Le Fan
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 216 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le Fan
Dernièrement j’ai reçus un message de l’un de mes lecteurs, qui écrivait ceci : J’ai beaucoup apprécié votre histoire. Je l’ai trouvé osée, sensuelle, très coquine, et j’avoue qu’elle m’a fait beaucoup d’effet et procuré beaucoup de bien.
Au plaisir de vous lire de nouveau, Un lecteur captivé…
Une démarche simple, sans appel, dirais-je. Touché par ce petit mot qui fait toujours plaisir à recevoir, je pris la peine de répondre gentiment, et de lui écrire : Chère lecteur, Je suis ravi de vous voir captivé et vous remercie pour votre petit mot, plein d‘encouragement de poursuivre sur cette voie. J’ai eu, enfin, je pense autant de plaisir à raconter ces histoires qu’à les vivres. Oui ! Parce que parmi les fantasmes écrit il y a aussi du vécu, oui du vécu. Je n‘ai pas besoin de vous préciser que j‘ai de tout le temps apprécier le cul. Donner du plaisir est une chose incroyable pour moi. J’avoue même préfère en donner qu’en prendre. Et que le physique que j’ai me donne bien plein d’avantage.
Bien à vous, Un écrivain qui aime être lu.
La réponse ne se fit pas attendre. Quelques mots, avec cerise sur le gâteau son adresse email.
Alors j’ai envoyé à mon tour un message que je dirais très plus engageant à cette adresse.
Jours après jours les messages des deux parties, se sont succédés, et bien sûr de plus en plus luxurieux. Vue que nous étions, avec le lecteur fan au nom de (Marc) passait dans une phase que je dirai des plus ténébreux. Je me permis, enfin si il le désirait, d’avoir le plaisir de voir une photo de sa femme. Précisant sans aucune gêne, un cliché où sa femme exhibait ses charmes.
Mon attente ne tarda pas. Le soir même, j’eus la joie de recevoir un énième message. Dont un cliché représentant une femme appuyée sur une table, elle était penchée en avant, la robe retroussée à la taille. Dessous, elle avait une culotte rouge. Les fesses tendues vers l’objectif, le double bourrelets de son sexe moulé par la culotte, son visage tourné vers celui qui prenait la photo, tout dans son attitude criait : « rince-toi l’œil cochon ! ».
J’avais dû regarder le cliché une bonne centaine de fois avant d‘aller me coucher. D’ailleurs je me suis pas caché d’en faire part à Marc. Cela l’avait enchanté. Je profitais de sa liesse pour l’informé de mon addiction pour la culotte portée. Et sans lui en dire plus il se proposa de son propre chef, de m’envoyer une de sa femme. Je lui répondis que j’en serais le premier ravi, pour ne pas en dire plus.
Dès lors, je me préparais à vivre ces instants avec autant d’excitation que d’appréhension mêlées.
Puis quelques jours plus tard, j’eus l’agréable surprise de découvrir une enveloppe en kraft en ouvrant la boite à lettre. Impatient je n’avais pas pu me retenir de l’ouvrir sur le champ. J’y trouvé à l’intérieur une belle culotte en soie, et un petit mot qui disait ceci : J‘espère que ce petit cadeau sera à la hauteur de vos espérance.
J’attendis d’être à l’abris, entre les quatre murs de la maison pour en respirer le gousset à pleins poumons. En plein euphorie je me mis derrière l‘ordinateur et je commentais ma découverte : « Putain que votre femme sent bon de la chatte ! J’adore son parfum intime, ce doux arôme légèrement poivré… c’est délicieux ! Merci aussi pour le parfum laissé par ces quelques gouttes de pipi… » « Je suis ravi pour toi. M’avait-il écrit, passant au tutoiement. Catherine ma femme me demandait s‘il serait possible que tu te branles devant elle ».
« Pourquoi pas, où et quand ? » « Elle veut dire en visio. » « Oui… quand ? » « Cela te gênerait là, tout de suite ? Enfin le temps de mettre tout en œuvre. » « Tu m’en vois ravie ! Passant moi-aussi au tutoiement. » Et grâce à la technique, je me retrouvais devant le couple, qui pour le besoin avait mis un masque. Pour ma part j’avais encagoulé la culotte de soie de la femme. Je leur fis part de mon impatience de commencer, tout en touchant ma braguette : - Pourquoi pas ! Fit Catherine, alors que son mari restait lui muet, assis à côté d‘elle.
Je me levais, et tout en me déshabillant, je leur exposais mon avis sur les arômes que dégager la culotte, avec des mots très crus, comme pour chauffer le couple.
Une fois nu, je restai les jambes légèrement écartées, les mains sur les hanches, mon sexe fièrement dressé vers eux. J’eus le plaisir de surprendre leur joues se roussir. À l’aide de mes doigts, j’enfermais ma queue et mis mon poignet en branle. Ce n’étais pas la première fois que je me masturbais devant un couple. Ça toujours était pour moi un agréable moment. Ils restaient assis devant leur écran, buvant silencieusement chacun de mes mouvements.
