Le facteur pervers, sonne toujours plusieurs fois.

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le facteur pervers, sonne toujours plusieurs fois.
Il est 13 h 30, la sonnerie de l'interphone résonne.
Corinne est seule dans l'appartement, moi je bosse.
C'est l'époque, où elle prenait des cours en matinée, avec devoirs chez soi, d'abord pour être aide à domicile, et pour devenir aide-soignante à la fin, avec une autre formation.
Elle répond:
"Oui !".
"C'est pour un colis ! Vous m'ouvrez ?".
En ouvrant, elle s'étonne de l'heure.
Quelques minutes, plus tard, on frappe à la porte.
Elle ouvre, et sursaute !
"Putain ! Robert ! Tu m'as fait peur ! Comment ça se fait, que c'est toi ?".
"Je me suis proposé de changer de tournée, pendant que l'autre est en congé ! Ca te fait pas plaisir ? Tiens ! J'ai gardé le colis de Pascal, pour la fin de ma tournée ! Tu m'offres un café, avant qu'on baise ?".
"Carrément ! Tu me demandes pas mon avis ?".
"Pourquoi ? Tu veux pas ? Pourtant, ça fait longtemps ! Moi, j'en ai trop envie, tu me manques ma belle !".
"Hummm ! Ca fait plaisir de le savoir ! Oui, je veux bien ! Poses le colis ! On s'en fout ! Mais que devient ta copine ?".
"C'est fini ! Elle m'a gaulé, en lisant un sms d'une autre femme !".
"Ah ! C'est con !".
"Ouais, mais tant pis ! C'est bien aussi ! Puisque je suis là !".
"Et l'autre femme ?".
"Mouais ! Bof ! sans plus ! c'est pas toi !".
Elle leur prépare deux cafés, qu'ils boivent dans le salon.
"Comment va Pascal ?".
"Bien ! Ne t'en fais pas pour lui, occupes toi plutôt de moi ! Si je te manques tant que ça !".
"Ben, si il n'était pas d'accord, je serai pas là ! Quand même ! On peux mettre la caméra pour lui, si tu veux !".
"Ok, t'as raison, on va se filmer ! Ca lui fera plaisir, mais je lui donnerai pas la vidéo, tout de suite !".
"C'est une bonne idée ! Vous la gardez pour vous ? Je te fais confiance !".
La vidéo est placée, face à eux.
Voici, ce que j'ai vu, en visionnant le film.
Corinne prends les choses en main. pour se mettre devant sa braguette, qu'il ouvre avec frénésie.
Elle lui baisse l'ensemble de ses vêtements, jusqu'aux pieds.
Puis, le pousse dans le fond du canapé.
Robert a le sexe tendu vers elle, qui s'accroche à ses couilles, en approchant ses lèvres.
Elle lui fait un fourreau humide et chaud, avec sa gorge.
"Orhhhhhhhh ! Putain, tu m'as manqué, ma chérie ! Oh ! C'est trop bon d'être dans ta bouche !".
Il la regarde s'adonner à l'un des ses plaisirs favoris.
Jouer avec sa langue et sa bouche, sur une grosse verge en érection.
Il relève les yeux, et fixe la caméra.
"Merci Pascal ! J'aime toujours autant ta femme ! Regardes, comme elle se régale avec ma bite !".
"Hummmm ! Mmmmmm ! Regardes qui c'est, qui t'a livré un colis ? Au fait ! C'est lui qui a pensé à la caméra ! Ne t'en fait pas ! Je m'occupe de le remercier, et lui donner son pourboire ! Tu seras fier de moi ! Merci, mon amour ! Profites ! Mmmmmm ! Mmmmm !...".
J'assiste à un long jeu buccal pervers, fait de léchages vicieux, pompages frénétiques, baises buccales profondes, avec régurgitations de salive.
Il est clair qu'elle aime ça, vu qu'elle se branle la chatte, pendant qu'il la tient par les cheveux, pour lui défoncer la gorge.
Elle se sépare de sa verge, pour se pâmer, en râlant.
"Orhhhhhhhh ! J'en peux plus ! Défonces-moi ! Je la veux partout !".
"Je peux faire ce que j'ai envie ? Comme avant ?".
"Oui ! Tu l'a mérité ! Toi aussi, tu m'as manqué !".
Il la plie en deux, devant lui, en s'amusant à me montrer sa chatte trempée.
