous plait, j'ai quelqu'un !".
"Laisses toi faire ! tu va pas le regretter ! juste une fois !".
Au fil des jours, il se dévoile davantage, ose lui parler de sexe, lui dit qu'il aimerait la faire jouir des après midi entiers, avec son gros sexe.
Bref peu à peu, il gagne du terrain, il titille sa curiosité.
Surtout, qu'elle le trouve de plus en plus attirant.
Un jour, elle a la confirmation qu'il dit vrai, lorsqu'il parvient à lui faire toucher sa grosse verge en érection.
Elle en mouille sa culotte.
Mais parvient à lui résister, il ne faut pas !
Quand même ! C'est un médecin ! Sur son lieu de travail !
Mais après tout, elle baise bien avec le kiné ?
Ca s'est bien passé avec lui ! Pourquoi pas le docteur ?
Bref, encore, elle a le cul entre deux chaises !
Et puis, depuis un mois, elle est en manque d'amant.
Seul le kiné la soulage, mais trop rarement, à cause de son boulot.
Mais il y a ce mec, qui est prêt à tout, pour lui donner du plaisir !
Ca fait des mois qu'il l'attend ! il en devient touchant, d'ailleurs.
On ne l'a jamais autant désirée.
En plus, elle est réaliste, dans les clubs libertins, elle a tellement connu de bons amants qui lui ressemblaient !
Donc, à force d'invitations pour se rendre chez lui, un jour, il s'étonne de l'entendre répondre:
"Bon ! OK ! Oui ! Je veux bien !".
"Tu te moques pas de moi ? Tu viens !".
"Oui, docteur Georges ! Je viens ! Mais vous ne dites rien, à personne !".
"Promis ! Tu vas pas le regretter, ma p'tite princesse !".
Ils se suivent jusque chez le médecin pervers.
Il la fait attendre dans son entrée.
"Attends, je vais ranger mon salon ! Deux minutes !".
Elle remarque, que c'est l'appartement typique du célibataire endurci.
Il revient rapidement, et l'accueille dans son séjour.
La pièce est lumineuse, avec une vue sur la Rade de Toulon, sans vis à vis.
Elle constate qu'il est fou de technologie.
Des appareils électroniques sont placés dans un meuble, face au canapé.
"Oh, vous aimez la photo ? moi aussi ! Il a l'air génial votre appareil".
"Non, ne touches pas ! Désolé, j'y tiens !".
"Pardon !".
"C'est moi qui m'excuse, viens là, ma princesse !".
Si avec Marc, c'est elle qui a dévoilé ses penchants sexuels, là, c'est Georges qui s'impose !
Et elle s'excite déjà d'imaginer, qu'elle va se faire baiser devant une baie vitrée sans rideau.
Il la serre contre lui, en faisant courir sa main sur son corps.
Il prend sa bouche, en la voyant s'abandonner sous la caresse de son sein.
Elle est rassurée, il a l'air doué de ses mains, et l'embrasse très bien.
Puis, elle se met à râler, lorsqu'il ose remonter sa jupe, pour lui masturber la vulve.
"Eh ! T'es excitée, on dirait ! T'es déjà toute trempée !".
"Arghhh ! Vous m'excitez, docteur Georges !".
"Putain, tu m'as fait attendre, ma p'tite coquine ! J'ai failli lâcher l'affaire ! Alors, c'est quoi ton truc ? Comment tu veux que je te baise ? Avec douceur, du sexe ?".
"Orghhh ! J'aime qu'on me domine ! Quand c'est très cochon !".
"Ouhhhh ! Là ! Mais tu sais que c'est mon pêché mignon ! Mais je joue pas par contre ! J'vais vraiment te dominer ! Tu va être ma salope !".
"Orhhhh ! Oui ! Faites le, docteur ! J'avais peur que vous me respectiez trop !".
"Déshabilles toi, montres moi ce que tu as à m'offrir !".
