Le fantasme de Lucile
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 13 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Osiris ont reçu un total de 54 493 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 751 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le fantasme de Lucile
Le fantasme de Lucile
Bonjour à toutes et à tous.
Je me présente, je suis un homme de 40 ans, je me nomme Franck.
Je suis en couple sans enfant depuis 10 ans avec Lucile.
C’est une jolie femme de 35 ans, brune, assez grande avec des formes très harmonieuses.
Notre couple l’est aussi. On s’aime profondément, nous n’avons pas de problèmes particuliers.
Au niveau sexuel, la routine nous a encore pour le moment épargnés.
Nous faisons l’amour deux ou trois fois par semaine.
Lucile est une femme très épanouie, rien ne lui fait peur dans ce domaine.
Bref, je suis un homme heureux.
Une seule ombre au tableau vient de plus en plus ternir cette relation.
Lucile me demande de la sodomiser depuis deux ou trois ans.
C’est quelque chose et probablement la seule qui me paralyse. Cela me dégoûte et je ne peux imaginer lui rendre ce qu’elle me demande avec de plus en plus d’insistance.
Lucile a quatre amies qui se connaissent depuis le lycée. Régulièrement, elles se font des soirées au restaurant. Elles ont toutes les quatre un conjoint et certaines des enfants. Les discussions entre elles portent fréquemment sur les enfants, les tendances de la mode et de la sexualité, souvent avec plus de trivialités que les hommes. Enfin, c'est ce que je pense, car justement, Lucile me dévoile un peu leurs conversations et, bien sûr, cela tourne aussi autour de la sodomie et de l’amour entre femmes. Sur les quatre, trois pratiquent le sexe anal avec des demandes insistantes de la part de leurs conjoints. Deux adorent. Une cède pour faire plaisir à son homme et se laisse faire sans conviction, et la dernière en a horreur et refuse catégoriquement.
D'après ce que je sais, c'est cette dernière qui a eu une expérience avec une autre femme sans rien dire à son conjoint. Elle se nomme Élodie.
Les trois premières poussent Lucile à essayer en lui demandant de tout leur raconter dans le détail.
Maintenant que j’y pense, c’est après ces soirées que ma bien-aimée me le demande à nouveau.
Dernièrement, pendant nos ébats, elle me présente ses fesses. Je m’enfonce délicatement dans sa petite chatte et commence un va-et-vient lent et profond. Lucile mouille terriblement et gémit doucement.
Soudain, elle sort ma verge et la prend vigoureusement dans sa main pour la diriger vers son petit trou étoilé et pousse ses fesses vers moi.
Sans m’en rendre compte et sans le vouloir, je pénètre un peu l’orifice et aussitôt mon bâton dégonfle instantanément.
Offusquée, mécontente et en rogne, ma femme se redresse brusquement et part se rhabiller.
Surpris par ce comportement, je laisse volontairement du temps avant d’aller lui parler.
J’espère ainsi que sa colère va redescendre d’un cran.
Au bout de deux heures, je lui demande des explications qui n’ont pas abouti.
Je ne souhaite pas entrer dans les précisions, cependant, elle croît que je ne fais pas assez d'efforts pour cet acte amoureux et qu'elle ne reçoit plus d'amour de ma part.
Bref, un comportement de petite fille gâtée non comblée.
En ce qui me concerne, je ne modifie pas ma position et je lui fais à nouveau part de mon rejet et de mon profond mépris pour cette méthode que je considère comme contre-nature.
Au bout de deux jours, c’est toujours la soupe à la grimace.
Ainsi, avec une détermination renouvelée et après des heures de réflexion, j'ai décidé d'agir, redoutant qu'elle ne cherche un autre amour capable de lui perforer ses petites fesses.
Un soir, après le dîner, j’entame une conversation, vraiment à contrecœur.
Je lui dis, Lucile, je vois bien que tu es toujours fâchée.
Personnellement, je trouve que ton envie de sodomie tourne à l’obsession.
Je ne tiens pas à ce que tu te lamentes sur cette convoitise, alors j'ai pensé à une solution, à condition que tu sois d'accord avec moi.
Puisque je ne veux pas et ne peux pas te satisfaire sur ce fantasme et que je t’aime plus que tout.
Je te propose que ce soit un autre homme que je vais choisir qui va te faire perdre cette virginité.
Par contre, je reste dans la pièce avec vous. Je pourrai te caresser en même temps et contrôler la situation si cela dérape.
Je vois Lucile qui change de comportement et d'expression du visage.
Qu'en penses-tu ?
Ne me donne pas ta réponse maintenant. Réfléchis, tu as du temps.
Non, mais ça ne va pas la tête, me dit-elle.
Alors désormais, tu me prostitues. Tout ça, parce que monsieur ne veut pas me mettre sa bite dans mon cul.
Sur les conseils de mes amies, je sais comment me préparer pour ce genre de rapport.
Pauvre con, pour me faire une telle proposition, tu ne m'aimes plus, espèce de salaud.
Ébahi par ces paroles, c'est bien la première fois que Lucile me parle si vulgairement en dix ans.
Bref, ma proposition ne fait qu'empirer la situation.
Malgré une semaine de chambre à part, la quarantaine n'a pas été trop difficile au niveau relationnel.
Un soir, Lucile est rentrée très tard, le hasard du calendrier fait que c'était sa soirée restaurant avec ses copines.
J'espère qu'elle n'a pas parlé de notre situation.
J’ai eu la surprise, samedi matin, de la voir sortir de la salle de bain en petite tenue très sexy pour se rendre dans notre lit.
Peu de temps après, j’entends une petite voix m’inviter à la rejoindre.
Très surpris, je viens la rejoindre et la trouve assise sur le lit, les jambes touchant le sol et légèrement écartées, laissant apparaître quelques poils de sa petite touffe.
Je tiens à te dire, me dit-elle, que je t'ai pardonné.
Pour le prouver, je vais te faire quelque chose que tu adores particulièrement.
Viens là, reste debout devant moi.
Avec étonnement, je m'exécute.
Sans me laisser le temps de réfléchir. De ses mains et d'un geste rapide, elle descend mon pantalon de pyjama sur mes genoux.
Oh, pauvre petit sucre d'orge, qu'il est triste d'être à la diète depuis une semaine.
Je vais tenter de lui redonner vie, dit-elle. De ses deux mains, elle me tient par les hanches et
sans aucune hésitation, Lucile ouvre sa bouche et commence à me sucer doucement avec volupté.
Mon Dieu, quel bonheur.
Mon petit sucre d'orge se modifie rapidement et lève fièrement sa tête.
Maintenant, ma femme creuse ses joues et m'aspire avec enthousiasme.
Une de ses mains quitte ma hanche et s'empare fermement de la base de mon sexe et commence un va-et-vient lent. En même temps, je sens sa langue tourner autour de mon gland avec frénésie.
Pendant une quinzaine de minutes, je subis le même traitement avec quelques accélérations du rythme qui m'obligent à me tenir sur les épaules de ma tortionnaire.
Mon corps se couvre de frissons.
Des petits gémissements sortent de ma bouche.
Soudain, Lucile s'arrête et me dit : « M. Franck, préparez-vous à affronter votre petite mort. »
Je vais vous donner le coup de grâce d'ici peu. Laissez-vous mourir sans vous retirer de mes lèvres.
Rapidement et me regardant droit dans les yeux, elle reprend mon sexe en bouche, entoure de sa main droite ma tige et me masturbe de plus en plus vite et de plus en plus fort. Sa bouche m'aspire et je peux voir ses joues se creuser encore plus.
Très rapidement, je geins et je sens mon corps me trahir. Mes jambes ont du mal à me soutenir.
Des secousses intenses me parcourent, ma virilité enfle. À travers de longs spasmes, je libère ma sève dans la cavité de celle que j'adore, qui, en me voyant atteindre l'orgasme, l'absorbe peu à peu en souriant sur sa victoire.
