Le fantasme de Giselle - histoire érotique

Giselle n'est pas très, très portée sur le sexe. Pourtant, cette femme très posée, d'âge mûr, a un fantasme étrange, c'est d'être kidnappée et violentée par plusieurs personnes. Cela fait plusieurs fois qu'elle en parle à son mari, bien que chouchoutée par ses trois enfants et son mari très prévenants, cela semble devenir une obsession pour elle. Victor y réfléchit longuement avant de prendre la décision de réaliser le fantasme obsessionnel de sa femme.

Il en parle à ses enfants, tous adultes. Ils mènent une petite vie tranquille,
chacun de leur côté. Les garçons, Acceptent que leur papa comble de bonheur leur maman, il n'y que Rose mariée, ne trouve pas cela très sain, mais elle donne son accord.

Victor annonce la nouvelle à sa femme. Folle de joie, elle se jette dans ses bras et l'embrasse à perdre haleine. Puis lui demande en fronçant les sourcils :

-Tu sais, mon chéri, que je ne suis pas trop sexe et encore moins douée à le pratiquer, je ne voudrais pas voir les visages des personnes qui seront censées me violer, j'aurais trop honte !

Victor la rassure, :

-D'ailleurs, tu ne connais aucun des participants, et tu auras les yeux bandés, ma chérie, rassure-toi !


Bien qu'elle sache que tout est fictif, elle stresse, mais s'excite en même temps. Elle ne sait pas quand cela va se réaliser, et ne veut surtout pas savoir avec qui. Un soir qu'elle est devant la télé avec son mari, la porte s'ouvre brusquement, trois individus cagoulés, surgissent avec armes aux poings. Il attrape Giselle brutalement, lui bande les yeux, menace son mari, s'il résiste, et les emmènent.
Ils montent en voiture et roulent de longues minutes avant de s'arrêter, ils empoignent Giselle, entrent dans une maison, ils descendent un escalier et jette Giselle sur un lit qui grince, ils lui attachent les poignets et les chevilles à chaque coin du lit. Ils lui arrachent violemment ses vêtements. Quelques bonnes tapes sont assénées sur ses seins et sa chatte qui étrangement humide. L'un des agresseurs dits :

-Elle mouille la salope, elle aime ça !

Victor qui se prête au jeu dit :

-Ne lui faites pas de mal je vous en prie !

L'un des hommes répond :

-Toi ta gueule, vieux chnoque et regarde ce que va subir ta salope, après, ça sera ton tour !

Une bouche se plaque sur la chatte de Giselle, et aspire le jus qu'elle rejette, la langue agile pénètre profondément le conduit dégoulinant, et le fouille de longues minutes. Giselle gémit, elle agite son bassin. Soudain des mains se placent sur ses seins et les malaxent fortement, ce traitement fait gémir encore plus fort Giselle, ses mamelons sont roulés, écrasés, étirés, puis sucés terriblement fort. Giselle se cabre, elle s'agite comme une hystérique, en geignant comme une bête malade. La bouche vorace lui aspire le clito, cela déclenche une formidable jouissance.

La tête se retire d'entre ses cuisses, mais elle est vite remplacée par une verge puissante qui s'enfonce brutalement dans son ventre. Les coups de reins sont terribles, à chaque enfoncement Giselle pousse un gémissement d'agonisante. Elle défaille, une bite se frotte contre ses lèvres, une voix se fait entendre :

-Suce salope, et surtout avale !

Giselle est contrainte d'ouvrir la bouche, elle qui n'a presque jamais sucer de bite, là, la coquine est servie, elle se met à sucer le gland décalotté. De temps en temps, l'homme enfonce sa queue au fond de la gorge de la suceuse. Le mouvement est souvent répété, Giselle à de l'écume au bord des lèvres, mais elle fait de son mieux pour satisfaire son agresseur.

Les coups de reins de son baiseur sont phénoménaux, bien qu'elle est la bouche occupée, elle geint de plaisir. Une puissante décharge de sperme lui remplit la gorge, difficilement, elle parvient à tout avaler. On lui détache les poignets, elle s'accroche à son violeur en geignant comme une bête malade. Elle pousse un grognement, se cabre et jouit terriblement fort. Un flot de semence lui remplit le ventre avant de se retirer. La bite et vite remplacer par une bien plus grosse. Giselle se cambre en s'agrippant à son nouvel amant. Elle donne des coups de reins terribles pour être bien empalée. Ses grognements sont bruyants et incontrôlables. Une autre verge vient de s'insérer dans sa bouche.