Elle se dénude, il a déjà instauré une relation de soumission sur elle.
Elle craint même, qu'il n'aime pas son corps magnifique.
Lui se débarrasse également de ses fringues, et l'admire en se posant sur son canapé, avec la verge entre les doigts.
Il l'adore, mais ne veut pas qu'elle se serve de sa beauté pour le contrôler.
On ne sait jamais.
Elle finit son effeuillage, en fixant sa grosse verge, qu'elle découvre enfin de ses yeux.
"Elle te plait ?".
"Oui, Monsieur Georges !".
"Tu peux m'appeler Georges ! Oh, et puis non ! T'as raison, c'est mieux comme ça ! Pour notre relation, c'est plus logique ! Docteur, ou docteur Georges ! C'est bien ! Toi tu seras, ma p'tite princesse, ou ma p'tite salope ! Ca te va ?".
"Oui, docteur !".
Il tapote sur le coté du canapé, lui désignant l'endroit, ou elle doit poser son corps, à demi nu.
Simplement couvert au niveau des jambes par des bas, qui tiennent seuls.
"Viens me sucer !".
Elle se penche au dessus de sa verge.
Ses doigts la caressent avec envie et admiration.
Il pose sa main sur sa tête, elle n'a pas besoin d'appui pour approcher sa bouche.
Elle lui dégage le gland, pour le lécher longuement.
"Hummm ! Oui, comme ça, je sens que ça va être bon, avec toi !".
"Mmmmm ! Ca vous plait, docteur ?".
"Oui, c'est un bon début, continues !".
Elle amplifie ses mouvements de pompage.
Puis ressort sa verge pour la lécher de bas en haut, s'attarde sur ses couilles.
"Comme ça ? Docteur Georges ! Mmmmmm ! Mmmmmm !...".
"Orhhh ! Oui, comme ça ! Tu t'en sors bien !".
"Merci, docteur ! Mmmmm ! Mmmmmm !...".
"Si tu me fais bien jouir, que tu me vides bien les couilles, tu pourras revenir ! Ok ?".
"Oui ! J'veux déjà revenir ! S'il vous plait !".
"On verra, suces !".
La fellation humiliante dure un long moment.
Puis, il lance:
"Tu mériterais que je te punisse de m'avoir fait attendre !".
"Mmmmm ! Mmmmm ! Sllllrp ! Oui, je veux être punie, docteur !".
"Montes sur ma bite alors ! J'vais t'en mettre un coup !".
"Mais ! docteur, vous avez pas de capote !".
"Pas besoin ! Je fais souvent le test, et je sais que t'as du le faire récemment, à cause du protocole ! Pas vrai ?".
"Oui !".
En effet, elle s'est piquée avec une seringue, après qu'elle ai servi sur un patient (prise de sang, je crois), c'est la règle !
Donc, elle ose lui enjamber le bas ventre, avec envie.
Le gros membre épais de plus de 24 cm x 5,5 cm, voir 6 cm lui écartèle la chatte.
"Arghhhhhhhhhhh ! Orhhh ! Docteur ! Ca faisait longtemps !".
"Qu'est-ce qui faisait longtemps ? Dis-moi !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Un grosse queue comme la vôtre !".
"C'est pas ta première, alors ? T'aimes ça ?".
"Orghhhhhh ! Ouiiii ! J'adoorrrrrre !".
"Bon, maintenant, je vais te punir !".
Il la saisit fermement par les hanches et la burine par dessous, sans précaution.
Elle se bloque la bouche dans son bras pour hurler.
"Ta gueule, salope ! C'est ta faute, si j'te défonces comme ça !".
"Mmmmmm ! Ohhhhhhhh....Aarghhhhhhhhh, Ouiiiiiiiiiii ! J'vais jouir docteur ! C'est boooooonnn !".
"Mais c'est qu'elle aime ça, cette pute !".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !....".
