Le docteur pervers. Le retournement de situation.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Le docteur pervers. Le retournement de situation. Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2025 dans la catégorie A dormir debout
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Le docteur pervers. Le retournement de situation.
La suite ne s'est pas faite sans encombre, ni sans crise de couple.

Je suis retourné parfois chez Mario, quand j'étais en crise de jalousie.
Il me baisait, mais me faisait plus de bien qu'elle, puisqu'elle était le problème.

J'ai fait des efforts en la laissant choisir un nouveau gode ceinture, encore meilleur que l'autre.
Puis, en la laissant assouvir son besoin de domination, en enculant un homme qu'elle aimait, donc moi.
Malgré tout mes efforts, et le fait d'assister à son réel plaisir en me dominant, j'avais du mal à me lâcher !
Elle me disait amoureusement:

"Avec toi, c'est plus fort, parce que je t'aime ! J'ai besoin de te prendre, pour te montrer combien je t'aime !".

Je pense alors que tout est revenu à la normale, en deux mois environ.

Puis, le doute me revient.
Je pense que Georges a du parvenir à ses fins, quelques fois de plus !
On ne se débarrasse pas d'un besoin comme ça ! D'un coup !
Je l'ai vécu avec Fred, moi aussi !

Surtout qu'ils se côtoient tous les jours !
Des mois plus tard, elle m'a révélé qu'il avait fait une autre victime, et s'en contentait.

Mais aussi, qu'elle lui a cédé plusieurs fois.
Il savait trouver les mots comme:

"On fait rien de mal ! Repenses au plaisir que je te donnai ! C'était trop bon, non ? Ou alors tu m'as menti ?".

Il y parvient de moins en moins, au fil des semaines, jusqu'à jeter son dévolu sur cette autre proie, une certaine Lili.

Corinne s'en libère, peu à peu, c'est ce qui importe pour elle.
Je peux pas lui en faire de reproches !

Seulement, c'est pas si simple, tout n'était pas vrai !
J'ai croisé Georges au Sex-Shop, une heure avant la fermeture, il m'a encore humilié, en me défonçant la chatte, cet enfoiré.

Il voulait que je remplace ma femme tous les lundis ! Il est taré, ce mec !
Après avoir connu Fred. Ca risquait pas d'arriver !
Dés ce soir là, je faisais gaffe, s'il était là, je quittai le Sex-Shop !

Mais, il a changé d'endroit, il m'a coincé au bord de mer.
J'ignorais que Corinne l'informait de mes habitudes, et de mes lieux de baises.

Putain, j'ai honte d'avouer, qu'il m'a encore bien enculé, ce salaud.
Là, quand il a joui, il s'est calmé et m'a demandé:

"Pourquoi tu m'aimes pas ? Je te baise bien, non ? Et je pensais que t'aimais qu'on baise ta femme ! Ca te plait d'être cocu !".
"Au départ, c'est pas pour mon plaisir personnel, c'est pour le sien ! C'est pour ça que je me sens pas "Cocu" comme tu le dis ! Je suis complice de ses plaisirs ! Je l'aide à s'épanouir ! Je le vois comme ça !".

"Ouais, c'est un peu différent ! Elle aurait du me dire ça ! Dommage ! On aurait pu s'entendre
tous les trois !".
"Non ! T'es trop attiré par la domination ! T'es trop dangereux ! Une baise de temps en temps, ça va ! Mais une relation suivie, pas possible ! J'ai connu un autre homme comme toi ! Je sais ce que c'est ! Tu vas nous détruire, comme tu as détruit Corinne !".

"Elle s'en remet, elle s'en plaint plus ! Elle t'a dit que je l'ai encore enculée ! Ma p'tite salope ! Ma princesse !".
"Oui, je sais !".

En disant ça, j'ignore que c'est très récemment.

"Donc, si je me contente d'un p'tit coup en passant, j'peux vous baiser tous les deux !".
"Moi, je suis assez solide pour le gérer, mais Corinne ! On va éviter !".

"Pourtant ! Elle va mieux ces derniers temps !".
"Oui, elle se remet ! Lentement !".