Au fil des secondes, je prenais de plus en plus de plaisir. Et cela devant des inconnus. Un homme encore inconnu quelques jours plus tôt, avec lequel j’avais échangé des courriers électroniques, avant qu‘il me propose de but en blanc de me branler devant son couple. Tout s’était décidé si vite, et tant mieux pour ma perversion. Le coupe pour mon plus grand plaisir, éprouvait visiblement un trouble très agréable à me regarder me faire du bien.
Je surpris Catherine se laissait aller à décroiser ses jambes, puis elle s’était un peu tortillée pour ôter un petit slip de satin noir. Elle relevait un de ses genoux, posant l’escarpin sur l’accoudoir du fauteuil, me présentant son intimité sans la moindre pudeur. Elle écartait ses lèvres entre deux doigts, et elle commença à se caresser, m‘accompagnant.
Nous nous faisions face à face, à gémir, à nous abandonner au trouble étrange qui consistait à se montrer, sans une once de retenue, en toute indécence, en proie aux tourments de l’excitation exacerbée.
Catherine devant mes yeux témoins, et ceux de son mari, se balançait sur son assise, en criant. Elle laissait échapper de sa bouche des mots obscènes. Comme quoi j’avais la plus belle queue du monde, (ce qui était loin d’être le ca !), qu’elle était sûre qu’avec une telle verge, je pourrais la défoncer et la faire crever de plaisir, que… etc…, enfin tout le baratin pour que le plaisir soit au rendez-vous.
Le mari sortit pour sa part de son silence pour approuver les dires de sa femme, et prit même la peine d‘ajouter.
- Quand tu sens que tu vas jouir, approche-toi, au plus près de l‘écran, ma femme adore qu‘on jute devant ses yeux.
Et comme un fait exprès, je sentis les ondes de l’orgasme remonter tout le long de ma colonne vertébrale et je laissai échapper un gémissement de bien être. Je fermai les yeux et renversai la tête en arrière, chancelant à moitié sous la violence de ce qui m’arrivait. Cela faisait longtemps que je n’avais plus joui aussi intensément.
J’entendis Catherine de l’autre côté de l’écran criait elle aussi, bien plus fort que moi. J’ouvris les yeux pour m’apercevoir que l’écran était maculé de sperme, alors que le couple me souriait.
-Tu as été magnifique, Alain. J’espère que la prochaine fois tu le feras dans la pièce, qu’est-ce que tu en dis Marc ? S’intéressa sa femme.
- Cela serait pas bête de nous rencontrer en chair et en os ?
- Pourquoi pas. Répondis-je, pas mécontent d’un plan de cul.
Le rendez-vous fut pris pour la semaine suivante. Le jour dit, je sonnais à l‘adresse indiqué. Impatience de rencontrer le couple en chair et en os.
Je m’étais préparé à ce rendez-vous. Il possédait un avantage de taille sur moi, ils connaissaient mes faiblesses (mes récits). Comme je savais parfaitement ce qui leur ferait plaisir, ce qui les ferait craquer.
En attendant quand veuille bien avoir l’obligeance de m’ouvrir, je me posais la question de savoir, quelle tenue elle avait choisit de porter sur elle pour faire monter le désir, susciter mon envie, si il en aurait besoin de ça.
Enfin ce que je savais, c’était que j’étais impatient de faire glisser mes lèvres, voir ma langue, de ses pieds à sa poitrine, de sa chatte à son cul.
On se présenta, poignée de mains ferme de Marc et longues bises sur mes joues de son épouse. Ils me guidèrent jusqu’au salon richement meublé. Sitôt installé nous discutâmes.
J’appris alors, qu’ils étaient ensemble depuis pas mal d’années. Ils s’aimaient mais surtout lui, était attiré par le sexe sous toutes ses formes, et cela rester l’exclusivité chez lui, avait-il précisait.
Et que, après avoir mis, et cela à plusieurs reprises sur la table à sa moitié, qu‘il serait bien pour l’équilibre de leur couple de trouver un ou une partenaire. Et que suite à cela d’un commun accord, ils se décidèrent de vivre leurs fantasmes et leurs désirs ensemble.
Puis Catherine nous proposa de nous servir une coupe de champagne.
Pour ce faire elle nous abandonna un instant. La conversation avec Marc était des plus conviviale, et cela jusqu’à Catherine fit son apparition, en déshabillé. Après un clin d’œil à l’encontre de son époux, elle vint prendre place à mes côtés.
Je sus à cet instant que j’allais vraiment passé une bonne soirée de baise. Que tout bien réfléchi j’avais bien fait de lié les contact avec ce couple. Catherine câlinait sa cuisse tout en me regardant, me donnant l’envie de prendre le relai de sa main !
Elle s’approcha encore plus, me collant même, me regardant dans les yeux, tout en souriant, avant de prendre l’initiative de poser ses lèvres sur les miennes. Je n‘étais pas mécontent d‘offrir ce tableau à Marc, sachant très bien ce qui ressentait à cet instant, pour l‘avoir vécu. Je m’étais laissé aller à poser ma main sur sa cuisse gainée de soie. Alors que nos langues dansaient la danse de saint Guy dans ma bouche. Ma main allant et venant le long de ses cuisses moulées. M’électrolysant les sens. Catherine m’échappa pour venir prendre place sur mes cuisses reprenant notre baiser, là où elle l‘avait laissé.
