LE DOSSIER

- Par l'auteur HDS Poesexe -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LE DOSSIER Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE DOSSIER
LE DOSSIER

Cette histoire n’aurait jamais dû arriver. Mon patron était un peu plus vieux que moi, et approchait la soixantaine. Dans cette pme de 200 personnes, il y avait une majorité de femmes, majoritairement jeunes, et plutôt jolies.
J’étais en couple à cette époque et, si je regardais les jeunes femmes qui travaillaient avec moi, c’était sans envie particulière, bien que certaines soient très jolies. Pourtant, il y en avait une qui les surclassait toutes ; était-ce la blondeur de sa chevelure ?sa peau diaphane ?son port altier ? sa silhouette élancée sur ses talons démesurés ? Etait-ce sa poitrine avantageuse souvent dévoilée par de généreux décolletés ou encore sa couteuse, et très élégante garde-robe ? On n’aurait su le dire, mais elle ne pouvait traverser une salle de réunion ou un bureau, sans que tous les mâles présents se dévissent le cou pour la suivre du regard, avec cette expression ravie, et un peu stupide que plaque le désir sur le visage.
Désir automatiquement frustré, car elle n’était autre que la femme de notre PDG. Consciente de sa beauté, la jeune trentenaire, en jouait, distante avec tous, sauf, évidemment, son mari, qu’elle menait par le bout du nez. Je me méfiais de cette ensorceleuse, autoritaire qui malgré son sourire, pouvait plomber la carrière de l’inconscient ayant osé lui être désagréable, de quelques mots glissés à son époux. La sanction tombait alors, sous la forme d’une mise au placard, à minima, voire d’un licenciement.
C’était, malgré tout, une grande professionnelle, et, année après année, j’ai senti son attitude changer envers moi. Il faut dire que j’avais débrouillé quelques affaires compliquées, en lui rendant service à plusieurs reprises, et nos échanges, bien qu’empreints de respect, étaient devenus quotidiens, nous rapprochant peu à peu.
Un jour, alors qu’elle portait des jeans très ajustés, j’étais dans son bureau pour travailler sur un dossier urgent. Elle me dit qu’elle avait des éléments à me confier pour préparer une offre pour un gros client.
Ce faisant, elle se retourna et se baissa. Son jean taille basse dévoila alors le haut de son fessier rebondi sur lequel tranchait la ficelle de son string rose. Elle se releva et me sourit, en se tournant vers moi, l’air innocent, mais elle savait le spectacle qu’elle m’avait offert.
- « un souci ? » me dit elle
- « Non, je réfléchissais à notre offre » menti-je alors qu’une toute autre offre m’obsédait.
Comme ce dossier était urgent, je l’emportais chez moi, et commençais à y travailler, dès le vendredi soir . Vers 23h, mon téléphone sonna.
-« Qui t’appelle à cette heure ci ? » me demanda ma femme qui avait entendu la sonnerie.
Je consultai l’écran, et la rassurai
-« c’est ma directrice, on est sur un dossier. » avant de décrocher.
-« Allo Steve ? J’ai cherché le dossier Dubreuil mais je ne le trouve pas. »
- « C’est moi qui l’ai. Je travaille dessus en ce moment même, afin de ne pas prendre de retard. »
-« Ah d’accord, émit elle, mais je vais en avoir besoin également car il faut que je développe le côté marketing. Bon, je ne vais pas vous ennuyer ce soir, mais pourriez vous me le ramener demain matin ?
Le lendemain, samedi, j’avais prévu tout autre chose , mais la perspective de passer un peu de temps et de découvrir Patricia, dans un environnement plus privé, m’incitèrent à dire oui aussitôt.
Après avoir raccroché, j’expliquais alors à mon épouse, que j’étais obligé de travailler le lendemain.
-« Tu seras à ton bureau ? »me demanda t’elle.