Pour cela, il écarte ses lobes fessiers, joue avec ses doigts sur son clitoris, et dans son vagin humide.
Il porte ses doigts à la bouche, pour lui couvrir l'anus de salive.
Cette salope, n'a pas de réaction ! C'est habituel apparemment.
Il s'amuse maintenant avec le bout de sa verge, donc son gland, qu'il frotte contre sa chatte, son anus.
Elle se laisse faire, avec un bonheur réel.
"T'as vu, comme elle se laisse faire, cette salope !".
"Orhh ! De toute façon, je vais y avoir droit ! Autant commencer par ça ! Alors encules-moi ! Fais moi jouir du cul !".
"T'es une chienne ! Tu le sais ?".
"Oui, mais ça vous plait non ?".
"Oui, c'est pour ça que c'est trop bon, de baiser avec toi !".
Le facteur se tient la verge au milieu, pour lui forcer l'anus.
Elle se crispe, quand il pousse pour la pénétrer analement.
"Orghhhhhhh ! Salaud ! Ca te plait de me faire ça ! Tu peux pas t'en empêcher ! Arhhhh !".
"Quoi ? T'enculer directement ? C'est ta faute ! C'est toi qui m'y a habitué ! T'es la seule que je connaisse, qui se laisse faire, j'vais pas m'en priver ! On a même plus besoin de gel !".
Elle se redresse, pour le retenir un peu dans son dos, pendant qu'il s'affaire, à lui conquérir l'anus.
Chaque terrain gagné dans son orifice, l'oblige à râler son plaisir.
"Orghhhhhhhhh ! Putain ! Je pensais pas me faire enculer, aujourd'hui ! Orghhh ! C'est bon, déjà ! Arghhhhhhhhh ! Mon amour ! Regardes ! Il va m'enculer ! Orghhhhh ! J'avais oublié qu'elle était aussi grosse ! Aussi bonnnnne, aussi ! Arrrrrrrhhhh ...".
Je vois clairement la grosse verge du facteur, qui se lubrifie, à chaque sortie anale.
Pour encore, gagner en profondeur, en y revenant.
Ma queue me fait mal, quand je constate qu'il a atteint son maximum, en faisant toucher ses couilles, contre ses lèvres vaginales.
Mon excitation atteint son paroxysme, alors qu'il coulisse, de plus en plus amplement, et aisément, pendant qu'elle crie ses premières montées de plaisir anal.
"Putain, Pascal ! Elle est toujours aussi bonne ! Elle est géniale, ta salope de femme ! Regardes, ce que je lui mets dans le cul ! Et elle aime ça, cette chienne ! Pas vrai, salope ?".
"Arrrrrrrhhhh ! Arrrrrrrhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Il m'encule bien ! Arrrrrrrhhhh ! Arrrrrrrhhhh ! ...".
C'est le début d'une défonce anale assumée, remplie d'insultes, plus vulgaires les unes que les autres.
Chaque orgasme de Corinne, est suivi d'un moment de calme, ou le facteur joue avec sa béance anale, et sa grosse verge dure.
Je ne sais plus à quel moment, elle s'est adressée à moi, pour se plaindre:
"Arrrrrrrhhhh ! Arrrrrrrhhhh ! Pascaaaal ! Il est entrain de me casser le cul ! Arrrrrrrhhhh ! Arrrrrrrhhhh ! C'est booonnnnnnnnnnn !...".
Ni, quand elle lui a envoyé sa cyprine, entre les cuisses.
Ce qui est sûr, c'est que j'ai du arrêter de me toucher la bite, j'allais exploser en giclant mon sperme par terre.
Ma queue se secoue de spasmes, un léger filet liquide me pollue le gland, ouf ! J'ai stoppé à temps !
Quand je reprend mon visionnage, elle est au dessus de sa verge, avec la main sur sa bite, pour la guider, vers son trou béant.
J'assiste à sa chevauchée, et aux nouvelles puissantes giclées liquides, qu'elle se provoque.
A son épuisement progressif, aussi !
Est-ce une chance ? Il annonce enfin son éjaculation.
Ca redonne de la vigueur à Corinne, qui se déchaine sur sa bite.
Le facteur essaie de se retenir jusqu'au bout, mais c'est elle qui gagne à la fin !
Dès qu'elle sent qu'il éjacule en elle, elle remonte son cul, pour le garder enfoncé, sur quelques centimètres.