Sous les yeux brillant d’excitation de monsieur, je soulageais la belle de son déshabillé pour pouvoir la caresser directement à même la peau, faisant ainsi plus ample connaissance avec son corps, du bout des doigts.
Catherine portait rien en dessous. J’embrassais alors son cou, cela eut pour effet de la faire frissonner. Elle se redressait un peu, assez pour m’offrir un sein à mes lèvres. Dont je me mis à sucer le mamelon, malaxant en même temps ses fesses, à pleines mains. Je passais d’un sein à l’autre. Suçant, léchant, mordillant ses pointes dardées, sous les yeux enchanté de Marc. Catherine posa ses mains sur ma nuque pour presser mon visage fortement contre sa poitrine, vulnérable à mes caresses.
Je bandais à m‘en faire mal. D’ailleurs, je ne me cachais pas d’en faire part à Catherine. Qui se précipita alors à me déshabiller. Une fois nu, elle s’empressait comme un mort de faim, d’attraper mon sexe dans sa main, tout en collant ses lèvres aux mienne.
Tout en taquinant ma langue, elle entreprit un va-et-vient, serrant la base de mon sexe de sa main droite, en se servant de son autre main en chapeau au-dessus du gland. De temps en temps elle venait toucher le bout de mon gland, simulant artificiellement l’extrémité d’une grotte intime. Je n’en pouvais plus.
-Tu vas me faire jouir… la prévenais-je, le souffle court.
Faisant la sourde oreille et malgré mes nombreux nouveaux appels elle continua de plus belle sa thérapeutique. Me masturbant sévèrement en haletant au fur et à mesure que le sang gorgé mon sexe. Je voyais perler sur le bout de mon gland les prémices de la liqueur qui allait bientôt venir tacher sa main branleuse. Continuant de tenir fermement ma queue, elle arrêta un moment son va-et-vient. Attendit quelques instants avant de reprendre sa masturbation, tout en me regarda droit dans les yeux. Attendant sans doute de ma part une directive à suivre. Ce qui n’arriva pas, préférant lui laisser le choix du chemin à suivre.
Alors, pour mon plus grand plaisir, elle se leva. Elle fit l’instant suivant, elle s’arqua en deux afin d’approcher sa bouche de mon gland. Après quelques coups de langue, elle me suggéra de la suivre.
Elle s’allongea, le ventre sur le tapis, et cela, devant les yeux spectateurs du mari toujours figé. Je me penchais au-dessus d’elle, pour embrasser son épaule, avant de descendre lentement vers ses fesses, que je me mis de nouveau à masser à l’aide de mes mains, allant jusqu’à glisser un doigt entre elles. Agaçant son anus qui sentait bon la vie.
Très vite ma bouche et ma langue assiégèrent les lieux. J’ouvris de mes mains, ses fesses, pour pouvoir lécher sa petite bague. Je cherchais à y enfoncer le bout de ma langue, et cela aussi loin que me le permettait élasticité des lieux. J’en profitais pour respirer ses odeurs intimes. Espérant y trouver les mêmes que ceux qu’il m’avait tant fait vibrer dans son slip.
Comme vous avez pu vous apercevoir vous, mes chers lecteurs, à travers mes récits, j’adore le gout intime des vraies femmes. Et de préciser si vous le permettez, que toute ma vie je n’avais jamais rencontré une femme dont je n’avais pas aimé son goût et son odeur. Et cela, peu importe le moment de la journée.
Catherine se tortillait sous mes caresses, avant de se décider à me faire fasse, et de souder de nouveau ses lèvres aux miennes. Je profitais de l’instant pour m’intéresser à son sexe. Effleurant de l’index son clitoris. Sa chatte était ouverte, des plus accueillante aussi, comme je les aime. Alors je me laissais glisser le long de son corps, tout en le baissant.
Je jetais un coup d‘œil du côté de Marc. Le coquin s‘était résolu à faire sortir son sexe de son pantalon, et se masturber joyeusement. Pour ma part j’étais à présent devant le sexe de sa belle. Elle avait relevé ses jambes, les avait repliées pour mieux s’ouvrir. Offrant son sexe à ma convoitise. J’en profiter, une fois n’est pas coutume, pour humer son odeur intime. Puis du bout de la langue, je léchais ses grandes lèvres au goût aigre. Pousser par le parfum que je citerais d’aphrodisiaque, je plongeais mon visage contre sa fourche. La pénétrant de ma langue, frottant mon nez contre le clitoris dardé.
Je ne mis pas longtemps à trouver les points sensibles de la dame. Je me mis en devoir de sucer son clitoris comme je le l’avais fait plus tôt avec ses tétons. La pénétraient tant avec ma langue qu’avec mes doigts, ainsi qu‘avec mon nez, et cela pour son plus grand plaisir.