Complètement ébranlé par cette épreuve, je m'assieds comblé juste à côté de mon bourreau.
En revanche, ce qui m'inquiète, c'est la raison de ce brusque changement de situation.
Je n’ai pas le temps de me poser trop longtemps la question.
Cela t'a plu, mon amour ? Me dit-elle.
Avant même que je puisse répondre, elle me prie de m’allonger à ses côtés.
Il faut que l'on se parle.
Cela concerne ta proposition qui m'a terriblement fâchée et vexée.
Après réflexion, j'ai eu tort.
Comme tu le sais, je suis allée au restaurant avec mes amies cette semaine et nous en avons parlé.
Je reprends la parole, « Ce n'est pas vrai, tu n'as pas fait cela, d'un ton sec, énervé. »
Si, on ne se cache rien entre nous. C'est pour cette raison que l'on s'entend si bien.
Ce sont elles qui m'ont conseillé d'accepter ta proposition.
Elles m'ont même dit que c'est une preuve d'amour de ta part et que personnellement, elles aimeraient bien être à ma place.
Si tu es toujours d'accord, je suis partante pour une telle aventure.
Je lui dis.
Tu sais, ce n'est pas de gaieté de cœur que je t'ai fait cette proposition.
Comme je te l'ai déjà dit, je vais choisir l'homme. Il sera jeune, dans les vingt ans, pour que l'on garde une certaine maîtrise de la situation.
Nous allons le rencontrer dans un bar en ville, ce qui te permettra de me révéler si tu te sens physiquement et mentalement à l'aise et de faire connaissance. Tu es d'accord ?
Elle m'affirma : « Je suis d’accord, mais vingt ans, c’est trop jeune. » À cet âge, ils ne possèdent aucune expérience.
C’est possible, mais je m'efforcerai de t’en trouver un bon. Je n'ai pas encore déterminé la méthode, mais je réussirai.
Après ces belles paroles, je remarque une certaine lueur dans le regard de ma femme.
Elle s’allonge langoureusement sur le lit à mes côtés et me dit que sa source recommence à couler et qu’il faudrait en récolter le miel qui en suinte.
Regarde, mon chéri, je n'invente rien. Elle dégrafe deux boutons-pression au bas de son body en dentelle puis écarte les jambes. Une jolie fente luisante m'apparaît déjà entrouverte.
Sans même prendre le temps de la déshabiller, je me glisse entre ses jambes, écarte ses lèvres déjà gonflées et je me délecte de son miel en le récoltant avec le bout de ma langue durcie.
Très rapidement, des soupirs remplissent la chambre.
Je pénètre en même temps sa fente avec mon index et je lui fais subir un lent et insistant va-et-vient.
Au bout d'un long moment de ce traitement et de longues complaintes langoureuses.
Je me décide à attaquer directement son petit bouton durci par le plaisir et de rajouter un autre doigt dans son vagin. J'accélère le mouvement.
Je commence à ressentir des contractions involontaires sur mes doigts inquisiteurs qui la pénètrent.
Ma langue tourne autour à plusieurs reprises et virevolte sur son clitoris, son corps entier se cabre comme un arc, elle crie son plaisir sans retenue et s'effondre, terrassée par son orgasme.
Après un baiser fougueux, nous nous enlaçons tendrement, enveloppés l’un dans l’autre afin de faire une petite sieste sous la couette.
Le lendemain, je commence à réfléchir pour trouver un jeune étalon digne de ce nom.
J'ai bien eu au travail, un jeune qui passait il y a un an un master deux en alternance.
J'avais de bons rapports avec lui, il était sérieux, il s’appelle Enzo Palazzini.
Bien sûr, il est d’origine italienne.
Il doit avoir maintenant 22 ou 23 ans.
Physiquement, il est beau et assez musclé. Si je me souviens bien, il fait du hockey pour le plaisir.
On se connaît assez bien. On mangeait ensemble pratiquement tous les midis et nous avions quelques fois des discussions sur les filles ainsi que sur ses conquêtes féminines.
C'est comme cela que j'ai appris de sa part qu'il préférait des femmes plus âgées que lui et qu'il avait eu de telles relations même avec une femme mariée.
Il m’expliquait qu’il avait peur des réactions avec des filles de son âge avec les mouvements féministes comme « Balance ton porc » et que certaines pratiques sexuelles qu’il aimait faisaient fuir les filles plus jeunes.
Je n'ai pas sollicité davantage de précisions pour ne pas me montrer indiscret.
À présent, j'espère qu'il ne se ventait pas et qu’il acceptera ma proposition.
J'ai encore son numéro de portable dans la base de données de l'entreprise.
Je décide donc de l'appeler pour lui donner rendez-vous dans un bar du centre-ville pour le lendemain s'il est libre.
Très content, mais surpris de mon coup de fil, il me répond positivement. Le rendez-vous est pris à 18 h après le boulot. Le cœur bâtant la chamade, je me dirige vers le lieu.
Personne, j'attends vingt minutes et décide de partir.
À peine levé, le voilà qui arrive en courant tout essoufflé. Bonjour Enzo, j'allais partir. Il m'explique qu'il a loupé son bus.
Après une banale conversation, je lui explique le motif de notre entrevue.
Voilà ce qui m'emmène à te contacter. Tu risques d'être très surpris.
J'ai énormément confiance en toi et c'est pour cette raison que je vais te faire cette proposition indécente.
Cependant, tu dois m'assurer que cela demeure secret et entre nous.
Pendant nos repas en commun, tu m'as dit que tu préférais faire l'amour à des femmes plus âgées que toi et que tu avais déjà fait l'amour à une femme mariée.
Oui, c'est bien cela ?
Eh bien, je te propose de faire l'amour à une femme de trente-cinq ans, et pas n’importe qui, il s’agit de ma femme.
Son fantasme est de se faire sodomiser. C'est un acte que je ne peux et ne veux pas réaliser, tout simplement par éthique. Je trouve cela bestial et sale.
Je lui ai donc proposé un autre homme pour la satisfaire et après réflexion, elle est d'accord.
C'est une belle femme brune très épanouie sur le sexe. Il ne lui manque que la sodomie pour la satisfaire complètement et peut être l’homosexualité.
Je comprends que cette idée te surprend ou t'effraie et que tu veux partir maintenant.
Tu en penses quoi ?
Euh, eh bien, je suis totalement estomaqué et en fin de compte sur le cul.
Tu me suggères de sodomiser ta femme et tu m'interroges sur ma perspective.
Heureusement que je te connais, car sinon, je me précipiterais en criant au secours.
Je ne comprends pas trop ta décision, mais je suis extrêmement excité de ta proposition.
Imagine, j'ai vingt-deux ans et tu m'offres les fesses de ta femme, qui en plus, a trente-cinq ans.
Mais pour moi, c'est un miracle.
En revanche, lui dis-je, je serai avec vous.
Rassure-toi, je ne te toucherai pas.
Je caresserai uniquement ma femme si elle le désire.
Pour le reste, vous aurez libre cours pour le déroulement de vos ébats.
Ça te va ?
Bien sûr que ça me va. J'ai hâte.
Si tu es d'accord, nous viendrons avec ma femme un soir de cette semaine afin de faire connaissance.
Disons au même endroit à la même heure, mercredi, si tu es libre.
Super, me répond-il.
J'y serai, promis.
Encore merci Franck.
Après cette entrevue, je rentre à la maison pour en informer Lucile. Je lui offre un apéritif dînatoire pour détendre l'atmosphère et commence à la tenir au courant de mes progrès si rapides.
Voilà, c'est fait, je t'ai trouvé un jeune homme de vingt-deux ans, qui je pense va te convenir. Il est beau et il parait assez déluré et a de l'expérience.
Il s'appelle Enzo.
Je commence à apercevoir le visage de ma femme qui s'illumine.
