Le Donjon
Récit érotique écrit par Bluberry49 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le Donjon
Cécile est une femme à qui il ne faut pas raconter d’histoire. Elle se souvenait très bien que quelques semaines plutôt, Anna sa copine s’était éclatée avec son propre mari et celui de Cécile.
Lors de la dernière coquinerie, Cécile avait eu que des miettes, sa copine s’était faite déboitée par les deux males, l’un par la bouche et l’autre par la chatte.
Cécile qui avait été très excitée par la scène avait eu droit qu’un petit cunni de la part de sa copine et avait due se finir à la mano.
Il parait que la vengeance est un plat qui se mange froid dit-on. C’est dans cet esprit que Cécile a invité Anna à se rencontrer, mais cette fois-ci sans les hommes, histoire de se retrouver entre femme et de gouter aux joies du plaisir saphique…Cécile avait une idée assez précise de cette nouvelle rencontre avec Anna. Rendez-vous était pris depuis une semaine et au coup de sonnette qui retentit elle savait que c’était elle qui arrivait.
Anna savait pourquoi elle venait. Elle avait mis une robe très sexy qui plutôt que de cacher ses formes, les montrait encore plus. Sa robe moulante noire indiquait clairement qu’elle ne portait rien en dessous, on devinait largement sa belle poitrine généreuse et ses tetons prêt à durcir. Ses jambes longues étaient soulignées probablement par des bas genre Dim up.
Bref Anna s’était mise en version salope prête à embrasser, caresser, lécher Cécile pour leurs plus grands bonheurs.
Cécile aussi s’était habillée en version coquine, elle portait un chemisier bleu assez transparent qui laissait apparaitre un redresse-seins. Sa poitrine était un peu plus menue, mais ce redoutable accessoire de lingerie, lui allait à ravir. Elle portait une jupe moulante assez courte en cuir avec des bas noirs. Sa tenue lui donnait des airs de jeune femme bien élevée mais avec un air de chaudasse qui finalement lui plaisait bien.
On allait bien s’amuser pensa-telle.
Après quelques mots d’usage, Cécile expliqua qu’elles étaient attendues à un certain endroit et qu’il fallait partir de suite.
Elles prirent la voiture, et comme il commençait à faire tard, la nuit tombait.
Cécile prit une route qui s’enfonçait de plus en plus loin dans la campagne Au bout de vingt minutes, au bout d’un chemin se dressait une grande bâtisse. Cécile se gara devant et maintenant la pluie tombait de manière drue ce qui rendait l’ambiance un peu inquiétante.
Une lanterne rouge ondulait au-dessus de la porte au gré du vent. Cécile frappa la porte à l’aide du battoir … une trappe dans la porte s’ouvre, laissant apparaitre deux yeux, puis se referme, un instant d’après la lourde porte en bois s’ouvre et une femme les invitent à rentrer prestement.
Cécile et Anna se retrouvent dans un grand vestibule éclairé sommairement par des chandelles, de longues tentures rouges carmin semblent cacher d’autres portes … La femme qui les accueille porte une tenue de cuir, qui laisse la poitrine libre. Sa poitrine est forte mais acceptable, car tout son corps est très charpenté, a vue de nez elle doit faire dans les 80 kg pour 1.60 mètres jaugea dans son esprit Cécile. Des pinces-tétons reliées par une chaine, mettent ses seins en valeur, cela doit être douloureux, et excitant à la fois pensa-t-elle.
Son visage est caché par un masque en dentelle noire qui laisse apparaitre un regard dur. Une cape et des cuissardes finissent d’habiller cette grosse femme, dont on ne se sait pas si elle est sympathique ou pas.
Sa voix rauque claque comme un coup de fouet et ordonne aux deux femmes de la suivre en se taisant. Elles rentrent dans une salle pourvue d’une grande hauteur de plafond avec des boiseries peintes, on se croirait dans un donjon. Au mur des fouets et des cravaches sont suspendues ainsi que des chaines …Dans un recoin de la pièce une croix de st André est en attente.
La femme demande à Anna de se mettre à genoux, mais Anna n’as pas encore compris le jeu, elle reçoit un coup de cravache sur les seins, cela fait mal, elle se demande ce qui va arriver.
