Le fils de jean 18 ans plus tard suite et ma vengeance
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le fils de jean 18 ans plus tard suite et ma vengeance
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
LE FILS DE JEAN 18 ANS PLUS TARD SUITE
Après ses aveux qui me laissent un petit signal de danger, je pensais que la situation était redevenue normale. Pour m’en assurer, j’ai posé la question qui fâche « tu ne l’as pas revu depuis, j’espère ? «
La réponse n’arrive que tardivement « je lui ai appartenu pendant tout ton voyage » stupeur, mais avec calme, je lui demande de continuer son récit.
De bonne heure, le lendemain matin, alors que je déjeunais, la sonnette a retenti ; râlant sur le fait d’être dérangée ainsi, j’ai ouvert, et stupeur, c’était ton fils ; je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il m’embrassait fougueusement ; j’ai voulu me dégager de son étreinte, mais me serrant dans ses bras, comme la veille, il m’a plaqué contre le mur et refermant la porte d’un coup de pied. Sa jambe s’est engagée entre les miennes, écartant ainsi ma légère robe de chambre ; très vite il s’est rendu compte que j’étais nue dessous et me bloquant les épaules avec un bras, il a fini d’en écarter les pans, dévoilant ainsi mon pubis et ses doigts ont commencé à me fouiller la chatte ; il a fait tomber ma robe de chambres, dévoilant mes seins dont les pointes commençaient à réagir à l’emprise de ses doigts. Se penchant sur ma poitrine il s’est mis à les mordiller , faisant monter mon plaisir ; mon ventre réclamait, et à la recherche d’une possession plus profonde, je poussais mon bassin vers lui, et écartant les jambes, je lui favorisais l’accès à ma vulve ; très sûr de lui, il s’est brutalement écarté, laissant un grand vide dans mon corps et dans ma tête ; un ho de surprise et de dépit s’est échappé de mes lèvres, gémissement que j’ai aussitôt regretté car je lui prouvais ainsi que j’avais envie de lui. Pour lui c’était clair et immédiatement, me prenant par la main, il m’a emmené dans notre chambre. Ne voulant pas lui appartenir dans notre chambre, j’ai essayé de refuser, mais me poussant sur le lit, il m’a dit :
« Tu vas m’appartenir sur votre lit, ainsi tu seras complétement à moi, pas simplement en passade ; je vais te féconder pendant ces trois jours, tu seras ma femme, ce que je voulais déjà lors de nos vacances ; ce soir , Béa viendra nous rejoindre et tu seras à notre disposition, notre jouet ; nous te possèderons tous les deux, tu seras à nous sans possibilité de refus car je sais que tu as envie de nous deux ; et ainsi quand jean reviendra, tu ne pourras plus revenir en arrière »
D’une poussée, il m’a plaqué sur le ventre, les jambes pendantes ; ainsi il a pris possession de ma chatte, brutalement, jusqu’à la garde et à grand coup de piston, il m’a amené à la jouissance ; à nouveau j’étais à sa merci, mon ventre réclament son sexe et quand il s’est répandu, ses jets me percutant le fond de ma matrice, mon bonheur a explosé, bruyamment, longuement ;
« Tu vois, je te fais jouir et ton ventre réclame ma queue ; tu vas m’appartenir, tu vas être ma maitresse, tant pis pour ton mari. « Je ne réponds pas, anéanti par ses paroles car je sais que mes envies sont réelles, j’ai besoin de sa saillie, mais j’aime mon mari, et je ne veux pas le perdre. Je n’ai pas le temps de réagir plus, car il a repris du volume et cette fois c’est à mon anus qu’il s’en prend ; je lui ai déjà prouvé il y a 18 ans mon plaisir d’être sodomiser, et il s’n souvient manifestement ; prenant du mélange de nos secrétions dans ma chatte, il dilate mon anneau et à nouveau mon ventre frémis de plaisir, et soudain c’est sa queue qui perfore l’anneau, la douleur me perfore car il s’enfonce d’un seul coup et ses couilles viennent buter contre ma chatte ; puis sans ménagement, il commence ses va et vients ; doucement le plaisir revient, il me possède complètement et je lui crie mes envies « continue, défonce moi, j’aime ta queue , remplie moi encore » mes aveux doivent le stimuler car se cabrant collé contre mes fesses , il se répand dans mon fondements ; ses jets chauds me remplissent et je jouis , écrasée de plaisir.