Pendant qu'une bouche se pose sur ses mamelons. Les succions fabuleuses font délirer Giselle, elle recrache la verge et dit :

-Oh mon chéri, merci, merci, c'est si bon, oh comme je suis bien prise, oh cette bouche qui me dévore les tétons, me rend folle. Merci aussi à la bonne queue qui me défonce la chatte, oh ce qu'elle est bonne, va à fond, vas-y, vas-y !

Elle s'agrippe à son amant, comme une pieuvre sur son rocher. La bite reprend possession de sa bouche. Là, elle la saisit d'une main, et la dévore comme une affamée.
C'est une douce chaleur qui lui envahit le ventre, le sperme épais qui gicle en elle, la fait geindre.

Un flot important de semence lui coule dans la gorge, Giselle avale son rechigner le don généreux de son amant. Ses mamelons sont devenus énormes, la bouche, très efficace, les fait encore prendre du volume. La bite ressort de son ventre. Plusieurs tapes sur la chatte font cabrer Giselle. Des doigts, longs et fins, lui saisissent le clito et le branle énergiquement. Les râles et les couinements de Giselle résonnent dans la pièce. Sa chatte est frappée violemment, son clito écrasé. Une jouissance hors norme la fait hurler de plaisir. On lui détache les chevilles, et la retourne brusquement sur le ventre. Une bouche vorace se pose sur son anus, l'aspire le plus possible avant que la langue s'enfonce dans le conduit étroit. Giselle défaille, elle agite sa croupe, une jouissance anale la Fait cabrer fortement. Elle retombe sur le lit en geignant. Plusieurs tapes sur son fessier la font rugir.

Une bite énorme se pose contre son anus, elle sent deux mains lui saisir les hanches. Son amant pousse. Giselle pousse un long cri de douleur, elle subit sa première sodomie. La bite s'enfonce jusqu'aux couilles dans son rectum. En grimaçant, la soumise s'agrippe au lit. L'enculage et féroce, les coups de reins terribles. Au fil des minutes, Giselle à moins mal, elle agite même sa croupe en gémissant. Une jouissance anale la fait hurler, son amant la défonce comme jamais, elle ne l'a été. Un flot tiède de sperme, lui remplit l'intestin. Giselle délire :

Oh Victor mon chéri, ce n'est que du bonheur que tu m'offres là !

L'enculeur se retire rapidement, une queue prend la suite. Giselle jouit plusieurs fois, sous les coups redoublés de son amant. Le bougre lui envoie sa semence dans les entrailles en gémissant. Il reste un moment sans bouger avant de se retirer. Giselle se remet sur le dos et arrache le bandeau. Elle sursaute, en voyant son mari, ses enfants et également son gendre nu, elle dit en béguant.

-Mais, mais c'est vous, mes enfants, et toi, mon beau-fils, tu as participé aussi à cette mascarade. Mais, mais j'hallucine, mais Victor, qu'est-ce que cela veut dire, tu m'avais promis que ce seraient des personnes inconnues de moi !

Victor en souriant répond :

-Tous voulurent participer à ton fantasme ma chérie, sauf Rose, qui hésitait au début, c'est bien rattrapée, c'est elle qui t'a dévorée la chatte, et le cul, c'est son mari t'a sodomisé le premier. Il est vrai, que les garçons, et moi, nous t'avons bien défoncé la chatte, avoue-le quand même. Mais, tu as enlevé ton foulard trop tôt, demain, été prévue une double pénétration, suivit d'une double anale et pour te finir ma chérie, une double vaginale !

Giselle se pince les lèvres et dit :

-Qui était préposé à la double ?

Victor en se raclant la gorge répond :

-Pour la double pénétration, les enfants, et pour la double anale et vaginale, il te fallait de grosses queues, donc notre gendre qui est monté comme un poney, et moi !

Giselle, en regrettant, dit :

-Qu'est-ce que je peux être conne, j'ai loupé un feu d'artifice !

Victor éclate de rire et dit, mais cela m'a chérie n'est que partie remise. Nous allons te faire le programme au complet demain, si tu le souhaites bien sûr !

Giselle a les yeux qui pétillent et répond :

-J'ai hâte à être demain mes voyous, aujourd'hui, vous m'avez fait beaucoup jouir mes chéris, demain vu le programme, cela s'annonce être l'apothéose !