Tout en la régalant, je fouillais du doigt son anus. Qui très vite, sous la caresse, devenait de plus en plus élastique. Jusqu’à me le gober. Dans l’élan, je fourrais deux autres dans son vagin. Putain ! Quel plaisirs de l’entendre couiner de plaisir. M’encourageant de continuer ! Criant aussi des obscénités destinées autant à Marc qu’à moi. Son corps tremblait, ses gémissements devenaient cris, de long cri, puis un orgasme, le premier avant une longue série, jusqu’à ce que, épuisée, elle ne me repousse en me tirant par les cheveux pour m‘écarter de son intimité, attirant mon visage souillé de son propre plaisir vers le sien, pour de nouveau m’embrasser.
- Goûte Cochonne, lui lançais-je, comme ta chatte à bon goût !
- Dégueulasse ! Fût sa réponse, alors que mes lèvres descendirent vers sa poitrine sensible, tellement sensible qu’elle recommençait à gémir, une sensibilité extrême.
- Putain ! Tu vas me tuer… Je voyais Marc qui se masturbait de plus belle, cette fois, il était à poil. Catherine, croisant mon regard, tendit la main à son époux : - Viens mon chéri, ne reste pas seul… Je pense qu’il attendait que ça pour nous rejoindre. Il plaça son sexe à la bouche de sa moitié qui se mit à le lécher doucement, tout en caressant ses testicules. Emporté par l’excitation, j’approchais mon visage et commençais aussi à lécher le sexe dur de Marc. Catherine se releva un peu et fit disparaître presque entièrement le pénis dans sa bouche, avant de le recracher pour me le donna à sucer.
Sans aucune gêne, et parce que ce n’était pas la première fois, je le pris moins loin qu‘elle. À voir la tête de Marc cela n‘était pas pour lui déplaire. Avec Catherine nous avions échangé sa queue pendant quelques minutes. Marc se contrôlait bien, nous encourageait même à poursuivre. .
Le chanceux commençait à gémir de plus en plus fort. Avec sa femme on s’embrassait avec le gland de Marc au cœur de notre baiser. Le masturbant avec nos lèvres joints. Et cela jusqu’à ce qu’il explose, son sperme jaillissait sur nos deux visages et sur nos langues.
Puis Catherine le reprit dans sa bouche pour le sucer encore un peu, puis me tendit la queue pour que j’en fasse autant.
Plus tard, il attendit que Catherine soit partit chercher de nouveau à boire pour me dire : -J’ai lu comme quoi tu aimais enculer ! Je me trompe.
-Toi, tu sais lire.
-Son cul est à ton goût !
-Tous les culs sont à mon goût mon pote.
Sitôt de retour et sous les encouragements de Marc, je la fis s’asseoir de nouveau près de moi. Je lui demandais de me tendre son cul, ce qu’elle fit sans abdiquer.
Je profitais d’une banane mûre dans le panier à fruit, pour lui lubrifier son conduit culier.
- J’espère que tu aimes ça mon chou.
En réponse, elle agitait sa croupe. J’attardais mes doigts dans l’anus graisseux qui laissait échapper des odeurs de banane. Le bout de mon index entrait et sortait rapidement pour assouplir le sphincter. J’y ajoutais le majeur, entamant un mouvement tournant.
- Tu commences à t’ouvrir Catherine, je te l’avais dit Marc comme quoi elle allait aimer cela.
Je retirai mes doigts, et maintenais quelques instants le cul écarté. Sans encore bâiller de façon spectaculaire, l’anus palpitait, impatient.
J’enfouis mon visage entre les deux sphères, plaquant ma bouche sur son anus sucré, m’efforçant d’y introduire de nouveau ma langue. Je réussis à le pénétrer partiellement. J’enfonçais une bonne partie de ma langue dans son rectum. Je poussais, pour la lécher au plus profond. Soudain, son cul s’ouvrit et ma langue s’y engouffra presque entière. Humant à plein poumons les odeurs fortes et sucrées qui s’en dégager. Saoulé par les vapeurs, je léchais sa raie sous les regards de l‘époux, heureux.
Il montait alors en moi, une envie de jouissance, et parce que sa poche était maintenant très large, très accueillante aussi, je me redressais, pour me positionner derrière elle, de façon à pointer mon sexe au niveau de ses fesses. Lentement, je descendis mon sexe vers ses dernières.
Je tressaillis quand mon gland entra au contact de sa peau douce. Je le plaçai délicatement sur la raie et entamai un lent branle entre ses fesses. Prenant place au-dessus d’elle, je guidais ma verge vers le cul épanoui. En me cramponnais aux hanches de la femme j’appuyais de tout mon poids et ce fut sans effort que mon gland pénétra l’anus soyeux.
Je continuai ma progression et bientôt, je me retrouvai enfoncé jusqu’à la garde entre ses fesses. Avec d’infinies précautions, j’entamai un lent limage de ce cul. Elle bougea alors son bras et je le vis disparaître sous elle, au bout de quelques instants, elle se remit à gémir.
Cela ne faisait aucun doute, elle se masturbait pendant que je l’enculais. Quelques minutes plus tard, je me vidai. Au moment de ma jouissance, elle avait eu un râle étouffé, je pense qu’elle aussi avait prit son pied.