En effet le soir, Béa est arrivée ; sans un regard pour lui elle est venu vers moi, offerte car il avait voulu que je l’attende nue ; sous ses caresses, je me suis rapidement offerte à ses mains et ses mettant à son tour nue, elle m’a fait l’amour, doucement ,tendrement ,amoureusement ; comme pour compenser la fougue d son mari, le repoussant quand il a voulu se joindre à nous ; ce n’est que bien plus tard qu’elle m’a offert à son mec.
Pendant les deux jours restants avant ton arrivée, je me suis fait prendre, aussi bien par elle, avec mes godes, que par lui, retrouvant avec plaisir à chaque fois, une jouissance profonde. Elle toujours douce et passionne, même amoureuse, lui toujours puissant, prenant son plaisir, sans tenir compte du mien, même si je jouissais à chaque pénétration. Petit à petit, le dégout de ses saillies est monté en moi, alors que je prenais de plus en plus de plaisir avec elle, comme une compensation. Voulant me soumettre à lui, il avait réussi le contraire et quand ils sont partis avant ton arrivée, il a voulu m’embrasser et me détournant, je lui ai dit que je ne voulais plus le voir ; par contre, autant par provocation, que par envie, j’ai tendrement enlacé Béa, lui ai dit que j’avais aimé sa présence et qu’elle pouvait revenir quand elle voulait, mais avec ton ’accord.
Voilà tu sais tout. Un peu déconcerté, furieux contre mon fils, je l’enlaçais, me promettant dans ma tête de me venger de lui.
La vengeance
Nini a fini de me raconter son aventure, je dirais même sa soumission à mon fils et à sa femme. A priori, tout est fini et nini a repoussé plusieurs fois leurs demandes. Mais cela me reste en travers de la gorge ; non pas qu’elle ait eu des relations en dehors de notre couple, cela j’aime, le fait qu’ils aient monté cette manigance alors que j’étais loin, et sans m’en avertir, ce que j’aurais peut être accepté et même favorisé, car j’aime voir nini avec un autre homme et que qu’elle aime beaucoup être avec une femme. Ils m’avaient piégés et là non je m’appréciais pas et je décidais de me venger, non pas de nini, mais de mon fils et de sa femme. Je décidais alors de monter un scénario, pour qu’il soit à son tour cocu et qu’elle subisse la soumission.
Après Quelques coups de fils à mes amis, c’est deux vrais copains qui ont répondu présent, après que je leur ai expliqué le pourquoi s de cette expédition un peu spéciale ; rester à trouver le créneau. L’occasion s’est présenté alors que mon fis devait rendre visite à sa mère et laisser Béa seule chez elle.
Mes acolytes étant dispos, je téléphonais à Béa, sous un faux prétexte et en lui disant que je serais chez elle dans une heure. A mon arrivée, surprise pour elle, je ne suis pas seul, mes deux amis m’accompagnent ; sans lui laisser le temps de s’étonner, je la repousse dans la maison et la prenant par la main, je l’entraine dans le salon
« Voilà ma chère Béa, tu as profité de mon absence, pour que mon fils me fasse cocu, j’ai décidé d’en faire autant avec toi ; mes amis vont pouvoir te prendre et mon fils le saura ; rassure toi, ce sont de bons amants, je les connais bien et je suis sûr que tu vas prendre beaucoup de plaisir et que ta jouissance sera ma vengeance. Sur son visage, l’étonnement mais pas de révolte ; comme nini, elle aime se faire prendre par plusieurs hommes et je pense qu’elle va savoir en profiter ;
Rapidement, je lui retire sa robe, découvrant une poitrine nue, les tétons dressés, et un pubis simplement recouvert par un string, déjà enfoncé entre ses deux lobes ; légère crispation de sa part, mais je m’en tiens pas compte et la faisant pivoter plusieurs fois sur elle-même, je m’adresse à mes amis :
Elle est à vous, profitez-en, elle sera d’accord, car c’est une petite salope qui aime les femmes, comme les hommes. Pour moi, je vais vous filmer et je prendrais mon plaisir en dernier ; ce sera la preuve pour mon fils que sa femme sait le faire cocu.