-« Non, en fait, je vais chez mon patron pour finaliser ce dossier important sur lequel je bosse en ce moment. »
-« humm, tu vas chez ton patron ou chez sa femme ? » dit elle d’un ton soupçonneux
- « Tu sais bien que c’est sa femme qui s’occupe du marketing, mais c’est chez mon patron, et il sera là »
Sur ce, je me replongeai dans mon travail jusque tard dans la nuit.

Le lendemain matin, le dossier achevé pour ma partie, je le casais dans mon porte-document, avant de quitter la maison. Mon épouse, Sarah dormait encore.
Etant donné que nous étions en week-end, je m’étais dit que le casual wear était suffisant :
Jean, baskets, et un polo un peu classe.
45 MN plus tard, je sonnais chez mon boss (eh oui, le centre ville était un peu cher pour moi) Je dus patienter quelques minutes, mais quand la porte s’ouvrit enfin, je fus récompensé. Face à moi, Patricia , me sourit, et m’invita à entrer. Elle était vétue d’un court peignoir de soie noire qui laissait nues ses longues jambes.
-« Entrez, je ne vous attendais pas si tôt »
Il était dix heures.
« Je vous offre un café ? » interrogea t’elle
« Volontiers » arrivai-je péniblement à articuler
Elle m’entraina, au travers de cet élégant hotel particulier, jusqu’à une immense cuisine, et m’invita à m’installer sur un des tabourets alignés le long de l’ilot central. Contournant celui-ci, elle se dirigea vers une machine barista professionnelle, ses superbes jambes, maintenant masquées par l’ilot.
Avec dextérité, elle s’occupa de nous concocter deux grands expressi.
« Du lait ? »
« non merci »
Pendant que le café passait, elle sortit d’un placard, une panière emplie de mini viennoiseries, qu’elle vint poser sur l’ilot
« C’est mon péché mignon « me glissa t’elle avec un sourire
Puis elle récupéra les deux tasses, qu’elle fit glisser devant moi, en se penchant en avant sur l’ilot. Le peignoir entrouvert avait bien du mal à contenir deux seins d’un blanc laiteux.
Mon regard attiré par cette vision fugace ne lui échappa pas, mais elle ne fit aucun commentaire.
« Votre mari nous rejoint » osai-je
« Non, le samedi matin, il va assister à l’entrainement de son équipe de basket. Il part assez tôt et ne rentre souvent qu’en fin d’après-midi. » répondit elle en contournant l’ilot pour me rejoindre.
« J’ai donc mon samedi pour moi, pour me détendre » compléta t’elle en se hissant sur le tabouret, en face du mien.
Son peignoir s’était écarté, et j’avais une vue sur ses cuisses dénudées. Elle croisa ses jambes et j’aperçus une culotte en soie noire.
Tentant de réprimer le début d’érection qui se manifestait, je piquai du nez dans mon café.
Cherchant une diversion, je me rappelai que j’étais là pour un motif précis, et je décidai de sortir de mon attache-case, les documents, je me penchais pour les récupérer, mais en me relevant, je me retrouvais face à ses cuisses légèrement écartées, que je ne pus éviter de mater quelques secondes, pas très discrètement.
Me reprenant je déposais les papiers entre-nous, sur l’ilot
« Il faut s’y mettre » commentai-je « si on veut être prèts Lundi »
Elle repoussa les documents
« Le client m’ a appelée ce matin. La réunion est repoussée d’une semaine. J’aurais tout le temps d’étudier tout ça plus tard. »
Etonné, je compris alors que je m’étais levé pour rien. Elle dut le voir sur ma figure, car elle ajouta
« je suis désolée de vous avoir fait lever si tôt. Peut-être puis-je me faire pardonner » murmura t’elle en se penchant vers moi pour déposer un baiser sur mes lèvres.
Ma main partit aussitôt sur sa nuque et je la maintins contre moi. Loin de me résister, elle ouvrit ses lèvres pour répondre à mon baiser.