Et là, il m'annonce:

"Je la vois à l'hôpital ! Elle est radieuse ! Finalement, t'as raison, c'est bien aussi de la baiser, avec cet esprit ! Elle s'habitue à l'évolution de notre relation !".
"C'est à dire ? Quelle évolution ?".

"Ben, elle a gagné ! Elle vient me voir, que quand elle a envie, pas sur mes ordres ! Je l'ai encore enculée cette semaine !".
"Quoi ? Pfffffffff ! Elle revoit pas l'autre en plus ? Robert ! J'espère ?".

"Non, lui c'est fini ! Elle l'a viré depuis longtemps ! Mais rassures toi, c'est toujours aussi hard, mais je la baise normalement, maintenant, j'ai déjà une autre esclave pour mon coté sado-maso ! T'inquiètes pas ! Par contre, prépares ta p'tite chatte, j'vais encore te défoncer ma p'tite salope ! Et je raconterai tout à Corinne, en l'enculant, elle aussi !".

Cette fois, il m'a fait éjaculer sur moi, puis pisser sur la terre battue, en me pivotant, ce salaud !

Des hommes sont arrivés, trois, puis deux autres, et ainsi de suite.
Il s'est écarté avant d'éjaculer, pour me voir subir une baise à la chaine.

Les inconnus se vidaient les couilles, moins vite qu'ils n'arrivaient.
Dix ou douze, minimum, voire plus, je ne saurai pas le dire, peut-être plus d'une quinzaine.

Vers la fin, comme il rebandait, il est venu pour m'ouvrir les cuisses, et me remplir la chatte.
Un dernier homme que je connaissais déjà, lors de rencontres précédentes, se branlait au dessus de ma bouche ouverte.
Il dit a Georges:

"Putain ! T'as de la chance ! Tu l'encules sans capote ! Il est d'accord ?".
"Ouais, on se connait ! On a une salope en commun, tous les deux !".

J'arrête de sucer l'autre, pour lui lancer un regard furieux, il comprend qu'il doit se taire !

Puis, le premier éjacule abondamment dans ma gorge, se fait encore un peu sucer, et nous laisse finir à deux.

Je suis rentré avec le tee-shirt maculé de nombreux spermes, que j'ai tenté de cacher sous ma chemise.
J'ai longuement essuyé mes cheveux également, j'espère que personne n'a rien remarqué.

Quand Corinne a fait une lessive, elle m'a demandé:

"C'est quoi ces taches ? C'est ce que je pense ?".
"Oui, c'est du sperme ! Il faudra qu'on en reparle d'ailleurs !".

Je n'en aurai pas l'occasion, Georges lui a tout raconté.
Finalement, nos craintes se sont estompées, face aux efforts de Georges.
La situation s'est normalisée.

J'ai fini par me rendre chez lui, seul, et avec Corinne également pour des délires bisexuels.
Je le calmai, quand il allait trop loin.

Enfin, un jour, il m'a donné rendez-vous.
Je pensais qu'il avait envie de moi.

Mais, il m'a présenté sa jeune "esclave sexuelle".
Une fille d'à peine 18 ans, Elle était nue dans la chambre, avec les mains attachées dans le dos par des menottes.

Ce n'était pas un canon de beauté, mais elle avait un charme fou.
Elle possédait un corps magnifique, cependant.
En fait, il avait envie de bisexualité, mais ma femme était injoignable.

"Tu connais pas ma princesse ! Ma p'tite Lili ! Ma jeune salope ! Lui c'est Pascal ! Le mari de Corinne ! Lui aussi, je le baise !".

Elle me sourit, sans dire un mot, je vois clairement, qu'elle a subi une sodomie, avant que j'arrive.
Un bip résonne:

"Oh putain, j'ai une urgence ! Non ! Pas maintenant ! Désolé Pascal ! Je suis d'astreinte ! Bon, salope ! Je me vide les couilles, et j'y vais ! Pascal va te finir ! OK ? Toi, tu la défonces bien ! Je compte sur toi ! Déshabilles toi pendant que je l'encule !".
"Quoi ? Georges ! Non ! Je peux pas faire ça ! C'est pas mon truc !".