La suite, une série de possession, Béa se livrant sans limite à ses amants d’un jour. Sa bouche, sa chatte et son cul furent à tour de rôle comblés par deux fougueux pointeurs ; se faisant, à chaque fois remplir de sperme ; en comme preuve, de nombreuses traces de secrétions, aussi bien sur ses seins, son visage et entre ses cuisses maculées de spermes de de cyprine ; pendant deux heure, elle s’est livrée sans complexe réclamant plus de pénétrations, s’offrant impudiquement, écartant ses cuisses pour provoquer et faire bander mes amis ;
Pendant ce temps, je filmais, le sexe bandé dans mon jean ; sur le film, on pourrait la voir jouir en continue, sous les diverses saillies ; les yeux révulsés lors de la double vaginale, hurlant de plaisir lors de la double pénétration, ses deux trous étant remplis par deux queues de belles factures. Enfin, épuisés, mes deux comparses ont déposés les armes et leur confiant la camera, à mon tour, je me suis déshabillé, la queue tendu et m’approchant d’elle :
« Tu t’es offerte à mes deux amis, et maintenant je vais te prendre, simplement mais pour moi, il sera cocu ; ce sera la preuve qu’il n’est pas si fort qu’il le pense et qu’à lui aussi, cela arrive, et sans qu’il soit au courant ; il va voir que tu t’es fait baiser, sans limite et maintenant je vais te remplir »
D’une seule poussée, je me suis engouffré dans sa chatte, ; elle tenait ses cuisses écartées, sans doute pour mieux me recevoir, et quand ma queue est venue buter au fond de sa matrice, m’agrippant aux épaules un long feulement s’est échappé de ses lèvres et se redressant pour m’embrasser à pleine bouche elle m’a dit « vas-y défonce moi, fais-moi jouir, je t’appartiens , fais de moi ta femelle devant ta camera « sans réfléchir, j’ai commencé à la besogner, furieusement, profondément, oubliant mes rancunes, la baisant pour l’amener à la jouissance ; quand soudain, elle est partie dans une longue jouissance, je n ‘ai pas pu me retenir plus longtemps et à mon tour je l’ai remplie, me retirant avant la fin afin que mon sperme soit visible à l’écran.
De retour à la maison, j’ai montré le film à nini ; sans un mot elle a pris le téléphone, et j’ai entendu « maintenant tu es cocu, ta femme a été prise par mon homme, en autres, sans que tu le saches et d’après le film, elle en a bien profité » et elle a racroché. Tendrement, je l’ai prise dans mes bras, et l’entrainant dans la chambre, nous avons fait l’amour, à nouveau complices.
LE FILS DE JEAN 18 ANS PLUS TARD SUITE
Après ses aveux qui me laissent un petit signal de danger, je pensais que la situation était redevenue normale. Pour m’en assurer, j’ai posé la question qui fâche « tu ne l’as pas revu depuis, j’espère ? «
La réponse n’arrive que tardivement « je lui ai appartenu pendant tout ton voyage » stupeur, mais avec calme, je lui demande de continuer son récit.
De bonne heure, le lendemain matin, alors que je déjeunais, la sonnette a retenti ; râlant sur le fait d’être dérangée ainsi, j’ai ouvert, et stupeur, c’était ton fils ; je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il m’embrassait fougueusement ; j’ai voulu me dégager de son étreinte, mais me serrant dans ses bras, comme la veille, il m’a plaqué contre le mur et refermant la porte d’un coup de pied. Sa jambe s’est engagée entre les miennes, écartant ainsi ma légère robe de chambre ; très vite il s’est rendu compte que j’étais nue dessous et me bloquant les épaules avec un bras, il a fini d’en écarter les pans, dévoilant ainsi mon pubis et ses doigts ont commencé à me fouiller la chatte ; il a fait tomber ma robe de chambres, dévoilant mes seins dont les pointes commençaient à réagir à l’emprise de ses doigts. Se penchant sur ma poitrine il s’est mis à les mordiller , faisant monter mon plaisir ; mon ventre réclamait, et à la recherche d’une possession plus profonde, je poussais mon bassin vers lui, et écartant les jambes, je lui favorisais l’accès à ma vulve ; très sûr de lui, il s’est brutalement écarté, laissant un grand vide dans mon corps et dans ma tête ; un ho de surprise et de dépit s’est échappé de mes lèvres, gémissement que j’ai aussitôt regretté car je lui prouvais ainsi que j’avais envie de lui. Pour lui c’était clair et immédiatement, me prenant par la main, il m’a emmené dans notre chambre. Ne voulant pas lui appartenir dans notre chambre, j’ai essayé de refuser, mais me poussant sur le lit, il m’a dit :