Anna s’exécute et la femme sort une cagoule en vinyle et lui met sur la tête. Ca y est la séance est partie, mélange de peur et d’excitation ...le vinyle épouse parfaitement son visage c’est chaud et doux. La femme demande au deux amies de se mettre nues à quatre pattes et les bâillonnent avec ce genre de bâillon avec une boule qui rentre dans la bouche pour ne pas crier. Elle passe derrière les croupes et touche leurs chattes lisses. Elle met deux doigts dans leur abricot et un autre doigt dans le petit trou pour si elles sont bien disponibles pour son maitre.
Maintenant la femme a décidé de les dresser à sa manière afin d’avoir deux salopes bien dociles dont elle pourra profiter. Les coups de cravache soutenus rougissent le cul des femmes, des cris étouffés remplissent la salle. Les deux amies soumises se dandinent, ce qui renforce encore plus les coups. La cravache passe entre les fesses, caresse les chattes gonflées entre douleur et plaisir. Ce mélange de sensation est plutôt excitant et les deux salopes commencent à mouiller sévèrement. Au bout d’une cinquantaine de coups, la femme s’arrête et sur les fesses rougies, commence à les embrasser, sa langue commence à se promener sur leurs culs tour à tour.
Soudain elle ordonne à Anna de cambrer son cul et d’écarter ses fesses avec ses mains. Anna ne veut pas mais un coup de cravache lui rappel qui commande. Elle s’exécute et offre une belle vue sur son abricot qui brille de mouille et son œillet brun prêt à recevoir tous les assauts.
La femme plonge la tête entre les fesses et commence un cunni sans ménagement. Elle tire sur les lèvres, passe sa langue sur la chatte tout en se délectant de la cyprine.
Sa langue va de bas en haut, aspire le clito, pour finir sur le petit trou. Anna est contrariée dans cette position, le cul offert à la langue inquisitrice, mais elle aime se faire dévorer le minou sous la contrainte. Elle sent que sa volonté de résister l’abandonne et cède de plus en plus au plaisir sous la langue de son amante. La salope, elle sait y faire pense-t-elle. Anna ne peut résister à lâcher un soupir d’aise, la vague du plaisir la tient maintenant et cela ne la lâchera plus …
Le cunni semble durer une éternité et cela fait du bien à Anna, qui après la douleur sur son cul, se trouve apaisée par cette langue qui lui explore le minou.
La maitresse femme, demande à Cécile de se lever et d’aller s’asseoir sur une chaise massive en bois qui doit dater du siècle dernier.
Cécile qui a organisé cette séance s’exécute parfaitement…. Au milieu de la chaise trône un magnifique gode en latex, qui est bien épais, un genre d’engin que l’on sent passer.
Bonne fille, elle s’assoit délicatement sur la chaise et de sa main entre doucement le pieu de latex …sans doute pas assez vite selon la maitresse femme, qui arrive rapidement et appui fermement sur les épaules de Cécile D’un geste brusque et à sec le gode s’enfonce complètement dans la chatte. Le pieu lui laboure les chairs, avec délectation, elle se sent subitement totalement rempli par l’engin ….
La maitresse femme en profite, pour pincer les seins de Cécile, c’est douloureux mais bon à la fois …elle aussi aime être soumise. D’instinct n’écoutant que son plaisir, elle commence à onduler sur le gode, une fois la douleur passée. Ses vas et viens volontaires lui défoncent l’abricot, Cécile la coquine mène le rythme de son bassin et à chaque descente sur le gode, le plaisir vient.
Elle se ravie de pouvoir s’éclater et de voir sa copine soumise à quatre pattes, chatte offerte et bâillonner de la bouche.
Cécile commence à apprécier sa vengeance.
Soudain, une tenture s’écarte, un homme de grande taille apparait, il a une cagoule sur le visage. Il est torse nu et porte un pantalon en cuir et des bottes. Cet homme est un colosse, genre videur de boite ou pilier de rugby, son torse est bronzé et velu. Il ressemble plutôt à un bucheron de la forêt d’Alaska, qu’a un bobo parisien aux ongles manucurés.
Il regarde les deux femmes et se dirige vers Anna, qui se dit que la fête n’est pas finie. Il lui lie les poignets dans son dos, la fait mettre sur ses genoux douloureux et prestement sort son sexe.