Il s'est enfoncé dans l'anus de Lili, et se déchaine comme un bourrin.
Elle crie comme un chienne, il la démonte, le salaud.
En moins de cinq minutes, il lui envoie une dose énorme de foutre, dans son jeune anus.
Il me dit en partant:

"Tu fais comme tu veux, mais tu la baises !".

Il disparait.
Moi qui pensait, qu'il allait me baiser, je suis pris au dépourvu.

Lili à l'air épuisée, tout ce que je ressens, c'est de l'empathie.
Elle est si attirante, son visage si attendrissant.

Je m'approche d'elle, elle relève sa croupe, pour s'offrir à moi.

"Non, je... Je peux pas ! Pas comme ça !".

J'attrape un rouleau de papier essuie-tout, et lui nettoie l'anus.

"Qu'est-ce que tu fais ? Georges a dit que tu devais me baiser ! Tu peux la mettre dans mon petit cul, toi aussi !".
"Désolé, je peux pas ! On va avoir un rapport sexuel, mais à ma manière !".

"Comment ? Je comprends pas ! C'est comme ça qu'on fait ! Non ?".

Je la détache, puis lui caresse le visage.

"C'est ton premier homme ? Je suppose !".
"Oui ! Et je l'aime ! Je ferai tout pour lui faire plaisir ! Baises moi ! Tu peux !".
"Chhhht ! On a le temps ! Comment vous vous êtes connus ?".

Elle me raconte, pendant que je la libère de ses menottes.
Elle reste étonnée, puis commence son récit:

"Il connait mes parents ! Il m'a vu grandir ! C'est le seul qui a fait attention à moi ! Il me trouve belle ! Je sais que c'est pas vrai ! Même si il est beaucoup plus vieux que moi, je suis tombée amoureuse de lui".
"Mais non ! Tu es très jolie ! Tu as tort de penser que tu n'es pas belle !".

Je lui caresse encore le visage, en la fixant tendrement.
Elle s'abandonne sans dire un mot, seulement quelques murmures de bonheur.

Lentement, je lui caresse le reste de son si joli corps de jeune femme.
Nos lèvres s'entremêlent.

"Orhhh ! Pascal ! Toi aussi, tu embrasses bien ! C'est bon !".

Bref, je lui montre mon envie de l'aimer.
Avec une crainte toutefois, celle de ne pas la satisfaire comme Georges, avec ma verge "normale".

Mes seules armes sont mes mains et ma bouche, en plus de ma verge banale.
Comme elle me fait craquer, je lui fait l'amour aussi passionnément qu'à Corinne.

Contre toute attente, elle jouit plusieurs fois en s'abandonnant à moi.
Son vagin s'est habitué à ma verge, en me comprimant.

Quand je l'aime analement, son anus s'est serré, lui aussi, mais grâce à nos rapports vaginaux.
Ca faisait longtemps, que je n'avais plus aimé une fille aussi longuement.

Après une dernière position en rapport anal, alors qu'elle est allongée sur le ventre, sous moi, pour la pilonner, je la pivote avec l'idée de ne plus me retenir.
Elle ouvre ses cuisses, pour m'accueillir encore.
J'éjacule rapidement dans son anus, pendant qu'elle jouit en m'embrassant.

Putain, j'ai peur d'être allé trop loin avec Lili !
J'ai peur des sentiments naissants qui me submergent.

"Pascal ! Je veux te revoir ! C'était trop bien ! Toi aussi, ça t'as plu ?".
"Oui, mais il y a Georges ! Tu l'oublies !".

"Je sais ! Mais il baise Corinne, et les autres ! On a le droit nous aussi ! On lui dira pas, c'est tout !".
"Je... Je sais pas, j'ai peur de tomber amoureux de toi !".

Elle a les yeux qui brillent.