"Arrrrrrrhhhhrrrrrrrhhhh ! Mon amour ! Il jouit dans mon cul, regardes ! Tu vas voir, comme il me remplit bien ! Il m'en met toujours beaucoup ! Tu sais que j'adore ça ! Arrrrrrrhhhhhhhh ! C'est boooooooooooooon ! Ca m'exciiiiiiiiiiite !".
Leurs râles se rejoignent, leurs corps s'unissent dans l'orgasme.
Moi, j'assiste, en plan parfait, aux secousses de la verge du facteur, qui se vide dans l'orifice anal de ma femme.
Je vis leur bonheur évident, celui qui vous lie à votre partenaire, lors de cette communion de sensations, qui retombe très lentement.
Ils m'oublient complètement, à ce moment précis, et se déclarent leur plaisir, sans se soucier de moi.
Puis, Corinne revient à la réalité du présent.
Elle serre son anus sur la verge de Robert, et remonte en gémissant encore, jusqu'à la faire sortir de son cul.
"Orhhhh ! Regardes ! Bébé ! Tu vas adorer ça ! Autant que moi !".
Elle laisse son anus se relâcher.
Le sperme se déverse sur la grosse bite du facteur, couchée sous son cul.
Après plusieurs poussées, qui lui vident l'orifice anal, elle se place entre ses cuisses, et lui saisit la verge pour la lécher.
Elle me surprend encore, ce jour là !
Quelle gourmande !
C'est pas notre facteur qui va s'en plaindre ! Il se laisse laver la verge avec vice, l'enfoiré !
Ensuite, il la remet avec le cul face à l'objectif, en lui écartant l'anus.
"Et voilà ! Pascal ! J'ai eu mon pourboire ! Tu peux être fier d'elle ! Elle m'a bien encaissé, la preuve ! Regardes l'état de son cul !".
"Orhhh ! Arrêtes ! Il va le prendre mal ! Il va bien le voir, que tu m'as cassé le cul Ca suffit !".
Ca c'est sur ! Je le vois !
Et il lui remet sa bite, en plus ! Pourquoi s'en priver, encore ?
Puisque ça rentre tout seul, sans résistance.
Il se tourne pour éteindre la caméra, je ne saurai ce qui s'est passé ensuite, qu'en le demandant à Corinne !
Après une longue pause, il l'a encore un peu enculée.
Ensuite, il l'a baisée plus longuement, avec capote, pour finir par lui éjaculer dans la bouche, à la fin.
L'image a ensuite changé, montrant une autre de leurs rencontres, plus simple, et récente.
Ce qui était frustrant, c'est de savoir que lorsque je visionne ce film.
Il est déjà vieux, de deux mois !
La nouvelle scène est filmée par son amant.
J'y vois un gros plan de la chatte de ma femme, qui coulisse sur une grosse verge.
"Salut, Pascal ! C'était pas prévu que je passe la voir, Mais tu me connais ! Un petit extra, ça me tente toujours un peu ! Orhhh ! Regardes comme elle s'envoie sur ma queue, ta p'tite chérie ! Eh ! Sois dit entre nous, si tu la veux plus, je la prend ! Ourhhh ! Ouais ! Corinne ! Vas y, c'est bon ça !...".
J'assiste à l'accession à l'orgasme de ma femme, sur cette verge de celui que j'ai identifié comme le facteur, encore une fois.
La prise change, elle est en levrette, il filme encore par dessus.
Elle crie qu'il la baise bien, je vois qu'il lui claque le cul, en la défonçant comme une pute.
J'en ai la certitude, Corinne s'éclate comme une folle, ce genre de baise, c'est son truc.
Le plan change de nouveau, elle est à ses pieds, sa langue exagérément sortie, pour lui lécher la verge.
"Désolé ! J'ai pas le temps de rester plus longtemps ! Mais j'aurai son p'tit cul, la prochaine fois ! Promis, ma p'tite salope ?".
"Mmmmm ! Mmmmm ! Mouii ! Promis ! Mmmm ! Mon amour, j'aime lui sucer la queue ! Elle est trop bonne ! Mmmmm ! Regardes comme je me régale !".
Malgré le "soi-disant" temps qui presse, le facteur s'amuse tout de même avec sa bouche, et sa face de petite princesse vicieuse.
Lentement, j'entends les signes de plaisir de Robert, il monte, en le faisant gémir, de plus en plus fréquemment.