La bite du maitre de ses lieux, est proportionné à son corps, elle est énorme. Sans ménagement, l’homme prend la tête d’Anna et la dirige vers sa queue. Anna tourne la tête, refusant la pipe, d’un geste rapide et sur, l’homme pince un téton. Elle gémit de douleur et s’avouant vaincu approche sa bouche du gland et l’emprisonne timidement. La bite sent un mélange de musc et de sueur. L‘homme d’un geste sûr appuie sur la tête faisant disparaitre l’énorme engin dans sa bouche. Anna qui en pourtant vu d’autres suffoque, la bite la remplit complétement sa gorge, les larmes lui viennent…. Enfin l’homme relâche et la pression, Anna se dégage.
Elle a enfin compris qui étais le maitre et que si elle voulait que tout se passe bien, elle devait lui obéir … l’homme représente sa queue et c’est d’une manière volontaire qu’Anna le prend en bouche, la bite est toujours énorme, Anna a du mal à la sucer, mais cette fois ci elle y met du cœur. Elle commence à pomper avec une grande dextérité, et la bite commence à palpiter sous sa langue. Elle sent les spasmes de l’homme en même temps qui grogne de plaisir. Cela excite Anna, dont l’abricot est en train de fondre de cyprine. Les mains liées, contrainte et forcée de sucer une bite de cette taille-là dans un endroit pareil, la font décoller.
Son rythme de pompage va de plus en plus vite, elle espère bientôt en finir, et avaler le foutre de cet homme des cavernes … mais l’homme se dégage, il présente maintenant ses couilles devant Anna et lui ordonne de les lécher … elles sont pleines de poils et cela ragoute Anna, mais elle n’as pas le choix , elle est une salope soumise qui ne doit rien refuser à son maitre …Au bout de quelques minutes l’homme interrompt à la surprise d’Anna, ce léchage de burnes en règle. Il la lève, toujours attachée et la fait mettre sur le ventre à califourchon , deux jambes de chaque cote sur une espèce de pièce de bois qui la longueur de 2 mètres.
La pièce de bois est assez large pour que l’on s’y sente bien. L’homme met les pieds d’Anna dans des cales pieds et les attaches. Il a détaché les mains d’Anna, les a rabattues devant elle, pourqu ‘elle puisse reposer sur ses coudes.
Anna à la fois rassurée par cet instant de relative tranquillité et se demande à quoi sert cette pièce de bois sur laquelle elle est allongée.
Sa posture à califourchon laisse entrevoir toutes les possibilités sexuelles, il suffit d’un peu d’imagination … La croupe d’Anna est offerte, la chatte gonflée soudain l’homme approche , une sorte d’engin fait de bois, de métal et de matériel électronique. Une espèce de machine infernale …Un énorme phallus semble sortir de cette machine. L’homme calculateur règle l’engin pour être en phase avec le corps d’Anna et la place près de sa croupe.
L’homme appuie sur un bouton, dans un bruit feutré la machine se met en route. On y voit le gode de bonne taille avancer et reculer tout près du minou d’Anna.
D’un geste prompt l’homme avance la machine et maintenant le gode effleure la chatte d’Anna.
Cécile en face, qui s’éclate sur son siège avec gode, tient en main une espèce de boitier dont Anna allait voir bientôt les effets.
Maintenant le phallus, avance et commence à vitesse lente à la pénétrer, d’un geste sec, le maitre pousse la machine jusqu’à toucher le cul d’Anna le gode s’enfonce complétement dans la chatte étirée …A chaque va et vient le gode laboure les chairs. Il s’enfonçe de plus en plus profondément dans sa chatte. Anna ressent le plaisir de nouveau monter en elle … la machine docile à un rythme lent fait son travail Cécile voit sa copine prendre son pied avec cette bite électronique mais veut se venger. Sa copine est là, pieds et mains liées à la merci de cet engin qui lui défonce l’abricot.
Elle trouve que le rythme n’ést pas assez rapide et de la télécommande qu’elle tient en main tourne le bouton, pour que la bite s’enfonce un peu plus rapidement dans la chatte.