Tu as une photo, me demande-t-elle ? Non, mais j'ai mieux que ça.
Nous avons rendez-vous demain en fin de journée dans un bar. Tu pourras juger sur place et faire connaissance avec lui.
Si tu le trouves à ton goût, tu valides et il viendra à la maison un samedi.
Il est d'accord que je reste avec vous pour vous regarder, mais je n'interviendrai pas, sauf sur ta demande.
Je pourrai lui faire tout ce qui me passe dans ma tête, me confit-elle ?
Bien sûr, si tu en as envie, comme avec moi.
Et pour la sodomie, cela ne le dégoûte pas ? Il l'a déjà fait ?
Au contraire, il en a très envie et il la pratique sur des femmes de ton âge.
Enfin, c'est ce qu'il m’a dit.
Et cela ne va pas te gêner de jouer au voyeur ?
Je ne pense pas, je vais prendre sur moi.
Le lendemain arrive et c'est le moment de la première rencontre.
Lucile avait une tenue simple. Petite jupe et corsage légèrement entrouvert.
Bref, rien d'affriolant.
Pendant le trajet, je la sens très fébrile et en même temps impatiente.
Elle ne me parle pas beaucoup.
Probablement le stress de cette rencontre inhabituelle.
À notre arrivée au bar, Enzo est déjà là.
Il avait choisi une table excentrée.
En nous voyant, il se lève, me tend la main : « Bonjour Franck, tu as remarqué, je suis à l'heure. »
Il se tourne vers ma femme et fait de même en disant, bonjour madame, avec un ton embarrassé.
Bonjour Enzo, dit-elle.
Elle me regarde et m'adresse un large sourire.
Je crois qu'elle apprécie le physique du jeune garçon.
Tout le monde s'assoit et l'on commande des boissons.
Prenant la parole, voilà Enzo, je te présente ma femme dont je t'ai déjà parlé hier.
Euh ! Oui.
À ma grande surprise, Lucile commence la conversation directement avec lui sur sa vie, ses choix et de son nouveau métier. Une conversation somme toute banale.
Elle regarde autour de nous et baisse le ton de sa voix.
Franck t'a mis au courant du sujet de notre rencontre.
Oui, madame, répondit-il.
Elle lui dit, du tac au tac. Enzo, tu sais, avec ce que tu prévois de me faire dans les jours à venir, tu peux me tutoyer sans difficulté.
Voulez-vous que je vous laisse tous les deux en discuter ?
Je peux m'éclipser un moment, si vous voulez ? Leur dis-je.
Non, ce n'est pas la peine, mon chéri, me dit-elle.
Tu sais, Enzo, pour moi, c'est la première fois que je donne ma petite rosette et je ne veux pas que cela soit gâché par une indélicatesse ou pire, une incompétence. J'en attends énormément.
Tu en es capable ?
Oui, madame, pardon, oui, j'en suis parfaitement capable, Lucile.
Je ne vais pas te décevoir.
Ton petit cul perdra sa virginité avec moi et tu prendras du plaisir, foi d'Enzo.
Pardon Franck pour ces paroles.
Ce n'est pas grave, au moins, vous êtes francs tous les deux.
Lucile, es-tu d'accord de recevoir notre ami samedi prochain dans notre maison ?
Il te convient ?
Oui, j'en ai très envie malgré sa jeunesse.
Sur ses belles paroles, les deux futurs amants s'embrassent et se disent à samedi.
Moi, je dis simplement à Enzo, à samedi, et ne me déçois pas.
Voici l'adresse.
Tu peux venir vers 12 h pour le repas.
Une foi à la maison, je demande à Lucile son point de vue.
Alors Lucile, qu’en penses tu ? Il te plaît ?
Oui, je le trouve très beau et doux.
Sa voie est douce et chaude pour un jeune.
En plus, il a de la conversation
Arrive le grand jour et Lucile s'est habillée en conséquence.
Jupe courte sans collant et chemisier d'écolleté.
Elle m'a même demandé de choisir ses dessous en dentelle.
Par contre, pour la préparation à la sodomie, c'est elle qui a géré sans me demander.
Douze heures arrive et la sonnette sonne.
Enzo se présente à l'heure juste.
C'est Lucile qui lui ouvre, moi, je termine de dresser la table. Je vois à travers la baie que Lucile l'embrasse sur le bord des lèvres.
Elle lui prend la main et l'emmène dans la salle à manger.
Le repas se passe bien et Lucile conseille à son futur amant de ne pas boire de trop. Garde tes forces afin de me satisfaire, lui dit-elle. Je me sens d'un appétit d'ogresse.
Eh bien, cela commence bien, pensai-je.
Le repas à peine terminé, Lucile se lève et se dirige vers Enzo. Elle me regarde, comme pour me demander l'autorisation, et je lui assigne un signe de tête positif.
Elle se penche et lui impose un baiser profond, mais tendre.
Elle commence à le déshabiller, se met à genoux et lui enlève son pantalon et son slip.
Lucile se lève et se positionne derrière lui. Elle commence à le masturber doucement tout en lui caressant sa poitrine avec l'autre main.
Je vois un sexe très dur, très long, mais relativement fin se tendre.
Il se retourne brusquement et inverse la position. Il commence aussi par l'épouiller de ses vêtements sans brutalité, mais avec autorité.
Elle se retrouve vite en culotte et en soutien-gorge.
Tout en restant debout et derrière elle, il lui glisse sa main droite sous le petit rempart de tissus.
Les doigts d'Enzo s'occupent maintenant de la fente de Lucile que je devine déjà mouillée et onctueuse tout en l'embrassant dans le cou et sur la bouche.
Les jambes de ma femme s'ouvrent pour laisser de la place aux intrus qui désormais la pénètrent sans retenue. Elle ouvre la bouche pour émettre des petits sons plaintifs.
Enzo me regarde en souriant, retire sa main et me présente ses doigts tout luisants.
Lucile, quant à elle, ne s’occupe pas de moi. Elle ne me regarde pas.
Moi, qui regarde la scène, confortablement assis sur ma chaise, je commence à sentir mon sexe frémir et durcir sous mon pantalon.
J'entends qui lui susurre tout bas dans l'oreille qu'il est temps de s'occuper de sa petite rosette, le pourquoi de sa venue.
Aussitôt, je remarque que le visage de ma femme s'illumine.
Enzo s'agenouille derrière Lucile et lui baisse sa petite culotte en dentelle pour la lui enlever ensuite.
Elle se retrouve entièrement nue.
Maintenant, Lucile, penche-toi et cambre-toi. Prends appui sur le canapé avec tes mains et offre-moi tes fesses.
Lucile s'exécute et je vois Enzo, toujours à genoux, lui embrasser par de doux baisers ses deux belles lunes qu'il sépare avec ses mains pour découvrir ce que cache ce sillon profond.
Les fesses totalement écartées, la langue du jeune homme se positionne sur le petit cratère et commence à tourner autour.
Lucile commence à émettre des petits sons aigus.
Moi, je trouve cela répugnant et mon sexe recommence à se ramollir.
Je me demande comment on peut aimer ça ?
Toujours est-il que la langue pénètre maintenant le petit trou.
D'où je suis, je constate que la petite figue de ma femme coule à flots et qu'Enzo profite de ce lubrifiant généreusement obtenu pour mouiller ses doigts.
Doucement, il pénètre avec un, puis rapidement deux de ses doigts le cratère de ma femme. Ses fesses bougent dans tous les sens.
Est-ce pour échapper à l'introduction ou au contraire pour faciliter le passage ? Aux sons de ses complaintes, je comprends vite qu'elle favorise cette pénétration.
Les deux doigts du jeune homme pénètrent et ressortent régulièrement avec une régularité d'un métronome. Le rythme étant donné par la voix de plus en plus forte de ma dulcinée.