Puis, il lui bloque la tête, sous sa grosse verge, dure et gonflée, au bord de l'explosion.
Elle l'attend avec sa gorge ouverte, et les yeux rivés sur son gros gland.
Le premier jet la surprend, en s'écrasant de son palais, à son front, elle avale ce qu'elle a reçu dans la bouche, et écarte encore ses lèvres.
Le second va directement au fond de sa bouche, contre sa glotte.
Le facteur râle puissamment.
"Arrrrrrrhhhhrrrrrrrhhhh ! Chérie, j'adore te gicler sur la gueule ! Arrrrrrrhhhhrrrrrrrhhhh ! Prends ça, salope !...".
Les trois jets suivants se succèdent rapidement, en lui maculant le visage.
Il se masturbe de plus belle, et se termine dans sa gorge, en lui laissant le loisir de sucer sa bite, à sa guise.
"Orghhhhhhhhh ! Pascal ! Même pour ça, elle est parfaite ! Orhhh ! Vas y ! Manges moi bien la bite ! Ma chérie ! Putain, ce que c'est bon !...".
Le dernier plan enchaine sur une autre rencontre.
Un début de sodomie, écourté par la fin de la bande.
Que je visionnerai, avec tout le reste.
Il a récupéré sa tournée d'origine, mais en continuant ses visites, sur une plus longue période, qu'auparavant.
Elle l'a freiné, dans son envie de la revoir.
Il voulait la baiser quasiment tous les jours, comme l'année précédente.
Elle a réussi à le contenir, pour se donner à lui, une fois par semaine uniquement, 2, au plus fort de leurs rencontres.
Ils ont ainsi évité la lassitude, en quelque sorte.
Corinne est seule dans l'appartement, moi je bosse.
C'est l'époque, où elle prenait des cours en matinée, avec devoirs chez soi, d'abord pour être aide à domicile, et pour devenir aide-soignante à la fin, avec une autre formation.
Elle répond:
"Oui !".
"C'est pour un colis ! Vous m'ouvrez ?".
En ouvrant, elle s'étonne de l'heure.
Quelques minutes, plus tard, on frappe à la porte.
Elle ouvre, et sursaute !
"Putain ! Robert ! Tu m'as fait peur ! Comment ça se fait, que c'est toi ?".
"Je me suis proposé de changer de tournée, pendant que l'autre est en congé ! Ca te fait pas plaisir ? Tiens ! J'ai gardé le colis de Pascal, pour la fin de ma tournée ! Tu m'offres un café, avant qu'on baise ?".
"Carrément ! Tu me demandes pas mon avis ?".
"Pourquoi ? Tu veux pas ? Pourtant, ça fait longtemps ! Moi, j'en ai trop envie, tu me manques ma belle !".
"Hummm ! Ca fait plaisir de le savoir ! Oui, je veux bien ! Poses le colis ! On s'en fout ! Mais que devient ta copine ?".
"C'est fini ! Elle m'a gaulé, en lisant un sms d'une autre femme !".
"Ah ! C'est con !".
"Ouais, mais tant pis ! C'est bien aussi ! Puisque je suis là !".
"Et l'autre femme ?".
"Mouais ! Bof ! sans plus ! c'est pas toi !".
Elle leur prépare deux cafés, qu'ils boivent dans le salon.
"Comment va Pascal ?".
"Bien ! Ne t'en fais pas pour lui, occupes toi plutôt de moi ! Si je te manques tant que ça !".
"Ben, si il n'était pas d'accord, je serai pas là ! Quand même ! On peux mettre la caméra pour lui, si tu veux !".
"Ok, t'as raison, on va se filmer ! Ca lui fera plaisir, mais je lui donnerai pas la vidéo, tout de suite !".
"C'est une bonne idée ! Vous la gardez pour vous ? Je te fais confiance !".
La vidéo est placée, face à eux.
Voici, ce que j'ai vu, en visionnant le film.
Corinne prends les choses en main. pour se mettre devant sa braguette, qu'il ouvre avec frénésie.
Elle lui baisse l'ensemble de ses vêtements, jusqu'aux pieds.
Puis, le pousse dans le fond du canapé.
Robert a le sexe tendu vers elle, qui s'accroche à ses couilles, en approchant ses lèvres.
Elle lui fait un fourreau humide et chaud, avec sa gorge.
