Le fils du patron

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le fils du patron Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le fils du patron
Cela fait maintenant 5 ans que je travaille dans la même boite, où je suis entré comme chef d'équipe vu mes références et mes diplômes, et le fait d'avoir travailler au jardin du Sénat donne des points très avantageux.

Le patron est un bel homme de 45 ans environ qui connait très bien le métier, qui fait confiance et c'est vraiment un plaisir de travailler au sein de cette entreprise. Il est marié, des enfants, j'ai rencontré sa femme lors de mon embauche, et je l'ai aperçu quelques fois. Je me souvenais qu'il avait deux enfants, une fille et un garçon, mais je ne me souvenais pas les avoir rencontré.
Tous les matins on part de l'entreprise pour aller travailler chez des particuliers, et naturellement le soir on revient à l'entreprise, où je vois le patron vite fait s'il n'y a rien de particulier à dire.

Ce soir là, c'est lui qui m'attendait et me demande de venir dans son bureau.
-Fabrice je suis heureux que tu sois venu travailler chez moi, j'ai une mission particulière à te demander, mon fils Hugo vient de sortir de l'école où tu es allé, avec tous les diplômes qu'il faut, mais tu sais très bien qu'ils ne remplacent pas le travail effectué. Alors, avant de lâcher mon fils, j'aimerais bien que tu lui enseignes tout ce que tu connais et que tu fais très bien… les relations avec les clients, le travail en lui-même, je n'ai pas eu l'occasion de le voir à l'œuvre, alors tu me diras vraiment ce qu'il vaut comme tu le fais avec les stagiaires que je prends habituellement.
-pas de problème, s'il a fait l'école de B., c'est une des meilleures alors ça devrait le faire.
-je ne veux pas que tu lui fasses de faveurs, ce n'est pas parce que c'est mon fils qu'il doit faire ce qu'il veut. Il est sous tes ordres et tu dois te faire obéir.
-pas de problème patron! vous savez très bien que les fils obéissent rarement à leur père dis je en rigolant.
-c'est pas faux finit il par dire. C'est vrai qu'on veut toujours donner des conseils de faire ceci ou cela et qu'on ne leur laisse pas la latitude nécessaire mais Hugo veut toujours discuter quand on lui demande quelque chose alors je te le confie et je te souhaite bien du courage.
-vous en faites pas, ça devrait aller comme sur des roulettes le tout c'est qu'il soit curieux et pas fainéant… le reste, ben on fera avec!

C'est ainsi que le lendemain matin, j'ai vu arriver Hugo, le fils du patron. Autant son père était encore pas mal conservé pour son âge, que le fils était une merveille. Il ressemblait à son père avec les beaux yeux de sa mère, verts clairs, des cheveux courts bruns, nez fin, bouche aux lèvres sensuelles au sourire ensorcelant. Il devait avoir 21 ans au plus et un corps taillé dans du roc. Il était en tenue, mais vu la chaleur, portait un tee-shirt qui le mettait en valeur.

Son père nous a présenté, lui disant que j'étais son chef et qu'il devait m'obéir en tout. Hugo m'a regardé en me serrant la main, naturellement comme d'habitude avec un beau gosse, je trouvais qu'il avait les yeux coquins.

Je travaillais habituellement avec deux autres mecs, on s'entendait très bien et ils bossaient comme des chefs. J'ai bien vu qu'ils n'étaient pas ravis d'accueillir le fils du patron alors j'ai mis les choses au point de suite en disant qu'Hugo était là pour apprendre à bosser, et que j'allais m'en charger et pas pour raconter à son père ce qu'on faisait dans la journée. Ce qu'on fait tous les quatre ne regarde que nous. Le seul a rendre compte au patron était ma pomme! point final.
Cela les avait un peu rassuré et Hugo avait acquiescé disant que de toute façon son père ne le comprenait pas!
Cela avait fait sourire tout le monde.

Hugo s'est attelé à la tâche comme nous autres. Celui qui travaillait le moins en fait, c'est le chef! il fallait que je parle avec les clients, savoir ce qu'ils voulaient, les conseiller et chez certains, on était devenu des amis depuis que l'on venait, notre clientèle est faite de personnes âgées et, souvent faut faire 4 heures! une petite tarte aux pommes qui sort du four c'est pas dégueu! et les gens sont si gentils.