Soudain, au vu de la progression du plaisir de Lucile. Enzo arrêta son massage. Il se leva et enfila un préservatif déjà lubrifié. Il se pencha à l'oreille de ma femme et il lui dit : « Ne te caresse pas, contente-toi de ressentir un certain plaisir provoqué par l'échauffement de ton anus. » Tu es prête ? Oui, vas-y, prends mon cul, je te l'offre.
Enzo prend alors sa verge entre ses doigts et la dirige vers le petit trou. Il pousse doucement au centre du cratère qui s'élargit pour lui céder le passage.
La bouche de Lucile se déforme et prononce des sons plaintifs et langoureux. Seul le gland est rentré, il ne bouge plus. Il demande à ma femme ? Ça va ? Je peux continuer ? Oui, dit-elle, continue, c'est bon.
Avec une grande douceur, Enzo introduit la totalité de la longueur de sa verge dans le fondement déjà acquis de ma belle.
Le jeune garçon commence alors un va-et-vient lent, mais constant dans le conduit chaud, humide et brûlant tout en la maintenant par les hanches.
Conquise par cette nouvelle expérience, Lucile vocalise sans retenue, approuvant ainsi cette pénétration si redoutée pour moi.
Au bout d'une vingtaine de minutes, Enzo capitule : en émettant le son d'un brame de cerf, il remplit son préservatif de sa semence si longuement retenue.
Il est contraint de se retirer du corps de ma femme et lui dit : « Je suis désolé, mais ne t'inquiète pas, tu auras ta jouissance tout à l'heure. »
Lucile se redresse et se retourne et s'adresse à lui : « Ce n’est rien, tu es formidable, Enzo, j'ai adoré, même si je n'ai pas joui. » C'est vraiment une excellente découverte pour moi. Je n’ai pas ressenti la moindre douleur grâce à ta douceur.
Tu comptes recommencer tout à l'heure ? Dit-elle à Enzo.
Oui, si tu en as envie, mais avec l'approbation de Frank, naturellement.
Se retournant vers moi, Lucile me demande la permission de remettre ça et si j'ai apprécié ?
Je lui réponds que ça me réconforte dans ma négation et que je n'ai pas du tout envie d'essayer.
Par contre, je suis très content qu'elle réalise son rêve et qu'elle peut de nouveau recommencer.
Elle vient vers moi et m'embrasse à pleine bouche en me remerciant.
En tout cas, dit-elle, je te félicite pour ton choix. Enzo est parfait, il est très doux.
Elle se retourne et demande à Enzo : « Tu aimes le champagne ? »
Oui, j'adore.
Alors, champagne pour tout le monde.
Les deux compères s'habillent un minimum et s'installent sur le canapé.
Ils entament une conversation sur leurs ébats. Lucile dit qu'elle adore cette sensation de chaleur qui se diffuse dans son ventre pendant l'acte. Intellectuellement, j'aime aussi cette façon d'être prise par un homme. Je me sens dominée et ce n'est pas si désagréable, dit-elle.
J'ai franchement aimé et pour te dire, j'aimerais que l'on recommence.
Enzo, lui dit, tu sais, pour moi, j'éprouve souvent plus de plaisir en faisant une sodomie qu'avec un rapport normal. Mon sexe est beaucoup plus comprimé, et cela me procure une grande satisfaction. Et puis, tu l'as dit, Lucile, j'impose mon rythme à ma partenaire et je ne me sens plus dominant.
Après avoir bu la bouteille à trois, c'est Enzo qui se rapproche de ma belle et recommence à la déshabiller.
Il prend un nouveau préservatif et une petite fiole de lubrifiant.
Emmène-nous sur un lit, je vais te prendre sur le dos.
Aussitôt, Lucile, entièrement nue, le prit par la main et l'emmène dans la chambre d'ami.
« Tu viens, chéri, me dit-elle. »
Franchement, en y réfléchissant et au vu que cela se passe bien avec Enzo, je me sens de trop dans cette relation.
Je réponds, « Non, je préfère vous laisser seule. »
Tu es fâché ?
Non, pas du tout, profite en bien.
Et les voilà partis tous les deux dans la chambre voisine.
D'où je suis, je peux les voir, mais au moins, je ne suis pas dans la même pièce.
Lucile se positionne sur le dos et Enzo lui glisse un oreiller sous les reins.
De cette façon, le bassin est surélevé.
Il caresse tout son corps dans son intégralité, lui suce les seins qui se dressent avec impudence.
Sa bouche se rapproche de son sexe ouvert et il commence à le lécher comme un petit chien, absorbant le liquide qui s'écoule et dont l'excédent atteint sa petite ouverture, se mettant en condition pour le dénouement final.
J'entends les plaintes et les petits couinements de ma belle.
Il profite de ce moment de reddition pour lui injecter le lubrifiant à l'aide de son petit flacon muni d'une petite canule dans son pertuis impatient.
Lucile reste sur le dos et demande à Enzo de venir près de son visage. Ce qu'il fait sans se faire prier.
Il se positionne et elle ouvre sa bouche, avale sa longue tige pour la sucer comme un sucre d'orge.
À ce moment, ce sont les plaintes du jeune homme qui se font entendre.
Au bout d'un moment relativement court, il lui demande d'arrêter, car il est au bord du point de non-retour.
Il se retire et c'est elle qui lui enfile le préservatif avec attention et amour.
Il se positionne entre ses jambes ouvertes, les soulève en les soutenant par les chevilles et lui demande.
Tu es prête ? Dit-il.
Oui, prends-moi, maintenant, répond Lucile.
Il pose son extrémité au centre du petit cratère et pousse doucement pour l'ouvrir.
Le petit trou cède sous la poussée sans grande difficulté, aussitôt, un gémissement de ma belle retentit.
Il reste quelques instants immobile et c'est elle qui lui demande de bouger.
Enzo commence alors un va-et-vient plus rapide que la première fois.
Il s'enfonce jusqu'au bout et accélère sa cadence.
Caresse-toi, désormais, ordonne-t-il.
La main droite de Lucile se dirige vers sa fente et commence une douce masturbation pour devenir effrénée par la suite.
C'est à présent de véritables gémissements ainsi que des cris déchirants qui s'échappent de la bouche des deux amants.
Les deux regards se croisent et s'observent.
Lucile est au bord de l'évanouissement et Enzo le sait bien.
Il ressent sur sa verge des contractions de plus en plus fortes. Il décide d'accélérer et s'enfonce plus profondément dans le ventre de la belle qui capitule sous les assauts de son jeune gaillard.
Un son bouleversant d'une rare ampleur sort de la bouche de Lucile.
Les jambes de ma femme se lèvent d'un coup et tout son corps se tétanise avec de terribles tremblements qui n'en finissent pas.
L'orgasme d'Enzo, quant à lui, est beaucoup plus discret, mais tout aussi long.
Après cet orage, de nouvelles sensations.
Comme une furie, Lucile se met à genoux, enlève la capote, fait un nœud pour éviter que la liqueur ne se répande et se jette sur le sexe du pauvre garçon mis à nu.
Vulgairement, elle lui taille une pipe magistrale tout en le branlant.
Eh bien ! Vu la jeunesse d'Enzo, son sexe bande à nouveau avec une grande rigidité.
Ma femme le masturbe avec fermeté, de plus en plus vite et pour finir, sa liqueur s'écrase sur les seins de Lucile au visage radieux.
Tout en le regardant dans les yeux, elle prend alors la main d'Enzo, la pose sur ses seins et il lui étale lentement sa semence sur toute sa poitrine comme une crème de soin.
Je sors de ma torpeur et leur dis que la récréation est finie et qu'il est temps de prendre une bonne douche.
Peu après, Lucile et Enzo viennent me rejoindre, on passe la soirée ensemble et enfin, après le départ d'Enzo, je me retrouve enfin seul avec ma dulcinée comblée et heureuse.
Fin.
Prochaine histoire, Lucile découvre les relations entre femmes avec son amie de lycée.
