Le fils de Sophie. Deuxième partie : Jean Jacques le fils de Sophie
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le fils de Sophie. Deuxième partie : Jean Jacques le fils de Sophie
Le fils de Sophie.
Deuxième partie : Jean Jacques le fils de Sophie
Nous arrivâmes dans l’appartement de Sophie vers dix neuf heures. Elle habitait au deuxième étage d’un petit immeuble, qui faisait partie d’une résidence privée de haut standing. L’appartement était coquet et meublé avec soin. Elle m’apprit que l’appartement avait été acheté par son ex-mari, le père de Jean Jaques et l’avait mis au nom de Sophie. Le divorce avait été conclu à l’amiable, sans aucun de ces drames si courants dans les séparations de couples. Elle continuait de voir son ex-mari régulièrement et entretenait avec lui une relation amicale. Il s’était remarié avec une femme plus jeune, avec laquelle il avait eu deux enfants.
Sophie avait appelé Gigi (c’était comme cela qu’elle appelait son fils Jean Jacques) au cours de l’après-midi pour lui annoncer qu’elle ramenait un ami à la maison et pour lui demander de préparer un gentil repas pour trois. Je m’étonnais un peu de la demande :
- Tu as éduqué ton fils de manière à ce qu’il prépare à manger pour vous deux ?
- Moi je n’ai absolument rien fait ! En fait, il aime bien cuisiner de bons petits plats, pour nous bien sûr, mais aussi, et surtout pour son ami ! Tu comprendras dès que tu le verras !
Encore une fois, elle n’en dit pas plus sur ce fameux fils - Gigi ou Jean Jacques. Mais dès que nous pénétrâmes dans l’appartement et que Gigi vint nous accueillir, j’eus toutes les réponses aux questions que je me posais. Au premier abord, j’étais incapable de dire si Gigi était un garçon ou une fille ! N’était l’absence de poitrine, j’aurais parié qu’il s’agissait d’une fille ! Et même d’une superbe fille ! Il avait une belle figure, à l’image de celle de Sophie, avec de grands yeux bleus, très légèrement maquillés (mais maquillés tout de même !), une grande bouche à demi ouverte, entourée des mêmes lèvres sublimes que celles de sa maman et aucune trace de poil. Soit qu’il était imberbe, soit plus prosaïquement, que son visage avait été soigneusement épilé.
Il était assez grand - environ un mètre soixante quinze – et avait un corps mince qui donnait une très forte impression de souplesse. Mais ce qui le faisait plus ressembler à une fille, c’étaient ses hanches larges et son fessier bombé et proéminent. Il marchait en balançant ses hanches, exactement, comme le faisait sa maman. Par contre, sa poitrine semblait plate. Un véritable androgyne ! Il était habillé d’un léger tee-shirt rose en coton, qui mettait en évidence sa taille fine et ses épaules larges et rondes. En dessous, il portait un short serré et court qui moulait ses hanches et mettait en valeur ses fesses rondes, proéminentes et bombées.
En nous recevant, il me tendit la main - qu’il avait longue, dodue et douce - à la manière des dames de la haute aristocratie, comme s’il attendait de moi que je lui fasse un baisemain. Voyant ma surprise, il se reprit très vite et me proposa une poignée de main que je lui donnai, en évitant de la serrer trop fortement comme à mon habitude.
- Il est vraiment mignon, ton nouvel ami ! dit-il à Sophie d’une petite voix, un peu maniérée. Tu me le prêtes ?
Sophie, qui semblait un peu mal à l’aise, ne répondit pas à la question. Elle se contenta de me sourire et de demander à son fils qu’est-ce qu’il nous avait préparé à manger.
- Un plat traditionnel français : du bœuf en daube. Tu verras ton ami va se lécher les doigts ! Surtout qu’il sera accompagné d’un excellent vin rouge d’un petit cru de Bourgogne ! Allez vous débarbouiller ! Je prépare la table ! Elle sera prête dans un petit quart d’heure !
Sophie me montra sa chambre – qui sera aussi la mienne pendant tout le temps que je passerai avec elle. Mes bagages étaient déjà là. L’hôtel les y avait envoyés dans la journée. J’allais me rafraichir dans la salle de bain, pendant que Sophie se mettait à l’aise dans une tenue d’intérieur - une espèce de kimono en soie bleue – qui mettait encore plus en valeur ses appâts naturels. Elle était super bandante dans cette tenue : elle suggérait plus qu’elle ne montrait. Elle suggérait surtout qu’elle était toute nue en dessous.
- Ne me dis pas que tu ne portes rien en dessous ! lui dis-je en quémandant un baiser.
- Absolument rien ! répondit-elle en m’embrassant tendrement. Comme cela, je suis sûre que chaque fois que tu me regarderas tu ne penseras qu’à ça ! Que je suis nue et offerte ! Je veux que tu n’arrêtes pas de bander ! Même en mangeant !
Et de fait pendant tout le repas, je n’avais pensé qu’à la nudité de Sophie. Nous étions assis face à face, pendant que Gigi s’occupait du service et occupait, quand il s’asseyait pour manger, la place à la droite de sa maman. J’avais pensé un moment que Sophie allait se comporter sagement avec moi devant son fils. Que nenni ! Pendant tout le temps que dura le repas, elle me prenait la main et la portait à sa bouche pour l’embrasser. La présence de Gigi ne la gênait nullement. Elle envoyait son pied nu sous la table pour qu’il vienne me caresser le sexe afin de vérifier qu’il était toujours en érection. J’avais envie de me lever de table et de soulever la belle pour la jeter sur le grand sofa qui se trouvait à l’autre bout du salon et la tirer comme une brute, devant son fils. J’avais même l’impression que c’était ce qu’elle attendait, tant elle me jetait un regard provocateur et moqueur. Elle ne disait rien, mais son comportement suggérait tout.
Je me retenais pourtant, bloqué par des scrupules dus aux restes de mon éducation traditionnelle. Quand Gigi s’absentait pour aller chercher un nouveau plat ou une nouvelle bouteille de vin, j’en profitais pour embrasser Sophie par-dessus la table.
- Arrête de m’exciter comme cela ! Tu es entrain de me faire vivre l’enfer ! J’ai un mal fou à me retenir !
- Ne te retiens pas ! Chiche, saute-moi ici même !
- Devant ton fils ?
- Oui ! Il sait pertinemment pourquoi tu es là ! Pour me tirer comme une bête ! Ce n’est pas la première fois que j’amène un petit ami à la maison et qu’il assiste - même de loin - au feu d’artifice de nos nuits! Alors faire l’amour devant lui ne le gênera pas du tout ! Par contre c’est bien la première fois qu’il flashe sur un de mes petits amis ! Tu as remarqué comment il se comporte avec toi ? Comment il balance son cul ? Tu as vu ses yeux comme ils se voilent quand il te regarde ? Tu as vu son sourire provocateur ? Il a envie de toi !
- …
J’étais complètement abasourdi par les révélations de Sophie. Non pas que je n’avais pas remarqué le manège de Gigi ; ni deviné ses pensées. Ce qui m’étonnait c’était qu’elle prenne la chose avec autant de philosophie. C’était comme si elle avait accepté d’avance que Gigi prenne sa place et devienne ma maîtresse (ou mon amant, je ne savais pas trop comment appeler cela !).
- Je dois être vraiment vieux jeu ! Je ne peux pas m’imaginer faire l’amour avec toi, devant ton fils ! Surtout en sachant qu’il souhaite ardemment se trouver à ta place !
- En réalité je ne l’ai encore jamais fait devant lui ! Mais il y a un début à tout ! Cela me parait tellement érotique ! Profitons qu’il soit entrain de nous préparer un thé pour aller sur le sofa ! Allez, viens !
Elle se leva ; me tendit la main et me fit lever de table pour m’entraîner presque de force vers le sofa qui nous tendait les bras, à l’autre bout du salon. Je la suivis en traînant le pas, réellement mal à l’aise. Elle se jeta sur le sofa, dénoua la ceinture de soie qui fermait le kimono et présenta à mes yeux exorbités toute sa nudité. Elle ne portait vraiment rien en dessous, ni soutien gorge, ni culotte. Elle tendit les bras et m’attrapa par les hanches. Elle m’attira vers elle de manière à ce que je me trouve debout devant elle. Elle s’attaqua immédiatement à mon pantalon qu’elle dégrafa et descendit, accompagné de mon slip, brusquement sur mes mollets.
Je restais ainsi cul nu et le sexe en érection devant Sophie qui regardait avec des yeux brillant de concupiscence. Elle attrapa mon gourdin, le palpa quelque secondes et l’attira vers sa bouche. Elle l’avala en entier puis entreprit de me faire une fellation d’enfer. Mon Dieu que sa bouche était douce, chaude et humide ! Elle me rappelait la séance de la nuit passée. J’avais oublié jusqu’à l’existence de Gigi. Je ne pensais plus qu’à baiser cette bouche infernale complètement offerte à mes désirs pervers. Je j’attrapais les cheveux de Sophie et me mit à les tirer pour mieux enfoncer le monstre dans sa gorge. Je le faisais sortir de sa bouche et repartais aussitôt à l’assaut du gouffre, le faisant disparaître totalement. Je voyais ma belle qui souffrait et qui respirait difficilement et qui, pourtant s’agrippait à mes hanches pour que je n’arrête pas de la tirer. Elle voulait absolument me faire jouir très fort. Ses yeux pleuraient, ses narines coulaient et sa bouche bavait !
Quel spectacle hallucinant ! Pervers et érotique à l’extrême ! J’étais au comble du bonheur et de l’excitation ! Je sentais un énorme orgasme arriver avec la force d’une rivière en crue. Rien ne pouvait arrêter le torrent qui s’annonçait. Je gémissais, ahanait et poussais des petits cris rauques qui donnaient à ma partenaire une idée de l’intensité du plaisir que je prenais dans sa bouche. Et puis tout à coup, je poussais un long râle de jouissance et éjaculait dans la gorge de ma mie une tonne de sperme blanc, épais, visqueux et brûlant dont une grande partie resta au fond de sa gorge et qu’elle avala avec difficulté et l’autre partie sortit à l’extérieur par la bouche et les narines. Que Sophie était magnifique comme cela, dégoulinante de foutre, par la bouche et les narines et qui essayait difficilement de reprendre son souffle. Elle me regardait avec des yeux qui quémandaient une récompense.