Les semaines ont défilé et Hugo me suivait comme un petit chien, toujours avec moi, toujours le sourire, bossant comme un dur, posant mille questions, obéissant en tout, sans jamais renâcler. C'était vraiment un plaisir de bosser avec un mec pareil.

Ce n'est qu'au bout de quelques semaines, que le garnement s'est mis à me poser des questions personnelles, faisant le curieux… si j'étais marié… non, si j'avais une copine... non, ce que je faisais de mes soirées, si je sortais, où j'allais. On s'est mis à parler des boites de la région qu'il n'aimait pas trop et , ce garnement, m'a proposé de boire un verre ensemble au café du centre le samedi soir suivant.
-tu le connais bien ce bistrot ?
-oh oui dit-il c'est là que je vais boire un verre en général dit Hugo, et le patron est très sympa.

Là, une petite lumière s'est allumée dans ma petite tête de pédé. Le patron était très sympa! tu parles Alain était un pote, encore plus pédé que moi. Si ce beau gosse était passé dans son bar et qu'il en faisait l'éloge... oh y'avait anguille sous roche.

Le samedi soir on s'est retrouvé au bar, j'étais arrivé en avance et je papotais avec Alain qui me racontait les derniers minets qui trainaient dans son bar quand Hugo est arrivé surpris de me voir parler avec Alain, il s'est approché, je l'ai trouvé timide d'un seul coup, presque rougissant.
-tiens dit Alain, voilà le plus beau de mes derniers clients ces temps ci.

Il serre la main d'Hugo, qui rougit encore plus et me tend la main.
-salut Fabrice et il s'assoit sur le tabouret près de moi.
-quoi! mais vous vous connaissez ? dit Alain me regardant avec son air inquisiteur.
-ben oui on travaille ensemble depuis quelques semaines, il est dans mon équipe dis je.
-mais vous aussi vous vous connaissez ? demande Hugo nous regardant tout à tour.
-on est né dans la même maternité dit Alain sérieusement.
-ne l'écoute pas Hugo, pas le même jour et pas la même année! dis je.
Hugo éclate de rire.
-n'empêche qu'on se connait depuis la maternelle dit Alain.
-alors ça fait un bail dit Hugo.
-dis donc Fabrice, il va pas tarder à nous traiter de vieux si ça continue, bon c'est ma tournée, allez vous asseoir au fond, vous serez plus tranquille dit Alain en nous faisant un clin d'œil, faisant encore rougir Hugo.

On s'est installé face à face, Hugo n'osait plus me regarder. Il buvait en silence, évitant mon regard.
-ben toi qui parle tout le temps t'as plus rien à dire, c'est Alain qui te gêne.
-non non dit Hugo, mais je savais pas que tu le connaissais.
-oh tu sais, tu connais pas toutes les personnes que je connais et Alain c'est vraiment un pote, on a fait les quatre cents coups ensemble.
-j'ai cru comprendre ça.

Et, le silence ce fait à nouveau et ça commence à m'intriguer encore plus.
Il tenait son demi entre ses mains, et le fixait. J'ai posé mes mains sur les siennes disant doucement.
-si t'as d'autres questions à poser ou quelque chose d'autre à me dire, ça restera entre nous deux, complètement entre nous deux Hugo.

Il a mis un moment à relever sa belle tête, ses yeux étaient embués, je sentais ses mains dans les miennes trembler légèrement quand il a ouvert la bouche, je savais déjà ce qu'il allait me dire ou me demander.
Ses lèvres tremblotaient quand il a dit.
-je crois que j'aime les garçons Fabrice.
-ben tu vois Hugo, je crois qu'ici tu es au bon endroit pour ne pas être jugé!
-Alain est gay ?
-ben oui, il s'en cache pas tu sais.
-toi aussi ?
-je réponds oui quand on me le demande dis je avec mon plus grand sourire.