"Orhhhhhhhh ! Putain, tu m'as manqué, ma chérie ! Oh ! C'est trop bon d'être dans ta bouche !".
Il la regarde s'adonner à l'un des ses plaisirs favoris.
Jouer avec sa langue et sa bouche, sur une grosse verge en érection.
Il relève les yeux, et fixe la caméra.
"Merci Pascal ! J'aime toujours autant ta femme ! Regardes, comme elle se régale avec ma bite !".
"Hummmm ! Mmmmmm ! Regardes qui c'est, qui t'a livré un colis ? Au fait ! C'est lui qui a pensé à la caméra ! Ne t'en fait pas ! Je m'occupe de le remercier, et lui donner son pourboire ! Tu seras fier de moi ! Merci, mon amour ! Profites ! Mmmmmm ! Mmmmm !...".
J'assiste à un long jeu buccal pervers, fait de léchages vicieux, pompages frénétiques, baises buccales profondes, avec régurgitations de salive.
Il est clair qu'elle aime ça, vu qu'elle se branle la chatte, pendant qu'il la tient par les cheveux, pour lui défoncer la gorge.
Elle se sépare de sa verge, pour se pâmer, en râlant.
"Orhhhhhhhh ! J'en peux plus ! Défonces-moi ! Je la veux partout !".
"Je peux faire ce que j'ai envie ? Comme avant ?".
"Oui ! Tu l'a mérité ! Toi aussi, tu m'as manqué !".
Il la plie en deux, devant lui, en s'amusant à me montrer sa chatte trempée.
Pour cela, il écarte ses lobes fessiers, joue avec ses doigts sur son clitoris, et dans son vagin humide.
Il porte ses doigts à la bouche, pour lui couvrir l'anus de salive.
Cette salope, n'a pas de réaction ! C'est habituel apparemment.
Il s'amuse maintenant avec le bout de sa verge, donc son gland, qu'il frotte contre sa chatte, son anus.
Elle se laisse faire, avec un bonheur réel.
"T'as vu, comme elle se laisse faire, cette salope !".
"Orhh ! De toute façon, je vais y avoir droit ! Autant commencer par ça ! Alors encules-moi ! Fais moi jouir du cul !".
"T'es une chienne ! Tu le sais ?".
"Oui, mais ça vous plait non ?".
"Oui, c'est pour ça que c'est trop bon, de baiser avec toi !".
Le facteur se tient la verge au milieu, pour lui forcer l'anus.
Elle se crispe, quand il pousse pour la pénétrer analement.
"Orghhhhhhh ! Salaud ! Ca te plait de me faire ça ! Tu peux pas t'en empêcher ! Arhhhh !".
"Quoi ? T'enculer directement ? C'est ta faute ! C'est toi qui m'y a habitué ! T'es la seule que je connaisse, qui se laisse faire, j'vais pas m'en priver ! On a même plus besoin de gel !".
Elle se redresse, pour le retenir un peu dans son dos, pendant qu'il s'affaire, à lui conquérir l'anus.
Chaque terrain gagné dans son orifice, l'oblige à râler son plaisir.
"Orghhhhhhhhh ! Putain ! Je pensais pas me faire enculer, aujourd'hui ! Orghhh ! C'est bon, déjà ! Arghhhhhhhhh ! Mon amour ! Regardes ! Il va m'enculer ! Orghhhhh ! J'avais oublié qu'elle était aussi grosse ! Aussi bonnnnne, aussi ! Arrrrrrrhhhh ...".
Je vois clairement la grosse verge du facteur, qui se lubrifie, à chaque sortie anale.
Pour encore, gagner en profondeur, en y revenant.
Ma queue me fait mal, quand je constate qu'il a atteint son maximum, en faisant toucher ses couilles, contre ses lèvres vaginales.
Mon excitation atteint son paroxysme, alors qu'il coulisse, de plus en plus amplement, et aisément, pendant qu'elle crie ses premières montées de plaisir anal.
"Putain, Pascal ! Elle est toujours aussi bonne ! Elle est géniale, ta salope de femme ! Regardes, ce que je lui mets dans le cul ! Et elle aime ça, cette chienne ! Pas vrai, salope ?".
"Arrrrrrrhhhh ! Arrrrrrrhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Il m'encule bien ! Arrrrrrrhhhh ! Arrrrrrrhhhh ! ...".
C'est le début d'une défonce anale assumée, remplie d'insultes, plus vulgaires les unes que les autres.