Bonjour à toutes et à tous.
Je me présente, je suis un homme de 40 ans, je me nomme Franck.
Je suis en couple sans enfant depuis 10 ans avec Lucile.
C’est une jolie femme de 35 ans, brune, assez grande avec des formes très harmonieuses.
Notre couple l’est aussi. On s’aime profondément, nous n’avons pas de problèmes particuliers.
Au niveau sexuel, la routine nous a encore pour le moment épargnés.
Nous faisons l’amour deux ou trois fois par semaine.
Lucile est une femme très épanouie, rien ne lui fait peur dans ce domaine.
Bref, je suis un homme heureux.
Une seule ombre au tableau vient de plus en plus ternir cette relation.
Lucile me demande de la sodomiser depuis deux ou trois ans.
C’est quelque chose et probablement la seule qui me paralyse. Cela me dégoûte et je ne peux imaginer lui rendre ce qu’elle me demande avec de plus en plus d’insistance.
Lucile a quatre amies qui se connaissent depuis le lycée. Régulièrement, elles se font des soirées au restaurant. Elles ont toutes les quatre un conjoint et certaines des enfants. Les discussions entre elles portent fréquemment sur les enfants, les tendances de la mode et de la sexualité, souvent avec plus de trivialités que les hommes. Enfin, c'est ce que je pense, car justement, Lucile me dévoile un peu leurs conversations et, bien sûr, cela tourne aussi autour de la sodomie et de l’amour entre femmes. Sur les quatre, trois pratiquent le sexe anal avec des demandes insistantes de la part de leurs conjoints. Deux adorent. Une cède pour faire plaisir à son homme et se laisse faire sans conviction, et la dernière en a horreur et refuse catégoriquement.
D'après ce que je sais, c'est cette dernière qui a eu une expérience avec une autre femme sans rien dire à son conjoint. Elle se nomme Élodie.
Les trois premières poussent Lucile à essayer en lui demandant de tout leur raconter dans le détail.
Maintenant que j’y pense, c’est après ces soirées que ma bien-aimée me le demande à nouveau.
Dernièrement, pendant nos ébats, elle me présente ses fesses. Je m’enfonce délicatement dans sa petite chatte et commence un va-et-vient lent et profond. Lucile mouille terriblement et gémit doucement.
Soudain, elle sort ma verge et la prend vigoureusement dans sa main pour la diriger vers son petit trou étoilé et pousse ses fesses vers moi.
Sans m’en rendre compte et sans le vouloir, je pénètre un peu l’orifice et aussitôt mon bâton dégonfle instantanément.
Offusquée, mécontente et en rogne, ma femme se redresse brusquement et part se rhabiller.
Surpris par ce comportement, je laisse volontairement du temps avant d’aller lui parler.
J’espère ainsi que sa colère va redescendre d’un cran.
Au bout de deux heures, je lui demande des explications qui n’ont pas abouti.
Je ne souhaite pas entrer dans les précisions, cependant, elle croît que je ne fais pas assez d'efforts pour cet acte amoureux et qu'elle ne reçoit plus d'amour de ma part.
Bref, un comportement de petite fille gâtée non comblée.
En ce qui me concerne, je ne modifie pas ma position et je lui fais à nouveau part de mon rejet et de mon profond mépris pour cette méthode que je considère comme contre-nature.
Au bout de deux jours, c’est toujours la soupe à la grimace.
Ainsi, avec une détermination renouvelée et après des heures de réflexion, j'ai décidé d'agir, redoutant qu'elle ne cherche un autre amour capable de lui perforer ses petites fesses.
Un soir, après le dîner, j’entame une conversation, vraiment à contrecœur.
Je lui dis, Lucile, je vois bien que tu es toujours fâchée.
Personnellement, je trouve que ton envie de sodomie tourne à l’obsession.
Je ne tiens pas à ce que tu te lamentes sur cette convoitise, alors j'ai pensé à une solution, à condition que tu sois d'accord avec moi.
Puisque je ne veux pas et ne peux pas te satisfaire sur ce fantasme et que je t’aime plus que tout.
Je te propose que ce soit un autre homme que je vais choisir qui va te faire perdre cette virginité.
Par contre, je reste dans la pièce avec vous. Je pourrai te caresser en même temps et contrôler la situation si cela dérape.
Je vois Lucile qui change de comportement et d'expression du visage.
Qu'en penses-tu ?
Ne me donne pas ta réponse maintenant. Réfléchis, tu as du temps.
Non, mais ça ne va pas la tête, me dit-elle.
Alors désormais, tu me prostitues. Tout ça, parce que monsieur ne veut pas me mettre sa bite dans mon cul.
Sur les conseils de mes amies, je sais comment me préparer pour ce genre de rapport.
Pauvre con, pour me faire une telle proposition, tu ne m'aimes plus, espèce de salaud.
Ébahi par ces paroles, c'est bien la première fois que Lucile me parle si vulgairement en dix ans.
Bref, ma proposition ne fait qu'empirer la situation.
Malgré une semaine de chambre à part, la quarantaine n'a pas été trop difficile au niveau relationnel.
Un soir, Lucile est rentrée très tard, le hasard du calendrier fait que c'était sa soirée restaurant avec ses copines.
J'espère qu'elle n'a pas parlé de notre situation.
J’ai eu la surprise, samedi matin, de la voir sortir de la salle de bain en petite tenue très sexy pour se rendre dans notre lit.
Peu de temps après, j’entends une petite voix m’inviter à la rejoindre.
Très surpris, je viens la rejoindre et la trouve assise sur le lit, les jambes touchant le sol et légèrement écartées, laissant apparaître quelques poils de sa petite touffe.
Je tiens à te dire, me dit-elle, que je t'ai pardonné.
Pour le prouver, je vais te faire quelque chose que tu adores particulièrement.
Viens là, reste debout devant moi.
Avec étonnement, je m'exécute.
Sans me laisser le temps de réfléchir. De ses mains et d'un geste rapide, elle descend mon pantalon de pyjama sur mes genoux.
Oh, pauvre petit sucre d'orge, qu'il est triste d'être à la diète depuis une semaine.
Je vais tenter de lui redonner vie, dit-elle. De ses deux mains, elle me tient par les hanches et
sans aucune hésitation, Lucile ouvre sa bouche et commence à me sucer doucement avec volupté.
Mon Dieu, quel bonheur.
Mon petit sucre d'orge se modifie rapidement et lève fièrement sa tête.
Maintenant, ma femme creuse ses joues et m'aspire avec enthousiasme.
Une de ses mains quitte ma hanche et s'empare fermement de la base de mon sexe et commence un va-et-vient lent. En même temps, je sens sa langue tourner autour de mon gland avec frénésie.
Pendant une quinzaine de minutes, je subis le même traitement avec quelques accélérations du rythme qui m'obligent à me tenir sur les épaules de ma tortionnaire.
Mon corps se couvre de frissons.
Des petits gémissements sortent de ma bouche.
Soudain, Lucile s'arrête et me dit : « M. Franck, préparez-vous à affronter votre petite mort. »
Je vais vous donner le coup de grâce d'ici peu. Laissez-vous mourir sans vous retirer de mes lèvres.
Rapidement et me regardant droit dans les yeux, elle reprend mon sexe en bouche, entoure de sa main droite ma tige et me masturbe de plus en plus vite et de plus en plus fort. Sa bouche m'aspire et je peux voir ses joues se creuser encore plus.
Très rapidement, je geins et je sens mon corps me trahir. Mes jambes ont du mal à me soutenir.
Des secousses intenses me parcourent, ma virilité enfle. À travers de longs spasmes, je libère ma sève dans la cavité de celle que j'adore, qui, en me voyant atteindre l'orgasme, l'absorbe peu à peu en souriant sur sa victoire.
Complètement ébranlé par cette épreuve, je m'assieds comblé juste à côté de mon bourreau.