- Tu es merveilleuse ! Tu es incroyable ! La plus merveilleuse des amantes que la vie m’ait offerte !
- C’est vrai ? répondit-elle d’une voix éraillée. Tu as aimé ?
- Oui ! Mille fois oui ! C’est à mon tour de te rendre la pareille ! Allons dans la chambre.
« Et mon thé ? » C’était la voix de Gigi, dont on avait oublié jusqu’à l’existence. Il avait dû assister à une grande partie du spectacle. Je remontais vivement mon pantalon sans oser le regarder en face. Sophie par contre, semblait très à l’aise.
- Nous le prendrons dans la chambre ! Nous en avons besoin pour nous revigorer. Merci chéri. Je m’occupe de prendre le plateau dans la chambre et de le servir ! Bonne nuit mon chéri !
Et sans autre forme de procès, elle prit le plateau contenant la théière et les verres et me précéda dans la chambre. Je me retournai pour regarder Gigi. Il avait un petit sourire triste en me regardant, me tourna le dos et repartit en dandinant des hanches vers la cuisine. Je rejoignis Sophie dans la chambre. Elle était assise sur le rebord du grand lit et me tendit les bras pour que je la rejoigne. Elle avait enlevé son kimono qu’elle avait jeté par terre et était restée toute nue.
- Que comptes-tu me faire pour me donner autant de jouissance que moi je t’en ai donné tout à l’heure. M’enculer ? Me prendre en levrette ? Les deux ?
- Je suis tenté de te répondre les deux ! Comme hier, mais cette fois-ci en levrette ! J’ai envie de te remplir à tour de rôle ton cul et ton vagin, jusqu’à ce que tu jouisses comme une folle ! Mais pas cette nuit. Cette nuit c’est toi qui vas chevaucher mon membre et mener la danse à ton rythme. Je te ramonerais en même temps ton cul avec deux ou trois doigts pour que tu te sentes pénétrée par devant et par derrière ! Tu verras ce sera divin !
Sophie accepta immédiatement ma proposition. Elle me fit allonger sur le dos et vint positionner sa chatte dégoulinante de mouille sur mon membre dressé comme un mât, avant de s’emmancher dessus. Elle s’appuya sur mes muscles abdominaux et entreprit de relever et descendre ses hanches de manière à réaliser un va-et-vient démentiel. Elle poussait à chaque fois des petits cris qui devenaient de plus en plus sonores au fur et à mesure que l’intensité du plaisir qu’elle ressentait, grandissait. Pour lui donner encore plus de plaisir je farfouillai dans la raie de ses fesses à la recherche du trou de son cul. J’y enfonçai, sans même les lubrifier, deux doigts qui entreprirent un deuxième mouvement de va-et-vient.
La sensation d’être doublement pénétrée plut énormément à Sophie dont les cris et gémissement doublèrent d’intensité.
- C’est bon comme cela ! J’ai les deux trous remplis ! C’est merveilleux ! Continue avec tes doigts ! Enfonce les encore plus ! C’est super ! Je vais mourir de plaisir ! Encore plus vite ! Plus profond !
Sophie parlait, criait, bavait ! Elle était dans son plaisir ! Dans sa jouissance ! Elle montait et descendait ses hanches à un rythme de plus en plus rapide. Je sentais qu’elle fatiguait et qu’il fallait que je prenne la relève. De ma main libre je lui fis comprendre de garder ses hanches relevées de manière à me permettre d’effectuer moi-même les mouvements de va-et-vient. Elle releva donc les hanches et resta ainsi. J’entrepris de la pilonner ainsi par des forts mouvements montant et descendant de mes hanches de plus en plus puissants et de plus en plus rapides.
J’ajustai le rythme des allers-retours de mes doigts dans son cul à celui du va-et-vient de mon sexe dans sa chatte. Mes doigts et mon sexe se rencontraient à travers les parois de son cul et de son vagin, accroissant d’autant la sensation de plaisir qui nous étreignait. Elle n’arrêtait pas de crier qu’elle adorait être baisée comme cela ! Qu’elle aimait jouir très fort ! Qu’elle allait jouir très fort ! Qu’elle aimait que je la pine en force ! Sa respiration devenait de plus en plus rapide et de plus en plus saccadée. Elle bavait des litres de salive à travers ses lèvres entrouvertes. Salive qui venait se répandre sur ma poitrine. Ses yeux se voilaient de plus en plus, annonçant l’arrivée d’une très forte jouissance. Ses lèvres commençaient à s’étirer et se vider de leur sang ; elles devenaient de plus en plus pâles et figées. D’un coup, je la vis se tendre comme un arc, aspirer une forte goulée d’air et exploser dans un énorme orgasme en forme de feu d’artifice.
- Je jouis ! Je jouis ! Je jouiiiiiiiiis ! Ahhhhhhhh !
Et elle relâcha tous ses muscles et s’affaissa sur moi. Sa tête vint se poser au creux de mon épaule et tenta de reprendre sa respiration. Mon sexe était toujours planté à l’intérieur de son vagin. Il était encore en érection. Je restais en elle, en bougeant très lentement les hanches de manière à garder l’excitation et à maintenir l’érection. J’avais l’intention de faire encore jouir Sophie en l’enculant, dès qu’elle sera un peu reposée. Au bout de quelques minutes, elle prit conscience de la présence de ma queue dans son vagin et surtout, comprit qu’il était toujours d’attaque.
- Tu bandes toujours ?
- Oui ? Il veut t’enculer pour te faire jouir encore une fois ! Tu veux ?
- Oui !
Je fis sortir mon membre de son vagin, la retournai sur le ventre et la fis mettre à quatre pattes sur le lit, la tête enfoncée dans le traversin. Elle me présentait ainsi son magnifique fessier. J’avais une superbe vue sur son anus palpitant et sur sa chatte dégoulinante de mouille. Je ne cherchais même pas à mouiller son anus. Mon sexe qui venait de sortir de son vagin était encore bien lubrifié. Je me positionnais donc derrière elle et lui enfonçait la queue d’une seule poussée au plus profond de son boyau. Elle eut un petit cri - de plaisir ou de douleur – et se mit à bouger ses hanches pour m’inciter à la tirer en force.
- C’est bon ! Plus fort ! Plus vite ! Défonce-moi le cul ! Enfonce-le plus loin ! Fais rentrer tes couilles ! C’est bon ! Fais-moi mal ! J’aime être enculée en force. Je voudrai être enculée par un zob aussi gros que celui d’un âne ! Encore ! Encore ! Encore ! Ne t’arrête pas ! Je vais jouir ! Remplis mon cul de sperme !
Je n’arrivais plus à retenir la jouissance qui arrivait. Je sentais que je n’allais pas tarder à éjaculer. J’accélérai le mouvement de va-et-vient de mon sexe dans son cul. Je pilonnais son anus comme une brute en ahanant comme un bûcheron. Je sortais totalement mon sexe de son cul et repartais immédiatement à l’intérieur d’une forte poussée de mes hanches. Je criais qu’elle était bonne ! Qu’elle avait un cul d’enfer ! Que j’adorais enculer les femmes ! Qu’elle avait le plus beau cul de toutes celles que j’avais baisées !
Sophie partit subitement dans un orgasme aussi énorme que le précédent, en hurlant que c’était merveilleux de jouir par le cul ! J’eus moi aussi un énorme orgasme qui me fit décharger tout ce qui me restait de sperme dans le cul de ma belle. La plus grosse partie de mon foutre ressortit expulsé par les va-et-vient de mon sexe qui continuèrent longtemps après que Sophie se soit affaissée sur le lit. J’étais aux anges. Sophie aussi. Nous restâmes quelques minutes ainsi : Sophie allongée sur le ventre et moi sur son dos, le sexe ramolli, encore enfoncé dans son cul.
Nous nous levâmes pour aller prendre une douche bien chaude, bûmes chacun une tasse du thé préparé par Gigi, parlâmes de choses et d’autres sans importance et nous endormîmes heureux et repus. Sophie se réveilla très tôt le matin pour aller au travail. Elle faisait attention à ne pas me réveiller. Je ne dormais pas ; je regardais ma belle s’affairer dans la chambre à la lumière blafarde d’une veilleuse. Je la voyais assise, toujours toute nue, en face de la coiffeuse pour se coiffer et se maquiller. Je la vis qui farfouillait dans la garde robe à la recherche de ce qu’elle allait mettre. Je la vis qui allait enfiler sa petite culotte.
- Non n’enfile pas ta culotte ! Viens, nous allons faire l’amour !
- Tu es fou ! Il faut que je sois en forme pour travailler ! Rendors-toi, il est encore très tôt ! Quand je reviendrai ce soir, nous baiserons comme des bêtes ! Enfin si Gigi ne te suce pas toute ton énergie.
Elle continua de s’habiller en me jetant de temps en temps un regard affectueux et tendre. Elle vint me donner un petit baiser sur le coin des lèvres, résista à ma tentative de l’attirer vers moi et de l’allonger sur le lit, et partit en me disant :
- Soyez sages ! Je serai là vers dix-huit heures !
Je me rendormis presque immédiatement après le départ de Sophie. Je fus réveillé par la sensation que quelqu’un soulevait le drap qui me couvrait et venait s’allonger à mes côtés. J’étais encore à moitié endormi ; je ne me rendais pas très bien compte de ce qui se passait. Je sentais une présence à mes côtés mais je n’étais pas complètement réveillé pour réaliser ce qui était entrain de se tramer. Je sentis une main d’une douceur infinie caresser ma poitrine, puis descendre insensiblement vers mon ventre et mon bas ventre. Elle arriva sur mon sexe qui était au repos et alla le titiller. La chaleur qui irradiait de cette main et sa douceur, réveillèrent le monstre qui commençait à bander. La main le prit totalement et se mit à le caresser jusqu’à ce qu’il atteigne les dimensions maximales de son érection et devienne dur comme de la pierre. Je n’osais toujours pas ouvrir les yeux pour confirmer ce que je commençais à deviner. Je m’étais rappelé les paroles de Sophie avant de partir et comprit ce qui était entrain de se passer.
