Le fantasme de l'infirmière... puissance 5

- Par l'auteur HDS Smilee -
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Récit libertin : Le fantasme de l'infirmière... puissance 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2025 dans la catégorie A dormir debout
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Le fantasme de l'infirmière... puissance 5
Ce soir à l’entraînement de rugby j’ai eu un accident et je me suis cassé le poignet. Les pompiers arrivent pour me chercher et j’ai la belle surprise de découvrir que sur les 4 pompiers il y a une jeune fille particulièrement charmante. C’est elle qui m’accompagne derrière. Nous discutons de chose et d’autres mais je suis sous le charme. Malheureusement nous arrivons déjà à l’hôpital et les pompiers me laissent aux infirmières.

Ce sont deux infirmières qui s’occupent des premiers soins : nettoyage des plaies, mise en place d’une atèle et premières formalités administratives. Les deux femmes sont plutôt attentives à moi mais je ne ressens pas d’attirance pour elles. Toutefois la plus âgée des deux qui doit avoir environ 50 ans est particulièrement tactile avec moi. A un moment j’aperçois même sa poitrine sans soutien-gorge par l’ouverture de sa manche. Mais la douleur est telle que cela ne m’émoustille même pas... Elles me donnent des calmants et me monte dans la chambre où je dois attendre mon opération.

A l’étage deux autres infirmières me réceptionnent et m’installe dans la chambre. La première s’appelle Sandrine. Elle est châtain, coupe au carré et a de petits yeux noisette. La seconde s’appelle Laura, blonde avec des cheveux ondulés qui tombent sur les épaules et surtout des yeux bleus magnifiques. La profondeur de son regard me touche au plus profond de moi. Quel charme !

Les calmants faisant effet je retrouve mon bagou et mon humour habituel. Le contact se fait bien. Sandrine part chercher quelques affaires alors que Laura me prend les constantes. La douleur s’estompe peu à peu. Je tente de dormir un peu puis je suis de nouveau réveillé par une douleur forte. J’appelle les infirmières. Elles mettent beaucoup de temps à venir car elles sont débordées. Dans l’hautparleur de la chambre Laura me dit que Sandrine va arriver. Puis quelques minutes après c’est Laura qui arrive. Rien que son sourire estompe ma douleur. Elle me perfuse avec des antalgiques alors que Sandrine arrive. Elles blaguent car Sandrine prétend que Laura a un faible pour moi. Intéressant. Elles prennent toutes deux soin de moi puis sortent. Je dois avouer que malgré la douleur ces deux belles femmes m’émoustillent. J’arrive tant bien que mal à m’endormir.

Le lendemain matin de très bonne heure Sandrine vient me réveiller. Elle doit me préparer pour aller au bloc. Bizarrement ce matin je ne ressens pas de douleurs. Elle me dit qu’il faut me doucher à la Bétadine. Elle me demande si j’ai besoin d’aide mais je dis que non. Je rentre dans la salle de bain de l’hôpital et me déshabille. Je commence à me laver mais galère un peu. Avec une seule main valide certaines zones sont difficilement accessibles. De l’autre côté de la porte Sandrine me demande si tout va bien. Je lui dis que oui même si j’ai du mal à attendre toutes les zones. Elle entre alors dans la pièce à ma grande surprise. Elle attrape la Bétadine et m’en passe sur le bras valide, le dos et les fesses. Je trouve qu’elle insiste beaucoup sur mes fesses notamment en passant bien dans la raie. Je tâche de me concentrer pour ne pas déclencher une érection. Ouf c’est fini sans que mon sexe soit trop dressé. Elle m’aide à me sécher puis enfile la blouse d’hôpital. De retour dans la chambre elle me fait coucher pour prendre mes constantes. La tension et l’oxygène vont bien. Puis elle veut me prendre la température mais l’appareil ne fonctionne pas. Je lui que ce n’est pas grave je ne me sens pas chaud. Elle me répond que c’est obligatoire et que dans ce cas elle va utiliser l’ancienne façon. Elle sort alors un thermomètre rectal et me demande de remonter mes jambes. J’exécute ses ordres et Sandrine vient enduire ma rondelle de vaseline avant d’y enfoncer le thermomètre. La sensation de ses doigts sur mon anus fait que mon sexe se dresse doucement. Sandrine enlève le thermomètre et je referme mes jambes pour cacher mon début d’érection. Mais Sandrine me dit qu’elle n’a pas fini. Elle me demande de relever les jambes car il lui semble avoir vu quelque chose. Je crains cette étape. Cela ne manque pas. Sandrine parcourt le tour de mon trou puis y insère un doigt. Inexorablement mon sexe se tend. C’est à ce moment-là que Laura entre dans la chambre. Elle charrie Sandrine qui prétendait que c’était elle qui avait un faible pour moi. Alors que Sandrine continue son exploration Laura vient à ma hauteur et lorgne mon sexe maintenant au maximum de ses capacités. Puis elle tâte mes testicules jugeant qu’elles sont trop pleines pour l’opération. Elle se baisse alors et prend mon pénis dans sa bouche. Me voici maintenant avec un doigt dans le cul et une langue sur mon sexe. Quel bonheur. Je n’aurais pas imaginé ça hier en arrivant avec mon poignet en vrac.