Chaque orgasme de Corinne, est suivi d'un moment de calme, ou le facteur joue avec sa béance anale, et sa grosse verge dure.
Je ne sais plus à quel moment, elle s'est adressée à moi, pour se plaindre:
"Arrrrrrrhhhh ! Arrrrrrrhhhh ! Pascaaaal ! Il est entrain de me casser le cul ! Arrrrrrrhhhh ! Arrrrrrrhhhh ! C'est booonnnnnnnnnnn !...".
Ni, quand elle lui a envoyé sa cyprine, entre les cuisses.
Ce qui est sûr, c'est que j'ai du arrêter de me toucher la bite, j'allais exploser en giclant mon sperme par terre.
Ma queue se secoue de spasmes, un léger filet liquide me pollue le gland, ouf ! J'ai stoppé à temps !
Quand je reprend mon visionnage, elle est au dessus de sa verge, avec la main sur sa bite, pour la guider, vers son trou béant.
J'assiste à sa chevauchée, et aux nouvelles puissantes giclées liquides, qu'elle se provoque.
A son épuisement progressif, aussi !
Est-ce une chance ? Il annonce enfin son éjaculation.
Ca redonne de la vigueur à Corinne, qui se déchaine sur sa bite.
Le facteur essaie de se retenir jusqu'au bout, mais c'est elle qui gagne à la fin !
Dès qu'elle sent qu'il éjacule en elle, elle remonte son cul, pour le garder enfoncé, sur quelques centimètres.
"Arrrrrrrhhhhrrrrrrrhhhh ! Mon amour ! Il jouit dans mon cul, regardes ! Tu vas voir, comme il me remplit bien ! Il m'en met toujours beaucoup ! Tu sais que j'adore ça ! Arrrrrrrhhhhhhhh ! C'est boooooooooooooon ! Ca m'exciiiiiiiiiiite !".
Leurs râles se rejoignent, leurs corps s'unissent dans l'orgasme.
Moi, j'assiste, en plan parfait, aux secousses de la verge du facteur, qui se vide dans l'orifice anal de ma femme.
Je vis leur bonheur évident, celui qui vous lie à votre partenaire, lors de cette communion de sensations, qui retombe très lentement.
Ils m'oublient complètement, à ce moment précis, et se déclarent leur plaisir, sans se soucier de moi.
Puis, Corinne revient à la réalité du présent.
Elle serre son anus sur la verge de Robert, et remonte en gémissant encore, jusqu'à la faire sortir de son cul.
"Orhhhh ! Regardes ! Bébé ! Tu vas adorer ça ! Autant que moi !".
Elle laisse son anus se relâcher.
Le sperme se déverse sur la grosse bite du facteur, couchée sous son cul.
Après plusieurs poussées, qui lui vident l'orifice anal, elle se place entre ses cuisses, et lui saisit la verge pour la lécher.
Elle me surprend encore, ce jour là !
Quelle gourmande !
C'est pas notre facteur qui va s'en plaindre ! Il se laisse laver la verge avec vice, l'enfoiré !
Ensuite, il la remet avec le cul face à l'objectif, en lui écartant l'anus.
"Et voilà ! Pascal ! J'ai eu mon pourboire ! Tu peux être fier d'elle ! Elle m'a bien encaissé, la preuve ! Regardes l'état de son cul !".
"Orhhh ! Arrêtes ! Il va le prendre mal ! Il va bien le voir, que tu m'as cassé le cul Ca suffit !".
Ca c'est sur ! Je le vois !
Et il lui remet sa bite, en plus ! Pourquoi s'en priver, encore ?
Puisque ça rentre tout seul, sans résistance.
Il se tourne pour éteindre la caméra, je ne saurai ce qui s'est passé ensuite, qu'en le demandant à Corinne !
Après une longue pause, il l'a encore un peu enculée.
Ensuite, il l'a baisée plus longuement, avec capote, pour finir par lui éjaculer dans la bouche, à la fin.
L'image a ensuite changé, montrant une autre de leurs rencontres, plus simple, et récente.
Ce qui était frustrant, c'est de savoir que lorsque je visionne ce film.
Il est déjà vieux, de deux mois !
La nouvelle scène est filmée par son amant.
J'y vois un gros plan de la chatte de ma femme, qui coulisse sur une grosse verge.