Le rythme un peu plus soutenu commence, à faire gémir Anna. Elle est à la merci de Cécile qui va maintenant la faire payer de s’être fait farcir par les deux males la dernière fois sans rien lui laisser. Par sa faute impardonnable, Anna maintenant va le payer cher, très cher … Anna était devenue la soumise de Cécile et chacune allait y trouver son compte. Le rythme de l’engin ne va pas assez vite au gout de Cécile qui décide d’actionner la télécommande en poussant le bouton franchement.
Anna entravée ne peut se soustraire à la cadence. L’engin accéléré de nouveau et le gode dans une cadence soutenue défonce la chatte mouillée. D’instinct Anna se tend, son corps est en harmonie avec cette bite qui la mène de plus en plus haut dans le plaisir. Elle ne peut pas dire de stopper comme à un partenaire habituel, le plaisir en de plus en plus dense, le gode écarte les lèvres roses, la cyprine coule à flot...
Cécile de plus en plus excitée par la scène ou sa copine gémit de plaisir décide de se lâcher sur le gode de son fauteuil en bois, elle s’adapte au rythme d’Anna et les deux salopes commencent à s’empaler sur leurs godes. Elles sont en harmonie de plaisir et du coup Cécile pousse la télécommande à fond.
Anna ne gémit plus, elle hurle son plaisir, le gode la laboure à un rythme saccadée, Cécile suit le rythme et sent la vague qui part du bas de son ventre l’envahir, c’est bon, c’est super bon lâche-t-elle dans un soupir … On sent dans la pièce, que les deux femmes sont arrivées au summum, proche de l’étincelle qui va surgir dans leurs cerveaux.
Dans un soupir final, les deux femmes en harmonie explosent de plaisir. Leurs corps, leurs cerveaux ne sont que plaisir, leurs respirations sont saccadées et dans un ultime orgasme, s’effondrent mutuellement. Leurs corps sont inertes, les esprits euphoriques …. C’est Anna dans un ultime reflexe demande à Cécile de réduire cette cadence infernale ...ce qu’elle fait … Plusieurs minutes de silence s’écoulent, les deux femmes reprennent peu à peu leurs esprits….
Cela a été une sacrée partie de plaisir … Cécile pensa qu’Anna en avait dans le coffre d’avoir supportée une telle séance, mais qu’elle s’était bien venger et que maintenant, sa vengeance assouvie, elles pouvaient de nouveau partir vers de nouvelles aventures ..
Lors de la dernière coquinerie, Cécile avait eu que des miettes, sa copine s’était faite déboitée par les deux males, l’un par la bouche et l’autre par la chatte.
Cécile qui avait été très excitée par la scène avait eu droit qu’un petit cunni de la part de sa copine et avait due se finir à la mano.
Il parait que la vengeance est un plat qui se mange froid dit-on. C’est dans cet esprit que Cécile a invité Anna à se rencontrer, mais cette fois-ci sans les hommes, histoire de se retrouver entre femme et de gouter aux joies du plaisir saphique…Cécile avait une idée assez précise de cette nouvelle rencontre avec Anna. Rendez-vous était pris depuis une semaine et au coup de sonnette qui retentit elle savait que c’était elle qui arrivait.
Anna savait pourquoi elle venait. Elle avait mis une robe très sexy qui plutôt que de cacher ses formes, les montrait encore plus. Sa robe moulante noire indiquait clairement qu’elle ne portait rien en dessous, on devinait largement sa belle poitrine généreuse et ses tetons prêt à durcir. Ses jambes longues étaient soulignées probablement par des bas genre Dim up.
Bref Anna s’était mise en version salope prête à embrasser, caresser, lécher Cécile pour leurs plus grands bonheurs.
Cécile aussi s’était habillée en version coquine, elle portait un chemisier bleu assez transparent qui laissait apparaitre un redresse-seins. Sa poitrine était un peu plus menue, mais ce redoutable accessoire de lingerie, lui allait à ravir. Elle portait une jupe moulante assez courte en cuir avec des bas noirs. Sa tenue lui donnait des airs de jeune femme bien élevée mais avec un air de chaudasse qui finalement lui plaisait bien.
On allait bien s’amuser pensa-telle.
Après quelques mots d’usage, Cécile expliqua qu’elles étaient attendues à un certain endroit et qu’il fallait partir de suite.
Elles prirent la voiture, et comme il commençait à faire tard, la nuit tombait.