Un long soupir est sorti de sa bouche. De mes pouces je caressais ses mains prisonnières, le sourire était revenu sur ses lèvres.
-t'en parles pas à mon père hein ?
-pourquoi tu veux que j'aille lui dire cela ?
-il sait pour toi ?
-je ne sais pas, on ne parle pas de ça, on parle boulot pas de vie privée Hugo et je pense que ton père est très tolérant sur pas mal de sujet.
-on voit que tu vis pas à la maison dit Hugo en soupirant.
-mais t'es son fils, il veut s'occuper de toi, il veut que tu réussisses dans la vie.
-oui mais il est dur avec moi tu sais!
-il t'a parlé des filles, de sexualité ?
-non jamais, j'ai juste voulu en parler une fois avec ma mère mais comme il arrivait et je n'ai pas eu l'occasion de le faire après, mais j'ai peur qu'il le découvre tu sais.
-c'est normal tu sais d'avoir peur de ça, mais si t'es sûr de toi, faut prendre le taureau par les cornes. Commence à en parler à ta mère si tu crois qu'elle sera plus réceptive et ainsi elle pourra préparer le terrain avec ton père.
-tu crois ?
-ben je sais pas si c'est la bonne solution, mais c'est comme ça que j'ai fait et ça a marché. J'ai bien vu que mon père n'était pas ravi ravi, mais maintenant je crois qu'il s'en fout et je suis toujours son fils.

Il soupire longuement encore une fois et me regarde comme le sauveur!
-dis le beau gosse, je présume que t'as pas dîné ?
-ben non.
-alors je te propose de t'emmener dans un petit restau et ensuite on fait un tour en boite et je te ramène chez papa maman! ça te va ?
-oui!
Le sourire était revenu, les yeux pétillaient. Il était prêt à partir!

Alain est venu me faire la bise et Hugo a tendu sa joue.
Nous sommes allés au restau, il m'a raconté sa courte vie. Plus du côté études mais du côté coquin. Comment il avait découvert qu'il était gay, les copains de branlettes, de suces et ne parlait pas de plus... je suis resté discret bien sûr.

Je voulais aller dans une boite, mais il trouvait qu'il n'y avait que des vieux qui touchaient le cul alors on est allé dans une autre, que je connaissais bien sûr également où il y avait de tout et surtout de petites alcôves où l'on pouvait être tranquille.

Comme il était tôt, on a trouvé de la place pour s'installer dans une alcôve, côte à côte, nos jambes collées, son sourire ne le quittait plus et il parlait tout le temps. La musique forte, faisait qu'il était obligé de me parler à l'oreille alors j'ai passé ma main autour de ses épaules. Il continuait de parler, j'ai collé mon oreille sur ses lèvres, le serrant contre moi, tournant la tête pour lui faire un bisou dans le cou, il relève la tête pour me laisser faire, ma main caresse une cuisse. Je sens ses lèvres dans mon cou. Je remonte les miennes sur le menton, on se fixe, ses yeux brillent dans la pénombre, nos lèvres se rapprochent, ma main remonte sur le corps, sur la joue, l'emprisonne et nos lèvres se rencontrent pour la première fois.

J'ai apprécié ce premier baiser tendre. Ses belles lèvres chaudes entrouvertes laissant passer son souffle qui entrait dans ma bouche, elles se sont collées, ma langue est partie à l'aventure dans cette nouvelle bouche trouvant une belle langue chaude et agile. Tout de suite ce fût une bataille de langues gigantesque, les joues étaient déformées. La musique couvrait nos gémissements, les mains s'égaraient sur les corps. Je le renversais sur le dossier et ma langue est entrée en lui au plus profond. Sa langue, comme vaincue laissait passer la mienne.
Il a fallu se séparer pour reprendre notre respiration.

Ses doigts me caressaient la joue, ses yeux rieurs me fixaient. Il souriait.

Le deuxième round de langues était parti. Il ne voulait plus lâcher me serrant dans ses bras. J'avais touché son entre jambe. C'était bien prometteur comme trésor, j'avais envie de lui, j'avais envie de le voir nu, j'avais envie de caresser son corps, j'avais envie qu'il me touche, me caresse tous les deux nus dans un lit.