"Salut, Pascal ! C'était pas prévu que je passe la voir, Mais tu me connais ! Un petit extra, ça me tente toujours un peu ! Orhhh ! Regardes comme elle s'envoie sur ma queue, ta p'tite chérie ! Eh ! Sois dit entre nous, si tu la veux plus, je la prend ! Ourhhh ! Ouais ! Corinne ! Vas y, c'est bon ça !...".
J'assiste à l'accession à l'orgasme de ma femme, sur cette verge de celui que j'ai identifié comme le facteur, encore une fois.
La prise change, elle est en levrette, il filme encore par dessus.
Elle crie qu'il la baise bien, je vois qu'il lui claque le cul, en la défonçant comme une pute.
J'en ai la certitude, Corinne s'éclate comme une folle, ce genre de baise, c'est son truc.
Le plan change de nouveau, elle est à ses pieds, sa langue exagérément sortie, pour lui lécher la verge.
"Désolé ! J'ai pas le temps de rester plus longtemps ! Mais j'aurai son p'tit cul, la prochaine fois ! Promis, ma p'tite salope ?".
"Mmmmm ! Mmmmm ! Mouii ! Promis ! Mmmm ! Mon amour, j'aime lui sucer la queue ! Elle est trop bonne ! Mmmmm ! Regardes comme je me régale !".
Malgré le "soi-disant" temps qui presse, le facteur s'amuse tout de même avec sa bouche, et sa face de petite princesse vicieuse.
Lentement, j'entends les signes de plaisir de Robert, il monte, en le faisant gémir, de plus en plus fréquemment.
Puis, il lui bloque la tête, sous sa grosse verge, dure et gonflée, au bord de l'explosion.
Elle l'attend avec sa gorge ouverte, et les yeux rivés sur son gros gland.
Le premier jet la surprend, en s'écrasant de son palais, à son front, elle avale ce qu'elle a reçu dans la bouche, et écarte encore ses lèvres.
Le second va directement au fond de sa bouche, contre sa glotte.
Le facteur râle puissamment.
"Arrrrrrrhhhhrrrrrrrhhhh ! Chérie, j'adore te gicler sur la gueule ! Arrrrrrrhhhhrrrrrrrhhhh ! Prends ça, salope !...".
Les trois jets suivants se succèdent rapidement, en lui maculant le visage.
Il se masturbe de plus belle, et se termine dans sa gorge, en lui laissant le loisir de sucer sa bite, à sa guise.
"Orghhhhhhhhh ! Pascal ! Même pour ça, elle est parfaite ! Orhhh ! Vas y ! Manges moi bien la bite ! Ma chérie ! Putain, ce que c'est bon !...".
Le dernier plan enchaine sur une autre rencontre.
Un début de sodomie, écourté par la fin de la bande.
Que je visionnerai, avec tout le reste.
Il a récupéré sa tournée d'origine, mais en continuant ses visites, sur une plus longue période, qu'auparavant.
Elle l'a freiné, dans son envie de la revoir.
Il voulait la baiser quasiment tous les jours, comme l'année précédente.
Elle a réussi à le contenir, pour se donner à lui, une fois par semaine uniquement, 2, au plus fort de leurs rencontres.
Ils ont ainsi évité la lassitude, en quelque sorte.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore un beau texte ou Corinne exprime son hypersexualite et toi ton candaulisme assumé en dehors de ta présence du moment qu’il y a film ou qu’elle te raconte ses exploits. Daniel
Tu es un chanceux pascal, un bon candauliste comme moi.
Moi, j'en ai 2 qui s'occupe de ma femme.
2 mecs complètement différent (son 1er amant de 74 ans, et un black robuste de 46 ans). Ma femme à 40 ans.
Ils viennent la baiser toutes les semaines plusieurs fois.
Séparément ou parfois ensemble.
Et je lui trouve aussi des plans q qd elle en a envie.
Elle me raconte, où je la regarde parfois.
13 ans de candaulisme, que du bonheur pour nous.
Profite
Tony L
Moi, j'en ai 2 qui s'occupe de ma femme.
2 mecs complètement différent (son 1er amant de 74 ans, et un black robuste de 46 ans). Ma femme à 40 ans.
Ils viennent la baiser toutes les semaines plusieurs fois.
Séparément ou parfois ensemble.
Et je lui trouve aussi des plans q qd elle en a envie.
Elle me raconte, où je la regarde parfois.
13 ans de candaulisme, que du bonheur pour nous.
Profite
Tony L