Cécile prit une route qui s’enfonçait de plus en plus loin dans la campagne Au bout de vingt minutes, au bout d’un chemin se dressait une grande bâtisse. Cécile se gara devant et maintenant la pluie tombait de manière drue ce qui rendait l’ambiance un peu inquiétante.
Une lanterne rouge ondulait au-dessus de la porte au gré du vent. Cécile frappa la porte à l’aide du battoir … une trappe dans la porte s’ouvre, laissant apparaitre deux yeux, puis se referme, un instant d’après la lourde porte en bois s’ouvre et une femme les invitent à rentrer prestement.
Cécile et Anna se retrouvent dans un grand vestibule éclairé sommairement par des chandelles, de longues tentures rouges carmin semblent cacher d’autres portes … La femme qui les accueille porte une tenue de cuir, qui laisse la poitrine libre. Sa poitrine est forte mais acceptable, car tout son corps est très charpenté, a vue de nez elle doit faire dans les 80 kg pour 1.60 mètres jaugea dans son esprit Cécile. Des pinces-tétons reliées par une chaine, mettent ses seins en valeur, cela doit être douloureux, et excitant à la fois pensa-t-elle.
Son visage est caché par un masque en dentelle noire qui laisse apparaitre un regard dur. Une cape et des cuissardes finissent d’habiller cette grosse femme, dont on ne se sait pas si elle est sympathique ou pas.
Sa voix rauque claque comme un coup de fouet et ordonne aux deux femmes de la suivre en se taisant. Elles rentrent dans une salle pourvue d’une grande hauteur de plafond avec des boiseries peintes, on se croirait dans un donjon. Au mur des fouets et des cravaches sont suspendues ainsi que des chaines …Dans un recoin de la pièce une croix de st André est en attente.
La femme demande à Anna de se mettre à genoux, mais Anna n’as pas encore compris le jeu, elle reçoit un coup de cravache sur les seins, cela fait mal, elle se demande ce qui va arriver.
Anna s’exécute et la femme sort une cagoule en vinyle et lui met sur la tête. Ca y est la séance est partie, mélange de peur et d’excitation ...le vinyle épouse parfaitement son visage c’est chaud et doux. La femme demande au deux amies de se mettre nues à quatre pattes et les bâillonnent avec ce genre de bâillon avec une boule qui rentre dans la bouche pour ne pas crier. Elle passe derrière les croupes et touche leurs chattes lisses. Elle met deux doigts dans leur abricot et un autre doigt dans le petit trou pour si elles sont bien disponibles pour son maitre.
Maintenant la femme a décidé de les dresser à sa manière afin d’avoir deux salopes bien dociles dont elle pourra profiter. Les coups de cravache soutenus rougissent le cul des femmes, des cris étouffés remplissent la salle. Les deux amies soumises se dandinent, ce qui renforce encore plus les coups. La cravache passe entre les fesses, caresse les chattes gonflées entre douleur et plaisir. Ce mélange de sensation est plutôt excitant et les deux salopes commencent à mouiller sévèrement. Au bout d’une cinquantaine de coups, la femme s’arrête et sur les fesses rougies, commence à les embrasser, sa langue commence à se promener sur leurs culs tour à tour.
Soudain elle ordonne à Anna de cambrer son cul et d’écarter ses fesses avec ses mains. Anna ne veut pas mais un coup de cravache lui rappel qui commande. Elle s’exécute et offre une belle vue sur son abricot qui brille de mouille et son œillet brun prêt à recevoir tous les assauts.
La femme plonge la tête entre les fesses et commence un cunni sans ménagement. Elle tire sur les lèvres, passe sa langue sur la chatte tout en se délectant de la cyprine.
Sa langue va de bas en haut, aspire le clito, pour finir sur le petit trou. Anna est contrariée dans cette position, le cul offert à la langue inquisitrice, mais elle aime se faire dévorer le minou sous la contrainte. Elle sent que sa volonté de résister l’abandonne et cède de plus en plus au plaisir sous la langue de son amante. La salope, elle sait y faire pense-t-elle. Anna ne peut résister à lâcher un soupir d’aise, la vague du plaisir la tient maintenant et cela ne la lâchera plus …
Le cunni semble durer une éternité et cela fait du bien à Anna, qui après la douleur sur son cul, se trouve apaisée par cette langue qui lui explore le minou.