"Ohhh ! Toi, j'vais pas te lâcher ! Tu vas être ma salope attitrée ! T'es d'accord ?".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! ...Je ...je suis mariée !".
"J'm'en fous ! Et puis t'es déjà là ! Non ? Sur ma bite ! Alors, t'es ma pute soumise ?".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Encore ! Tout ce que vous voulez, Docteur Georges !".
"Voilà, c'est bien !".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ...".
Il la soulève, puis lui fait prendre une position improbable.
Retournée sur ses épaules, appuyée du dos, sur le canapé.
Il se place au dessus d'elle, avec ses jambes écartées, et en dirigeant sa grosse bite vers le bas, d'une main.
Il fait tomber trois grosses doses de salive, sur son anus.
"Docteur Georges ! Orhhhhh ! Putain ! C'est grrroooooooos !".
Dès que possible, il force son œillet en la tenant par les chevilles.
"Ehhh ! Mais c'est qu'elle encaisse bien, cette salope ! T'en as pris dans le cul, déjà ! Hein, ma p'tite princesse ?".
La verge commence à s'enfoncer, de plus en plus profondément.
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, c'est vrai ! Arghhhhhh ! C'est bon ! Arghhhhhh ! Putain, elle est grosse !".
Elle est surprise par un clic, puis voit qu'il a la main sur une télécommande.
"Docteur ! Arghhhhhh ! Vous faites quoi ?".
"Tu aimes la photo ? Ben, tu seras mon modèle ! On va bien jouer tous les deux, tu verras ! Et puis, c'est trop tard, c'est dans la boite !".
"Arghhhhhh ! Promettez moi que vous les montrerez à personne ! J'ai peur !".
"Promis, ma princesse ! Sauf si tu m'écoutes pas ! Promis, toi aussi ?".
"Oui, docteur Georges ! Promis ! Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! ...".
"On va vérifier ça ! C'est toi qui va appuyer, pendant que je t'éclate le cul ! Tiens !".
Elle lui prend la télécommande, en regardant, ou est posé le doigt.
Dès lors, il s'attache à s'enfoncer en elle, qui appuie de temps en temps, au début.
Puis, les clics s'accélèrent.
Il finit par lui demander:
"Ehhh ! Doucement ! On en fera d'autres, dans d'autres positions ! J'suis sûr que ça t'excites salope ! J'me trompe ?".
"Arghhhhhh ! Oui, c'est vrai, ça me plait, vous me les montrerez ? J'ai envie de voir ! Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! ...".
Elle peut se concentrer sur sa défonce anale, libérée de la télécommande.
Il lui écartèle l'anus sans relâche.
Dans cette position, qui lui permet d'aller plus profondément qu'une autre.
Il s'étonne qu'elle le prenne jusqu'aux couilles.
Mais il en profite, et l'en apprécie que davantage, lui confirmant qu'il va en faire sa soumise attitrée.
Elle accumule les orgasmes, jusqu'au moment, où elle gicle d'un énorme jet en hauteur, qui lui retombe sur la poitrine, et sa petite face d'ange.
"Ohhh ! Ca, c'est la cerise sur le gâteau ! J'adore les filles fontaines ! Encore !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Docteur ! Non ! Arghhhhhh ! ...".
"J'fais ce que je veux ! T'es ma chienne ! Tu l'a pas encore compris ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Docteur ! Faites ce que vous voulez ! Arghhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiii...".
Il la redresse, et la fait monter sur lui.
Elle lui tourne le dos, et envoie sa main sous sa vulve, alors qu'il se replace dans son trou du cul béant.
Il lui tend la télécommande.
Les clics s'enchainent pendant qu'elle se fait démonter l'anus, par dessous.
Elle râle en disant que ça l'excite, de montrer qu'elle aime se faire enculer, par une aussi grosse bite.