Laura continue de gober tendrement mon pénis. Sa langue joue avec mon gland délicieusement. Elle me regarde avec ses magnifiques yeux bleus tout en léchant ma verge sous toutes ses coutures. De son côté Sandrine semble avoir fini son toucher qui aurait pu être professionnel même si j’ai des gros doutes. Je sens qu’un deuxième doigt se fraie un chemin en moi. Je suis bientôt rempli. Elle commence alors un massage de la prostate. Entre ses deux infirmières qui s’occupe de mon plaisir l’instant est extatique. Il n’en faut pas beaucoup d’ailleurs pour que cet état finisse en orgasme. Laura conserve mon pénis dans sa bouche pendant toute la durée de mon éjaculation. Je suis vidé par ce fabuleux duo. Les filles me nettoient pour ne pas laisser de traces de leur écart puis finissent de me préparer pour le bloc. J’en avais presque oublié pourquoi je suis là. Je devrais être sorti dans la journée donc les filles me disent adieu. En partant je mate leurs postérieurs généreux avec le petit regret de ne pas avoir pu en profiter…

Je suis descendu au bloc parfaitement détendu. L’opération se passe bien mais prend du temps. Finalement le chirurgien préfère que je passe la nuit en observation. Je ne suis qu’à moitié triste car je me dis que peut être je croiserai la route de Laura et Sandrine pour continuer ce que l’on a commencé. La journée est toutefois difficile niveau douleurs une fois l’anesthésie finie. Mais les antalgiques prennent le relai. Je dors une bonne partie de la journée. Je reçois pleins de messages de soutien d’amis et de collègues ce qui fait chaud au cœur. Puis vient le soir. Je prends une douche pour enlever les traces de l’opération. J’attends avec impatience l’infirmière de nuit. Quand on tape à la porte mon cœur bat la chamade. La porte s’ouvre et une magnifique infirmière entre… mais ce n’est ni Laura ni Sandrine. Déception. Cette jolie femme me prends les constantes puis continue sa route. Tant pis pour moi. Je m’endors tranquillement bien apaisé par les calmants.

Dans la nuit je suis réveillé par une pression dans la zone basse de mon corps. J’émerge difficilement et je découvre Sandrine qui embrasse mon sexe tout endormi. Elle me sourit puis recommence. Cela ne manque pas de réveiller mes ardeurs. Je la laisse doucement faire gonfler mon excitation mais cette fois pas question d’en rester là. Une fois toute sa vigueur retrouvée, je me lève et embrasse Sandrine. Ses lèvres sont douces. Puis je passe ma main sous sa blouse et remonte jusqu’à sa poitrine que je libère de son soutien-gorge. Je découvre une poitrine de belle taille, un peu tombante mais avec des tétons bien durs. De ma main valide j’essaie de déboutonner son pantalon mais ni arrive pas. Elle m’aide alors et il tombe alors à ses chevilles. Je glisse ma main dans sa culotte blanche et commence à doucement la doigter. Elle s’humidifie rapidement. Passons aux choses sérieuses