La maitresse femme, demande à Cécile de se lever et d’aller s’asseoir sur une chaise massive en bois qui doit dater du siècle dernier.
Cécile qui a organisé cette séance s’exécute parfaitement…. Au milieu de la chaise trône un magnifique gode en latex, qui est bien épais, un genre d’engin que l’on sent passer.
Bonne fille, elle s’assoit délicatement sur la chaise et de sa main entre doucement le pieu de latex …sans doute pas assez vite selon la maitresse femme, qui arrive rapidement et appui fermement sur les épaules de Cécile D’un geste brusque et à sec le gode s’enfonce complètement dans la chatte. Le pieu lui laboure les chairs, avec délectation, elle se sent subitement totalement rempli par l’engin ….
La maitresse femme en profite, pour pincer les seins de Cécile, c’est douloureux mais bon à la fois …elle aussi aime être soumise. D’instinct n’écoutant que son plaisir, elle commence à onduler sur le gode, une fois la douleur passée. Ses vas et viens volontaires lui défoncent l’abricot, Cécile la coquine mène le rythme de son bassin et à chaque descente sur le gode, le plaisir vient.
Elle se ravie de pouvoir s’éclater et de voir sa copine soumise à quatre pattes, chatte offerte et bâillonner de la bouche.
Cécile commence à apprécier sa vengeance.
Soudain, une tenture s’écarte, un homme de grande taille apparait, il a une cagoule sur le visage. Il est torse nu et porte un pantalon en cuir et des bottes. Cet homme est un colosse, genre videur de boite ou pilier de rugby, son torse est bronzé et velu. Il ressemble plutôt à un bucheron de la forêt d’Alaska, qu’a un bobo parisien aux ongles manucurés.
Il regarde les deux femmes et se dirige vers Anna, qui se dit que la fête n’est pas finie. Il lui lie les poignets dans son dos, la fait mettre sur ses genoux douloureux et prestement sort son sexe.
La bite du maitre de ses lieux, est proportionné à son corps, elle est énorme. Sans ménagement, l’homme prend la tête d’Anna et la dirige vers sa queue. Anna tourne la tête, refusant la pipe, d’un geste rapide et sur, l’homme pince un téton. Elle gémit de douleur et s’avouant vaincu approche sa bouche du gland et l’emprisonne timidement. La bite sent un mélange de musc et de sueur. L‘homme d’un geste sûr appuie sur la tête faisant disparaitre l’énorme engin dans sa bouche. Anna qui en pourtant vu d’autres suffoque, la bite la remplit complétement sa gorge, les larmes lui viennent…. Enfin l’homme relâche et la pression, Anna se dégage.
Elle a enfin compris qui étais le maitre et que si elle voulait que tout se passe bien, elle devait lui obéir … l’homme représente sa queue et c’est d’une manière volontaire qu’Anna le prend en bouche, la bite est toujours énorme, Anna a du mal à la sucer, mais cette fois ci elle y met du cœur. Elle commence à pomper avec une grande dextérité, et la bite commence à palpiter sous sa langue. Elle sent les spasmes de l’homme en même temps qui grogne de plaisir. Cela excite Anna, dont l’abricot est en train de fondre de cyprine. Les mains liées, contrainte et forcée de sucer une bite de cette taille-là dans un endroit pareil, la font décoller.
Son rythme de pompage va de plus en plus vite, elle espère bientôt en finir, et avaler le foutre de cet homme des cavernes … mais l’homme se dégage, il présente maintenant ses couilles devant Anna et lui ordonne de les lécher … elles sont pleines de poils et cela ragoute Anna, mais elle n’as pas le choix , elle est une salope soumise qui ne doit rien refuser à son maitre …Au bout de quelques minutes l’homme interrompt à la surprise d’Anna, ce léchage de burnes en règle. Il la lève, toujours attachée et la fait mettre sur le ventre à califourchon , deux jambes de chaque cote sur une espèce de pièce de bois qui la longueur de 2 mètres.
La pièce de bois est assez large pour que l’on s’y sente bien. L’homme met les pieds d’Anna dans des cales pieds et les attaches. Il a détaché les mains d’Anna, les a rabattues devant elle, pourqu ‘elle puisse reposer sur ses coudes.