J’étais maintenant entrain de bander comme un âne. Je gardais les yeux fermés pour ne pas me sentir obligé de réagir, de protester ou de refuser ce qui devait fatalement arriver. Je sentais une tête s’engouffrer sous le drap et un souffle chaud me couvrir la poitrine, suivi de lèvres et d’une langue qui se promenait sur elle avec une telle douceur que j’espérais que cela allait durer longtemps. Et puis elle descendit, doucement, mais irrésistiblement, vers mon bas ventre créant en moi une attente douloureuse : j’attendais avec impatience qu’elle atteigne mon sexe, qui frémissait de désir. La bouche atteignit le pubis puis alla s’occuper du gland de mon engin, toujours tenu par la mystérieuse main. La pointe d’une langue vint le titiller et l’exciter. J’attendais presque impatiemment, le moment où la bouche s’ouvrira pour gober le gland, puis tout le manche.
La langue continua un long moment à titiller le gland, à le lécher et l’embraser. Elle y mettait énormément de douceur. Les lèvres se promenaient lentement tout le long de la hampe, arrivaient jusqu’aux couilles, qu’elles embrassaient, puis remontaient jusqu’à la pointe du gland. De temps en temps, la manœuvre s’arrêtait et la tête s’éloignait ; j’avais le sentiment qu’il s’agissait pour l’intrus de regarder et admirer l’engin. Au cours de ces périodes, je sentais la main s’emparer fermement de l’engin, pour après, le caresser avec plus de douceur. C’était comme s’il était en adoration devant lui et qu’il en attendait des miracles. Miracles de jouissance, certainement.
Et puis le moment que j’attendais avec impatience, arriva ; la bouche s’ouvrit très largement et engloutit l’engin. La tête s’abaissa progressivement faisant pénétrer le gland, suivi du reste du sexe, jusqu’au fond de la gorge. Elle se figea un instant, avant de faire le chemin inverse, jusqu’à ramener le gland au niveau des lèvres. Et ainsi de suite, avec un rythme de plus en plus rapide. La main accompagnait le mouvement de la bouche sur mon sexe : elle réalisait une espèce de masturbation parallèle à la fellation. Dieux ce que cette bouche était chaude, visqueuse et douce ! Comme un vagin ! Dieu ce que la main ajoutait de l’intensité à la forte excitation qui m’enveloppait !
Je n’y tins plus. J’envoyai au loin le drap qui me couvrait et qui cachait la personne qui était entrain de me faire tant de bien. Je découvris la tête blonde de Gigi et sa grande bouche qui s’escrimait sur mon engin. Il leva les yeux pour me regarder, et sans se démonter, continua l’opération. Je voyais mon immense sexe entrer et sortir de sa bouche, sa main qui allait et venait sur la hampe, au fur et à mesure qu’elle entrait et sortait d’entre ses lèvres. Je le voyais qui accélérait le mouvement de sa tête et de sa main. Je lui pris la tête à deux mains, presque brutalement, pour faire pénétrer le manche bien au-delà de la glotte. Il eut immédiatement envie de vomir, ce qui indiquait qu’il n’avait pas l’habitude de sucer un sexe aussi long, et surtout, qui exigeait d’aller aussi loin dans sa gorge.
Il faut dire que, dans l’état de surexcitation dans lequel j’étais, il m’était bien indifférent que Gigi souffrît et qu’il eut envie de vomir. « Il n’a qu’à vomir ! », me dis-je égoïstement. Et je continuais à obliger Gigi à recevoir mon vit au fond de sa gorge. N’y tenant plus, il retira sa tête pour respirer et cracher sur mon sexe une salive épaisse et visqueuse. J’attendis un quart de seconde et obligeai la tête, en tirant brutalement sur ses cheveux, à repartir à l’assaut du monstre. Gigi ne résista pas et laissa encore une fois le sexe aller et venir dans sa bouche, depuis ses lèvres jusqu’au delà de la glotte, et retour. Avec mes mains qui agrippaient les cheveux, je forçai la tête à aller de plus en plus rapidement. Par deux fois, il dut s’arrêter et faire sortir l’engin pour respirer et empêcher les vomissements.
Et puis, ce qui devait arriver, arriva: j’explosai, en poussant un énorme râle de plaisir, et un torrent de sperme épais et brûlant arriva en plusieurs giclées, dont les deux premières allèrent mourir au fond de la gorge et les autres remplir sa bouche. Gigi avala la totalité, ne laissant que quelques goutes dégouliner d’entre ses lèvres. Il leva la tête, pour me lancer un regard interrogatif sur le jugement que je portais sur sa performance.
- Je suce bien ? Comme maman ?
Je ne répondis pas, un peu gêné par la situation. Je n’avais pas l’habitude de faire l’amour avec des garçons. Je n’avais pas d’atomes crochus avec l’homosexualité, ni avec la bisexualité, d’ailleurs. Je n’avais pas programmé la séance de fellation qui venait de se dérouler. Mais j’avais trouvé cela tellement délicieux !
Gigi qui semblait comprendre le dilemme qui m’animait, n’insista pas. Il vint s’allonger contre moi et repris de me caresser et embrasser la poitrine, le ventre et le bas-ventre. Mon sexe qui avait un moment ramolli s’était remis à gonfler sous l’effet des caresses et du souffle chaud. Cela sembla décupler le désir de Gigi qui reprit l’engin dans sa main pour mieux l’admirer et lui appliquer des baisers et caresses d’enfer. Il le regardait avec gourmandise, grossir dans sa main pour atteindre des dimensions monumentales. Brusquement, il le lâcha, se retourna et me présenta son dos :
- Caresse-moi les fesses ! ordonna-t-il.
J’étais un peu gêné. Je n’avais pas l’habitude de caresser des garçons. Et même si le cul de Gigi n’avait rien à avoir avec celui d’un garçon ordinaire, j’eus du mal à pousser ma main vers les fesses offertes sous le petit short qui les protégeait. Sentant mes hésitations, il prit lui-même ma main et l’emmena sur ses hanches et se mit à caresser avec tour à tour sa fesse droite puis sa fesse gauche en m’ordonnant ensuite de continuer tout seul. Je m’exécutais un peu à contre cœur et, petit à petit, pris goût à ce cul si ferme.
- Enlève-moi le short ! dit-il en se déhanchant pour me faciliter l’opération.
Je lui enlevais le short et me trouvais en face d’une paire de fesses super bandantes : blanches, fermes et douces. La raie était légèrement plus sombre et laissait entrevoir la rondelle grise et palpitante de l’anus. Je ne me posais plus aucune question. Cette rondelle m’attirait comme un aimant et depuis ce moment là, mon seul objectif était d’en prendre possession et de la défoncer avec force. Je fis allonger Gigi sur le ventre pour mieux le voir et avoir plus facilement accès à son dos et à ses fesses. Je me mis à lui caresser et embrasser le dos, les épaules le haut des hanches, avant de m’attaquer à ses fesses.
Je promenai mes lèvres et ma langue sur l’une et l’autre des fesses tout en promenant les doigts de ma main le long de la fente. De temps en temps, je m’arrêtai sur l’anus pour le tâter et y introduire un doigt. Gigi, qui déjà aimait mes baisers et mes caresses, et me le montrait en gémissant doucement et en tortillant ses hanches, se figeait à chaque fois que j’approchais un doigt de son anus. Comme s’il attendait que je l’enfonce à l’intérieur.
- Enfonce-le ! disait-il, chaque fois qu’il sentait mon doigt s’approcher.
Chaque fois que je l’en éloignai, il poussait un soupir de protestation, avant de se remettre à gémir et à tortiller son cul sous mes baisers et caresses. Puis je me décidais à m’attaquer à l’anus. Je crachai sur mes doigts et enduisis la rondelle de salive pour la lubrifier. Je tâtai l’endroit pour en tester la résistance et d’un coup enfonçai deux doigts. Gigi poussa un petit cri de douleur, mais ne fit rien pour m’arrêter. Les deux doigts dans le cul, je forçais les hanches à se relever au maximum et à obliger le garçon à se mettre à quatre pattes. Il ne se fit pas prier. Il sentait que le moment de vérité arrivait; le moment où il allait accueillir l’immense sexe qui le faisait fantasmer.
A quatre pattes, j’avais le loisir d’avoir sous les yeux le superbe cul de Gigi, complètement offert à ma concupiscence. En dessous de la rondelle, je pouvais apercevoir les couilles et le minuscule sexe du garçon. La nature l’avait pourvu d’un tout petit sexe. Mais ce petit sexe était en érection ! Preuve de l’état de très forte excitation dans laquelle il était.
Je continuais de bander comme un âne ! Je voulais, sans plus attendre, prendre possession du superbe cul de Gigi. Je voulais le tirer en force ! Je voulais lui faire mal ! Je voulais qu’il se rappelle toute sa vie de cet immense zob qui lui avait rempli le ventre ! Je crachai une nouvelle fois dans ma main et enduisit l’anus de salive. Sans plus attendre, je me plaçai derrière les fesses offertes, positionnai le gland à l’entrée de l’anus et d’une forte poussée de mes hanches, introduisis toute la queue à l’intérieur, jusqu’à ce que mes couilles cognent contre les fesses. Il poussa un énorme cri de douleur.
Gigi n’était pas vierge ; mais son cul ne semblait pas avoir reçu de sexes de bonnes dimensions. Le mien lui fit très mal ; il avait du mal à aller et venir à l’intérieur de l’étroit boyau. Ce n’en était que meilleur ! Quelle magnifique sensation m’offrait ce cul aussi étroit et aussi serré sur mon sexe ! J’entrepris de piner Gigi avec force, sans me soucier de ses cris de douleur. Je savais qu’au bout d’un moment, le temps d’une meilleure lubrification, la douleur se transformera en plaisir. Très rapidement, Gigi se mit à pousser de petits cris de plaisir, chaque fois que mon sexe le pénétrait jusqu’au fond. Le petit cri se transforma très vite en un très fort gémissement rauque, de plus en plus court et de plus en plus rapide.