Mes mains partirent à l’exploration de sa fabuleuse poitrine, écratent, au passage le peignoir. Ses seins étaient durs comme de la pierre et ses tétons se dressèrent sous mes doigts
Elle descendit de son tabouret, et s’écarta de moi
« Non, ça va trop loin » dit elle
« On est déjà allé trop loin » dis-je, pas dupe
Cette fois je m’avançai et dénouai la ceinture de son peignoir qui glissa à terre dans un doux froissement. Son corps sculptural, était quasi nu devant moi. Elle recula d’un pas, plaquant ses mains sur ses seins.
« je suis venu de loin, ce matin » dis-je « j’ai envie de vous voir nue »
Elle sembla hésiter quelques secondes, puis, me défiant du regard, elle fit glisser son string noir le long de ses jambes, dévoilant un pubis légèrement renflé, aux lèvres bien visibles sous un duvet blond minimaliste. Le string sur ses chevilles, elle leva un pied pour se dégager, et, de l’autre, envoya le bout de tissu à plusieurs mêtres.
« Satisfait ? »
« Et toi ? » lançai-je en adoptant un tutoiement plus propice au rapprochement.
Je la saisis par la taille et l’assis sur l’ilot, en profitant pour me glisser entre ses cuisses. Puis je commençai à la caresser, suçant et malmenant ses seins, lui arrachant de petits cris, à chaque fois que je mordillais les pointes gonflées comme des framboises. Je descendis vers son nombril que j’agaçai du bout de la langue, la faisant frissonner, avant de m’aventurer plus bas, en l’allongeant sur le dos. Un léger duvet blond ne masquait pas la longue fente de sa chatte dont les lêvres s’ouvrirent sous ma langue, dévoilant une fleur rose vif déjà humide. D’une pointe agile, j’en séparais les bords en remontant progressivement jusqu’au petit capuchon, à peine visible, que j’aspirais de ma bouche. Mes attouchement eurent rapidement de l’effet et le petit bouton durcit et se développa sous mes caresses. Les hanches qui se décollaient du plan de travail, se projetant vers moi, cambrées par le désir m’encouragèrent à aller plus loin. Un doigt, se glissa dans sa caverne maintenant détrempée, bientôt suivi par un deuxième. Ma langue continuait son ballet sur son clito, pendant mes caresses tactiles atteignaient son point G.
Elle lança ses mains pour plaquer ma tête entre ses cuisses, en gémissant. Utilisant ses sécrétions, j’en enduisis sa rondelle, de ma main libre, tandis que l’autre la fistait de plus en plus fort. La position n’étant pas idéale, je relevai une de ses jambes pour la placer sur mon épaule, dégageant ainsi l’accès à ses orifices, sans cesser de la titiller. Elle s’agitait de plus en plus, sa tête allant de gauche à droite, exhalant des soupirs de plus en plus aigus. Je ressortis mes doigts de sa chatte, mais elle m’attira à elle. Utilisant ma main comme une pince j’entrepris alors de la pénétrer, deux doigts devant et deux derrière, qui franchirent le sphincter, lui arrachant une plainte. Je m’interrompis un instant.
Elle tendit le bras et attrapa une bouteille d’huile d’olive qu’elle me tendit.
Mes doigts, enduits du lubrifiant végétal coulissèrent aisément dans son étroit conduit, conferant au produit une utilisation plus étendue que l’assaisonnement.
Ma main s’agitant dans ses deux trous, mes lèvres sur son clito, la belle décollait littéralement en poussant de petits cris, et s’arc bouta soudainement en criant, alors que je recevais l’expression de son plaisir en plein visage. Après quelques secondes, elle retomba me fixant de ses pupilles dilatées . Elle se rassit, et entreprit de défaire ma ceinture,. Elle tira vers le bas, mon pantalon et mon boxer, libérant mon sexe, furieusement en érection. Elle le prit en main et commença à me masturber. Je m’avançai vers elle, mais la table était un peu haute, et je n’arrivais pas à l’atteindre.