« Tu vas m’appartenir sur votre lit, ainsi tu seras complétement à moi, pas simplement en passade ; je vais te féconder pendant ces trois jours, tu seras ma femme, ce que je voulais déjà lors de nos vacances ; ce soir , Béa viendra nous rejoindre et tu seras à notre disposition, notre jouet ; nous te possèderons tous les deux, tu seras à nous sans possibilité de refus car je sais que tu as envie de nous deux ; et ainsi quand jean reviendra, tu ne pourras plus revenir en arrière »
D’une poussée, il m’a plaqué sur le ventre, les jambes pendantes ; ainsi il a pris possession de ma chatte, brutalement, jusqu’à la garde et à grand coup de piston, il m’a amené à la jouissance ; à nouveau j’étais à sa merci, mon ventre réclament son sexe et quand il s’est répandu, ses jets me percutant le fond de ma matrice, mon bonheur a explosé, bruyamment, longuement ;
« Tu vois, je te fais jouir et ton ventre réclame ma queue ; tu vas m’appartenir, tu vas être ma maitresse, tant pis pour ton mari. « Je ne réponds pas, anéanti par ses paroles car je sais que mes envies sont réelles, j’ai besoin de sa saillie, mais j’aime mon mari, et je ne veux pas le perdre. Je n’ai pas le temps de réagir plus, car il a repris du volume et cette fois c’est à mon anus qu’il s’en prend ; je lui ai déjà prouvé il y a 18 ans mon plaisir d’être sodomiser, et il s’n souvient manifestement ; prenant du mélange de nos secrétions dans ma chatte, il dilate mon anneau et à nouveau mon ventre frémis de plaisir, et soudain c’est sa queue qui perfore l’anneau, la douleur me perfore car il s’enfonce d’un seul coup et ses couilles viennent buter contre ma chatte ; puis sans ménagement, il commence ses va et vients ; doucement le plaisir revient, il me possède complètement et je lui crie mes envies « continue, défonce moi, j’aime ta queue , remplie moi encore » mes aveux doivent le stimuler car se cabrant collé contre mes fesses , il se répand dans mon fondements ; ses jets chauds me remplissent et je jouis , écrasée de plaisir.
En effet le soir, Béa est arrivée ; sans un regard pour lui elle est venu vers moi, offerte car il avait voulu que je l’attende nue ; sous ses caresses, je me suis rapidement offerte à ses mains et ses mettant à son tour nue, elle m’a fait l’amour, doucement ,tendrement ,amoureusement ; comme pour compenser la fougue d son mari, le repoussant quand il a voulu se joindre à nous ; ce n’est que bien plus tard qu’elle m’a offert à son mec.
Pendant les deux jours restants avant ton arrivée, je me suis fait prendre, aussi bien par elle, avec mes godes, que par lui, retrouvant avec plaisir à chaque fois, une jouissance profonde. Elle toujours douce et passionne, même amoureuse, lui toujours puissant, prenant son plaisir, sans tenir compte du mien, même si je jouissais à chaque pénétration. Petit à petit, le dégout de ses saillies est monté en moi, alors que je prenais de plus en plus de plaisir avec elle, comme une compensation. Voulant me soumettre à lui, il avait réussi le contraire et quand ils sont partis avant ton arrivée, il a voulu m’embrasser et me détournant, je lui ai dit que je ne voulais plus le voir ; par contre, autant par provocation, que par envie, j’ai tendrement enlacé Béa, lui ai dit que j’avais aimé sa présence et qu’elle pouvait revenir quand elle voulait, mais avec ton ’accord.
Voilà tu sais tout. Un peu déconcerté, furieux contre mon fils, je l’enlaçais, me promettant dans ma tête de me venger de lui.
La vengeance
Nini a fini de me raconter son aventure, je dirais même sa soumission à mon fils et à sa femme. A priori, tout est fini et nini a repoussé plusieurs fois leurs demandes. Mais cela me reste en travers de la gorge ; non pas qu’elle ait eu des relations en dehors de notre couple, cela j’aime, le fait qu’ils aient monté cette manigance alors que j’étais loin, et sans m’en avertir, ce que j’aurais peut être accepté et même favorisé, car j’aime voir nini avec un autre homme et que qu’elle aime beaucoup être avec une femme. Ils m’avaient piégés et là non je m’appréciais pas et je décidais de me venger, non pas de nini, mais de mon fils et de sa femme. Je décidais alors de monter un scénario, pour qu’il soit à son tour cocu et qu’elle subisse la soumission.