Ma main s'était aventurer sous ses vêtements, touchant ce corps lisse et chaud le faisant gémir encore plus sous mes caresses.
On a bu notre verre ne parlant plus, se serrant la main comme des collégiens amoureux, il me faisait des bisous à la volée, partout sur le visage, dans le cou.
Quand je lui ai proposé de boire un autre verre, il s'est penché à mon oreille.
-tu vis tout seul ?
-oui dis je le cœur battant.
-alors si tu me paies un autre verre chez toi je viens avec plaisir Fabrice.

Sa main a pris ma tête et le troisième round des langues était lancé.
On est parti comme des voleurs, hâte de se retrouver que tous les deux. Il ne quittait plus ma main, tenant ma cuisse lorsque je conduisais et sentir la chaleur que procurait cette main. Il est inutile de vous dire dans quel état j'étais.

La voiture rentrée dans la cour, il est venu se coller à moi dès notre sortie.
A peine dans la cuisine, la porte refermée, que deux bras m'entouraient le cou, son nez collé au mien, son corps épousait le mien.
-enfin un rêve qui se réalise dit Hugo.
-comment ça ?
-eh bien si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en rêvant que tu me prenais dans tes bras pour m'embrasser.
-et j'ai fait que ça ? dis je en riant.
-oh tu sais j'ai fait le fanfaron en te racontant mes histoires mais je n'ai jamais fait grand chose vraiment, tu sais par rapport aux films pornos.
-ah les films pornos! eh bien commençons par... embrasse moi car j'adore tes belles lèvres et j'ai cru t'entendre gémir tout à l'heure quand on s'embrassait, mais avec la musique.

Un nouveau round était enclenché mais là mes mains pouvaient voyager sur ce nouveau corps, caresser le dos, toucher les fesses dures, les caresser par dessus le jean, lui me tenait la tête entre ses mains et sa langue s'activait sur la mienne, ses lèvres bougeant sur les miennes.

Quand mes mains sont passées sous les vêtements, caressant la peau douce et tendre il a gémi le Hugo, gémi en offrant son corps.
-viens dans ma chambre beau gosse!
J'ai réussi à le décoller de moi pour l'entrainer dans la chambre et le déshabiller. Il se laissait faire dans la pénombre. Quand son torse fut nu je le caressais doucement.
-t'es beau Hugo, j'aime ta peau douce.

Je lui embrassais les tétons, le faisant frémir et je m'agenouillais devant lui défaisant son ceinturon à deux mains, dégrafant le jean, l'ouvrant, le baissant. Je lui enlevais ses chaussures, le jean, les chaussettes. Il était là, debout devant moi, ce grand garnement en boxer serré qui moulait un sexe en pleine forme. Le boxer avait une très grosse tâche qui s'élargissait encore.

J'ai pris ses fesses en mains rapprochant son bassin, pour coller mes lèvres sur cette hampe cachée. La suivre de mes lèvres, insuffler sur le gland, le faisant tressaillir. J'ai mordu tendrement cette grosse tige que j'allais bientôt goûter. Je voyais ses mains bouger, il ne savait où les mettre. Les miennes ont baissé vivement le boxer, libérant le monstre coulant qui me tombe sur le visage. Une belle bite comme j'aime, longue, pas trop épaisse, la peau douce, ma langue part des couilles et remonte au gland pas tout à fait décalotté.

Ce sont mes lèvres qui le finissent d'ouvrir et ma langue qui récupère la mouille abondante et mes lèvres descendent sur cette bonne queue bien dure, bien raide qui tressaute dans ma bouche. Elle glisse sur ma langue, ses mains me tiennent la tête, je vois ses jambes bouger. Je saisis ses couilles pour les caresser, les triturer, il écarte ses cuisses. Ma main glisse entre, sans chercher à aller trop loin et je pipe cette merveilleuse nouvelle queue rien que pour l'entendre gémir de plus en plus, sentir ses mains se crisper sur ma tête, je vais de plus en plus vite.

Il cherche à m'échapper dans un soupir mais sa queue devient plus raide, plus dure. Je le rapproche de moi et je sens sa première giclée arriver dans ma bouche en même temps qu'il crie en appuyant sur ma tête pour que sa queue aille plus loin et je sens sa crème couler sur ma luette et glisser dans ma gorge. Je laisse les giclées se suivre et je lèche cette belle queue qui ne débande pas.