Anna à la fois rassurée par cet instant de relative tranquillité et se demande à quoi sert cette pièce de bois sur laquelle elle est allongée.
Sa posture à califourchon laisse entrevoir toutes les possibilités sexuelles, il suffit d’un peu d’imagination … La croupe d’Anna est offerte, la chatte gonflée soudain l’homme approche , une sorte d’engin fait de bois, de métal et de matériel électronique. Une espèce de machine infernale …Un énorme phallus semble sortir de cette machine. L’homme calculateur règle l’engin pour être en phase avec le corps d’Anna et la place près de sa croupe.
L’homme appuie sur un bouton, dans un bruit feutré la machine se met en route. On y voit le gode de bonne taille avancer et reculer tout près du minou d’Anna.
D’un geste prompt l’homme avance la machine et maintenant le gode effleure la chatte d’Anna.
Cécile en face, qui s’éclate sur son siège avec gode, tient en main une espèce de boitier dont Anna allait voir bientôt les effets.
Maintenant le phallus, avance et commence à vitesse lente à la pénétrer, d’un geste sec, le maitre pousse la machine jusqu’à toucher le cul d’Anna le gode s’enfonce complétement dans la chatte étirée …A chaque va et vient le gode laboure les chairs. Il s’enfonçe de plus en plus profondément dans sa chatte. Anna ressent le plaisir de nouveau monter en elle … la machine docile à un rythme lent fait son travail Cécile voit sa copine prendre son pied avec cette bite électronique mais veut se venger. Sa copine est là, pieds et mains liées à la merci de cet engin qui lui défonce l’abricot.
Elle trouve que le rythme n’ést pas assez rapide et de la télécommande qu’elle tient en main tourne le bouton, pour que la bite s’enfonce un peu plus rapidement dans la chatte.
Le rythme un peu plus soutenu commence, à faire gémir Anna. Elle est à la merci de Cécile qui va maintenant la faire payer de s’être fait farcir par les deux males la dernière fois sans rien lui laisser. Par sa faute impardonnable, Anna maintenant va le payer cher, très cher … Anna était devenue la soumise de Cécile et chacune allait y trouver son compte. Le rythme de l’engin ne va pas assez vite au gout de Cécile qui décide d’actionner la télécommande en poussant le bouton franchement.
Anna entravée ne peut se soustraire à la cadence. L’engin accéléré de nouveau et le gode dans une cadence soutenue défonce la chatte mouillée. D’instinct Anna se tend, son corps est en harmonie avec cette bite qui la mène de plus en plus haut dans le plaisir. Elle ne peut pas dire de stopper comme à un partenaire habituel, le plaisir en de plus en plus dense, le gode écarte les lèvres roses, la cyprine coule à flot...
Cécile de plus en plus excitée par la scène ou sa copine gémit de plaisir décide de se lâcher sur le gode de son fauteuil en bois, elle s’adapte au rythme d’Anna et les deux salopes commencent à s’empaler sur leurs godes. Elles sont en harmonie de plaisir et du coup Cécile pousse la télécommande à fond.
Anna ne gémit plus, elle hurle son plaisir, le gode la laboure à un rythme saccadée, Cécile suit le rythme et sent la vague qui part du bas de son ventre l’envahir, c’est bon, c’est super bon lâche-t-elle dans un soupir … On sent dans la pièce, que les deux femmes sont arrivées au summum, proche de l’étincelle qui va surgir dans leurs cerveaux.
Dans un soupir final, les deux femmes en harmonie explosent de plaisir. Leurs corps, leurs cerveaux ne sont que plaisir, leurs respirations sont saccadées et dans un ultime orgasme, s’effondrent mutuellement. Leurs corps sont inertes, les esprits euphoriques …. C’est Anna dans un ultime reflexe demande à Cécile de réduire cette cadence infernale ...ce qu’elle fait … Plusieurs minutes de silence s’écoulent, les deux femmes reprennent peu à peu leurs esprits….
Cela a été une sacrée partie de plaisir … Cécile pensa qu’Anna en avait dans le coffre d’avoir supportée une telle séance, mais qu’elle s’était bien venger et que maintenant, sa vengeance assouvie, elles pouvaient de nouveau partir vers de nouvelles aventures ..
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moment bien agréable vécu par ces deux femmes. J'aurai bien aimé le partager avec elle.