Après avoir repris mes esprits, et mes forces, je me rhabillais, avec la ferme intention de reprendre la route, avec de belles images gravées à jamais dans ma mémoire.
Au plaisir de vous lire de nouveau, Un lecteur captivé…
Une démarche simple, sans appel, dirais-je. Touché par ce petit mot qui fait toujours plaisir à recevoir, je pris la peine de répondre gentiment, et de lui écrire : Chère lecteur, Je suis ravi de vous voir captivé et vous remercie pour votre petit mot, plein d‘encouragement de poursuivre sur cette voie. J’ai eu, enfin, je pense autant de plaisir à raconter ces histoires qu’à les vivres. Oui ! Parce que parmi les fantasmes écrit il y a aussi du vécu, oui du vécu. Je n‘ai pas besoin de vous préciser que j‘ai de tout le temps apprécier le cul. Donner du plaisir est une chose incroyable pour moi. J’avoue même préfère en donner qu’en prendre. Et que le physique que j’ai me donne bien plein d’avantage.
Bien à vous, Un écrivain qui aime être lu.
La réponse ne se fit pas attendre. Quelques mots, avec cerise sur le gâteau son adresse email.
Alors j’ai envoyé à mon tour un message que je dirais très plus engageant à cette adresse.
Jours après jours les messages des deux parties, se sont succédés, et bien sûr de plus en plus luxurieux. Vue que nous étions, avec le lecteur fan au nom de (Marc) passait dans une phase que je dirai des plus ténébreux. Je me permis, enfin si il le désirait, d’avoir le plaisir de voir une photo de sa femme. Précisant sans aucune gêne, un cliché où sa femme exhibait ses charmes.
Mon attente ne tarda pas. Le soir même, j’eus la joie de recevoir un énième message. Dont un cliché représentant une femme appuyée sur une table, elle était penchée en avant, la robe retroussée à la taille. Dessous, elle avait une culotte rouge. Les fesses tendues vers l’objectif, le double bourrelets de son sexe moulé par la culotte, son visage tourné vers celui qui prenait la photo, tout dans son attitude criait : « rince-toi l’œil cochon ! ».
J’avais dû regarder le cliché une bonne centaine de fois avant d‘aller me coucher. D’ailleurs je me suis pas caché d’en faire part à Marc. Cela l’avait enchanté. Je profitais de sa liesse pour l’informé de mon addiction pour la culotte portée. Et sans lui en dire plus il se proposa de son propre chef, de m’envoyer une de sa femme. Je lui répondis que j’en serais le premier ravi, pour ne pas en dire plus.
Dès lors, je me préparais à vivre ces instants avec autant d’excitation que d’appréhension mêlées.
Puis quelques jours plus tard, j’eus l’agréable surprise de découvrir une enveloppe en kraft en ouvrant la boite à lettre. Impatient je n’avais pas pu me retenir de l’ouvrir sur le champ. J’y trouvé à l’intérieur une belle culotte en soie, et un petit mot qui disait ceci : J‘espère que ce petit cadeau sera à la hauteur de vos espérance.
J’attendis d’être à l’abris, entre les quatre murs de la maison pour en respirer le gousset à pleins poumons. En plein euphorie je me mis derrière l‘ordinateur et je commentais ma découverte : « Putain que votre femme sent bon de la chatte ! J’adore son parfum intime, ce doux arôme légèrement poivré… c’est délicieux ! Merci aussi pour le parfum laissé par ces quelques gouttes de pipi… » « Je suis ravi pour toi. M’avait-il écrit, passant au tutoiement. Catherine ma femme me demandait s‘il serait possible que tu te branles devant elle ».
« Pourquoi pas, où et quand ? » « Elle veut dire en visio. » « Oui… quand ? » « Cela te gênerait là, tout de suite ? Enfin le temps de mettre tout en œuvre. » « Tu m’en vois ravie ! Passant moi-aussi au tutoiement. » Et grâce à la technique, je me retrouvais devant le couple, qui pour le besoin avait mis un masque. Pour ma part j’avais encagoulé la culotte de soie de la femme. Je leur fis part de mon impatience de commencer, tout en touchant ma braguette : - Pourquoi pas ! Fit Catherine, alors que son mari restait lui muet, assis à côté d‘elle.
Je me levais, et tout en me déshabillant, je leur exposais mon avis sur les arômes que dégager la culotte, avec des mots très crus, comme pour chauffer le couple.
Une fois nu, je restai les jambes légèrement écartées, les mains sur les hanches, mon sexe fièrement dressé vers eux. J’eus le plaisir de surprendre leur joues se roussir. À l’aide de mes doigts, j’enfermais ma queue et mis mon poignet en branle. Ce n’étais pas la première fois que je me masturbais devant un couple. Ça toujours était pour moi un agréable moment. Ils restaient assis devant leur écran, buvant silencieusement chacun de mes mouvements.
Au fil des secondes, je prenais de plus en plus de plaisir. Et cela devant des inconnus. Un homme encore inconnu quelques jours plus tôt, avec lequel j’avais échangé des courriers électroniques, avant qu‘il me propose de but en blanc de me branler devant son couple. Tout s’était décidé si vite, et tant mieux pour ma perversion. Le coupe pour mon plus grand plaisir, éprouvait visiblement un trouble très agréable à me regarder me faire du bien.