Je passe derrière elle et lui baisse sa culotte. Elle comprend tout de suite ce que je veux et se met sur la pointe des pieds. Elle attrape mon sexe pour le diriger vers son vagin. Je rentre doucement en elle. C’est chaud et doux. Je commence à la pénétrer avec de plus en plus de rythme. Sandrine reste sur la pointe des pieds pour faciliter mon travail. J’adore cette position mais avec une main en vrac c’est quand même pas si pratique. Je la tambourine un peu mais rapidement il faut que je change de position.

Je me couche sur le lit et elle vient me chevaucher. Je tire sur sa blouse pour qu’elle comprenne que je veux qu’elle l’enlève. Elle s’exécute et libère sa belle poitrine. Sandrine rebondit maintenant sur moi avec entrain. C’est mieux ainsi pour moi. Ma main abîmée peut rester sagement posée sur le lit alors que l’autre peut allègrement caresser le corps de ma partenaire du soir. Dire que je suis en train de faire l’amour à une infirmière dans une chambre d’hôpital. Quel fantasme !

Sandrine prend son pied à rebondir sur moi. Et moi à voir cette belle femme à le faire. Elle se penche au-dessus de moi et sa grosse poitrine tape contre moi au rythme de nos ébats. Comme remède après opération il n’y a pas mieux. Les hormones du plaisir sont au maximum et c’est tant mieux. Ce moment dure toutefois un peu longtemps. Je pense que la dose de calmants doit réduire ma sensibilité. Mais cela n’affecte pas Sandrine qui finit par jouir. Elle s’écroule sur moi et reprend son souffle. Je profite de ce moment de douceur malgré mon érection toujours intacte. Je caresse son dos de ma main droite puis bouge le bassin pour lui faire comprendre que je n’ai pas fini.

Contre toute attente Sandrine se lève et remet sa blouse. Elle me dit que pour elle cela a assez duré mais qu’elle va me trouver une solution. Elle sort de la chambre. Je reste avec mon érection intacte. Puis je me prends à rêver qu’elle soit partie chercher Laura. J’attends avec impatience tout en caressant doucement mon sexe pour le maintenir bien droit. La porte s’ouvre. Sandrine entre puis se tourne vers la porte et fait un signe. Je regarde vers le mur pour voir qui va rentrer. Et là surprise pas de Laura. Mais trois femmes. La première est d’âge mûr (dans les 50 ans). Elle a des cheveux noirs parsemés de blanc, des yeux marrons et une corpulence plutôt classique. La seconde est un peu plus jeune. Peut-être trente-cinq ans. Elle est blonde aux yeux verts et plutôt mince. La troisième me laisse sans voix. C’est une jeune femme d’une vingtaine d’années. Elle est rousse aux yeux bleus. Magnifique. Et que dire de ses formes. Un visage rond mais harmonieux avec de belles taches de rousseur. Une poitrine généreuse qui tend sa blouse à l’extrême. De larges hanches qui appellent à les lui agripper. Des cuisses épaisses qui ne demandent qu’à être caressées. Et j’imagine de grosses fesses faites pour être prises en levrette. Bref je suis sous le charme.

Sandrine regarde ses collègues avec un grand sourire et demande qui veut commencer. La blonde est la plus prompte à réagir. Elle enlève le bas de sa blouse et sa culotte dévoilant deux allumettes en guise de jambes et un sexe entièrement épilé. Elle grimpe sur le lit et vient me chevaucher. Elle s’empale sur moi sans difficulté. Elle ondule et rebondit à sa convenance. Elle est tellement légère que je ressens à peine ses sauts. Personnellement ce n’est vraiment pas mon type de femme et j’ai du mal à y prendre du plaisir. Elle se frotte à moi et elle semble s’éclater. Elle finit par jouir sur moi. De mon côté j’ai la sensation d’être un objet sexuel. Je vis ce que beaucoup de femmes vivent. Un partenaire qui ne se soucie pas de l’autre…