En revanche, ce qui m'inquiète, c'est la raison de ce brusque changement de situation.
Je n’ai pas le temps de me poser trop longtemps la question.
Cela t'a plu, mon amour ? Me dit-elle.
Avant même que je puisse répondre, elle me prie de m’allonger à ses côtés.
Il faut que l'on se parle.
Cela concerne ta proposition qui m'a terriblement fâchée et vexée.
Après réflexion, j'ai eu tort.
Comme tu le sais, je suis allée au restaurant avec mes amies cette semaine et nous en avons parlé.
Je reprends la parole, « Ce n'est pas vrai, tu n'as pas fait cela, d'un ton sec, énervé. »
Si, on ne se cache rien entre nous. C'est pour cette raison que l'on s'entend si bien.
Ce sont elles qui m'ont conseillé d'accepter ta proposition.
Elles m'ont même dit que c'est une preuve d'amour de ta part et que personnellement, elles aimeraient bien être à ma place.
Si tu es toujours d'accord, je suis partante pour une telle aventure.
Je lui dis.
Tu sais, ce n'est pas de gaieté de cœur que je t'ai fait cette proposition.
Comme je te l'ai déjà dit, je vais choisir l'homme. Il sera jeune, dans les vingt ans, pour que l'on garde une certaine maîtrise de la situation.
Nous allons le rencontrer dans un bar en ville, ce qui te permettra de me révéler si tu te sens physiquement et mentalement à l'aise et de faire connaissance. Tu es d'accord ?
Elle m'affirma : « Je suis d’accord, mais vingt ans, c’est trop jeune. » À cet âge, ils ne possèdent aucune expérience.
C’est possible, mais je m'efforcerai de t’en trouver un bon. Je n'ai pas encore déterminé la méthode, mais je réussirai.
Après ces belles paroles, je remarque une certaine lueur dans le regard de ma femme.
Elle s’allonge langoureusement sur le lit à mes côtés et me dit que sa source recommence à couler et qu’il faudrait en récolter le miel qui en suinte.
Regarde, mon chéri, je n'invente rien. Elle dégrafe deux boutons-pression au bas de son body en dentelle puis écarte les jambes. Une jolie fente luisante m'apparaît déjà entrouverte.
Sans même prendre le temps de la déshabiller, je me glisse entre ses jambes, écarte ses lèvres déjà gonflées et je me délecte de son miel en le récoltant avec le bout de ma langue durcie.
Très rapidement, des soupirs remplissent la chambre.
Je pénètre en même temps sa fente avec mon index et je lui fais subir un lent et insistant va-et-vient.
Au bout d'un long moment de ce traitement et de longues complaintes langoureuses.
Je me décide à attaquer directement son petit bouton durci par le plaisir et de rajouter un autre doigt dans son vagin. J'accélère le mouvement.
Je commence à ressentir des contractions involontaires sur mes doigts inquisiteurs qui la pénètrent.
Ma langue tourne autour à plusieurs reprises et virevolte sur son clitoris, son corps entier se cabre comme un arc, elle crie son plaisir sans retenue et s'effondre, terrassée par son orgasme.
Après un baiser fougueux, nous nous enlaçons tendrement, enveloppés l’un dans l’autre afin de faire une petite sieste sous la couette.
Le lendemain, je commence à réfléchir pour trouver un jeune étalon digne de ce nom.
J'ai bien eu au travail, un jeune qui passait il y a un an un master deux en alternance.
J'avais de bons rapports avec lui, il était sérieux, il s’appelle Enzo Palazzini.
Bien sûr, il est d’origine italienne.
Il doit avoir maintenant 22 ou 23 ans.
Physiquement, il est beau et assez musclé. Si je me souviens bien, il fait du hockey pour le plaisir.
On se connaît assez bien. On mangeait ensemble pratiquement tous les midis et nous avions quelques fois des discussions sur les filles ainsi que sur ses conquêtes féminines.
C'est comme cela que j'ai appris de sa part qu'il préférait des femmes plus âgées que lui et qu'il avait eu de telles relations même avec une femme mariée.
Il m’expliquait qu’il avait peur des réactions avec des filles de son âge avec les mouvements féministes comme « Balance ton porc » et que certaines pratiques sexuelles qu’il aimait faisaient fuir les filles plus jeunes.
Je n'ai pas sollicité davantage de précisions pour ne pas me montrer indiscret.
À présent, j'espère qu'il ne se ventait pas et qu’il acceptera ma proposition.
J'ai encore son numéro de portable dans la base de données de l'entreprise.
Je décide donc de l'appeler pour lui donner rendez-vous dans un bar du centre-ville pour le lendemain s'il est libre.
Très content, mais surpris de mon coup de fil, il me répond positivement. Le rendez-vous est pris à 18 h après le boulot. Le cœur bâtant la chamade, je me dirige vers le lieu.
Personne, j'attends vingt minutes et décide de partir.
À peine levé, le voilà qui arrive en courant tout essoufflé. Bonjour Enzo, j'allais partir. Il m'explique qu'il a loupé son bus.
Après une banale conversation, je lui explique le motif de notre entrevue.
Voilà ce qui m'emmène à te contacter. Tu risques d'être très surpris.
J'ai énormément confiance en toi et c'est pour cette raison que je vais te faire cette proposition indécente.
Cependant, tu dois m'assurer que cela demeure secret et entre nous.
Pendant nos repas en commun, tu m'as dit que tu préférais faire l'amour à des femmes plus âgées que toi et que tu avais déjà fait l'amour à une femme mariée.
Oui, c'est bien cela ?
Eh bien, je te propose de faire l'amour à une femme de trente-cinq ans, et pas n’importe qui, il s’agit de ma femme.
Son fantasme est de se faire sodomiser. C'est un acte que je ne peux et ne veux pas réaliser, tout simplement par éthique. Je trouve cela bestial et sale.
Je lui ai donc proposé un autre homme pour la satisfaire et après réflexion, elle est d'accord.
C'est une belle femme brune très épanouie sur le sexe. Il ne lui manque que la sodomie pour la satisfaire complètement et peut être l’homosexualité.
Je comprends que cette idée te surprend ou t'effraie et que tu veux partir maintenant.
Tu en penses quoi ?
Euh, eh bien, je suis totalement estomaqué et en fin de compte sur le cul.
Tu me suggères de sodomiser ta femme et tu m'interroges sur ma perspective.
Heureusement que je te connais, car sinon, je me précipiterais en criant au secours.
Je ne comprends pas trop ta décision, mais je suis extrêmement excité de ta proposition.
Imagine, j'ai vingt-deux ans et tu m'offres les fesses de ta femme, qui en plus, a trente-cinq ans.
Mais pour moi, c'est un miracle.
En revanche, lui dis-je, je serai avec vous.
Rassure-toi, je ne te toucherai pas.
Je caresserai uniquement ma femme si elle le désire.
Pour le reste, vous aurez libre cours pour le déroulement de vos ébats.
Ça te va ?
Bien sûr que ça me va. J'ai hâte.
Si tu es d'accord, nous viendrons avec ma femme un soir de cette semaine afin de faire connaissance.
Disons au même endroit à la même heure, mercredi, si tu es libre.
Super, me répond-il.
J'y serai, promis.
Encore merci Franck.
Après cette entrevue, je rentre à la maison pour en informer Lucile. Je lui offre un apéritif dînatoire pour détendre l'atmosphère et commence à la tenir au courant de mes progrès si rapides.
Voilà, c'est fait, je t'ai trouvé un jeune homme de vingt-deux ans, qui je pense va te convenir. Il est beau et il parait assez déluré et a de l'expérience.
Il s'appelle Enzo.
Je commence à apercevoir le visage de ma femme qui s'illumine.
Tu as une photo, me demande-t-elle ? Non, mais j'ai mieux que ça.
Nous avons rendez-vous demain en fin de journée dans un bar. Tu pourras juger sur place et faire connaissance avec lui.