Je surpris Catherine se laissait aller à décroiser ses jambes, puis elle s’était un peu tortillée pour ôter un petit slip de satin noir. Elle relevait un de ses genoux, posant l’escarpin sur l’accoudoir du fauteuil, me présentant son intimité sans la moindre pudeur. Elle écartait ses lèvres entre deux doigts, et elle commença à se caresser, m‘accompagnant.
Nous nous faisions face à face, à gémir, à nous abandonner au trouble étrange qui consistait à se montrer, sans une once de retenue, en toute indécence, en proie aux tourments de l’excitation exacerbée.
Catherine devant mes yeux témoins, et ceux de son mari, se balançait sur son assise, en criant. Elle laissait échapper de sa bouche des mots obscènes. Comme quoi j’avais la plus belle queue du monde, (ce qui était loin d’être le ca !), qu’elle était sûre qu’avec une telle verge, je pourrais la défoncer et la faire crever de plaisir, que… etc…, enfin tout le baratin pour que le plaisir soit au rendez-vous.
Le mari sortit pour sa part de son silence pour approuver les dires de sa femme, et prit même la peine d‘ajouter.
- Quand tu sens que tu vas jouir, approche-toi, au plus près de l‘écran, ma femme adore qu‘on jute devant ses yeux.
Et comme un fait exprès, je sentis les ondes de l’orgasme remonter tout le long de ma colonne vertébrale et je laissai échapper un gémissement de bien être. Je fermai les yeux et renversai la tête en arrière, chancelant à moitié sous la violence de ce qui m’arrivait. Cela faisait longtemps que je n’avais plus joui aussi intensément.
J’entendis Catherine de l’autre côté de l’écran criait elle aussi, bien plus fort que moi. J’ouvris les yeux pour m’apercevoir que l’écran était maculé de sperme, alors que le couple me souriait.
-Tu as été magnifique, Alain. J’espère que la prochaine fois tu le feras dans la pièce, qu’est-ce que tu en dis Marc ? S’intéressa sa femme.
- Cela serait pas bête de nous rencontrer en chair et en os ?
- Pourquoi pas. Répondis-je, pas mécontent d’un plan de cul.
Le rendez-vous fut pris pour la semaine suivante. Le jour dit, je sonnais à l‘adresse indiqué. Impatience de rencontrer le couple en chair et en os.
Je m’étais préparé à ce rendez-vous. Il possédait un avantage de taille sur moi, ils connaissaient mes faiblesses (mes récits). Comme je savais parfaitement ce qui leur ferait plaisir, ce qui les ferait craquer.
En attendant quand veuille bien avoir l’obligeance de m’ouvrir, je me posais la question de savoir, quelle tenue elle avait choisit de porter sur elle pour faire monter le désir, susciter mon envie, si il en aurait besoin de ça.
Enfin ce que je savais, c’était que j’étais impatient de faire glisser mes lèvres, voir ma langue, de ses pieds à sa poitrine, de sa chatte à son cul.
On se présenta, poignée de mains ferme de Marc et longues bises sur mes joues de son épouse. Ils me guidèrent jusqu’au salon richement meublé. Sitôt installé nous discutâmes.
J’appris alors, qu’ils étaient ensemble depuis pas mal d’années. Ils s’aimaient mais surtout lui, était attiré par le sexe sous toutes ses formes, et cela rester l’exclusivité chez lui, avait-il précisait.
Et que, après avoir mis, et cela à plusieurs reprises sur la table à sa moitié, qu‘il serait bien pour l’équilibre de leur couple de trouver un ou une partenaire. Et que suite à cela d’un commun accord, ils se décidèrent de vivre leurs fantasmes et leurs désirs ensemble.
Puis Catherine nous proposa de nous servir une coupe de champagne.
Pour ce faire elle nous abandonna un instant. La conversation avec Marc était des plus conviviale, et cela jusqu’à Catherine fit son apparition, en déshabillé. Après un clin d’œil à l’encontre de son époux, elle vint prendre place à mes côtés.
Je sus à cet instant que j’allais vraiment passé une bonne soirée de baise. Que tout bien réfléchi j’avais bien fait de lié les contact avec ce couple. Catherine câlinait sa cuisse tout en me regardant, me donnant l’envie de prendre le relai de sa main !
Elle s’approcha encore plus, me collant même, me regardant dans les yeux, tout en souriant, avant de prendre l’initiative de poser ses lèvres sur les miennes. Je n‘étais pas mécontent d‘offrir ce tableau à Marc, sachant très bien ce qui ressentait à cet instant, pour l‘avoir vécu. Je m’étais laissé aller à poser ma main sur sa cuisse gainée de soie. Alors que nos langues dansaient la danse de saint Guy dans ma bouche. Ma main allant et venant le long de ses cuisses moulées. M’électrolysant les sens. Catherine m’échappa pour venir prendre place sur mes cuisses reprenant notre baiser, là où elle l‘avait laissé.