Gigi ne s’appartenait plus ! Il était tout à son plaisir et à sa jouissance ! Il gigotait de plus en plus fort; balançait sa tête dans tous les sens; bavait des tonnes de salive et prononçait d’une voix rauque, parvenant du fond de ses tripes, des mots incompréhensibles
- Bon ! Bon ! Encore ! Grand zob ! Jouir ! Ahhhhh ! Jouiiiiir ! Michel !
Je ne comprenais pas ce qu’il disait. Ni pourquoi il appelait Michel. Ni qui pouvait bien être ce Michel. Mais mon Dieu ce que ce cul était délicieux ! Je sentais que Gigi était sur le point d’avoir une énorme jouissance. Je le sentais qui se crispait sous moi ; que tout son corps était tendu et en attente de l’orgasme qui arrivait de très loin et qui dégringolait à toute vitesse pour se loger dans son bas ventre. Il eut un énorme râle et hurla qu’il jouissait ! Qu’il jouissait très fort ! Il prit son petit sexe dans une main et accompagna la jouissance qui arrivait par une masturbation qui fit sortir tout le sperme que l’excitation avait emmagasiné dans ses couilles. Exténué, il s’affaissa sur le lit, m’entrainant avec lui. Mon sexe, toujours avec son énorme érection, était toujours enfoncé dans son cul.
Je continuais à aller et venir en lui, pour maintenir l’érection et surtout réveiller le désir de Gigi. Je voulais qu’il jouisse encore une deuxième fois. J’allais et venais lentement en lui, réveillant petit à petit son excitation. Au bout de quelques allers-retours, je sentis les hanches de mon partenaire se mettre à bouger pour suivre le rythme de mes coups de reins. Sans même que je lui dise quoi que ce soit, il se remit en positon de levrette pour permettre à mon piston de le pilonner en force. Je ne me fis pas prier pour le tirer comme un dératé, en ahanant à chaque coup de boutoir. Cette fois-ci nous jouîmes ensemble ; une superbe jouissance qui nous vida tous les deux. J’éjaculai une incroyable quantité de sperme dans le cul de Gigi, qui ressortit en totalité, sous les va-et-vient de mon sexe. Gigi lui-même éjacula ce qui lui restait de sperme.
Nous restâmes ainsi pendant quelques minutes, lui allongé sur le ventre et moi sur son dos. Ce fut lui qui le premier reprit conscience. Il me fit descendre de son dos, se retourna, m’envoya un sourire lumineux et m’embrassa sur la bouche. Un petit baiser plein de tendresse.
- Je savais qu’avec toi, ce serait différent qu’avec Michel !
- Qui est Michel ?
- Mon petit ami ! Mon amoureux ! Mon mari, si tu veux ! Nous sommes ensemble depuis trois ans et nous nous aimons. Mais même s’il est beau, même s’il me donne beaucoup de plaisir au lit, il n’a pas les mêmes capacités que toi pour me faire grimper aux rideaux. Je vais d’ailleurs te le présenter tout à l’heure.
Nous nous reposâmes un long moment, puis Gigi se leva du lit et alla nous préparer un copieux petit déjeuner que nous prîmes au lit. Gigi était vraiment du genre tendre et aimant. Il ne voulut pas quitter mes bras de toute la matinée. Je le fis parler de lui et de son homosexualité. Il avouait sans fausse honte qu’il s’était toujours considéré comme une fille. Tout en lui était féminin. A l’exception du petit sexe de garçon qu’il avait, rien n’indiquait qu’il n’était pas une fille.
- D’ailleurs dès que cela sera possible, je ferai ce qu’il faut pour devenir une vraie femme.
- Une opération ?
- Oui ! Une opération. D’ailleurs on en parle souvent avec Michel qui me soutient totalement. Même maman ne s’y oppose pas.
Vers midi, on sonna à la porte. Gigi se leva d’un bond et alla ouvrir.
- Je te présente Michel, mon ami !
Michel était un jeune homme qui semblait avoir vingt cinq ans. Il était assez grand, pâle, avec des cheveux châtains très clairs. Il était svelte, la taille fine et les hanches étroites. Il avait les traits fins, de grands yeux noisette et une grande bouche gourmande. Il était souriant et semblait très sympathique.
- Chéri, je te présente Rafik, l’ami de maman dont je t’ai parlé. C’est une vraie bête au lit. Il est monté comme un âne ! J’aimerai que tu voies ça ! Montre-lui !
- Eh ! On n’est pas au cirque ! Je ne montre pas mes bijoux de famille, comme cela à la commande et au premier venu !
- Allez ne fait pas ton chichi ! Approche, je vais moi-même le lui monter. Ah il est au repos ! Attends tu vas voir comme je vais le réveiller. Chéri, viens m’aider !
Michel se rapprocha de nous, les yeux écarquillés devant les dimensions, au repos, de mon gourdin. Gigi le prit dans sa main droite et commença à le caresser. Il rapprocha sa tête de mon bas ventre, sorti sa langue et se mit à titiller le gland et à le lécher. Je sentais l’excitation arriver et mon sexe se mettre à gonfler. Je regardai Michel qui suivait avec attention le monstre qui prenait des proportions immenses. Je voyais ses yeux qui brillaient et ses narines qui palpitaient. Il semblait émerveillé par ce qu’il voyait. Quand l’engin avait atteint son maximum de dilatation, Gigi appela son ami pour qu’il prenne sa place. Michel ne se fit pas prier : il se mit à genoux devant moi et tendit précautionneusement sa main pour attraper l’engin. C’était comme s’il en avait peur.
Il se mit à le caresser doucement avec les encouragements de Gigi.
- Vas-y, branle-le ! Oui comme ça ! Embrasse-le ! Il adore être embrassé et léché ! Descends jusqu’aux couilles ! Suce-le !
Michel ouvrit son immense bouche et goba le gland, qu’il enroula avec sa langue. Il avait une bouche très chaude et très douce. Et il savait s’y prendre pour sucer et donner du plaisir. Je sentais que j’allais prendre beaucoup de plaisir dans cette bouche. J’attrapais la tête pour la forcer à adopter le rythme qui me convenait et, surtout, pour l’obliger à faire pénétrer l’engin jusqu’au fond de sa gorge. Il avait du mal à le faire au début; puis petit à petit, il s’habitua à l’engin. Je me dis que c’était le moment pour lui appliquer la torture de la baise buccale.
Je regardais Gigi, qui était à genoux à côté de son ami et lui caressait les fesses; je lui lançai un regard et un sourire interrogateurs, pour lui indiquer que j’allais baiser la bouche de son ami et voir s’il n’y voyait pas d’inconvénient. Il me rendit le sourire, que je pris pour un accord, se plaça derrière Michel et se mit à lui dégrafer le pantalon, qu’il fit descendre sur ses cuisses, dénudant le cul de son ami. Il lui souleva les hanches pour le mettre en position d’offrir son cul à sa bouche et à ses baisers. Ce faisant, il m’obligea moi-même à me mettre à genoux, pour garder mon sexe au niveau de la bouche de Michel. Et c’est comme cela que je mis à pilonner sans vergogne la bouche de mon partenaire, pendant que son amis lui léchait l’anus, mouillait l’anneau et introduisit deux doigts pour le masturber.
Je ne savais pas si Michel prenait du plaisir à se faire pilonner par mon gros engin et si la masturbation de son cul lui apportait quelque chose. Ce que je savais, c’était que moi je prenais un plaisir fou à baiser cette bouche. J’y allais en force, ne m’arrêtant une fraction de seconde que quand je le sentais sur le point de vomir, pour reprendre immédiatement après. De temps en temps je le voyais qui levait des yeux larmoyants – peut-être pour me supplier d’arrêter le pilonnage – et j’étais encore plus excité en voyant ses narines couler comme des fontaines et les commissures de ses lèvres laisser passer des litres de salive. Je me comportais comme un vrai sadique ; j’adorais le spectacle du garçon qui souffrait, mais qui résistait courageusement pour ne pas me décevoir et décevoir son petit ami. Cela dura, me semblait-il, une éternité, jusqu’au moment où n’y tenant plus je lâchais tout le sperme qui me restait après les coïts répétés que j’avais eu avec Gigi, pendant la matinée.
Michel reçut une partie dans sa gorge, qu’il avala sans peine et garda une autre partie dans sa bouche. Il laissa mon manche rassasié sortir de la cavité buccale et se retourna pour faire face à son ami - lequel entre-temps avait arrêté la masturbation du cul de Michel – pour l’embrasser et lui offrir une partie du sperme qu’il avait gardé. Tous les deux avalèrent, en riant, le foutre et s’embrassèrent passionnément. Ils se laissèrent emporter par leur passion l’un pour l’autre, comme si je n’existais pas. Ils s’embrassèrent, se caressèrent, se dénudèrent, se masturbèrent mutuellement et… Michel encula Gigi avec douceur, devant moi, comme pour me faire comprendre que, malgré tout, c’était lui qui restait son maître. Ils prirent beaucoup de plaisir et jouirent en même temps.
- Il t’a vraiment élargi l’anus avec son gros engin, dit Michel. Le mien, maintenant, nage à l’intérieur. Mais tu restes encore un superbe coup !
- Tu verras quand il t’enculeras toi aussi, la force de son engin ! Quand tu y goutteras, tu ne pourras plus t’en passer !
Je restais chez cette famille si particulière, toute la semaine, presque sans sortir, si ce n’est une seule fois pour aller, Sophie et moi, manger dehors, en amoureux. J’étais traité comme un coq en pâte : la journée par Gigi et Michel et le soir, par Sophie avec laquelle je passais toutes les nuits. Je ne sais pas comment j’avais pu rester en forme, avec un tel traitement : je me sentais obligé de faire l’amour cinq ou six fois par jour, pour satisfaire les besoins tyranniques de Sophie et ceux de son fils et de l’ami de ce dernier. Parce que même Michel, qui avait essayé mon engin et y avait pris goût, réclamait sa part. Il est vrai que j’étais jeune et plein d’énergie ; que je n’avais pas besoin d’un long moment pour me régénérer mes forces. Mais au bout de la semaine, j’étais sur les rotules ; fatigué, mais heureux !