Si tu le trouves à ton goût, tu valides et il viendra à la maison un samedi.
Il est d'accord que je reste avec vous pour vous regarder, mais je n'interviendrai pas, sauf sur ta demande.
Je pourrai lui faire tout ce qui me passe dans ma tête, me confit-elle ?
Bien sûr, si tu en as envie, comme avec moi.
Et pour la sodomie, cela ne le dégoûte pas ? Il l'a déjà fait ?
Au contraire, il en a très envie et il la pratique sur des femmes de ton âge.
Enfin, c'est ce qu'il m’a dit.
Et cela ne va pas te gêner de jouer au voyeur ?
Je ne pense pas, je vais prendre sur moi.
Le lendemain arrive et c'est le moment de la première rencontre.
Lucile avait une tenue simple. Petite jupe et corsage légèrement entrouvert.
Bref, rien d'affriolant.
Pendant le trajet, je la sens très fébrile et en même temps impatiente.
Elle ne me parle pas beaucoup.
Probablement le stress de cette rencontre inhabituelle.
À notre arrivée au bar, Enzo est déjà là.
Il avait choisi une table excentrée.
En nous voyant, il se lève, me tend la main : « Bonjour Franck, tu as remarqué, je suis à l'heure. »
Il se tourne vers ma femme et fait de même en disant, bonjour madame, avec un ton embarrassé.
Bonjour Enzo, dit-elle.
Elle me regarde et m'adresse un large sourire.
Je crois qu'elle apprécie le physique du jeune garçon.
Tout le monde s'assoit et l'on commande des boissons.
Prenant la parole, voilà Enzo, je te présente ma femme dont je t'ai déjà parlé hier.
Euh ! Oui.
À ma grande surprise, Lucile commence la conversation directement avec lui sur sa vie, ses choix et de son nouveau métier. Une conversation somme toute banale.
Elle regarde autour de nous et baisse le ton de sa voix.
Franck t'a mis au courant du sujet de notre rencontre.
Oui, madame, répondit-il.
Elle lui dit, du tac au tac. Enzo, tu sais, avec ce que tu prévois de me faire dans les jours à venir, tu peux me tutoyer sans difficulté.
Voulez-vous que je vous laisse tous les deux en discuter ?
Je peux m'éclipser un moment, si vous voulez ? Leur dis-je.
Non, ce n'est pas la peine, mon chéri, me dit-elle.
Tu sais, Enzo, pour moi, c'est la première fois que je donne ma petite rosette et je ne veux pas que cela soit gâché par une indélicatesse ou pire, une incompétence. J'en attends énormément.
Tu en es capable ?
Oui, madame, pardon, oui, j'en suis parfaitement capable, Lucile.
Je ne vais pas te décevoir.
Ton petit cul perdra sa virginité avec moi et tu prendras du plaisir, foi d'Enzo.
Pardon Franck pour ces paroles.
Ce n'est pas grave, au moins, vous êtes francs tous les deux.
Lucile, es-tu d'accord de recevoir notre ami samedi prochain dans notre maison ?
Il te convient ?
Oui, j'en ai très envie malgré sa jeunesse.
Sur ses belles paroles, les deux futurs amants s'embrassent et se disent à samedi.
Moi, je dis simplement à Enzo, à samedi, et ne me déçois pas.
Voici l'adresse.
Tu peux venir vers 12 h pour le repas.
Une foi à la maison, je demande à Lucile son point de vue.
Alors Lucile, qu’en penses tu ? Il te plaît ?
Oui, je le trouve très beau et doux.
Sa voie est douce et chaude pour un jeune.
En plus, il a de la conversation
Arrive le grand jour et Lucile s'est habillée en conséquence.
Jupe courte sans collant et chemisier d'écolleté.
Elle m'a même demandé de choisir ses dessous en dentelle.
Par contre, pour la préparation à la sodomie, c'est elle qui a géré sans me demander.
Douze heures arrive et la sonnette sonne.
Enzo se présente à l'heure juste.
C'est Lucile qui lui ouvre, moi, je termine de dresser la table. Je vois à travers la baie que Lucile l'embrasse sur le bord des lèvres.
Elle lui prend la main et l'emmène dans la salle à manger.
Le repas se passe bien et Lucile conseille à son futur amant de ne pas boire de trop. Garde tes forces afin de me satisfaire, lui dit-elle. Je me sens d'un appétit d'ogresse.
Eh bien, cela commence bien, pensai-je.
Le repas à peine terminé, Lucile se lève et se dirige vers Enzo. Elle me regarde, comme pour me demander l'autorisation, et je lui assigne un signe de tête positif.
Elle se penche et lui impose un baiser profond, mais tendre.
Elle commence à le déshabiller, se met à genoux et lui enlève son pantalon et son slip.
Lucile se lève et se positionne derrière lui. Elle commence à le masturber doucement tout en lui caressant sa poitrine avec l'autre main.
Je vois un sexe très dur, très long, mais relativement fin se tendre.
Il se retourne brusquement et inverse la position. Il commence aussi par l'épouiller de ses vêtements sans brutalité, mais avec autorité.
Elle se retrouve vite en culotte et en soutien-gorge.
Tout en restant debout et derrière elle, il lui glisse sa main droite sous le petit rempart de tissus.
Les doigts d'Enzo s'occupent maintenant de la fente de Lucile que je devine déjà mouillée et onctueuse tout en l'embrassant dans le cou et sur la bouche.
Les jambes de ma femme s'ouvrent pour laisser de la place aux intrus qui désormais la pénètrent sans retenue. Elle ouvre la bouche pour émettre des petits sons plaintifs.
Enzo me regarde en souriant, retire sa main et me présente ses doigts tout luisants.
Lucile, quant à elle, ne s’occupe pas de moi. Elle ne me regarde pas.
Moi, qui regarde la scène, confortablement assis sur ma chaise, je commence à sentir mon sexe frémir et durcir sous mon pantalon.
J'entends qui lui susurre tout bas dans l'oreille qu'il est temps de s'occuper de sa petite rosette, le pourquoi de sa venue.
Aussitôt, je remarque que le visage de ma femme s'illumine.
Enzo s'agenouille derrière Lucile et lui baisse sa petite culotte en dentelle pour la lui enlever ensuite.
Elle se retrouve entièrement nue.
Maintenant, Lucile, penche-toi et cambre-toi. Prends appui sur le canapé avec tes mains et offre-moi tes fesses.
Lucile s'exécute et je vois Enzo, toujours à genoux, lui embrasser par de doux baisers ses deux belles lunes qu'il sépare avec ses mains pour découvrir ce que cache ce sillon profond.
Les fesses totalement écartées, la langue du jeune homme se positionne sur le petit cratère et commence à tourner autour.
Lucile commence à émettre des petits sons aigus.
Moi, je trouve cela répugnant et mon sexe recommence à se ramollir.
Je me demande comment on peut aimer ça ?
Toujours est-il que la langue pénètre maintenant le petit trou.
D'où je suis, je constate que la petite figue de ma femme coule à flots et qu'Enzo profite de ce lubrifiant généreusement obtenu pour mouiller ses doigts.
Doucement, il pénètre avec un, puis rapidement deux de ses doigts le cratère de ma femme. Ses fesses bougent dans tous les sens.
Est-ce pour échapper à l'introduction ou au contraire pour faciliter le passage ? Aux sons de ses complaintes, je comprends vite qu'elle favorise cette pénétration.
Les deux doigts du jeune homme pénètrent et ressortent régulièrement avec une régularité d'un métronome. Le rythme étant donné par la voix de plus en plus forte de ma dulcinée.
Soudain, au vu de la progression du plaisir de Lucile. Enzo arrêta son massage. Il se leva et enfila un préservatif déjà lubrifié. Il se pencha à l'oreille de ma femme et il lui dit : « Ne te caresse pas, contente-toi de ressentir un certain plaisir provoqué par l'échauffement de ton anus. » Tu es prête ? Oui, vas-y, prends mon cul, je te l'offre.
