Le fils du voisin 2 - histoire érotique

Après m’être faite baiser sauvagement par Quentin, le fils des voisins, je retourne me baigner.

Julien rentre une demi heure plus tard et s’empresse de me rejoindre dans la piscine, complètement nu lui aussi. Nous nous enlaçons et échangeons un baiser torride. Julien susurre à mon oreille qu’il a très envie de moi et joignant le geste à la parole, il introduit deux doigts dans ma chatte qu’il commence à agiter. Je gicle une première fois, puis une seconde fois sous l’eau. Julien bande comme un âne et se frotte à moi. J’ai envie de le taquiner alors je fais mine de m’éloigner en nageant mais il me rattrape. Je m’accroche à la barrière pour lui résister un peu mais il en profite pour s’introduire dans ma chatte ouverte.
Il se met à me pilonner avec sa bite bien dure. Je subis ses assauts de plus en plus fort. Heureusement que je me tiens à la barrière sinon je coulerais. En même temps qu’il me baise, Julien pince mes tétons, me tient par la gorge, et me traite de petite salope. Je me demande si Quentin est encore dehors, s’il nous épie à travers la haie de thuyas. J’avoue que cette idée m’excite. Je ne retiens plus mes gémissements. Julien me retourne pour que je sois face à lui. Il me pénètre à nouveau et embrasse mes seins. Mes jambes s’accrochent autour de sa taille, son gland tape au fond de mon vagin à chaque va et vient. Julien jouit. Je reçois toute sa semence au plus profond de moi.

Je regarde furtivement en direction des thuyas espérant apercevoir Quentin mais en vain.

Le lendemain, je suis encore seule à la maison. Je ne peux m’empêcher de penser à Quentin. Va-t-il revenir aujourd’hui ? J’espère vraiment en tout cas.

Comme hier, je m’installe nue sur la terrasse, en mode bronzage, mais pas question de m’endormir aujourd’hui.

Une heure passe, puis deux et toujours pas de Quentin. Je rentre dans la maison le temps de midi et je retourne vite dehors. Je désespère un peu. Je me baigne.

Je fais des longueurs sous l’eau quand tout à coup en sortant la tête de l’eau, il est là. Je ne peux réprimer un sourire. On s’embrasse et je sors de l’eau. Nous rejoignons la terrasse. Rapidement nos mains s’égarent et l’excitation monte d’un cran. Il me demande de m’allonger sur le transat, les cuisses relevées, écartées. Avec un doigt, il titille mon petit bouton, qu’il remplace bientôt par sa langue. J’aime la douceur de sa caresse. Dans le même temps, il plonge deux doigts dans ma chatte. Je suis trempée. J’aime sa façon de me doigter. Il pose maintenant un doigt plein de mouille à l’entrée de mon anus. Progressivement, il l’enfonce. Je me détends au maximum pour éviter d’avoir mal. Un sentiment de bien être m’envahit. Le doigt de Quentin glisse dans mon cul. Je l’invite à en mettre un deuxième. J’ai tellement envie de lui que mon anus se dilate sans douleur.
Avant de m’enculer, Quentin me demande de le sucer. Il aime trop me voir boire son sperme. Je fais ma salope, je prends sa bite au fond de la gorge, à vive allure. Je ne prends même pas le temps de respirer. J’ai envie de lui montrer que je suis une salope et que j’adore son jus. Au moment de jouir, il se vide au fond de ma bouche sans me prévenir.

En attendant que son sexe reprenne des forces, Quentin me demande de me relever et de me pencher en avant sur la table de jardin. Mes gros seins s’écrasent sur le bois chaud de la table. Je reçois une claque sur les fesses. Surprise, je laisse échapper un petit cri. Quentin recommence sur l’autre fesse et dit à haute voix que je suis vraiment une salope, qu’il va faire de moi son vide-couilles et que quand il aura envie de baiser mes trous de pute, je devrai lui obéir. Mes fesses rougies, Quentin crache dans ma raie et enduit mon anus de sa bave. Il introduit deux doigts, sans ménagement, qu’il fait aller et venir pour dilater mon petit trou. Je prends beaucoup de plaisir.
Excitée d’être humiliée de la sorte, je le supplie de m’enculer. Il retire ses doigts, écarte mes fesses et pose son gland contre mon anus qui s’écarte sous la pression. Je sens chaque centimètre de son énorme bite s’enfoncer au plus profond de moi, puis commencer à bouger doucement au début, pour que je m’habitue et de plus en plus vite. J’adore être sodomisée, les sensations sont tellement décuplées que Quentin réussit à me faire gicler. Des longs jets de mouilles éclaboussent mes cuisses. C’est la première fois que je gicle avec autre homme que Julien. Mon jeune amant, surpris et excité de voir une femme fontaine pour la première fois, m’attrape par les hanches et redouble de vigueur. Je me fais littéralement éclater le cul en criant des oh oui ! Continue ! Je sens un liquide chaud couler en moi. Quentin s’affale sur moi, vidé.

Avant de repartir chez lui, il me demande mon numéro de téléphone.

(à suivre …)