Je ne retrouvais plus jamais des personnages comme Sophie, Gigi et Michel. J’ai encore de temps en temps de leurs nouvelles, mais ne les revis plus.
Deuxième partie : Jean Jacques le fils de Sophie
Nous arrivâmes dans l’appartement de Sophie vers dix neuf heures. Elle habitait au deuxième étage d’un petit immeuble, qui faisait partie d’une résidence privée de haut standing. L’appartement était coquet et meublé avec soin. Elle m’apprit que l’appartement avait été acheté par son ex-mari, le père de Jean Jaques et l’avait mis au nom de Sophie. Le divorce avait été conclu à l’amiable, sans aucun de ces drames si courants dans les séparations de couples. Elle continuait de voir son ex-mari régulièrement et entretenait avec lui une relation amicale. Il s’était remarié avec une femme plus jeune, avec laquelle il avait eu deux enfants.
Sophie avait appelé Gigi (c’était comme cela qu’elle appelait son fils Jean Jacques) au cours de l’après-midi pour lui annoncer qu’elle ramenait un ami à la maison et pour lui demander de préparer un gentil repas pour trois. Je m’étonnais un peu de la demande :
- Tu as éduqué ton fils de manière à ce qu’il prépare à manger pour vous deux ?
- Moi je n’ai absolument rien fait ! En fait, il aime bien cuisiner de bons petits plats, pour nous bien sûr, mais aussi, et surtout pour son ami ! Tu comprendras dès que tu le verras !
Encore une fois, elle n’en dit pas plus sur ce fameux fils - Gigi ou Jean Jacques. Mais dès que nous pénétrâmes dans l’appartement et que Gigi vint nous accueillir, j’eus toutes les réponses aux questions que je me posais. Au premier abord, j’étais incapable de dire si Gigi était un garçon ou une fille ! N’était l’absence de poitrine, j’aurais parié qu’il s’agissait d’une fille ! Et même d’une superbe fille ! Il avait une belle figure, à l’image de celle de Sophie, avec de grands yeux bleus, très légèrement maquillés (mais maquillés tout de même !), une grande bouche à demi ouverte, entourée des mêmes lèvres sublimes que celles de sa maman et aucune trace de poil. Soit qu’il était imberbe, soit plus prosaïquement, que son visage avait été soigneusement épilé.
Il était assez grand - environ un mètre soixante quinze – et avait un corps mince qui donnait une très forte impression de souplesse. Mais ce qui le faisait plus ressembler à une fille, c’étaient ses hanches larges et son fessier bombé et proéminent. Il marchait en balançant ses hanches, exactement, comme le faisait sa maman. Par contre, sa poitrine semblait plate. Un véritable androgyne ! Il était habillé d’un léger tee-shirt rose en coton, qui mettait en évidence sa taille fine et ses épaules larges et rondes. En dessous, il portait un short serré et court qui moulait ses hanches et mettait en valeur ses fesses rondes, proéminentes et bombées.
En nous recevant, il me tendit la main - qu’il avait longue, dodue et douce - à la manière des dames de la haute aristocratie, comme s’il attendait de moi que je lui fasse un baisemain. Voyant ma surprise, il se reprit très vite et me proposa une poignée de main que je lui donnai, en évitant de la serrer trop fortement comme à mon habitude.
- Il est vraiment mignon, ton nouvel ami ! dit-il à Sophie d’une petite voix, un peu maniérée. Tu me le prêtes ?
Sophie, qui semblait un peu mal à l’aise, ne répondit pas à la question. Elle se contenta de me sourire et de demander à son fils qu’est-ce qu’il nous avait préparé à manger.
- Un plat traditionnel français : du bœuf en daube. Tu verras ton ami va se lécher les doigts ! Surtout qu’il sera accompagné d’un excellent vin rouge d’un petit cru de Bourgogne ! Allez vous débarbouiller ! Je prépare la table ! Elle sera prête dans un petit quart d’heure !
Sophie me montra sa chambre – qui sera aussi la mienne pendant tout le temps que je passerai avec elle. Mes bagages étaient déjà là. L’hôtel les y avait envoyés dans la journée. J’allais me rafraichir dans la salle de bain, pendant que Sophie se mettait à l’aise dans une tenue d’intérieur - une espèce de kimono en soie bleue – qui mettait encore plus en valeur ses appâts naturels. Elle était super bandante dans cette tenue : elle suggérait plus qu’elle ne montrait. Elle suggérait surtout qu’elle était toute nue en dessous.
- Ne me dis pas que tu ne portes rien en dessous ! lui dis-je en quémandant un baiser.
- Absolument rien ! répondit-elle en m’embrassant tendrement. Comme cela, je suis sûre que chaque fois que tu me regarderas tu ne penseras qu’à ça ! Que je suis nue et offerte ! Je veux que tu n’arrêtes pas de bander ! Même en mangeant !
Et de fait pendant tout le repas, je n’avais pensé qu’à la nudité de Sophie. Nous étions assis face à face, pendant que Gigi s’occupait du service et occupait, quand il s’asseyait pour manger, la place à la droite de sa maman. J’avais pensé un moment que Sophie allait se comporter sagement avec moi devant son fils. Que nenni ! Pendant tout le temps que dura le repas, elle me prenait la main et la portait à sa bouche pour l’embrasser. La présence de Gigi ne la gênait nullement. Elle envoyait son pied nu sous la table pour qu’il vienne me caresser le sexe afin de vérifier qu’il était toujours en érection. J’avais envie de me lever de table et de soulever la belle pour la jeter sur le grand sofa qui se trouvait à l’autre bout du salon et la tirer comme une brute, devant son fils. J’avais même l’impression que c’était ce qu’elle attendait, tant elle me jetait un regard provocateur et moqueur. Elle ne disait rien, mais son comportement suggérait tout.
Je me retenais pourtant, bloqué par des scrupules dus aux restes de mon éducation traditionnelle. Quand Gigi s’absentait pour aller chercher un nouveau plat ou une nouvelle bouteille de vin, j’en profitais pour embrasser Sophie par-dessus la table.
- Arrête de m’exciter comme cela ! Tu es entrain de me faire vivre l’enfer ! J’ai un mal fou à me retenir !
- Ne te retiens pas ! Chiche, saute-moi ici même !
- Devant ton fils ?
- Oui ! Il sait pertinemment pourquoi tu es là ! Pour me tirer comme une bête ! Ce n’est pas la première fois que j’amène un petit ami à la maison et qu’il assiste - même de loin - au feu d’artifice de nos nuits! Alors faire l’amour devant lui ne le gênera pas du tout ! Par contre c’est bien la première fois qu’il flashe sur un de mes petits amis ! Tu as remarqué comment il se comporte avec toi ? Comment il balance son cul ? Tu as vu ses yeux comme ils se voilent quand il te regarde ? Tu as vu son sourire provocateur ? Il a envie de toi !
- …
J’étais complètement abasourdi par les révélations de Sophie. Non pas que je n’avais pas remarqué le manège de Gigi ; ni deviné ses pensées. Ce qui m’étonnait c’était qu’elle prenne la chose avec autant de philosophie. C’était comme si elle avait accepté d’avance que Gigi prenne sa place et devienne ma maîtresse (ou mon amant, je ne savais pas trop comment appeler cela !).
- Je dois être vraiment vieux jeu ! Je ne peux pas m’imaginer faire l’amour avec toi, devant ton fils ! Surtout en sachant qu’il souhaite ardemment se trouver à ta place !
- En réalité je ne l’ai encore jamais fait devant lui ! Mais il y a un début à tout ! Cela me parait tellement érotique ! Profitons qu’il soit entrain de nous préparer un thé pour aller sur le sofa ! Allez, viens !
Elle se leva ; me tendit la main et me fit lever de table pour m’entraîner presque de force vers le sofa qui nous tendait les bras, à l’autre bout du salon. Je la suivis en traînant le pas, réellement mal à l’aise. Elle se jeta sur le sofa, dénoua la ceinture de soie qui fermait le kimono et présenta à mes yeux exorbités toute sa nudité. Elle ne portait vraiment rien en dessous, ni soutien gorge, ni culotte. Elle tendit les bras et m’attrapa par les hanches. Elle m’attira vers elle de manière à ce que je me trouve debout devant elle. Elle s’attaqua immédiatement à mon pantalon qu’elle dégrafa et descendit, accompagné de mon slip, brusquement sur mes mollets.
Je restais ainsi cul nu et le sexe en érection devant Sophie qui regardait avec des yeux brillant de concupiscence. Elle attrapa mon gourdin, le palpa quelque secondes et l’attira vers sa bouche. Elle l’avala en entier puis entreprit de me faire une fellation d’enfer. Mon Dieu que sa bouche était douce, chaude et humide ! Elle me rappelait la séance de la nuit passée. J’avais oublié jusqu’à l’existence de Gigi. Je ne pensais plus qu’à baiser cette bouche infernale complètement offerte à mes désirs pervers. Je j’attrapais les cheveux de Sophie et me mit à les tirer pour mieux enfoncer le monstre dans sa gorge. Je le faisais sortir de sa bouche et repartais aussitôt à l’assaut du gouffre, le faisant disparaître totalement. Je voyais ma belle qui souffrait et qui respirait difficilement et qui, pourtant s’agrippait à mes hanches pour que je n’arrête pas de la tirer. Elle voulait absolument me faire jouir très fort. Ses yeux pleuraient, ses narines coulaient et sa bouche bavait !
Quel spectacle hallucinant ! Pervers et érotique à l’extrême ! J’étais au comble du bonheur et de l’excitation ! Je sentais un énorme orgasme arriver avec la force d’une rivière en crue. Rien ne pouvait arrêter le torrent qui s’annonçait. Je gémissais, ahanait et poussais des petits cris rauques qui donnaient à ma partenaire une idée de l’intensité du plaisir que je prenais dans sa bouche. Et puis tout à coup, je poussais un long râle de jouissance et éjaculait dans la gorge de ma mie une tonne de sperme blanc, épais, visqueux et brûlant dont une grande partie resta au fond de sa gorge et qu’elle avala avec difficulté et l’autre partie sortit à l’extérieur par la bouche et les narines. Que Sophie était magnifique comme cela, dégoulinante de foutre, par la bouche et les narines et qui essayait difficilement de reprendre son souffle. Elle me regardait avec des yeux qui quémandaient une récompense.