"Moi aussi, je ressens quelque chose ! Mais c'est trop tard ! Je veux refaire l'amour avec toi ! Ca me fait trop de bien ! J'me sens heureuse dans tes bras !".
"Et Georges ? Il va encore te baiser ! Tu le sais !".
"... oui, je sais ! J'en ai encore besoin, je crois ! Et je l'aime aussi ! On verra bien !".

Elle m'informe de ses moments libres, ça se fera pendant les services de Georges, et comme je suis entre deux missions intérim, sans travail, on a pu approfondir notre attirance amoureuse.

J'ai cessé de me faire prendre par Georges, trop ambigu pour moi, tout ça.

On changeait souvent de lieu, pour nous retrouver avec Lili.
Donc, après un incident de travail, en rentrant plus tôt, Corinne nous a surpris chez moi.

Elle nous a regardé faire l'amour, sans se faire entendre.
Elle pleurait sur le canapé, quand on a finit de nous aimer, et en sortant de ma chambre.
Ensuite, elle nous a hurlé dessus !

"Salope ! C'est mon mec ! Je pensais que t'étais mon amie, aussi !".
"T'es gonflée ! Tu baises bien avec Georges ! Que je saches ! On a le droit ! C'est vous qui avez commencé, après tout !".

"C'est pas pareil ! C'est que du sexe avec lui ! Il le sait d'ailleurs, pour vous deux ? Parce qu'il va le savoir, je te le dis !".
"J'm'en fous, je comptais le quitter de toute façon ! Je supporte plus sa façon de me baiser ! J'aime Pascal !".

Corinne se jette sur elle, je la rattrape au vol, avant que le pire arrive.

"Lili ! Va t'en, s'il te plait ! Laisses nous !".
"Ne me quittes pas, mon amour ! Dis-moi que tu m'aimes !".

"Oui, Lili ! Je t'aime, tu le sais ! Mais, c'est pas aussi simple que ça ! On en reparlera ! Laisses nous !".

Lili est partie, Corinne est effondrée, à genoux au sol.

"Pourquoi tu m'as fait ça ?".
"Parce que je t'aime toujours, mais on peut pas dire que c'est idéal entre nous, en ce moment ! Et Lili à raison, vous vous êtes pas gênés, vous non plus !".

"Mais je le vois de moins en moins ! Il me baise presque plus !".
"Peut être, mais t'as réagi trop tard ! Je me suis consolé avec Lili ! Elle m'apporte beaucoup ! Même si je t'aime encore comme un fou !".

"Tu vas me quitter ?".
"Je...je sais pas ! Tu le mériterais ! Mais il y la petite, je peux pas lui faire ça, et c'est pas comme si je t'aimais plus !".

"Ne me quittes pas ! Je t'aime trop ! je peux pas vivre sans toi, je vais tout arrêter ! j'vais plus baiser avec d'autres hommes ! Promis !".

"Ca ! Ca ne sera pas possible ! Restons réaliste ! Par contre, comme moi avec Fred, tu vas te passer de tes besoins sado-maso ! C'est pas compatible avec notre couple ! Et... il faudra supporter que je revois Lili, de temps en temps ! Je veux pas la laisser dans les bras de Georges ! Je vais essayer de la pousser dans les bras d'un autre ! Quelqu'un qui la rendrait heureuse ! Elle est trop jeune, pour gâcher sa vie avec moi ! Tu te sens d'attendre ?".

"Oui, tu as attendu pour moi, j'attendrai aussi ! J'veux pas que tu me quittes ! Je vais me battre ! Je vais demander une mutation, pour ne plus le voir !".

Comment ça s'est fini ? J'ai poussé Lili à vivre sa vie, à sortir dans des lieux où l'on danse, bref, où on vit quoi !
Elle s'est faite des amis, grâce à son changement radical, vêtements, posture, ect...
Ce n'était plus une victime ! Le bonheur la rendait attirante et radieuse.

Elle avait mon accord pour des aventures d'un soir.
La troisième fut la bonne.
Un homme de 23 ans, qui est devenu fou d'elle.

On se voyait de moins en moins, sous mon impulsion, et avec ma confirmation, que je ne quitterai jamais Corinne.