Après Quelques coups de fils à mes amis, c’est deux vrais copains qui ont répondu présent, après que je leur ai expliqué le pourquoi s de cette expédition un peu spéciale ; rester à trouver le créneau. L’occasion s’est présenté alors que mon fis devait rendre visite à sa mère et laisser Béa seule chez elle.
Mes acolytes étant dispos, je téléphonais à Béa, sous un faux prétexte et en lui disant que je serais chez elle dans une heure. A mon arrivée, surprise pour elle, je ne suis pas seul, mes deux amis m’accompagnent ; sans lui laisser le temps de s’étonner, je la repousse dans la maison et la prenant par la main, je l’entraine dans le salon
« Voilà ma chère Béa, tu as profité de mon absence, pour que mon fils me fasse cocu, j’ai décidé d’en faire autant avec toi ; mes amis vont pouvoir te prendre et mon fils le saura ; rassure toi, ce sont de bons amants, je les connais bien et je suis sûr que tu vas prendre beaucoup de plaisir et que ta jouissance sera ma vengeance. Sur son visage, l’étonnement mais pas de révolte ; comme nini, elle aime se faire prendre par plusieurs hommes et je pense qu’elle va savoir en profiter ;
Rapidement, je lui retire sa robe, découvrant une poitrine nue, les tétons dressés, et un pubis simplement recouvert par un string, déjà enfoncé entre ses deux lobes ; légère crispation de sa part, mais je m’en tiens pas compte et la faisant pivoter plusieurs fois sur elle-même, je m’adresse à mes amis :
Elle est à vous, profitez-en, elle sera d’accord, car c’est une petite salope qui aime les femmes, comme les hommes. Pour moi, je vais vous filmer et je prendrais mon plaisir en dernier ; ce sera la preuve pour mon fils que sa femme sait le faire cocu.
La suite, une série de possession, Béa se livrant sans limite à ses amants d’un jour. Sa bouche, sa chatte et son cul furent à tour de rôle comblés par deux fougueux pointeurs ; se faisant, à chaque fois remplir de sperme ; en comme preuve, de nombreuses traces de secrétions, aussi bien sur ses seins, son visage et entre ses cuisses maculées de spermes de de cyprine ; pendant deux heure, elle s’est livrée sans complexe réclamant plus de pénétrations, s’offrant impudiquement, écartant ses cuisses pour provoquer et faire bander mes amis ;
Pendant ce temps, je filmais, le sexe bandé dans mon jean ; sur le film, on pourrait la voir jouir en continue, sous les diverses saillies ; les yeux révulsés lors de la double vaginale, hurlant de plaisir lors de la double pénétration, ses deux trous étant remplis par deux queues de belles factures. Enfin, épuisés, mes deux comparses ont déposés les armes et leur confiant la camera, à mon tour, je me suis déshabillé, la queue tendu et m’approchant d’elle :
« Tu t’es offerte à mes deux amis, et maintenant je vais te prendre, simplement mais pour moi, il sera cocu ; ce sera la preuve qu’il n’est pas si fort qu’il le pense et qu’à lui aussi, cela arrive, et sans qu’il soit au courant ; il va voir que tu t’es fait baiser, sans limite et maintenant je vais te remplir »
D’une seule poussée, je me suis engouffré dans sa chatte, ; elle tenait ses cuisses écartées, sans doute pour mieux me recevoir, et quand ma queue est venue buter au fond de sa matrice, m’agrippant aux épaules un long feulement s’est échappé de ses lèvres et se redressant pour m’embrasser à pleine bouche elle m’a dit « vas-y défonce moi, fais-moi jouir, je t’appartiens , fais de moi ta femelle devant ta camera « sans réfléchir, j’ai commencé à la besogner, furieusement, profondément, oubliant mes rancunes, la baisant pour l’amener à la jouissance ; quand soudain, elle est partie dans une longue jouissance, je n ‘ai pas pu me retenir plus longtemps et à mon tour je l’ai remplie, me retirant avant la fin afin que mon sperme soit visible à l’écran.
De retour à la maison, j’ai montré le film à nini ; sans un mot elle a pris le téléphone, et j’ai entendu « maintenant tu es cocu, ta femme a été prise par mon homme, en autres, sans que tu le saches et d’après le film, elle en a bien profité » et elle a racroché. Tendrement, je l’ai prise dans mes bras, et l’entrainant dans la chambre, nous avons fait l’amour, à nouveau complices.
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