Elle sort et fais signe à sa collègue la plus âgée de prendre la place. Je vois de l’hésitation dans ses yeux. Elle semble beaucoup moins entreprenante que la première. Ce qui est beaucoup plus attirant pour moi. Je me lève alors et vais à sa hauteur. Je l’invite à se coucher sur le lit. Ses collègues lui enlèvent son pantalon et sa grosse culotte. Elle écarte les cuisses dévoilant un pubis poilu. Mais je ne suis pas là pour faire le difficile mais remplir le rôle qui m’a été confié. Et plus vite je le ferais, plus vite je pourrais m’attaquer à la rousse qui éveille mon désir. Je m’approche de la quinquagénaire qui n’a pas l’air rassurée. Je pose ma main sur son intimité qui est toute sèche. Je passe mes mains sur ce corps flétri. Je remonte ses cuisses puis j’ouvre sa blouse. Je continue sur ce ventre endommagé par le temps et libère sa poitrine de son soutien-gorge blanc quelconque. Sandrine qui veut satisfaire ses collègues se place entre ces cuisses ouvertes et commence à la lécher. Ses autres collègues viennent joindre leurs mains aux miennes. Tout le monde travaille pour cette dame sans doute négligée depuis longtemps. Sandrine me fait signe que c’est à moi de jouer. Je reviens entre les cuisses de cette infirmière. Je place mon sexe devant le sien. Je frotte mon pénis à ses lèvres qui s’ouvrent comme une fleur. Je la pénètre avec lenteur et douceur. Je sens toute sa crispation dans son vagin. Je caresse son clitoris au même temps que je m’enfonce en elle. Arrivé au fond j’engage de lui faire l’amour. Non pas comme un coup d’un soir mais avec une infinie tendresse. Petit à petit elle se détend. Cela se voit dans son attitude. Mais surtout dans ses gémissements de plus en plus lourds. Bientôt ce sont des cris qui s’échappent de sa gorge. La libération est incroyable. Un immense sourire traverse son visage. Et celui de ses collègues. Quel moment incroyable. Ses seins valsent sous mes coups de reins. Des mains nous caressent. Je sens des mains sur mon dos et mes fesses. J’adore ça. Je redouble d’efforts et bientôt elle jouit bruyamment. Elle reste dans son état extatique sur le lit. Mais moi je sais qu’il me reste le plus beau des desserts. Et celui-là je compte bien le déguster…

Je me dirige vers l’objet de ma convoitise. Elle se tient bien droite. Je colle ma main valide sur ses grosses fesses. Je l’embrasse fougueusement. Cette fille me rend dingue. Cela fait bien longtemps que je n’ai pas été excité comme ça. Puis je la retourne et la colle contre le mur. Je baisse son pantalon pour dévoiler son énorme fessier parfaitement mis en valeur par un tanga blanc. Un rêve. Je me baisse et écarte sa ficelle. Je plonge mon visage entre ses fesses. Mais elles sont tellement grosses que je n'atteins pas ma cible. Elle recule son bassin et écarte les cuisses pour me faciliter l’accès. Je glisse sous elle pour découvrir son vagin odorant. Mais j’ai tellement envie d’elle que je la mange avec entrain. Elle a le goût caractéristique de l’excitation. Mon nez repose sur son petit gazon plutôt bien taillé. Je lèche son petit bouton qui n’a rien de petit. Il ressemble plutôt à un mini pénis que je suce allègrement. Je me délecte de cette jeune femme. Pendant que je m’occupe d’elle elle enlève le reste de ses vêtements. La voici donc dans ma tenue préférée, juste vêtue d’un joli string. Je lui prodigue mes meilleures astuces en cunnilingus ce qu’elle semble apprécier. Après avoir bien avalé de la cyprine pendant de longues minutes en entrée, je me relève pour passer au plat de résistance.