Quand à Corinne, elle s'est faite embaucher dans un Ehpad, avec l'appui de son copain, le kiné.

Avant cela, elle m'a surpris, un soir, en rentrant tard !
Elle portait un grand sac, qu'elle a rangé dans notre chambre.

"On en reparlera après !".

On a assumé nos rôles de parents.
Puis, lorsque ce fut possible, elle m'a tendu une boite pleine de photos !

"Voilà, aujourd'hui, c'était la dernière fois qu'il me baise ! J'ai profité qu'on l'appelle à l'hôpital, pour fouiller et récupérer tout ça !".

Je découvre plusieurs centaines de photos pornographiques d'elle, avec Georges, mais aussi de Lili !

"Quel enculé ! Il te tenait avec ça ?".
"Oui et non ! Ca me plaisait aussi ! Je peux pas le cacher ! Mais le reste, je savais pas !".
"Quel reste ?".

Elle disparait pour revenir avec le grand sac, il est plein de cassettes vidéos !

Deux tiers portent la mention "Princesse 1", c'est ma femme.
Le reste est quasiment réservé à "Princesse 2", c'est Lili.
Et une dizaine porte l'annotation "Mon cocu", donc moi !

"T'avais raison, c'est un enculé ! Mais dans l'autre sens du terme ! Je peux plus le voir ! Je le déteste !".

J'ai honte d'avouer que j'ai visionné les cassettes, avec un certain plaisir de voyeur.
Puis, j'ai retrouvé mon sérieux, et je les ai détruites au bout de quelques semaines.

J'ai retrouvé Lili, pour lui donner les photos la concernant.

"C'est grâce à Corinne ! Tu sais ? A sa façon, et malgré notre histoire, elle t'aime beaucoup ! Elle m'a dit que tu ne méritais pas ça ! Je t'ai pas emmené les vidéos, saches que je les ai brulées !".

"Il nous a filmé ? Le salaud ! Merci Pascal ! Tu lui diras merci, aussi ! Je t'ai pas assez remercié de m'avoir sortie de là ! Je t'oublierai jamais ! Et Corinne ? Tu l'aimes toujours ?".

"Oui ! C'est la femme de ma vie, et la mère de ma fille ! Et puis, elle accepte ma bisexualité aussi !".
"Je l'acceptai, moi aussi !".

"Je sais ! Tu es heureuse avec Fabien ?".
"Oui, il a tout ce dont je rêvais ! Il prend soin de moi ! Je l'aime lui aussi ! Même si je pense toujours à toi, à nous deux aussi !".

"Tu vas t'habituer ! C'est mieux comme ça ! Mais moi aussi, je penserai toujours à notre histoire ! Je t'ai vraiment aimée, tu sais !".

On évite de se toucher, succomber à notre besoin de rapprochement serait fatal !
On s'est séparé avec difficulté, mais on y est parvenu.

J'ai conservé plus longtemps les photos avec Corinne, quasiment une année, puis je m'en suis sevré.
Un feu dans la nature, devant Corinne, a fini de clore cette histoire compliquée.

Corinne a été traumatisée par cette histoire, refusant toute relation extraconjugale pendant plusieurs mois.
Ce qui causera un autre problème de manque de libido, et me jettera dans les bras d'Alice.
Le kiné n'a jamais cessé de la relancer.
C'est lui qui lui a redonné gout au libertinage !
Merci mec !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Et bien comme je le pressentais ton couple a bien était ébranlé et le prédateur sado maso continue son chemin heureusement tu as réagi et réussi à sortir non seulement Corinne et toi de ses griffes mais en plus tu as appris à Lili le vrai amour et les étreintes qui vont avec. Bravo Pascal. Daniel

Tout semble finir bien pour vous. Il a fallu beaucoup de patience, de concessions et d’amour.
De mon côté je ne serais jamais allé jusque là. Si vous êtes heureux comme ça, merveilleux!



Texte coquin : Le docteur pervers. Le retournement de situation.
Histoire sexe : Une rose rouge
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