- Tu es merveilleuse ! Tu es incroyable ! La plus merveilleuse des amantes que la vie m’ait offerte !
- C’est vrai ? répondit-elle d’une voix éraillée. Tu as aimé ?
- Oui ! Mille fois oui ! C’est à mon tour de te rendre la pareille ! Allons dans la chambre.
« Et mon thé ? » C’était la voix de Gigi, dont on avait oublié jusqu’à l’existence. Il avait dû assister à une grande partie du spectacle. Je remontais vivement mon pantalon sans oser le regarder en face. Sophie par contre, semblait très à l’aise.
- Nous le prendrons dans la chambre ! Nous en avons besoin pour nous revigorer. Merci chéri. Je m’occupe de prendre le plateau dans la chambre et de le servir ! Bonne nuit mon chéri !
Et sans autre forme de procès, elle prit le plateau contenant la théière et les verres et me précéda dans la chambre. Je me retournai pour regarder Gigi. Il avait un petit sourire triste en me regardant, me tourna le dos et repartit en dandinant des hanches vers la cuisine. Je rejoignis Sophie dans la chambre. Elle était assise sur le rebord du grand lit et me tendit les bras pour que je la rejoigne. Elle avait enlevé son kimono qu’elle avait jeté par terre et était restée toute nue.
- Que comptes-tu me faire pour me donner autant de jouissance que moi je t’en ai donné tout à l’heure. M’enculer ? Me prendre en levrette ? Les deux ?
- Je suis tenté de te répondre les deux ! Comme hier, mais cette fois-ci en levrette ! J’ai envie de te remplir à tour de rôle ton cul et ton vagin, jusqu’à ce que tu jouisses comme une folle ! Mais pas cette nuit. Cette nuit c’est toi qui vas chevaucher mon membre et mener la danse à ton rythme. Je te ramonerais en même temps ton cul avec deux ou trois doigts pour que tu te sentes pénétrée par devant et par derrière ! Tu verras ce sera divin !
Sophie accepta immédiatement ma proposition. Elle me fit allonger sur le dos et vint positionner sa chatte dégoulinante de mouille sur mon membre dressé comme un mât, avant de s’emmancher dessus. Elle s’appuya sur mes muscles abdominaux et entreprit de relever et descendre ses hanches de manière à réaliser un va-et-vient démentiel. Elle poussait à chaque fois des petits cris qui devenaient de plus en plus sonores au fur et à mesure que l’intensité du plaisir qu’elle ressentait, grandissait. Pour lui donner encore plus de plaisir je farfouillai dans la raie de ses fesses à la recherche du trou de son cul. J’y enfonçai, sans même les lubrifier, deux doigts qui entreprirent un deuxième mouvement de va-et-vient.
La sensation d’être doublement pénétrée plut énormément à Sophie dont les cris et gémissement doublèrent d’intensité.
- C’est bon comme cela ! J’ai les deux trous remplis ! C’est merveilleux ! Continue avec tes doigts ! Enfonce les encore plus ! C’est super ! Je vais mourir de plaisir ! Encore plus vite ! Plus profond !
Sophie parlait, criait, bavait ! Elle était dans son plaisir ! Dans sa jouissance ! Elle montait et descendait ses hanches à un rythme de plus en plus rapide. Je sentais qu’elle fatiguait et qu’il fallait que je prenne la relève. De ma main libre je lui fis comprendre de garder ses hanches relevées de manière à me permettre d’effectuer moi-même les mouvements de va-et-vient. Elle releva donc les hanches et resta ainsi. J’entrepris de la pilonner ainsi par des forts mouvements montant et descendant de mes hanches de plus en plus puissants et de plus en plus rapides.
J’ajustai le rythme des allers-retours de mes doigts dans son cul à celui du va-et-vient de mon sexe dans sa chatte. Mes doigts et mon sexe se rencontraient à travers les parois de son cul et de son vagin, accroissant d’autant la sensation de plaisir qui nous étreignait. Elle n’arrêtait pas de crier qu’elle adorait être baisée comme cela ! Qu’elle aimait jouir très fort ! Qu’elle allait jouir très fort ! Qu’elle aimait que je la pine en force ! Sa respiration devenait de plus en plus rapide et de plus en plus saccadée. Elle bavait des litres de salive à travers ses lèvres entrouvertes. Salive qui venait se répandre sur ma poitrine. Ses yeux se voilaient de plus en plus, annonçant l’arrivée d’une très forte jouissance. Ses lèvres commençaient à s’étirer et se vider de leur sang ; elles devenaient de plus en plus pâles et figées. D’un coup, je la vis se tendre comme un arc, aspirer une forte goulée d’air et exploser dans un énorme orgasme en forme de feu d’artifice.
- Je jouis ! Je jouis ! Je jouiiiiiiiiis ! Ahhhhhhhh !
Et elle relâcha tous ses muscles et s’affaissa sur moi. Sa tête vint se poser au creux de mon épaule et tenta de reprendre sa respiration. Mon sexe était toujours planté à l’intérieur de son vagin. Il était encore en érection. Je restais en elle, en bougeant très lentement les hanches de manière à garder l’excitation et à maintenir l’érection. J’avais l’intention de faire encore jouir Sophie en l’enculant, dès qu’elle sera un peu reposée. Au bout de quelques minutes, elle prit conscience de la présence de ma queue dans son vagin et surtout, comprit qu’il était toujours d’attaque.
- Tu bandes toujours ?
- Oui ? Il veut t’enculer pour te faire jouir encore une fois ! Tu veux ?
- Oui !
Je fis sortir mon membre de son vagin, la retournai sur le ventre et la fis mettre à quatre pattes sur le lit, la tête enfoncée dans le traversin. Elle me présentait ainsi son magnifique fessier. J’avais une superbe vue sur son anus palpitant et sur sa chatte dégoulinante de mouille. Je ne cherchais même pas à mouiller son anus. Mon sexe qui venait de sortir de son vagin était encore bien lubrifié. Je me positionnais donc derrière elle et lui enfonçait la queue d’une seule poussée au plus profond de son boyau. Elle eut un petit cri - de plaisir ou de douleur – et se mit à bouger ses hanches pour m’inciter à la tirer en force.
- C’est bon ! Plus fort ! Plus vite ! Défonce-moi le cul ! Enfonce-le plus loin ! Fais rentrer tes couilles ! C’est bon ! Fais-moi mal ! J’aime être enculée en force. Je voudrai être enculée par un zob aussi gros que celui d’un âne ! Encore ! Encore ! Encore ! Ne t’arrête pas ! Je vais jouir ! Remplis mon cul de sperme !
Je n’arrivais plus à retenir la jouissance qui arrivait. Je sentais que je n’allais pas tarder à éjaculer. J’accélérai le mouvement de va-et-vient de mon sexe dans son cul. Je pilonnais son anus comme une brute en ahanant comme un bûcheron. Je sortais totalement mon sexe de son cul et repartais immédiatement à l’intérieur d’une forte poussée de mes hanches. Je criais qu’elle était bonne ! Qu’elle avait un cul d’enfer ! Que j’adorais enculer les femmes ! Qu’elle avait le plus beau cul de toutes celles que j’avais baisées !
Sophie partit subitement dans un orgasme aussi énorme que le précédent, en hurlant que c’était merveilleux de jouir par le cul ! J’eus moi aussi un énorme orgasme qui me fit décharger tout ce qui me restait de sperme dans le cul de ma belle. La plus grosse partie de mon foutre ressortit expulsé par les va-et-vient de mon sexe qui continuèrent longtemps après que Sophie se soit affaissée sur le lit. J’étais aux anges. Sophie aussi. Nous restâmes quelques minutes ainsi : Sophie allongée sur le ventre et moi sur son dos, le sexe ramolli, encore enfoncé dans son cul.
Nous nous levâmes pour aller prendre une douche bien chaude, bûmes chacun une tasse du thé préparé par Gigi, parlâmes de choses et d’autres sans importance et nous endormîmes heureux et repus. Sophie se réveilla très tôt le matin pour aller au travail. Elle faisait attention à ne pas me réveiller. Je ne dormais pas ; je regardais ma belle s’affairer dans la chambre à la lumière blafarde d’une veilleuse. Je la voyais assise, toujours toute nue, en face de la coiffeuse pour se coiffer et se maquiller. Je la vis qui farfouillait dans la garde robe à la recherche de ce qu’elle allait mettre. Je la vis qui allait enfiler sa petite culotte.
- Non n’enfile pas ta culotte ! Viens, nous allons faire l’amour !
- Tu es fou ! Il faut que je sois en forme pour travailler ! Rendors-toi, il est encore très tôt ! Quand je reviendrai ce soir, nous baiserons comme des bêtes ! Enfin si Gigi ne te suce pas toute ton énergie.
Elle continua de s’habiller en me jetant de temps en temps un regard affectueux et tendre. Elle vint me donner un petit baiser sur le coin des lèvres, résista à ma tentative de l’attirer vers moi et de l’allonger sur le lit, et partit en me disant :
- Soyez sages ! Je serai là vers dix-huit heures !
Je me rendormis presque immédiatement après le départ de Sophie. Je fus réveillé par la sensation que quelqu’un soulevait le drap qui me couvrait et venait s’allonger à mes côtés. J’étais encore à moitié endormi ; je ne me rendais pas très bien compte de ce qui se passait. Je sentais une présence à mes côtés mais je n’étais pas complètement réveillé pour réaliser ce qui était entrain de se tramer. Je sentis une main d’une douceur infinie caresser ma poitrine, puis descendre insensiblement vers mon ventre et mon bas ventre. Elle arriva sur mon sexe qui était au repos et alla le titiller. La chaleur qui irradiait de cette main et sa douceur, réveillèrent le monstre qui commençait à bander. La main le prit totalement et se mit à le caresser jusqu’à ce qu’il atteigne les dimensions maximales de son érection et devienne dur comme de la pierre. Je n’osais toujours pas ouvrir les yeux pour confirmer ce que je commençais à deviner. Je m’étais rappelé les paroles de Sophie avant de partir et comprit ce qui était entrain de se passer.