Je saisis sa taille et la tirai vers moi. A peine eut elle pris pied à terre, que je la retournais, appuyant sur son dos. Comprenant la manœuvre elle se pencha en avant, les seins écrasés sur l’ilot, le cul tendu vers moi. Je n’eus qu’à m’approcher pour qu’elle me guide en elle d’une main experte. Je m’enfonçai d’une traite jusqu’à la garde, lui arrachant un cri de surprise.
Après le premier moment, je me mis à coulisser en elle, assez aisément, et je pus rapidement amplifier mon mouvement. Elle m’accompagnait du mieux possible, son cul rond et ferme venant taper sur mon bas-ventre avec régularité.
-« Ah, c’est bon comme ça ! viens bien au fond. Hmmm » ponctuait elle.
Par moment je ralentissais mon mouvement, pour repartir ensuite à grands coups de reins.
-« Attends. » me dit elle soudain.
Je m’immobilisai et la laissai faire. Elle entreprit une danse de saint guy, allant et venant sur ma queue, dandinant son cul, avant de piquer un sprint final qui se finit dans un long cri, les yeux levés vers le ciel. Je sentis sa mouille couler contre les couilles quand elle se figea contre moi. Je commençai, petit à petit à me dégager. Mon sexe en érection émergea de son antre et rebondit entre ses fesses. Profitant du moment je guidais mon glant sur son petit anneau froncé, et poussai d’un coup.
-« Non ! pas là ! » lança t’elle, mais mon gland avait déjà franchi la porte.
Elle remua son cul, mais m’accrochant à ses hanches, je m’enfonçai d’un coup jusqu’à la garde, lui arrachant un cri
-« Aiee ! salaud, ‘avais dit non ! »
-« ah bon. Je n’ai pas entendu. » répondis-je avec un sourire « Tu veux que je me retire ? »
-« Fais doucement, ça fait mal. »
Je reculai presque jusqu’à sortir, et arrosai ma queue avec l’huile d’olive, avant d’avancer à nouveau.
-« Comme ça, c’est mieux » demandai-je
-« J’ai dit stop »
-« Je vais sortir, dès que j’aurais joui » dis-je en entamant une oscillation
-« Ah, je savais que tu étais un salaud » dit elle, mais son bassin accompagnait maintenant le mien. Mon braquemart bien serré entre ses fesses se frayait un chemin dans ses entrailles me procurant une sensation de bien être terrible.
Je sentis bientôt qu’elle écartait les cuisses et augmentais mon mouvement. La belle envoya sa main entre ses jambes et entreprit de se caresser. S es vocalises de plaisir emplirent alors la pièce tandis que nos corps s’entrechoquaient sur un rythme allant crescendo.
-« Tu veux que j’arrête ? » demandai-je encore une fois
-« Non, continues, défonces moi plus fort ! vas y ! »
Je ne me fis pas prier et la percutais longuement, avec force jusqu’à ce qu’elle hululle sans cesse son bonheur. Je sentis une vague me submerger et les jets brûlants de mon plaisir allèrent tapisser son intérieur. J
Je m’écroulai sur son dos, et restai là, à l’embrasser dans le cou.
Nous finimes par nous désunir et elle m’entraina dans sa douche où j’eus droit à une belle fellation qui me remit en forme avant de la prendre une dernière fois en missionnaire sur le sol de la salle de bains.
Je me séchai et me rhabillais. Elle me raccompagna à la porte, toujours nue et merveilleusement impudique, sa chatte rosie et encore enflée de nos ébats.
Je me dis que la situation allait devenir complexe au bureau.
Quelques semaines plus tard, elle quitta son mari, et la société.

Les avis des lecteurs

Un adultère certes, mais les deux protagonistes se sont fait plaisir!



Texte coquin : LE DOSSIER
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