Enzo prend alors sa verge entre ses doigts et la dirige vers le petit trou. Il pousse doucement au centre du cratère qui s'élargit pour lui céder le passage.
La bouche de Lucile se déforme et prononce des sons plaintifs et langoureux. Seul le gland est rentré, il ne bouge plus. Il demande à ma femme ? Ça va ? Je peux continuer ? Oui, dit-elle, continue, c'est bon.
Avec une grande douceur, Enzo introduit la totalité de la longueur de sa verge dans le fondement déjà acquis de ma belle.
Le jeune garçon commence alors un va-et-vient lent, mais constant dans le conduit chaud, humide et brûlant tout en la maintenant par les hanches.
Conquise par cette nouvelle expérience, Lucile vocalise sans retenue, approuvant ainsi cette pénétration si redoutée pour moi.
Au bout d'une vingtaine de minutes, Enzo capitule : en émettant le son d'un brame de cerf, il remplit son préservatif de sa semence si longuement retenue.
Il est contraint de se retirer du corps de ma femme et lui dit : « Je suis désolé, mais ne t'inquiète pas, tu auras ta jouissance tout à l'heure. »
Lucile se redresse et se retourne et s'adresse à lui : « Ce n’est rien, tu es formidable, Enzo, j'ai adoré, même si je n'ai pas joui. » C'est vraiment une excellente découverte pour moi. Je n’ai pas ressenti la moindre douleur grâce à ta douceur.
Tu comptes recommencer tout à l'heure ? Dit-elle à Enzo.
Oui, si tu en as envie, mais avec l'approbation de Frank, naturellement.
Se retournant vers moi, Lucile me demande la permission de remettre ça et si j'ai apprécié ?
Je lui réponds que ça me réconforte dans ma négation et que je n'ai pas du tout envie d'essayer.
Par contre, je suis très content qu'elle réalise son rêve et qu'elle peut de nouveau recommencer.
Elle vient vers moi et m'embrasse à pleine bouche en me remerciant.
En tout cas, dit-elle, je te félicite pour ton choix. Enzo est parfait, il est très doux.
Elle se retourne et demande à Enzo : « Tu aimes le champagne ? »
Oui, j'adore.
Alors, champagne pour tout le monde.
Les deux compères s'habillent un minimum et s'installent sur le canapé.
Ils entament une conversation sur leurs ébats. Lucile dit qu'elle adore cette sensation de chaleur qui se diffuse dans son ventre pendant l'acte. Intellectuellement, j'aime aussi cette façon d'être prise par un homme. Je me sens dominée et ce n'est pas si désagréable, dit-elle.
J'ai franchement aimé et pour te dire, j'aimerais que l'on recommence.
Enzo, lui dit, tu sais, pour moi, j'éprouve souvent plus de plaisir en faisant une sodomie qu'avec un rapport normal. Mon sexe est beaucoup plus comprimé, et cela me procure une grande satisfaction. Et puis, tu l'as dit, Lucile, j'impose mon rythme à ma partenaire et je ne me sens plus dominant.
Après avoir bu la bouteille à trois, c'est Enzo qui se rapproche de ma belle et recommence à la déshabiller.
Il prend un nouveau préservatif et une petite fiole de lubrifiant.
Emmène-nous sur un lit, je vais te prendre sur le dos.
Aussitôt, Lucile, entièrement nue, le prit par la main et l'emmène dans la chambre d'ami.
« Tu viens, chéri, me dit-elle. »
Franchement, en y réfléchissant et au vu que cela se passe bien avec Enzo, je me sens de trop dans cette relation.
Je réponds, « Non, je préfère vous laisser seule. »
Tu es fâché ?
Non, pas du tout, profite en bien.
Et les voilà partis tous les deux dans la chambre voisine.
D'où je suis, je peux les voir, mais au moins, je ne suis pas dans la même pièce.
Lucile se positionne sur le dos et Enzo lui glisse un oreiller sous les reins.
De cette façon, le bassin est surélevé.
Il caresse tout son corps dans son intégralité, lui suce les seins qui se dressent avec impudence.
Sa bouche se rapproche de son sexe ouvert et il commence à le lécher comme un petit chien, absorbant le liquide qui s'écoule et dont l'excédent atteint sa petite ouverture, se mettant en condition pour le dénouement final.
J'entends les plaintes et les petits couinements de ma belle.
Il profite de ce moment de reddition pour lui injecter le lubrifiant à l'aide de son petit flacon muni d'une petite canule dans son pertuis impatient.
Lucile reste sur le dos et demande à Enzo de venir près de son visage. Ce qu'il fait sans se faire prier.
Il se positionne et elle ouvre sa bouche, avale sa longue tige pour la sucer comme un sucre d'orge.
À ce moment, ce sont les plaintes du jeune homme qui se font entendre.
Au bout d'un moment relativement court, il lui demande d'arrêter, car il est au bord du point de non-retour.
Il se retire et c'est elle qui lui enfile le préservatif avec attention et amour.
Il se positionne entre ses jambes ouvertes, les soulève en les soutenant par les chevilles et lui demande.
Tu es prête ? Dit-il.
Oui, prends-moi, maintenant, répond Lucile.
Il pose son extrémité au centre du petit cratère et pousse doucement pour l'ouvrir.
Le petit trou cède sous la poussée sans grande difficulté, aussitôt, un gémissement de ma belle retentit.
Il reste quelques instants immobile et c'est elle qui lui demande de bouger.
Enzo commence alors un va-et-vient plus rapide que la première fois.
Il s'enfonce jusqu'au bout et accélère sa cadence.
Caresse-toi, désormais, ordonne-t-il.
La main droite de Lucile se dirige vers sa fente et commence une douce masturbation pour devenir effrénée par la suite.
C'est à présent de véritables gémissements ainsi que des cris déchirants qui s'échappent de la bouche des deux amants.
Les deux regards se croisent et s'observent.
Lucile est au bord de l'évanouissement et Enzo le sait bien.
Il ressent sur sa verge des contractions de plus en plus fortes. Il décide d'accélérer et s'enfonce plus profondément dans le ventre de la belle qui capitule sous les assauts de son jeune gaillard.
Un son bouleversant d'une rare ampleur sort de la bouche de Lucile.
Les jambes de ma femme se lèvent d'un coup et tout son corps se tétanise avec de terribles tremblements qui n'en finissent pas.
L'orgasme d'Enzo, quant à lui, est beaucoup plus discret, mais tout aussi long.
Après cet orage, de nouvelles sensations.
Comme une furie, Lucile se met à genoux, enlève la capote, fait un nœud pour éviter que la liqueur ne se répande et se jette sur le sexe du pauvre garçon mis à nu.
Vulgairement, elle lui taille une pipe magistrale tout en le branlant.
Eh bien ! Vu la jeunesse d'Enzo, son sexe bande à nouveau avec une grande rigidité.
Ma femme le masturbe avec fermeté, de plus en plus vite et pour finir, sa liqueur s'écrase sur les seins de Lucile au visage radieux.
Tout en le regardant dans les yeux, elle prend alors la main d'Enzo, la pose sur ses seins et il lui étale lentement sa semence sur toute sa poitrine comme une crème de soin.
Je sors de ma torpeur et leur dis que la récréation est finie et qu'il est temps de prendre une bonne douche.
Peu après, Lucile et Enzo viennent me rejoindre, on passe la soirée ensemble et enfin, après le départ d'Enzo, je me retrouve enfin seul avec ma dulcinée comblée et heureuse.
Fin.
Prochaine histoire, Lucile découvre les relations entre femmes avec son amie de lycée.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Osiris
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je pense que le mari n’apas vu le danger l’orgasme de sa femme a été si fort qu’elle va à nouveau le réclamer et sans doute faire d’ENZO son amant