J’étais maintenant entrain de bander comme un âne. Je gardais les yeux fermés pour ne pas me sentir obligé de réagir, de protester ou de refuser ce qui devait fatalement arriver. Je sentais une tête s’engouffrer sous le drap et un souffle chaud me couvrir la poitrine, suivi de lèvres et d’une langue qui se promenait sur elle avec une telle douceur que j’espérais que cela allait durer longtemps. Et puis elle descendit, doucement, mais irrésistiblement, vers mon bas ventre créant en moi une attente douloureuse : j’attendais avec impatience qu’elle atteigne mon sexe, qui frémissait de désir. La bouche atteignit le pubis puis alla s’occuper du gland de mon engin, toujours tenu par la mystérieuse main. La pointe d’une langue vint le titiller et l’exciter. J’attendais presque impatiemment, le moment où la bouche s’ouvrira pour gober le gland, puis tout le manche.
La langue continua un long moment à titiller le gland, à le lécher et l’embraser. Elle y mettait énormément de douceur. Les lèvres se promenaient lentement tout le long de la hampe, arrivaient jusqu’aux couilles, qu’elles embrassaient, puis remontaient jusqu’à la pointe du gland. De temps en temps, la manœuvre s’arrêtait et la tête s’éloignait ; j’avais le sentiment qu’il s’agissait pour l’intrus de regarder et admirer l’engin. Au cours de ces périodes, je sentais la main s’emparer fermement de l’engin, pour après, le caresser avec plus de douceur. C’était comme s’il était en adoration devant lui et qu’il en attendait des miracles. Miracles de jouissance, certainement.
Et puis le moment que j’attendais avec impatience, arriva ; la bouche s’ouvrit très largement et engloutit l’engin. La tête s’abaissa progressivement faisant pénétrer le gland, suivi du reste du sexe, jusqu’au fond de la gorge. Elle se figea un instant, avant de faire le chemin inverse, jusqu’à ramener le gland au niveau des lèvres. Et ainsi de suite, avec un rythme de plus en plus rapide. La main accompagnait le mouvement de la bouche sur mon sexe : elle réalisait une espèce de masturbation parallèle à la fellation. Dieux ce que cette bouche était chaude, visqueuse et douce ! Comme un vagin ! Dieu ce que la main ajoutait de l’intensité à la forte excitation qui m’enveloppait !
Je n’y tins plus. J’envoyai au loin le drap qui me couvrait et qui cachait la personne qui était entrain de me faire tant de bien. Je découvris la tête blonde de Gigi et sa grande bouche qui s’escrimait sur mon engin. Il leva les yeux pour me regarder, et sans se démonter, continua l’opération. Je voyais mon immense sexe entrer et sortir de sa bouche, sa main qui allait et venait sur la hampe, au fur et à mesure qu’elle entrait et sortait d’entre ses lèvres. Je le voyais qui accélérait le mouvement de sa tête et de sa main. Je lui pris la tête à deux mains, presque brutalement, pour faire pénétrer le manche bien au-delà de la glotte. Il eut immédiatement envie de vomir, ce qui indiquait qu’il n’avait pas l’habitude de sucer un sexe aussi long, et surtout, qui exigeait d’aller aussi loin dans sa gorge.
Il faut dire que, dans l’état de surexcitation dans lequel j’étais, il m’était bien indifférent que Gigi souffrît et qu’il eut envie de vomir. « Il n’a qu’à vomir ! », me dis-je égoïstement. Et je continuais à obliger Gigi à recevoir mon vit au fond de sa gorge. N’y tenant plus, il retira sa tête pour respirer et cracher sur mon sexe une salive épaisse et visqueuse. J’attendis un quart de seconde et obligeai la tête, en tirant brutalement sur ses cheveux, à repartir à l’assaut du monstre. Gigi ne résista pas et laissa encore une fois le sexe aller et venir dans sa bouche, depuis ses lèvres jusqu’au delà de la glotte, et retour. Avec mes mains qui agrippaient les cheveux, je forçai la tête à aller de plus en plus rapidement. Par deux fois, il dut s’arrêter et faire sortir l’engin pour respirer et empêcher les vomissements.
Et puis, ce qui devait arriver, arriva: j’explosai, en poussant un énorme râle de plaisir, et un torrent de sperme épais et brûlant arriva en plusieurs giclées, dont les deux premières allèrent mourir au fond de la gorge et les autres remplir sa bouche. Gigi avala la totalité, ne laissant que quelques goutes dégouliner d’entre ses lèvres. Il leva la tête, pour me lancer un regard interrogatif sur le jugement que je portais sur sa performance.
- Je suce bien ? Comme maman ?
Je ne répondis pas, un peu gêné par la situation. Je n’avais pas l’habitude de faire l’amour avec des garçons. Je n’avais pas d’atomes crochus avec l’homosexualité, ni avec la bisexualité, d’ailleurs. Je n’avais pas programmé la séance de fellation qui venait de se dérouler. Mais j’avais trouvé cela tellement délicieux !
Gigi qui semblait comprendre le dilemme qui m’animait, n’insista pas. Il vint s’allonger contre moi et repris de me caresser et embrasser la poitrine, le ventre et le bas-ventre. Mon sexe qui avait un moment ramolli s’était remis à gonfler sous l’effet des caresses et du souffle chaud. Cela sembla décupler le désir de Gigi qui reprit l’engin dans sa main pour mieux l’admirer et lui appliquer des baisers et caresses d’enfer. Il le regardait avec gourmandise, grossir dans sa main pour atteindre des dimensions monumentales. Brusquement, il le lâcha, se retourna et me présenta son dos :
- Caresse-moi les fesses ! ordonna-t-il.
J’étais un peu gêné. Je n’avais pas l’habitude de caresser des garçons. Et même si le cul de Gigi n’avait rien à avoir avec celui d’un garçon ordinaire, j’eus du mal à pousser ma main vers les fesses offertes sous le petit short qui les protégeait. Sentant mes hésitations, il prit lui-même ma main et l’emmena sur ses hanches et se mit à caresser avec tour à tour sa fesse droite puis sa fesse gauche en m’ordonnant ensuite de continuer tout seul. Je m’exécutais un peu à contre cœur et, petit à petit, pris goût à ce cul si ferme.
- Enlève-moi le short ! dit-il en se déhanchant pour me faciliter l’opération.
Je lui enlevais le short et me trouvais en face d’une paire de fesses super bandantes : blanches, fermes et douces. La raie était légèrement plus sombre et laissait entrevoir la rondelle grise et palpitante de l’anus. Je ne me posais plus aucune question. Cette rondelle m’attirait comme un aimant et depuis ce moment là, mon seul objectif était d’en prendre possession et de la défoncer avec force. Je fis allonger Gigi sur le ventre pour mieux le voir et avoir plus facilement accès à son dos et à ses fesses. Je me mis à lui caresser et embrasser le dos, les épaules le haut des hanches, avant de m’attaquer à ses fesses.
Je promenai mes lèvres et ma langue sur l’une et l’autre des fesses tout en promenant les doigts de ma main le long de la fente. De temps en temps, je m’arrêtai sur l’anus pour le tâter et y introduire un doigt. Gigi, qui déjà aimait mes baisers et mes caresses, et me le montrait en gémissant doucement et en tortillant ses hanches, se figeait à chaque fois que j’approchais un doigt de son anus. Comme s’il attendait que je l’enfonce à l’intérieur.
- Enfonce-le ! disait-il, chaque fois qu’il sentait mon doigt s’approcher.
Chaque fois que je l’en éloignai, il poussait un soupir de protestation, avant de se remettre à gémir et à tortiller son cul sous mes baisers et caresses. Puis je me décidais à m’attaquer à l’anus. Je crachai sur mes doigts et enduisis la rondelle de salive pour la lubrifier. Je tâtai l’endroit pour en tester la résistance et d’un coup enfonçai deux doigts. Gigi poussa un petit cri de douleur, mais ne fit rien pour m’arrêter. Les deux doigts dans le cul, je forçais les hanches à se relever au maximum et à obliger le garçon à se mettre à quatre pattes. Il ne se fit pas prier. Il sentait que le moment de vérité arrivait; le moment où il allait accueillir l’immense sexe qui le faisait fantasmer.
A quatre pattes, j’avais le loisir d’avoir sous les yeux le superbe cul de Gigi, complètement offert à ma concupiscence. En dessous de la rondelle, je pouvais apercevoir les couilles et le minuscule sexe du garçon. La nature l’avait pourvu d’un tout petit sexe. Mais ce petit sexe était en érection ! Preuve de l’état de très forte excitation dans laquelle il était.
Je continuais de bander comme un âne ! Je voulais, sans plus attendre, prendre possession du superbe cul de Gigi. Je voulais le tirer en force ! Je voulais lui faire mal ! Je voulais qu’il se rappelle toute sa vie de cet immense zob qui lui avait rempli le ventre ! Je crachai une nouvelle fois dans ma main et enduisit l’anus de salive. Sans plus attendre, je me plaçai derrière les fesses offertes, positionnai le gland à l’entrée de l’anus et d’une forte poussée de mes hanches, introduisis toute la queue à l’intérieur, jusqu’à ce que mes couilles cognent contre les fesses. Il poussa un énorme cri de douleur.
Gigi n’était pas vierge ; mais son cul ne semblait pas avoir reçu de sexes de bonnes dimensions. Le mien lui fit très mal ; il avait du mal à aller et venir à l’intérieur de l’étroit boyau. Ce n’en était que meilleur ! Quelle magnifique sensation m’offrait ce cul aussi étroit et aussi serré sur mon sexe ! J’entrepris de piner Gigi avec force, sans me soucier de ses cris de douleur. Je savais qu’au bout d’un moment, le temps d’une meilleure lubrification, la douleur se transformera en plaisir. Très rapidement, Gigi se mit à pousser de petits cris de plaisir, chaque fois que mon sexe le pénétrait jusqu’au fond. Le petit cri se transforma très vite en un très fort gémissement rauque, de plus en plus court et de plus en plus rapide.