Sous les yeux brillant d’excitation de monsieur, je soulageais la belle de son déshabillé pour pouvoir la caresser directement à même la peau, faisant ainsi plus ample connaissance avec son corps, du bout des doigts.
Catherine portait rien en dessous. J’embrassais alors son cou, cela eut pour effet de la faire frissonner. Elle se redressait un peu, assez pour m’offrir un sein à mes lèvres. Dont je me mis à sucer le mamelon, malaxant en même temps ses fesses, à pleines mains. Je passais d’un sein à l’autre. Suçant, léchant, mordillant ses pointes dardées, sous les yeux enchanté de Marc. Catherine posa ses mains sur ma nuque pour presser mon visage fortement contre sa poitrine, vulnérable à mes caresses.
Je bandais à m‘en faire mal. D’ailleurs, je ne me cachais pas d’en faire part à Catherine. Qui se précipita alors à me déshabiller. Une fois nu, elle s’empressait comme un mort de faim, d’attraper mon sexe dans sa main, tout en collant ses lèvres aux mienne.
Tout en taquinant ma langue, elle entreprit un va-et-vient, serrant la base de mon sexe de sa main droite, en se servant de son autre main en chapeau au-dessus du gland. De temps en temps elle venait toucher le bout de mon gland, simulant artificiellement l’extrémité d’une grotte intime. Je n’en pouvais plus.
-Tu vas me faire jouir… la prévenais-je, le souffle court.
Faisant la sourde oreille et malgré mes nombreux nouveaux appels elle continua de plus belle sa thérapeutique. Me masturbant sévèrement en haletant au fur et à mesure que le sang gorgé mon sexe. Je voyais perler sur le bout de mon gland les prémices de la liqueur qui allait bientôt venir tacher sa main branleuse. Continuant de tenir fermement ma queue, elle arrêta un moment son va-et-vient. Attendit quelques instants avant de reprendre sa masturbation, tout en me regarda droit dans les yeux. Attendant sans doute de ma part une directive à suivre. Ce qui n’arriva pas, préférant lui laisser le choix du chemin à suivre.
Alors, pour mon plus grand plaisir, elle se leva. Elle fit l’instant suivant, elle s’arqua en deux afin d’approcher sa bouche de mon gland. Après quelques coups de langue, elle me suggéra de la suivre.
Elle s’allongea, le ventre sur le tapis, et cela, devant les yeux spectateurs du mari toujours figé. Je me penchais au-dessus d’elle, pour embrasser son épaule, avant de descendre lentement vers ses fesses, que je me mis de nouveau à masser à l’aide de mes mains, allant jusqu’à glisser un doigt entre elles. Agaçant son anus qui sentait bon la vie.
Très vite ma bouche et ma langue assiégèrent les lieux. J’ouvris de mes mains, ses fesses, pour pouvoir lécher sa petite bague. Je cherchais à y enfoncer le bout de ma langue, et cela aussi loin que me le permettait élasticité des lieux. J’en profitais pour respirer ses odeurs intimes. Espérant y trouver les mêmes que ceux qu’il m’avait tant fait vibrer dans son slip.
Comme vous avez pu vous apercevoir vous, mes chers lecteurs, à travers mes récits, j’adore le gout intime des vraies femmes. Et de préciser si vous le permettez, que toute ma vie je n’avais jamais rencontré une femme dont je n’avais pas aimé son goût et son odeur. Et cela, peu importe le moment de la journée.
Catherine se tortillait sous mes caresses, avant de se décider à me faire fasse, et de souder de nouveau ses lèvres aux miennes. Je profitais de l’instant pour m’intéresser à son sexe. Effleurant de l’index son clitoris. Sa chatte était ouverte, des plus accueillante aussi, comme je les aime. Alors je me laissais glisser le long de son corps, tout en le baissant.
Je jetais un coup d‘œil du côté de Marc. Le coquin s‘était résolu à faire sortir son sexe de son pantalon, et se masturber joyeusement. Pour ma part j’étais à présent devant le sexe de sa belle. Elle avait relevé ses jambes, les avait repliées pour mieux s’ouvrir. Offrant son sexe à ma convoitise. J’en profiter, une fois n’est pas coutume, pour humer son odeur intime. Puis du bout de la langue, je léchais ses grandes lèvres au goût aigre. Pousser par le parfum que je citerais d’aphrodisiaque, je plongeais mon visage contre sa fourche. La pénétrant de ma langue, frottant mon nez contre le clitoris dardé.
Je ne mis pas longtemps à trouver les points sensibles de la dame. Je me mis en devoir de sucer son clitoris comme je le l’avais fait plus tôt avec ses tétons. La pénétraient tant avec ma langue qu’avec mes doigts, ainsi qu‘avec mon nez, et cela pour son plus grand plaisir.