Il me relève en me tenant sous les bras, il est tout rouge mon Hugo! il m'embrasse tendrement.
-je peux te déshabiller ?
Je me laisse faire et, en rien de temps je suis nu comme lui, sa tête sur mon torse, il me serre contre lui, se frottant à moi m'embrasse.
-je veux être à toi Fabrice, tu fais ce que tu veux de moi, tu sais bien que je dois t'obéir en tout ?
-je voudrais que tu goûtes à ma queue pour qu'elle commence à faire connaissance avec ta bouche dis je en m'allongeant sur le lit.

Il s'allonge sur moi, me regarde tendrement.
-j'ai surtout envie que tu me baises, que tu m'encules, je veux que tu sois la première vraie bite qui entre dans mon cul.
-tout de suite ?
-oui dit Hugo c'est ça que j'ai envie, j'en ai marre de mon gode.
-tu te godes souvent ?
-je dors avec dit il en enfouissant sa tête dans le creux de mon épaule.
-voyons cela alors! dis je en le retournant sur le lit.

Mes lèvres ont fait connaissance avec son corps, j'aimais son odeur, sa douceur. J'ai fait des bisous à sa belle queue qui bandait encore.
J'ai remonté ses jambes sur son torse, dégageant bien ses belles petites fesses pour apercevoir au milieu de la raie, son anus déjà presqu'ouvert.
Ma queue allait être heureuse.
J'allais me pencher vers le petit trou.
-attends Fabrice, quand tu vas jouir je voudrais que tu jouisses sur mon torse et sur mon visage, que j'en ai partout.

Il était encore devenu tout rouge! j'ai juste fait un sourire avant de m'occuper de son petit cul qui s'ouvrait facilement et mes coups de langues le faisaient gémir. Ma queue était impatiente. Quand j'ai mis ses jambes de chaque côté de mon cou, m'appuyant sur ses cuisses, le gland bien centré là où il fallait, je l'ai fixé, il me tenait les bras, j'ai appuyé.

Sentir le gland entrer, se faire enrober par l'anus chaud bouillant, voir Hugo fermer les yeux, la bouche ouverte, râlant et criant quand le gland est entré, respirant vite. Je me suis arrêté et quand j'ai vu qu'il rouvrait les yeux, d'un coup de reins ma queue a investi les lieux totalement, le faisant encore crier plus fort. J'appuyais bien, pour lui montrer que tout était en lui, ses mains caressaient mes bras.

Et je lai baisé, baisé comme un mec qui aime ça et qui le fait entendre et qui s'offre. Ca coulissait bien dans son cul, son conduit chaud épousait bien ma queue qui faisait des vas et viens rapides maintenant et Hugo, les yeux fermés râlait. J'ai fait durer ce moment le plus longtemps possible et quand j'ai senti que les décharges allaient poindre je me suis retiré vivement laissant le cul béant, enjambant rapidement son corps, collant mes fesses sur sa queue bandée, je me suis branlé au dessus de lui.

Il regardait mon gland fixement et quand la première giclée est arrivée il a ouvert la bouche mais il en avait partout. Une longue trainée du menton aux cheveux. Les autres giclées arrivaient et lui repeignaient la façade. Ah il voulait du jus sur sa tronche! eh bien il en avait.

Sa bouche toujours ouverte a attiré ma queue, j'ai posé le gland sur les lèvres qui s'en sont accaparées l'enveloppant en aspirant le gland pour ne pas perdre une goutte du jus qui arrivait encore par petites saccades.
J'ai ramassé avec un doigt mon sperme sur son visage et lui donnait la becquée, il souriait en léchant mon doigt. J'ai tout fait disparaitre.

Il m'a attiré sur lui pour m'embrasser.
-merci d'avoir fait ça Fabrice, quand je me branle je lèche mon sperme après et là je voulais goûter le tien.
-faut arrêter de garder le gode toute la nuit Hugo ton cul ne va plus se refermer après.
-tu crois ? mais ça va me faire mal si je me fais enculer ?
-mais non, mais je pense que tu apprécieras mieux.
-en fin de compte dit Hugo tout sourire, t'es mon chef en tout!

On a eu notre premier week-end ensemble.

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