Gigi ne s’appartenait plus ! Il était tout à son plaisir et à sa jouissance ! Il gigotait de plus en plus fort; balançait sa tête dans tous les sens; bavait des tonnes de salive et prononçait d’une voix rauque, parvenant du fond de ses tripes, des mots incompréhensibles
- Bon ! Bon ! Encore ! Grand zob ! Jouir ! Ahhhhh ! Jouiiiiir ! Michel !
Je ne comprenais pas ce qu’il disait. Ni pourquoi il appelait Michel. Ni qui pouvait bien être ce Michel. Mais mon Dieu ce que ce cul était délicieux ! Je sentais que Gigi était sur le point d’avoir une énorme jouissance. Je le sentais qui se crispait sous moi ; que tout son corps était tendu et en attente de l’orgasme qui arrivait de très loin et qui dégringolait à toute vitesse pour se loger dans son bas ventre. Il eut un énorme râle et hurla qu’il jouissait ! Qu’il jouissait très fort ! Il prit son petit sexe dans une main et accompagna la jouissance qui arrivait par une masturbation qui fit sortir tout le sperme que l’excitation avait emmagasiné dans ses couilles. Exténué, il s’affaissa sur le lit, m’entrainant avec lui. Mon sexe, toujours avec son énorme érection, était toujours enfoncé dans son cul.
Je continuais à aller et venir en lui, pour maintenir l’érection et surtout réveiller le désir de Gigi. Je voulais qu’il jouisse encore une deuxième fois. J’allais et venais lentement en lui, réveillant petit à petit son excitation. Au bout de quelques allers-retours, je sentis les hanches de mon partenaire se mettre à bouger pour suivre le rythme de mes coups de reins. Sans même que je lui dise quoi que ce soit, il se remit en positon de levrette pour permettre à mon piston de le pilonner en force. Je ne me fis pas prier pour le tirer comme un dératé, en ahanant à chaque coup de boutoir. Cette fois-ci nous jouîmes ensemble ; une superbe jouissance qui nous vida tous les deux. J’éjaculai une incroyable quantité de sperme dans le cul de Gigi, qui ressortit en totalité, sous les va-et-vient de mon sexe. Gigi lui-même éjacula ce qui lui restait de sperme.
Nous restâmes ainsi pendant quelques minutes, lui allongé sur le ventre et moi sur son dos. Ce fut lui qui le premier reprit conscience. Il me fit descendre de son dos, se retourna, m’envoya un sourire lumineux et m’embrassa sur la bouche. Un petit baiser plein de tendresse.
- Je savais qu’avec toi, ce serait différent qu’avec Michel !
- Qui est Michel ?
- Mon petit ami ! Mon amoureux ! Mon mari, si tu veux ! Nous sommes ensemble depuis trois ans et nous nous aimons. Mais même s’il est beau, même s’il me donne beaucoup de plaisir au lit, il n’a pas les mêmes capacités que toi pour me faire grimper aux rideaux. Je vais d’ailleurs te le présenter tout à l’heure.
Nous nous reposâmes un long moment, puis Gigi se leva du lit et alla nous préparer un copieux petit déjeuner que nous prîmes au lit. Gigi était vraiment du genre tendre et aimant. Il ne voulut pas quitter mes bras de toute la matinée. Je le fis parler de lui et de son homosexualité. Il avouait sans fausse honte qu’il s’était toujours considéré comme une fille. Tout en lui était féminin. A l’exception du petit sexe de garçon qu’il avait, rien n’indiquait qu’il n’était pas une fille.
- D’ailleurs dès que cela sera possible, je ferai ce qu’il faut pour devenir une vraie femme.
- Une opération ?
- Oui ! Une opération. D’ailleurs on en parle souvent avec Michel qui me soutient totalement. Même maman ne s’y oppose pas.
Vers midi, on sonna à la porte. Gigi se leva d’un bond et alla ouvrir.
- Je te présente Michel, mon ami !
Michel était un jeune homme qui semblait avoir vingt cinq ans. Il était assez grand, pâle, avec des cheveux châtains très clairs. Il était svelte, la taille fine et les hanches étroites. Il avait les traits fins, de grands yeux noisette et une grande bouche gourmande. Il était souriant et semblait très sympathique.
- Chéri, je te présente Rafik, l’ami de maman dont je t’ai parlé. C’est une vraie bête au lit. Il est monté comme un âne ! J’aimerai que tu voies ça ! Montre-lui !
- Eh ! On n’est pas au cirque ! Je ne montre pas mes bijoux de famille, comme cela à la commande et au premier venu !
- Allez ne fait pas ton chichi ! Approche, je vais moi-même le lui monter. Ah il est au repos ! Attends tu vas voir comme je vais le réveiller. Chéri, viens m’aider !
Michel se rapprocha de nous, les yeux écarquillés devant les dimensions, au repos, de mon gourdin. Gigi le prit dans sa main droite et commença à le caresser. Il rapprocha sa tête de mon bas ventre, sorti sa langue et se mit à titiller le gland et à le lécher. Je sentais l’excitation arriver et mon sexe se mettre à gonfler. Je regardai Michel qui suivait avec attention le monstre qui prenait des proportions immenses. Je voyais ses yeux qui brillaient et ses narines qui palpitaient. Il semblait émerveillé par ce qu’il voyait. Quand l’engin avait atteint son maximum de dilatation, Gigi appela son ami pour qu’il prenne sa place. Michel ne se fit pas prier : il se mit à genoux devant moi et tendit précautionneusement sa main pour attraper l’engin. C’était comme s’il en avait peur.
Il se mit à le caresser doucement avec les encouragements de Gigi.
- Vas-y, branle-le ! Oui comme ça ! Embrasse-le ! Il adore être embrassé et léché ! Descends jusqu’aux couilles ! Suce-le !
Michel ouvrit son immense bouche et goba le gland, qu’il enroula avec sa langue. Il avait une bouche très chaude et très douce. Et il savait s’y prendre pour sucer et donner du plaisir. Je sentais que j’allais prendre beaucoup de plaisir dans cette bouche. J’attrapais la tête pour la forcer à adopter le rythme qui me convenait et, surtout, pour l’obliger à faire pénétrer l’engin jusqu’au fond de sa gorge. Il avait du mal à le faire au début; puis petit à petit, il s’habitua à l’engin. Je me dis que c’était le moment pour lui appliquer la torture de la baise buccale.
Je regardais Gigi, qui était à genoux à côté de son ami et lui caressait les fesses; je lui lançai un regard et un sourire interrogateurs, pour lui indiquer que j’allais baiser la bouche de son ami et voir s’il n’y voyait pas d’inconvénient. Il me rendit le sourire, que je pris pour un accord, se plaça derrière Michel et se mit à lui dégrafer le pantalon, qu’il fit descendre sur ses cuisses, dénudant le cul de son ami. Il lui souleva les hanches pour le mettre en position d’offrir son cul à sa bouche et à ses baisers. Ce faisant, il m’obligea moi-même à me mettre à genoux, pour garder mon sexe au niveau de la bouche de Michel. Et c’est comme cela que je mis à pilonner sans vergogne la bouche de mon partenaire, pendant que son amis lui léchait l’anus, mouillait l’anneau et introduisit deux doigts pour le masturber.
Je ne savais pas si Michel prenait du plaisir à se faire pilonner par mon gros engin et si la masturbation de son cul lui apportait quelque chose. Ce que je savais, c’était que moi je prenais un plaisir fou à baiser cette bouche. J’y allais en force, ne m’arrêtant une fraction de seconde que quand je le sentais sur le point de vomir, pour reprendre immédiatement après. De temps en temps je le voyais qui levait des yeux larmoyants – peut-être pour me supplier d’arrêter le pilonnage – et j’étais encore plus excité en voyant ses narines couler comme des fontaines et les commissures de ses lèvres laisser passer des litres de salive. Je me comportais comme un vrai sadique ; j’adorais le spectacle du garçon qui souffrait, mais qui résistait courageusement pour ne pas me décevoir et décevoir son petit ami. Cela dura, me semblait-il, une éternité, jusqu’au moment où n’y tenant plus je lâchais tout le sperme qui me restait après les coïts répétés que j’avais eu avec Gigi, pendant la matinée.
Michel reçut une partie dans sa gorge, qu’il avala sans peine et garda une autre partie dans sa bouche. Il laissa mon manche rassasié sortir de la cavité buccale et se retourna pour faire face à son ami - lequel entre-temps avait arrêté la masturbation du cul de Michel – pour l’embrasser et lui offrir une partie du sperme qu’il avait gardé. Tous les deux avalèrent, en riant, le foutre et s’embrassèrent passionnément. Ils se laissèrent emporter par leur passion l’un pour l’autre, comme si je n’existais pas. Ils s’embrassèrent, se caressèrent, se dénudèrent, se masturbèrent mutuellement et… Michel encula Gigi avec douceur, devant moi, comme pour me faire comprendre que, malgré tout, c’était lui qui restait son maître. Ils prirent beaucoup de plaisir et jouirent en même temps.
- Il t’a vraiment élargi l’anus avec son gros engin, dit Michel. Le mien, maintenant, nage à l’intérieur. Mais tu restes encore un superbe coup !
- Tu verras quand il t’enculeras toi aussi, la force de son engin ! Quand tu y goutteras, tu ne pourras plus t’en passer !
Je restais chez cette famille si particulière, toute la semaine, presque sans sortir, si ce n’est une seule fois pour aller, Sophie et moi, manger dehors, en amoureux. J’étais traité comme un coq en pâte : la journée par Gigi et Michel et le soir, par Sophie avec laquelle je passais toutes les nuits. Je ne sais pas comment j’avais pu rester en forme, avec un tel traitement : je me sentais obligé de faire l’amour cinq ou six fois par jour, pour satisfaire les besoins tyranniques de Sophie et ceux de son fils et de l’ami de ce dernier. Parce que même Michel, qui avait essayé mon engin et y avait pris goût, réclamait sa part. Il est vrai que j’étais jeune et plein d’énergie ; que je n’avais pas besoin d’un long moment pour me régénérer mes forces. Mais au bout de la semaine, j’étais sur les rotules ; fatigué, mais heureux !
Je ne retrouvais plus jamais des personnages comme Sophie, Gigi et Michel. J’ai encore de temps en temps de leurs nouvelles, mais ne les revis plus.
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