"Là, il y a pas photo ! On la voit bien ma grosse bite, dans ton cul de salope ! Et ta p'tite gueule de princesse, aussi !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Docteur ! J'aaaaimme ! Arghhhhhh ! Je vais jouir encorrrrrrrrrrre...".
Un nouveau jet s'expulse, puis d'autres, alors qu'elle enchaine les clics à répétition.
Après cette longue séance, il s'arrête pour remettre un autre pellicule, et lui demande de le sucer.
Toujours en s'occupant des prises de vue.
Il constate qu'elle aime sortir exagérément sa langue, pour lui lécher le gland longuement.
Il s'amuse à l'humilier verbalement.
Elle dit oui à tout ses surnoms vulgaires, tout passe comme un lettre à la Poste !
Même certains qu'elle refusait à d'autres amants, surement pour ne pas passer pour ce qu'elle est.
Il la soulève pour l'éloigner de sa verge.
"Docteur ! Vous faites quoi ? Non ! Encore !".
"Excites moi ! Dis moi ce que tu es ! Ce que t'es prête à faire pour moi !".
"Je...je suis votre salope !".
"Encore, c'est trop gentil ça ! Lâches toi, tu dois la mériter ma bite !".
"Je suis votre pute, votre chienne ! Un vide-couilles ! Votre trou à bites ! Je veux avaler votre sperme ! Vous pourrez m'enculer quand vous en aurez envie !".
"Où je veux ? Quand je veux ?".
"Oui ! Où vous voulez ! Quand vous voulez !".
"Bon ! (il laisse s'enfoncer son anus, sur sa verge) C'est bien ! Tu m'attendras au local, au fond de l'hôpital ! A la pause, de dix heures ! Je veux que tu mettes des bas comme aujourd'hui, si t'as un porte jarretelle, c'est mieux ! Mais pas de culotte ! C'est compris ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Docteur ! Arghhhhhh ! C'est trop bon !".
"Orghhhhhhhhhhhh ! Tu vas m'avoir, salope ! "Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Arghhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiii...Prends toi ça dans le cul, sale petite chienne !".
Elle jouit cérébralement du plaisir de recevoir son éjaculation, enfin !
Les mouvements ralentissent, les esprits se calment aussi.
"Orhhhh ! Putain ! C'était bon, ma princesse !".
"C'est vrai docteur ? vous avez aimé ? On recommencera ?".
"Oui, tu l'a mérité ! T'as assuré ! Tu pourras revenir, pour que je te montre d'autres choses bien excitantes à faire !".
"Merci ! Docteur Georges ! Ohhhrrhh ! J'ai plus envie de l'enlever de mon cul !".
"Tu vas prendre les dernières photos ! Sors la ! Et tu fais sortir mon sperme !".
Elle le fait avec vice, puisqu'elle finit par saisir la verge sous elle.
Pour maculer en son gland, avec son propre foutre.
Puis se l'enfonce jusqu'aux couilles !
Elle remonte, et s'excite de voir sa verge foncée, maculée à la base.
Elle recommence plusieurs fois.
"Arrêtes ! Sinon, je t'encule encore !".
"Vous pourrez pas !".
"C'est ce que tu vas voir !".
Il la place en chienne soumise, en levrette, et l'encule, sans lui demander son avis.
Il n'a pas menti ! Il la démonte en se masturbant dans son orifice !
Il la fait encore gicler un peu, en la couvrant de mots vulgaires.
Il parvient à ses fins, il va encore éjaculer, après une longue saillie anale.
"Tournes toi ! Tu vas m'avaler salope !".
Corinne pivote, les clics s'enchainent, alors qu'elle reçoit sa semence sur la face, avant de le recevoir dans la gorge.
Il lui retire sa verge et lui macule les tétons avec ce qui lui reste.
Il lâche enfin sa bite, vidé !
Elle la saisit et se branle le nichon, tout en agitant ses doigts dans sa chatte.