Tout en la régalant, je fouillais du doigt son anus. Qui très vite, sous la caresse, devenait de plus en plus élastique. Jusqu’à me le gober. Dans l’élan, je fourrais deux autres dans son vagin. Putain ! Quel plaisirs de l’entendre couiner de plaisir. M’encourageant de continuer ! Criant aussi des obscénités destinées autant à Marc qu’à moi. Son corps tremblait, ses gémissements devenaient cris, de long cri, puis un orgasme, le premier avant une longue série, jusqu’à ce que, épuisée, elle ne me repousse en me tirant par les cheveux pour m‘écarter de son intimité, attirant mon visage souillé de son propre plaisir vers le sien, pour de nouveau m’embrasser.
- Goûte Cochonne, lui lançais-je, comme ta chatte à bon goût !
- Dégueulasse ! Fût sa réponse, alors que mes lèvres descendirent vers sa poitrine sensible, tellement sensible qu’elle recommençait à gémir, une sensibilité extrême.
- Putain ! Tu vas me tuer… Je voyais Marc qui se masturbait de plus belle, cette fois, il était à poil. Catherine, croisant mon regard, tendit la main à son époux : - Viens mon chéri, ne reste pas seul… Je pense qu’il attendait que ça pour nous rejoindre. Il plaça son sexe à la bouche de sa moitié qui se mit à le lécher doucement, tout en caressant ses testicules. Emporté par l’excitation, j’approchais mon visage et commençais aussi à lécher le sexe dur de Marc. Catherine se releva un peu et fit disparaître presque entièrement le pénis dans sa bouche, avant de le recracher pour me le donna à sucer.
Sans aucune gêne, et parce que ce n’était pas la première fois, je le pris moins loin qu‘elle. À voir la tête de Marc cela n‘était pas pour lui déplaire. Avec Catherine nous avions échangé sa queue pendant quelques minutes. Marc se contrôlait bien, nous encourageait même à poursuivre. .
Le chanceux commençait à gémir de plus en plus fort. Avec sa femme on s’embrassait avec le gland de Marc au cœur de notre baiser. Le masturbant avec nos lèvres joints. Et cela jusqu’à ce qu’il explose, son sperme jaillissait sur nos deux visages et sur nos langues.
Puis Catherine le reprit dans sa bouche pour le sucer encore un peu, puis me tendit la queue pour que j’en fasse autant.
Plus tard, il attendit que Catherine soit partit chercher de nouveau à boire pour me dire : -J’ai lu comme quoi tu aimais enculer ! Je me trompe.
-Toi, tu sais lire.
-Son cul est à ton goût !
-Tous les culs sont à mon goût mon pote.
Sitôt de retour et sous les encouragements de Marc, je la fis s’asseoir de nouveau près de moi. Je lui demandais de me tendre son cul, ce qu’elle fit sans abdiquer.
Je profitais d’une banane mûre dans le panier à fruit, pour lui lubrifier son conduit culier.
- J’espère que tu aimes ça mon chou.
En réponse, elle agitait sa croupe. J’attardais mes doigts dans l’anus graisseux qui laissait échapper des odeurs de banane. Le bout de mon index entrait et sortait rapidement pour assouplir le sphincter. J’y ajoutais le majeur, entamant un mouvement tournant.
- Tu commences à t’ouvrir Catherine, je te l’avais dit Marc comme quoi elle allait aimer cela.
Je retirai mes doigts, et maintenais quelques instants le cul écarté. Sans encore bâiller de façon spectaculaire, l’anus palpitait, impatient.
J’enfouis mon visage entre les deux sphères, plaquant ma bouche sur son anus sucré, m’efforçant d’y introduire de nouveau ma langue. Je réussis à le pénétrer partiellement. J’enfonçais une bonne partie de ma langue dans son rectum. Je poussais, pour la lécher au plus profond. Soudain, son cul s’ouvrit et ma langue s’y engouffra presque entière. Humant à plein poumons les odeurs fortes et sucrées qui s’en dégager. Saoulé par les vapeurs, je léchais sa raie sous les regards de l‘époux, heureux.
Il montait alors en moi, une envie de jouissance, et parce que sa poche était maintenant très large, très accueillante aussi, je me redressais, pour me positionner derrière elle, de façon à pointer mon sexe au niveau de ses fesses. Lentement, je descendis mon sexe vers ses dernières.
Je tressaillis quand mon gland entra au contact de sa peau douce. Je le plaçai délicatement sur la raie et entamai un lent branle entre ses fesses. Prenant place au-dessus d’elle, je guidais ma verge vers le cul épanoui. En me cramponnais aux hanches de la femme j’appuyais de tout mon poids et ce fut sans effort que mon gland pénétra l’anus soyeux.
Je continuai ma progression et bientôt, je me retrouvai enfoncé jusqu’à la garde entre ses fesses. Avec d’infinies précautions, j’entamai un lent limage de ce cul. Elle bougea alors son bras et je le vis disparaître sous elle, au bout de quelques instants, elle se remit à gémir.
Cela ne faisait aucun doute, elle se masturbait pendant que je l’enculais. Quelques minutes plus tard, je me vidai. Au moment de ma jouissance, elle avait eu un râle étouffé, je pense qu’elle aussi avait prit son pied.
Après avoir repris mes esprits, et mes forces, je me rhabillais, avec la ferme intention de reprendre la route, avec de belles images gravées à jamais dans ma mémoire.
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