La laissant les mains contre le mur, je dirige mon membre gorgé comme rarement vers son antre chaud et humide. Je m’introduis et glisse d’un coup en elle. Cela glisse tout seul et je suis aspiré jusqu’à la garde. Pris d’une belle énergie sexuelle j’attrape sa hanche et lui assène de forts coups de hanches. Ses fesses flasques ondulent à chaque mouvement. Qu’est-ce que j’aime cette vision. Ses gros seins lourds se balancent aussi. L'instant est exquis. Comment pourrait-il être mieux ?

Sandrine se charge de répondre à cette question. Elle se place derrière moi et me caresse le dos et les fesses. Puis, alors que je continue de pilonner la belle rousse, Sandrine vient coller sa tête entre mes fesses. Elle glisse sa langue sur ma rondelle au rythme de mes pénétrations. Puis ce sont ses doigts qui entrent en moi comme la veille. C’est agréable de se sentir vivant. Je continue de culbuter ma belle infirmière potelée.

Tellement concentré sur ces merveilleuses formes rebondissant sous mes coups de butoirs, je n’ai pas prêté attention à l’entrée de Laura dans la pièce. C’est au moment où Sandrine se retire que je sens une autre paire de mains sur moi. Je cherche à tourner la tête mais on me la maintient droite. Je comprends rapidement pourquoi. Je sens un objet dur se présenter devant mon anus. Mais les filles ne savent pas que cela fait partie de mes pratiques favorites. Le jouet utilisé est de taille modeste donc s’insère facilement en moi. Quand la pression sur ma tête s’arrête je tourne la tête et vois que c’est Laura qui est aux manettes. Elle a enfilé un gode ceinture et me prend avec vigueur. Tous ses coups se répercute sur la belle rousse dans un petit train de folie. Les ongles de Laura s’immiscent dans ma chair. Je prends même quelques tapes sur les fesses. Décidément cette soirée est pleine de surprises.

La prise en sandwich est jouissive. Mais c’est l’infirmière qui craque la première. Elle est prise de spasmes convulsifs et doit être soutenue par ses collègues. Mais cela n’arrête pas Laura qui continue de me prendre et donc de répercuter les coups sur la rousse. Épuisée celle-ci tombe au sol me laissant le sexe bondissant à chaque coup de hanches. Je plaque ma main au mur pour me soutenir alors que Laura agrippe mes hanches. Elle intensifie ses mouvements devant le regard ébahi de ses collègues. Puis Laura invite Sandrine à prendre sa place.

Je reste collé au mur alors que Sandrine s’équipe. Laura passe devant moi et s’assoie pour être à hauteur de mon sexe. Alors que Sandrine s’introduit en moi, Laura engage de tendres baisers sur mon pénis. Après avoir limé une partie de la nuit cet acte de douceur est exquis. Me voilà de nouveau rempli. Mais la fellation prodiguée réveille mes sens. Cet instant est le zénith de la soirée malgré la jolie rousse. Je me détends et sens le plaisir m’envahir. Malheureusement Laura stoppe ses caresses.

Ne voulant pas perdre le niveau d’excitation et de plaisir atteint, je repousse Sandrine et invite Laura à se mettre à quatre pattes sur le lit. Je grimpe sur le lit et me prépare à la prendre en levrette. Sandrine vient m’aider à me mettre en position mais contre toute attente elle crache sur la rondelle de Laura et y dirige mon membre. Après une nuit de folie mon sexe va avoir du mal à tenir dans cet orifice. Toutefois j’y entre assez facilement. Elle semble avoir de l’entraînement. Machinalement je commence mes va et vient. Je regarde dans la chambre et découvre avec surprise que seule Sandrine est là. Les autres sont parties. Sans doute allons-nous trop loin pour elles. Ce n’est pas grave. Je continue de sodomiser cette belle infirmière qui m’a tapé dans l’œil depuis hier. Rapidement je sens que l’explosion est imminente. Je gicle dans son anus autant que je peux. Épuisé par cette journée et cette soirée je m’installe tant bien que mal sur mon lit et ne rencontre aucune difficulté à retrouver les bras de Morphée…

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