"Orghhh ! J'suis une salope ! J'ai adoré ça ! Vous m'avez bien enculée ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
"Putain ! J'vais me régaler avec toi ! T'es encore plus salope que je le pensais !".
Elle continue sa caresse sur ses seins, avec son gros gland, sans quitter des yeux sa verge.
"Hummmm ! je l'aime ! Vous m'aimez bien vous aussi, c'est vrai ?".
"Oui !".
Elle a recouvert le gland de sperme, puis l'approche de sa langue pour le lécher.
"Hummm ! Continues ! Ma p'tite princesse dévergondée !".
Puis, c'est au tour de son visage maculé d'être nettoyé ainsi.
Cette fois, c'est lui qui gère les photos.
Trois clics immortalisent sa langue souillée de sperme, léchant son gros gland.
Les deux dernières la montrent sous sa verge, dure et droite, en lui gobant une couille.
L'autre enfoncée sur elle, à s'en étouffer la gorge.
Il lui a imposé de nettoyer ses effluves vaginales, avant qu'elle prenne une douche.
Il la regarde à quatre pattes, essuyant sa cyprine.
Lui se prélassait sur son canapé, s'amusant de ses flatulences anales.
"T'oublieras pas ! Tu m'attends dans le local F...".
"Promis, Mais on aura le temps ?".
"Oui, j'me retiendrai pas ! Et prévois rien, pour demain après-midi ! Tu viens ici !".
"Oui, Merci Docteur Georges !".
"Va prendre ta douche ! Ah ! Tu vas baiser avec ton mari ?".
"Je...je sais pas ! Il me baise presque jamais, c'est différent entre nous, on fait que l'amour !".
"Ben, tu dois te faire chier ! Avec moi, t'auras du vrai sexe ! Tu vas bien jouir ! L'amour, c'est pas ce que je cherche !".
"J'ai vu ! ...m... Merci docteur !".
Elle rentre épuisée de plaisir, encore étonnée de ce qu'il lui a fait.
Elle n'aurait jamais pensé que ce médecin serait aussi pervers, et aussi bon baiseur !
Un sentiment étrange l'envahit, elle vient d'avoir une relation sexuelle avec un salaud, sans aucun respect.
Mais elle a joui comme jamais, et c'est peut-être cette humiliation qui l'a excitée, plus que le plaisir !
Elle se sent encore plus salope qu'auparavant, elle va plus loin avec lui.
Elle a encore mal au cul, mais elle ne regrette rien !
Ce qui la gêne, c'est de trouver une excuse pour ses fesses rougies par ses claques, quand il l'a enculée la dernière fois !
Elle ne peux s'empêcher de repenser à lui, il la perturbe déjà.
Elle se couche sur notre lit, et se procure un orgasme avec les doigts, en revivant tout ce qu'il lui a fait.
Elle convulse en jouissant, lorsqu'elle repense à son éjaculation sur son visage, et dans sa gorge.
Sa verge maculée de sperme, qu'elle léchait sans pour voir s'arrêter.
Que tout ça est gravé sur pellicule.
Elle va le revoir ! C'est évident pour elle !
La preuve en est, qu'elle ne s'était jamais masturbée, après une rencontre.
Elle est attirée par sa manière de la mettre sur un piédestal, tout en la soumettant à l'extrême.
C'est le début d'une relation qui va devenir toxique, mais elle en est addicte, sans le savoir.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Terrible ce texte Corinne en profite à fond et prend beaucoup de plaisir toutefois elle devrait se méfier des photos d’ailleurs tu nous précise qu’il est toxique donc c’est un prédateur. Dommage pour Corinne qui pensait avoir affaire à un amant hors pair qui satisferai son hypersexualite.Daniel
Tiens ! Le revoilà ! Lui !
Qui s’assemble se ressemblent. Ainsi vous accompagnez votre conjointe dans sa déchéance. C’est vraiment une belle histoire d’amour ….. entre elle et ses amants

